samedi 1 août 2020

filles punies fesse a l'air pour tricherie - 3

           

 

 Nadine

   Notre soirée et nuit passée et je n’ai presque pas dormi Pierrette aussi. Alors j’embarque dans la douche. J'en ressors quelque instant plus tard et m’aperçois que Pierrette est dans la salle de bain. Elle me regardait. Je suis nue devant elle, et Pierrette me dit depuis que l’on se connait et on se voie nue chez toi ou chez moi en passant de longs moments ensemble. Cela ne m'était jamais venu à l’idée qu'être nue devant des étrangers pouvait devenir si humiliante et gênant, tellement que ma journée me fait peur. J'ai envie d’aller à l’infirmerie et me plaindre d'un mal de tête et demander à l’infirmière de me donner une dérogation pour mes règles. Je la traite de folle, c'est la pire affaire à faire, tu vas te ramasser avec une punition pire que d’affronter celle qui s’envient.

Tu t’imagines si le dirlo ou Lepetit demande à l’infirmière de te passer un examen et qu’elle se rend compte de tes mensonges. Tu n’as pas fini de te balader nue et d’avoir mal aux fesses. Vient à deux ça va être moi pire que seule et on essaie de tenir le moral. Je finis d’enfiler mon short noir et rien en dessous qu’elle a bien précisé. Je n’ai pas le choix, Claude nous a bien spécifié que pour nous rende à l’institut toutes les deux, on est obligé de porter que ces deux vêtements noirs qui ridicules et très courts. Et cette fichue camisole noire qui est très ample qui font presque ressortir mes seins. Et avec ce fameux p cousu en blanc sûr dans le dos et sur mon derrière de short, pour que l’on ne passe pas inaperçu au travers des autres étudiants quand ont punis. C'est nouveau de cette année ces vêtements-là, le temps file vite et je ne veux surtout pas être en retard, dépêche-toi Pierrette on doit y aller.

Je ferme la porte de notre appartement et allons à l’institut. Arrivés dans le couloir d’entrée, quelques camarades et amies sont déjà là en me regardant avec ces vêtements-là. Ça m’a gêné et j’ai serré les bras de chaque côté de mon corps pour me cacher les seins. J'essaie de rester le plus possible face à elles. En plus j’ai les fesses à moitié a l’air avec ce short très court. Elles me demandent si hier, on avait été punies. Il y a les rumeurs dans les couloirs qui disent qu’on aurait été vues nue toutes les deux nous disent elles.

 J’essaie de faire taire ces mauvaises langues en leur disant que c’était l’infirmière qui nous avait appelé pour des examens de routine et qu'on était habillé toutes les deux comme ça pour une simple petite punition banale. Mais le temps avançait et je ne pouvais plus discuter avec elles. En marchant vers la porte qui donne accès à la direction. Mes camarades se rendaient compte qu'avec ces vêtements noirs, le short très court qui laissait voire presque la moitié de mes fesses et le haut de mes cuisses, ils y avaient des petites marques encore rouges. Je n’ose pas me promener les mains sur les fesses pour les cacher, c'est encore plus humiliant. Elles nous disent bonne chance à vos fesses en nous regardant se diriger vers le bureau du dirlo. Arrivé à la porte qui sépare les salles des cours et la direction, on sonne et la stagiaire ouvre, elle nous attendait.

On se rend ensemble au bureau du surveillant, et Mlle Letarte nous fait entrer, les jambes me tremblent. J'ai des crampes au ventre juste a pensé à me mettre nue devant elle et là, voire me regarder les yeux fixer sur ma chatte. Je lui demande, peu-t-on aller à la salle de bain avant de rentrer dans votre bureau

MlleLetarte

Oui, mais faite vite. Les deux revenus à mon bureau, elles me demandent et me supplient d’alléger leur punition, de leur laisser les vêtements qu'elles portent pour la punition de ce matin et pour assister à leur premier cours. Je leur réponds de se déshabillées comme prévu et pour le reste, c'est impossible. Ce n’est pas moi qui ai décidé de votre punition, mais j’approuve la décision rendue. Si je ne l’applic pas à la lettre, c'est moi qui reçois le fouet pour un manque de respect envers le comité et la direction, et ils ont très sévère même pour nous les employées. En étant que stagiaire pour l’instant, je suis soumise au même règlement que vous et je ne suis pas du tout intéressée à être mise nue devant le personnel et fouetter. Et même tout le personnel de cet établissement est soumis à des règles très strictes.

 Même le cas de votre professeure Mlle Garcia qui vous a protégé la première fois il y a trois semaines environ, c'est probable qu'elle soit punie. Le cas de Mlle Garcia est à l’étude et elle pourrait elle-même être punie samedi dans la salle des professeurs, Pierrette coopère et enlève tout, elle est nue, mais Nadine ne bouge pas vite. Elle hésite et commence par sa camisole. Son short baisse très lentement, c'est à cet instant que je lui donne une paire de claque sur les fesses encore couvertes par son court short, et lui dit d'accéléré. Mon intention est de vous donner seulement dix coups de martinet à la place de vingt. Nadine, si tu ne collabores pas, ce sont les vingt coups que vous recevrez et toutes les deux en plus. Je ne crois pas que Pierrette va t'aimer si elle reçoit dix coups de plus.

En ouvrant le tiroir de mon bureau, je sors le martinet et l’étend sur le dessus du bureau. Nadine regarde le martinet de cuir à six brins. Tes fesses vont ressembler à quoi s'ils en reçoivent vingt coups ça va laisser de belles marques sur la peau et un martinet de cette longueur peu touché ton entre cuisse a l’occasion ta chatte. Demain, si je ne suis pas seul, ce sont les vingt coups qui seront appliqués, tu te décides à obéir, ce n’est pas à tous les jours que tu auras le choix. Je te laisse une chance aujourd’hui, prend là.

En 10 secondes, elle est nue, la chatte bien raser et les fesses blanches comme du lait. La fessée d’hier ne parait plus. Elle me demande d’en rester à dix, elle avait compris. Je demande a Nadine de se coucher à plat ventre sur la longueur du bureau que j’avais vidé juste avant qu’elles reviennent, et de saisir le rebord avec ses mains sans le lâcher. Installée sur le bureau de tout son long, j'ai ses belles fesses toutes blanches très bien positionner et dit à sa copine de lui tenir les mains solidement. Le martinet dans ma main droite, je lui frappe les fesses sans trop la laisser réagir. Un deuxième frappe puis un troisième, ses fesses change de couleurs, elles passent rapidement du blanc au rose et même rouge et des marques, des lanières apparaissent rapidement sur sa peau. Un quatrième, un cinquième Nadine crie par la douleur du martinet qui s’abat sur ses fesses et dit assez arrête. Je continue avec un sixième, un septième, on aperçoit les marques à la largeur des fesses et le haut de ses cuisses aussi est touchée.

Nadine lâche des cris à presque chaque coup qu'elle reçoit. Chaque coup laisse des belles marques rouges. Le huitième claque. Ses fesses sont totalement rouges. Elle doit commencer à avoir le derrière en feu parce que, je frappe avec force les lanière rentre dans son gras de fesse, à chaque coup que je lui donne. Je ne distingue plus trop les marques du martinet. Les marques que laisse les lanières commencent à ce chevauchée une par-dessus l'autre, ses fesses sont rougies bien égales. Elle essaie de se tourner, mais je lui mets de la pression sur ses jambes avec mon autre main pour l’empêcher de se retourner, ce qui la maintien en position bien à plat, les fesses toujours bien exposées.

  Il reste deux coups, si tu bouges les fesses, tu recevras les dix autres. C'est bien compris en claquant avec ma main son cul. J'applique un solide coup, elle vire les fesses et les remets en position instantanément. J'applique le dernier en disant à Pierrette de lâcher brise. Ce fut instantané, les mains se sont placées sur ses fesses pour se les frottées. J'aide Nadine à débarquer du bureau, et fait signe à Pierrette de mettre ses mains sur le mur et de sortir ses fesses.

 Au lieu de la faire étendre sur le bureau. Et garde ta position sinon je rajoute deux autres coups à chaque manquement compris. Rendus en position, les fesses bien sortie, j'applique le premier coup et trois autres suivent rapidement. Un quatrième et un cinquième. Le martinet à sembler marqué plus ses fesses que celle de Nadine. Les marques ont ressorti beaucoup plus et une des lanières de cuir a frappé sa fente, ce qui lui a fait serrer les jambes et elle a plié les genoux par la douleur. Je lui ordonne de reprendre sa position. Elle se repositionne en se frottant l’entrejambe. Je lui administre les derniers coups et le cul bien rouge, elle plie de nouveau les genoux et lâche le mur pour se frotter les fesses. En laissant Pierrette finir de se soulager les fesses, je demande à Nadine de rejoindre sa copine au mur. Je regarde l’heure, il est 8 h 45. Rhabillées vous, c'est le temps d’aller à votre premier cours les filles et pas de discussion possible. C'est avec ces vêtements-là, que vous pouvez circuler dans les coupoirs ou sinon c’est nu et pour le reste de la journée, à vous de décidée.

Pierrette

On n’a pas le choix, il faut sortir et se rende pour assister à notre cours habillé ainsi, c'est humiliant, mais c'est mieux que nu. En mettant les pieds en dehors du bureau, plusieurs profs sont sur le bord de la porte dans le hall et nous devons circuler au travers d’eux à moitié nue et des rougeurs qui paraissent sur le bas des fesses. Le trajet entre ici et notre salle de cours va être long. Je garde ma tête bien basse pour ne pas les regardés. Je passe la porte, Nadine suivie de la chipe aussi, c'est ainsi que je l’appelle. Pour moi et probablement Nadine aussi. Depuis des années que Nadine et moi sommes de grandes amies et toujours ensemble et souvent je couche chez Nadine ou le contraire Nadine couche chez moi. Nadine et moi a n'a plus de secret entre nous deux ont, c'est fréquemment vu nu. Mais jamais, on s’est exhibées nues en public. C'est la toute première fois que je devrais me montrer nue devant autant de gens et c’est très humiliant, en plus tous nos camarades vont voire qu'on a les fesses bien rouges.

C’est alors que je décide de me foutre des ordres de la stagiaire qui nous colle aux fesses et je mets mes mains sur mes fesses pour en laissée moins paraître, nom short est tellement court. Je suis Nadine et je lui regarde les fesses, la moitié de ses fesses paraissent tant que son short est court, et on s'aperçoit qu'elle s'est fait chauffer les fesses, elles sont rouges. Mais je suis rappelée à l’ordre aussi vite par deux fortes claques en travers des fesses qui résonne dans le corridor. Le son produit par les claques attire les regards des gens autour de nous. j'entends dire, tu restes les bras croisés dans ton dos et sa presse sinon je vous confisque vos vêtements. En continuant notre chemin pour nous rendre a notre salle de cours qui est presque à l’autre bout du bâtiment, au deuxième étage, les escaliers et le corridor sont pleins d’étudiants qui se préparent à aller, eux aussi, à leurs cours, quelle honte. Je fige et ne cache encore les fesses gênées d'être le derrière quasiment à l'air, la stagiaire me redonne plusieurs claques en travers des fesses. Nadine aussi, c'était caché les fesses. Elle a eu droit à autant de claques que moi. Ça m'a fait crier et ç'a provoqué un bruit assez fort et si c’est bruyant même avec la circulation des étudiants, le bruit des claques et mon cri c’est fait entendre dans tout le corridor.

Les étudiants qui ne nous avaient pas encore vues dans la foule se sont retournés pour nous regarder marcher vers notre local. En portant qu'une camisole de très grande taille, les seins presque a l'air, et un si court short sans sous-vêtements dessous, je suis quasiment nue et les fesses bien rouges, et les autres autour de moi le remarquent facilement. La chipie nous ordonne à nouveau de remettre nos mains dans le dos sans nous cacher les fesses cette fois-ci. Obéissez les filles ou c’est ici devant tout le monde que je vous redonne une autre fessée et nu dans ce couloir devant tout le monde. Mes amies de ce matin qui nous ont vue dans l'entrée sont juste en face de moi et me regarde. L’idée de recevoir une fessée devant elles et tous les autres ne me plaisait pas. J'ai obéi à Laurie. Je me suis dépêché de me rendre au local sans prendre le temps d'écouter et de regarder autour de moi qui était dans le corridor à me regarder. Arrivé au local, on ne peut pas entrer avant que la professeure soit elle-même dans le local. La stagiaire Laurie nous fait attendre avec les autres dans le corridor et mes amies de ce matin m'ont rattrapé et commence à nous parler. Il semblait que vous étiez à l’infirmerie hier menteuse, en plus des belles fesses rouges ç'a chauffé ce matin, des gars se collaient sur nous pour nous tripoter le cul. Enfin Mme Petitgrew arrive et entre les étudiants suivent. Enfin, je peux entrer et allé m'asseoir à ma place, ce sera moins humiliant qu'être debout devant tous ces curieux. Mais Nadine et moi, on attend quelques secondes à l'écart pour entrée en dernier et éviter de me faire pogner les fesses dans la file. Mme Petitgrew et Laurie, elles en ont décidé autrement, moi qui espérais aller m'asseoir et qu'elle oublierait la partie punition pour le cours. Mais Laurie m'indique d'allé sur l'estrade avec Nadine. La punition pour vous deux commence. Laurie explique pourquoi on est vêtue de cette manière-là.

Pierrette

  La gêne me fige, j'hésite à monter sur l'estrade, Nadine aussi reste à côté de moi. Je reçois un autre série de claques sur les fesses. J'avance et en me cachant du mieux que je peux en n’ayant pas trop le choix si peu vêtu. Nadine s'est placé les mains sur ses fesses pour les protégées et avance elle aussi. Je monte avec Nadine sur l’estrade et on doit commencer toutes les deux à expliquer pourquoi nous sommes punies et notre système qu'on a utilisé pour tricher. Les explications finies, Laurie nous ordonne d'enlevé nos vêtements et de lui donner en nous menaçant de nous rougir les fesses devant nos camarades. j'ai choisi de lui donner ce qu'elle nous demande et j'enlève le peu de vêtement que j'avais et me ramasse toute nue devant tout le monde dans la salle. Nadine aussi se déshabille, Laurie ramasse les vêtements. Mme Petigrew nous a donné la permission d’aller à nos places, la chipie Laurie nous dit qu’elle revient nous chercher à la fin de la matinée et nous redonnera nos vêtements. Les cours se sont bien déroulé sauf pour la honte, l’humiliation, Mme Petigrew a fait exprès pour nous faire déplacer en avant sur l'estrade à quelques reprises pour nous humiliée au maximum et j'etais humilié d'être nue. Elle nous disait que cela fessait partie de notre punition d'être exposée devant tous les autres.

À la fin du dernier cours la chipie nous attend dans le couloir. Elle nous accompagne jusqu'à l’entrée de la café comme convenu, et on lui demande si on peut rester dans la salle et ne pas monter sur l’estrade. Mais sa collège Claude, elle nous indique le chemin tout au long du trajet dans la salle en passant au travers des tables ou beaucoup de gens ont déjà pris place. Je la suppliais, lui demandait d’aller dans son bureau pour nous punir, mais elle nous pousse vers les marches toutes les deux et nous forces à monter sur l’estrade. Rendus sur l’estrade, je regarde les gens qui circulent et s’installent pour manger, eux aussi, ils regardent tous, c'est gênant, humiliant de savoir qu’on est le sujet du jour.

Sur l’estrade, il y a une table libre, et c'est là qu'on se dirige. Claude nous dit de rejoindre Ginette à cette table et de s’asseoir avec elle. Nos cabarets suivront bientôt. Mais je lui dis que je ne suis pas capable de manger. La nervosité me coupe la faim. Claude me dit, tu ne manges pas, c'est bien, c'est ton choix, elle me ramasse par un bras et me place en plein centre de l’estrade à quelques centimètres du bord. Au même moment, trois autres étudiants arrivent sur l’estrade. Les trois s’installent pour manger et tan qu'à moi vu que j’ai choisi de ne pas manger, Claude me fait mettre en place exposer à tous les curieux face à la salle qui est presque pleine. Sans que je m’en rende compte, distraite par la nervosité d’être sur l'estrade devant autant de gens, elle se place derrière moi et tire sur mon short qui descend jusqu’à mes chevilles. La gêne et l’humiliation de me ramassée la chatte a l’air m'ont fait placer mes mains entre mes jambes. Claude me demande d’enlevé ma camisole moi-même ou je te la coupe et tu restes nue pour le reste de la journée.

      Tranquillement, je prends le bas de la camisole et la tire vers le haut. Je n'ai pas le choix. Je passe ma camisole pas dessus ma tête et lui donne. Encore une fois Claude m’oblige à enlever mes mains de sur mes parties intime pour que tout le monde m'admire. Comme elle s'amuse à me dire et me mettre les bras croisés dans mon dos et me conseille de ne plus bouger, la suite viendra bientôt, me dit-elle. Je suis nue devant une salle bondée de monde qui me fixe tous et donne des commentaires humiliants, les larmes coules sur mes joues et je me sens les jambes ramollir.

  Nadine finie de manger et Claude lui dit de ce levée, de d’enlever ses vêtements. J'entends dans la salle des commentaires du genre faite descendent les filles, nous, voire, c'est trop loin, amenez les dans les rangers. C’est extrêmement gênant d’être exposée nue devant tous et ces mâles qui ont tous l’air de vrai débile. Nadine maintenant nue, Claude que je surnomme la chipie, ramasse une palette de bois sur la table et amène Nadine avec moi au centre et lui dit de prendre la même position que moi. Claude explique ensuite à la salle les fautes qu’on a commises et que tout le monde savait et les conséquences de nos actes. Puis Claude nous regarde tous les deux en disant que les membres du comité dans un commun accord ont décidé de lui donner le choix pour la punition ce midi. Des vingt coups de martinet supposé qu’elle devait nous donner. Les membres du comité lui ont donné le choix de l'instrument pour nous punir, et le nombre de coups tout dépendants de l'instrument choisi. Claude a décidé de changer ça pour cinq coups de paddle, elle nous dit ça, vous diminue donc de quinze coups votre fessée. C’est une bonne nouvelle, mais vous ne trouvez sûrement pas que la douleur est moins intense avec cet instrument-là. C’est pire pour la douleur, mais la couleur sera encore plus visible et la douleur de vos fesses restera encore plus pour cette après-midi qu’avec le martinet. Mais sera moins dure un peu à recevoir puisque c’est beaucoup moins de coup.

  Claude

       Nadine, tu te retournes vers moi dos au monde dans la salle pour qu'il voie tes jolies fesses se faire rougir, toute la salle a hâte de voir vos jolies fesses, pas juste votre chatte et vos petits seins. Les mains revenues sur ses partis, elle me demande de ne pas se servir de cette palette de bois qu'elle appelle ainsi. Et elle restera debout sur l’estrade dans la position qu’elle veut, mais pas la fessée avec cette palette. Je vois le directeur ce levé et venir vers nous en ramassant deux chaises et les places une a côté de l’autre dossier vers la salle. Il s’adresse alors à Nadine et Pierrette pour leur dire d’arrêter de faire perdre le temps a tous et de venir poser les mains sur chacun des sièges fesses vers la salle sinon c’est dans la salle attachez à la nouvelle potence que vous finirez.

Les deux regardent l’installation au centre de la salle et les cordes avec les menottes pendantes au bout et prennent place assez vite en face de chacune des chaises. Les chaises en aillant le dossier haut. Nadine moins grande un peu que Pierrette, son ventre se trouve à être très bien appuyer sur le dossier de la chaise, assez pour qu’elle soit sur le but des pieds pour rejoindre le siège avec ses mains. Les deux en places, le directeur me demande de tenir très fermement les poignets de Nadine et M Lepetit lui ceux de Pierrette. Mesdemoiselles, ça suffit vote enfantillage, je suis tanné et c’est moi qui m’occupe de vos fesses et vous allez le regretter.
    En finissant sa phrase, il frappe avec force les fesses de Nadine, le coup a résonné à la grandeur de la salle, ensuite, ce sont les fesses de Pierrette, ainsi de suite sans qu’elles soient capables de bouger les mains en étant retenues fermement. Au dernier coup, je lâche ma prise et Nadine se frotte les fesses à deux mains en sautillant d’un pied à l’autre avec des larmes qui coulent sur ses joues. Pierrette, elle est pliée sur ses genoux se tenant les fesses et en pleure. Le directeur les prend par les bras, les replacent face à la salle en leur disant de mettre les mains croiser dans leur dos. Il me dit que je peux les punir encore si elle quitte leur position de ne pas me gêner pour utiliser la force et il repart s’occuper des trois autres qui doivent recevoir aussi une punition nue ce midi.
Nadine


Me voyant obliger de me tenir nue devant une salle quasi pleine, je ne voulais pas rester exposée à l’air et je me mis les mains sur mes parties intime pour protéger ma pudeur. Enfin ce qui en reste, mais la chipie apparue dans mon dos avec ce fameux paddle en main et me frappe les fesses de deux coups qui me fait remettre les mains sur mes fesses. Elle me dit que si je n’obéis pas, c'est en bas dans le milieu de la salle au travers des spectateurs que je recevrais la prochaine fessée. J’ai obéi sans trop hésiter, mais avec une grande honte, le repas étant à sa fin, les étudiants commencent à sortir. Et plusieurs font un détour pour passés sur le bord de l’estrade pour nous admirer de plus près en passant des commentaires très gênants. Le directeur nous permet de nous rhabillées et aller suivre le reste de nos cours. Dans le couloir bondé de monde. Les regards sont sur nous et nos camarades de classe nous posent des questions sur la douleur qu’on doit ressentir et donne des commentaires comme tu devrais continuer nue avec tes belles fesses colorées, ça nous existe. On a toute hâte à demain pour vous revoir un autre spectacle la fente a l’air et quelques déplacés qui s’amusent à nous taper les fesses en radotent qu’on adore ça la fessée, etc.… 

En rentrant dans la classe notre professeure nous demande de montés sur l’estrade au côté de son bureau et nous a demandé de montrer le résultat de notre fessée de ce midi. Alors ont ces retournées Pierrette et moi pour descendre notre short sous nos fesses à la satisfaction de notre professeure et des étudiants qui voulaient voire. À la fin de la journée nous sommes retournées voir Claude qui nous a donné la permission de retourner à notre appartement. Et demain nous dit elle revenez avec les mêmes vêtements, et ce soir de bien étudier pour nos contrôles de samedi et dimanche. Je dois donc ressortir dehors à moitié nue pour me rendre à mon appartement. La camisole que l'institut nous donne comme vêtements de puni est très grande et on a les seins a l'air. C'est très gênant aussitôt que l'on bouge un bras tout apparait. Et le short est très court, j'ai toujours l'impression d'avoir une partie des fesses a l'air.

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...