Employée de l’institut
humilié
et puni en public avec
ses deux complices 2
M Lepetit
À 7:00 du matin, j’arrive à mon bureau, je
m’installe, rouvre mes dossiers du jour et Laurie, une employée âgée de
23 ans et qui a environ un an de service en sécurité ici avec nous et
à qui j’ai demandé de venir nous aider, arrive frappe à ma porte. Elle
ne dit bonjour M Lepetit. Je lui dis bonjour Laurie comment ça va ce
matin ton mauvaise expérience d’hier ne t'a pas, empêchez de dormir
cette nuit j’espère. Elle me dit que non mais a encore un peu mal aux
fesses et pour le reste tout va bien. Elle est vêtue d’un beau petit
chemisier rose pâle semi-transparent et avec le décoté assez bien
prononcé. On s’aperçoit très bien qu’elle ne porte pas de soutien-gorge.
Et en plus, elle porte une jupe plissée rose pas mal courte, elle aussi
qui fait bien son âge. Je la complimente sur sa tenue vestimentaire et
commence à lui montrée les images des caméras de la soirée du vol. Je
lui explique ce qui arrivera avec Natacha et elle sera ici pour 7:30.
Pour les deux autres suspects c'est à 8h00 qu'on devrait les recevoir
quand les gardiens les intercepteront dans les couloirs.
Il est 7 h 30 et Natacha cogne et entre. Natacha nous salut. Je lui demande de ce, placez en face de mon bureau au côté de Laurie et commence à la questionnée. Natacha, tu dois avoir une bonne idée pour quoi tu es dans mon bureau ce matin ? et les actes qui te sont reprochée. D’avoir participé en aidant les voleurs a rentré et de débarré le local, c'est inadmissible. Tu seras très sévèrement puni et compte toit très chanceuse Natacha, de ne pas finir devant la cour. Pour protéger deux étudiants impliqués et on ne veut pas qu’ils soient accusés de vol, eux aussi, on ne portera pas plainte contre toit. Mais tu seras pour le reste de la semaine en punition avec eux. Pour commencer, tu enlèves tous tes vêtements et je dis tout même les bas. Natacha qui porte un jeans et un t-shirt commence à enlever ses baskets, déboutonne son jeans et en le descend à ses chevilles. En enlevant son jeans, Natacha me demande pardon, qu’elle regrette profondément les gestes qu’elle a commis, de lui pardonner et que la fessée d’hier la faite comprendre la gravité de ses actes.
Laurie lui dit ferme-là hier quand ils t’ont amené ici dans ce bureau, la seule chose que tu as essayé de faire c’était de protéger tes fesses en voulant me faire passer pour la coupable. j'ai été obligé de me déshabillée cul nu et humilier en recevant une fessée complètement gratuite devant des collègues de travail sans rien, méritez de cela. Arrête de parler et continue de te déshabillée, t-shirt et jeans enlevé, il lui reste que ses sous-vêtements. Regardez M. ce que porte Natacha ce matin, dit Laurie. Natacha porte un soutien-gorge, en continuant son commentaire, tu aurais dû faire comme hier et laissés tes petits seins a l’air pour le trouble que ça t’a donné de le mettre ce soutien pour quelque minute seulement. Si ça te gêne de l'enlever parce que tu vas passer la journée nue, moi, je vais te l’enlever, ça ne me gêne pas du tout de mettre une bitche comme toit à poil. Natacha fait signe à Laurie de pas la toucher, elle est assez vielle pour le faire elle-même. Natacha l'enlève avec son petit string. Natacha maintenant nue, Laurie s'amuse à tourner autour d’elle pour l'humilier, en lui demandant. Tes fesses te font-elles encore mal Natacha ? Il reste de belles marques d’hier sur ta peau planche. Et il me semble que tu as oublié quelque chose. Natacha ne répond pas à Laurie et regarde ses pieds. Natacha se penche pour enlever ses bas et les déposés avec le reste de ses vêtements.
le directeur-
Moi, je prends la parole pour que Laurie arrête de narguer Natacha. Natacha, tes vêtements ont les range dans un sac, tu n’es pas près des remette et prend la position de puni. Et lâche toit la vulve, tu es bien plus belle quand on te voie de la tête aux pieds que les bras tous croisés. Je lui explique sa journée qu’elle devra passer sans rentrée dans tous les détaille et on voie quelques larmes couler. Les deux autres arrivent en même temps accompagné des agents de sécurité, la fille.
Doris regarde Natacha qui est nue et lui dit pourquoi tu es nue dans ce bureau, ils n’ont pas le droit de te faire mettre nu, remet tes vêtements, sa presse. Doris essaie de prendre le jeans pour le donné à Natacha, mais Laurie l'arrête et lui conseille de ne pas toucher. Mêle toit de ce qui te regarde et écoute M Lepetit. il a des choses importantes à vous dire. Phillipe lui n’a rien entendu, il est trop concentré sur le corps de Natacha positionner en face d’elle. Il ne la lâche pas des yeux, Laurie lui claque le derrière de la tête et lui dit d’écouter M Lepetit, on n’est pas dans un cours d’anatomie ici. Je remercie Laurie et je les accueille. Bonjour à vous deux, je vois que vous avez remarqués la tenue de votre amie, mais je vous ai fait venir ici pour une raison bien simple, c'est pour le vol que vous avez commis dimanche soir avec son aide, c'est pour cela qu’elle est dans cette tenue humiliante
.
Laurie
M Lepetit dit. Vous deux, vous me suivez et toi Laurie, tu restes à surveiller Natacha, je vous rappelle dans quelques minutes et sois gentille avec. Rappelle-toi ce que l’on a discuté tous les deux un peu plus tôt. Seul avec Natacha, je m’appuie sur le bureau et je lui demande pourquoi Natacha, tu as pris un risque pareil ? de participer à un vol. Elle me répond que Doris lui avait offert de l’argent et au début, elle avait refusé. Mais en y repensant à sa proposition, elle a décidé d'accepter. Elle avait trop besoin de cet argent et que s’était vite fait . J'avais examiné les moyens de contourner les caméras avant de lui dire oui, me répond-elle. Elle rajoute qu'elle a contacté Doris quelque jour plus tard pour lui dire qu'elle acceptait. Elle avait pensé a toutes les possibilités pour entrée et prendre les objets sans faire de bris et que rien ne paraisse.
Je réplique en disant ma maudite, c'est pour ça que tu m’as fait traverser plusieurs fois dans ta section cette nuit-là, les caméras m'ont captée au lui de toi. Et s'il regardait les images, j'étais presque plus présente que toit sur les caméras. Je me souviens que tu m’avais demandé le trousseau de clef qui est toujours avec moi, car c’est moi qui en ai responsable.
Je lui dis les mains, tu les gardes sur la tête et je continue en
disant, mais hier quand le commerçant t'a reconnu. Pourquoi tu n’as pas
dit que s’était toit et que je n’avais rien à voir dans cette affaire-là
au lieu de me faire humilier et me faire claquer les fesses pour rien.
Elle me répond, je ne voulais pas être la seule à subir la punition
qu’elle redoutait recevoir. J’aurais aimé que tu sois seul à te faire
mettre nue et recevoir la punition, j'ai toujours été jalouse de toi,
rajoute-t-elle. Je me retiens la main pour ne pas lui rougir les fesses,
ça me démange, mais j’ai promis à M lepetit de me retenir Mlle laprise
viens nous cherchez et dis les filles dans l’autre salle, vous êtes
attendus.
Rendus dans l’autre salle, Doris et Philippe sont nus
et les coude appuyiez sur la table. M le directeur dit à Natacha, pend
place au côté de Doris dans la même position que les deux autres, toi
Laurie, tu t’occupes de qui dans les trois ? me demande M le directeur,
ma réponse a été claire et rapide. Natacha ce qui a fait rire M Lepetit M
le directeur dit alors moi, c'est Doris, je veux qu’elle me dise ou
sont les trois autres objets qu’elle a volés pendant que M Pogne fouille
son casier et Mlle Letarte il vous reste Philippe. M Lepetit prend la
parole, on commence tous ensemble à les punir et quand je jugerai que
cela seras suffisant, on arrête ensemble. On décolle les trois ensemble,
moi, je m’en donne à cœur joie en frappant d’une fesse à l’autre très
rapidement pour qu’elle en reçoive le plus possible et que ses fesses
prennent une belle couleur, M Lepetit nous arrête au bout d’un certain
temps et on regarde les postérieurs des trois punis et le résultat est
très satisfaisant pour l’instant d’après M Lepetit. Mais moi, j'aurais
continué à y rougir encore son beau petit cul. Mademoiselle Letarte moi,
je l’appelle mademoiselle parce que moi et elle n’avons qu’une année
de différence, elle 24 ans et moi 23 donc ça m’insulte de me faire dire
madame.
je dis à Claude, il est déjà 8 h 15. Il faut, allez nous installez
avant le début des cours. Natacha Philippe, vous sortez et prenez
l’escalier qui est en face, on descend au gym. Claude me donne des clefs
pour que je puise circuler ou les portes reste barrée. Nous poussons
dans le dos des deux punis pour descendre plus rapidement. Natacha me
demande si elle peut mettre ses chaussures et Philippe réplique le
plancher est froid dans le couloir ça marche mal. Claude répond que non
et de continuer à descendre le gym à un plancher de bois c’est moins
pire pour le froid. Rendu au gym, on rentre et c’est vide et on avance
vers le milieu. Je donne un coup de coude à Claude (mademoiselle
Letarte) et lui dit, regarde devant nous, il y a deux magnifiques paires
de fesses bien rouges. Tu ne trouves pas que c’est beau a, voire.
Claude rajoute c’es tu. tu commences à aimer ça pas mal trop de rougir
des fesses. Je lui réponds en souriant, mais par conte pas de me les
faire rougir. Je ne déteste pas ça du tout les rougir et les voir
rougies aussi. Claude rit et me dit, profite en au max d’aujourd’hui.
Demain, je pense que tu retournes sur ton poste. On arrive en positon,
en dessous des anneaux qui sont accrochés au plafond. On les fait
descendre à la hauteur que l’on désire. Claude rouvre un petit sac et me
donne des menottes et la clef. Elle ajuste ensuite les anneaux juste
au-dessus de la tête de Natacha et me demande de passé les menottes dans
l'une des anneaux. Laurie passe les aux poignets de Natacha de chaque
côté des anneaux, me demande-t-elle. Ainsi attachée main au-dessus de la
tête, tout son corps sera bien exposé aux jeunes étudiants quand ils
sortiront du vestiaire. Je fais ce qu’elle me dit et Natacha est
attachée par les poignets nue debout dans le milieu du gym. On entend
dans le vestiaire les étudiants jaser. On est du côté garçon et ils se
changent pour leurs cours. Claude rajoute quand le cours commence le
professeur M. Didier doit lui donner la fessée devant tous ses
étudiants.
Aussi à chaque début de ses deux autres cours de l’avant midi. C'est environs une trentaine de claque à chaque fois. N'oublie pas à 11 h 15 tu viens la décrochée pour la remontée dans la cafétéria du troisième cycle. On passera le repas ensemble avec les trois punis. Claude traverse avec Philippe dans l’autre parti côté fille du gymnase pour s’occuper de l'installer dans la même position que Natacha, mais côté filles pour sa punition. Je lui dis, on se revoit plus tard et le professeur sort de son bureau et vient me voire. Un très beau garçon, beau corps, belles fesses aussi. Il me demande. C'est toi Laurie. Oui, lui, je lui réponds. Il m'informe qu’il est au courant de mon histoire et regrette que j'ai été puni injustement. Je ne m'y attendais pas, mais il me demande si ça me fait plaisir de punir moi-même Natacha. Il va me laisser lui donner la punition à sa place. Je n'hésite pas une seconde et réponds que c’est avec plaisir que j’accepte. J’ai encore des choses à lui faire payer. Il me répond qu’il s’en doutait, je reviens, me dit-il, et il va cherchez les étudiants qui sortent du vestiaire pour leur cours. Natacha me supplie de la détacher et que l’on sorte d’ici. C'est trop chien de me faire subir une t’elle humiliation. Je lui dis de se la fermée. Si je te détache et te fait sortir, c’est moi qui serai à ta place ou au côté de toi, et dans la même tenue que toi demain. Ça ne m’intéresse pas de me montrer en spectacle comme toi.
C'est des jeunes du premier cycle et deuxième que je voie venir autour de nous entre quatorze ans et demi et dix-sept ans max. Ils aperçoivent Natacha attachée nue, les coude à la hauteur des yeux, mains juste au-dessus de la tête, elle n'y peut rien pour essayer de se cacher, la seule chose qu’elle fait, c'est de se croisées les jambes pour cache partiellement sa fente qui est bien rasée. Les garçons sont très excités de la manière que je voie et qu’ils agissent. Ils n’ont pas souvent vu une fille nue devant eux. M. Didier, leur professeur, explique en détaille pourquoi elle est dans cette position si humiliante et que cette année les règlement sont changées. Après environs cinq bonnes minutes d’explication, il me dit quand tu es prête, tu commences, les gars eux commencent à me poser des questions. Je les arrête, une chose à la fois, leur dis-je. On commence par la fessée et ensuite, ce sont les questions. pour les tenir occupés, je leur demande de compter les coups que je vais appliquez sur ses fesses. Après, nous discuterons tous ensemble. S’ils y en a qui ont des questions, j'y redonderai avec plaisir. Je commence par la fesse droite avec force pour que ça rougisse vite et que ça reste bien rouge tout le cours jusqu’au cinquième. Le sixième est sur la fesse gauche pour les cinq suivants. Au onzième, je retourne sur la fesse droite, ainsi de suite à vingt les fesses de Natacha sont devenues d’un beau rouge. Avec la fessée de ce matin, ça n'a pas été long pour que ses fesses redeviennent bien colorées.
J'arrête comme convenu à vingt. Moi aussi ma main commençait à être rouge. Un gars me demande pourquoi, avant que tu commences, les fesses de cette fille-là étaient déjà rouge. Je lui explique le pourquoi. Un autre, me dit ma sœur, a une vulve plus grosse, plus bombée et il y a de la peau qui pend. Est-ce normal ou non ?
Elle c'est très bien fermé toute lisse. Vous les filles, vous n’êtes pas toutes pareilles entre les jambes ? Je ne m'attendais pas à une question aussi directe et intime de la part d'un gars aussi jeunes. Cette drôle de question me fige un peu. Mais je prends le temps d'y réfléchir un peu. Je décide à lui répond à peu près comme ça. En me plaçant la main sur la vulve de Natacha et la caressant doucement. À ton âge mon garçon, tu n'as aucune expérience avec les filles, mis à part ta sœur, je suis sûr que tu n'en as pas probablement pas vu d'autre nue. Cela se voit et c'est très normal pour ton âge, et tu le découvriras en vieillissant.
Le sexe ou la vulve des filles est un peu comme votre pénis les gras. Il y a une normalité, mais la taille peu changée et à l'occasion la longueur aussi peu changée d'une fille à l'autre. Un peu moins de différence peut-être que votre pénis les gars, mais d'une fille a l'autre la grosseur du sexe peu différencier. Il me dit alors la tienne est-elle plus grosse que celle-là, montre-nous ta vulve pour comparer. Non, lui répondis-je, c’est un peu trop intime, et devant des mineurs en plus. j’aime mieux changer de sujet. Je tourne la discutions d'un autre côté. Je lui demande pourquoi il sait cela que sa sœur à sexe avec les lèvres qui pende comme il nous a dit. Ma sœur est souvent punie devant moi par mon père. Et souvent à poil ou fesses à l'air. Moi, j'en profite pour la regarder, mon père ne me l'interdis pas, il l'envoie ou coin après sa punition nue. Toi aussi, je présume, ton père doit te punir, fesse à l'air devant ta sœur. Il hésite en regardant ses amis autour de lui, et répond. Oui Madame, cela arrive à l'occasion. Durant tout ce temps à répondre, je n'avais jamais arrêté de caresser la chatte de Natacha. Je sens que Natacha commencer à excité et ça commence à être humide dans sa région-là. Un autre me demande d’après ce qu’on entend s’est tu vrais que si on vous frotte les tétons les bouts deviennes bien pointer une autre question qui me fait hésiter une fois de plus. Je vois que le professeur a l’air à vouloir savoir comment je vais m’en tirée cette fois-ci.
En réfléchissant à ce que je vais dire aux jeunes pour ne pas trop
tomber dans la porno ou être trop vulgaire. Je commence ma réponse en
lui disant chez une fille, il y a deux places très sensibles pour
l’exister. Rapidement, la première, c'est la caresse de ses seins. Et la
majorité d'entre nous, on adore cela, se faire caresser tendrement les
seins. Et la deuxième est les caresses sur le sexe, la pénétration, et
les fesses, c'est aussi excitant, mais moins que les deux premières.
Mais la poitrine, c'est très gagnant pour l'excitation. Je prends le
sein droit de Natacha en le tâtant, le pincent gentiment. Je change
ensuite pour le gauche, joue avec ses deux mamelons. Je m'amuse à
tourner ses petits bouts entre mes doigts et Natacha aime cela, ses
petits bouts durcissent. Je ne pensais jamais que Natacha pourrait
devenir excitée en public malgré la gêne et l'humiliation, elle réussit a
mouillé et ses seins pointent très dur vers les jeunes devant elle.
Je montre le résultat aux gars. Vous voyez, c'est ça une fille qui
commence à être excité et vouloir jouir. J'entre deux doigts dans sa
fente' je monte et descend dans sa fente et les ressorts. Regardez mes
doigts, ils sont tous mouillés. Ce liquide-là qui sort du vagin d'une
fille et que j'ai sur mes doigts, ont appel cela la cyprine. Un des gars
dit ça veut dire que sa vulve devient trempé si le bout de ses seins
sont pointé. C'est un peu plus compliqué à expliquer, mais plus ou moins
vrai, cela dépend du contexte, lui répondais-je. Mais avec mes caresses
que je viens de lui faire, elle a commencé à avoir des réactions, c'est
pour ça que son sexe est trempé commença. J'entre encore une fois mes
doigts dans sa fente, entre sur le bord de son vagin et les remontent
jusqu’à son clito, je les expose encore une fois aux gars. Ils
constatent que mes doigts sont encore bien trempé. Natacha, elle, est
morte de honte et est impuissante, elle est obligée de me laisser faire
et endurée. Attachée nue au milieu
d’une gagne de gars qui la regardent sans arrêt.
Le premier gars qui m’avait posé une question me dit
ma sœur a de plus grosse boule qu’elle. Et toit, je lui demande, ta
sœur la voies-tu souvent nue, tu as l'air de la connaître par-cœur de
la tête au pied pour la décrire comme ça. Il répond à part mon père dans
la journée d'hier, ma mère hier soir encore après le repas, elle là
obliger à se dévêtir devant ma cousine et ma tante. Et elle lui a
redonné une autre solide fessée dans le salon, entièrement nue. Je ne
voulais pas rater cela. J’ai assisté à sa punition avec ma cousine et ma
tante.
Ma mère était en furie contre elle et c’est ma mère qui nous a
reconduit ici ce matin. Elle voulait être sûre qu'on s'occupe de punir
encore ma sœur pour ses agissements. Elle doit être en punition
présentement, elle aussi, je crois que c’est à la cafétéria qu'elle
recevra sa punition ce midi. Mais aussi à l’occasion quand elle sort de
la douche, elle traverse le couloir pour aller dans sa chambre. Elle est
souvent nue. Je lui demande quel âge a ta sœur ? il dit presque
dix-neuf ans. Elle commence son troisième cycle et moi quatorze ans et
huit mois. Moi, j'avais un frère aussi jeune que toi Jamais je ne me
promènerais nue devant lui. d,après ce que tu nous raconte ici des
fessées toi et ta sœur, vous en recevez fréquemment.
Le jeune devient la
face aussi rouge que les fesses de Natacha gêné que tous ses amis s,apperçoivent qu'il reçois le fessée chez lui a son âge. il me répond, moi ça fait
longtemps quelques jours même quelques semaine que je n'en ai pas reçu. Mais ma sœur elle
assez souvent, surtout depuis une semaine. Le professeur me dit que l’an
dernier ici a l’institut a la salle de retenu sa soeur au jeune a reçu
environs quatre et peut-être cinq punitions. Un autre gars me dit toi,
tu n’as pas de soutien-gorge et ça se voie dans ton chemisier. et
rajoute sous ta jupe aussi, tu ne dois pas avoir de culotte montre nous
penche toi. Je lui demande comment il peut dire ça mon chemisier et si
transparent que cela. Ce n'est pas rien que la transparence qui me fait
dire cela. Mais quand tu frappais ses fesses, tu te penchais asser pour
que l'on voie tes seins. aussi juste à la manière qu’ils branlaient dans
ton chemisier, on voyait qu’ils étaient à l’aire. La gêne me gagne et
le professeur pour changer la conversation nous dit. Je vous remercie
mademoiselle pour votre cours d’anatomie, mais nous les gars, on
commence notre cours. Je m’assois sur un banc qui est à côté des
vestiaires et face à Natacha. Même si je lui en veux beaucoup, je la
trouve très belle, entièrement nue, debout devant moi, exposée et
impuissante à se cacher. Natacha, c'est retourné face au mur et moi pour
essayer d'être moins exposée, aux jeunes qui jouent dans la salle. Les
gars la voient que de dos. Moi, être dans sa tenue et attachée à sa
place, j'en ferais autant, c'est la seule manière d'en caché le plus.
Je m’aperçois que plusieurs gars ne suive pas le cours. Il cherche à
aller voir Natacha se rapprocher d'elle. Surtout la regarder de face. Ce
n'est pas juste que ses fesses qu'ils veulent contempler, mais le reste
aussi. Le professeur les rappelle à l’ordre et vient en ma direction.
je le trouve très beau, je ne sais plus où regarder, un peu gêner qu'il
s'intéresse a moi. Il me demande si je peux sortir Natacha de la salle
et la ramener avant le début de l’autre cour a la même place. D'accord
M. je détache le poignet droit de Natacha et traverse la menotte de
l'anneau. je referme ensuite la menotte sur son poignet. Suis moi
Natacha on traverse toutes les deux de l’autre côté du mur qui sépare la
grande salle en deux. De l'autre côté je voie que Claude avait déjà
détaché Philippe de son anneau. Claude suggère d'aller passer la période
dans un lieu secret pas loin d'ici avec nos deux punis. Pas grand monde
le connaît encore cette place dans le sous-sol de l’institut. Mais
probablement va servir souvent cette année. Je lui dis que ça
m’intéresse et je la suis avec Natacha. Tous sortis du gymnase, on
aperçoit au bout du couloir qu'il y a une porte en bois fermée. Claude a
la clef et la débarre, nous rentrons tous. C'est un bureau, Natacha et
Philippe nous disent que c'est froid, marché pied nu sur le ciment n'est
pas du tout confortable. Claude commence à m’explique l’histoire de ce
lieu. Il y a une porte qui est ouverte au fond du petit bureau, on y
aperçoit plusieurs portes de chaque côté d'un étroit couloir. Claude
nous fait traverser toutes les quatre. On se dirige au bout de ce
couloir qui débouche sur une grande salle avec peu d'éclairage, c'est un
peut sombre. c,est plein d'objets étranges accrochés au mur, des
fouets, des photos et autre. Il y a aussi dans un coin des meubles qui
ressemble étrangement à des choses de torture. Claude fait installer
Natacha et Philippe sur un long banc de bois, les pieds montés sur ce
banc pour réchauffer leurs pieds. Elle me fait visiter les cellules qui
sont de chaque côté du couloir qu'on vient tout juste de traverser.
C'est ici que toi Natacha et Philippe passerez les trois prochaines
nuit, voici vos lits. Ils sont tous neuf, ces matelats-là. M. Pogne
vient de les installer hier. On continue la visite. Il y a les douches
et au bout de ce couloir que je n'avais pas vu encore dans l'obscurité.
En allument les lumières, on les aperçoit ces douches. On distingue
très bien aussi les instruments de torture au mur et dans le fond de la
pièce. elle me raconte vite l'histoire de ce lieu. Que c'était autrefois
un couvent, le deux punis eux se sont toujours assis sur un banc en
face des douches et nous regarde et les murs. L’inventaire est
impressionnant. Des fouets, il y en a de plusieurs longueurs, on a le
choix. De très court à plus long, il y en a plusieurs. Des paddles
aussi, il y en a de plusieurs largeur et épaisseur, des cannes et on
trouve deux raquettes style tennis sur table très poussiéreuses elles
aussi. Claude me regarde étrangement. Elle me dit à l’époque tous ces
instruments devait servir ici dans cette salle, regarde les photos
accrochées aux murs. Moi, je lui dis Claude, ça doit faire très mal,
recevoir des coups de ces palette-là sur les fesses. Le seul moyen de le
savoir c'est d'en faire l'essai. Claude en prend une et me demande de
me retournée. tu pourras me le dire c'est toi va en faire l'essaie. je
t’en donne quatre ou cinq pour essayer. Je me retourne et me penche.
Claude essaie d'enlevé le maximum de poussière de la palette, mais il en
reste. Elle me donne quatre coups sur la jupe assez fort. Ca m’a fait
mal liu dis-je. c’est terrible, une fille qui en reçois une vingtaine et
plus cul nu ça doit être horrible. Claude me donne la palette, c,est à
mon tour maintenant, venge toi claque moi les fesses. Je veux essayer
pour voire elle se revire et se penche. Claude tu portes une robe trés
pâle. il va rester des marques sur ta robe. Elle n’est pas trop propre
cette palette. Claude relève sa robe. Frappe-moi sur mon slip personne
verra si sa marque et elle se repenche. Je lui en donne quatre sur le
slip. Elle se frotte les fesses en disant la même chose elle aussi, que
cul nu ça doit faire un mal atroce. Claude me demande, tu as vu la
chambre dans le bureau. Je dis, plus ou mois, on est passés vite dans ce
bureau. Elle me demande à nouveau. Il y a deux lits, un par-dessus
l’autre superposé si tu aimes mieux dans cette chambre. Ce soir je
couche ici pour surveiller. Il va avoir cinq étudiants qui vont couchez
ici dans les petites chambres. Demain matin, deux d'entre eux doivent
être en haut pour 8 h 00 et les trois autres pour 7 h 30. Donc
j’aimerais que tu restes avec moi pour la nuit et pour les trois
prochaines nuits avec moi, s'il te plaît. cela m'aiderait beaucoup pour
les surveiller et ça sera beaucoup moin ennuyant pour moi que d'être
seul toute la soirée. Demain matin tu te chargeras des trois pour 7h30
si tu veux. C'est bien et j'accepte de rester avec mais vendredi soir je
ne peux pas j’ais quelque chose. Elle me dit que ça va et ne
t'inquiette surtout pas pour les vêtements de vêtements elle a une
valise pleine de robe et de jupe. j'en ai amané pour presque un mois. on
est presque de la même taille en plus me dit Claude. mes vêtements
devrait te faire. Même les sous vêtement. En poitrine s’est presque
identique. Pour la douche j'ai pensé d'allé au vestiaire des filles au
gym a l’heure qu’on se lèvera c’est désert. Il est l'heure, on doit
retournez ou gym mais avant de repartir Claude vas donner des sandales
de plage à nos punis pieds nus. C’est pas drôle ils vont avoir le
dessous des pieds noir. Dans le couloir Claude me dit c’est tu que plus
je regarde les deux en avant et plus je repense à ce que tu m’a dit un
peu plus tôt sur les postérieurs qu’on a devant nous et moi aussi je
commence a adorer ça en voir nu. je commence a y prendre goût d’admirez
des belle fesses colorées.
Rentrée dans le gym, Claude se dirige vers les anneaux pour installer
Philippe à nouveau et Natacha et moi, on traverse dans l’autre parti
côté garçons du gym. J’attache Natacha après le même anneau. Mais la
différence cette fois-ci c’est que je l’ai fait enlever ses sandales que
Claude lui avait données et monter sur une chaise de bois qui était
dans le bureau du Prof. Natacha étant plus haute, ses fesses sont juste à
une bonne hauteur pour que je ne me penche pas. Mon chemisier n'ouvrera
pas cette fois-ci pour laisser ma poitrine apparaitre aux jeunes gars.
Le groupe rentre et comme les autres d’avant mais eux, ils sont un peu
plus vieux, ils regardent dans notre direction. Sans surprise et comme
une gagne de loup en rut, ils voient tous Natacha nue et s’attroupe tout
autour de Natacha en la regardent de la tête aux pieds. Natacha étant
plus haute, tout le monde peut l'admirée sans avoir la vue obstruée. Les
gars me demandent ce que cette belle créature fait ici, mais le prof
recommence son explication sur les faits et la cause de sa punition.
Enfin, j'entends Laurie, quand tu es prête, tu commences. Je fais comme
dans l’autre cours et demande aux gars de compter les coups pour les
tenir tranquilles. Je commence la fessée en alternant d’une fesse à
l’autre, aux vingtièmes, j'arrête et regarde le résultat et repose aussi
ma main qui est aussi rouge que ses fesses. Un gars me demande,
j'adorerai cela, moi aussi lui claquez les fesses, ça doit être le
plaisant de rougir des belles fesses comme ça.
Je lui réponds
que ce n'est pas un jeu. C'est que Natacha est en punition et c’est moi
qui suis mandaté pour ça. On entend mademoiselle, c'est un étudiant qui
me demande pourquoi on entend des commentaires par des gars plus vieux
qui voie passer une fille sur la rue ou ailleurs et dise, elle, elle
doit avoir le clito sensible. Existe-t-il une différence entre vous les
filles sur la sensibilité de vos clitos. Je lui dis, ta question
m’embête beaucoup. Je n’ose pas et ne sais pas trop quoi réponde et le
prof me remet à l'ordre. Il me rappelle que c’est moi qui ai commencé ce
petit jeu de question alors c'est à moi de me sortir seul de ce
merdier, il me demande de lui répond. Je dis ok et commence en lui
parlant que chez les filles le clitoris est une des parties la plus
sensible de notre corps pour en arriver à la jouissance, comme pour vous
les gars votre pénis et vos testicules. Je leur demande, savez-vous
exactement qu'est-ce qu'un clitoris, et surtout où il se situe dans le
sexe d'une fille. Plusieurs d’entre eux me disent qu’ils ont une petite
idée mais ils ont l’air a ne pas trop le savoir. Bon commençons par le
début. Je viens pour mettre ma main sur la vulve de Natacha, mais elle
se croise, les jambes très serrées. Je demande alors aux deux gars qui
sont de chaque côté de Natacha de lui prendre chacune une jambe et de
lui distancées un peut les jambes. Mais vos mains pas plus haut que les
genoux c'est un ordre,et sans que ses pieds débarque de la chaise et
maintenez-les fermement. Les gars tout content de se rapprocher et
touchée Natacha prennent chacun une jambe. Sans trop monter haut sur
ses cuisses ils écartent ses jambes et on peu manitenant voire son sexe
qu'elle tient bien rasé. Placé juste à la bonne hauteur tout le monde à
l'alentour peuvent distinguer les moindres détails du spectacle
qu'offre Natacha. Moi je rentre un doigt de chaque côté de sa fente et
écarte ses lèvres pour que l'on voi l'intérieur de son sexe. Je dit aux
gars ce que j’écarte présentement se nomme les petites lèvres. Je leur
montre ça ressemble à quoi un clitoris pour ceux qui ne le savait pas.
je leur explique en mes mots non scientifiques que c'est un genre de
minipénis et extrêmement sensible au moindre touché pour une bonne
majorité de fille mais pas tous et il se situe au haut de la vulve
juste ici. Je leur montre le petit clito à Natacha, les gars veulent
tous le voir et à tour de rôle il examine la vulve de Natacha. Je
rajoute les gars ne lâchez pas ses jambes je n’ai pas fini de ma
réponse. Je vais vous faire une petite démonstration que vous adorerez.
Je me mouille un doigt et je commence doucement a lui caressé le
clitoris en faisant des petites rotations sur son clito. La réaction de
Natacha fut presque instantanée. Le visage lui a changé et les gars ont
eu du mal à lui retenir les jambes écartées. Je dis aux spectateurs
autour, vous venez de constater que Natacha a un clito sensible, elle
aussi, et comme beaucoup d’autres filles. Mais le gars qui a questionner
sur le clito en rajoute. Toit ton clito es-tu aussi sensible que
celui-là. Le prof me regarde et rie de moi et de ma mauvaise posture. je
n’ose pas parler, gêner de me faire demander une chose aussi gênante.
Mais à mon tour je réplique et lui demande ton pénis présentement
est-il au repos où tu es très sensible toit aussi et bandé. À regarder
le sexe d’une fille de si près et en détaille, tu dois sûrement être
bandé bien dur. Ses camarades se sont tous mis à rire. Il y en a même un
qui lui a dit, je suis sûr que même bander ça reste tout petit son zizi
et pas beaucoup plus gros que le clito à Natacha. Le prof rajoute bon
assez pour le petit cours, on commence nos réchauffements. Il les fait
bouger pour commencer son cours. Moi, je détache Natacha et traverse
dans l’autre partie pour rejoindre Claude et Philippe qui nous attendent
dans la porte de sortie. On retourne dans le bureau de gardiennage et
nos deux punis ont été s’assoir du côté des cellules, moi, je compte à
Claude ce que j’ai fait pour la punition de Natacha.
Claude
Je n’en reviens pas de ce que tu lui as fait subir, c’est
incroyable. Fait attention aux gestes que tu poses rendu à fouiller dans
le sexe et montrer le clitoris à des mineurs. La fessée nue, c'est ce
que la direction a établi comme règlement ici et accepté par les
parents. Mais d'autre geste comme tu as fait, c'est peut-être à la
limite de l'acceptable. Je ne suis pas sûr que la direction va être en
accord avec cela. Si tu avais eu Philippe entre les mains à la place de
Natacha, aurais-tu été jusqu’à le faire bander et de le masturber
devant les jeunes filles. Oui, me répond-elle, c'est probablement cela
que j'aurais fait si les étudiantes autour me l'aurait demandés. Je lui
dis alors pour le dernier cours, on s’échange les punis.
J’ai hâte de
savoir si tu es assez folle pour te rendre jusqu’au point de le
masturber. Elle me dit oui et qu'elle est prête. Même si les étudiantes
sont curieuses et me parlent d'éjaculation, peut-être irai-je
jusque-là, le faire éjaculer. Elles ont droit, elles aussi, de découvrir
à leur âge. C'est quoi-ça un organe masculin et ça fait quoi. C’est
peut-être la première fois de leur existence, pour la plus par d’entre
elles, qu’elles vont voir le sexe d’un gars en action. La majorité
d'entre elles ont dû, voire ça pendant entre les jambes des gars,
maintenant, elles découvriront à quoi cela peu servir. Je lui dis que
c’est la professeure Mme Beauchamp qui s’occupe de lui donner la
punition, toi, tu ne fais que lui amenez Philippe.
Laurie
Je me dirige vers le bureau de Mme Beauchamp après avoir installé
Philippe dans la salle. Je frappe à la porte du bureau et rentre . Elle
me demande. Claude est occupé, ce n’est pas n'est plus elle qui
accompagne Philippe. Elle regarde par sa fenêtre et voie Claude qui
traverse avec une fille de l’autre côté. Oui Claude et moi on c'est
échangé les punis. Mme Beauchamp est une superbe fille. Elle possède un
body d’athlète, une poitrine imposante qui ressort de sa camisole sport
très moulante, que bien des gars doivent fantasmer à la voir. Je finis
par lui parlée au lieu de l'admirée, et lui propose un ajout sur la
punition de Philippe. Elle me répond qui ce n’est pas si bête. Cela peut
devenir intéressant pour les jeunes étudiantes, et peut-être les faire
réfléchir avant de faire des bêtises sans se protéger. Fait comme tu le
veux, me répond-elle. Mais elle ne veut pas s'en mêlé, et elle ne touche
à aucune partie de son corps. Elle me propose la chaise de bois
derrière elle si je le veux. J'amène la chaise avec moi, Mme Beauchamp
me suis. Rendu en dessous des anneaux, Mme Beauchamp redescend les
anneaux pour donnée du mou aux bras de Philippe. J'aide Philippe à
monter sur la chaise, il n'est pas trop d'accord, mais il n'a pas le
choix, il prend place sur cette chaise, et Mme Beauchamp ajuste la
hauteur des anneaux. Je dis à Mme Beauchamp, on est prêt, elle se dirige
vers le vestiaire et fait entre les étudiantes, qui sans surprise se
dirigent tous vers nous pour voire. Le gars nu qui est attaché debout
sur une chaise les intéresse tous.
Mme Beauchamp commence à expliquer comme a chaque début de cours les
pourquoi de cette punition et quand elle finit. Je demande aux filles de
compter les coups comme j’avais fait dans les cours précédents pour les
tenir occupées. Je commence à lui claquer les fesses avec une bonne
vitesse et avec une bonne force. Pas jus à Philippe que ça chauffe à moi
aussi les mains me chauffent et rougissent. Ses petites fesses sont
plus fermes, et beaucoup plus dur que celles de Natacha. À la dernière
calque, j'arrête en lui flattant les fesses. J’ai la main presque aussi
rouge que son derrière. Les filles regardent les fesses de Philippe et
quelque unes disent qu’il doit avoir mal aux fesses à la couleur
qu’elles sont rendues même qu’il y en a une qui demande à Philippe si ça
lui fait mal. Moi, je demande à cette fille, si tu me poses cette
question-là sur sa douleur aux fesses, c’est que tu ne dois jamais
recevoir de fessée. Elle me répond très rarement et la dernière, elle
remonte à très loin, ce n’était pas cul nu. une qui est plus de biais
avec Philippe me fait une remarque . Regarde son pénis il a grossi. Moi
aussi cela me surprend que Philippe ai une réaction devant toutes ces
jeunes filles, il doit sûrement être gêné d'être nu devant elles. Mais
la fessée que je viens de lui donné l'a certainement excité. Je retourne
Philippe face à ces jeunes filles pour l'exposé de face, et tout
ramolli. Je questionne la jeune fille et les autres, savez-vous comment
on peut faire facilement avoir une érection un gars sans trop d’effort
et très rapidement, mais pas juste en lui claquant les fesses comme il
avait réagi. Philippe aime ça, recevoir la fessée, ça le fait bander,
même devant des filles. Il y en a une qui me répond oui, on lui taponne
le pénis et ça fonctionne sans trop d’effort. D'autre répondent, on lui
caresse les fesses comme tu viens tous justes de lui faire. Je leur
réponds, c'est une réponse pas si pire, mais un gars a moins de partie
sensible que nous les filles, la poitrine a beaucoup moins de
sensibilité que la nôtre.
Là, je voie Mme Beauchamp les bars croisés qui se demandent jusqu'où je
vais me rendre dans mon petit cours pour humilier Philippe. Je continue
en prenant les testicules de Philippe en disant les filles, la partie
la plus sensible d'un gars est ici. Pas juste pour les coups quand vous
voulez vous séparez de lui quand il est trop achalant ou entreprenant.
Mais aussi pour lui faire avoir une érection très rapide, vous n'avez
rien qu’à vous amuser avec les petites boules ici ou ses testicules que
ça s'appelle dans votre main sans trop les serrer pour ne pas lui faire
mal. Regardez, le résultat est presque instantané, ça lève comme
présentement. Même il Philippe est très gêné de se retrouver nu devant
de si jolies filles et que la gêne devrait lui tenir le pénis moue et
sans vie, regardez le résultat. Son pénis est devenu extrêmement raide
et a allongé aussi, prêt à éjaculer. Une étudiante me pose la question
que j’attendais. Elle me demande le liquide appelé sperme qui sort de
son machin est-il toujours dangereux pour nous mettre enceinte où il y a
des périodes. Je lui dis que oui, qu’il est toujours actif et que a
n’importe quelle éjaculation le sperme est faite pour féconder l’œuf.
C'est pour ça qu’on n’arrête pas de répéter de vous protéger et d’exiger
qu'il mette le condom pour éviter les grossesses non, désirez et les
risque de maladies sexuelle .
Je continue à lui caresses les testicules en leur parlant pour garder son érection. Maintenant les filles je vais vous montrez comment on fait éjaculer rapidement un gars. Je prends son pénis dans ma main en lui descendant la peau. Je monte aux filles ce que je suis en train de faire a son pénis. Je dit aux étudiantes la peau que je baisse présentement, c'est la peau qui recouvre son pénis, mais ça s’appelle aussi le prépuce.
Et le pénis se dit aussi la verge, en baissant la peau, on découvre sur le bout le gland qui lui est la partie la plus sensible de son engin. Si on se met à caresser seulement son gland comme je le fais présentement au lieu de saisir le pénis à pleine main et de le masturber d'un bout à l'autre, ça devient très rapide pour la plus par des garçons. Vous le voyez, Philippe commence à se tortiller sur sa chaise, mais ici il ne peut pas essayer de m'empêcher de le faire éjaculer devant vous tous. Il est attache et limité à la largeur de la chaise. Je m'aperçois qu’il se retient pour ne pas éjaculer devant les filles, mais c’est une question de seconde. Je continue de lui caressé le gland et il n'en peut plus, il éjacule devant les étudiantes. Elles sont toutes surprises de voir que je me suis rendue si loin et trouve ça déglace le liquide qui est sorti. J’en ai sur la main et sur le plancher aussi. Je rajoute, les gars sont toujours en train de penser au sexe. Ils voient, passez, une fille sur le trottoir, la jupe un peu courte et dans leur pensée, il se l'imagine nue et en train de la caresser. Juste a pensé de la voire nue, le zizi leur grossi instantanément dans le pantalon. Je termine en leur montrant que quand le plaisir est terminé, vous voyez ça, le zizi retombe aussitôt, mais une étudiante me demande si tu le caresses à nouveau, il bande aussitôt. Non pas instantanément, lui répondais-je,, la grosse majorité des gars ont besoin de plusieurs minutes en repos et ç'a des chances de relevé ensuite. Mais là, l’étudiante curieuse me demande de recommencer, on va voir s'il est prêt à nouveau, dit-elle. Je lui réponds à cette petite curieuse. Déjà à l’avoir fait bander et éjaculé devant vous, c'est un spécial qui ne se refera peut-être jamais, et pour ce matin, c'est assez. Votre professeure a hâte de commencer son cours. J'ai déjà pris beaucoup trop de son temps. Je dois décrocher Philippe pour le monter à la direction, M Lepetit l’attend. Une autre me demande pourquoi hier lundi, il y a eu trois étudiants mis nus devant nous et punis dans notre classe, donc un gars, Ludovic. Lui aussi, à chaque claque qu’il recevait sur les fesses, le zizi lui redisait. Je me suis mise à rire et M Beauchamp aussi se retenait pour ne pas que ses étudiantes la voie rire en entendant ça question. J'essaie d'être brève. Ton camarade Ludovic la prochaine fois que tu lui parleras. Demande-lui s’il adore recevoir la fessée même en public. Il y a des gars comme Philippe ici ou Ludovic, ou même de filles qui réagissent à se faire claquer les fesses. Ils aime ça, c'est un fantasme pour plusieurs de s’imaginer être fesses à l'air ou entièrement nu devant d'autre et de recevoir la fessée. Ils ne peuvent pas se retenir. Ça les fait jouir de pensé être nu exposé devant plusieurs personnes qui les regardent. Mme Beauchamp rappelle les étudiantes dans le centre de la salle. moi, je sors du gymnase avec Philippe.
Je
remonte au premier face au bureau de M Lepetit et attends Claude qui
est avec Natacha. Elles arrivent quelques secondes plus tard. On prend
tous la direction de la cafétéria ou M lepetit nous a donnés rendez-vous
pour le déjeuner ce midi.