lundi 18 octobre 2021

Être impolie coute chère Les fesses de Maryse s'en ressentent



 

Lucia est une des assistantes de Julio le chef du vignoble du Domaine richard

Mais depuis une semaine, Lucia a l’aide de Maude et Maryse, deux des filles des propriétaires qui sont en congé scolaire. Le surplus d’ouvrage qu’occasionnent les vendanges et notre manque de personnel ne nous donne pas le choix, tout l’aide disponible, on l’utilise. Avec Maude tout va bien, elle fait tout ce qu’on lui demande, elle doit encore avoir en tête la punition qu’elle a subie ici, il y a un quelques mois devant les employés.

Mais pour Maryse, c'est tout autre chose, elle n’écoute pas du tout les consigne de Lucia qui l’envoie travailler dans les entrepôts avec d’autres employés pour apprendre comment se passe le temps des vendanges. Mais elle revient toujours au magasin qu’on a pour la vente des produits du vignoble et/ou les gens se présente pour les visites guidées qui sont disponibles. Moi, Julio, le grand patron de ce vignoble, je n’ai pas le temps de gérer tous ces employés-là. À cette époque de l’année je suis occupé a la récolte du raisin et de tout le déroulement qui entoure cela. Dès le lever du soleil jusqu’au coucher et même plus tard parfois. Ce matin, je reçois un appel de Claude, ma nièce qui est la propriétaire de ce vignoble et la mère adoptive des deux filles Maryse et Maude.
Bonjour Claude, qu’est qui vaut ton appelle, as-tu un problème. C'est très rare qu’on se parle en pleine semaine et surtout toi qui m'appelle occuper comme tu es ça doit être très sérieux. 

Oui, me dit-elle, c’est ta nièce Lucia, elle vient tout juste de me parler. Et selon elle Maryse lui occasionne des problèmes. Paraîtrait que Maryse est arrogante avec elle et le personnel et en fait qu’à sa tête, est-ce vrai. Bien oui Claude, j’ai parlé personnellement avec Maryse hier et je l’ai prévenue que si elle ne changeait pas, je lui réservais une bonne punition. Mais je vois que ça n’a pas changé puisque tu m’appelles et que Lucia t'a dérangé elle aussi. Claude me dit qu’elle a donné l’autorisation à Lucia de la punir à sa manière et même si Maryse a dix-huit ans et qu’elle fait partie des propriétaires du domaine. Lucia a tous les droits de lui donner une punition, une fessée et qu’elle ne se gêne pas devant tous tes employés si elle le désire. J'aimerais que tu rappelles Lucia me demande-t-elle pour lui dire toi aussi qu’elle ne se gêne pas pour la punir ou toi Julio si Lucia n’ose pas le faire. Claude me dit qu'elle en pour encore jusqu’à demain à être à paris. C'est pour ça qu'elle ne peut pas m’occuper elle-même de Maryse, car les fesses lui chaufferaient si elle était à la maison présentement. C’est très bien Claude, lui dis-je, m’en occupe immédiatement, j’appelle Lucia, bonne journée.

Lucia- 

 Apprêt avoir reçu l’appelle de Julio. Je sors de mon bureau, il y a une bouteille de vin qui traîne sur mon meuble et je l'amène avec moi pour la replacer dans les tablettes en même temps que je vais vérifier ce qui se passe. Je traverse la boutique, voire Maryse qui est encore revenue dans la boutique de vente et a l'air agressive envers mon employée. Justement, Maryse est en train d'envoyer mon employée travailler dans les entrepôts. C'est elle Maryse qui va s’occuper de la boutique lui dit elle. J'ai déjà pourtant défendu à Maryse cette semaine de déplacer les employés sans mon accord. Elle n’a aucune expérience et connaissance dans les vins, ce n’est pas à elle de décider ou doit aller travailler les employés. Et en plus la fille que Maryse envoie est très compétente où elle est. Je demande à Francine l’employer que Maryse avait dit de partir, de rester en poste. Le mobile de Maryse somme et c’est sa mère Claude qui l’appelle, quelques secondes plus tard Maryse raccroche et est très contrariée de ce que vient de lui dire Claude. Elle me dit que Claude vient de l’avertir que moi, j'avais pleinement le droit de la punir. Je lui dis que j'étais déjà au courant, Claude venait tout juste de me donné la permission de la punir si elle continuait à être si arrogante et impolie.

Maryse me met en garde devant deux couples des clients qui étaient devant nous pour des achats de ne surtout pas s'essayer de la punir. Que je n’ai aucun droit sur elle en rajoutant quelques insultes. La femme de l’un des deux couples nous regarde tous les deux, Maryse et moi et demande à sa fille d’environs 13 ans. Patricia, qu’est-ce qui t’arrive si tu oses être impolie envers nous comme la jeune fille qui est devant nous (en parlant de Maryse) l'a été avec sa patronne. Patricia hésite, sa face rougie par la gêne. Pour faire réagir sa fille, sa mère lui donne une petite claque sur les fesses pour qu'elle réponde à ma question, qui d'après-moi n'est pas si indiscrète que ça. Ne sois pas gêné de parler de tes punitions que tu reçois Patricia, quand tu es impolie, ou c’est moi qui leur dit. Patricia se décide à répondre. 
 
Quand je suis impolie ou je fais des gaffes, c'est une fessée que je reçois toute timide, en tenant sa tête baissée et regardant le plancher, nous répond elle. Sa mère rajoute, ça la gêne qui la retient de parler, qu'elle reçoit la fessée à son âge. Parce que en temps normal Patricia parle beaucoup. Et je ne me gêne pas pour lui mettre les fesses à l’air. Habituellement, c'est dans le salon et très souvent nue que je la puni. Et devant tout le monde qui si trouve que je punis Patricia et sa sœur aussi, ma plus vielle, et elle a presque 16. Étrangers ou visite, cela n'a pas de différence. Si je dois les punir, c'est dans le salon et pas ailleurs que ça se passe. Sa mère rajoute, je n’en reviens pas comment cette jeune fille est insolente envers sa patronne, en s’adressant à Maryse, elle continue à s'adresser à Maryse. Ma Belle, une chance que tu n’es pas ma fille, lui dit-elle, les fesses te chaufferait.
 
Tu recevrais une fessée ici même dans cette boutique, le robe relevée, fesses a l’air devant tout le monde même à ton âge. Son conjoint l’approuve en riant. L’autre couple, eux, me disent qu’il y a peine quelques minutes, ils avaient demandé à Maryse si une sorte de vin qui n’était plus dans la tablette, la bouteille que je tiens dans mes mains justement, étais toujours disponible. Il y en a-t-il encore en arrière-boutique, lui avais-je demandé. Mais votre effrontée d'employée, m'a répondu d’en choisir un autre, sorte qu’elle n’avait pas le temps d’aller voir. Francine me confirme qu’il y en avait beaucoup de bouteilles à l’arrière. Ça m’a mise hors de moi et j’ai demandé à Francine, l’employée, d’aller en chercher plusieurs bouteilles, de les ramener en avant pour remplir le vide de la tablette et de rester à son poste. Moi, je vais m’occupée de Maryse pour qu'elle ne l'achale plus.
 
Je demande aux deux couples s’il avait un peu de temps de libre. Les personnes me répondent oui. Alors, attendez-moi ici, je vous, je vais revenir vous cherche. Je vous invite. Nous irons tous déguster un verre de vin dehors à l’arrière sur notre terrasse. En même temps que je les invite, je prends Maryse par un bras et lui ordonne de me suivre et on traverse à l’arrière-boutique pour lui parler. Un autre employé, Fabien, si trouve dans l'arrière-boutique. Je lui demande de s’occuper de Maryse et de faire sortir Maryse sur la terrasse. Occupe-toi d'elle dix minutes et qu'elle reste polie et surtout qu'elle ne bouge pas de la terrasse, attendez-moi tous les deux. Je le rejoindrai avec mes invités dans pas long. Fabien reprend Maryse par un bras en ayant un grand sourire. J'ai l'impression qu'il sait ce que je vais faire à Maryse. Maryse proteste et demande à Fabien de la lâcher, elle est capable de marcher seul, mais Fabien ne lui lâche pas le bras et la fait sortir, sans s'occuper de ses plaintes.

Je fais sortir mes clients et invités avec moi et les amène à notre terrasse privée où on mange le midi, et je leur serre chacun verre de notre meilleur vin. Sauf Patricia bien entendu pour elle c'est un breuvage non alcoolisé. Maryse et Fabien attendent. Je demande à Fabien de changer sa prise. Fabien croise les bras de Maryse dans son dos s'il te plaît, lui demandai-je, et maintien là solidement sans la lâcher, je veux que Patricia s'approche de la table. Fabien m'obéi, l'emprisonne et approche Maryse à l’extrémité de la table à pique-nique. Maryse s'approche de la table malgré elle, poussé par Fabien, et ses cuisses touchent le bord de la table. Je demande à Maryse de se penchée sur la table et écrasé son ventre et sa poitrine sur le dessus de la table. Elle résiste, ne veux pas se pencher, elle se doute trop bien à quoi je veux en arriver, mais avec un peu d’aide de Fabien, elle est vite étendue, la face collée sur la table et les fesses bien exposées. Je me penche et regarde le postérieur de Maryse et sa robe qui recouvre encore ses fesses, juste à la limite de pouvoir voir sa culotte. Fabien lui maintient fermement les bras croisés dans son dos. Elle est immobile sans pouvoir bouger et me supplie de la laisser.


Maryse installée à mon goût. Maintenant, je m’adresse à Patricia la jeune. Patricia dit nous quand tes parents te punissent qu’est-ce qui t’arrive ? que t'oblige-t-il à faire ? Quelle tenue il t’exige à prendre ? quand ils te punissent ta mère m'a dit qu'elle t'obligeait à montrer tes fesses si j'ai bien comprise. Patricia toute surprise répond que ses parents quand ils veulent me punir l’oblige a, soit enlever sa robe si elle en porte une où quitter son pantalon si c'est le cas. Car lorsque qu'elle porte une robe, sa mère déteste cela. Ça retombe toujours sur les fesses si je bouge selon elle. Ensuite, quand sa robe ou son pantalon est enlevé, c’est sa culotte qu'elle est obligée d’enlever. Souvent, sa mère l'oblige à enlever le reste de ses vêtements, t-shirt, camisole, même mes bas, me dit-elle. Habituellement, c'est nu de la tête aux pieds que ses parents la punissent, d'après Patricia.
Patricia, maintenant que tu nous as décrit comment tes parents te punissent à ton âge, crois-tu que Maryse a 18 ans mériterait ou devrait recevoir une fessée cul nu, elle aussi. Patricia ne me répond pas, mais sa mère, elle me dit oui Mme. Il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne correction et c'est fesses à l'air que ça se donne une vraie fessée. Ma plus vielle, la sœur de Patricia, à 16 ans ou presque et elle aussi, je la punis très fréquemment nue dans la salle de séjour, rajouta-t-elle.

Bien alors, j'approuve leur demande et je prends le bas de la robe de Maryse sous ses fesses. Je relève la robe dans son dos sur ses bras que Maryse a de croisés et retenue par Fabien. Ça nous laisse voire son petit string rouge qui pénètre, entre ses fesses blanches et pleine de plaques rouges, l'essentielle, son intimité est toujours protégée.
 

Maryse est furieuse, proteste et essaie de se dégager, mais ne peut rien faire, Fabien l’immobilise. Elle peut juste se plaindre, et personne autour d'elle s'occupe de ses plaintes. Arrête de parler, lui dis-je, et je lui claque les fesses avec ma main pour qu’elle se ferme. Quand as-tu été puni la dernière fois, c'est très récent à ce que l'ont peu voir. Ça doit faire à peine quelques heures. Tes fesses ont encore des marques rouges. Maryse, encore aussi furieuse, me répond de me mêler de mes affaires, que ce n’est pas le résultat d'une fessée ces marques et ce n’est pas de mes affaires les plaques rouges. C'est supposer, rester intime cette endroit-là.

Tu vois Patricia la différence avec toi et Maryse. C'est que Maryse est chanceuse elle. Je ne la ferais pas déshabiller nu devant toi. Mais pour la fessée, même si elle proteste de toutes ses forces. J'ai décidé qu'elle va la recevoir, fesse a l’air dehors ici devant tout le monde comme une petite fille impolie le mérite. Mais même si son petit sous-vêtement nous laisse voire ses fesses et qu’elle n’est pas d’accord avec ce que je vais lui faire, je ne gênerai surtout pas pour lui baisser à ses chevilles. Ça va être plus humiliant pour elle et plus intéressant pour nous de pouvoir voir ses parties plus intimes, et penché comme est Maryse présentement et ses fesses aussi bien exposées, son intimité est dure à rester caché. Je pose ma main droite sur le commencement de sa raie. Je prend le cordon de son string qui sort de sa raie et descend le tout a ses chevilles.


J’arrête de parler et je commence à lui claquer les fesses sans ménager la force que j’emploie. Je lui claque chaque fesse à un rythme très rapide. Maryse essaie de retenir ses cris de douleur, mais ses plus fort qu’elle et supplie d’arrêter. Ses fesses rougissent très rapidement, elles ont pris une belle couleur. Maryse n’est plus capable de garder ses jambes collées, ses jambes bougent et s’écartent assez pour qu’on voie son petit piercing vaginal à l'endroit qu’on appelle fourchette, ou se rejoigne ses petites lèvres. Il y a un petit anneau et je la fais remarquer à tous en la touchant et reprend ou j'ai arrêté.


Après lui avoir claqué les fesses une minute et demie ou un peu plus, j’arrête. Je demande à la jeune Patricia et les autres si les fesses de Maryse sont assez rouges, ç'a l'air satisfaisant. Je me retourne ensuite vers Fabien et lui demande s’il veut bien ne prêter sa ceinture qu’il porte à sa taille. J'ai décidé de faire un petit ajout, un extra à sa punition. Fabien la retire et me la donne. Maryse, elle pleurniche et me supplie de la lâcher. Mais ce n’est pas encore fini, lui dis-je, en pliant la ceinture en deux. Maintenant ma belle Maryse pour ton arrogance et tes sauts d’humeur, je te rajoute un extra sur ta punition 10 coups de ceinture. Ne lâche surtout pas ta prise, dis-je à Fabien. Maryse n'a pas fini d'avoir mal à ses fesses avec la ceinture. J’applique le premier et Maryse lâche un cri, elle hurle.
Je continue à frapper ses fesses sans m’occuper de ses cris et ses pleurnichardes de bébé. Je me rends jusqu’au dixième. Les coups de ceinture sont visibles sur ses fesses ou peut compter presque chaque coup de ceinture que Maryse a reçu en travers de ses fesses. Je fais remarquer encore une fois à Patricia et les autres son piercing intime et demande à Fabien de la redresser debout sans lâcher sa prise sur les bras de Maryse. Maryse espérait que sa robe descende de par elle-même par la gravité. Mais elle reste en place dans son dos, ses bras sont retenus croisés dans son dos par Fabien, et sa robe aussi reste coincée avec ses bras, ses fesses restent bien exposées.

 Debout Maryse pleure comme une petite fille et demande a Fabien de la lâcher. Elle veut redescendre sa robe, mais Fabien la retient toujours et la robe aussi avec ses doigts pour qu’on admire le résultat de la fessée, la belle couleur de ses fesses. Patricia dit à sa mère à comparer à mes punitions et celle de ma sœur Maryse s’en tire bien. Elle a montré juste ses fesses. Moi, c'est toujours nu que je dois rester et les mains sur la tête après m'être fait rougir les fesses.

Hier ma sœur après sa fessée à passer l’après-midi nu debout main sur la tête au centre du salon devant tous nos cousins et cousines. Et ta sœur, quel âge a-t-elle, lui demandè-je ? Je crois avoir entendu qu’elle a 16 ans. Oui Madame, me répond Patricia. Je réfléchis à ce que Patricia vient de nous dire. Je regarde ma grande impolie qui est âgée d'à peine deux ans de plus que sa sœur, mais pas plus mature qu'une gamine de dix ans qui est devant nous. Je demande à Fabien de relâcher les bras de Maryse qui a toujours des larmes qui coulent sur ses joues. Maryse ayant les mains libres se frotte les fesses instinctivement par-dessus sa robe qui a repris sa place quand Fabien lui a relâché les bras. Malheureusement ç'a eu pour effet de mettre ses jolies fesses rouges à l’abri des regards. Son string lui est toujours au sol près de la table. Je le ramasse et le donne à Fabien pour qui le garde avec lui Ça là fait sourire et il s'empresse de dissimuler dans l'une de ses poches.

Je reprends la ceinture que j’avais mise sur la table, la replie en deux et frappe avec mon autre main en disant à Maryse. J'ai changé d’idée maintenant et tout le monde va être d'accord avec moi ici. Tu enlèves ta robe et ton soutien, c'est nu que tu passeras les 30 prochaines minute devant nous. Tu te mets à poil et reste au piquet 30 minutes ici au centre de la terrasse. Tu m'as bien comprise Maryse sinon je te claque les fesses jusqu’à temps que tu te déshabilles. Il faut que tu nous montres ton joli corps et tes fesses. On veut tous vérifier le résultat de ta fessée et terminer ta punition aussi, pendant que moi et nos invités ferons la dégustation de quelques produits de notre vignoble. Fabien va aider Francine s’il te plaît à préparer d'autre produit pour notre dégustation et quelques bons fromages que ma cousine produit juste ici en face de l'autre côté du chemin. Je vois que Maryse ne veut pas enlever sa robe, elle la tient par le bas avec ses mains et refuse de l’enlever. Très bien Maryse, je vais obliger à obéir si tu refuses. Je m’approche d’elle et lui donne un bon coup de ceinture sur ses fesses. Maryse, je retourne face à moi pour éviter que je lui frappe encore ses fesses. Ok Lucia arrête se t’en prie plus de ça mes fesses me font assez mal. Je t’en prie, plus de coups sur mes fesses, je l’enlève. En se retournant dos à nous, elle défait les boutons un par un de haut en bas à l’avant de sa robe jusqu’au dernier et la robe rouvre en deux. Tu vois Patricia comment Maryse est rendue obéissante. Maintenant, elle va être punie comme tu me l’as suggéré, peu importe l’âge et le lieu, quand une grande isolante mérite d’être punie, on la punie comme elle le mérite.

Maryse est maintenant nue. Je lui demande de se positionner au centre et lui dit ma belle, c'est très humiliant d’être nu en public et je le s'ai moi aussi, je l'ai déjà été punie ici même sur cette terrasse. Maryse, ça fait seulement quelques mois ou un an, peu-être que Claude t'a adoptée. Connaissant très bien ta mère Claude, je sais que ce n’est pas la première fessée que tu reçois depuis que tu restes au domaine. Je la connais bien Claude et je peux te confirmer qu’au même endroit que nous sommes, Claude ta mère et moi-même, il y a cinq ans, on reçut chacune fessée ici même nue. Tu t’imagines Claude qui à l'époque avait vingt-cinq ans et moi, j'en avais vingt-deux, devant tous les employés de vignoble pendant le repas du midi et à l'âge que j'avais, recevoir une fessée et nu devant d'autres collègues. Toutes les deux attachés au centre ici, c’est mon oncle Julio qui nous a fouetté les fesses. On a eu droit à 20 coups chacune. Après toutes les deux on à passé le reste de la journée nu à travailler dans les entrepôts devant les autres employés et les visiteurs qui venaient. Toi, à dix-huit ans, encore une gamine, ce n'est pas si pire que ça, être punie, une fessée, ça fait juste faire réfléchir une grande effrontée comme toi. 

  En s’exhibant ainsi nu et en face de nous, Maryse nous laisse, voire son joli corps et sa petite ligne de duvet qui arrête au début de sa fente. Patricia me fait remarquer que Maryse a un deuxième piercing, cette fois-ci c’est une petite boule juste à la fin de ses grandes lèvres, au haut de son clito, à la fin de sa fente. Je lui demande, Claude à surement déjà vue tes piercings . Vous êtes toujours nus à la piscine le maillot ne se porte pas chez toi. J'en ai déjà fait moi-même l’expérience plusieurs fois pour avoir été me baigner chez toi et ça me plait beaucoup à chaque fois que je rends visite à Claude. En plus de la baignade nue, si tu as un petit copain, lui, il doit aimer ça, aller jouer sur ta boule en haut de ta fente.

Maryse très mal à l’aise se croise les jambes et me dit qu’elle n’a pas de petit copain. Cela fait seulement quelques jours que Claude s'en est aperçue. Et pour, elle aussi, c'est nouveau. Elle nous dit que ça fait moins d'un mois qu'elle s'est fait installer ces piercings. Quand Claude, c'est rendu compte qu’elle avait des piercings à ces endroits -là. Claude l'aurait sévèrement punie sur les genoux à la main et ensuite Claude a pris une brosse à cheveux et lui aurait claqué les fesses jusqu’elle la supplie d’arrêter.

Maryse   

    C’est pour ça que tu as vu des marques encore visibles après deux jours. A la fin de la semaine dernière, vendredi matin, le lendemain de ma punition à l’institut ST-Thomas. Une de mes profs a décidé de faire une vérification surprise à l’entrée de la salle de cours pour notre tenue vestimentaire, ce qu’ils font assez régulièrement chez les filles. On doit remonter notre jupe pour montrer si on porte la culotte de coton réglementaire qui nous recouvrent les fesses. C’était seulement quelques heures après ma punition. J'avais le haut de mes cuisses rouges et en relevant ma jupe la prof et mes camarades ont tous vue le haut de mes cuisses et ont vite fait le lien avec mes fesses qui devait être aussi rouges sous ma culotte. Mes camarades ont tous ris de voir mon derrière mal en point. J’étais gênée. J'ai même eu du mal à poser mes fesses sur ma chaise. Même que ma prof pour m'humilier plus m'a demandé si je voulais rester debout pour son cours et si je voulais enlever ma jupe et ma culotte. Car selon elle, j'avais l’air à avoir du mal à supporter ma culotte et ma jupe qui frottait sur mes fesses, selon elle mes fesses avait l’air à me faire mal.

    Plus tard après notre petite dégustation avec les clients Maryse étant toujours debout nu mains sur la tête. Je demande à Maryse de demander pardon à nos invités pour son manque de politesse et de les remercier pour avoir assister à sa punition. elle s’exécute poliment, je lui donne la permission  de se rhabillé et d’aller travailler dans les entrepôts avec les autre. Fabien lui redonne son string Maryse c’est empresser de de l’enfiler, pendant que Maryse se rhabille devant nous je dis aux invités et clients qui sont avec moi sur la terrasse, des fois ça prend une bonne fessée pour faire réfléchir une fille lui montré qui est le patron. La mère de Patricia me questionne sur ce que j’avais dit au sujet de mes punitions ici et si c’était vrai. Oui je vous le dit sans aucune honte ici même sous cette arbre j’ai reçu plusieurs punition Jai déjà été très rebelle Monica et mon oncle m’ont apprise que ce n’était pas ça la manière de vivre se foutre de tout l’monde.

           Mes fesses on beaucoup souffertes et mon intimité aussi demander à Fabien lui ça fait 12 ans qu’il travaille ici il m’a déjà vu ici sur cette terrasse ou dans l’atelier nu me faire claquer les fesses. J’ai toujours survécu à mes fessée mais mon orgueil elle j’ose pas trop en parler quand a l’occasion les employées se mettre à parler des punitions qui se sont donner ici et surtout les miennes mes punitions en mangeant tous ensemble ça me gêne sa m’humilie d’entendre dire qu’ils adorait ça me voire nu quand mon oncle me ramassait par un bras rouge de colère.

 Les collègues me disent, on avait tous hâte que Julio te fasse déshabiller. Ça me gêne a chaque fois qu'ils en parlent. Même si je sais que ce soit moi ou Maryse qui serait nu cette après-midi, on est toutes faites pareille. Mais c’est notre pudeur qui en prend un coup. Patricia la punition que Maryse a reçue tout à l’heure, ce n'est rien à comparer à moi ce que j'ai reçu la dernière fois. Il y a 6 ans, j'avais 21 ans à l’époque, une de mes dernières punitions et la pire. J'ai été punie toute une semaine cinq jours d’affilée. Julio et Monica qui dirigent le vignoble ou voulu me dompter, me donner une vraie leçon cette fois-là, ils m'ont punie très durement et ça m’a fait réfléchir. 

À tous les matins, Monica m’attendait dans l’atelier et me donnait 20 coups de strap pour que mes fesses deviennent colorées et le restent toute la matinée.Le midi, je recevais une autre fessée, encore 20 coups de strap sur mes fesses, toujours nu ici sur cette terrasse, demande à Fabien. Il peut certifier mes dires. Il en a été témoin avec les autres employés. Et en plus j'ai été privé de vêtement durant ces cinq jours qu’a duré ma punition. J'ai dû travailler nu privé de mes vêtements dans un des entrepôts le plus achalandé, le no 3 au fond là-bas, devant les gens qui circulaient. Visiteur, employé, livreur tous me voyaient nu. je te dis Patricia quand tu es nu devant 20, 30 personnes et plus et que tu es la seule en plus à être nu, tous les autre sont vêtus, c'est humiliant. Ce n’est pas pareil qu'entre amies et on est toutes nues sur le bord d’une piscine. Si j’essayais de me cacher, me mettre à labris des regards, Monica avait donné l’ordre à un des employés qui me surveillait au travail de me punir sur place.

  Monica me donnait des endroits pour travailler ou la circulation était la plus dance. Et même ma mère, elle aussi, elle m’obligeait à sortir nu le matin, traverser le petit sentier en arrière, à l'époque, on habitait dans la maison à côté. Ma mère voulait que j'arrive ici nu durant mes cinq jours pour commencer ma journée, je sortais de la maison que j’habitais jus à côté, on la voie là-bas dans les arbres et je traversais ici nu pour travailler. 

 Fabien- Oui, c'est bien vrai ce qu’elle vos dit Lucia, et un an plus tard avec Claude la mère de Maryse et elle Lucia qui ans trois ans de plus jeune que Claude. les deux ont été punies ensemble ici dehors. Elles étaient à l’époque très complice, de très bonne amie et les deux. Ce jours-là, elles ont refait une autre bêtise et cette fois-ci les deux ont été punies ensemble. Vous voyez le poteau ici sur le côté gauche de la terrasse et l’autre poteau a la droite qui sert de support pour les lumières. Claude et Maryse ont été attacher à chacun de ces poteaux, l'une par un poteau, par un poignet et l'autre par un poignet à l'autre poteau et au centre, elle étaient attachées l'une à l'autre par leurs poignets. Les deux filles étaient au centre de la terrasse nue les bras écartés attaché l’une a un poteau et l’autre à l’autre poteau et les poignets relier ensemble. C’était la première fois que deux filles ou des employées recevait une punition ensemble et attacher ainsi au beau milieu de la terrasse. Je m’en souviens très bien, trente coups de ceinture a chacune, Lucia en a eu pour deux jours à s’assoir.

Lucia- 
 
Oui, c'est la pire punition en frais de douleur et humiliation. Car juste avant qu’il nous attache toutes les deux, on avait reçu chacune une magistrale fessée à la main sur les genoux, moi de Julio et Claude, c'était Monica qui s'était occupée de ses fesses. Les fesses me brulaient pendant qu’il nous attachait ensemble. J'en pleurais et même si j’étais exposée devant tous les employés, je ne pouvais pas me retenir de pleurer. Je ne m’en rendais pas compte tellement j’avais mal à mes fesses, que je pleurais comme une gamine devant mes collèges. Plus tard, quand la strappe qui s'est abattu sur mes fesses déjà brulantes, ce fut horrible ces trente coups. C’est juste après être détachée et qu’on m’a aidé à m’allonger sur une table à plat ventre, car je n’étais plus capable de m’assoir et de me tenir debout, que j'ai réalisé comment j'avais été exposer et attacher nue au centre bras tout grand écarté et étendue de chaque côté.
 
Je remercie mes clients et la belle Patricia et je dois retourner a mes papiers en ayant en tête, mais mauvaises punitions du passer et en me frottant les fesses de ces mauvais souvenir d’ado qui me revienne.

          

        

 

vendredi 8 octobre 2021

Deux nouvelles arrivées a St-Thomas, première fessée a vie

À 20 ans elles goûtent à leur première fessée

 M. Lepetit directeur de la sécurité et discipline à ST-Thomas

La police arrive avec deux filles âgée de 20 ans. C'est un juge qui nous les envoient pour purger deux ans de travaux ici. Ça leur évite la prison parce qu’elles sont jeunes, selon les dossiers que j’ai déjà reçus, et que j’ai étudié avant de les donner à mon assistante Claude. Diana a 20 ans et Gabrielle 21 ans et la juge essaie de donner une seconde chance aux deux jeunes. C'est très fréquent ici d’avoir des filles que la justice envoie pour des sentences à purger ici en travaux ou étude selon leur âge.

Ce sont mes assistantes Claude et Laurie qui les reçoivent. Je traverse dans leur bureau et entend Claude demander aux policiers des libérées de leur menotte et revois les deux policiers. Au même moment que les policiers quittent, une agente de sécurité arrête ici avec les deux nouvelles punies de la semaine, Béatrice et Marie, avant de les conduire à cafétéria pour leur punition de ce midi comme prévu. Les policiers en profitent pour admirer les deux filles nues qui circulent devant eux. Les nouvelles arrivées, Diana et Gabrielle, elles aussi, regarde de la tête au pied les deux étudiantes nues qui arrive. Elles prennent place à côté d'elles et sont surprises de les voir arriver du hall d’entrée nu. ce sont deux filles qui en sont à leur 2ᵉ journée de punition. Moi, je ne dis rien, je suis ici juste pour les observer. Je laisse mes assistantes gérer tout cela à leur manière, mais Claude me voie très bien dans la porte de leur bureau et s'aperçoit, elle aussi, que je ne m'en mêle pas, je la laisse faire. Gabrielle se met à dire, c’est donc vrai ce qui se dit sur les réseaux sociaux à propos d'ici. Ce n'est pas juste que des rumeurs. On torture réellement les étudiants ici et on les humilie nus devant public. J'en ai la preuve devant moi ici avec ces deux filles les fesses marquées au fouet.


Claude prend le temps de se présenter poliment et présente Laurie. Moi, ensuite son supérieur et directeur de la discipline et ensuite les deux étudiantes nues au côté d'elle. Ensuite Claude prend le temps de leurs expliquées le pourquoi de leur tenue et qu'elles n’ont pas été battues comme elle le dit, mais punies. Il y a une grosse différence entre battre une fille et la punir par une fessée pour ton information Gabrielle. Les deux jeunes Mlles à ta gauche sont dans cette tenue pour avoir eu un très mauvais comportement. Alors avant de te faire une fausse idée de ce que tu vois, renseigne-toi sur le pourquoi de leur tenue, ça va t'évite de partir de mauvaises rumeurs et de gros problèmes pour toi. Ensuite, pour changer de sujet, elle fait savoir toutes les conditions de leur séjour de deux ans ici et leur fait lire les règlements à chacune des filles qui viennent d’arriver. Elle leur demande de signer chacune une copie des règlements en vigueur ici. Ensuite Claude leur fait lire l’ordre de la juge. La juge ordonne aux responsables d'ici que dès leurs arrivées à l'institut, le responsable doit leurs administrés à chacune d'elles une punition corporelle. La juge n'a pas écrit n de vous torturer comme se le dit si bien Gabrielle, mais bien de vous punir. Ici, punir quelqu'un, c'est de lui donner une fessée comme un petit enfant, et de l'humilier comme les deux jeunes filles qui sont nues. Et lisez bien, la fin en arrivent ici ce matin, et la juge exige qu'on lui envoie un suivi de la punition. C'est assez grave ça les filles. Pour avoir manqué de respect à la cour fédérale et elle-même la juge ce matin avant de sortir de la salle pour venir ici. C’est très bien inscrit et signer de la main de la juge. Qu’on doive vous administrer à chacune 20 coups de lanière de cuir en public et de lui envoyer des preuves que son ordre, c'est bien exécuté dans la journée. Lisez et constatée que ce ne sont pas des rumeurs. Ce n'est pas moi qui l'invente, c'est signé de la juge. Ce n’est pas fréquent qu’un juge exige qu’on punisse un détenu à son arrivée ici, mais il y a toujours des exceptions.

  Claude me regarde sans me parler pour voir ma réaction. Elle demande à Laurie, sa collègue et l’agente de sécurité Madeline de s’occuper des deux punies Béatrice et Marie pour qu’elles prennent place à l’heure prévue dans leur salle attitrée pour leur punition prévue de ce midi. Les gens vont s’impatienter si elles ne sont pas en place, beaucoup d'entre eux vont se plaindre. Tout le monde savent bien que ce midi, il y a des punitions d'annoncé. Diana supplie et argumente avec Claude pour oublier ce qu’elle vienne de lire et que la juge est bien loin d’ici de bien laisser tomber cette note. Mais Claude les arrêtent et leur dit qu’elle n’a pas le choix, C'est un ordre de la juge et ça doit être accomplie ce midi et en public. Vous l'avez lue tous les deux. La juge s’attend à avoir les résultats de votre punition cette après-midi. Et si je vous fais un passe-droit, c’est moi qui serais puni avec vous deux. Cette juge, je commence à la connaître, elle tient ses dossiers à jour et mes patrons vont recevoir un mot d’elle dans les jours à venir pour me punir aussi pour ne pas avoir obéi à ses ordres.  
          
  Maintenant Diana et Gabriel suivez-moi 
 
 Moi, étant son supérieur, je trouve qu’elle a bien appris en un an ici et je la laisse gérer tout cela. Je trouve qu’elle se débrouille très bien, elle explique aux deux filles qu’elle va leur donner une chance. Ici, c'est nu qu’on aime donner la fessée à des grandes filles comme vous, leur explique-t-elle. Mais je vais vous faire une grande faveur et ne le dites pas, ça restera entre nous trois, Claude me regarde en souriant. Si vous êtes gentilles et coopéré, je vais vous administre vos punitions dans la salle des profs, leur dit-elle. Et sûrement pour les mettre un peu plus en confiance. Elle leur dit que dans la salle des profs le midi, il y a peu de gens, une dizaine de profs environs. Majoritairement tous féminins qui mangent ensemble. Ce sera moins humiliant entre fille que dans une des deux salles à manger public avec des centaines de personnes et c'est mixtes, il y a des gars. Les deux étudiantes se dirigent dans ces salles. C'est devant 300 personnes et plus que Béatrice et Marie vont subir leur punition, attacher nu au centre de la salle devant tous ces curieux et curieuses qui adore ça, voire une fille se faire fouetter les fesses.    
Moi aussi, je les suis, j’aime voir comment mon personnel se comporte et je la laisse faire Claude et Laurie, elles prennent vite de l’expérience pour leur âge et si quelque chose ne va pas, je leur dirai.

Avant d’entrer dans la salle, des profs Claude les amènent dans l'une des deux salles à manger et fait rentrer Diana et Gabrielle. Il y a foule de monde, plusieurs attendant dans la longue fille pour être servi. D’autre sont déjà installés aux tables avec leur repas et regardent vers le centre de la salle la fille que Laurie fini d'installer pour sa punition. Ils y en a plusieurs qui sont en route tenant leur cabaret pour aller s’asseoir pour manger. Mais tous ces gens ont le regard au même endroit, le centre auquel est exposée Maria nue. Malgré le bruit qu’occasionnent les déplacements et les commentaires des gens il y a un bruit qui enterre presque tout . 
On entend résonner dans la salle des coups de strap que Laurie a commencée a administré sur les fesses de Maire. Ses cris qu'elle ne peut s’empêcher de faire par la douleur qu'elle doit ressentir sur ses fesses qui étaient déjà bien rouge. Mais surtout ce qui retient l’attention de Diana et Gabrielle. C'est tous ces gens, leur regard qui se dirige vers le centre de la salle et regarde Marie attacher par les poignets et à chaque cheville, les jambes bien écartées, nu et recevant sa fessée avec son intimité bien à la vue. Maintenant les filles, dit Claude, regarder une des deux filles que vous avez aperçues nu dans mon bureau. C'est Marie, l’humiliation qu’elle est en train de subir. Attacher nue devant des centaines de personnes ces camarades de classe qu’elle côtoie tous les jours, ça pourrait être. Vous pourriez être, après elle si vous n'en faite qu'à votre tête. À présent, suivez-moi, on traverse dans l’autre salle, je vais vous montrer Béatrice. Elle aussi, doit être attaché au centre de la salle des 3ᵉ année et des finissants recevant sa punition. En prenant un raccourci, on traverse par le vestiaire des employées des cuisines, ce qui est interdit pour les étudiants et les employés qui ne font pas partie de la cuisine, mais Claude en profite. On ressort directement dans l'autre salle. C’est encore plus bruyant que dans cette salle ici. Il y a beaucoup plus de gars et plus vieux, aussi la majorité des étudiants ici gars ou filles ont 18 ans et plus.

Diana, Gabrielle, je vous ai montré jusqu’où on peut aller ici dans cet institut quand on parle de punition corporelle. Ce que vous voyez ici, c'est la pire sentence qu’un étudiant ou employer peut subir et cela est très fréquent d’avoir des punis ici dans ces salles. Même, regardez bien, juste au côté de Béatrice qui est en train de se faire chauffer les fesses, il y a une deuxième fille attaché nu et qui attend sa punition elle aussi. Vous allez vous y habituer, c’est presque à tous les jours ici qu’il y a quelqu’un nu en attente d’être puni et la nudité fait partie de sa punition. Les punis pour la plupart passent le reste de la journée nu. Si vous n’obéissez pas ou ne voulez pas coopérer pour votre punition, c'est ici ou de l'autre côté que je vous fais attacher. Je vous ferai déshabiller sur l’estrade devant tout ce beau monde avant. Après votre exposition nue sur l'estrade, je suis sûre que vous serez très populaires. Des nouvelles arrivées qui se mettent a poil. Vous allez être le sujet de conversation de tous. Après je vais vous faire déplacer, marcher entre ses gens, et attacher au centre de la salle. Pensez-y comment ça doit être humiliant et en plus puni une fessée entièrement nue et en public a votre âge, comment ça doit être humiliant, être à la place de Marie et Béatrice en ce moment. Ensuite, je vais vous allez circuler nu pour le reste de l’après-midi pour votre visite de l’institut et de votre petit appartement. Les deux filles restent figés de, voire une fille être punie de cette façon, les cris qu’elle laisse entendre et le monde tout autour qui ont l’air à aimer ça.


M Lepetit- 
Claude me surprend, c'est une bonne idée que de les apeurer pour qu’elles obéissent

Claude fait ressortir les filles, on retourne du côté administration qui est séparé des étudiants, et en route vers la salle des profs, Claude demande à Diana si elle a déjà reçu une punition corporelle ? (une fessée plus précisément, lui dit-elle) dans sa vie. Diana, un peu gêner, lui répond que non, jamais ses parents l’ont punie de cette manière-là par la fessée. Seulement des privations de sortie ou quelque engueulade, mais jamais de fessée. Gabrielle, elle lui répond que son père lui a déjà donné une fessée une seule fois il y a environ 5 ans, elle avait 15 ans à l’époque. C’était dans sa chambre, coucher sur son lit et sur la jupe avec une ceinture, ça avait fait très mal, nous dit-elle, les cinq coups qu’elle avait reçus.

Rendus à l’intérieur de la salle des profs, Claude salut les quelques profs qui mangent et sont tous rassemblés ensembles. près de l’entrée de la salle et à l’autre bout l’espace est vide. Moi, je m’appuie sur les casiers des profs. J'observe Claude qui fait placer les deux filles au centre des grandes tables qui font un rond autour de la salle et face aux profs qui mangent ensemble. Claude commence à expliquer aux gens présents pourquoi ces deux nouvelles filles sont ici et ce qui va se passer. Elle demande à deux des profs qui sont présentes , Mlle James prof en informatique et Mlle Garcia prof de langue étrangère de venir la seconder. J'entends ensuite Claude dire. Diana, je commence par toi. C'est ta première vraie fessée que tu vas recevoir ce midi. Claude lui d'enlevé tous tes vêtements soulier et bas compris comme je te le déjà dit.
Claude
C'est nu que tu recevras ta punition, une fessée ici se donne sur les fesses à l’air, pas autrement. Et la juge à ordonner que tu sois punie nue aussi, et tu n’as pas le choix. Alors obéi, sinon on retourne à la salle à manger pour ta punition et là aussi, ce sera nu aussi, mais avec beaucoup plus de spectateur. Moi, pendant que tu te déshabilles, je vais demander à Ginette en face de nous de venir prendre des photos de toi durant ta punition qui resteront exclusivement dans les archives et pour satisfaire Mme la juge.

 M. lepetit----

Mais je m’aperçois que Diana ne bouge pas et regarde son amie Gabrielle qui a l’air à vouloir obéir elle et à déboutonner son jeans à côté d’elle. Diana dit à Claude que la juge à spécifier qu’elle devait recevoir une punition corporelle comme une fessée. Pour ça, c'est vrai, mais qu’elle trouve déjà très humiliant a 20 ans, recevoir une fessée comme un enfant. Mais par conte la juge n’à pas exiger et spécifier que ce sois nu pour recevoir ma punition, donc moi, je reste avec mes vêtements. Je ne suis pas capable de me mettre nu devant toutes les personnes qui sont ici, c'est mon intimité et j’ai le droit de la conserver, et surtout devant les deux hommes qui sont ici.           

Je regarde Claude qui la gifle sur la joue droite et lui claque les fesses ensuite avec sa main. Elle se retourne vers Gabrielle et lui demande si elle, elle obéit. Claude lui demande de lui donne ses vêtements où elle veut suivre l’idée de son amie qui va le regretter. Gabrielle qui avait déjà détaché son jeans coopère et commence à enlever ses chaussures et ses bas ensuite. C'est autour du jeans à tomber sur ses chevilles et à être posé sur la table à l’arrière d’elle. Elle se sent probablement gêner de montrer son petit string rose, car elle place ses mains devant son sexe. Claude saisir le bas de son t-shirt et le remonte au-dessus de sa poitrine même si ses bras sont croisés et atteints ses épaules. Ensuite elle lui passe son t-shirt par-dessus la tête et lui ordonne de lever ses bras au-dessus de sa tête sans résister. Gabrielle s’exécute et lève ses bras et son t-shirt quitte sa tête et rejoint son jeans sur la table. On aperçoit, son soutien rose qui protège encore ses seins. Gabrielle redescend aussitôt ses bras et les croisent sur sa poitrine. 
 
Tu es une bonne fille lui dit Claude, ensuite Claude passe à l’arrière de Gabrielle ce qui nous laisse apercevoir son superbe corps à moitié nu. Claude ensuite défait l’attache de son soutien qui est dans son dos et fait descendre les bretelles de ses épaules jusqu’à ses coudes. Ses bras croisés sur ses seins, le soutien-gorge ne bouge pas. Claude se met à genoux et saisi alors le string de Gabrielle et le descend à ses chevilles même si Gabrielle sert les cuisses pour l’empêcher de descendre. Le petit vêtement se retrouve sur le sol et on a pu entrevoir brièvement son duvet châtain et sa fente parce que Gabrielle a redescendu ses mains presque instantanément sur son pubis pour cacher son intimité. Mais son soutien suit aussi jusqu’aux poignets. Elle se retourne très rapidement face à Claude qui elle se relève donc dos à nous tous, nous laissant, voire ses jolies fesses avec là trace de bronzage de son maillot, la moitié des fesses bronzées et l’autre moitié blanche. Gabrielle est nue dos à moi, jambes croisées. Elle est magnifique, belles fesses rondes, cheveux châtains au milieu du dos, Claude lui enlève son soutien et lui demande de placer ses bras sur sa tête, Gabriel Obéi et monte ses bras en se mettant à pleurnicher.

  Claude là laisse dans cette position dos à moi et se retourne vers Diana. Elle lui donne une dernière chance de se dévêtir seul ici en la menaçant de demander aux hommes qui sont ici (moi et Jean le prof d’éducation physique) de la dévêtir de force. Et sa punition se tiendra à la cafétéria en circulant nu dans les corridors si elle n’obéit pas. Diana se retourne et enlève son gilet noir. Elle le place à côté des vêtements de Gabrielle, elle aussi, porte un soutien qui est blanc. Diana retire ensuite ses chaussures, ses bas et son jeans descendent à ses chevilles. Elle reste dos à nous et retire son jeans de ses chevilles. tout en retirant son jeans Diana regarde Gabrielle qui est fesses à l’air au côté d’elle. Je regarde Diana en sous-vêtements et elle est aussi est superbe que Gabrielle. Un soutien blanc que son bras gauche recouvre maintenant et un string noir qui nous laisse voir ses jolies fesses. Une belle grande chevelure dorée et épaisse qui atteint le bas de son dos presque à sa raie de fesses, deux superbes filles de la même taille.

          

Claude demande à une des deux profs Maria de placer une chaise juste à côté de Gabrielle pendant qu’elle se dirige à l’armoire au fond. Claude revient avec une sangle de cuir, une strap un paddle de bois et des ciseaux qu’elle dépose ensuite sur la table à côté des vêtements des filles.

En se retournant, elle agrippe Diana par un bras et l’entraîne avec elle vers la chaise et s’assoit sur la chaise. elle fait coucher Diana sur ses genoux sans que Diana ait le temps de réagir. Diana est couchée sur les genoux de Claude, la tête qui touche quasiment le sol, ses long cheveux traine sur le sol. Diana essaie de se débattre et de se relever, mais Claude la l'emprisonne très solidement. Claude demande à Claudette, une prof, de lui maintenir les bras fermement pour l’immobiliser et de ne pas la lâcher avant qu’elle lui dise. Claudette se met à genoux et lui immobilise les bras entre ses jambes ce qui la limite dans ses débattements. Claude demande à Maria, l’autre prof qu'elle avait demandé de l’assister, de lui donner les ciseaux,

Les ciseaux en main Claude s’adresse à Diana. Ici à l’institut quand on donne un ordre, il faut obéir sinon on rajoute une punition et que sa pudeur, elle s’en foutait. Diana c’est tout ce que mérite recevoir une fessée supplémentaire comme une gamine qui en fait qu’à sa tête. En même temps que Claude lui parle, elle coupe son petit vêtement qui protégeait encore son intimité et le retire d'entre ses jambes. Pour l’instant ma belle, tu n’as plus besoin de ce petit vêtement. Ensuite Claude coupe les bretelles de son soutien laisse tomber les ciseaux au sol et détache l’attache de son soutien. Le soutien-gorge tombe au sol et Claude lui empoigne un sein avec sa main droite en lui disant. J'aime tes petits seins, ils entrent à merveille dans ma main, juste la bonne grosseur. Tu vois maintenant que tu es à poil tous les gens ici te regarde. Tu es le point de mire de tout ce beau monde, une douzaine de personnes. C'est moins humiliant qu’une salle avec plusieurs centaines de personnes, mais c'est gênant pareil. Et ça ne t’a pas tué, tu respires encore à ce que je peux, voire.

En retirant sa main de sur le sein de Diana Claude remonte sa main sur ses fesses en les flattant. Et littéralement descend sa main entre ses cuisses pour lui passer ses doigts sur sa fente. Diana proteste traite Claude de cochonne de salope d’enlever ses doigts de son sexe. Mais Claude avec sa main gauche lui claque les fesses et lui dit de se fermer, qu’elle n’est pas en position de donner des ordres et de rester polie. Diana, tu dois adorer ça te faire caresser la chatte puisque ça commence à être humide ici. Claude demande ensuite à Maria de prendre la strap qui est sur la table et de se préparer à donner les 20 coups de strap à Gabrielle dans la même position qu'elle se tient présentement. Debout dos à nous et avertie Gabrielle que si elle enlève ses mains de sur sa tête pour protéger ses fesses durant sa fessée. On recommence le compte à zéro, tu m’as bien comprise. Et tout le temps que Maria va te donner ta fessée jusqu’au dernier coup, moi, je vais claquer les jolies fesses de ton amie rebelle, coucher sur mes genoux, fesses à l’air pour sa première fessée. Elle va regretter d’avoir refusé d’obéir. Gabrielle, je te le répète, si tu bouges les mains de leur position, on recommence ta fessée à zéro. Tu allongeras aussi la punition de ta copine. Elle aussi sa fessée va continuer tan que la tienne n’es pas terminé, donc pense aux fesses de ta copine aussi avant de baisser les bras pour protéger tes fesses. Ginette, elle, s’approche des deux punies pour prendre quelques photos des deux filles recevant leur fessée comme exiger par la juge

   
Je vois Maria qui ajuste sa distance avec les fesses de Gabrielle en lui donnant deux petits coups avec la strap de cuir bien rigide. Maria lève ensuite son bras bien haut pour lui donner le premier coup en travers des fesses. Claude, elle commence à claquer les fesses de Diana avec force. Diana, elle, essaie de se déprendre de l’emprise que Claudette à sur ses bras et ses épaules, mais Claudette ne lâche pas prise et lui maintient les bras bien immobile entre ses jambes. Les fesses de Diana rougissent très rapidement et Diana la supplie d’arrêter, ça lui fait très mal, lui dit-elle. Mais Claude ne modère pas et frappe toujours au même rythme et force. D’après moi Diana va recevoir plus d’une centaine de claques sur les fesses à la vitesse que Claude claque les fesses. Gabrielle aussi cri à chaque coup que ses fesses reçoivent et a l’occasion ses mains quitte sa tête. Maria lui rappelle que si elle touche à ses fesses, sa copine et elles vont souffrir encore plus. Maria, elle aussi, frappe les fesses de Gabrielle avec force à chaque coup qu’elle donne. On distingue la marque que la strap laisse sur sa peau blanche et les cris que Gabrielle laisse entendre aussi le démontre que ça lui fait mal. 
 
Au même moment que Maria donne ses derniers coups sur les fesses de Gabrielle et que Claude arrête de claquer les fesses de Diana, Marie arrive de sa punition du midi, les fesses encore très rouge. Laurie la suit, quelques secondes plus tard, c'est Béatrice qui rentre dans la salle, elle aussi, les fesses rouges avec l’agente de sécurité qui l’accompagne. L’agente me dit pauvre, Béatrice et Marie. Je ne changerai pas ma place avec elles. Se montrer nu devant tous ces gens des journées entières et se faire punir en public plusieurs fois par jour. Ça doit finir par faire très mal et c’est surement très humiliant dans les couloirs. Il y en a qui leur disent des commentaires peu flatteurs et même plusieurs leur claque les fesses en passant près d’elles. Claude demande à Claudette de lâcher les bras de Diana et fait relever Diana debout. Plusieurs autres profs arrivent dans la salle pour ramasser leur livre et regardent tous les deux nouvelles et splendides filles nues au centre de la salle, les fesses rouges et me demande ce qui leur arrivent. On doit être rendu une trentaine dans la salle présentement et plus peut-être. 

  Revenu sur pied au centre de la salle, Diana est en pleure, les joues pleines de larmes. La première réaction que Diana a en étant sur pied, c'est de se mettre dos à nous et de se frotter les fesses a deux mains. On peut tous voire la belle couleur que ses fesses, on prise avec la fessée reçue, mais on n’a pas pu distinguer sa fente et ses petits seins, encore, elle ne sait jamais retourner directement face à nous encore. Gabrielle aussi, ses fesses ont une belle couleur et elle est toujours restée dos à nous. Claude exige que les deux filles croise leur bras dans leur dos et se retourne vers nous tous. Claude leur dit les gens ici ont assez vu vos fesses il est temps de leur montrer votre intimité. Mais ça semble difficile aux filles de montrer leur intimité, aucune des filles ne bouge et reste dos à nous.
 
 Claude demande à Laurie de prendre la palette de bois et de donner cinq coups a chacune. Aussitôt que Gabrielle entend dire cinq coups, elle se retourne face à nous et croise ses bras dans son dos. J'ai l’impression que ses fesses lui font encore mal et elle ne veut sûrement plus recevoir d’autre claque. C'est là qu’on aperçoit son intimité, ses beaux seins, sa fente et la repousse de son duvet, son petit triangle qu'elle devait avoir ne parait presque plus, ça fait quelque temps qu’elle ne s’est pas rasée. En prison, ce n'est pas trop faisable. Diana, elle n’a pas bougé, mais en regardant Laurie qui s’apprête à lui claquer les fesses avec la palette, elle aussi, se retourne et mets ses bras dans son dos, tout le monde ici les regardent, ses deux belles filles nues et exposer au centre, enfin, on peut tous voire Diana de face, elle aussi son poil à recommencer à pousser. Elle devait se garder une petite ligne en haut de sa fente ont là distingue encore au travers de la repousse.

Pendant que les profs retournent à leur salle de cours et que la salle ici se vide. Claude demande à Laurie de changer sa palette pour la strap, et de se mettre au côté de Diana. Donne-lui sa deuxième punition, lui demande-t-elle. Diana se met à genoux devant Claude. Elle lui demande de ne pas la punir encore, elle a compris sa leçon et elle sera obéissante à l’avenir ses fesses lui font trop mal encore. Mais Claude la relève en la prenant par une oreille et lui fait reprendre sa position. Cinq coups au lieu de 20 juste pour les photos que la juge exige et on arrête ensuite. 
 
Étant donné que tu es une gentille fille maintenant pour une première expérience de la fessée, je n’ai pas ménagé tes fesses et tu n'as pas aimé ça, tes petites fesses te font encore très mal. Je peux, voire qu’elles sont très rouges. Et en le touchant, je m’aperçois qu’elles sont encore très chaudes, dit Claude pour rire un peu de Diana. Avec les cinq prochains coups de palette, tu auras encore plus mal à tes fesses et pour quelques jours. Regarde les fesses à ton amie Gabrielle. les tiennes seront aussi rouges. Laurie recommande à Diana de ne pas bouger, de garder ses bras croisés sinon c’est deux coups supplémentaires qui se rajoute si ses mains descendent sur ses fesses. Elle lui claque les fesses, premier coup Diana lâche un cri, un deuxième sabbat Diane fait une grimace. Claude, elle photographie tout, Laurie lui applique le troisième Diane cri et résiste ne bouge pas, mais demande d’arrêter, elle a mal, Gabrielle est Juste à côté et regarde son amie se faire claquer les fesses et ferme les yeux à chaque fois que la palette claque les fesses de Diana. Laurie, elle continue le quatrième et le dernier suit. 
 
À la seconde suivante, Diana hurle et se frotte les fesses à deux mains et supplie Laurie d’arrêter. C'est fini, lui dit Claude maintenant, tu sais, c'est quoi recevoir une fessée à 20 ans, c'est humiliant. Gabrielle, elle, s’est retourné et ramasse son soutien pour le remettre. Claude lui enlève et ramasse tous les vêtements et les envoie dans une boite le long du mur. Gabrielle ici quand tu es en punition, tu attends les ordres pour bouger, lui dit-elle. Gabrielle lui dit qu’elle a hâte de se rhabiller, Claude sort deux sarraus de l’armoire et les donne aux filles pour qu'elles les mettent et seulement leur chaussure. Leurs vêtements vont au lavage et leur effet personnel arriverons en fin d’après-midi par transport. Diane lui demande si elles feront la visite que Claude leur avait dit avec uniquement un sarrau sur le dos. Claude lui répond que oui, ses vêtements ont l’air trop sale. Maintenant, on va tous manger et après, c'est la visite, Diane lui dit qu’elle ne sait pas si elle pourra s’asseoir pour manger, elle a trop mal aux fesses.

Moi, je laisse mes adjointes avec leurs nouvelles arrivées et je rejoins mon collègue Gilles, le directeur général de l’institut. On a un repas conférence dans un restaurant avec le ministère de la Justice et les autres directeurs des instituts comme le nôtre pour les nouvelles directives.

          


  


             

                 

                   

           

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...