Lucia est une des assistantes de Julio le chef du vignoble du Domaine richard
Mais depuis une semaine, Lucia a l’aide de Maude et Maryse, deux des
filles des propriétaires qui sont en congé scolaire. Le surplus
d’ouvrage qu’occasionnent les vendanges et notre manque de personnel ne
nous donne pas le choix, tout l’aide disponible, on l’utilise. Avec
Maude tout va bien, elle fait tout ce qu’on lui demande, elle doit
encore avoir en tête la punition qu’elle a subie ici, il y a un quelques
mois devant les employés.
Mais pour Maryse, c'est tout
autre chose, elle n’écoute pas du tout les consigne de Lucia qui
l’envoie travailler dans les entrepôts avec d’autres employés pour
apprendre comment se passe le temps des vendanges. Mais elle revient
toujours au magasin qu’on a pour la vente des produits du vignoble et/ou
les gens se présente pour les visites guidées qui sont disponibles.
Moi, Julio, le grand patron de ce vignoble, je n’ai pas le temps de
gérer tous ces employés-là. À cette époque de l’année je suis occupé a
la récolte du raisin et de tout le déroulement qui entoure cela. Dès le
lever du soleil jusqu’au coucher et même plus tard parfois. Ce matin,
je reçois un appel de Claude, ma nièce qui est la propriétaire de ce
vignoble et la mère adoptive des deux filles Maryse et Maude.
Bonjour Claude, qu’est qui vaut ton appelle, as-tu un problème.
C'est très rare qu’on se parle en pleine semaine et surtout toi qui
m'appelle occuper comme tu es ça doit être très sérieux.
Oui, me dit-elle, c’est ta nièce Lucia, elle vient tout juste de me parler. Et selon elle Maryse lui occasionne des problèmes. Paraîtrait que Maryse est arrogante avec elle et le personnel et en fait qu’à sa tête, est-ce vrai. Bien oui Claude, j’ai parlé personnellement avec Maryse hier et je l’ai prévenue que si elle ne changeait pas, je lui réservais une bonne punition. Mais je vois que ça n’a pas changé puisque tu m’appelles et que Lucia t'a dérangé elle aussi. Claude me dit qu’elle a donné l’autorisation à Lucia de la punir à sa manière et même si Maryse a dix-huit ans et qu’elle fait partie des propriétaires du domaine. Lucia a tous les droits de lui donner une punition, une fessée et qu’elle ne se gêne pas devant tous tes employés si elle le désire. J'aimerais que tu rappelles Lucia me demande-t-elle pour lui dire toi aussi qu’elle ne se gêne pas pour la punir ou toi Julio si Lucia n’ose pas le faire. Claude me dit qu'elle en pour encore jusqu’à demain à être à paris. C'est pour ça qu'elle ne peut pas m’occuper elle-même de Maryse, car les fesses lui chaufferaient si elle était à la maison présentement. C’est très bien Claude, lui dis-je, m’en occupe immédiatement, j’appelle Lucia, bonne journée.
Lucia-
Apprêt avoir reçu l’appelle de Julio. Je sors de mon bureau, il y a une bouteille de vin qui traîne sur mon meuble et je l'amène avec moi pour la replacer dans les tablettes en même temps que je vais vérifier ce qui se passe. Je traverse la boutique, voire Maryse qui est encore revenue dans la boutique de vente et a l'air agressive envers mon employée. Justement, Maryse est en train d'envoyer mon employée travailler dans les entrepôts. C'est elle Maryse qui va s’occuper de la boutique lui dit elle. J'ai déjà pourtant défendu à Maryse cette semaine de déplacer les employés sans mon accord. Elle n’a aucune expérience et connaissance dans les vins, ce n’est pas à elle de décider ou doit aller travailler les employés. Et en plus la fille que Maryse envoie est très compétente où elle est. Je demande à Francine l’employer que Maryse avait dit de partir, de rester en poste. Le mobile de Maryse somme et c’est sa mère Claude qui l’appelle, quelques secondes plus tard Maryse raccroche et est très contrariée de ce que vient de lui dire Claude. Elle me dit que Claude vient de l’avertir que moi, j'avais pleinement le droit de la punir. Je lui dis que j'étais déjà au courant, Claude venait tout juste de me donné la permission de la punir si elle continuait à être si arrogante et impolie.
Maryse me met en garde devant deux couples des clients qui étaient devant nous pour des achats de ne surtout pas s'essayer de la punir. Que je n’ai aucun droit sur elle en rajoutant quelques insultes. La femme de l’un des deux couples nous regarde tous les deux, Maryse et moi et demande à sa fille d’environs 13 ans. Patricia, qu’est-ce qui t’arrive si tu oses être impolie envers nous comme la jeune fille qui est devant nous (en parlant de Maryse) l'a été avec sa patronne. Patricia hésite, sa face rougie par la gêne. Pour faire réagir sa fille, sa mère lui donne une petite claque sur les fesses pour qu'elle réponde à ma question, qui d'après-moi n'est pas si indiscrète que ça. Ne sois pas gêné de parler de tes punitions que tu reçois Patricia, quand tu es impolie, ou c’est moi qui leur dit. Patricia se décide à répondre.Quand je suis impolie ou je fais des gaffes, c'est une fessée que je reçois toute timide, en tenant sa tête baissée et regardant le plancher, nous répond elle. Sa mère rajoute, ça la gêne qui la retient de parler, qu'elle reçoit la fessée à son âge. Parce que en temps normal Patricia parle beaucoup. Et je ne me gêne pas pour lui mettre les fesses à l’air. Habituellement, c'est dans le salon et très souvent nue que je la puni. Et devant tout le monde qui si trouve que je punis Patricia et sa sœur aussi, ma plus vielle, et elle a presque 16. Étrangers ou visite, cela n'a pas de différence. Si je dois les punir, c'est dans le salon et pas ailleurs que ça se passe. Sa mère rajoute, je n’en reviens pas comment cette jeune fille est insolente envers sa patronne, en s’adressant à Maryse, elle continue à s'adresser à Maryse. Ma Belle, une chance que tu n’es pas ma fille, lui dit-elle, les fesses te chaufferait.
Je fais sortir mes clients et invités avec moi et les amène à notre terrasse privée où on mange le midi, et je leur serre chacun verre de notre meilleur vin. Sauf Patricia bien entendu pour elle c'est un breuvage non alcoolisé. Maryse et Fabien attendent. Je demande à Fabien de changer sa prise. Fabien croise les bras de Maryse dans son dos s'il te plaît, lui demandai-je, et maintien là solidement sans la lâcher, je veux que Patricia s'approche de la table. Fabien m'obéi, l'emprisonne et approche Maryse à l’extrémité de la table à pique-nique. Maryse s'approche de la table malgré elle, poussé par Fabien, et ses cuisses touchent le bord de la table. Je demande à Maryse de se penchée sur la table et écrasé son ventre et sa poitrine sur le dessus de la table. Elle résiste, ne veux pas se pencher, elle se doute trop bien à quoi je veux en arriver, mais avec un peu d’aide de Fabien, elle est vite étendue, la face collée sur la table et les fesses bien exposées. Je me penche et regarde le postérieur de Maryse et sa robe qui recouvre encore ses fesses, juste à la limite de pouvoir voir sa culotte. Fabien lui maintient fermement les bras croisés dans son dos. Elle est immobile sans pouvoir bouger et me supplie de la laisser.
Maryse est furieuse, proteste et essaie de se dégager, mais ne peut rien
faire, Fabien l’immobilise. Elle peut juste se plaindre, et personne
autour d'elle s'occupe de ses plaintes. Arrête de parler, lui dis-je, et
je lui claque les fesses avec ma main pour qu’elle se ferme. Quand
as-tu été puni la dernière fois, c'est très récent à ce que l'ont peu
voir. Ça doit faire à peine quelques heures. Tes fesses ont encore des
marques rouges. Maryse, encore aussi furieuse, me répond de me mêler de
mes affaires, que ce n’est pas le résultat d'une fessée ces marques et
ce n’est pas de mes affaires les plaques rouges. C'est supposer, rester
intime cette endroit-là.
Tu vois Patricia la différence avec toi
et Maryse. C'est que Maryse est chanceuse elle. Je ne la ferais pas
déshabiller nu devant toi. Mais pour la fessée, même si elle proteste de
toutes ses forces. J'ai décidé qu'elle va la recevoir, fesse a l’air
dehors ici devant tout le monde comme une petite fille impolie le
mérite. Mais même si son petit sous-vêtement nous laisse voire ses
fesses et qu’elle n’est pas d’accord avec ce que je vais lui faire, je
ne gênerai surtout pas pour lui baisser à ses chevilles. Ça va être plus
humiliant pour elle et plus intéressant pour nous de pouvoir voir ses
parties plus intimes, et penché comme est Maryse présentement et ses
fesses aussi bien exposées, son intimité est dure à rester caché. Je pose ma main droite sur le commencement de sa raie. Je prend le cordon de son string qui sort de sa raie et descend le tout a ses chevilles.
J’arrête de parler et je commence à lui claquer les fesses sans ménager
la force que j’emploie. Je lui claque chaque fesse à un rythme très
rapide. Maryse essaie de retenir ses cris de douleur, mais ses plus fort
qu’elle et supplie d’arrêter. Ses fesses rougissent très rapidement,
elles ont pris une belle couleur. Maryse n’est plus capable de garder
ses jambes collées, ses jambes bougent et s’écartent assez pour qu’on
voie son petit piercing vaginal à l'endroit qu’on appelle fourchette, ou
se rejoigne ses petites lèvres. Il y a un petit anneau et je la fais
remarquer à tous en la touchant et reprend ou j'ai arrêté.
Après lui
avoir claqué les fesses une minute et demie ou un peu plus, j’arrête. Je
demande à la jeune Patricia et les autres si les fesses de Maryse sont
assez rouges, ç'a l'air satisfaisant. Je me retourne ensuite vers Fabien
et lui demande s’il veut bien ne prêter sa ceinture qu’il porte à sa
taille. J'ai décidé de faire un petit ajout, un extra à sa punition.
Fabien la retire et me la donne. Maryse, elle pleurniche et me supplie
de la lâcher. Mais ce n’est pas encore fini, lui dis-je, en pliant la
ceinture en deux. Maintenant ma belle Maryse pour ton arrogance et tes
sauts d’humeur, je te rajoute un extra sur ta punition 10 coups de
ceinture. Ne lâche surtout pas ta prise, dis-je à Fabien. Maryse n'a pas
fini d'avoir mal à ses fesses avec la ceinture. J’applique le premier
et Maryse lâche un cri, elle hurle.
Je continue à frapper ses fesses
sans m’occuper de ses cris et ses pleurnichardes de bébé. Je me rends
jusqu’au dixième. Les coups de ceinture sont visibles sur ses fesses ou
peut compter presque chaque coup de ceinture que Maryse a reçu en
travers de ses fesses. Je fais remarquer encore une fois à Patricia et
les autres son piercing intime et demande à Fabien de la redresser
debout sans lâcher sa prise sur les bras de Maryse. Maryse espérait que
sa robe descende de par elle-même par la gravité. Mais elle reste en
place dans son dos, ses bras sont retenus croisés dans son dos par
Fabien, et sa robe aussi reste coincée avec ses bras, ses fesses restent
bien exposées.
Debout Maryse pleure comme une petite fille et demande a Fabien de la lâcher. Elle veut redescendre sa robe, mais Fabien la retient toujours et la robe aussi avec ses doigts pour qu’on admire le résultat de la fessée, la belle couleur de ses fesses. Patricia dit à sa mère à comparer à mes punitions et celle de ma sœur Maryse s’en tire bien. Elle a montré juste ses fesses. Moi, c'est toujours nu que je dois rester et les mains sur la tête après m'être fait rougir les fesses.
Je reprends la ceinture que j’avais mise sur la table, la replie en deux et frappe avec mon autre main en disant à Maryse. J'ai changé d’idée maintenant et tout le monde va être d'accord avec moi ici. Tu enlèves ta robe et ton soutien, c'est nu que tu passeras les 30 prochaines minute devant nous. Tu te mets à poil et reste au piquet 30 minutes ici au centre de la terrasse. Tu m'as bien comprise Maryse sinon je te claque les fesses jusqu’à temps que tu te déshabilles. Il faut que tu nous montres ton joli corps et tes fesses. On veut tous vérifier le résultat de ta fessée et terminer ta punition aussi, pendant que moi et nos invités ferons la dégustation de quelques produits de notre vignoble. Fabien va aider Francine s’il te plaît à préparer d'autre produit pour notre dégustation et quelques bons fromages que ma cousine produit juste ici en face de l'autre côté du chemin. Je vois que Maryse ne veut pas enlever sa robe, elle la tient par le bas avec ses mains et refuse de l’enlever. Très bien Maryse, je vais obliger à obéir si tu refuses. Je m’approche d’elle et lui donne un bon coup de ceinture sur ses fesses. Maryse, je retourne face à moi pour éviter que je lui frappe encore ses fesses. Ok Lucia arrête se t’en prie plus de ça mes fesses me font assez mal. Je t’en prie, plus de coups sur mes fesses, je l’enlève. En se retournant dos à nous, elle défait les boutons un par un de haut en bas à l’avant de sa robe jusqu’au dernier et la robe rouvre en deux. Tu vois Patricia comment Maryse est rendue obéissante. Maintenant, elle va être punie comme tu me l’as suggéré, peu importe l’âge et le lieu, quand une grande isolante mérite d’être punie, on la punie comme elle le mérite.
Maryse est maintenant nue. Je lui demande de se positionner au
centre et lui dit ma belle, c'est très humiliant d’être nu en public et
je le s'ai moi aussi, je l'ai déjà été punie ici même sur cette
terrasse. Maryse, ça fait seulement quelques mois ou un an, peu-être que
Claude t'a adoptée. Connaissant très bien ta mère Claude, je sais que
ce n’est pas la première fessée que tu reçois depuis que tu restes au
domaine. Je la connais bien Claude et je peux te confirmer qu’au même
endroit que nous sommes, Claude ta mère et moi-même, il y a cinq ans, on
reçut chacune fessée ici même nue. Tu t’imagines Claude qui à l'époque
avait vingt-cinq ans et moi, j'en avais vingt-deux, devant tous les
employés de vignoble pendant le repas du midi et à l'âge que j'avais,
recevoir une fessée et nu devant d'autres collègues. Toutes les deux
attachés au centre ici, c’est mon oncle Julio qui nous a fouetté les
fesses. On a eu droit à 20 coups chacune. Après toutes les deux on à
passé le reste de la journée nu à travailler dans les entrepôts devant
les autres employés et les visiteurs qui venaient. Toi, à dix-huit ans,
encore une gamine, ce n'est pas si pire que ça, être punie, une fessée,
ça fait juste faire réfléchir une grande effrontée comme toi.
En s’exhibant ainsi nu et en face de nous, Maryse nous laisse, voire
son joli corps et sa petite ligne de duvet qui arrête au début de sa
fente. Patricia me fait remarquer que Maryse a un deuxième piercing,
cette fois-ci c’est une petite boule juste à la fin de ses grandes
lèvres, au haut de son clito, à la fin de sa fente. Je lui demande,
Claude à surement déjà vue tes piercings . Vous êtes toujours nus à la
piscine le maillot ne se porte pas chez toi. J'en ai déjà fait moi-même
l’expérience plusieurs fois pour avoir été me baigner chez toi et ça me
plait beaucoup à chaque fois que je rends visite à Claude. En plus de
la baignade nue, si tu as un petit copain, lui, il doit aimer ça,
aller jouer sur ta boule en haut de ta fente.
Maryse
très mal à l’aise se croise les jambes et me dit qu’elle n’a pas de
petit copain. Cela fait seulement quelques jours que Claude s'en est
aperçue. Et pour, elle aussi, c'est nouveau. Elle nous dit que ça fait
moins d'un mois qu'elle s'est fait installer ces piercings. Quand
Claude, c'est rendu compte qu’elle avait des piercings à ces endroits
-là. Claude l'aurait sévèrement punie sur les genoux à la main et
ensuite Claude a pris une brosse à cheveux et lui aurait claqué les
fesses jusqu’elle la supplie d’arrêter.
Maryse
C’est pour ça que tu as vu des marques encore visibles après deux jours. A la fin de la semaine dernière, vendredi matin, le lendemain de ma punition à l’institut ST-Thomas. Une de mes profs a décidé de faire une vérification surprise à l’entrée de la salle de cours pour notre tenue vestimentaire, ce qu’ils font assez régulièrement chez les filles. On doit remonter notre jupe pour montrer si on porte la culotte de coton réglementaire qui nous recouvrent les fesses. C’était seulement quelques heures après ma punition. J'avais le haut de mes cuisses rouges et en relevant ma jupe la prof et mes camarades ont tous vue le haut de mes cuisses et ont vite fait le lien avec mes fesses qui devait être aussi rouges sous ma culotte. Mes camarades ont tous ris de voir mon derrière mal en point. J’étais gênée. J'ai même eu du mal à poser mes fesses sur ma chaise. Même que ma prof pour m'humilier plus m'a demandé si je voulais rester debout pour son cours et si je voulais enlever ma jupe et ma culotte. Car selon elle, j'avais l’air à avoir du mal à supporter ma culotte et ma jupe qui frottait sur mes fesses, selon elle mes fesses avait l’air à me faire mal.
Plus tard après notre petite dégustation avec les clients Maryse étant toujours debout nu mains sur la tête. Je demande à Maryse de demander pardon à nos invités pour son manque de politesse et de les remercier pour avoir assister à sa punition. elle s’exécute poliment, je lui donne la permission de se rhabillé et d’aller travailler dans les entrepôts avec les autre. Fabien lui redonne son string Maryse c’est empresser de de l’enfiler, pendant que Maryse se rhabille devant nous je dis aux invités et clients qui sont avec moi sur la terrasse, des fois ça prend une bonne fessée pour faire réfléchir une fille lui montré qui est le patron. La mère de Patricia me questionne sur ce que j’avais dit au sujet de mes punitions ici et si c’était vrai. Oui je vous le dit sans aucune honte ici même sous cette arbre j’ai reçu plusieurs punition Jai déjà été très rebelle Monica et mon oncle m’ont apprise que ce n’était pas ça la manière de vivre se foutre de tout l’monde.
Mes fesses on beaucoup souffertes et mon intimité aussi demander à Fabien lui ça fait 12 ans qu’il travaille ici il m’a déjà vu ici sur cette terrasse ou dans l’atelier nu me faire claquer les fesses. J’ai toujours survécu à mes fessée mais mon orgueil elle j’ose pas trop en parler quand a l’occasion les employées se mettre à parler des punitions qui se sont donner ici et surtout les miennes mes punitions en mangeant tous ensemble ça me gêne sa m’humilie d’entendre dire qu’ils adorait ça me voire nu quand mon oncle me ramassait par un bras rouge de colère.
Les collègues me disent, on avait tous hâte que Julio te fasse déshabiller. Ça me gêne a chaque fois qu'ils en parlent. Même si je sais que ce soit moi ou Maryse qui serait nu cette après-midi, on est toutes faites pareille. Mais c’est notre pudeur qui en prend un coup. Patricia la punition que Maryse a reçue tout à l’heure, ce n'est rien à comparer à moi ce que j'ai reçu la dernière fois. Il y a 6 ans, j'avais 21 ans à l’époque, une de mes dernières punitions et la pire. J'ai été punie toute une semaine cinq jours d’affilée. Julio et Monica qui dirigent le vignoble ou voulu me dompter, me donner une vraie leçon cette fois-là, ils m'ont punie très durement et ça m’a fait réfléchir.
À tous les matins, Monica m’attendait dans l’atelier et me donnait 20 coups de strap pour que mes fesses deviennent colorées et le restent toute la matinée.Le midi, je recevais une autre fessée, encore 20 coups de strap sur mes fesses, toujours nu ici sur cette terrasse, demande à Fabien. Il peut certifier mes dires. Il en a été témoin avec les autres employés. Et en plus j'ai été privé de vêtement durant ces cinq jours qu’a duré ma punition. J'ai dû travailler nu privé de mes vêtements dans un des entrepôts le plus achalandé, le no 3 au fond là-bas, devant les gens qui circulaient. Visiteur, employé, livreur tous me voyaient nu. je te dis Patricia quand tu es nu devant 20, 30 personnes et plus et que tu es la seule en plus à être nu, tous les autre sont vêtus, c'est humiliant. Ce n’est pas pareil qu'entre amies et on est toutes nues sur le bord d’une piscine. Si j’essayais de me cacher, me mettre à labris des regards, Monica avait donné l’ordre à un des employés qui me surveillait au travail de me punir sur place.
Monica me donnait des endroits pour travailler ou la
circulation était la plus dance. Et même ma mère, elle aussi, elle
m’obligeait à sortir nu le matin, traverser le petit sentier en
arrière, à l'époque, on habitait dans la maison à côté. Ma mère voulait
que j'arrive ici nu durant mes cinq jours pour commencer ma journée, je
sortais de la maison que j’habitais jus à côté, on la voie là-bas dans
les arbres et je traversais ici nu pour travailler.
Fabien-
Oui, c'est bien vrai ce qu’elle vos dit Lucia, et un an plus tard avec
Claude la mère de Maryse et elle Lucia qui ans trois ans de plus jeune
que Claude. les deux ont été punies ensemble ici dehors. Elles étaient à
l’époque très complice, de très bonne amie et les deux. Ce jours-là,
elles ont refait une autre bêtise et cette fois-ci les deux ont été
punies ensemble. Vous voyez le poteau ici sur le côté gauche de la
terrasse et l’autre poteau a la droite qui sert de support pour les
lumières. Claude et Maryse ont été attacher à chacun de ces poteaux,
l'une par un poteau, par un poignet et l'autre par un poignet à l'autre
poteau et au centre, elle étaient attachées l'une à l'autre par leurs
poignets. Les deux filles étaient au centre de la terrasse nue les bras
écartés attaché l’une a un poteau et l’autre à l’autre poteau et les
poignets relier ensemble. C’était la première fois que deux filles ou
des employées recevait une punition ensemble et attacher ainsi au beau
milieu de la terrasse. Je m’en souviens très bien, trente coups de
ceinture a chacune, Lucia en a eu pour deux jours à s’assoir.