vendredi 29 mai 2020

Sandra a peur a ses fesses à l'institut devant le directeur le tag 2




Saint-Thomas - Le tag (2)



Monsieur Delavarenne (directeur)

 

J’ai fait placer Marie face au mur, le nez coller sur ce mur avec l'interdiction de décoller son nez, montrant ses fesses rondes et bien rouges. Ma secrétaire vient me porter les dossiers de Marie et Sandra et en profite pour regarder les belles fesses rouges de Marie en passant. J’attends tranquillement l’arrivée de Sandra qu’un surveillant est allé chercher. Je répète à Marie qu’elle est une traître d’avoir balancé son amie pour sauver ses fesses, et je m’occuperai d'elle plus tard, pour l’instant, c'est Sandra à qui je veux parler. Celle-là, je ne vais lui faire payer cher son insolence.
                                                                
Un coup sur la porte je dis entrer, le surveillant entre avec Sandra.
— C’est bon, vous, pouvez-nous laisser, mais j’aurai besoin de vous plus tard, M Lepetit.
Le surveillant se retourne et sort, avec un grand sourire quand il a regardé les fesses de Marie.
 Moi, je regarde Sandra qui se tient devant mon bureau, visiblement inquiète d’être convoquée ici et de voir Marie, son amie face au mur nue et les fesses rouges. Physiquement, cette fille n’est pas mal. Un joli visage à la peau pâle et parsemée de quelques petites taches de rousseurs, encadré par des cheveux très roux, mi-longs et tombe sur ses seins. Une poitrine qui pointe un peu sous le chemisier, une taille fine qui met en valeur le galbe des hanches puis des cuisses superbes. Mais bon, ce n’est pas le sujet.

— Alors Sandra, vous n’avez rien à me dire ?, C'est pour cela que je vous ai fait venir pour me parler de ce que vous savez Mlle.
Comme le silence se prolonge, je reprends.
— Pas trop inquiète d’être convoquée dans le bureau du chef du bagne ?
Là, je remarque qu’elle a tressailli.
— Vous savez que dans les bagnes, les directeurs ont tous les pouvoirs ? Vous devez savoir aussi que le chef n’aiment pas les fortes têtes ?
 Sandra est de plus en plus pâle, mais ne sait que répondre.
— Vous savez comment les directeurs trouvent les responsables des désordres ? Je vais vous le dire moi… Dans un bagne, il y a toujours des faibles pour vendre les autres, en plus clair pour sauver ses fesses.
 Sandra a compris qu’elle a été dénoncée. Elle aurait dû rester discrète, mais quelque, fois, c'est si bon de se vanter de ses bêtises à ses amies. Je me doute que sa peur monte, elle connait ma réputation et j’ai promis devant tout le monde hier midi que je ne raterai pas le coupable.
 — Retournez-vous, Mlle. et dites-moi ce que vous voyez dans le coin.
Sandra se retourne et reconnait Marie même si celle-ci a le nez collé au mur et lui fait dos.
— C’est Marie, monsieur.
— Non, ce n’est pas Marie, c’est la froussarde qui vous a dénoncée pour sauver ses fesses. Regarde comme elles sont bien rouges ses jolies petites fesses. Elle a voulu me niaiser et elle a écopé d’une fessée, 15 coups de strappe ça délie des langues.

 Je crois que ton amie Marie n'a pas aimée se faire rougir les fesses et elle a tout avouer. Si elle ne veut pas coopérer la prochaine fois, je lui ai promis qu'elle va montrer ses jolies fesses en public et pour plusieurs jours. Ici la pudeur dans un Bagne ça n’existe pas. Vous pouvez vous rhabiller mademoiselle Esteban. On se revoit plus tard après le repas. Je n'en ai pas fini avec vous, mais compter vous chanceuse de sortir d’ici avec vos vêtements, ça m’a passé par l’idée de vous renvoyer nue à vos cours pour le reste de la journée.

Marie se retourne, le regard pointé vers le sol et vient chercher ses vêtements qui sont posés juste en face de Sandra. Elle n’ose pas regarder Sandra. Sous mon regard et celui de sa copine – mais est-ce encore une copine ?  Elle s’habille le plus vite possible avant que je ne change d’idée et elle sort rapidement.
— C’est bon, et merci encore pour votre aide, lui dis-je, juste avant qu’elle ferme là porte, et on se revoie plus tard, Marie.
Je fixe mon regard sur Sandra.
— Alors, vous reconnaissez être l’auteure du tag ?
— Oui monsieur, répond Sandra en baissant les yeux.

 — Comme vous semblez croire que cet institut est un bagne, nous allons vous donner raison. Dans un bagne, pour les fortes têtes, c'est la punition, le fouet, l’humiliation en public, mitard et travaux forcés. Le programme vous convient ?
Sandra me regarde avec de grands yeux… Je pense qu’elle ne comprend pas trop où je veux en venir et c’est bien mon but. La peur fait partie de la punition.


— Sandra, déshabillez-vous, donnez-moi votre uniforme de l'institut. Vous ne méritez pas de le porter. Des vêtements et surtout l’uniforme de l’institut pendant vos jours de mitard son interdit. Une forte tête dans u bagne se mérite la plus sévère punition qui existe, le niveau trois. Sandra ne s'oppose pas et enlève sa veste et son chemisier très rapidement. Le chemisier posé sur une chaise est rapidement rejoint par la jupe plissée. Sandra n’est plus couverte que par sa culotte et son soutien-gorge.

 Tu es une bonne fille Sandra. J'aime ça les filles qui obéissent sans rouspéter. Je prends plaisir à regarder sa poitrine pendant qu’elle la dévoile en retirant son soutien quels beaux petits seins. Deux jolis seins bien ronds avec de petites aréoles rose clair mettant en valeur une peau très blanche parsemée de quelques petites taches de rousseur. 

Elle essaie de se cacher la poitrine, mais avec ses mains sur ses seins enlever sa culotte est impossible. Donc elle est bien obligée malgré elle de me laisser voir ses petits seins tout mignons. Je suis ensuite du regard la culotte qui descend le long de ses fines jambes. Le sexe est rasé à l’exception d’une toute petite touffe de poils roux, formant comme une goutte au-dessus de la fente. 

Je lui demande de se tourner pour regarder ses belles fesses bien rondes. Elle s’empresse de cacher son sexe quand elle se rend compte que je la regarde de la tête au pied, et se tourne pour que j'admire ses fesses. Je t’ai dit de tout enlever ma belle il reste les bas et tes chaussures il faut tout enlevé. Je te veux complètement nue de la tête aux pieds. 

Sandra se penche pour enlever ses chaussures et ses bas. Ça me permet d’admirer ses petits seins pendant que ma secrétaire revient faire un tour surement pour admirer Sandra. Sandra s'aperçoit que ma secrétaire est derrière elle et en apercevant la secrétaire, Sandra qui est encore accroupie pour enlever ses bas se croise les bras autour d'elle pour se cacher, gêné d'être nue. Elle fait partie de ces filles dont la fente est bien fermée, les grandes lèvres cachant tous les trésors plus secrets. 

Relève-toi Sandra, c'est un ordre et laisse tes bras de chaque côté de ton corps. Ma secrétaire veut te regarder alors montre y ce qu'elle veut voire. On regarde Sandra se relever et elle étend ses bras de chaque côté de son corps. Ma secrétaire adore ça quand j'ai des étudiants nus ici. Elle prend le temps de regarder Sandra en virant autour d'elle.

 — Suivez-moi Mlle.

Je m’aperçois que le temps passe vite. Ma secrétaire retourne et moi je fait avancer Sandra derrière pour qu'on sorte nous aussi. je suis obliger de pousser Sandra et de lui claquer les fesses pour la faire avancer et traverser le secrétariat. La secrétaire en profite encore une fois pour regarder passer Sandra nue devant elle. J'ouvre la porte donnant sur le grand hall. Sandra me regarde, mais semble figée, cachant toujours son intimité le plus possible. 
 
Elle n’arrive pas à faire les quelques pas qui la feront sortir du bureau nue dans l’immense hall d'entrée. Je suis encore obligé de lui claquer les fesses quatre bonnes claque cette fois-ci deux sur chacune de ses fesses pour qu'elle sorte. Malheureusement le hall est vide, même pas une employée d'entretien, personne.
 
Elle a compris que j’ai l’intention de l’humilier en la faisant parader nue dans les couloirs. Elle s’en veut surement d’avoir écrit ce mot sur le mur. C’est beaucoup moins drôle maintenant qu’elle comprend qu’elle va payer très cher son action. Finalement, elle avance lentement, Sandra, si tu n'avances pas assez vite, je vais chercher la palette de bois dans le bureau et je te chauffe les fesses avec, tu vas bouger, non M. j'avance promis. 
 
---Mais le plancher est froid M. ce n'est pas agréable d'être pieds nus. 
 
----Deux autres claques atterrisse sur ses fesses. Ne t'occupe pas de ça et avance, tu restes dans cette tenue pour la journée en ne questionne plus pour tes vêtements, je te les ai confisqués. Ce n'est pas pour que tu sois confortable que je te puni c'est pour t'humilier, alors avance. Elle garde son regard droit devant elle, gêner d’être nue dans le hall. Et elle espère surtout de ne pas croiser personne.

 

Sandra

 

Le couloir est vide. Ça m'enlève un gros stresse pour l'instant, du moins, il n'y a personne. À tout moment quelqu’un peut passer et me voir. Je ne croyais jamais que d’être nue dans un lieu public et sachant que tout le monde peut me voir, c’est aussi gênant et humiliant. Ça me paralyse les jambes. Les dalles me paraissent froides sous mes pieds nus et le directeur me claque les fesses pour que j’avance plus vite. Il me fait descendre au sous-sol. Ça me parait une éternité d’être dans l'escalier et entrer dans ce couloir nue. En face de nous, ce sont les gymnases pleins d'étudiants qui jouent, j'espère que le directeur ne m'amène pas là. Je n’ose pas poser de question sur notre destination, je suis assez nerveuse comme ça j'aime mieux le suivre. Je suis beaucoup trop stressé à l’idée que je peux être vu nue, j'en tremble. je sais maintenant ce que ressentent les étudiants qui sont en punition et privé de leurs vêtements et qu’on aimait voir défilés nus autour de nous, Marie et moi. Marie fantasmait à l’idée de se faire punir nue devant des gens, à présent, je ne trouve pas ça pas agréable et confortable d'être nu dans un établissement public. j'ai ma réponse sur notre destination. Le directeur s'arrête et frappe à la porte du bureau de l'atelier de M. Ponge une autre humiliation, entrer nu dans cet atelier sans savoir qui si trouve.

Monsieur Ponge et M. Lepetit si trouvent avec Ginette, l'assistante de M.Ponge. Ils se lèvent tous les trois à l’entrée du directeur etils sont tous surpris en me regardant nue devant eux. Je fige de honte devant eux, nue. M. Lepetit me connait bien, car je suis déjà passée dans le bureau pour une petite réprimande qui m'a (valu) quelques coups de lanière sur mes fesses. Jupe et ma culotte enlevées et il m’a dit que j’avais été chanceuse de ne pas les avoir reçus dans ma classe et nue. Le directeur a pris la parole. M Lepetit lève les yeux vers lui, quittant enfin du regard mon corps. Le directeur demande M Ponge, j'ai amené Sandra ici pour que vous lui fassiez nettoyer sa cochonnerie qu'elle a faite dehors sur le mur. M Ponge lui demande. Dois-je la faire sortir nue M. ? ou c'est peut-être mieux de lui donner un sarrau et des chaussures pour nettoyer le mur, À mon gout à moi, je préfèrerai la garder nue. Mais c'est dans la rue apprêt tout. Non, pas de vêtements, M. Ponge réplique le dirlo. Vous la faites sortir nue dans la rue pour son nettoyage. Pour sa pudeur, je m'en fous totalement et les gens dans la rue vont aimer la regarder frotter sa cochonnerie qu'elle a faite, si elle ne veut pas obéir ne vous gênez surtout pas chauffer lui les fesses. Et le travail qui soit fini ou non, Sandra doit être de retour à 11 h 15 à mon bureau, elle retournera le finir plus tard si nécessaire. Son assistante Ginette qui est en face de moi et me regarde depuis que je suis entré commence à me dire. Belle fille, j'espère pour toi que la rue sera vide sinon tu seras populaire.


 Sandra

----- Ce n’est pas sérieux ce que vous, dite M. sortir sur le trottoir nu. Il y a du monde qui circule, jamais personne ne circule nu sur une voie public, je refuse d’aller dehors sur la rue, c'est déjà assez humiliant d’être nu ici, je ne vais pas dehors.
 

---- Très bien Sandra, si tu refuses, M Ponge va sortir la palette de bois et il va te chauffer les fesses jusqu'à temps que tu le supplies d'arrêter. Tu iras pareille nettoyer le mur, mais avec un sacré mal de fesses et bien rouges.


Sandra

 Je regarde M. Ponge qui par chercher la palette a fessé et s'approche de moi. Je me retourne et me colle les fesses sur le mur en arrière de moi, je lui demande de ne pas faire ça.
---C’est toi qui décides Sandra.
J'entends M.Ponge demander à M Lepetit, placez-moi Sandra au centre ici et tenez-la fermement, elle va regretter d'avoir refuser.

 Sandra

--- M Lepetit me serre les bras très fort, ça me fait mal et me déplace au centre sans que je puise rien faire d’autre que de suivre. Il est beaucoup plus fort que moi. M.Ponge me donne un coup avec cette palette qui me fait hurler la douleur, c’est terrible comment cette palette fait mal aux fesses. Je demande qu’il arrête dès le premier coup et j’accepte d’aller nettoyer mon graffiti même si je dois sortir nue dans la rue. M le directeur me dit, tu vois comment on oblige une fille à obéir.


 Sandra

--- Lepetit et le directeur sortent de l’atelier, me laissant face à face et nue avec M Ponge et son adjointe. Voyant le regard que ceux-ci posent sur mon corps, je commence à être humilié. Je cherche à me cacher le plus possible, posant une main sur mon sexe et l’autre bras en travers de ma poitrine. Un réflexe pour moi important protègent ma pudeur, mais idiot aux yeux de M.Ponge qui le fait sourire.

 M.Ponge

— Les mains sur la tête, Sandra. Tu fais moins la maline maintenant… Je te conseille de m’obéir sans la moindre hésitation si tu ne veux pas que ta situation s’aggrave encore plus, et que je me serve de la palette. Je m’aperçois que tu as déjà goutté à quelques claques, tes fesses ont une petite rougeur.

 

---Il me regarde rougir en posant mes mains sur ma tête, je les laisse voir ce qu’ils voulaient voir son assistante et lui. Je sais que je rougis facilement et qu’avec ma peau de rousse cela se voit bien, je n'aime pas cela, rougir si facilement, mais je n’y peux rien.

 M.Ponge

— Je vois que tu ne fais pas ta maline aujourd’hui, tu te tiens tranquille nue devant nous. Bonne fille, tu crains pour tes fesses. Je te promets que je vais y mettre tout mon cœur quand sera venu le moment de te punir si tu t’entêtes à ne pas obéir. Je suis sûr que tes fesses ne vont pas rester blanches toute la journée.
Je sais bien que c’est le surveillant général qui se charge des punitions, mais ici dans mon atelier, c'est moi.

 — Bon, c'est bien beau parler de tes fesses, mais le devoir nous appelle. Suis-moi et garde tes mains où elles sont. Je suis sûr que tu vas me trouver gentil. Je te donne notre meilleur produit et une très bonne brosse. Sinon avec un produit plus modeste, tu passeras un temps énorme à effacer ça et en plus, tu passeras plus de temps nue dehors, et plus il y aura de monde pour te regarder et te poser nue. Il va dans un coin de son antre et prend un seau, du produit et une grosse brosse. tu es chanceuse Sandra mes employées sont tous partie a leur poste à l'heure qu'il est l'atelier est vide. Juste Ginette et moi.

 Sandra

--- Je me dis que mon calvaire est sans fin. Ponge, le chef de l’entretien, a toujours des regards lubriques, il va se régaler…

 M.Ponge
— Suis-moi on sort sur le trottoir ensemble.
Il sort dans la cour et remplit le seau à un robinet et met du produit, il me tend les outils. Il ouvre la petite porte et sort dans la rue. Je sais que je dois le suivre, dehors, nue. Je tremble, je rougis encore, mais j’avance lentement.

Heureusement ce matin la rue est calme. Je frotte le plus fort et le plus vite possible. Ponge me regarde en ricanant. Il a tenu parole, son produit est efficace et le tag se diluent. Une voiture passe, ralentit et klaxonne. Je sursaute, mais je ne me retourne pas. Pogne ne peut s’empêcher de faire un commentaire.
— Tu es dure avec eux, tu aurais pu leur montrer tes petits seins, ils auraient apprécié de les regarder tout comme moi. Je suis sûr que cela t’aurait plu de te retourner face a lui et de lui montrer ta chatte.
 Sandra
C’est enfin fini. Il me laisse passer devant lui pour rentrer et me colle la main aux fesses pour me féliciter de mon travail bien fait et surtout vite fait.
Revenu à l’intérieur, M Lepetit revenait me voir si j'avais fini pour me ramener en haut au bureau. Il me félicite lui aussi pour mon nettoyage rapide sans me mettre la main aux fesses lui. On est juste dans les temps pour notre rendez-vous, il me demande de le suive, et de me remettre les mains sur la tête. Traversant la porte de l'atelier pour aller prendre les escaliers qui remontent à l’administration, j'aperçois des personnes dans le couloir, je n'ai pas de chance cette fois-ci.

  Il y a des personnes dans le couloir, quatre filles que je connais très bien, ce sont mes amies et Marie est parmi elles. Je fige et par pudeur, je descends mes mains et les places pour cacher mon intimité. M Lepetit n’aime pas du tout et ça me vaut cinq bonnes claques sur les fesses devant mes amies. Je replace mes mains rapidement sur ma tête pour éviter d’autres claques sur mes fesses devant elles. Marie est là-devant moi et me regarde de la tête au pied en tournant autour de moi pour regarder mes fesses aussi. Elle fait remarquer aux autres que mes fesses sont rouges. Elle a reçu une fessée, regardez les filles la couleur de ses fesses, les autre aussi virent autour de moi pour me regarder les fesses. J'ai honte nue devant Marie et mes autres amies. Et Marie qui s'amuse à me ridiculiser. C'est la première fois que je me montre nue devant Marie et mes autres amies.


Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...