vendredi 16 septembre 2022

Sacha et Judith humilient des jeunes clients et son humiliée à leur tour

Sacha, 16 ans, et Judith, 18 ans viennent de commencer leur journée de travail à la boutique de mode familiale.

À l’intérieur de la boutique, il y a déjà quelques clientes malgré qu’il est encore tôt dans la matinée. Et arrive un couple avec ses trois enfants. Deux filles, des jumelles de 12 ans et un garçon de 15 ans. La mère et les enfants se dirigent ver la section maillot. Sacha et Judith vont toutes les deux à leur rencontre pour les servir, l’autre employée est occupée dans une autre section avec d’autres clientes. Le père lui continu dans les vêtements sport et salut Sacha et Judith en les croisant sans s’arrêter.

Mes enfants ont besoin de chacun maillot, je regarde le grand choix que vous possédez ici, c'est impressionnant.

Mes jumelles, c'est des maillots une pièce que je veux qu’elles portent à leur âge, c'est mieux qu’un bikini. Elles sont encore bien jeunes pour s’exposer, j’aime mieux qu’elles ne soient pas trop a l’air.

L’une des deux Béa proteste, elle veut un deux pièces comme une de ses amies et pointe la section des deux pièces et un en particulier.

Sa sœur Fanny, elle aussi, ne veut pas d’un maillot une pièce, elle dit à sa mère que ce n’est pas à la mode un maillot une pièce. Déjà qu'à l’école, il l’exige. Quand on est en dehors de cet établissement ont peu suive la mode, j'espère. 

 Judith s’occupe de leur frère et lui montre six modèles de maillots qui paraissent plaire à la mère et demande à son garçon d’aller à la cabine d’essayage avec Judith pendant qu’elle choisit avec ses sœurs.
Sacha commence à sortir des maillots une pièce qui semble être à leur taille pour les montrer à la mère, mais les filles, elles, elles sortent plusieurs maillots deux pièces et demande à Sacha si elles peuvent en faire l’essai. Oui, venez les filles, les cabines d’essayage pour filles sont dans l’autre coin à gauche, et Sacha les amène aux cabines pendant que leur mère regarde des maillots une pièce. Non, les filles, n’essayez pas ces maillots pour rien. Je ne veux pas que vous les portiez leur demande leur mère, mais les deux sœurs ne l’écoute pas et entre dans la même cabine d’essayage avec quelques deux-pièces pour les essayer.
Le garçon qui est installé dans la cabine et que Judith s’occupe est déjà déshabillé. Il enfile un des maillots qu’il a apporté avec lui, c’est le noir et rouge qui est plus à sa taille, et c’est celui-là qu’il préfère. Les autres ne lui plaisent pas et lui paraissent trop grands. Il ouvre la porte de sa cabine. Judith regarde le maillot qu’il a enfilé, le noir et rouge et qui lui descend à mi-cuisse. C’était son préféré, les autres étaient plus longs et avec des motifs qu’il n’aime pas. Judith entre dans la cabine, elle tire sur le maillot par en arrière, c’est beaucoup trop grand mon petit bonhomme comme elle s’amuse à l’appelé, et ça insulte le garçon. Regarde dans le miroir derrière toi, on te voit les fesses si je tire un peu dessus. Judith tire sur le maillot et regarde les fesses de Jean-Luc . Tu vas le perdre dans l’eau quand il sera mouillé, si je tire doucement par le bas, il descend facilement et il est sec sans poids rajouté par l’eau. Le cordon qui sert de ceinture est au maximum. Malheureusement pour toi mon petit bonhomme, c’est la seule taille qu’il nous reste. Enlève-le et essai un autre maillot.

Moi, c’est celui-ci que je préfère et je le garde, lui dit-il. Judith tire vers le bas et fait descendre le maillot à mi-fesses, regarde, c’est à peine si je lui touche et il descend. Tu vas montrer tes fesses et ton tout petit zizi ridicule a la piscine en public aux filles autour de toi. Il ne tient pas en place, tout le monde rira de toi avec ce petit zizi que tu as quand il va descendre. Judith, laisse descendre le maillot à ses pieds, enlève m'a ça et rhabille-toi, cache cette petite horreur. Judith sort de la cabine sans refermer la porte. Le jeune est nu devant Judith et gêner, il s’empresse de remonter le maillot et sort à son tour. Se dirige vers sa mère qui est plus loin dans les ranger de maillots.
Sacha pendant ce temps s’occupe des jumelles. Elles aussi les maillots qu’elles ont choisis sont trop grands. Sacha entre dans la cabine où elles ont entré toutes les deux et regarde. Le haut ne vous fait pas à ni l’une ni l’autre les filles. Sacha tire sur le haut des maillots. Regardez-vous, n’avez pas assez de poitrine pour ces maillots-là et la culotte aussi, ça vous prend des tailles enfant, vous êtes encore que des gamines en non des ados avec des seins. Lassez vous pousser des seins et du poil, ensuite, vous pourrez porter des vêtements sexy. Même les autres que vous avez apportées sont trop grands, enlevez-moi ces maillots, je vous ramène des maillots une-pièces comme votre mère veut que vous portiez.
Sacha baisse la culotte de Béa à ses chevilles et demande à sa sœur d’enlever, elle aussi, le maillot. Béa proteste, tu n’as pas le droit sort, je suis nue et elle remonte la culotte du maillot en place pour cacher son intimité. Sacha la regarde et lui dit, tu n’es qu’une petite gamine, tu n’as rien à cacher, ta vulve est lisse, pas de poil. Quand je garde chez ma voisine, je change des couches à des petits bébés comme vous deux, vous êtes pratiquement aux couches encore, donc aucune gêne à avoir les fesses à l’air.

Les jumelles sortent et se dirigent toutes les deux vers leurs parents. Qu’est-ce qu’il se passe ? Vous trois pourquoi êtes-vous si excités. Les jumelles se plaignent que Sacha les a traitées de gamines bébé, et est entré sans leur permission dans la cabine pendant qu’elles étaient nues pour rire d’elle et de leur corps.

 Maman, elle a été méchante avec nous. Béa rajoute, elle m’a regardée entre les jambes, ma chatte qu’elle a appelée et m’a traitée de gamine, bébé.

C’est vrai ce que vous me dites les filles ? Demande la mère.

Elle n’a pas le droit d’entrée sans permission dans des cabines d’essayage et pour vous dévêtir. C'est au client à le faire lui-même et vous insulter en plus, c’est une vendeuse, une conseillère, pas une habilleuse.

Oui maman, nous quand on manque de respect envers quelqu’un, on reçoit une punition, mais elle pourquoi elle a le droit de nous insulter sans être punie.

Son frère qui venait tout juste d’arriver lui aussi dit à ses parents. Elle aussi la brune Judith est entrée dans ma cabine. Elle a tiré sur le maillot que j’essayais, celui que je porte encore, et m'a dit qu’il était trop grand pour moi. Je le savais très bien et je voulais l’enlever. Mais elle-même me l'a baissé au lieu de ressortir et de refermer la porte et m'a regardé nu, elle c’est amuser ma me mater le zizi comme elle l’appelle. 

 

Claude, leur patronne, entend les discutions et se rend près de la famille avec sa gérante Francine.

Bonjour Mme, je suis la propriétaire et voici ma gérante, et associée Francine. Depuis quelques minutes qu’on entend discuter sur le comportement de mes employées, je viens vérifier ce qui se passe ici. J’entends que l’une de mes employées a un comportement inapproprié, je crois.

Le garçon dit à Claude, la patronne. C'est cette salope, elle est entrée dans la cabine pendant que j’essayais le maillot et me là descendue et m'a regardé nu et c’est moquer de mon pénis et ma claque les fesses.

Le garçon reçoit deux fortes claques sur ses fesses par son père. Le garçon grimace de douleur.

Jean-Luc dit son père reste poli. Tu n’es pas obligé de traiter cette jeune fille de salope, excuse-toi.



Le garçon ne fait pas ses excuses, mais il continue à s'adresser à la patronne. En plus Mme cette cochonne m’a touché mon pénis. Elle la prit dans ses mains et m'a dit, un petit zizi comme ça, il faut que tu garde ça cacher. Elle m’a ridiculisé Mme, je n’ai que 15 ans et elle m’a humilié. C’est la première fois qu’une fille me touche. Et en plus la porte de la cabine était grande ouverte. Tout le monde dans la boutique aurait pu me voire nu. Deux autres claques frappent les fesses du jeune sur le maillot qu’il porte encore. 

 

Je t’ai averti de rester poli Jean-Luc, excuse-toi tout de suite sinon c’est moi qui te baisse le maillot et te rougi les fesses ici même. Le jeune s’excuse envers Judith et lui demande pardon.

Judith

Ce n’est que des mensonges, je ne lui ai jamais baissé le maillot et mis nu, il ment. La seule chose que je lui ai faite, c'est de lui montrer que le maillot était trop grand en lui serrant le cordon au maximum. Et il le perdait encore. C’est la seule chose, jamais, je ne l’ai jamais taponné ou insulté comme il le prétend.

Béa

elle aussi Sacha la blonde nous à regarder nue et nous a traité de gamines bébés. Qu’on n'était que des gamines sans seins et ce n’était pas plus grave que cela nous, voire nu puisqu’on est des bébés.

Quand on a un mauvais comportement, mes parents ne se gêne pas pour nous punir.

C’est inachetable, rajoute le père mes enfants lorsqu'ils manquent de respect envers d’autre ou nous leurs parents, ils sont très sévèrement punis.

Quelle sorte de punition tes parents vous donne les jeunes ? Demande Claude.

Le garçon ne dit rien, a plutôt l’air de réfléchir et de se retenir, gêné de la question. C’est sa sœur Fanny qui prend la parole.

 Mme mes parents, quand ils nous punissent moi, mon frère et ma sœur, c'est physiquement, ça fait mal.

Que veux-tu dire par physiquement Fanny. Ils vous envoient au coin à genoux, ils vous donnent une fessée ou autre ?

Oui Mme, c'est la fessée Mme sur les genoux de papa ou maman ou debout au centre du salon et très souvent, on est nu. Après, on passe au coin, 30 à 40 minutes, fesses a l’air. C’est très humiliant. Quand même qu’il y a des invités, si mes parents décident de punir l’un de nous, les invités y assiste. Ce n’est pas discutable, on obtient notre punition.

Mon frère hier soir a reçu une fessée pour avoir cassé une fenêtre chez notre voisin. Ma mère l’avertissait fréquemment de ne pas jouer avec le ballon dans la cour, mais il en fessait qu'à sa tête. Il a botté le ballon trop fort et le ballon à traverser chez le voisin et à casser une fenêtre. Ma mère là obligée à se dévêtir devant nous dans le salon et elle lui a rougi les fesses. Ou début, c'était sur ses genoux avec ses mains. Mais après ma mère la fait placer debout, main sur la tête et lui a claqué les fesses avec une épaisse règle de bois, devant nous et nos amies.

À ce que je peux entendre, ta mère vous punit sévèrement.

Toi et ta sœur, ça vous arrive souvent de recevoir une punition aussi sévère ?

Fanny et Béa commencent à rire et ne répondent pas.

Oui, c'est assez fréquemment, mais moins que leur frère, mais pas mal souvent, elles sont un petit peu plus sage que leur frère. Répond leur père.

Claude avance vers un banc qui est installé pour les clients pas très loin d’eux. Elle s’assoit dessus et fait signe à Sacha de venir la rejoindre. Les autres se déplacent aussi jusqu’au banc, y compris Judith que Francine l’oblige à suivre. Trois autres clientes qui ont entendu le brouhaha dans la boutique s’ajoutent au groupe par curiosité. Sacha vient t’allonger sur mes genoux, lui demande Claude.

Tu n’es pas sérieuse ? Tu veux que je m’allonge devant eux sur tes genoux, s’il ne te plaît pas ici, on ira discuter dans ton bureau, mais pas ici.



Claude se lève et prend Sacha par un bras et la force à s'allonger sur ses genoux. Sacha n’a même pas résisté, elle sait très bien qu’avec Claude, il ne faut pas trop lui tenir tête.

Tout le monde regarde Sacha qui s’allonge sur les genoux de Claude et tirant sur le bas de sa courte robe fleuri rose pour l’empêcher de remonter.

Elle finit par s’installer, tenant ses jambes collées et prend appuis avec ses mains au sol et ne bouge plus. Les fesses bien en positon pour Claude.

Claude pose un de ses mains sur le dos de Sacha et l’autre sur les fesses de Sacha. Maintenant, moi je vais vous montrer comment je traite les grandes gamines de son genre qui sont trop impolies envers la clientèle et pense qu’elles sont à l’abri des punitions.

Pour moi, un client, c'est de l’or. C’est le plus important, c’est celui qui fait le succès de nos entreprises. Si les clients sont mal servis et ne reviennent plus, l’entreprise ferme. Et des grandes gamines comme elles, quand elles se comportent mal envers les clients, elles doivent en payer le pris et en public. Cet la même règle pour tous mes employés, ici pas d’exception.

Claude commence à claquer les fesses de Sacha, toujours protéger par sa robe.


Claude ne ménage pas le postérieur de Sacha et frappe avec vigueur et a un rythme soutenue. Sacha commence a balancé ses jambes de haut en bas en essayant de les garder collées l’une sur l’autre. Elle essaie de protégé ses fesses avec une main Claude lui bloc son bras dans son dos et continue a lui frappé les fesses sans ralentir son rythme. Sacha lui demande d’arrêter ça lui fait mal dit-elle

Non Sacha je vais arrêter seulement si tu t’excuses pour ce que tu a fait aux jumelles.

Je m’excuse je m’excuse je regrette Claude arrête s’il te plaît arrête.

C’est bon j’arrête. Claude cesse de frapper le derrière de Sacha et l’aide a se relevé.

Sacha, va à l’extrémité du banc et mets-toi à genoux, mains sur ta tête et demande pardon aux jumelles.

Sacha replace sa robe se frotte les fesses et prend place a genoux. On attend Sacha demande pardon et excuse toi sinon je reprend la punition et cette fois je te fait enlever ta robe.

On entend les excuses que Sacha adresse aux jumelles. Bon maintenant que c’est fait Francine pendant que je m’occupe de punir Judith à son tour pourrait-tu demander à Gina la couturière en chef de venir ici on va lui demander si c’est possible d’ajuster le maillot de Jean Luc puisque qu’il y en a plus a sa taille.

Judith tien elle aussi sa robe en place et s’installe à son tour sur les genoux de Claude.

Dit nous pourquoi tu tire si fort sur ta robe Judith. Comme Sacha plus tôt y a t il un problème avec vos robes les filles ?

Non non Claude, juste par précaution, c'est tout pas plus. Répond Judith.

Ne me mens pas, c’est une drôle de réponse. Ce n’est pas plutôt que tu ne portes pas de sous-vêtement dessous ta robe Judith. Claude prend là-bas de la robe et essaie de le remonter. Judith met ses deux mains sur ses fesses pour empêcher sa robe de remonté et dévoiler ses fesses a tout le monde autour d’elle et lui demande de laisser sa robe en place.

Oui Claude, je ne porte pas de sous-vêtement sous ma robe, c’est pour ça que je tiens ma robe en place, arrête de la remonter s’il te plaît.

Claude tasse les mains de Judith et lui demande de les redescendre et remonte la robe en haut des fesses de Judith. Pour une gamine de dix-huit ans, elle s’en permet pas-mal rien sous sa robe. C’est ça qu’elle ne veut pas laisser voir.

Pensez-vous que c’est descend pour une jeune fille de se balader fesses à l’air sous sa robe quasi transparente ?

Béa regarde sa mère et répond à Claude, non, je ne pense pas. Ma sœur et moi, si l’on sort de la maison en jupe ou en robe, notre mère nous oblige à porter une culotte et elle vérifie souvent avant que l’on sorte.

Oui, je les oblige à porter une culotte et surtout pas un string à leur âge sous leur robe. Je suis stricte avec ça, porter une culotte sous ses jupes ou robes. C’est plus descend s'il y a un problème, c’est moins provocant ou humiliant. Quand elles croisent un dévergondé qui s’amuse à lever les robes des filles pour les humilier ou regarder sous les escaliers quand les filles montent, elles n’ont pas les fesses a l'air au moins. Une jeune fille comme Judith, à peine mature, ne devrait pas être en public vêtue que d’une seule robe, c’est indécent. On s’aperçoit vite qu’elle ne porte pas de soutien aussi, ça attire beaucoup de regard et ça agace les gars comme mon mari et mon fils. Son mari détourne le regard, gêner de ce que sa femme vient de dire.

Jean-Luc ne lâche pas des yeux les fesses nues de Judith et son père aussi aimerait se rincer l’œil, mais sa femme lui donne un coup de coudre pour qu’il détourne son regard du postérieur de Judith.

Claude commence à claquer les fesses de Judith rester à l’air.

Francine arrive avec sa couturière et la présente aux jeunes et leur parent. Jean-Luc, ce qui l’intéresse, ce sont les fesses à l’air de Judith qui se font rougir bien plus que la couturière qui est là pour lui. Surtout quand Judith remue ses jambes. Il essaie plutôt de regarder entre les jambes de Judith s'il peut apercevoir sa chatte.

Claude arrête et montre aux trois jeunes la couleur de la peau des fesses à Judith. Prend le temps de regarder Jean-Luc fait comme Judith. Elle a aimé te mater les fesses toi aussi regarde. Ses fesses sont d’une belle couleur, ça a l’air à te plaire de regarder de si belles fesses. Après quelques instants, Judith se relève, baisse ça rode sous ses fesses pour les remettre à l’abri des voyeurs, et va s’agenouiller, elle aussi, a l’autre extrémité du banc, la robe remise en place.

Claude se place derrière Sacha et lève sa robe, regardez je me savais que Sacha n’avait pas de culotte sous sa robe elle aussi. Prenez le temps de regarder son beau petit derrière.

La couturière commence à prendre les mensurations avec son assistante de Jean-Luc.

Si Jean-Luc aime ce maillot, c'est possible de faire les ajustements en 30 minutes environs.

Venez visiter l’atelier de couture, je vous invite, dit Claude, pendant que les ajustements vont se faire. Béa, Fanny, si vous voulez vous choisir un autre maillot, on en a reçu à l’arrière. Ils viennent de nos autres ateliers d'Europe et d’Asie. C’est maillot ne serons disponible en boutique que dans deux semaines, mais pour vous je vais vous en faire choisir chaque un et votre mère aussi, je vous les offre et en plus je vais vous les livrer aujourd’hui quand le maillot de Jean-Luc sera prêt. J’aurai une belle surprise pour vous a la livraison en plus de vos nouveaux maillots.

À l’atelier, la mère et ses filles se sont choisie chacune un maillot et on fait la visite de l’atelier.

Donnez-moi votre numéro de mobile Mme et je vais vous appeler ce midi. J’irai vous porter les maillots avec Judith et Sacha.

Ne vous dérangez pas, on peut attendre le maillot de Jean-Luc ici, vous êtes déjà très gentille de nous les donner et nous faire visiter vos installations.

Non, partez, allez finir votre shopping et attendez mon appel, j’aurai une surprise pour vous avec ma livraison. Le couple et les enfants quittent la boutique, et se disent à plus tard en embrassant Claude et Francine.

Vers les 13 h 30, Claude, Francine sa gérante, Sacha et Judith se rendent avec la voiture de Claude au domicile de la petite famille pour donner les maillots promis de ce matin. Une fois stationner dans la rue face au domicile, Claude ordonne à Sacha et Judith d’enlever leur robe. C’est vous deux qui allez donner les boite-cadeau à la famille et nue. Votre comportement de ce matin envers les enfants de cette famille ne m’a pas plus et c’est la suite de votre punition de ce matin. Je me suis retenue ce matin, j’avais l’intention de vous faire mettre nue pour vous punir sur mes genoux, mais j’ai changé d’idée. À la place, c'est ici que votre deuxième partie de votre punition va se dérouler. Et ne discutez surtout pas avec moi. J’ai apporté avec moi une belle brosse à cheveux et je vais m’en servir si nécessaire, pour l’instant je vous évite une autre fessée.

Mais Claude, tu exagères, sortir nue de la voiture dans la rue et entrée à l’intérieur nue devant les jeunes, c'est humiliant, et leur père doit nous attendre aussi.

Je vous ai dit de ne pas discuter et obéir sinon je rajoute une fessée à votre humiliation, allez déshabiller vous et sortez de la voiture. Ce matin, vous ne vous êtes pas gênées pour les humilier, maintenant, c'est à votre tour d’être humiliées.

Sacha surmonte sa peur, son stressé et obéie, elle enlève son unique vêtement, sa robe. Judith toi aussi, tu obéis et vos sandales aussi reste dans la voiture. Judith, tu vas encore te faire rougir les fesses et avec la brosse cette fois-ci.

Judith obéie, elle aussi, très nerveuse d’être obligée de se dévêtir dans la rue. Elle sait très bien qu’avec Claude, elle n’a pas d’autre choix. Elle enlève sa robe et ses sandales. Claude et Francine ouvrent les porte arrière de la voiture pour que les filles sortent, car elles n'osaient pas ouvrir leur porte par elles-mêmes.

Dans le voisinage, il y a quelques voisins qui sont dehors à travailler autour de leur demeure. L’un d’eux remarque les filles sortir entièrement nues de la voiture avec chacune des boites dans leurs mains et elles se dirigent vers la porte avant de la maison de leur voisin. Il regarde les quatre filles se diriger vers la porte avant de la maison de leur voisin et pourquoi les deux plus jeunes sont nues ?

Aucune des deux filles n’ose sonner. Sacha et Judith voulaient retourner dans la voiture, mais Claude a sonné et reste un peu à l’écart avec Francine pour que Sacha et Judith apparaisse devant la personne qui va réponde. Je vous avertis les filles, gardez vos mains devant vous pour tenir les boites. Celle qui essaie de se cacher avec ses mains va se faire chauffer les fesses devant la famille avec ma brosse. Pour l'instant, je vous évite cette humiliation de recevoir une fessée, juste d’être exposées nue devrait suffire.

C’est le père qui ouvre la porte et aperçoit deux splendides filles à poil devant lui qui tiennent des boites dans leurs mains. Sa femme est derrière lui et regarde, elle aussi, Sacha et Judith nue.

Claude, tu nous avais dit qu’il y aurait une surprise, mais je ne m’attendais pas du tout à cela, moi non plus, rajoute son mari figé à la vue de cette belle surprise.

Je vous avais promise une livraison spéciale. Là voici, vos enfants se sont fait humilier ce matin, maintenant, c'est à leur tour d’en profité. Dehors, il y a quelques autres passants et voisins qui regardent ce qui se passe, ce n’est pas à tous les jours que des filles viennent livrer nue dans leur quartier et plus Sacha et Judith reste dehors longtemps, plus cela attire les curieux.

Allez passer entrée qu’on puisse refermer la porte, ça commence à attirer l’attention des voisins, dit la mère.

À l’intérieur, Jean-Luc installé sur le sofa et jouait sur sa console. Il fait une pause sur sa console et regarde entrer Sacha et Judith, tout surpris et excité de voir deux filles se présenter nue dans sa maison. Regarde Jean-Luc la belle visite qui arrive. Dit son père, les jumelles arrivent, elles aussi, avec deux amies qu’elles avaient invitées pour l’après midi et toutes surprissent, elles aussi, de voir des filles nues. Béa dit à ses amies, regardez ce que je vous disais, ce matin, c’est elle. Judith la brune à droite, c’est elle qui a reçu une fessée, fesses a l’air devant nous à la boutique. Fanny, elle passe une remarque à sa mère en regardant l'entre-jambe des filles

Maman, elles sont plus vielles que nous, mais elles aussi n’ont pas plus de poil que moi !

Ce matin Sacha m’a traitée de bébé parce que je n’avais pas de poil et pas de sein. Toi, tu en as un peu de poil maman. Les autres Claude et Francine n’ont-elles aussi de poil comme toi maman. Ce n’est pas tout le monde qui a du poil en haut du sexe ? Ou juste les gars comme papa et mon frère, demande Fanny.

Fanny a mis sa mère mal à l’aise en parlant de son anatomie. Les filles et ça va aussi pour les jeunes gars, le poil que tu parles que moi, ton frère et ton père, on a plus bas que le nombril s'appelle du poil pubien. À votre âge, ça commence à pousser. Sacha et Judith comme bien d’autre personne le rase tout dépend des goûts des personnes. Chacun décide de son apparence. Et pour les seins aussi ça commence à se former entre 12 et 13 ans pour une bonne majorité des filles comme vous, regarde ton amie Sylvie quand elle met son maillot, elle commence à avoir des formes, une poitrine, elle a 13 ans. Quand vous avez eu vos premières menstruations il y a 2 mois je vous avais expliquée que votre corps allait changer, cela fait partie des changements, le poil et les seins

Voici vos maillots, Sacha donne les boites a Béa et Fanny dit Claude. Toi Jean-Luc, c’est Judith qui a le tien et celui de ta mère, approche-toi de Judith, elle va te le donner. Jean-Luc tout content s’approche de Judith et prend sa boite. Son père dit a son fils. Dit lui merci et embrasse-là sur la joue, elle est très gentille de te livrer ton vêtement ici, c'est très aimable de sa part.

Judith regarde le père sans sourire, elle ne trouve pas drôle son commentaire.

Les bras libres des boites, Claude oblige, Judith et Sacha a gardé leurs bras croisés dans leur dos, et rester au centre du salon sans bouger. Claude sort de son sac à main une brosse à cheveux.

Elles sont bien averties que si elle ne m’obéisse pas, je leur rougis les fesses avec ma brosse, et Claude pose la brosse sur la table à café au centre du salon.

Les jumelles et leurs amies regardent les deux filles exposer au centre du salon. Elles font le tour d’elles, regardez Judith n’a plus les fesses rouges. Judith est gênée que les filles la regarde d’aussi prêt, même que l’une d’entre elles lui touche les fesses, et les compare avec celles de Sacha. Sacha a les fesses moins rondes, touchez comme elles sont douces. Sacha a de plus petits seins et des bouts plus gros.

Claude trouve ça drôle que les jeunes s’amusent à examiner Judith et Sacha. C’est normal que leurs fesses soient redevenues blanche, ça fait quelques heures qu’elles ont reçu leur fessée.

Les filles lâchées les fesses des filles et ouvrez vos boites, demande leur mère pour qu’elles lâchent les fesses des punis. Montrez vos nouveaux maillots à vos amies. Pendant que les filles déballe leur boite et montre leur nouveauté, Jean-Luc lui est assis devant Sacha et Judith et les regardent, ne les lâche pas des yeux. C’est la première fois qu’il a l’occasion d’avoir deux belles filles de son âge nues a quelques centimètres de lui et il est excité. Mis à part ses deux jeunes sœurs qui a l’occasion de voire nue quand elles sont punies, mais avec un corps mois développé.

Sacha n’a pas beaucoup plus de poitrine que toi Béa, commente-t-il. Si tu te mets nue et je compare ta poitrine en prenant un de tes seins et un des siens de Sacha dans mes mains, je suis sûr qui la différence n’est pas énorme, dit Jean-Luc.

Je t’interdis de toucher le corps de l’une de ses filles Jean-Luc et tes sœurs aussi regarde, mais interdit de toucher. Ne t’avise pas à le faire sinon je te chauffe les fesses ici même devant elles. À ton âge, tu as bien d’autre chose a pensé que de vouloir taponner des filles, surtout tes sœurs.

Son père tant qu’a lui trouve ça drôle que son jeune compare les poitrines des filles.

Claude, tu ne trouve pas cela un peu exagérer d’humiliées ainsi tes deux employées. Après tout ce matin, elles ont manqué de s'avoir vive mais…

Je suis d’accord pour qu’elles soient punies. Elles ont manqué de respect envers mes enfants, mais pas humilier ainsi en public. Ce qu’ils ont fait, c'était dans les cabines, à l’abri de tout le monde. C’est pas mal humiliant les punir ainsi.

Non pour moi, c'est ce qu’elles méritent. Judith a déjà été punie beaucoup plus sévèrement que recevoir quelques petites claques sur ses fesses comme ce matin. Elle et une autre de mes filles ont reçu 30 coups de canne chacune et sont restées exposer nue devant tous les employés au vignoble que je possède avec mon frère. Mes parents, quand ils décidaient de nous punir mon frère et moi, c’était très humiliant et très douloureux. Ça me portait à réfléchir sur ma bêtise que je venais de commettre.

Ha !, c'est à ta famille le grand vignoble au nord de la ville. Donc, tu t’appelles Claude Richard. Je suis contente de connaître un des membres de la famille Richard.

La mère s’adresse à son mari. Ne ris pas toi aussi, tu es bandé et tu aime ça voir ces deux belles filles nues dans ton salon. Tu dois avoir autre chose à faire que d’admirer de si jeunes filles à poil, vient avec nous, je leur fais visiter notre maison.

Judith Sacha, suivez nous sans bouger vos bras, vous allez visiter la demeure avec nous. Comme ça tout le monde va nous suivre. Claude fait un clin d'œil à la mère.

Durant la visite la mère dit à Claude et Francine, ça devient gênant, à chaque fois que je me vire je les voie nues autour de nous. Je n’ose pas les regarder, c’est moi qui suis gêné de les regarder, voire tes deux employées nues ça me met mal à l'aise pour elles. Je ne me vois pas me promener nue devant d’autre personne étrangère, je serais gênée d’être à leur place.

Pourtant, à l’occasion, tu ne déteste pas ça, circuler nue dans la maison et devant les enfants.

Mais mon chéri, c'est dans ma maison et en privé, pas devant des étrangers. Et arrête de parler de notre vie privé devant eux

Claude

Ne t’en fais pas chère, l’humiliation qu’elles subissent leur fait du bien, ça les rend plus matures. À l’avenir quand elles voudront faire des sottises, elles réfléchiront avant d’agir à ce qui peut leur arrivée. C’est ma manière de les éduquer, et c’est très efficace, je peux en témoigné.

Rendu à la partie cour arrière, Béa dit à sa mère, il y a plein de voisin dehors. Maman, Judith et Sacha ne peuvent pas nous suivent dehors, ils doivent rester dans la maison. Tout le monde vont les regarder, il y a plusieurs voisins dans leur cour.

Ne t’occupe pas de ça Béa, elles sont ici en punition, et cela fait partie de la punition, nous suivre même s'il y a du monde autour, elles sortent pareille.

Claude oblige Sacha et Judith à sortir sur le patio avec eux. La mère est un peu mal à laisse de voir ses voisins lui envoyer la main, la saluer avec les deux filles nue autour d’elle. Les jumelles et leurs amies regardent les filles nues et rient trouvent ça drôle des filles sur leur patio fesses a l’air que les voisins regardent tous. Jean-Luc lui se tient très près des filles et est concentré sur leur chatte et leur poitrine, le jeune se retient, il adorerait toucher une des filles, mais sa mère le surveille.

Bon nous, on rentre à l’atelier. Les jeunes si ça vous intéresse je vous invite tous, vos deux amies aussi et vos parents bien sûr à notre défilé. La présentation de notre nouvelle collection qui aura lieu dans 14 jours. C’est réservé au propriétaire de nos boutiques associé en Europe et en Amérique du Nord, mais je vous invite à venir en v i p. Si ça vous intéresse les jeunes, mon personnel va vous intégrer au défilé, ça vous fera une belle expérience de la mode. On s’occupera de vous trouver des créations à présenter. Maillot et vêtement sport sont les deux thèmes du défilé, même votre mère si elle le veut pourra participer.

Mme Claude, je peux prêter des sorties de plage à Sacha et Judith pour qu’elles retournent a votre voiture dit Fanny, ma sœur et moi, on va allez les chercher dans nos chambres.

Non merci Fanny, vous êtes bien gentilles, mais elles retournent à la voiture nue comme elles ont débarqué plutôt, leur robe sont à l’intérieur de la voiture.

Claude fait sortir Sacha et Judith, Francine suit. Toute la petite famille les regardent partir, mais ils ne sont pas seuls. Il y a quelques voisins sur leur terrain ou dans la rue qui regarde, eux aussi, les filles faire le trajet entre la maison et la voiture, et toujours obliger de garder leur bras croisé derrière leur dos et bien exposée à qui veut bien les regarder.

Elles sont très heureuses de rentrer à l’intérieur de la voiture et pouvoir remettre leur robe. Elles n’ont pas aimé leur livraison spéciale de cette après-midi.





Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...