samedi 1 août 2020

filles punies fesse a l'air pour tricherie - 3

           

 

 Nadine

   Notre soirée et nuit passée et je n’ai presque pas dormi Pierrette aussi. Alors j’embarque dans la douche. J'en ressors quelque instant plus tard et m’aperçois que Pierrette est dans la salle de bain. Elle me regardait. Je suis nue devant elle, et Pierrette me dit depuis que l’on se connait et on se voie nue chez toi ou chez moi en passant de longs moments ensemble. Cela ne m'était jamais venu à l’idée qu'être nue devant des étrangers pouvait devenir si humiliante et gênant, tellement que ma journée me fait peur. J'ai envie d’aller à l’infirmerie et me plaindre d'un mal de tête et demander à l’infirmière de me donner une dérogation pour mes règles. Je la traite de folle, c'est la pire affaire à faire, tu vas te ramasser avec une punition pire que d’affronter celle qui s’envient.

Tu t’imagines si le dirlo ou Lepetit demande à l’infirmière de te passer un examen et qu’elle se rend compte de tes mensonges. Tu n’as pas fini de te balader nue et d’avoir mal aux fesses. Vient à deux ça va être moi pire que seule et on essaie de tenir le moral. Je finis d’enfiler mon short noir et rien en dessous qu’elle a bien précisé. Je n’ai pas le choix, Claude nous a bien spécifié que pour nous rende à l’institut toutes les deux, on est obligé de porter que ces deux vêtements noirs qui ridicules et très courts. Et cette fichue camisole noire qui est très ample qui font presque ressortir mes seins. Et avec ce fameux p cousu en blanc sûr dans le dos et sur mon derrière de short, pour que l’on ne passe pas inaperçu au travers des autres étudiants quand ont punis. C'est nouveau de cette année ces vêtements-là, le temps file vite et je ne veux surtout pas être en retard, dépêche-toi Pierrette on doit y aller.

Je ferme la porte de notre appartement et allons à l’institut. Arrivés dans le couloir d’entrée, quelques camarades et amies sont déjà là en me regardant avec ces vêtements-là. Ça m’a gêné et j’ai serré les bras de chaque côté de mon corps pour me cacher les seins. J'essaie de rester le plus possible face à elles. En plus j’ai les fesses à moitié a l’air avec ce short très court. Elles me demandent si hier, on avait été punies. Il y a les rumeurs dans les couloirs qui disent qu’on aurait été vues nue toutes les deux nous disent elles.

 J’essaie de faire taire ces mauvaises langues en leur disant que c’était l’infirmière qui nous avait appelé pour des examens de routine et qu'on était habillé toutes les deux comme ça pour une simple petite punition banale. Mais le temps avançait et je ne pouvais plus discuter avec elles. En marchant vers la porte qui donne accès à la direction. Mes camarades se rendaient compte qu'avec ces vêtements noirs, le short très court qui laissait voire presque la moitié de mes fesses et le haut de mes cuisses, ils y avaient des petites marques encore rouges. Je n’ose pas me promener les mains sur les fesses pour les cacher, c'est encore plus humiliant. Elles nous disent bonne chance à vos fesses en nous regardant se diriger vers le bureau du dirlo. Arrivé à la porte qui sépare les salles des cours et la direction, on sonne et la stagiaire ouvre, elle nous attendait.

On se rend ensemble au bureau du surveillant, et Mlle Letarte nous fait entrer, les jambes me tremblent. J'ai des crampes au ventre juste a pensé à me mettre nue devant elle et là, voire me regarder les yeux fixer sur ma chatte. Je lui demande, peu-t-on aller à la salle de bain avant de rentrer dans votre bureau

MlleLetarte

Oui, mais faite vite. Les deux revenus à mon bureau, elles me demandent et me supplient d’alléger leur punition, de leur laisser les vêtements qu'elles portent pour la punition de ce matin et pour assister à leur premier cours. Je leur réponds de se déshabillées comme prévu et pour le reste, c'est impossible. Ce n’est pas moi qui ai décidé de votre punition, mais j’approuve la décision rendue. Si je ne l’applic pas à la lettre, c'est moi qui reçois le fouet pour un manque de respect envers le comité et la direction, et ils ont très sévère même pour nous les employées. En étant que stagiaire pour l’instant, je suis soumise au même règlement que vous et je ne suis pas du tout intéressée à être mise nue devant le personnel et fouetter. Et même tout le personnel de cet établissement est soumis à des règles très strictes.

 Même le cas de votre professeure Mlle Garcia qui vous a protégé la première fois il y a trois semaines environ, c'est probable qu'elle soit punie. Le cas de Mlle Garcia est à l’étude et elle pourrait elle-même être punie samedi dans la salle des professeurs, Pierrette coopère et enlève tout, elle est nue, mais Nadine ne bouge pas vite. Elle hésite et commence par sa camisole. Son short baisse très lentement, c'est à cet instant que je lui donne une paire de claque sur les fesses encore couvertes par son court short, et lui dit d'accéléré. Mon intention est de vous donner seulement dix coups de martinet à la place de vingt. Nadine, si tu ne collabores pas, ce sont les vingt coups que vous recevrez et toutes les deux en plus. Je ne crois pas que Pierrette va t'aimer si elle reçoit dix coups de plus.

En ouvrant le tiroir de mon bureau, je sors le martinet et l’étend sur le dessus du bureau. Nadine regarde le martinet de cuir à six brins. Tes fesses vont ressembler à quoi s'ils en reçoivent vingt coups ça va laisser de belles marques sur la peau et un martinet de cette longueur peu touché ton entre cuisse a l’occasion ta chatte. Demain, si je ne suis pas seul, ce sont les vingt coups qui seront appliqués, tu te décides à obéir, ce n’est pas à tous les jours que tu auras le choix. Je te laisse une chance aujourd’hui, prend là.

En 10 secondes, elle est nue, la chatte bien raser et les fesses blanches comme du lait. La fessée d’hier ne parait plus. Elle me demande d’en rester à dix, elle avait compris. Je demande a Nadine de se coucher à plat ventre sur la longueur du bureau que j’avais vidé juste avant qu’elles reviennent, et de saisir le rebord avec ses mains sans le lâcher. Installée sur le bureau de tout son long, j'ai ses belles fesses toutes blanches très bien positionner et dit à sa copine de lui tenir les mains solidement. Le martinet dans ma main droite, je lui frappe les fesses sans trop la laisser réagir. Un deuxième frappe puis un troisième, ses fesses change de couleurs, elles passent rapidement du blanc au rose et même rouge et des marques, des lanières apparaissent rapidement sur sa peau. Un quatrième, un cinquième Nadine crie par la douleur du martinet qui s’abat sur ses fesses et dit assez arrête. Je continue avec un sixième, un septième, on aperçoit les marques à la largeur des fesses et le haut de ses cuisses aussi est touchée.

Nadine lâche des cris à presque chaque coup qu'elle reçoit. Chaque coup laisse des belles marques rouges. Le huitième claque. Ses fesses sont totalement rouges. Elle doit commencer à avoir le derrière en feu parce que, je frappe avec force les lanière rentre dans son gras de fesse, à chaque coup que je lui donne. Je ne distingue plus trop les marques du martinet. Les marques que laisse les lanières commencent à ce chevauchée une par-dessus l'autre, ses fesses sont rougies bien égales. Elle essaie de se tourner, mais je lui mets de la pression sur ses jambes avec mon autre main pour l’empêcher de se retourner, ce qui la maintien en position bien à plat, les fesses toujours bien exposées.

  Il reste deux coups, si tu bouges les fesses, tu recevras les dix autres. C'est bien compris en claquant avec ma main son cul. J'applique un solide coup, elle vire les fesses et les remets en position instantanément. J'applique le dernier en disant à Pierrette de lâcher brise. Ce fut instantané, les mains se sont placées sur ses fesses pour se les frottées. J'aide Nadine à débarquer du bureau, et fait signe à Pierrette de mettre ses mains sur le mur et de sortir ses fesses.

 Au lieu de la faire étendre sur le bureau. Et garde ta position sinon je rajoute deux autres coups à chaque manquement compris. Rendus en position, les fesses bien sortie, j'applique le premier coup et trois autres suivent rapidement. Un quatrième et un cinquième. Le martinet à sembler marqué plus ses fesses que celle de Nadine. Les marques ont ressorti beaucoup plus et une des lanières de cuir a frappé sa fente, ce qui lui a fait serrer les jambes et elle a plié les genoux par la douleur. Je lui ordonne de reprendre sa position. Elle se repositionne en se frottant l’entrejambe. Je lui administre les derniers coups et le cul bien rouge, elle plie de nouveau les genoux et lâche le mur pour se frotter les fesses. En laissant Pierrette finir de se soulager les fesses, je demande à Nadine de rejoindre sa copine au mur. Je regarde l’heure, il est 8 h 45. Rhabillées vous, c'est le temps d’aller à votre premier cours les filles et pas de discussion possible. C'est avec ces vêtements-là, que vous pouvez circuler dans les coupoirs ou sinon c’est nu et pour le reste de la journée, à vous de décidée.

Pierrette

On n’a pas le choix, il faut sortir et se rende pour assister à notre cours habillé ainsi, c'est humiliant, mais c'est mieux que nu. En mettant les pieds en dehors du bureau, plusieurs profs sont sur le bord de la porte dans le hall et nous devons circuler au travers d’eux à moitié nue et des rougeurs qui paraissent sur le bas des fesses. Le trajet entre ici et notre salle de cours va être long. Je garde ma tête bien basse pour ne pas les regardés. Je passe la porte, Nadine suivie de la chipe aussi, c'est ainsi que je l’appelle. Pour moi et probablement Nadine aussi. Depuis des années que Nadine et moi sommes de grandes amies et toujours ensemble et souvent je couche chez Nadine ou le contraire Nadine couche chez moi. Nadine et moi a n'a plus de secret entre nous deux ont, c'est fréquemment vu nu. Mais jamais, on s’est exhibées nues en public. C'est la toute première fois que je devrais me montrer nue devant autant de gens et c’est très humiliant, en plus tous nos camarades vont voire qu'on a les fesses bien rouges.

C’est alors que je décide de me foutre des ordres de la stagiaire qui nous colle aux fesses et je mets mes mains sur mes fesses pour en laissée moins paraître, nom short est tellement court. Je suis Nadine et je lui regarde les fesses, la moitié de ses fesses paraissent tant que son short est court, et on s'aperçoit qu'elle s'est fait chauffer les fesses, elles sont rouges. Mais je suis rappelée à l’ordre aussi vite par deux fortes claques en travers des fesses qui résonne dans le corridor. Le son produit par les claques attire les regards des gens autour de nous. j'entends dire, tu restes les bras croisés dans ton dos et sa presse sinon je vous confisque vos vêtements. En continuant notre chemin pour nous rendre a notre salle de cours qui est presque à l’autre bout du bâtiment, au deuxième étage, les escaliers et le corridor sont pleins d’étudiants qui se préparent à aller, eux aussi, à leurs cours, quelle honte. Je fige et ne cache encore les fesses gênées d'être le derrière quasiment à l'air, la stagiaire me redonne plusieurs claques en travers des fesses. Nadine aussi, c'était caché les fesses. Elle a eu droit à autant de claques que moi. Ça m'a fait crier et ç'a provoqué un bruit assez fort et si c’est bruyant même avec la circulation des étudiants, le bruit des claques et mon cri c’est fait entendre dans tout le corridor.

Les étudiants qui ne nous avaient pas encore vues dans la foule se sont retournés pour nous regarder marcher vers notre local. En portant qu'une camisole de très grande taille, les seins presque a l'air, et un si court short sans sous-vêtements dessous, je suis quasiment nue et les fesses bien rouges, et les autres autour de moi le remarquent facilement. La chipie nous ordonne à nouveau de remettre nos mains dans le dos sans nous cacher les fesses cette fois-ci. Obéissez les filles ou c’est ici devant tout le monde que je vous redonne une autre fessée et nu dans ce couloir devant tout le monde. Mes amies de ce matin qui nous ont vue dans l'entrée sont juste en face de moi et me regarde. L’idée de recevoir une fessée devant elles et tous les autres ne me plaisait pas. J'ai obéi à Laurie. Je me suis dépêché de me rendre au local sans prendre le temps d'écouter et de regarder autour de moi qui était dans le corridor à me regarder. Arrivé au local, on ne peut pas entrer avant que la professeure soit elle-même dans le local. La stagiaire Laurie nous fait attendre avec les autres dans le corridor et mes amies de ce matin m'ont rattrapé et commence à nous parler. Il semblait que vous étiez à l’infirmerie hier menteuse, en plus des belles fesses rouges ç'a chauffé ce matin, des gars se collaient sur nous pour nous tripoter le cul. Enfin Mme Petitgrew arrive et entre les étudiants suivent. Enfin, je peux entrer et allé m'asseoir à ma place, ce sera moins humiliant qu'être debout devant tous ces curieux. Mais Nadine et moi, on attend quelques secondes à l'écart pour entrée en dernier et éviter de me faire pogner les fesses dans la file. Mme Petitgrew et Laurie, elles en ont décidé autrement, moi qui espérais aller m'asseoir et qu'elle oublierait la partie punition pour le cours. Mais Laurie m'indique d'allé sur l'estrade avec Nadine. La punition pour vous deux commence. Laurie explique pourquoi on est vêtue de cette manière-là.

Pierrette

  La gêne me fige, j'hésite à monter sur l'estrade, Nadine aussi reste à côté de moi. Je reçois un autre série de claques sur les fesses. J'avance et en me cachant du mieux que je peux en n’ayant pas trop le choix si peu vêtu. Nadine s'est placé les mains sur ses fesses pour les protégées et avance elle aussi. Je monte avec Nadine sur l’estrade et on doit commencer toutes les deux à expliquer pourquoi nous sommes punies et notre système qu'on a utilisé pour tricher. Les explications finies, Laurie nous ordonne d'enlevé nos vêtements et de lui donner en nous menaçant de nous rougir les fesses devant nos camarades. j'ai choisi de lui donner ce qu'elle nous demande et j'enlève le peu de vêtement que j'avais et me ramasse toute nue devant tout le monde dans la salle. Nadine aussi se déshabille, Laurie ramasse les vêtements. Mme Petigrew nous a donné la permission d’aller à nos places, la chipie Laurie nous dit qu’elle revient nous chercher à la fin de la matinée et nous redonnera nos vêtements. Les cours se sont bien déroulé sauf pour la honte, l’humiliation, Mme Petigrew a fait exprès pour nous faire déplacer en avant sur l'estrade à quelques reprises pour nous humiliée au maximum et j'etais humilié d'être nue. Elle nous disait que cela fessait partie de notre punition d'être exposée devant tous les autres.

À la fin du dernier cours la chipie nous attend dans le couloir. Elle nous accompagne jusqu'à l’entrée de la café comme convenu, et on lui demande si on peut rester dans la salle et ne pas monter sur l’estrade. Mais sa collège Claude, elle nous indique le chemin tout au long du trajet dans la salle en passant au travers des tables ou beaucoup de gens ont déjà pris place. Je la suppliais, lui demandait d’aller dans son bureau pour nous punir, mais elle nous pousse vers les marches toutes les deux et nous forces à monter sur l’estrade. Rendus sur l’estrade, je regarde les gens qui circulent et s’installent pour manger, eux aussi, ils regardent tous, c'est gênant, humiliant de savoir qu’on est le sujet du jour.

Sur l’estrade, il y a une table libre, et c'est là qu'on se dirige. Claude nous dit de rejoindre Ginette à cette table et de s’asseoir avec elle. Nos cabarets suivront bientôt. Mais je lui dis que je ne suis pas capable de manger. La nervosité me coupe la faim. Claude me dit, tu ne manges pas, c'est bien, c'est ton choix, elle me ramasse par un bras et me place en plein centre de l’estrade à quelques centimètres du bord. Au même moment, trois autres étudiants arrivent sur l’estrade. Les trois s’installent pour manger et tan qu'à moi vu que j’ai choisi de ne pas manger, Claude me fait mettre en place exposer à tous les curieux face à la salle qui est presque pleine. Sans que je m’en rende compte, distraite par la nervosité d’être sur l'estrade devant autant de gens, elle se place derrière moi et tire sur mon short qui descend jusqu’à mes chevilles. La gêne et l’humiliation de me ramassée la chatte a l’air m'ont fait placer mes mains entre mes jambes. Claude me demande d’enlevé ma camisole moi-même ou je te la coupe et tu restes nue pour le reste de la journée.

      Tranquillement, je prends le bas de la camisole et la tire vers le haut. Je n'ai pas le choix. Je passe ma camisole pas dessus ma tête et lui donne. Encore une fois Claude m’oblige à enlever mes mains de sur mes parties intime pour que tout le monde m'admire. Comme elle s'amuse à me dire et me mettre les bras croisés dans mon dos et me conseille de ne plus bouger, la suite viendra bientôt, me dit-elle. Je suis nue devant une salle bondée de monde qui me fixe tous et donne des commentaires humiliants, les larmes coules sur mes joues et je me sens les jambes ramollir.

  Nadine finie de manger et Claude lui dit de ce levée, de d’enlever ses vêtements. J'entends dans la salle des commentaires du genre faite descendent les filles, nous, voire, c'est trop loin, amenez les dans les rangers. C’est extrêmement gênant d’être exposée nue devant tous et ces mâles qui ont tous l’air de vrai débile. Nadine maintenant nue, Claude que je surnomme la chipie, ramasse une palette de bois sur la table et amène Nadine avec moi au centre et lui dit de prendre la même position que moi. Claude explique ensuite à la salle les fautes qu’on a commises et que tout le monde savait et les conséquences de nos actes. Puis Claude nous regarde tous les deux en disant que les membres du comité dans un commun accord ont décidé de lui donner le choix pour la punition ce midi. Des vingt coups de martinet supposé qu’elle devait nous donner. Les membres du comité lui ont donné le choix de l'instrument pour nous punir, et le nombre de coups tout dépendants de l'instrument choisi. Claude a décidé de changer ça pour cinq coups de paddle, elle nous dit ça, vous diminue donc de quinze coups votre fessée. C’est une bonne nouvelle, mais vous ne trouvez sûrement pas que la douleur est moins intense avec cet instrument-là. C’est pire pour la douleur, mais la couleur sera encore plus visible et la douleur de vos fesses restera encore plus pour cette après-midi qu’avec le martinet. Mais sera moins dure un peu à recevoir puisque c’est beaucoup moins de coup.

  Claude

       Nadine, tu te retournes vers moi dos au monde dans la salle pour qu'il voie tes jolies fesses se faire rougir, toute la salle a hâte de voir vos jolies fesses, pas juste votre chatte et vos petits seins. Les mains revenues sur ses partis, elle me demande de ne pas se servir de cette palette de bois qu'elle appelle ainsi. Et elle restera debout sur l’estrade dans la position qu’elle veut, mais pas la fessée avec cette palette. Je vois le directeur ce levé et venir vers nous en ramassant deux chaises et les places une a côté de l’autre dossier vers la salle. Il s’adresse alors à Nadine et Pierrette pour leur dire d’arrêter de faire perdre le temps a tous et de venir poser les mains sur chacun des sièges fesses vers la salle sinon c’est dans la salle attachez à la nouvelle potence que vous finirez.

Les deux regardent l’installation au centre de la salle et les cordes avec les menottes pendantes au bout et prennent place assez vite en face de chacune des chaises. Les chaises en aillant le dossier haut. Nadine moins grande un peu que Pierrette, son ventre se trouve à être très bien appuyer sur le dossier de la chaise, assez pour qu’elle soit sur le but des pieds pour rejoindre le siège avec ses mains. Les deux en places, le directeur me demande de tenir très fermement les poignets de Nadine et M Lepetit lui ceux de Pierrette. Mesdemoiselles, ça suffit vote enfantillage, je suis tanné et c’est moi qui m’occupe de vos fesses et vous allez le regretter.
    En finissant sa phrase, il frappe avec force les fesses de Nadine, le coup a résonné à la grandeur de la salle, ensuite, ce sont les fesses de Pierrette, ainsi de suite sans qu’elles soient capables de bouger les mains en étant retenues fermement. Au dernier coup, je lâche ma prise et Nadine se frotte les fesses à deux mains en sautillant d’un pied à l’autre avec des larmes qui coulent sur ses joues. Pierrette, elle est pliée sur ses genoux se tenant les fesses et en pleure. Le directeur les prend par les bras, les replacent face à la salle en leur disant de mettre les mains croiser dans leur dos. Il me dit que je peux les punir encore si elle quitte leur position de ne pas me gêner pour utiliser la force et il repart s’occuper des trois autres qui doivent recevoir aussi une punition nue ce midi.
Nadine


Me voyant obliger de me tenir nue devant une salle quasi pleine, je ne voulais pas rester exposée à l’air et je me mis les mains sur mes parties intime pour protéger ma pudeur. Enfin ce qui en reste, mais la chipie apparue dans mon dos avec ce fameux paddle en main et me frappe les fesses de deux coups qui me fait remettre les mains sur mes fesses. Elle me dit que si je n’obéis pas, c'est en bas dans le milieu de la salle au travers des spectateurs que je recevrais la prochaine fessée. J’ai obéi sans trop hésiter, mais avec une grande honte, le repas étant à sa fin, les étudiants commencent à sortir. Et plusieurs font un détour pour passés sur le bord de l’estrade pour nous admirer de plus près en passant des commentaires très gênants. Le directeur nous permet de nous rhabillées et aller suivre le reste de nos cours. Dans le couloir bondé de monde. Les regards sont sur nous et nos camarades de classe nous posent des questions sur la douleur qu’on doit ressentir et donne des commentaires comme tu devrais continuer nue avec tes belles fesses colorées, ça nous existe. On a toute hâte à demain pour vous revoir un autre spectacle la fente a l’air et quelques déplacés qui s’amusent à nous taper les fesses en radotent qu’on adore ça la fessée, etc.… 

En rentrant dans la classe notre professeure nous demande de montés sur l’estrade au côté de son bureau et nous a demandé de montrer le résultat de notre fessée de ce midi. Alors ont ces retournées Pierrette et moi pour descendre notre short sous nos fesses à la satisfaction de notre professeure et des étudiants qui voulaient voire. À la fin de la journée nous sommes retournées voir Claude qui nous a donné la permission de retourner à notre appartement. Et demain nous dit elle revenez avec les mêmes vêtements, et ce soir de bien étudier pour nos contrôles de samedi et dimanche. Je dois donc ressortir dehors à moitié nue pour me rendre à mon appartement. La camisole que l'institut nous donne comme vêtements de puni est très grande et on a les seins a l'air. C'est très gênant aussitôt que l'on bouge un bras tout apparait. Et le short est très court, j'ai toujours l'impression d'avoir une partie des fesses a l'air.

 

Filles punies fesses a l'air pour tricherie -2

     

              


Maria la prof de langue étrangère le matin avant le début des cours

Une fois les deux filles en position devant la salle et les membres du comité tous assis et prêt. J'écoute le président M Lepetit prendre la parole et il commence en disant, mademoiselle Ducharme. Pour commencer ce que vous avez commis aujourd’hui avec mademoiselle Leroy n’est pas tolérer ici, et très sévèrement puni. Je vois que mademoiselle Leroy est déjà nue il reste que vous à enlever ce qui vous reste sur le dos pour continuer cette réunion

Pierrette
M. le surveillant s’il vous plaît ce n’est pas obligatoire. Je ne veux pas la honte et la gêne m’empêche de m’exposer de cette façon. Je vous demande pardon, Mlle Garcia se lève en même temps que je supplie le surveillant et ramasse une chaise sur le côté du mur et la place en avant de nous deux. Elle me dit tu te mets nue comme ta copine sa presse et tu te places face à la chaise. Je me rends compte qu’elle est très sérieuse et j’obéis en enlevant mon soutien très timidement gardant une main sur mes seins. Je pose mon soutien sur une chaise proche de moi en me tournant dos aux spectateurs. Je saisis les côtés de ma culotte et la descend aux cuisses honteuse d’avoir les fesses à l’air la professeure s’approche et me dit continue enlève la complètement cette culotte et ça presse. En me claquant les fesses des larmes de honte coules sur mes joues en même temps que je finis d’enlever ma culotte. Elle la saisit la pose sur la chaise et me prend par le bras et m’installe devant la chaise.

M Lepetit

Mademoiselle Ducharme les faits qui vous sont reprochés à vous et mademoiselle Leroy sont très graves, le reste du comité doit nous dire ce qu’il en pense de la tricherie et surtout que votre professeure. Mlle Gracia vous a donné une chance le premier coup en ne rapportant pas le délit et sera punie pour son geste. Mais vous avez récidivé et c’est la manière en plus que vous avez prise pour tricher qui nous intéressent. Mlle Garcia, expliquez-nous comment elles trichaient. La professeure dit qu’elles écrivaient les réponses sur des petits papiers pour les coller sous leurs jupes, dans le haut de leurs cuisses. Quand elles étaient installées à leurs bureaux, elles relevaient la jupe, elles lisaient les notes, ensuite, elles rabattaient la jupe sans que ça paraisse. Mais un de leurs papiers est tombé au sol, et c'est moi qui c'est adonner à la ramasser avant elle. Je repris la parole en disant mesdemoiselles votre plan de tricheries et très ingénieux à l’avenir les jours de contrôle les professeurs vont relever les jupes pour s’assurer que les étudiantes n’adopte pas votre stratégie.

Pierrette

Le comité discute entre eux pendant que Mme Garcia me dit de me pencher et de mettre mes mains sur le siège. Je pose les mains sur la chaise et je reçois une série de claques sur les fesses sans avertissement. Je me redresse, me prend les fesses à deux mains et elle me dit, reprend ta position, ça ne fait que commencer, mais je ne veux pas lâcher mes fesses pour ne pas en recevoir d’autre. Ce sont mes cuisses cette fois-ci quelle frappe sans arrêt en disant tes mains sur la chaise au bout de plusieurs secondes et plusieurs claques aussi. Je lui demande d’arrêter en remettant les mains sur la chaise. La prochaine fois que tu te remets les mains sur tes fesses, c’est le fouet qui te marquera les fesses. Je te le promets et elle recommence à frapper sans arrêt jusqu’au moment où je n'en peux plus et tombe sur mes genoux, les deux mains sur les fesses et j’accote mes fesses sur mes talons en pleure.

Pour le moment ça suffit et elle appelle Nadine. Arriver au côté de moi, la prof déplace la chaise parce que j’étais encore à terre, en pleure, accotée sur cette chaise et main sur les fesses. Elle oblige Nadine, à prendre la même position et ne bouge surtout pas, elle lui dit et commence à lui claquer les fesses, à elle aussi sans arrêt. Nadine lâche des cris, essaie de ne pas trop remuer. Je lève la tête et regarde Nadine, elle a les fesses très rouges quand la professeure arrête de lui fessé les fesses. Nadine, elle aussi, se ramasse sur les genoux, les fesses accotées sur les talons et ce, les frottent-elles, aussi. Mlle Garcia, la main en feu, elle retourne à sa place, elle veut sûrement prouver à la direction qu'elle est sévère et évité d'être punie à son tour.

M Lepetit

Le comité dit que la décision est prise pour vous et relever debout vous sur vos jambes mesdemoiselles et bras croisés dans le dos. On est tous d’Accord vu que votre professeure vous à donner une chance inouïe et nous n’approuvons pas qu’un professeur passe par-dessus des offenses pareilles. Mais mesdemoiselles vous qui avez récidivé et vous fait reprendre pour la deuxième fois à tricher, ça passe encore moins bien au conseil, cela veut dire que dans le passé à d’autre établissement scolaire que vous étiez utilisé la même stratégie. Étant des amies de longue date et dans les mêmes cours, vous deviez l'utilisée régulièrement.

Une partie de votre punition a chacune de vous deux et des retenues. Deux weekends dans notre salle de retenu pour vous faire repasser tous les contrôles de fin d’année de l’an passé pour vérifier les résultats et comparée les notes de passage de l'an dernier. Là décision prise pour votre punition est le niveau maximum, c'est-à-dire le niveau trois et commence par une punition corporelle ici ce soir qui a déjà été commencé par votre professeur. Et va se terminer par Mlle Letarte par une trentaine de claques supplémentaires. Présenterez-vous à mon bureau demain matin 8 h, Mlle Letarte vous attendra et tous les deux vous vous déshabillez nue, pour circuler dans le bâtiment on va vous le redonner, mais juste pour circuler pas plus. Mlle Letarte va s'occuper de vous donner une première punition.

Claude qui a décidé de prendre le martinet. 

Mlle letrate faite installer les deux filles l'une à côté de l'autre face au mur et dos aux membres du comité demande le directeur. Mlle Letrate  va appliquer à chacune 20 coups en travers des fesses avive le directeur. demain matin Claude va reconduire ces deux petites tricheuses à leur salle de cours qui est avec Mme Petigrew. pour toute la durée de cours, c'est nu que vous y assisterez. À la fin du cours, selon votre comportement, peut-être, vous aurez droit à des vêtements pour la pause du repas. Pour le repas vous deux, c'est sur l’estrade que vous allez passer la pause exposée en avant-scène, une autre punition durant le repas et entièrement nu vous attend. Soit 20 autres coups de martinet devant tous les gens présents pour le repas. Et le lendemain, c'est la même chose pour le premier cours, je crois que c’est le français avec Mme Richard que vous commencez et la même punition va se répéter pour le reste de la semaine. Ça vous apprendra à manquer de respect à un professeur et tricher. Considérez-vous chanceuses, c'est votre âge qui vous sauve de ne pas passer les journées complètement nu a 15 ans. C'est un peu jeune, mais on étudie le règlement pour qu'il n'y ait plus d'âge pour condamner une étudiante à rester et à circuler nue comme punition dans tout le bâtiment comme les plus vieux. En finissant sa phrase, trois personnes rentrent dans la salle. Deux jeunes employées de la cafétéria et leur supérieure qui demande pardon pour nous interrompe, mais les deux filles sont en retenues pour un manque de respect envers une de leurs collèges.

 Nadine

Les deux filles entre et nous voient nues, moi et Pierrette et nous regardent de la tête au pied en fixant mes parties sans changer leur regard. Une gêne extrême m’envahie et je me retourne face au coin et de côté avec tous ces gens, les mains sur les fesses pour en cacher le plus possible les marques de la fessée reçue quelques minutes plus tôt. Pierrette aussi m’a imitée, c'est alors que la stagiaire Claude arrive près de nous et déplace la chaise dans le coin auquel nous étions rendus pour nous cacher un peu. En même temps, ça dégage la place aux nouvelles arrivées. Claude s’assoit sur la chaise et me fait signe de me coucher sur ses genoux. Elle remonte sa robe pour dégager ses cuisses et écarte les jambes. Tout le monde dans la salle voit son slip blanc qu'elle porte. Gêner en m’approchant d’elle, d'être obligée de me coucher sur ses cuisses comme une petite gamine, cul bien exposé. Je m’arrête au côté d’elle, les mains cachant mes parties intimes, elle m’attrape par un bras et me tire ver, elle en me couchant sur ses jambes. À mon âge, n’ayant pas l’habitude d’un si grand contact corporel, et mon sexe qui frotte sa douce peau, ça m'a fait passer des sensations étranges, presque comme quand a l’occasion, je me caresse.

   Le contact de ma peau sur la seine, le bout de mes seins qui ont effleuré sa peau sur ses cuisses, et glisse tombent dans le vide et que tout le monde voient pende quand elle me fait descendre la tête plus vers le bas. Claude ensuite me fait écarter les jambes pour que ma jambe droite pende dans là vide, ça commence à m'excitée. Je suis bien écarté ma jambe gauche sur ses cuisses et mon genou droit touche le sol, ma fente se colle sur l'une de ses cuisses nue. Claude le fait exprès. Elle commence à me flatter les fesses avec l'une de ses mains. Je sens mon entrejambe devenir, mouiller, et je suis sûr qu'elle s’en rend compte de ma réaction, mon sexe touche le dedans de l'une de ses cuisses, elle doit sentir que ça commence à être humide.

           C’est n’est pas là première fois de ta vie que tu reçois la fessée aujourd’hui ma belle ?. Me demande Claude. Je lui répond que non mais par une étrangère nue et en public, c'est la première fois. Dans le passé j’en ai reçu fréquemment par mes parents comme beaucoup d'enfant, mais jamais entièrement nue et toujours dans un endroit à l’abri des regards. Elle dit il y a toujours une première fois. Elle commence à me taper d’une fesse a l’autre avec force sans arrêt je lâche des cris lui demande d’arrêter essaie de me protéger avec mes mains, mais son autre bras me l’empêche les claques se terminent enfin et elle me passe la main sur les fesses en disant au deux nouvelles d’admirer la couleur de ces belles fesses votre tour viendra elle me relève debout. Moi jais les fesses en feu je me frotte à deux mains les fesses en versant des larmes sans me préoccuper de ma pudeur

   Les deux filles et leur chef me regardent sautiller et pleurée comme une petite fille jusqu’à ce que je réalise que les regards sont sur moi. La honte me gagne et j’endure la douleur pour lâcher mes fesses et caché mon intimité avec mes mains en me retournant face au mur dos aux regards et je me remets les mains sur mes fesses pour me cacher les fesses à nouveau. Pierrette à son tour se couche sur les jambes de la stagiaire. Et pierrette subit la même fessée. Revenue ou côté de moi en ce frottent les fesses, elle aussi, la stagiaire nous demande de la suivre pour aller manger. On proteste en lui disant qu’on ne sort pas dans cette tenue à la cafétéria, la réponse a été instantanée. Notre repas du soir se prendra dans cette tenue et après elle va nous remettre des vêtements spéciaux pour retourner à notre appartement situer à la résidence de filles à l'arrière du bâtiment. Demain matin, elle nous informe qu'on doit revenir vêtu avec les vêtements qu'elle nous donnera ce soir sans sous-vêtements dessous. Elle nous prend chacune par-dessous un bras et nous guide ver la porte en passant devant les deux filles qui sont traduites devant le comité de discipline. Dans le couloir, on se dirige vers la porte qui sépare la direction et nos salles de cours et elle l’ouvre.

 

La Stagiaire Claude

           Les filles mains sur la tête jusqu’à la cafétéria je les fais passer en premier pour ensuite fermé la porte et je suis, pas très loin de la porte d’entrée de la cafétéria

On voie à l’intérieur et c’est vide a heure tardive  les étudiants, résidant ont tous finis de manger elles sont un peu soulager de s’apercevoir que la salle est vide il ne reste que du personnel dans la cuisine à finaliser la fermeture mais il y a toujours des repas disponible dans les réfrigérateur pour réchauffer nous même dans les petit four disponible elles ont quitté leur positions de puni et se mettent les main entre les jambes  pour se cacher les parties et je les laisse faire en mirent leurs fesses encore bien rouges on se ramasse chacun repas et mangeons  a la même table, es deux filles ne sont pas trop alaises nue dans un lieu public et qu’elles regardent M Lepetit venir dans notre direction. Il dit Mlles voici des vêtements pour vous rendre dans votre chambre ce soir vous les porterai demain matin pour revenir voir Mlle Letarte ensuite elle vous les confisque jusqu’à la fin du premier cours avec Mme Petitgrew  ensuite au repas du midi ici dans la cafétéria vous allez montée sur l’estrade que vous voyez a côté devant tous les étudiants présent ici Mlle Letarte vous donne votre punition promise avec le martinet quelle aura choisi elle-même et entièrement nues et  vous resterai ainsi jusqu’à la fin du repas vous vous rhabiller pour assister à vos cours d’après-midi. Profiter de vos soirée pour étudier a deux les matières de l’an passée pace que vos retenues de weekend c’est les controls de l’année passée qui vous attend pour savoir si c’est la tricherie qui vous a fait passer votre année scolaire les livres sont disponible pour vous aider dans mon bureau Mlle Letarte va vous les donner en sortant d’ici. M  Lepetit  s’en retourne et moi je leur dit  que dans la salle de retenue toutes les étudiants sans exception sont nus fille ou gars et il y a plusieurs punitions qui sont administrée dans ce local et avec des instruments comme le fouet, martinet, canne strap, paddle Pierrette et Nadine me semble en panique d’entendre ce que je leur dire, mais je les rassure un peut en disant que pour elles samedi c’est pas la fessée qui les attend mais les controles à reprendre et que dépendants des résultats final ça pourrait changer ,

  Pierrette       

         Mlle Letarte ont à jamais tricher dans la passer je vous le jure que s’était la première fois qu’on essayait de tricher je vous en prie parler au membre du comité ce n’ai pas vrai  pour l’an passée. Elle m’arrête de parlée et me dit que mes parents sont au courent pour ce qui est arrivé aujourd’hui et qu’ils ont répondus que l’année passée j’avais été suspendue à deux reprises pour avoir triché et Nadine aussi mais que l’école nous a tolérées pour essayer de nous donner une chance de ne pas couler notre année elle était très bien renseigner. C’était spécialement pour ça que mes parents m’avait inscrit ici au lieu de continuer à l'école publique pusque ici il y a de la discipline et très sévère qu’on applique et que les parents de Nadine aussi ont suivis l’idée de mes parents pour l'inscrire ici. Je lui demande alors il n’y a rien à faire pour la punition elle dit non c’est encore beau que ce ne soit pas plus sévère c’est sûrement votre âge qui retient le comité et dit pour ce soir je vous fais une faveur a l’heure qu’il est  l’institut est vide de professeurs personne va se rendre compte que je vous donne les vêtements ici pour que vous les mettiez et ensuite on va tous dans mon bureau pour vos livres. Dans son bureau elle nous donne les livre qu’on a supposément besoins pour les controles de ce weekend et nous conseilles de commencer à étudier ce soir même et pour demain c’est à 8h00 précis ici dans le bureau de M. Lepetit.

 


 

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...