Nadine
Notre soirée et nuit passée et je n’ai presque pas dormi
Pierrette aussi. Alors j’embarque dans la douche. J'en ressors quelque
instant plus tard et m’aperçois que Pierrette est dans la salle de bain.
Elle me regardait. Je suis nue devant elle, et Pierrette me dit depuis
que l’on se connait et on se voie nue chez toi ou chez moi en passant de
longs moments ensemble. Cela ne m'était jamais venu à l’idée qu'être
nue devant des étrangers pouvait devenir si humiliante et gênant,
tellement que ma journée me fait peur. J'ai envie d’aller à l’infirmerie
et me plaindre d'un mal de tête et demander à l’infirmière de me donner
une dérogation pour mes règles. Je la traite de folle, c'est la pire
affaire à faire, tu vas te ramasser avec une punition pire que
d’affronter celle qui s’envient.
Tu t’imagines si le
dirlo ou Lepetit demande à l’infirmière de te passer un examen et
qu’elle se rend compte de tes mensonges. Tu n’as pas fini de te balader
nue et d’avoir mal aux fesses. Vient à deux ça va être moi pire que
seule et on essaie de tenir le moral. Je finis d’enfiler mon short noir
et rien en dessous qu’elle a bien précisé. Je n’ai pas le choix, Claude
nous a bien spécifié que pour nous rende à l’institut toutes les deux,
on est obligé de porter que ces deux vêtements noirs qui ridicules et
très courts. Et cette fichue camisole noire qui est très ample qui font
presque ressortir mes seins. Et avec ce fameux p cousu en blanc sûr dans
le dos et sur mon derrière de short, pour que l’on ne passe pas
inaperçu au travers des autres étudiants quand ont punis. C'est nouveau
de cette année ces vêtements-là, le temps file vite et je ne veux
surtout pas être en retard, dépêche-toi Pierrette on doit y aller.
Je ferme la porte de notre appartement et allons à l’institut. Arrivés dans le couloir d’entrée, quelques camarades et amies sont déjà là en me regardant avec ces vêtements-là. Ça m’a gêné et j’ai serré les bras de chaque côté de mon corps pour me cacher les seins. J'essaie de rester le plus possible face à elles. En plus j’ai les fesses à moitié a l’air avec ce short très court. Elles me demandent si hier, on avait été punies. Il y a les rumeurs dans les couloirs qui disent qu’on aurait été vues nue toutes les deux nous disent elles.
J’essaie de faire taire ces
mauvaises langues en leur disant que c’était l’infirmière qui nous
avait appelé pour des examens de routine et qu'on était habillé toutes
les deux comme ça pour une simple petite punition banale. Mais le temps
avançait et je ne pouvais plus discuter avec elles. En marchant vers la
porte qui donne accès à la direction. Mes camarades se rendaient compte
qu'avec ces vêtements noirs, le short très court qui laissait voire
presque la moitié de mes fesses et le haut de mes cuisses, ils y avaient
des petites marques encore rouges. Je n’ose pas me promener les mains
sur les fesses pour les cacher, c'est encore plus humiliant. Elles nous
disent bonne chance à vos fesses en nous regardant se diriger vers le
bureau du dirlo. Arrivé à la porte qui sépare les salles des cours et la
direction, on sonne et la stagiaire ouvre, elle nous attendait.
On se rend ensemble au bureau du
surveillant, et Mlle Letarte nous fait entrer, les jambes me
tremblent. J'ai des crampes au ventre juste a pensé à me mettre nue
devant elle et là, voire me regarder les yeux fixer sur ma chatte. Je
lui demande, peu-t-on aller à la salle de bain avant de rentrer dans
votre bureau
MlleLetarte
Oui, mais faite vite. Les deux revenus à mon bureau, elles me demandent et me supplient d’alléger leur punition, de leur laisser les vêtements qu'elles portent pour la punition de ce matin et pour assister à leur premier cours. Je leur réponds de se déshabillées comme prévu et pour le reste, c'est impossible. Ce n’est pas moi qui ai décidé de votre punition, mais j’approuve la décision rendue. Si je ne l’applic pas à la lettre, c'est moi qui reçois le fouet pour un manque de respect envers le comité et la direction, et ils ont très sévère même pour nous les employées. En étant que stagiaire pour l’instant, je suis soumise au même règlement que vous et je ne suis pas du tout intéressée à être mise nue devant le personnel et fouetter. Et même tout le personnel de cet établissement est soumis à des règles très strictes.
Même le cas de
votre professeure Mlle Garcia qui vous a protégé la première fois il y a
trois semaines environ, c'est probable qu'elle soit punie. Le cas de
Mlle Garcia est à l’étude et elle pourrait elle-même être punie samedi
dans la salle des professeurs, Pierrette coopère et enlève tout, elle
est nue, mais Nadine ne bouge pas vite. Elle hésite et commence par sa
camisole. Son short baisse très lentement, c'est à cet instant que je
lui donne une paire de claque sur les fesses encore couvertes par son
court short, et lui dit d'accéléré. Mon intention est de vous donner
seulement dix coups de martinet à la place de vingt. Nadine, si tu ne
collabores pas, ce sont les vingt coups que vous recevrez et toutes les
deux en plus. Je ne crois pas que Pierrette va t'aimer si elle reçoit
dix coups de plus.
En ouvrant le tiroir de mon bureau, je
sors le martinet et l’étend sur le dessus du bureau. Nadine regarde le
martinet de cuir à six brins. Tes fesses vont ressembler à quoi s'ils en
reçoivent vingt coups ça va laisser de belles marques sur la peau et un
martinet de cette longueur peu touché ton entre cuisse a l’occasion ta
chatte. Demain, si je ne suis pas seul, ce sont les vingt coups qui
seront appliqués, tu te décides à obéir, ce n’est pas à tous les jours
que tu auras le choix. Je te laisse une chance aujourd’hui, prend là.
Nadine lâche des cris à presque chaque coup qu'elle reçoit. Chaque coup laisse des belles marques rouges. Le huitième claque. Ses fesses sont totalement rouges. Elle doit commencer à avoir le derrière en feu parce que, je frappe avec force les lanière rentre dans son gras de fesse, à chaque coup que je lui donne. Je ne distingue plus trop les marques du martinet. Les marques que laisse les lanières commencent à ce chevauchée une par-dessus l'autre, ses fesses sont rougies bien égales. Elle essaie de se tourner, mais je lui mets de la pression sur ses jambes avec mon autre main pour l’empêcher de se retourner, ce qui la maintien en position bien à plat, les fesses toujours bien exposées.
Il reste deux coups, si tu bouges les fesses, tu recevras les dix autres. C'est bien compris en claquant avec ma main son cul. J'applique un solide coup, elle vire les fesses et les remets en position instantanément. J'applique le dernier en disant à Pierrette de lâcher brise. Ce fut instantané, les mains se sont placées sur ses fesses pour se les frottées. J'aide Nadine à débarquer du bureau, et fait signe à Pierrette de mettre ses mains sur le mur et de sortir ses fesses.
Au lieu
de la faire étendre sur le bureau. Et garde ta position sinon je
rajoute deux autres coups à chaque manquement compris. Rendus en
position, les fesses bien sortie, j'applique le premier coup et trois
autres suivent rapidement. Un quatrième et un cinquième. Le martinet à
sembler marqué plus ses fesses que celle de Nadine. Les marques ont
ressorti beaucoup plus et une des lanières de cuir a frappé sa fente, ce
qui lui a fait serrer les jambes et elle a plié les genoux par la
douleur. Je lui ordonne de reprendre sa position. Elle se repositionne
en se frottant l’entrejambe. Je lui administre les derniers coups et le
cul bien rouge, elle plie de nouveau les genoux et lâche le mur pour se
frotter les fesses. En laissant Pierrette finir de se soulager les
fesses, je demande à Nadine de rejoindre sa copine au mur. Je regarde
l’heure, il est 8 h 45. Rhabillées vous, c'est le temps d’aller à votre
premier cours les filles et pas de discussion possible. C'est avec ces
vêtements-là, que vous pouvez circuler dans les coupoirs ou sinon c’est
nu et pour le reste de la journée, à vous de décidée.
Pierrette
On n’a pas le choix, il faut sortir et se rende pour assister à notre
cours habillé ainsi, c'est humiliant, mais c'est mieux que nu. En
mettant les pieds en dehors du bureau, plusieurs profs sont sur le bord
de la porte dans le hall et nous devons circuler au travers d’eux à
moitié nue et des rougeurs qui paraissent sur le bas des fesses. Le
trajet entre ici et notre salle de cours va être long. Je garde ma tête
bien basse pour ne pas les regardés. Je passe la porte, Nadine suivie de
la chipe aussi, c'est ainsi que je l’appelle. Pour moi et probablement
Nadine aussi. Depuis des années que Nadine et moi sommes de grandes
amies et toujours ensemble et souvent je couche chez Nadine ou le
contraire Nadine couche chez moi. Nadine et moi a n'a plus de secret
entre nous deux ont, c'est fréquemment vu nu. Mais jamais, on s’est
exhibées nues en public. C'est la toute première fois que je devrais me
montrer nue devant autant de gens et c’est très humiliant, en plus tous
nos camarades vont voire qu'on a les fesses bien rouges.
C’est alors que je décide de me foutre des ordres de la stagiaire qui
nous colle aux fesses et je mets mes mains sur mes fesses pour en
laissée moins paraître, nom short est tellement court. Je suis Nadine et
je lui regarde les fesses, la moitié de ses fesses paraissent tant que
son short est court, et on s'aperçoit qu'elle s'est fait chauffer les
fesses, elles sont rouges. Mais je suis rappelée à l’ordre aussi vite
par deux fortes claques en travers des fesses qui résonne dans le
corridor. Le son produit par les claques attire les regards des gens
autour de nous. j'entends dire, tu restes les bras croisés dans ton dos
et sa presse sinon je vous confisque vos vêtements. En continuant notre
chemin pour nous rendre a notre salle de cours qui est presque à
l’autre bout du bâtiment, au deuxième étage, les escaliers et le
corridor sont pleins d’étudiants qui se préparent à aller, eux aussi, à
leurs cours, quelle honte. Je fige et ne cache encore les fesses gênées
d'être le derrière quasiment à l'air, la stagiaire me redonne plusieurs
claques en travers des fesses. Nadine aussi, c'était caché les fesses.
Elle a eu droit à autant de claques que moi. Ça m'a fait crier et ç'a
provoqué un bruit assez fort et si c’est bruyant même avec la
circulation des étudiants, le bruit des claques et mon cri c’est fait
entendre dans tout le corridor.
Les étudiants qui ne nous avaient pas encore vues dans la foule se sont
retournés pour nous regarder marcher vers notre local. En portant qu'une
camisole de très grande taille, les seins presque a l'air, et un si
court short sans sous-vêtements dessous, je suis quasiment nue et les
fesses bien rouges, et les autres autour de moi le remarquent
facilement. La chipie nous ordonne à nouveau de remettre nos mains dans
le dos sans nous cacher les fesses cette fois-ci. Obéissez les filles ou
c’est ici devant tout le monde que je vous redonne une autre fessée et
nu dans ce couloir devant tout le monde. Mes amies de ce matin qui nous
ont vue dans l'entrée sont juste en face de moi et me regarde. L’idée de
recevoir une fessée devant elles et tous les autres ne me plaisait pas.
J'ai obéi à Laurie. Je me suis dépêché de me rendre au local sans
prendre le temps d'écouter et de regarder autour de moi qui était dans
le corridor à me regarder. Arrivé au local, on ne peut pas entrer avant
que la professeure soit elle-même dans le local. La stagiaire Laurie
nous fait attendre avec les autres dans le corridor et mes amies de ce
matin m'ont rattrapé et commence à nous parler. Il semblait que vous
étiez à l’infirmerie hier menteuse, en plus des belles fesses rouges ç'a
chauffé ce matin, des gars se collaient sur nous pour nous tripoter le
cul. Enfin Mme Petitgrew arrive et entre les étudiants suivent. Enfin,
je peux entrer et allé m'asseoir à ma place, ce sera moins humiliant
qu'être debout devant tous ces curieux. Mais Nadine et moi, on attend
quelques secondes à l'écart pour entrée en dernier et éviter de me faire
pogner les fesses dans la file. Mme Petitgrew et Laurie, elles en ont
décidé autrement, moi qui espérais aller m'asseoir et qu'elle oublierait
la partie punition pour le cours. Mais Laurie m'indique d'allé sur
l'estrade avec Nadine. La punition pour vous deux commence. Laurie
explique pourquoi on est vêtue de cette manière-là.
Pierrette
La gêne me fige, j'hésite à monter sur l'estrade, Nadine aussi reste à
côté de moi. Je reçois un autre série de claques sur les fesses.
J'avance et en me cachant du mieux que je peux en n’ayant pas trop le
choix si peu vêtu. Nadine s'est placé les mains sur ses fesses pour les
protégées et avance elle aussi. Je monte avec Nadine sur l’estrade et on
doit commencer toutes les deux à expliquer pourquoi nous sommes punies
et notre système qu'on a utilisé pour tricher. Les explications
finies, Laurie nous ordonne d'enlevé nos vêtements et de lui donner en
nous menaçant de nous rougir les fesses devant nos camarades. j'ai
choisi de lui donner ce qu'elle nous demande et j'enlève le peu de
vêtement que j'avais et me ramasse toute nue devant tout le monde dans
la salle. Nadine aussi se déshabille, Laurie ramasse les vêtements. Mme
Petigrew nous a donné la permission d’aller à nos places, la chipie
Laurie nous dit qu’elle revient nous chercher à la fin de la matinée et
nous redonnera nos vêtements. Les cours se sont bien déroulé sauf pour
la honte, l’humiliation, Mme Petigrew a fait exprès pour nous faire
déplacer en avant sur l'estrade à quelques reprises pour nous humiliée
au maximum et j'etais humilié d'être nue. Elle nous disait que cela
fessait partie de notre punition d'être exposée devant tous les autres.
À la fin du dernier cours la chipie nous attend dans le
couloir. Elle nous accompagne jusqu'à l’entrée de la café comme
convenu, et on lui demande si on peut rester dans la salle et ne pas
monter sur l’estrade. Mais sa collège Claude, elle nous indique le
chemin tout au long du trajet dans la salle en passant au travers des
tables ou beaucoup de gens ont déjà pris place. Je la suppliais, lui
demandait d’aller dans son bureau pour nous punir, mais elle nous pousse
vers les marches toutes les deux et nous forces à monter sur l’estrade.
Rendus sur l’estrade, je regarde les gens qui circulent et s’installent
pour manger, eux aussi, ils regardent tous, c'est gênant, humiliant de
savoir qu’on est le sujet du jour.
Sur l’estrade, il y a une table libre, et c'est là qu'on se dirige. Claude nous dit de rejoindre Ginette à cette table et de s’asseoir avec elle. Nos cabarets suivront bientôt. Mais je lui dis que je ne suis pas capable de manger. La nervosité me coupe la faim. Claude me dit, tu ne manges pas, c'est bien, c'est ton choix, elle me ramasse par un bras et me place en plein centre de l’estrade à quelques centimètres du bord. Au même moment, trois autres étudiants arrivent sur l’estrade. Les trois s’installent pour manger et tan qu'à moi vu que j’ai choisi de ne pas manger, Claude me fait mettre en place exposer à tous les curieux face à la salle qui est presque pleine. Sans que je m’en rende compte, distraite par la nervosité d’être sur l'estrade devant autant de gens, elle se place derrière moi et tire sur mon short qui descend jusqu’à mes chevilles. La gêne et l’humiliation de me ramassée la chatte a l’air m'ont fait placer mes mains entre mes jambes. Claude me demande d’enlevé ma camisole moi-même ou je te la coupe et tu restes nue pour le reste de la journée.
Tranquillement, je prends le bas de la camisole et la tire vers le haut. Je n'ai pas le choix. Je passe ma camisole pas dessus ma tête et lui donne. Encore une fois Claude m’oblige à enlever mes mains de sur mes parties intime pour que tout le monde m'admire. Comme elle s'amuse à me dire et me mettre les bras croisés dans mon dos et me conseille de ne plus bouger, la suite viendra bientôt, me dit-elle. Je suis nue devant une salle bondée de monde qui me fixe tous et donne des commentaires humiliants, les larmes coules sur mes joues et je me sens les jambes ramollir.
Nadine finie de manger et Claude lui dit de ce levée, de d’enlever ses vêtements. J'entends dans la salle des commentaires du genre faite descendent les filles, nous, voire, c'est trop loin, amenez les dans les rangers. C’est extrêmement gênant d’être exposée nue devant tous et ces mâles qui ont tous l’air de vrai débile. Nadine maintenant nue, Claude que je surnomme la chipie, ramasse une palette de bois sur la table et amène Nadine avec moi au centre et lui dit de prendre la même position que moi. Claude explique ensuite à la salle les fautes qu’on a commises et que tout le monde savait et les conséquences de nos actes. Puis Claude nous regarde tous les deux en disant que les membres du comité dans un commun accord ont décidé de lui donner le choix pour la punition ce midi. Des vingt coups de martinet supposé qu’elle devait nous donner. Les membres du comité lui ont donné le choix de l'instrument pour nous punir, et le nombre de coups tout dépendants de l'instrument choisi. Claude a décidé de changer ça pour cinq coups de paddle, elle nous dit ça, vous diminue donc de quinze coups votre fessée. C’est une bonne nouvelle, mais vous ne trouvez sûrement pas que la douleur est moins intense avec cet instrument-là. C’est pire pour la douleur, mais la couleur sera encore plus visible et la douleur de vos fesses restera encore plus pour cette après-midi qu’avec le martinet. Mais sera moins dure un peu à recevoir puisque c’est beaucoup moins de coup.
Claude
Nadine, tu te retournes vers moi dos au monde dans la salle pour qu'il
voie tes jolies fesses se faire rougir, toute la salle a hâte de voir
vos jolies fesses, pas juste votre chatte et vos petits seins. Les mains
revenues sur ses partis, elle me demande de ne pas se servir de cette
palette de bois qu'elle appelle ainsi. Et elle restera debout sur
l’estrade dans la position qu’elle veut, mais pas la fessée avec cette
palette. Je vois le directeur ce levé et venir vers nous en ramassant
deux chaises et les places une a côté de l’autre dossier vers la salle.
Il s’adresse alors à Nadine et Pierrette pour leur dire d’arrêter de
faire perdre le temps a tous et de venir poser les mains sur chacun des
sièges fesses vers la salle sinon c’est dans la salle attachez à la
nouvelle potence que vous finirez.
Les deux regardent
l’installation au centre de la salle et les cordes avec les menottes
pendantes au bout et prennent place assez vite en face de chacune des
chaises. Les chaises en aillant le dossier haut. Nadine moins grande un
peu que Pierrette, son ventre se trouve à être très bien appuyer sur le
dossier de la chaise, assez pour qu’elle soit sur le but des pieds pour
rejoindre le siège avec ses mains. Les deux en places, le directeur me
demande de tenir très fermement les poignets de Nadine et M Lepetit lui
ceux de Pierrette. Mesdemoiselles, ça suffit vote enfantillage, je suis
tanné et c’est moi qui m’occupe de vos fesses et vous allez le
regretter.
En finissant sa phrase, il frappe avec force les fesses de Nadine, le
coup a résonné à la grandeur de la salle, ensuite, ce sont les fesses de
Pierrette, ainsi de suite sans qu’elles soient capables de bouger les
mains en étant retenues fermement. Au dernier coup, je lâche ma prise et
Nadine se frotte les fesses à deux mains en sautillant d’un pied à
l’autre avec des larmes qui coulent sur ses joues. Pierrette, elle est
pliée sur ses genoux se tenant les fesses et en pleure. Le directeur les
prend par les bras, les replacent face à la salle en leur disant de
mettre les mains croiser dans leur dos. Il me dit que je peux les punir
encore si elle quitte leur position de ne pas me gêner pour utiliser la
force et il repart s’occuper des trois autres qui doivent recevoir aussi
une punition nue ce midi.
Nadine
Me voyant obliger de me tenir nue devant une salle quasi pleine, je ne
voulais pas rester exposée à l’air et je me mis les mains sur mes
parties intime pour protéger ma pudeur. Enfin ce qui en reste, mais la
chipie apparue dans mon dos avec ce fameux paddle en main et me frappe
les fesses de deux coups qui me fait remettre les mains sur mes fesses.
Elle me dit que si je n’obéis pas, c'est en bas dans le milieu de la
salle au travers des spectateurs que je recevrais la prochaine fessée.
J’ai obéi sans trop hésiter, mais avec une grande honte, le repas étant à
sa fin, les étudiants commencent à sortir. Et plusieurs font un détour
pour passés sur le bord de l’estrade pour nous admirer de plus près en
passant des commentaires très gênants. Le directeur nous permet de nous
rhabillées et aller suivre le reste de nos cours. Dans le couloir bondé
de monde. Les regards sont sur nous et nos camarades de classe nous
posent des questions sur la douleur qu’on doit ressentir et donne des
commentaires comme tu devrais continuer nue avec tes belles fesses
colorées, ça nous existe. On a toute hâte à demain pour vous revoir un
autre spectacle la fente a l’air et quelques déplacés qui s’amusent à
nous taper les fesses en radotent qu’on adore ça la fessée, etc.…
En rentrant dans la classe notre professeure nous demande de montés sur l’estrade au côté de son bureau et nous a demandé de montrer le résultat de notre fessée de ce midi. Alors ont ces retournées Pierrette et moi pour descendre notre short sous nos fesses à la satisfaction de notre professeure et des étudiants qui voulaient voire. À la fin de la journée nous sommes retournées voir Claude qui nous a donné la permission de retourner à notre appartement. Et demain nous dit elle revenez avec les mêmes vêtements, et ce soir de bien étudier pour nos contrôles de samedi et dimanche. Je dois donc ressortir dehors à moitié nue pour me rendre à mon appartement. La camisole que l'institut nous donne comme vêtements de puni est très grande et on a les seins a l'air. C'est très gênant aussitôt que l'on bouge un bras tout apparait. Et le short est très court, j'ai toujours l'impression d'avoir une partie des fesses a l'air.