mercredi 17 janvier 2024

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

 

 

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Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé une sévère punition avec sa ceinture qui lui a laissé des marques sur ses fesses pour le reste de la soirée.

Mais que se passe-t-il, papa a cette heure-là.

Lève-toi Bianca et va te doucher en la levant par un bras pour qu’elle bouge ses fesses. On a un rendez-vous chez le directeur de la fac 7 h 30 et je ne souhaite pas que tu sois en retard.

 Mais il n’est que six heures du matin j’ai amplement le temps laisse-moi dormir encore j’ai eu du mal a m’endormir hier soir.

 Oui et si tu ne veux pas bouger comme je te le demande je te colle une nouvelle punition. Si celle d’hier ne ta pas suffi gare a tes fesses à nouveau qui doivent être encore très douloureuses, je ne me gênerais pas pour te les rougir à nouveau.

Sa mère Mariana entre elle aussi dans la chambre. Bianca lui dit-elle obéi a ton père vient avec moi à la salle de bain je vais t’aider.

Laisse-moi seul maman, je suis assez grande pour me laver seule, et sortez de ma chambre, j’irais moi-même me doucher. Bianca sort de son lit et tire sur sa musette pour garder ses fesses cachées.

 Je t’attends dans la salle à manger dans 30 minutes, et si je n’entends pas l’eau de la douche couler d’ici 2 minutes c’est moi qui irai te laver. Alors, bouge sinon tu vas le regretter.

 Bianca entre dans la salle de bain et fait couler l’eau. Pendant ce temps sa mère lui prépare ses vêtements, une robe des sous-vêtements neufs que Bianca n’a jamais voulut porter.

En sortant de la salle de bain et recouverte que d’une serviette, Bianca regarde sa mère et remarque ce qu’elle a mis sur son lit.

Non-maman jamais je ne porte de robe à l’école, et surtout cette ridicule petite culotte et ce soutien quasi transparent.

 Depuis que je me suis fait punir et humilier nue par votre faute devant tout le monde le mois passé je ne porte plus de jupe ou de robe, seulement que des pantalons. Les gars de la fac sont trop stupides, il n’arrête pas de nous remonter le bas de nos robes pour essayer de regarder si on porte des sous-vêtements dessous, ils vont jusqu’à nous claquer le derrière en nous croisant dans les corridors. Demande a Gabrielle et Marie-Line ce qu’elles en pensent des robes elles aussi, tu comprendras très vite.

 Ma fille ce n’est pas toi qui décides aujourd’hui c’est ton père et moi et habille-toi ça presse. Met ce que je t’ai préparé et suis-moi ton père t’attend, il ne te reste pas grand temps, tu te souviens de ce qu’il t’a dit, si tu ne tiens pas a recevoir une autre fessée dépêche-toi.

D’accord maman, mais sors, je ne veux pas que tu me regardes lui lance-elle en restant toujours couverte de sa serviette.

Mais Bianca, ça ne change rien hier, tu as passé la soirée nue en punition en présence de nos invités et nous t’a famille donc arrête tes caprices et habille-toi. Bianca n’a pas d’autre choix et enfile sa petite culotte qu’elle trouve ridicule et enlève sa serviette devant sa mère pour enfiler le reste de ses vêtements qui sont sur son lit.

Oh ! ma chérie tes fesses sont encore marquées, il y a plusieurs marques de la ceinture qui paraisse encore sur la partie de tes fesses qui n'est pas couvert par ta culotte.

Son père et son frère entrent au même moment que Bianca n'est vêtu que de ses sous-vêtements.

Elle s’empresse de se cacher avec sa serviette qui était encore restée à proximité d’elle. Mais papa ma porte est fermée, tu ne respectes rien, je suis en train de m’habiller. Tu dois t’annoncer frapper avant d’entrer et toi aussi stupide en s’adressant de son frère.

Elle reçoit une gifle sur une joue de sa mère. Sois polie Bianca, on ne traite pas son frère d’imbécile, et finie de t’habiller même devant ton frère cela ne change rien.

Bianca se retourne pour faire dos à son frère et finie d'enfilé, sa robe et ses bas.

David dit a Bianca, je viens tout juste de parler au père de ton amie Gabrielle. Les parents de Gabrielle sont en route vers l’aéroport et vont s’absenter pour les 10 prochains jours pour une rencontre d’affaire avec son patron et ne pourront pas assister à la réunion avec le directeur ce matin. Gabrielle et sa sœur vont rester ici avec nous pour la durée de leur voyage. Jean-Luc son père m’a dit de traiter Gabrielle comme toi aucun passe-droit, si je décide de te corriger pour tes bêtises que tu as commises a la fac avec elle, Gabrielle aussi recevra la même punition, et il a averti sa fille de ce qui peut lui arriver même si je ne suis pas son père.

Descends avec nous pour le petit déjeuner et ensuite nous allons chercher ton amie. En descendant, Bianca essaie d’amadouer son père.

Mais papa, tu n’as pas l’intention de me corriger encore c’est déjà fait, j’ai retenu la leçon hier c’est suffisant, et Gabrielle tu n’oseras pas lui toucher j’espère.

Ne t’occupe pas de cela c’est moi qui décide c’est quoi qui est bon pour te faire réfléchir toi et Gabrielle et son père m’a donné son consentement pour la punir elle aussi, et mange le temps passe.

 Le père de Bianca arrête à la maison de Gabrielle et fait monter dans sa voiture Gabrielle et sa sœur. Dans la voiture durant le parcours, Bianca parle de ce que le père de Gabrielle a permis. Oui, réplique Gabrielle, mon père me l’a très bien spécifié que ton père a tous les droits, j’espère qu’il n’a pas l’intention de te punir également ce soir. Moi j’ai reçu une très dure punition hier soir, dit Gabrielle j’ai toujours mal aux fesses ce matin. Comme moi lui répond Bianca j’ai encore des marques sur ma peau.

Rendu à l’école et a l’entrée de la salle de conférence ou est prévu la rencontre Bianca entre suivie de Gabrielle et de ses parents. Ils aperçoivent trois mecs qu’elles connaissent très bien qui sont debout mains sur leur tête et adossés au mur à la gauche de la porte. Marie-Line et Justine, leurs amies sont justes à leur côté dans la même position de puni elles aussi.

Dans la salle, treize personnes sont assissent a la grande table. La mère de Marie Line et Justine et trois autres femmes, sûrement les mères des trois gars attendent toutes assises d’un côté de la large table. Juste face à eux de l’autre côté, huit profs pratiquement tous des femmes et membres du comité de discipline leur font face et deux assistantes au directeur.

Le directeur les accueille et fait placer les deux nouvelles arrivantes à la suite de Justine dos au mur comme les autres, et David le père va rejoindre la mère de Marie Line et Justine. Mariana la mère de Bianca entre et s’assoit avec eux.

Le directeur prend la parole, regardez en s’adressant aux parents de Marie Line, Bianca et Justin. Voyez  ce que vos filles on fait à ce jeune homme. Il a les cheveux coupés par plaque. Vos filles lui ont versé de la colle dans les cheveux, en plus d’insulter sur tous les réseaux sociaux les trois jeunes hommes ici.

Il y a peine quelques semaines il me semble que vous trois Bianca, Gabrielle et Marie Line vous avez subi une très humiliante punition publique pendant 3 jours. Cela ne vous a pas trop servi de leçon, et c’est la deuxième fois en quelques semaines. On n'a pas autre choix que de vous punir par la pire punition qu'il existe. Vous avez droit encore une fois à la sentence le plus sévère. Une punition corporelle et nue comme la dernière fois. Ce qui est de votre intimité et votre pudeur dans les circonstances on ne s’en occupe pas c’est à vous d’y réfléchir avant d’agir maintenant vous allez en payer le prix. Pour aujourd’hui et demain vous allez vous montrer encore une fois dans votre plus belle habillement, c’est à dire en costume d’Ève.

Mais M. dit Bianca c’est eux qui nous ont provoqués les premiers en nous traitant de salopes et bien autres choses que je ne veux pas répéter ici devant vous tous. Nous ce qu’on a fait c’est seulement se défendre et essayer de les faire fermer c’est tout.

Je vous donne raison pour une chose, il n’avait pas le droit de vous traiter de salope et vous humilier de la sorte. Tous les membres de mon comité ici ont décidé de les punir. Ils recevront chacun 20 coups de strap ce matin. M. t c’est vous le premier à recevoir votre punition. On voit trois femmes se lever et traverser dans l’autre local, ce sont des membres du personnel enseignant et du conseil. Et la secrétaire qui attend dans la porte les ordres du directeur. Suivez ma secrétaire M. T. dans l’autre local c’est là que vous recevrez votre punition. Et vous Justine c’est votre première bêtise, mais en étant complice de vos trois copines vous écopez de la même punition que vos trois amies. Justine en écoutant ce que le directeur vient de lui dire commence à paniquer et verse quelques larmes.

 Pendant que le directeur continu à s’adresser aux quatre filles, on entend dire dans l’autre salle. M. enlever votre pantalon et votre slip, mais devant vous réplique le garçon. Oui vous n’avez pas d’autre choix jeune homme lui répond l’une d’entre elles.

Mlles vous quatre le comité aujourd’hui a décidé que pour vous ce matin ce sera 15 coups de cette strap ici et c’est moi-même qui vais vous administrer votre punition dans cette pièce. De très fort bruit de claquement sur la peau se font entendre qui proviennent de l’autre salle et de petits cris de douleur sont perceptibles, le jeune reçoit sa fessée.

 Mais pour vous trois Mlles Smith, Michel et Mlle Jonças une punition additionnelle vous a été imposée. Une fessée a la main pour vous chauffer les fesses avant de recevoir la strap. C’est votre deuxième punition en quelques semaines et on a tous décidé de vous rajouter une punition supplémentaire, et pour ce midi également une punition exemplaire vous attend pour vous trois. Donc Mlle Smith enlever votre robe et venez me rejoindre a la table ici, et vous trois enlever vos pantalons, pull et veste. Il y a un panier dans le coin, posez vos fringues dans le panier, vous en aurez plus besoin pour le reste de la journée. Et vos bas aussi, pendant que le directeur demande aux filles de se dévêtir, la secrétaire vient chercher le deuxième gars pour sa punition. Il est très déçu de rater le spectacle qui se présentait tout près de lui.

Pourquoi M. devrai-je enlever ma robe en présence de tout le monde ici ? Questionne Bianca. J’ai juste à la relever un peu pas plus. Et pourquoi c’est trois mecs-là eux  sont-il-punis en privé pourquoi pas moi également ?. Et je ne veux pas me montrer presque nue devant tout le monde, j’ai déjà été humilié et je ne veux plus l’être encore. Punissez-moi en privé si je n’ai pas d’autre choix que d’être puni, mais pas ici et presque à poil.

 Le père de Bianca David se lève et demande à sa fille d’obéir. Exécute-toi, lui dit-il en s’approchant d’elle, sinon c’est moi qui te l’enlève et je te colle une bonne fessée avant même que ton directeur ne t’en flanque une. Et tu l’auras méritée, faire perdre du temps a tout le monde ici ça se paye très cher.

 Bianca se met à verser quelques larmes et détache l’arrière de sa robe, la laisse descendre très lentement du long de son corps jusqu’à ses chevilles. Justine elle retient son chandail contre sa poitrine, son pantalon sont déjà dans le panier, je ne suis pas capable dit-elle je suis gêné c’est plus fort que moi de me montrer à moitié nue déclare-t-elle, et elle tient très solidement son pull contre elle en suppliant de le garder et demande à sa mère d’intervenir pour elle.

Je ne suis pas trop d’accord à ce qu’elle se montre si peu habillée, mais Justine c’est ce qui a été décidé pour ta niaiserie et obéit, c’est beaucoup mieux que le renvoi de la fac. Gabrielle, Marie-Line et Justine portent des lingeries plus conformes moins sexy, mais c’est Bianca qui attire toute l’attention.

Bianca s’approche du directeur et tire sa robe dans le panier. Le directeur la regarde de la tête au pied. Les dessous quasi transparents que porte Bianca ne passent pas inaperçus. Vous aimez ça M. regarder des filles à poil les humilier, et d’abuser de votre autorité à ce que je peux voire. Je peux tout enlever et me mettre complètement nue devant vous tous, cela vous excitera encore plus comme la dernière fois.

Une bonne claque atterrit sur les fesses de Bianca. Calme-toi ma jolie pour ce matin c’est en sous-vêtement qu’ils soient très sexy ou pas qu’il a été décidé de vous corriger toutes les quatre compte toi chanceuse de les garder pour quelques heures encore. Mais ce midi tu seras satisfaite de te montrer nue, ou peut-être avant si tu n’arrêtes pas de provoquer. Je peux te les confisquer ici même.

 L’une des mères des trois gars rajoute, avec ce que tu as fait à mon garçon lui verser de la colle sur la tête, c’est nue que j’aurais aimé que tu sois pour ta punition. J’aurais aimé que cela soit encore plus humiliant. Marie Line, qui était silencieuse jusqu’à présent, regarde la femme. Mme c’est moi qui ais versé de la colle dans les cheveux de Philippe. Bianca n’a rien à voir avec cela. Bien M. alors si cette stupide fille-là a eu des complices déshabiller là elles aussi, toutes les quatre méritent d’être humiliées ensemble.

Mme vous ne préoccupez pas, dans quelques heures votre souhait sera exaucé, ce midi elles seront toutes punies dans la cantine devant plusieurs dizaines de personnes et nue.

C’est juste ce qu’elle mérite c’est petites impolies, réplique une autre des mères.

Penche toi sur la table au lieu de discuter et ne bouge plus, Bianca s’exécute de peur que le directeur lui fasse enlever le peu de vêtements qui lui reste sur le dos, et s’appuie sur ses avant-bras face aux profs du comité de discipline qui la regarde. Cela met son derrière à la disposition du directeur.

  Je m’aperçois que ton père ou ta mère ce son déjà occuper de tes fesses, il y a encore des traces qui paraissent de ta dernière punition probablement d’hier soir. Ta culotte qui cache à peine la moitié de tes fesses nous laisse voir des marques de la ceinture que tu as reçue hier. Oui M. le directeur hier son derrière a goûté à ma ceinture réplique le père de Bianca. Je ne laisse plus passer ses gestes irréfléchis sans la punir maintenant. Je l’ai punie devant mes invités hier et entièrement nue pour l’humilier encore plus.

Mais M. la prochaine fois employez une strap plus large ou une palette en bois, en disant cela au père de Bianca, il ouvre l’armoire dans la salle. Depuis qu’on a puni ces filles là l’autre mois, on a décidé d’utiliser la punition corporelle pour nos élèves trop agités. Ça fait environ une dizaine d’étudiants en privé ici dans la salle des profs que l’on punit. Il y a quelques semaines il a été décidé de se procurer des strap épaisses large et bien rigide et quelques palettes en bois destinées à la fessée. Je vous conseille d’utiliser une strap dans ses largeur là. La ceinture laisse des marques comme celle-ci sur la peau des fesses elle n’est pas bien large et marque la peau comme une cane de rotin, mais font très mal aussi si donner avec force, tandis que la strap est plus large comme ma palette ici et rougi les fesses beaucoup plus que de créer des rayures rougeâtre foncé, et laisse une forte douleur autant que la ceinture, mais quelque heures plus tard la peau et redevenue a sa couleur normale. Vous en trouverez tout près d’ici sur la rue principale, il y a une boutique qui en possède plusieurs formats et longueur. J’ai aussi deux sortes de fouet et de canne qu’on utilise peu.

Le troisième gars maintenant sorti, le directeur prend la strap et la pose sur la table. Avec son bras gauche, il entoure les hanches de Bianca et la serre très fort contre lui de manière à ce qu’elle ne puisse plus bouger. Et avec son autre main il commence a frappé sur une fesse et alterne sur l’autre avec force cela commence à laisser des traces de ses doigts sur la surface de ses fesses qui ne sont pas couvertes par sa courte culotte semi-transparente. Le directeur lui claque les fesses avec force et rapidité. Bianca essaie de se protéger en remontant ses mains, mais n’en ait pas capable elle crie grimace et demande à ce qu’il arrête tellement que ses fesses lui chauffe et lui font mal. La peau de ses fesses que sa petite culotte ne couvre pas est passée très vite du blanc au rose et au rouge en quelques secondes seulement. Le directeur cesse la fessée et regarde la couleur de ses fesses en entrant les deux côtés de la culotte dans sa raie pour exposer encore plus ses fesses. Bon pour l’instant c’est assez pour tes petites fesses, je laisse reposer un peu tes fesses pour la deuxième punition à venir. Relève-toi, lui demande-t-il et appuie-toi au mur ici à ta droite sans te frotter les fesses. Croise tes bras dans ton dos pour que tout le monde puisse te regarder à moitié nue, tu es vraiment très charmante avec ces sous-vêtements semi-transparents. Et  aussi tu vas regarder tes copines se faire rougir les fesses à leur tour. Gabrielle, Marie Line et Justin, venez prendre place l’une à côté de l’autre et dos a ceux qui regarde vous mains sur votre tête sans bouger, demande le directeur. Vous trois vous êtes moins provocante que votre amie déclare le directeur en regardant les filles de la tête au pied. Les trois mères des garçons se lèvent et quittent. Mes dames, vous n’assistez pas à la suite. Non M. répond l’une d’entre elles je dois allez travailler, et pour les deux autres c’est la même chose.

Je change ma méthode vous deux c’est debout que je vous punirais, et pour Justine je t’ai dit que tu éviterais la première fessée donc regardes tes deux amies souffrir. Ton tour viendra pour la deuxième partie je ne t’oublierais pas n’aie pas peur ma belle. Il encercle la taille de Gabrielle et la serre très fort contre lui pour l’immobiliser et commence à lui claquer les fesses. Les fesses de Gabrielle commencent à lui piquer, elle ressent une forte douleur malgré la présence de sa culotte qui recouvre tout son derrière la main du directeur qui frappe fait très mal. Instinctivement Gabrielle descend ses mains et les porte à ses fesses. Je t’interdis d’ôter les mains de sur ta tête Gabrielle la prochaine fois que tus les enlève de sur ta tête je te fais enlever le peu de vêtements qui te reste c’est bien compris et en même temps qu’il avertit Gabrielle il tient l’élastique de sa culotte en fessant semblant de lui baisser. Non, nooon ! cria Gabrielle M. je vous promets de ne plus les baisser, mais ne toucher pas à ma culotte s’il vous plaît.

Le directeur repris la correction ou il l’avait arrêté. Gabrielle elle aussi se mise à crier par la douleur provoquée par les claques qu’elle reçoit sur ses fesses. Quand le directeur cessa de lui claquer le derrière il libera Gabrielle. Elle porta ses mains sur ses fesses pour essayer de soulager la douleur en pleurnichant. Mari Line  aussi a eu droit à une solide fesses et sautille d’une jambe a l’autre et se tenant les fesses. Justine regarde le directeur qui prend la strap sur la table, toute apeurer. S’il vous plait M. je ne veux pas recevoir des coups de strap donner moi une autre sorte de punition des travaux supplémentaires ou autre chose mais pas ça.

 Arrête de te lamenter comme une petite fille, tu sais très bien que tu n’y échapperas pas à ta punition. Reste immobile sinon je t’enlève moi-même ta culotte. C’est cul nu que tu la recevras ta punition, si tu n’arrêtes pas de bouger et argumenter. Mais M. le directeur lui coupe la parole, il n’y a pas de Mais tu recule d’un pas pour me donner de l’espace et garde tes mains sur ta tête, tu n’en mourras pas de recevoir une fessée, ce sont seulement que tes fesses qui vont te chauffer pas mal et changer de couleur, et pour ton égaux aussi cela va être dur mais pas plus, ça reviendra assez vite crois-moi. Les parole du directeur en ont fait rire quelque un dans la pièce de l’entendre parler ainsi a Justine.  Le directeur la fait reculer pour qu’elle prenne la position désirer. Il lève son bras et frappe ses fesses avec force.  Aïe, ça fait mal ! crie Justine en se levant sur le bout de ses pieds nus. Elle repose ses talons au sol et se met les mains sur ses fesses et se retourne face au directeur pour se protéger les fesses des prochains coups. C’est horrible ça suffit je vous interdis de me retoucher.

Vous n’avez pas le droit de me toucher, et à personne d’autre ici. Elle se retourne et implore sa mère, maman dit au directeur qu’il n’a aucun droit de me punir ainsi. Oui ma fille, il a parfaitement le droit de te punir et comme il le désire, et j’approuve leur décision. Ta conduite est inacceptable et endure ta punition sans résister. Je dois aller travailler maintenant reste sage Justine sinon tu le regretteras. Merci Mme réplique le dirlo. Le directeur, calmement, la prend pas un bras et la ramène à sa place et la remet en position. Justine, la prochaine fois que tu bouges je t’enlève moi-même le reste de tes vêtements, tu seras la seule nue ici ce matin à te donner en spectacle. Il saisit l’attache de son soutien dans son dos et le détache. Je t’ai prévenue Justine, si tu bouges encore, je t’enlève ton soutien et ta culotte aussi. J’ai compris M. je vais me retenir, répond Justine presque sur le bord des larmes. La punition reprend et à chaque coup que reçoit Justine sur ses fesses, elle se retient pour garder le mieux possible sa position, mais c’est très difficile, ses fesses lui font très mal à mesure que les coups s’abattent sur ses fesses. C’est la première fois de sa courte existence qu’elle se fait rougir les fesses, et elle trouve que ça fait mal.  Un fort bruit est perceptible dans le hall, la porte étant grande ouverte cela attire l’attention des passants qui commencent à être plus nombreux à circuler à mesure que le temps passe, et cela gêne énormément les filles d’être si peu vêtues devant la porte grande ouverte. Tous ceux qui passent entendent et regardent ce qui se passe dans la salle et se rendent compte qu’il y a des filles à moitié nues. Le quinzième coup reçu le directeur aperçoit que Justine pleurniche de douleur et ne se rend pas compte qu’elle a ses petits seins quasiment a l’air tellement elle a bougé et son soutien, n’étant pas attaché, est devenu tout croche ne cachant plus grand-chose. Tes petits seins sont presque a l’air, lui fait-il remarquer. Tu as déjà hâte de te donner en spectacle et montrer tes charmes, mais il est trop tôt, garde ça pour ce midi à la cantine, tu deviendras très populaire. Il prend le temps de le replacer lui-même son petit soutien et de le rattacher en place dans son dos. Il la fait ensuite avancer égale aux trois autres. Tu vois Justine, tu n’en est pas morte, ce n’est pas quelques coups de strap sur tes fesses qui t'ont tuée, c’est juste humiliant d’être puni en public et surtout à ton âge, mais pas plus. Il baisse l’arrière de sa culotte sous ses fesses juste pour vérifier la couleur et la remet en place sans que Justine réagisse et essaie de l’empêcher. Dans environs une heure, tes fesses redeviendront blanches comme elles l'étaient tout à l’heure, et tu pourras te rasseoir sans trop de difficulté, quinze coup ne laisse pas tant de douleur que ça. Au tour de Marie-Line de reculer. C’est à ton tour, et c’est la même chose pour toi aussi, si tu bouges je te mets nue donc reste immobile. La punition de Marie-Line s'est mieux déroulée, elle a enduré ses coups même si ses fesses lui chauffaient horriblement. Gabrielle a résisté, elle aussi, sans trop bouger et chercher à se frotter les fesses. Les deux ont eu peur de perdre ce qui leur restait de vêtements et ont obéi. Quand Bianca commence à recevoir ses premiers coups, une femme se présente dans la porte de la salle. Bonjour tout le monde ! C’est ici qu’elles sont mes filles que je dois avoir comme aide ce matin. J’ai bien vu que dans l’autre pièce, il y a trois étudiants les fesses a l’air, j'adore ça, ils ne sont pas si laids à regarder même s'ils sont encore un peu jeunes. Nous accompagnent-ils eux aussi ? M. Non Murielle, les trois gars retournent en classe. Ils reviendront ici ce midi, mon assistante s’occupera de leur donner leur seconde punition. La responsable de la bibliothèque reconnaît Justine. Que fais-tu ici Justine lui demande-t-elle. Toi aussi, tu as écopé de cette terrible punition à ce que je peux voir. Tu connais Justine Murielle, demande le dirlo. Oui, c'est ma nièce et c’est surprenant de la regarder quasi nue, elle qui est si prude, si gênée normalement. On s’en était tous rendu compte, elle n’aime pas montrer ses jolies petites fesses, mais ce midi, elle n’aura pas le choix de les montrer à tout le monde.

Ma sœur n'est pas ici, questionne-t-elle, sa mère est ma sœur cadette. Non, Murielle, elle vient tout juste de quitter, répond une des personnes assises autour de la table.

Pendant que le dirlo parle, il continue à chauffer les fesses de Bianca qui en grimace et cri à chaque coup que prend ses fesses. Bon pour ce matin, c'est terminé. Suivez Mme. B et soyez très sage, obéissez-y. Je lui donne le droit de vous punir si elle n’est pas satisfaite de votre comportement. Il tend une palette de bois à Murielle, ne te gêne pas pour l’utiliser si elles ne veulent pas t'obéir, déculotte-la, confisque-leur le peu de vêtements qu'il leur reste devant tous les gens présents dans la bibliothèque si cela te tente. À 11 h 00, je les veux ici, une adjointe au comité de surveillance, Mme. Fling va les attendre. 

Et vous quatre en arrivant ici à 11 h 00, si vous n'êtes pas déjà nue, vous déposerez vos sous-vêtements dans le panier avec le reste de vos vêtements sans que personne soit obligé d'intervenir. Vous serez nues toutes les quatre pour vous rendre à la cantine, je ne fous s'il y a des gens au pas dans les corridors, vous ferez le parcours seules toutes les quatre et nues, et ne flânez pas pour vous rendre à la cantine, il va y avoir quelqu'un qui vous attendra à l'entrée.

  Les filles disent qu'elles obéiront, et elles se rapprochent de Mme B.

C’est bien je vais tout de même la traîner cette palette dit Murielle, mais je ne crois pas que cela sera nécessaire de me servir de la palette, qu'en pensez-vous les filles. Je pense qu'elles ont eu leur leçon pour ce matin. Suivez-moi maintenant, en amenant avec elle la palette à fesser, il est presque l’heure les filles.

Et ça tombe bien ce matin, il y a un groupe de finissants qui seront là à la bibliothèque pour un projet de recherche de deux périodes. Je pense que vous plairez à plusieurs d’entre eux. Ce n’est pas vraie tante, la bibliothèque sera pleine ce matin. Fais-nous travailler à une place où il n’y a personne, à l’arrière par exemple. Je ne peux pas Justine, le gros de votre travail ce matin sera de classer des livres. Sur le parcours entre la salle et la bibliothèque, ne passe pas inaperçu pour les filles, et elles essaient de se cacher du mieux qu'elles le peuvent. Le corridor est très achalandé. Et ce n'est pas trop long que les regards se dirigent tous vers elles. Des commentaires humiliants et dégradants, des sifflements font entendre, et elles trouvent le parcours très long.

En entrant dans la bibliothèque, la presque totalité des étudiants qui sont là sont concentrés à se chercher des livres dansles rayons, à part quelques-uns qui sont assis aux tables de travail et n’ont pas trop connaissance de l’entrée des quatre filles à moitié nues. Murielle les invite à entrer dans son bureau et dépose la palette sur celui-ci. Pour l’instant personne ne s’est trop aperçu de votre présence, c’est une bonne chose, commente-t-elle. Mais ça ne tardera pas à dégénérer et le calme ne sera plus respecté. 

Ce que j’attends de vous quatre ce matin, c'est le respect envers tous les occupants ici, peu importe la sorte de commentaire. Je m’attends à ce qu’il y ait plusieurs fortes réactions envers votre tenue quand les étudiants s’apercevront de votre tenue sexy et si l’une d’entre vous quatre manque de politesse, je vais la punir au centre devant tout le monde et fesses à l’air, je me suis fait bien comprendre. Maintenant, venez avec moi, je vais vous présenter mes deux assistantes, c’est avec elles que vous travaillerez. 

 Murielle se déplace dans la petite salle des employés qui communique avec son bureau, et pousse un peu les punis pour qu’elles se présentent à ses assistantes.

Les deux assistantes étaient déjà averties de la venue d’étudiants en punition et obligées de faire des travaux avec elles, ce matin. Par contre, elles ne s’attendaient surtout pas à voir des filles à moitié habillées. En regardant les étudiantes en punition entrer dans la salle, elles sont très surprises de voir que trois de ces étudiantes sont encore dans une position aussi humiliante.

  Ça fait que quelques semaines à peine, vous étiez à poil devant nous tous, vous aimez ça, vous montrer nue, vous en prenez une habitude. Je suppose que ce midi, vous allez nous redonner un autre beau spectacle. Murielle les présente en expliquant le pourquoi de leur tenue.

— C’est surprenant, dit Kimberly, l’une des deux assistantes, on n’a pas l’habitude d’être en présence d’étudiantes en tenue sexy, ici Murielle. Mais pour trois d’entre elles, c’est rendu une habitude dans cette école. Par compte ce matin dans la salle, je me demande comment vont réagir les étudiants, surtout les garçons. Et elle en parlant de Bianca, regarde là avec ses sous-vêtements sexy, c’est presque transparent. On lui voit toute sa chatte dans sa culotte, son rasage, son petit duvet, une ligne noir. C’est toujours mieux que ne pas avoir de culotte, lui répond Murielle. Kimberly continue, mais ces filles-là se croient peut-être dans un bordel au lieu d’une école. Et si elle se tourne, ses fesses aussi doivent être clairement visibles. Ses tétons aussi sont très visibles. Quel âge ont-elles ces filles pour s’attriquer de cette façon-là ?

Oui Kimberly, je sais qu'elle surprend davantage, en parlant de Bianca, et tu ne te trompes pas, ce sont les trois mêmes, la quatrième, c'est ma nièce Justine en plus. Je la garde souvent et jamais, je ne l'ai vue nue ou en sous-vêtements devant moi. C'est une fille avec beaucoup de pudeur pour ce qui est de se montrer à moitié habillée d’habitude. Moi aussi, je pense comme toi Kimberly, je m’attends au pire quand elles traverseront dans la salle. Mais on n'a pas le choix, répond Murielle.

Regarde ta nièce, commente Kimberly, elle porte un soutien et n’a même pas de seins, c'est vide dans ses bonnets.

Ne ris pas d’elle Kimberly, ma sœur et moi aussi quand on avait son âge, c'était pareil. Mes seins ont pris plus de temps à se développer que beaucoup de mes amies à l'époque. À quatorze ans, ce n’est pas tous les ados à qui les seins poussent, se développer avec la même rapidité, pour que j’en aille moi des seins, ça a été aux alentours de de la moitié de mes quinze ans. J’étais découragé de voir mes amies qui avaient commencé à avoir une poitrine, des formes dans leur chandail, mais pas moi. Je trichais et me bourrais l’intérieur de mon soutien avec des morceaux de chiffon que je découpais pour me gonfler la poitrine.

— Bianca, elle réplique. Ce n’est pas moi qui ai choisi de mettre c’est sous-vêtement-là, c’est ma mère ce matin qui m’a obligée à les mettre, en expliquant à voix basse et regardant ses pieds gêner d’être décrite comme une espèce de traîner, Bianca instinctivement se cache son entre jambe avec une main et de l’autre bras, elle se cache sa poitrine.

Non ne te cache pas ainsi, lui dit Kimberly, c'est juste mignon de regarder tes tout petits nichons.

— Justine, Tante Murielle, s’il te plaît, essaie de convaincre le dirlo de nous épargner, nous punir autrement par des travaux ou en privé comme les trois stupides gars que tu as vus tout à l’heure.

— Je n’y peux rien, répond Murielle, je ne fais pas partie du comité de discipline et je n’ai aucune influence sur leur décision, alors réfléchis avant d’agir la prochaine fois.

Allez on sort il y a beaucoup d’ouvrages, en se présentant dans l’autre salle plusieurs remarques cette fois-ci l’habillement des jeunes filles. Des réactions commencent à se faire entendre. Certains sifflent, d’autres crient ou commentent à voix haute.

Silence ! lance Murielle d’une voix assez haute. Il y a des règlements ici dans la bibliothèque qui doivent être respectés. Gardez vos commentaires pour vous. Vous devez garder le silence et le respect d’autrui. La ou les personnes qui manqueront de s’avoir vivre ici iront directement à la direction avec un très mauvais rapport. Les conséquences peuvent être graves, ne l’oubliez pas, regardez les filles ici et vous pourriez les accompagner, pensez-y avant de redire d’autres insultes envers elles. Le calme est revenu très vite suite à l’intervention de Murielle.

Maintenant que tous reprennent ses occupations sans commentaire disgracieux.

Kimberly explique tout ce qu’il y a à faire, mais Justine demande de sortir aux toilettes, le couloir est vide et elle veut sortir.

va y Justine, mais ici dans la bibliothèque, il y en a au fond à l’arrière du bureau.

Justine regarde et s’aperçoit qu’il y a une sortie tout près, elle n’avait pas envie du tout, son intention est de fuir.

 Et c’est ce que Justine fait, elle sort par la porte de service et se rend à son casier, enfile ses vêtements de sport, t-shirt, short, basket et une veste de laine et se rend à une sortie de secours tout près. En ouvrant cette porte, l’alarme se déclenche dans un bureau de surveillance et le surveillant voit qu’une fille qui sort par les caméras poster dans la porte. Elle s’enfuit chez elle et s’enferme.

Murielle quelque temps plus tard s’inquiète de l’absence prolongée de Justine et s’aperçoit que Justine n’est plus avec eux.

Votre amie Justine vient de faire un très mauvais choix, dit-elle aux trois autres filles. Elle va le regretter, je suis sûr que sa punition sera plus longue et encore plus humiliante pour elle. Vous faites bien de rester ici et de subir votre punition comme prévu. Je n’aimerais pas être à votre place ce midi, je ne serais pas capable de circuler nue comme vous allez le faire, mais ne vous sauvez pas comme votre amie vient de le faire. Cela sera pire pour vous aussi que d’endurer votre calvaire.

Justine n’a pas fini de se balader nue, elle aura plusieurs jours de rajouter encore à sa punition, j'en suis sûr.

 

 

 

 

 

 

 

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