Nadine –
En ce lundi matin, je me rends à l’institut avec Maude et Marie qui son devenu comme mes sœurs, on est tous les trois adopté par Claude et Pierre. Ça fait déjà quelques semaines que nous fréquentons l'institut et tout se déroule bien, on s’entend super bien toutes les trois ensemble. C'est moi qui conduis toujours le véhicule que nous avons à notre disposition. Je suis la seule à détenir mon permis. Les trois à tous les jours, nous voyageons ensemble. À l'institut, en sortant du véhicule, nous, nous souhaitons une bonne journée et à ce soir. J'entre toujours de mon côté de l'établissement. Ici les troisièmes années sont séparées des deux niveaux plus jeunes, les deuxièmes et les premières années. J’ai toujours préféré arriver un peu à l’avance pour préparer mes affaires et parler avec les autre qui sont à l’avance comme moi. Depuis le début, je me suis liée d’amitié avec une fille qui me parait honnête et gentille qui se nomme Fanny. À l’intérieur, la garde de sécurité qui est à l'entrée m’arrête et me dit que le directeur m’attend dans son bureau. Tu n'as pas le choix, me dit-elle, c'est un ordre du directeur. Je me pose des questions pourquoi, mais je suis l'agente de sécurité. À la porte de l’administration, je sonne et Mlle Letarte l'adjointe du responsable de la sécurité m’accueille.
Mme Letarte –
Bonjour Mademoiselle Richard, Nadine, je
crois. Moi, c'est Mlle Letarte Claude si tu préfères, je t’attendais et
tu me suis, le directeur est dans son bureau et ça tombe bien que tu
sois matinal, il veut te parler.
Le directeur –
Bonjour Mademoiselle Richard, je me présente, je suis le directeur de
cet institut. M Delavarenne et je connais très bien vos tuteurs Pierre
et Claude Richard. Je sais qu'ils vous ont adopté, vous et deux
autres filles, Maire et Maude, qu’on m’a dit. Mais ce n’est pas pour ça
que vous êtes ici. Je vais droit au but. Suivez-moi et Mademoiselle
Letarte, vous attendez ici quand Mademoiselle Girard arrive, vous me
l’amènerez aux vestiaires.
Nadine –
En route pour les vestiaires dans lesquels est mon
casier, je questionne le directeur. Qu'est qu'il y a de si important
pour m'avoir fait venir dans votre bureau. Je ne comprends pas pourquoi
vous venez avec moi à mon casier, que vous m’accompagnez jusque-là. Le
directeur me répond, tu vas le savoir dans quelque instant patience, on
est rendu à ton casier, maintenant rouvre le s’il te plait.
Le directeur –
Vendredi soir à la fin de l’après-midi quand tous les
étudiants étaient partis. Des inspecteurs de l’escouade des stupéfiants
sont débarqués ici et ils cherchaient une ou des revendeuses de drogue.
Ils avaient des noms dans leurs dossiers, une Maryse et une Fanny et
toi Nadine. Les enquêteurs nous ont demandé aussi s'ils pouvaient
regarder vos casiers. J’ai donné la permission aux agents. M Lepetit le
responsable de la sécurité et Mademoiselle Letarte qui arrive justement
avec Mademoiselle Girard les ont ouverts devant eux. Mlle Letarte avait
été cherché la clef maitresse qui ouvre tous les casiers. En ouvrant le
casier de Mademoiselle Duval, ils n’ont rien découvert de ce qu’ils
cherchaient. Mais dans celui de Mademoiselle Girard et le vôtre, il
avait des petites boites scellées que les enquêteurs ont ouverts. À
l’intérieur, ils y ont découvert des sachets de marijuana. Mlles, vous
savez ce que ça veut dire la découverte de cette drogue ici. Ça peut
vous mener devant les tribunaux et la prison. J'ai demandé
personnellement aux policiers d’étouffer cette affaire puisque
l'institut fonctionne avec la justice. Ils ont accepté, mais seulement
pour le weekend et ils ont remis les boites en place pour que je règle
ça entre nous ici aujourd'hui. Sinon, ils auraient débarqué chez vous
ce weekend pour vous arrêter.
Nadine –
Je vois des étudiants qui arrivent à leur case et se rapprochent
de nous en voyant le directeur nous parler à moi et Maryse et ça me
gêne. J'essaie de me défendre en adressant la parole au directeur, mais
le directeur ramasse les deux boites, referme nos casiers et nous dit
qu'on retourne tous à son bureau.
J’insiste et commence à
lui dire que c’était Fanny qui m’avait donné cette boite vendredi juste
avant de partir. Fanny m'avait dit que la boîte contenait quelques
petits bijoux sans grande valeur. Étant donné que l serrure de son est
défectueuse, Fanny m'a demandée si je ne voulais pas la garder dans mon
casier pour le week-end. Elle ne voulait pas se faire voler ses bijoux.
Je n’ai pas ouvert la boite, elle était scellée. Ce n'est pas à moi
cette boite, je n’ai rien à voir avec cette drogue-là, la seule chose
que j’ai faite, c'est de mettre la boite dans mon casier sans savoir ce
qu’elle contenait.
Le directeur – tous de retour dans son bureau
Bonnes
mesdemoiselles, les enquêteurs vendredi m'ont laissé savoir que d’après
leur enquête, c'est mademoiselle Duval qui serait la revendeuse. Mais
que pour l’instant les preuves sont contre vous et non contre Fanny.
Même si on réussit à prouver que c’est Fanny qui en est la vraie
propriétaire, vous deux, vous restez complice de trafic de drogue
pareille. En entreposant dans vos casiers cette drogue, pour l’instant,
c'est vous qui êtes en possession de cette drogue et êtes coupables de
possession pour en faire le trafic. Et ici, à l’intérieur de l’institut,
c'est sévèrement puni, c'est la punition la plus sévère. Le niveau
trois, la punition en public ou pour la possession de drogue, c'est
l’expulsion. Mais pour l’instant le temps que tout se décide au comité
de discipline je vous demande de retirer ici même votre uniforme
d’étudiante, le droit de la portée l'uniforme que l'institut vous
fournit vous aie confisqué. Dans la matinée, une décision sera prise
pour le reste de votre punition ou expulsion.
Nadine –
M le directeur, ne me renvoyez pas. Je n’ai jamais fumé ou toucher
à la drogue de ma vie. C'est une grosse erreur, j’entends Maryse qui
le supplie, elle aussi, le directeur nous coupa la parole. Les filles,
il n’y a pas de pardon, les preuves sont là et vous ne pouvez pas le
nier.
Je vous demande de me donner vos uniformes sur le champ ici même et vous n’avez aucun autre choix. Le directeur tape très fort avec sa main sur le coin de son bureau. Je vois qu’il n’est pas d’humeur à argumenter. J'enlève ma veste, commence à défaire mes boutons de mon chemisier et le retire en cachant ma poitrine avec un bras même si mon soutien est là, c'est humiliant devant deux hommes. M Lepetit arrivait sur le fait, ensuite, c'est la jupe qui suit. Je suis maintenant vêtue que de mes sous-vêtements dans le bureau du directeur. Devant ses deux hommes et l'assistante, c'est gênant. Je suis humiliée, Maryse, elle aussi, se cache comme elle le peut avec ses mains. Je vois Fanny qui arrive dans le bureau, elle me regarde et regarde Maryse. Nous sommes toutes les deux en sous-vêtements devant elle. Fanny a l’air de sourire. Moi, je demande à Fanny qu'elle explique à M le directeur l'histoire de ses boites et que ses boites-là. Qu'elle lui dise qu'elles ont à elle, et que vendredi, c'est elle qui nous a demandé de les garder dans nos casiers, regarde dans quoi tu nous as embarquées.
Fanny –
M le directeur c’est quoi ça cette histoire de boite que Nadine raconte. C’est pour ça que vous m’avez fait venir pour une histoire de supposer boite que je ne sais même pas à quoi elles ressemblent c’est quoi ça.
Mlle Letarte –
Fanny, tu es en train de nous dire que
Nadine et Maryse mentent toutes les deux et les boites que je tiens
dans mes mains, tu ne les as jamais vues. Fanny regarde les deux punies
et nous répond qu’elle a déjà entrevu une de ces boites-là et qu’elle
n’a aucune idée de ce qu’elles contiennent. C'est deux menteuses-là
invente cette histoire-là pour essayer de s'en tirer et de lui faire
passer ça sur son dos à elle. Fanny nous raconte que durant la semaine
Nadine lui avait montré une de ces boites la noir qui était dans son
casier à elle. Mais n’avait jamais voulu lui dire ce qu’elle contenait.
Je réplique en lui disant, mais si les deux disent la même chose, ça
fait drôle, tu ne trouves pas. Deux déclarent la même version contre
toi, il y a une ou des menteuses ici. Et ton casier en passant
verrouille très bien. Ce matin, je l’ai testé et la serrure ça
fonctionne. D'après Nadine et Maryse, c'est toi qui leur aurais demandé
de garder les boites pour ne pas te les faire voler, car ton casier ne
barrait pas. C'est faux, il se barre très bien. Comme de raison, Fanny
me répond qu’elles mentent, que vendredi jamais, elle n’a dit ça, que
son casier ne barrait pas. Fanny serait partie bien avant Nadine et
Maryse, et qu’elle ne les a même pas vues en fin d’après-midi. Elle
était avec Natacha, une employée d'ici qui l'attendait dehors.
Le directeur –
Bon Fanny, je vois que tu n’as rien à voir dans cette affaire-là. Retourne à ton cours, nous, on s’occupe du reste. Et surtout Fanny ce que tu as vu et entendu ici, tu ne le répètes surtout pas. C’est nous qui décidons de ce qui va arriver avec Maryse et Nadine et en ferons l’annonce plus tard. Fanny nous promet qu'elle va rester muette avec tout ça et remonte à sa salle de cours. Maintenant Nadine et Maryse, pour ce matin, vous suivez Mlle Letarte et vous recevrez chacune une punition que Claude va vous administrer et ensuite pour le reste de la journée, c'est à elle que vous devrez obéir. M lepetit et moi, on va rejoindre le comité qui se réuni bientôt, une décision sera rendue sur votre cas plus tard ce matin.
Mlle Letarte –
Nadine, Maryse ce n’est pas compliqué vous êtes en punition de niveau 3 et c'est punition-là ça se donne en public et nu pour la majorité de ces punitions. À partir de maintenant le reste de vos vêtements son confisquer pour la journée, donnez-moi vos sous-vêtements aussi et vos bas que je les déposes avec le reste de vos vêtements ensuite remettez vos chaussures et suivez-moi dans la salle des profs mon assistante nous attend elle avait un problème à résoudre c’est pour ça que vous ne l’avez pas encore vue.
Nadine –
Claude ce n’est pas sérieux on va se promener toutes nues dans les couloirs, s’il te plait on peut garder nos sous-vêtements c’est déjà humiliant pas nu jamais je me suis promener nue en public.
Claude –
Nadine je voie que tu te dégaine en m’appelant par mon prénom c’est bien entre nous il n’y a pas beaucoup d’écart d’âge quelques années seulement, mais ce qui est du reste de vos vêtements et votre pudeur habituez-vous et je vous préviens vous n’avez pas fini de montrer vos belles petites fesses rougies ça ne fait que commencer habituez-vous parce que la journée et je pense que la semaine aussi va être longue pour vous deux.
Je les regarde enlever les derniers morceaux qu’elles portent, Nadine qui vient de me tourner le dos est une très belle fille petit seins bien ferme quand elle se penche ils ne cherchent même pas à bouger les cheveux aux bas du dos et le sexe raser, Maryse elle les seins un petit peu plus gros ronds et qui ballottent juste assez pour attirer nos regard quand elle bouge belle taille elle aussi, elle un petit triangle de duvet qui pointe sur le début de sa chatte les cuisses juste assez bien proportionnez et bien ferme. Elles sont toutes gêner d'être nues devant nous et elles se cachent et nous tourne le dos. Maintenant mes belles lâchez-vous la chatte et poser vos mains sur votre tête en position de puni et suivez moi
Le directeur me demande avant de sortir de son bureau de ne pas être trop dure avec elles les punir comme elles le mérite mais pas trop dure tant que cette affaire-là n'est pas réglé. Elles assisterons à leur deuxième cours de ce matin et le suivant aussi dans cette tenue. M le directeur je m’occupe de leur donner leur première punition avec Laurie dans la salle de réunion et ensuite elles vont se présenter à leur second cours à l’heure prévue c’est moi qui va les accompagner et elles devront expliquer pourquoi elles sont punis devant leurs camarades et une seconde punition va suive ensuite. Je fais signe aux deux filles de sortir en passant les premières et je les suis juste derrière Nadine n’ose pas franchir la porte du bureau du directeur nue la secrétaire Mme Lafrance étant de l’autre côté a son poste d’accueil je donne deux claques sur les fesses de Nadine qui est juste devant moi et dit avancez Mme Lafrance a l’habitude de voir des étudiants sortir de ce bureau tous nus et moi j'ai autre choses à faire cette avant midi allez bouger vous les fesses et sortez.
Maryse –
Mais Claude ça n’a pas de sens on est nue sortir dans les corridors moi je refuse de sortir de ce bureau donne-moi au moins mes sous-vêtements ça va être moins humiliant que d’être à poil au même moment que je prononce ces paroles je reçois une séries de claques sur les fesses qui me font crier et je mets mes mains sur mes fesses pour les protégées car ça m’a fait réellement mal et le directeur nous saisit chacune par un bras Nadine et moi et nous conduit directement dans le hall, la salle de conférence est à votre droite et obéissez à Mlle Letarte parce que votre punition va doubler vous nous faite perdre du temps à ne pas obéir et ma patience a des limites.
Claude –
Je voie les filles regarder des deux côté en se cachant leur intimité avec leur mains, vous êtes chanceuses le hall d'entrée est vide. A l’intérieur de la salle des porfs je leur présente Laurie qui nous attendais et je voie que Laurie avait placé deux chaises une en face de l’autre.
Laurie –
Après la courte présentation je dis à Claude occupe-toi de Maryse et moi je moi de Nadine je prends Nadine sous un bras et m’assoie en tirant Nadine vers moi et lui fait signe de s’allonger sur mes genoux elle hésite un peu mais je la regarde de la tête a chatte et la complimente sur son corps lui dit qu’elle est adorable dans cette tenue elle devient la face rouge toujours en lui tenant un poignet je la fait basculer sur mes cuisses en prenant soin de relever ma robe. J’adore ça sentir la peau d’un ou une étudiante contre la mienne surtout les gars je l’ais installe pour que leur pénis soit bien sur une de mes cuisses.
Nadine bien en place je pose une main autour de sa taille et lui demande sa main droite puis la courbe dans son dos et mon autre main est sur une de ses fesses. Tu es prête car moi je commence avec une première séries de 25 claques sur ton beau petit derrière ensuite je ferais une pause de quelque secondes et 25 autre se rabattrons sur ton derrière, en finissant de parler je commence, la fessée viens a peine de commencé qu’elle me demande d’arrêté et gigote mais je ne la lâche pas et ne modère pas jusqu’au 25e coup, j’arrête pour la pause, ça me fait du bien j’ai la main presque aussi rouge que ses fesses, Claude elle aussi fait une pause se secouant la main aussi rouge que la mienne.
Nadine pleurniche et essaie de se relever elle se débat mais avec une main retenue dans le dos qui la laisse comme en équilibre elle ne peut que se débattre les jambes, je lui dit reste tranquille car après ta fessée a la main c’est la strap au le paddle de bois qui t’attend si tu continues a te débattre. Je reprends la deuxième partie de la fessée aussi intense en force que la première série.
Nadine se débat me supplie d’arrêter, j’interrompe mes coups pour la replacé sur mes cuisses et recommence la fessée en lui disant non ma belle tu n’y échapperas pas à c’est 50 claques pas moins. A la dernière claques ma main me chauffe ses fesses sont rouges je passe ma main sur sa peau pour lui soulager un peu la douleur et la calmer, mais aussi moi j’adore flatter de jolie fesses bien chaude et lui lâche le bras elle tombe sur le sol a genoux les deux mains sur ses fesses et pleurniche je voie Maryse qui est debout elle les mains sur les fesses elle aussi et Claude se relève de sur sa chaise et place Maryse face au mur mains sur sa tête. Je fait placé Nadine juste au côté de Maryse. Les filles la première partie de votre punition est terminer pour la suite c’est avec cette cane que j'ai décidé que ça se passera, chacune 15 coups que vous recevrez sur vos jolies petites fesses déjà très rouges, et croyiez-moi vous aurez du mal à les poser sur une chaise pour le reste de la journée, vous me suivez c’est à votre salle de cours de math qu'on s'en va toutes la quatre pour vous donner votre deuxième punition devant tous vos camarades qui pour certains surtout les gars vont apprécier le spectacle et c’est dans cette tenue la qu’on y va suivez-moi, on monte seulement nous trois Claude a reçu un appel et elle a autre chose au programme.
Claude –
Non je vous suis Laurie je vais régler ça plus tard après la punition je vais me chercher une cane moi aussi dans l’armoire au fond de la salle et je vous suis.
Nadine –
Claude on ne peut pas sortir nues dans les couloirs c'est la pause au travers de tous les autres étudiants c’est humiliant sil-te plaît donne nous des vêtements pour se rendre a la salle et pas cul nu devant tout le monde qui circule.
Claude –
Nadine c’est pas toi qui décide tu fais ce que l’on te dit et sort de la salle et suit Laurie sans discuter en revenant de l’armoire avec ma cane je lui donne quelque claques sur le derrière et en la saisissant par le dessous d’un bras je la pousse à l’extérieur pour qu’elle suive les autres, sortie de l’administration et monté au deuxième dans le couloir des salles de cours ils y a encore plusieurs étudiants qui ne sont pas rentrer et voient le deux filles nues. Je leur demande de rentrer dans leur salle mais la curiosité l’emporte et les salles se vide Nadine et Maryse se retourne face au mur du couloir et se cache les parties intimes avec une main et avec l’autre les fesses du mieux quelles peuvent, les professeures rappelle leurs étudiants pour qu’ils rentrent dans les salles et referme les portes mais deux filles s’approche de nous en regardent Nadine et Maryse les fesses rouges et voyant qu’elle vont probablement recevoir une autre punition dans quelques instant en nous voyant avec nous canes dans les mains.
Toutes les deux demande à me parler en privé que ses injuste de les humilier ainsi, elles n’ont rien à se reprocher on est toutes deux témoin de ce qui s’est passé vendredi car Fanny n'arrête pas de dire que deux filles se sont faite prendre avec de la drogue vendredi et ce n'est pas ce qui s’est passé, je dis a Laurie amène les punies au toilettes et ensuite qu’elles rentrent dans leur salle de cours ne m'attend pas commence a les punir je vous rejoint dans pas long.
Laurie –
C’est bon les filles vous avez entendus Claude les toilettes sont à votre droite et faite vite ensuite on rentre a votre salle vote prof nous attend. Rendus à la porte de la salle de math je frappe puis je rentre la porte était rester ouverte pour nous excusez-moi de vous interrompe Mme Petigrew et je lui dis que deux de ses étudiantes son en punition et demande si je les fais rentrer pour qu’elles expliquent aux autres pourquoi elles sont punies et ce qu’elles devront recevoir avant d’assister à votre cours. Mme Petigrew je vous attendais me dit-elle, elle me dit fait installé les filles sur l'estrade juste en avant de mon bureau bien a la vue de tous pour leur explication toute la classe est à leurs écoute. Je fais signe aux filles de rentrée les deux pleurniches et les larmes coulent sur leur joues. Installer sur la scène les mains placez pour cacher leur intimité Mme Petigrew s’approche d’elles et leur dit
Ce n’ai pas une position de punie ça les mains sur la tête et sa presse laissez-nous voire vos jolie corps je crois qu’il y a des gars qui ont très hâte de découvrir vos parties cachées et en plus je n’aime pas qu’on me fasse perdre mon temps et les précieuses minutes de cours. Les filles ne bougent pas alors je voie Mme Petigrew ouvrir le tiroir du bas de son bureau et sortir une belle strap d’environ 30 cm et redemande aux filles de se mettre en position de punies Nadine la regarde et lui dit je ne peux pas c’est plus fort que moi je ne peux pas enlever mes mains je suis figée. C’est comme tu veux ma belle moi je vais te faire obéir
C’est alors que je voie la main de Mme Petigrew qui tient la strap se lever et frapper le postérieur de Nadine a quatre reprise ce qui a fait crier Nadine et se retourner de côté pour éviter les autres coups. Je m’approche de Nadine et lui prend les bras la replace bien droite face a ses camarades et lui conseille de placer ses mains sur sa tête et demande a Maryse de faire la même chose car la strap est prête pour ses fesses. Enfin en position de punie les mains sur leurs têtes toute la classe pouvait admirer les deux filles de la tête aux pieds.
Je leurs demande de commencer leur explication, Nadine commence dans un langage pas trop claire c'était bien plus un marmonnage que des paroles que personne ne comprenaient surtout au fond de la salle. Mme Petigrew s'approche d'elles et leurs donne à chacune un mouchoir pour qu’elles s’essuient les yeux et le nez en disant parlez plus fort pour que la salle vous entende ou vous allez circulez entre les étudiants pour qu’ils vous entendent, les yeux et leurs nez sécher elles ont enfin finit de s’expliquer.
Je fais placer Nadine au côté du bureau dos aux étudiants et lui demande de se penché en écartant ses jambes et de mettre ses main sur ses genoux pour la punition. Nadine me dit c’est trop humiliant mon inimitée va être à la vue de tous je refuse et elle replace ses mains sur ses parties pour se caché encore Mme Petigrew s’approche et lui dit tu aimes recevoir la strap sur tes belle fesses encore bien rouge je m’en occupe et lorsque j’aurais fini de les frapper tu vas obéir je te le promets. Nadine se tourne face à Mme Petigrew et met ses mains sur ses fesses et ce recul pour éloigner ses fesses de la strap en disant pas la strap pas ça je me penche et elle se rend à la place indiquer et pose ses mains sur ses genoux je fais signe a Maryse de faire la même chose et Maryse se place au côté de Nadine dans la même position les jambes écarté. Maryse a compris que si elle n’obéis pas elle aussi c’est ses fesses qui vont gouter a la strap.
Les deux en place je regarde dans la salle et je voie les gars qui admirent la belle position que les deux filles ont prise sur la scène devant eux leur intimité est bien exposé a tous ses jeunes. Je m’adresse aux spectateurs en disant vous savez ce qui les attendent elles vous l’on expliquer c’est la cane c’est un instrument redoutable elle va laisser des marques sur la peau de leurs fesses et vont devenir marquer a chaque coup reçu et les traces resteront quelques heures et demain aussi et ça seras très douloureux pour elles de s’assoir aussi. Je me revire ver Nadine et lui dit je commence par toi et ne bouge surtout pas garde ta position je ne veux pas que tes mains quitte tes genoux sinon le coup ne compte pas s’est bien compris elle me répond que oui. Je lui donne le premier coup en travers des fesses en plein centre elle ne bouge pas trop mais lâche un petit cri au sixième les mains quitte ses genoux mais ne vont pas sur ses fesses. je lui répète tu sais ce que je t’ai dit pour tes main replace les sur tes genoux aux dixième je lui dit que pour l'instant c'est terminer dans cette et qu'elle peut se redresser ce tourner face a ses camarades remettre ses mains sur sa tête sans se frotter les fesses sinon je rajoute cinq autres coups.
C’est dans cette position debout face a eu que tu recevras les cinq autres et écartes les jambes en lui donnant quelques bonnes claques avec mes mains sur les cuisses qui laisse des marques de doigts rouge sur sa peau elle les écartes ça donne une autre vision au voyeurs et voyeuses qui ne la lâchent pas des yeux .
J’applique les derniers coups de canne sur ses fesses et Nadine pleure en se tortillant, sautant et se tenant les fesses a deux main. Je distance ensuite Nadine un peu de Maryse et l'oblige a garder les jambes légèrement écartées pour ne pas que les spectateurs ne manque le spectacle qu’elle donne et je m’occupe des fesses de Maryse qui est toujours penché mains sur ses genoux. je commence à lui donné les premiers dix coups pencher ensuite les cinq autre debout face a la salle main sur la tête et jambes écartées comme Nadine est positionner elle aussi.
Mme Petigrew pour l’instant leur punition est fini elles reste ici pour assister au cours vous les placer ou vous le voulez et continuer votre cours comme prévu, a la fin de ce cours durant le 15 minutes de pause faite positionner Maryse et Nadine au centre du couloir dehors pour que tous les camarades des autre classe puisse les admirer a leur tour. La dernière partie de votre cours a environ dix minutes de la fin moi ou Claude viendrons les cherchez pour le repas ce midi.
Mme Petigrew me répond que c’est bien compris et dit aux filles d’aller s’assoir à leur place je les regarde passer aux travers des ranger de bureau en se cachant du mieux quelles peuvent les étudiants étant assis leur intimités est juste à la bonne hauteur et tous les regards sont fixer sur leur corps nu et leur fesses zébrées. Rendue à leur chaise elles ont du mal à poser leur fesses sur la chaise c’est pénible. En refermant la porte de la salle Claude arrive a toute vitesse et me demande si j’ai fini avec les filles, je lui dis que oui que Mme Petigrew les prend en charge, et pour la suite je reviendrais les chercher à l’heure prévus.
Claude –
C’est très bien Laurie je te remercie mais il est trop tard pour elles le mal est fait je t’explique, moi j’étais prise avec les deux filles que tu as vue, elle mon confirmer ce qu’on soupçonnait que Fanny c’est débarrasser de ses boite en les refilant a Maryse et Nadine probablement quelle sentait qu’elle était suivie par les enquêteurs et ne voulait pas être prise en possession de la drogue. C’est Nadine et Maryse qui on payer très chère pour elle.
Maintenant moi je vais au local de science qui est au bout Fanny est à l’intérieur. Fanny n’arrête pas de dire à tous les étudiants que Nadine et Maryse serons punis en public nus ce midi que ceux qui ne veulent pas rater ça de venir à la cafétéria pour le repas. Je ne sais pas où elle a appris cela mais de notre côté aucune décision n’avais été prise encore par le comité de discipline pour luer cas , mais avec ce que j’ai apprise et que je t’ai dit c’est elle qui ne va pas nous aimez en passant Laurie toi tu vas cherchez des vêtements pour qu'elles se rhabille leur punition est en suspend pour l’instant et je ne veux surtout pas qu’elle reviennent nues, t’attend à la fin de leurs cours durant les quinze minutes de pause tu donnes les vêtements aux deux filles elles se rhabillent a l'intérieure de la salle, ensuite tu me les amènes dans notre bureau on va discuter avec Fanny tous ensemble je vais vous attendre avec Fanny. Laurie partis chercher les vêtements moi je me dirige à la salle de cours ou Fanny si trouve, je cogne et rentre en m’excusant envers le prof pour le dérangement et m’adresse à Fanny et lui demande de me suivre il faut que je te parle et c’est urgent, à l'extérieur du local je l’attrape par un bras et la traine avec moi à mon bureau car elle n’avait pas l’aire de vouloir bouger la peur je crois la paralyser, et moi je ne suis pas du tout d’humeur a discutée.