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mardi 26 juillet 2022

Des filles nonchalantes se font punir et elles regrettent

 

  Katie arrive à l’institut avec Maryse lundi matin environ une heure avant le début des cours. Maryse a passé le week-end à flâner avec Katie. Katie habite maintenant chez Maryse, sa mère Francine et Pierre, le père de Maryse ont décidé de vivre ensemble, Katie et Sandie sa soeur, ont suivi leur mère pour aller vivre chez Maryse et ses autres sœurs. Elles ont profité du beau temps pour flâner autour de la piscine tout le weekend en s’amusant et en mettant de côté leurs travaux scolaires. Et pour les travaux. Elles, c’était dit que les lundis matin, leur professeur de français, Mme Lafrance ne fessait jamais de révision des devoirs, c’est rare que les lundis, elle s’occupe des devoirs, on les fera à la cafétéria un bon matin. Le lundi, elle commence toujours un nouveau sujet et ça va au mercredi pour la révision des devoirs. Les filles s’installent à la cafétéria avec chacun café et commence à faire leurs travaux en sortant leurs livres. Maryse réussis à faire une bonne partie, mais pas au complet. Katie, elle, elle jase avec d’autres filles autour d’elle et en fait une partie, mais en fait que 15 sur 20.

    L’heure est arrivée 8 h 45, Katie et Maryse se rendent en classe comme le reste des étudiants. La prof Mme Lafrance annonce aux étudiants que le devoir du week-end va compter pour les résultats de contrôle de fin de session. Elle ramasse les devoirs pour les corriger et donnera les résultats mercredi matin, Katie essaie de le terminer, mais la prof l’arrête. Elle regarde vite son devoir et la gronde en voyant qu’il manque plusieurs réponses, presque quatre sur vingt ne sont pas complètes. Le reste de la journée se déroulé bien dans ses autres cours, lendemain aussi.

   Mercredi arrive et ce matin Katie a défié Maryse de porter un string. Au lieu de mettre la culotte réglementaire que les filles doivent porter comme sous-vêtement à l’institut, mais Maryse n’a pas voulu, disant que c’était trop risquer, on ne sait jamais, lui a-t-elle dit. Nos profs peuvent à tout moment faire une vérification de notre tenue vestimentaire même si ça fait plusieurs semaines qu’ils-n'en n'ont pas fait. Tu sais très bien ce qui arrive à celles qui se font prendre. Si tu te fais prendre, tu vas montrer tes fesses à tous et prendre une bonne fessée.

Tu te souviens de Linda. Il y a trois semaines, la prof de maths lui a fait enlever ses vêtements et elle a reçu une bonne fessée devant nous dans la classe et à passer le reste de la journée vêtu que de son soutien. Elle a montré ses fesses et sa chatte bien rasée toute la journée a la grandeur de l'institut. La pauvre, je n’aurais pas voulu être à sa place, fesses à l’air toute la journée en public. Quand elle est rentrée le midi à la cafétéria pratiquement à poil, tu as vu tous ces regards se diriger vers elle. Et quand l’assistante à la discipline l’a fait monter pour l’exposer à tous sur le banc sous ce que le dirlo appel la potence au centre de la salle. Elle lui a rougi les fesses avec la strap, la pauvre pleurait.

Je ne veux pas être humilié de cette manière-là-devant tout le monde. Circuler à poil dans l’institut ça ne m’intéresse pas, j’ai retenu ma leçon à la boutique l’autre semaine et je me rappelle très bien. Libre à toi de prendre le risque, mais tu prends aussi le risque de te faire rougir les fesses, et le regretter n’oublie pas, ça peut être très humiliant et très douloureux de défier la direction.

Les deux filles Installer dans la classe de français avec le reste de leurs camarades, ils attendent tous Mme Lafrance. Mme Lafrance distribue les copies des devoirs du week-end en commençant par la plus haute note. Au tour de Maryse, Mme Lafrance ne la félicite pas, même si elle est juste en dessus de la note de passage. Maryse, tu n’as pas complété ton devoir ce week-end, mais tu es un point au-dessus de la note exigé, ce n’est pas ton habitude d’être aussi basse dans tes résultats. Katie, toi, tu as la note de passage même avec plusieurs lignes pas terminé toi aussi, mais je vais vous donner un devoir supplémentaire à toutes les deux à faire ce soir comme punition. Et pour Évelyne, tu es en dessous de la note de passage.

    Lève-toi et va à l’avant sur l’estrade, tu sais que tu vas être punie de cinq coups de canne ou autre pour ta note, alors prépare-toi. Relève ta jupe et place-toi face à la salle, bras croisés dans le dos, je vais te rejoindre., Éveline se rend à l’endroit indiquer et relève sa jupe par en arrière et sa culotte blanche couvrant ses fesses apparait. Pour les cinq autres travaux qu'il me reste à distribuer, vous avez la note de passage, mais je veux que vous, amélioriez vos résultats la prochaine fois.

Au même moment que la prof finie sa phrase, Katie chuchote à Maryse, ce n’est qu’une pauvre conne celle-là, mais malheureusement pour Katie Mme Lafrance qui était très près d’elles entend tous, et réagi très vite.
Mlle, que venez-vous de dire ? Demande Mme Lafrance a Katie.
Rien d’important Mme, répond Katie, je parlais à Maryse. Je lui disais que j’étais une pauvre conne d’avoir oublié de faire mon devoir, Mme pas plus.
Mme Lafrance saisie Katie par un bras et l’oblige à se lever. Je vais te montrer comment je traite une petite impolie comme toi. J’ai tout entendu, tu m’as traité de pauvre conne. Et ne ment surtout pas, je déteste les petites menteuses, en traînant Katie jusqu’en avant pour lui faire prendre place au côté d'Évelyne sur l’estrade.
Tout en sortant la tawse de son tiroir du bas, Mme Lafrance demande à Katie d’enlevé sa jupe et sa culotte. Je vais te chauffer les fesses Katie, tu ne mérites que cela, contrairement à ta copine, c'est fesses à l’air que tu vas être puni. Je vais te faire regretter tes paroles. Il y a quelques semaines, tu as déjà reçu une punition de ma collègue fesse à l’air devant la classe et ce ne t’as pas suffi, ce matin, tu vas t’en souvenir. Je vais te rougir les fesses pour que tu en aies un bon souvenir de ce que saï qu’une vraie fessée et tu en auras pour quelques jours à t’asseoir.
Katie ne bouge pas, n’obéit pas, non madame, je n’enlève rien et saisis avec ses mains le pan de sa jupe de chaque côté de ses cuisses et le retient bien en place.
Très bien Katie, je m’occuperai de toi plus tard, une gamine qui n’en fait que sa tête mérite une bonne punition et encore plus humiliante. D’ici à ce que j’ai fini avec la punition de ta copine, prépare-toi sinon tu vas t’en souvenir de cette fessée. Pour l’instant Éveline, penche-toi et pose tes mains sur le rebord de mon bureau, tu recevras comme promis cinq coups pour ta mauvaise note.
Éveline obéie se penche, serres les fesses et attend le premier coup, la jupe relevée et laissant voir sa culotte blanche réglementaire qui couvre ses fesses. Mme Lafrance applique la première claque sur les fesses d'Éveline. Éveline l’ache, un cri de douleur, ça a l’air douloureux, les autres suivent très rapidement et Éveline cris à chaque coup qu’elle reçoit sur ses fesses. C’est fini, Éveline, dit Mme Lafrance relève-toi et va te mettre à genoux face au mur dix minutes sans descendre ta jupe pour finir ta punition.
    Maintenant à ton tour Katie, en s’approchant de Katie, elle la regarde et se rend compte que la punie n’a pas bougé, elle tient toujours le pan de sa jupe bien raide et ne le lâche pas.
Mme Lafrance lui claque les fesses avec la tawse par-dessus sa jupe et lui demande d’obéir, elle la frappera le temps qu’il faudra pour qu’elle obéisse lui dit elle.
Katie essaie de se tourner pour éviter les coups, mais Mme Lafrance la repositionne et recommence.
Elle lui applique trois autres bons coups. Aie ! Arrêter Mme, ça fait mal, je l’enlève, mais arrêter, s’il vous plaît, s'écris Katie.
Premièrement Katie, tu me donnes ta veste, ensuite ta jupe. Katie enlève sa veste et la donne à sa prof et déboutonne les deux boutons qui tiennent sa jupe en place. Katie hésite en regardant Mme Lafrance et la descend tranquillement le long de ses jambes tout en essayant de se cacher un peu. Mlle, je m’aperçois que vous ne connaissez pas les règles en vigueur ici, depuis que vos fréquenter l’institut, vous devriez les connaître, en voyant votre string rose que vous porter, lui dit Mme Lafrance. Donnez-moi votre jupe et expliquez-moi pourquoi vous ne portez pas un sous-vêtement réglementaire et Maryse, votre amie est-elle, elle aussi, mal vêtu que vous ?. Levez-vous Maryse et venez nous rejoindre sur l’estrade. Katie tire sur le bas de son chemisier qui est assez long, ce qui a pour effet de le faire descendre presque au début de ses cuisses, son chemisier cache la presque totalité de son string et ses fesses

   

Pendant que Maryse se déplace, Katie essaie tant bien que mal d’expliquer pourquoi elle porte ce petit sous-vêtement, mais s’enfonce encore plus dans ses mensonges. Arrêtez de me mentir Mlle, je déteste les petites menteuses et placer vous ici devant mon bureau bras croisés dans votre dos face à vos camarades. Et vous, Maryse, montrez-moi si vous êtes comme votre amie. Donnez-moi votre jupe, j’ai une petite révision de votre devoir de fin de semaine à vous faire faire et en même temps, on verra si vous êtes en règle avec votre habillement Mlle.

Oui madame, je suis correcte, répond Maryse en levant un côté de sa jupe le long de sa cuisse pour laisser voir à sa prof une petite partie de sa culotte blanche. Mlle, je vous ai demandé de me donner votre jupe, pas de la remonter, enlever là et donnez-la-moi, je jugerai moi-même si vous êtes correcte ou pas.

 

Maryse regarde son amie Katie et détache sa jupe. Elle sait très bien qu’elle n’a pas d’autre choix que d’obéir a sa Prof. Timidement, elle l’enlève et la remet à sa prof. Bonne décision de ne pas avoir suivi l’idée de ton amie, dit Mme Lafrance à Maryse. Tu te sauves d’une très humiliante punition. Maintenant Katie, qu'arrive-t-il à une étudiante qui ne respecte pas la tenue vestimentaire. Sous-vêtement ou autre partie de l'uniforme, et aime mieux tenter sa chance de porter un minuscule string à la place de la culotte blanche, exiger ici, et par malheur se fait prendre en défaut par la direction ? Réponds-moi Katie, quelles sont les conséquences de ce manquement au règlement ?

Katie ne réagit pas, penche sa tête et regarde ses pieds sans dire un seul mot. Katie, tu ne réponds pas quand on te questionne. Maryse, toi, es-tu, mieux éduquée. Peux-tu nous expliquer ce qui arrive à une fille qui n’en fait qu'à sa tête ? Il n'y a pas si longtemps, il y a deux de vos camarades qui ont été sévèrement punies pour leur désobéissance.

    Oui Mme, c’était Sabine et Linda qui est ici dans la salle, et le règlement dit qu'une étudiante qui ne respecte pas le règlement, son uniforme lui est confisqué pour la journée, et peut recevoir une punition corporelle en plus de l'humiliation d’être nue en public.


Maryse, tu as eu le courage de répondre, je te félicite. Tu es plus polie que ton amie Katie quand on te questionne. Mais pour la punition, c’est automatique en plus de se voir l’uniforme confisquer et le vêtement fautif aussi. Katie, tu nous as bien entendues alors donne-moi ton chemisier, je te le confisque.

Katie se retourne dos à la salle et défait ses boutons lentement et rouvre son chemisier, le retire et le remet à sa prof. C’est bien Katie, tu as le bon soutien-gorge ou moins, commente la prof. Katie, toute gênée de se retrouver vêtue que de son soutien réglementaire blanc et son minuscule petit string rose devant ses camarades, cherche à cacher sa petite poitrine avec ses bras même si son soutien est toujours en place.

  C’est humiliant d’être si peu vêtu devant la classe Katie. C’est au tour de ton petit vêtement qui cache encore ton intimité à te débarrassé, tu me le donnes, il n’est pas réglementaire et je dois le confisquer. Allez, Katie, donne-le-moi aussi. Pour la suite, tu recevras dix coups de tawse. Ça t’apprendra à vouloir défier les règles. Allez, donne-moi ton string et place tes mains sur ta tête, tu n’as pas d’autres choix. Katie regarde tout autour d’elle et descend son string lentement tout en s’accroupissant en même temps pour garder son intimité loin des regards.

Katie passe son vêtement sous ses pieds et le donne à sa prof en restant accroupie, ses fesses et le haut de ses cuisses touchent ses talons. Ainsi positionner, elle reste moins exposée, mais sa prof l’oblige à se redresser en la tirant par un bras et lui tapant les fesses pour qu’elle ne bouge plus.

     

Redevenue debout, Katie essaie d’argumenter avec Mme Lafrance, mais Katie doit se maintenir debout face a ses camarades, bras croisés dans son dos sans bouger avec comme seul vêtement son soutien qui la couvre encore. Tous ses camarades peuvent admirer son petit duvet blond raser en triangle. Katie commence à verser quelques larmes, humilier, elle fixe le fond de la salle en ne fessant pas attention aux commentaires qui se disent.

Maintenant ce petit string, je vais l’épinglé sur le mur près de la porte avec ton nom écrit au-dessus pour que tous ceux qui le regarderont sache à qui il appartient.

Mme Lafrance prend la tawse qu’elle avait déposé plus tôt sur son bureau et dit à Évelyne qui est toujours à genoux de se relever et de regagner sa place pour profiter du spectacle.

 La prof ajuste sa distance avec les fesses de Katie et commence à lui donner le premier coup en travers de ses fesses. Katie l’ache un cri, et descend ses mains instantanément sur ses fesses. Maryse grimace. Elle prend son amie en pitié de la voire recevoir un coup si fort sur son derrière, car la prof a claqué ses fesses avec force, le bruit à résonner dans la pièce et le cri de Katie aussi. Il y a plusieurs spectateurs que ça excite de regarder un si joli corps face a eux. Comme seul vêtement, un soutien qui cache ses petits seins et qui se fait chauffer les fesses, la classe est composée que de seulement 4 garçons et 18 filles, mais la majorité d’entre eux commencent à être excités de regarder Katie quasiment nue.

Mme Lafrance fait une petite pause à la punition avant de donner le deuxième coup pour demander à Maryse d’aller chercher son livre de devoir et celui de Katie. Maryse se retourne et va à sa place. Mme Lafrance, recommence ou elle avait arrêté, on entend Katie crier a chaque coup qu’elle reçoit et le bruit aussi que la tawse produit sur ses fesses. Maryse revenue sur l’estrade, Mme Lafrance lui demande d’aller au tableau et prendre une craie.

     Maryse tu complètes chaque question que tu n’as pas finie. Il t’en manquais quatre et tu écris les réponses sur ce tableau a gauche. Baisse ta culotte sous tes fesses pour que l’on voie tes petites fesses. Ainsi, elles seront prêtes pour plus tard, Maryse prend l’élastique de sa culotte et commence à descendre sa culotte et demande à Mme Lafrance si c’est nécessaire d’avoir les fesses à l’air pour écrire sur le tableau.

Oui Maryse lui répond parce qu'à à chaque mauvaise réponse écrite tu vas te faire chauffer les fesses. Et c’est plus plaisant pour tes camarades de voire tes fesses que ta culotte. Maryse la descend sous ses fesses et sa prof la tourne face au tableau et lui remonte son chemisier en le roulant serré pour le rentrer sous l’attache de son soutient-gorge. Ceci a pour effet de faire remonter le chemisier presque égal en avant et en arrière. Sous sa poitrine le petit ventre de Maryse et son nombril et sa fente sont aussi a l'air que le bas de son dos et ses fesses. Tu seras plus exposée ainsi Maryse et plus belle à regarder de ta poitrine à tes pieds, tes fesses sont plus à la vue que quand ton chemisier descend pratiquement à la fin de tes fesses. Mme Lafrance lui bonne deux claques avec sa main sur les fesses en la quittant. Je reviens dans dix minutes pour te corriger. Et s’il y a de mauvaises réponses, tes fesses vont écoper, n’oublie surtout pas. Je vais en finir avec la punition de ton amie Katie, il lui reste deux coups à recevoir sur son petit derrière.

   Maryse commence à lire son travail non complété et s’applique à écrire la première réponse. Pendant que sa prof retourne vers Katie qui est toujours debout presque nue et face à ses camarades, les yeux pleins d’eau et attend le retour de Mme Lafrance.
Mme Lafrance lui donne deux solides coups. C’est fini pour l’instant, tu peux quitter ta position Katie. Mme Lafrance laisse Katie se frotter les fesses pour qu’elle puisse soulager un peu la douleur. Après quelques secondes de frottage et de séchage de larme, Mme Lafrance l’oblige à reperdre sa place face à la salle, Katie se croise les mains sur son sexe qui est à la vue de tous pour le cacher. Mais cette fois-ci, sa prof détache son soutien et fait glisser ses bretelles de chaque côté de ses bras.
   Katie, pour m’avoir insulté et manquer de respect à un prof pour la deuxième fois en très peu de temps, je te confisque ton soutien. Tu seras ainsi pour le reste de la journée, et elle lui enlève complètement. Katie est entièrement nue devant tous ses camarades, ses mignons petits seins sont dégagés, il ne lui reste que ses bas et chaussures. Elle essaie de se cacher en se retournant et placent ce bras du mieux qu’elle peut pour cacher son intimité. Avant de rejoindre Maryse au tableau, va au mur à ta droite, lui demande Mme Lafrance et ramène-moi une canne de rotin accrocher, celle du centre la grosseur moyenne, elle laisse de plus belles marques sur les fesses.
Katie est obligée de traverser la petite estrade nue pour atteindre la canne qui est accrochée au mur, les bras croisés et une main sur son sexe elle arrive pareille à décrocher la canne. De retour près de Maryse et sa prof Katie, donne la canne à Mme Lafrance. Bon pour la prochaine partie Katie, tu t’installes de l’autre côté du tableau et tu fais comme Maryse. Tu écris les réponses de ton travail non terminé, pour toi Katie, il y en a cinq donc commence tout de suite.
     À chaque mauvaise réponse, ce sont cinq coups de canne que vous recevrez. Cela veut dire que pour toi Katie si tu réponds mal au cinq, tu recevras vingt-cinq coups de canne si on sait tous bien compter. Je crois bien que tu auras du mal à poser tes fesses sur une chaise pour une partie de la journée. En plus des dix coups de tawse qui ont déjà coloré tes fesses, ça sera pénible, donc fait attention à tes réponses. Tout le monde ici espère que vous avez étudié un peu, cela seras mieux pour vos fesses, commence, je ne te dérange plus Katie. Tu n'as que dix minutes pas plus pour écrire tes réponses. Et toi Maryse, c’est terminé. Mets-toi à genoux, mais avant enlève ta culotte et pose là avec ta jupe. Ensuite à genoux et colle ton nez au tableau, main croiser dans ton dos, Maryse enlève sa culotte et s’agenouille et colle son nez au tableau comme demandé. Moi, je vais commencer le cours avec les autres.
      Après les dix minutes écoulées, Mme Lafrance retourne voir Maryse et Katie. Bon les filles, vous avez fine, on corrige maintenant. Debout Maryse et venez toutes les deux vous placer en avant de mon bureau faite dos a vos spectateurs pour qu'ils voie vos fesses et penchez vous et mettez vos mains sur le rebord de mon bureau comme apui et vos bras bien droi. Les filles avancent en cachant leur intimité et prennent position. Mme Lafrance regarde la première réponse. Bravo les filles, je voie que vous avez eu peur a vos fesses vous vous êtent forcer pour bien répondre.    
     La deuxième aussi est bonne pour Katie. Katie ça a fait du bien, tu as sauvé encore une fois tes fesses, ça devrait être à chaque contrôle cette menace de chauffer les fesses d'un étudiant avec la canne, on aurait sûrement de meilleurs résultats. Mais pour toi Maryse, tu as échoué cette question donc écarte bien les jambes pour que tout le monde admire ton entre-jambe, c'est, pour cela que tu es si bien exposer, ça fait partie de la punition.
La prof lui administre ces cinq coups. Sur les fesses de Maryse, on distingue bien les cinq zébrures et Maryse se frotte les fesses. Reprends ta position Maryse, penché et jambe bien écartée, on passe à la troisième réponse. À cette réponse, les deux, l'ont mal. 

Pas de chance toutes les deux, ce sont cinq coups sur chacun de vos jolis derrière que vous méritez pour votre mauvaise réponse. Katie aussi, tu écartes bien tes jambes, fait comme Maryse, elle ne se gêne pas pour nous offrir la vue de sa chatte à tous ses camarades, ils veulent aussi voir ce que tu gardes si bien caché. La quatrième aussi Maryse là rater, elle est rendue à quinze coups. Ses fesses sont zébrées et elle pleurniche, la dernière les deux, on évite la canne, elles l’ont réussi et il y en a plusieurs qui sont déçus derrière elles. J'espère les filles que vous allez vous souvenir de cette leçon-là, à l'avenir ceux ou celles qui seront nonchalants pour leurs travaux risque de venir sur l'estrade.
      Les filles après avoir exposé avec grand plaisir votre intimité a tous relevez vous. Maryse, tu accompagnes Katie à l’administration au premier étage les assistantes de M. Lepetit le directeur attende Katie, je leur ai envoyé un message et tu es attendu.
      Katie se dirige vers ses vêtements qui sont derrière elle. Non, ma belle lui dit la prof, tu n’as pas compris tous tes vêtements son confisqué pour la journée,tu est chancheuse de conserver tes chaussures et tes bas ne me force pas a te les faire enlever et descendre pieds nus, c’est nu que tu descends et Maryse elle va t’accompagner avec tes vêtements plier dans ses mains et pour être humilier elle aussi. Toi Katie, tu fais le trajet dans cette tenue. Tu n’as pas le choix et pour la suite de ta journée, ce sont les assistantes qui décideront de la suite de ta punition.                                                                                                                    Au même moment, la cloche pour la première pause sonne.
   Madame, on peut attendre après la pause c’est plein de monde dans le couloir s’il vous plaît. Non Katie, tu te rends à l’administration maintenant et nue, et Maryse toi, tu peux remettre ta culotte seulement et ton chemisier reste remonter comme il est. Maryse s’empresse de remettre sa culotte avant que la prof ne change d’idée et prend les vêtements de Katie. Mme Lafrance tenant toujours la canne dans ses mains s’approche de Katie tout en faisant siffler la canne dans les airs. Si tu ne sors pas de la classe, je peux de chauffer encore un peu les fesses ça te feras bouger. Katie se protège les fesses avec ses mains et avance vers la porte en suivant Maryse et les autres étudiants qui sortent. 

Dans le corridor, Katie lâche ses fesses et s’empresse de se cacher la poitrine avec un bras. Et avec l’autre main, elle se cache l'entre-jambe et laissent ses fesses rosées et marquées des coups de canne bien visible aux voyeurs.

Ça n’a pas été long que tous ceux qui étaient déjà là, autour d’elle, l’ont remarqué qu’il y avait une fille qui était nue. Tout en se dirigeant vers l’escalier pour descendre, Katie reçoit des commentaires sur les zébrures sur ses fesses et des mains baladeuses lui frottent ou lui claque les fesses déjà très douloureuses.

   

Katie ne répond pas et ne réagi pas et marche très vite avec son amie pour essayer de fuir. Toutes les deux s’engagent dans l’escalier déjà bondé de monde qui regarde Katie nue circuler entre eux. elle croise quelques bonnes amies avec lesquelles elle se tient beaucoup surtout le midi. Elles mangent toujours ensemble à la cafétéria. leurs amies s'amusent à les regarder passer devant elles. Ça gêne encore plus Katie et Maryse et il y a plusieurs qui commentent sur l'état des fesses de Katie et sur la tenue des filles davantage Katie. Katie s’empresse de rejoindre la porte de l’administration, humiliée d'entendre tout ce qui se dit sur elle. Maryse qui la suit. Elle aussi, est gênée de circuler aussi peut vêtu, même si c'est mieux que la tenue de Katie, elle n'est pas du tout à l'aise dans cette tenue, le chemisier remonter jusqu'à sa poitrine.

Maryse lui dit, je ne changerai pas de place avec toi. Être nue dans tout ce brouhaha-là, ça doit être humiliant. Tout le monde regarde vers nous, tu es le point de mire de tout le monde ici. Moi, par chance, j’ai ma culotte es mon chemisier. C'est quand même gênant de se montrer en sous-vêtement et presque la moitié du corps nu, mais jamais comme toi nue et les fesses pleines de marques de la canne, c’est humiliant. Je t’avais pourtant prévenue ce matin quand nous, nous sommes habillées pour venir ici.

    Oui Maryse, je sais, lui répond-elle, et j’aurai mieux fait de t’écouter. Jamais la stupide de prof fait des contrôles avec nos devoirs, elle est folle.
Tais-toi Katie si quelqu’un t’entend traiter Mme Lafrance de stupide et le rapporte. Tu n’as pas fini de montrer tes fesses en public. Et moi aussi, je serais punie par ta faute, ferme là et avance vers la porte sans dire d’autres sottises sinon c'est moi qui te chauffe les fesses ici même. Ce n'est pas l'envie qui manque de te claquer les fesses, mais je te respecte et je me retiens. Maryse sonne à la porte pour qu’on leur ouvre et pouvoir être plus à l’abri des regards. On va être plus à l’abri de l’autre côté.
Au rez-de-chaussée, tous ceux qui sont dans le corridor pour leur pause, eux aussi, regarde Katie nue qui attend devant la porte en essayant de se cacher du mieux qu’elle peut et dos au mur pour cacher ses fesses. Quelques secondes après avoir sonné, une agente de sécurité ouvre et les filles entrent rapidement pour échapper aux regards. L’Agente qui leur a ouvert, c'est une jolie fille brune d’environs 25 ans, elle regarde les deux filles. Surtout Katie, elle prend le temps de la regarder de la tête aux pieds et surtout ses fesses zébrée et rouge des coups de tawse.
      Mlles, on vous attend au bureau. Laurie m’avait prévenue de votre venue. Vous Mlle, vos fesses doivent être très sensible, votre prof ne vous a pas manqué, je n’ose pas, vous demandez si vous voulez vous asseoir sur le banc de bois pour attendre. Je crois bien que vous ne pouvez pas poser vos fesses sur un banc déjà pas trop confortable, rouge comme elles sont, vous voulez certainement rester debout. Katie n’ose pas répondre pour s’éviter de dire d’autres sottises et le regretter. où le payer très cher, mais ce n’est pas l’envie qui lui manque de dire à cette agente de se la fermer tout en regardant Maryse.
Debout, une à côté de l’autre, Maryse remarque qu’on entend des claquements produits par des coups qui se donnent sur la peau et des petits cris, la porte grande ouverte, ça résonne dans le grand hall. Il y a quelqu’un à l’intérieur qui reçoit une punition, c’est sûr. Ensuite, on entend dire, va te placer face au mur au côté de ton camarade, je reviens, ma collègue vous expliquera le reste.
    Mlle Laurie sort habiller d’une courte jupe qui s'arrête aux haut de ses cuisses, juste assez pour cacher l’essentielle et se présente aux deux filles qui attendent dehors a sa porte. Bonjour vous deux, je m’appelle Laurie, elle regarde Katie, fait le tour et passe sa main sur les fesses de Katie, mais vous devez sans doute me connaître tout le monde me connaît un peu ici. Entrée, Katie et Maryse entre et Mlle Laprise les suit.
À l’intérieur, une autre fille est assise au bureau et remplit des papiers, c'est la collègue de Laurie et deux autres personnes nues face au mur, les fesses rougies. Un gars et une fille de la troisième année sont là, debout, mains sur la tête, entièrement nu et attendent, la fille renifle encore. Mlle Letarte la collègue de Laurie demande aux nouvelles de s’identifier.

   Katie, c'est toi qui as été punie la plus sévèrement, toutes les deux, mettez vos mains sur vos têtes comme il se doit en position de punie et tourne-toi Katie. Katie se tourne pour que Mlle Letarte (Claude) regarde ses fesses. Toujours assise a son bureau et regardant les fesses de Katie, Claude rajoute, Katie. Je vois bien que Mme Lafrance ne t’as pas ménagée. Tu as les fesses bien marquer et toi Maryse vêtue comme tu es Mme Lafrance t'as sûrement chauffé les fesse toi aussi. Il y a une petite marque qui excède de ta culotte sur le haut de tes cuisses, mais je ne m’occupe pas de toi, tu es sur une punition mineure et c’est avec Mme Lafrance que ça se règlera. Claude se lève et va rejoindre sa collègue Laurie qui est juste à côté des deux punis face au mur.

Vous deux Erika et Martin, tournez-vous face à nous, les deux se retourne comme demander. Katie et Maryse regardent surtout le gars, même si Erika est une superbe fille nue, elle a de superbes seins, mais c'est le corps de Martin qui attire leur regard. À 17 ans, elles n'ont pas l'habitude de regarder un gars, le pénis a l'air de si près. Les filles, profitez de ce que vous voyez ici, c'est un petit spectacle spécialement pour vous et gratuit. Martin vous offre son intimité et vous ne devez pas avoir l’occasion de voire un gars à poil de si près très souvent à votre âge. Martin est devenu la face rouge pire que ses fesses qui doivent lui chauffer encore pas mal et cherche à ce croisé les jambes.

    Erika Martin, rhabillez-vous, vous pouvez retourner à vos cours ce matin pour finir la matinée, et dépêchez-vous, la cloche à déjà sonner. Mais pour ce midi au repas a 11 h 55 je veux que vous vous leviez de vos chaises. Peu importe ou vous soyez installé dans la salle, et même si la période de repas n’est pas terminée. C’est la seconde partie de votre punition qui commencera. Et cette fois en public.

Toujours devant votre table, je veux que vous vous déshabillerez devant tous les gens qui sont autour de vous, amis professeurs, peu importe les gens présents vous, vous déshabillez. Vous allez plier tous vos vêtements et les placer sur votre chaise et les abandonner là, cela comprend vos bas et chaussures, c'est pieds nus que vous circulerez. Ensuite, vous débarrassez votre plateau, vous allez le vider à l’endroit prévu comme d'habitude. Ce que vous faites à tous les repas et vous revenez vers le centre de la salle en circulant entre les allées et le monde installé à leur table. Les gens aiment bien regarder les punis passer près d'eux, fesses à l'air. Soyez là pour 12 h pile et gare à vos fesses si un des deux n'est pas à l'heure, cela sera encore plus pénible. Au centre de la salle, sous la potence comme on l’appelle, vous allez monter debout sur le banc, bras croisé dans le dos. Un au côté de l’autre, totalement nus et vous attendez sans bouger, quelqu’un vous rejoindra pour la suite. Si l’un de vous deux ou les deux ne Cooper pas et que l’on soit obliger d’aller le chercher, il ou elle va le regretter, sa fin de journée sera longue et peut-être la semaine aussi. Je veux que vous me répétiez ce que je viens de vous expliquer pendant que vous, vous rhabillez.
Claude explique à Katie et Maryse le pourquoi de leurs punitions. C’est la troisième fois ce mois-ci qu’ils se sont fait pincer à fumer en cachette et le fumage est interdit sur le site de l’institut. Et vous maintenant retournez à votre classe de français. Toi, Katie, tu reviens à la cafeteria comme à tous les jours. Tu fais la file avec tout le monde qui attendent pour recevoir leur repas. Et c'est nu dans la file pour attendre ton repas. Et tu t’installes à une table comme tu le fais à tous les jours avec tes amies pour manger ton repas comme tu en as l'habitude chaque jour que tu manges à la cafétéria avec tes amies. Toi aussi à 11 h 55 tu débarrasses ton plateau et tu te rends au centre sous la potence. Rendue sous la potence comme on l'appelle. Tu montes sur le banc, mains sur ta tête et tu patientes. Bien à la vue pour que tout le monde te regarde toi aussi, surtout avec un si joli corps et tes jolies petites fesses pleines de zébrures, tes camarades vont adorer. Même si je suis une fille, j'adore regarder un joli corps comme le tient nu

Mais Mme, puis-je remettre mes vêtements pour retourner en classe, ce n’est pas si confortable que ça, être nue avec mon soutien et ma jupe, je serais plus à l’aise ? S’il vous plaît. Et ce midi qu’est-que je vais avoir comme punition ? Non Katie pour ce qui est de te vêtir ta punition est ainsi est déjà commencé. Et le petit string que tu portais et que Mme Lafrance a surement épinglé au son mur est punissable d'une interdiction de porter l’uniforme. Et le vêtement fautif est saisie et pour ta nudité totale, c'est ton manque de respect envers ta prof Mme Lafrance. Et en plus c’est la deuxième fois en peut de semaine que tu manques de respect à tes profs donc tu restes nu. Ton professeur Mme Lafrance a très bien fait de te punir si sévèrement ce matin et ce midi prépare tes fesses, tu vas t’en souvenir. Maintenant, retournez Maryse, c'est Mme Lafrance qui te donnera la permission de remettre ta jupe et ton chemisier a en place, pour l’instant, tu restes le chemisier remonté. Je vous revois au repas et restez sage, c'est mieux pour vos fesses les filles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



vendredi 8 octobre 2021

Deux nouvelles arrivées a St-Thomas, première fessée a vie

À 20 ans elles goûtent à leur première fessée

 M. Lepetit directeur de la sécurité et discipline à ST-Thomas

La police arrive avec deux filles âgée de 20 ans. C'est un juge qui nous les envoient pour purger deux ans de travaux ici. Ça leur évite la prison parce qu’elles sont jeunes, selon les dossiers que j’ai déjà reçus, et que j’ai étudié avant de les donner à mon assistante Claude. Diana a 20 ans et Gabrielle 21 ans et la juge essaie de donner une seconde chance aux deux jeunes. C'est très fréquent ici d’avoir des filles que la justice envoie pour des sentences à purger ici en travaux ou étude selon leur âge.

Ce sont mes assistantes Claude et Laurie qui les reçoivent. Je traverse dans leur bureau et entend Claude demander aux policiers des libérées de leur menotte et revois les deux policiers. Au même moment que les policiers quittent, une agente de sécurité arrête ici avec les deux nouvelles punies de la semaine, Béatrice et Marie, avant de les conduire à cafétéria pour leur punition de ce midi comme prévu. Les policiers en profitent pour admirer les deux filles nues qui circulent devant eux. Les nouvelles arrivées, Diana et Gabrielle, elles aussi, regarde de la tête au pied les deux étudiantes nues qui arrive. Elles prennent place à côté d'elles et sont surprises de les voir arriver du hall d’entrée nu. ce sont deux filles qui en sont à leur 2ᵉ journée de punition. Moi, je ne dis rien, je suis ici juste pour les observer. Je laisse mes assistantes gérer tout cela à leur manière, mais Claude me voie très bien dans la porte de leur bureau et s'aperçoit, elle aussi, que je ne m'en mêle pas, je la laisse faire. Gabrielle se met à dire, c’est donc vrai ce qui se dit sur les réseaux sociaux à propos d'ici. Ce n'est pas juste que des rumeurs. On torture réellement les étudiants ici et on les humilie nus devant public. J'en ai la preuve devant moi ici avec ces deux filles les fesses marquées au fouet.


Claude prend le temps de se présenter poliment et présente Laurie. Moi, ensuite son supérieur et directeur de la discipline et ensuite les deux étudiantes nues au côté d'elle. Ensuite Claude prend le temps de leurs expliquées le pourquoi de leur tenue et qu'elles n’ont pas été battues comme elle le dit, mais punies. Il y a une grosse différence entre battre une fille et la punir par une fessée pour ton information Gabrielle. Les deux jeunes Mlles à ta gauche sont dans cette tenue pour avoir eu un très mauvais comportement. Alors avant de te faire une fausse idée de ce que tu vois, renseigne-toi sur le pourquoi de leur tenue, ça va t'évite de partir de mauvaises rumeurs et de gros problèmes pour toi. Ensuite, pour changer de sujet, elle fait savoir toutes les conditions de leur séjour de deux ans ici et leur fait lire les règlements à chacune des filles qui viennent d’arriver. Elle leur demande de signer chacune une copie des règlements en vigueur ici. Ensuite Claude leur fait lire l’ordre de la juge. La juge ordonne aux responsables d'ici que dès leurs arrivées à l'institut, le responsable doit leurs administrés à chacune d'elles une punition corporelle. La juge n'a pas écrit n de vous torturer comme se le dit si bien Gabrielle, mais bien de vous punir. Ici, punir quelqu'un, c'est de lui donner une fessée comme un petit enfant, et de l'humilier comme les deux jeunes filles qui sont nues. Et lisez bien, la fin en arrivent ici ce matin, et la juge exige qu'on lui envoie un suivi de la punition. C'est assez grave ça les filles. Pour avoir manqué de respect à la cour fédérale et elle-même la juge ce matin avant de sortir de la salle pour venir ici. C’est très bien inscrit et signer de la main de la juge. Qu’on doive vous administrer à chacune 20 coups de lanière de cuir en public et de lui envoyer des preuves que son ordre, c'est bien exécuté dans la journée. Lisez et constatée que ce ne sont pas des rumeurs. Ce n'est pas moi qui l'invente, c'est signé de la juge. Ce n’est pas fréquent qu’un juge exige qu’on punisse un détenu à son arrivée ici, mais il y a toujours des exceptions.

  Claude me regarde sans me parler pour voir ma réaction. Elle demande à Laurie, sa collègue et l’agente de sécurité Madeline de s’occuper des deux punies Béatrice et Marie pour qu’elles prennent place à l’heure prévue dans leur salle attitrée pour leur punition prévue de ce midi. Les gens vont s’impatienter si elles ne sont pas en place, beaucoup d'entre eux vont se plaindre. Tout le monde savent bien que ce midi, il y a des punitions d'annoncé. Diana supplie et argumente avec Claude pour oublier ce qu’elle vienne de lire et que la juge est bien loin d’ici de bien laisser tomber cette note. Mais Claude les arrêtent et leur dit qu’elle n’a pas le choix, C'est un ordre de la juge et ça doit être accomplie ce midi et en public. Vous l'avez lue tous les deux. La juge s’attend à avoir les résultats de votre punition cette après-midi. Et si je vous fais un passe-droit, c’est moi qui serais puni avec vous deux. Cette juge, je commence à la connaître, elle tient ses dossiers à jour et mes patrons vont recevoir un mot d’elle dans les jours à venir pour me punir aussi pour ne pas avoir obéi à ses ordres.  
          
  Maintenant Diana et Gabriel suivez-moi 
 
 Moi, étant son supérieur, je trouve qu’elle a bien appris en un an ici et je la laisse gérer tout cela. Je trouve qu’elle se débrouille très bien, elle explique aux deux filles qu’elle va leur donner une chance. Ici, c'est nu qu’on aime donner la fessée à des grandes filles comme vous, leur explique-t-elle. Mais je vais vous faire une grande faveur et ne le dites pas, ça restera entre nous trois, Claude me regarde en souriant. Si vous êtes gentilles et coopéré, je vais vous administre vos punitions dans la salle des profs, leur dit-elle. Et sûrement pour les mettre un peu plus en confiance. Elle leur dit que dans la salle des profs le midi, il y a peu de gens, une dizaine de profs environs. Majoritairement tous féminins qui mangent ensemble. Ce sera moins humiliant entre fille que dans une des deux salles à manger public avec des centaines de personnes et c'est mixtes, il y a des gars. Les deux étudiantes se dirigent dans ces salles. C'est devant 300 personnes et plus que Béatrice et Marie vont subir leur punition, attacher nu au centre de la salle devant tous ces curieux et curieuses qui adore ça, voire une fille se faire fouetter les fesses.    
Moi aussi, je les suis, j’aime voir comment mon personnel se comporte et je la laisse faire Claude et Laurie, elles prennent vite de l’expérience pour leur âge et si quelque chose ne va pas, je leur dirai.

Avant d’entrer dans la salle, des profs Claude les amènent dans l'une des deux salles à manger et fait rentrer Diana et Gabrielle. Il y a foule de monde, plusieurs attendant dans la longue fille pour être servi. D’autre sont déjà installés aux tables avec leur repas et regardent vers le centre de la salle la fille que Laurie fini d'installer pour sa punition. Ils y en a plusieurs qui sont en route tenant leur cabaret pour aller s’asseoir pour manger. Mais tous ces gens ont le regard au même endroit, le centre auquel est exposée Maria nue. Malgré le bruit qu’occasionnent les déplacements et les commentaires des gens il y a un bruit qui enterre presque tout . 
On entend résonner dans la salle des coups de strap que Laurie a commencée a administré sur les fesses de Maire. Ses cris qu'elle ne peut s’empêcher de faire par la douleur qu'elle doit ressentir sur ses fesses qui étaient déjà bien rouge. Mais surtout ce qui retient l’attention de Diana et Gabrielle. C'est tous ces gens, leur regard qui se dirige vers le centre de la salle et regarde Marie attacher par les poignets et à chaque cheville, les jambes bien écartées, nu et recevant sa fessée avec son intimité bien à la vue. Maintenant les filles, dit Claude, regarder une des deux filles que vous avez aperçues nu dans mon bureau. C'est Marie, l’humiliation qu’elle est en train de subir. Attacher nue devant des centaines de personnes ces camarades de classe qu’elle côtoie tous les jours, ça pourrait être. Vous pourriez être, après elle si vous n'en faite qu'à votre tête. À présent, suivez-moi, on traverse dans l’autre salle, je vais vous montrer Béatrice. Elle aussi, doit être attaché au centre de la salle des 3ᵉ année et des finissants recevant sa punition. En prenant un raccourci, on traverse par le vestiaire des employées des cuisines, ce qui est interdit pour les étudiants et les employés qui ne font pas partie de la cuisine, mais Claude en profite. On ressort directement dans l'autre salle. C’est encore plus bruyant que dans cette salle ici. Il y a beaucoup plus de gars et plus vieux, aussi la majorité des étudiants ici gars ou filles ont 18 ans et plus.

Diana, Gabrielle, je vous ai montré jusqu’où on peut aller ici dans cet institut quand on parle de punition corporelle. Ce que vous voyez ici, c'est la pire sentence qu’un étudiant ou employer peut subir et cela est très fréquent d’avoir des punis ici dans ces salles. Même, regardez bien, juste au côté de Béatrice qui est en train de se faire chauffer les fesses, il y a une deuxième fille attaché nu et qui attend sa punition elle aussi. Vous allez vous y habituer, c’est presque à tous les jours ici qu’il y a quelqu’un nu en attente d’être puni et la nudité fait partie de sa punition. Les punis pour la plupart passent le reste de la journée nu. Si vous n’obéissez pas ou ne voulez pas coopérer pour votre punition, c'est ici ou de l'autre côté que je vous fais attacher. Je vous ferai déshabiller sur l’estrade devant tout ce beau monde avant. Après votre exposition nue sur l'estrade, je suis sûre que vous serez très populaires. Des nouvelles arrivées qui se mettent a poil. Vous allez être le sujet de conversation de tous. Après je vais vous faire déplacer, marcher entre ses gens, et attacher au centre de la salle. Pensez-y comment ça doit être humiliant et en plus puni une fessée entièrement nue et en public a votre âge, comment ça doit être humiliant, être à la place de Marie et Béatrice en ce moment. Ensuite, je vais vous allez circuler nu pour le reste de l’après-midi pour votre visite de l’institut et de votre petit appartement. Les deux filles restent figés de, voire une fille être punie de cette façon, les cris qu’elle laisse entendre et le monde tout autour qui ont l’air à aimer ça.


M Lepetit- 
Claude me surprend, c'est une bonne idée que de les apeurer pour qu’elles obéissent

Claude fait ressortir les filles, on retourne du côté administration qui est séparé des étudiants, et en route vers la salle des profs, Claude demande à Diana si elle a déjà reçu une punition corporelle ? (une fessée plus précisément, lui dit-elle) dans sa vie. Diana, un peu gêner, lui répond que non, jamais ses parents l’ont punie de cette manière-là par la fessée. Seulement des privations de sortie ou quelque engueulade, mais jamais de fessée. Gabrielle, elle lui répond que son père lui a déjà donné une fessée une seule fois il y a environ 5 ans, elle avait 15 ans à l’époque. C’était dans sa chambre, coucher sur son lit et sur la jupe avec une ceinture, ça avait fait très mal, nous dit-elle, les cinq coups qu’elle avait reçus.

Rendus à l’intérieur de la salle des profs, Claude salut les quelques profs qui mangent et sont tous rassemblés ensembles. près de l’entrée de la salle et à l’autre bout l’espace est vide. Moi, je m’appuie sur les casiers des profs. J'observe Claude qui fait placer les deux filles au centre des grandes tables qui font un rond autour de la salle et face aux profs qui mangent ensemble. Claude commence à expliquer aux gens présents pourquoi ces deux nouvelles filles sont ici et ce qui va se passer. Elle demande à deux des profs qui sont présentes , Mlle James prof en informatique et Mlle Garcia prof de langue étrangère de venir la seconder. J'entends ensuite Claude dire. Diana, je commence par toi. C'est ta première vraie fessée que tu vas recevoir ce midi. Claude lui d'enlevé tous tes vêtements soulier et bas compris comme je te le déjà dit.
Claude
C'est nu que tu recevras ta punition, une fessée ici se donne sur les fesses à l’air, pas autrement. Et la juge à ordonner que tu sois punie nue aussi, et tu n’as pas le choix. Alors obéi, sinon on retourne à la salle à manger pour ta punition et là aussi, ce sera nu aussi, mais avec beaucoup plus de spectateur. Moi, pendant que tu te déshabilles, je vais demander à Ginette en face de nous de venir prendre des photos de toi durant ta punition qui resteront exclusivement dans les archives et pour satisfaire Mme la juge.

 M. lepetit----

Mais je m’aperçois que Diana ne bouge pas et regarde son amie Gabrielle qui a l’air à vouloir obéir elle et à déboutonner son jeans à côté d’elle. Diana dit à Claude que la juge à spécifier qu’elle devait recevoir une punition corporelle comme une fessée. Pour ça, c'est vrai, mais qu’elle trouve déjà très humiliant a 20 ans, recevoir une fessée comme un enfant. Mais par conte la juge n’à pas exiger et spécifier que ce sois nu pour recevoir ma punition, donc moi, je reste avec mes vêtements. Je ne suis pas capable de me mettre nu devant toutes les personnes qui sont ici, c'est mon intimité et j’ai le droit de la conserver, et surtout devant les deux hommes qui sont ici.           

Je regarde Claude qui la gifle sur la joue droite et lui claque les fesses ensuite avec sa main. Elle se retourne vers Gabrielle et lui demande si elle, elle obéit. Claude lui demande de lui donne ses vêtements où elle veut suivre l’idée de son amie qui va le regretter. Gabrielle qui avait déjà détaché son jeans coopère et commence à enlever ses chaussures et ses bas ensuite. C'est autour du jeans à tomber sur ses chevilles et à être posé sur la table à l’arrière d’elle. Elle se sent probablement gêner de montrer son petit string rose, car elle place ses mains devant son sexe. Claude saisir le bas de son t-shirt et le remonte au-dessus de sa poitrine même si ses bras sont croisés et atteints ses épaules. Ensuite elle lui passe son t-shirt par-dessus la tête et lui ordonne de lever ses bras au-dessus de sa tête sans résister. Gabrielle s’exécute et lève ses bras et son t-shirt quitte sa tête et rejoint son jeans sur la table. On aperçoit, son soutien rose qui protège encore ses seins. Gabrielle redescend aussitôt ses bras et les croisent sur sa poitrine. 
 
Tu es une bonne fille lui dit Claude, ensuite Claude passe à l’arrière de Gabrielle ce qui nous laisse apercevoir son superbe corps à moitié nu. Claude ensuite défait l’attache de son soutien qui est dans son dos et fait descendre les bretelles de ses épaules jusqu’à ses coudes. Ses bras croisés sur ses seins, le soutien-gorge ne bouge pas. Claude se met à genoux et saisi alors le string de Gabrielle et le descend à ses chevilles même si Gabrielle sert les cuisses pour l’empêcher de descendre. Le petit vêtement se retrouve sur le sol et on a pu entrevoir brièvement son duvet châtain et sa fente parce que Gabrielle a redescendu ses mains presque instantanément sur son pubis pour cacher son intimité. Mais son soutien suit aussi jusqu’aux poignets. Elle se retourne très rapidement face à Claude qui elle se relève donc dos à nous tous, nous laissant, voire ses jolies fesses avec là trace de bronzage de son maillot, la moitié des fesses bronzées et l’autre moitié blanche. Gabrielle est nue dos à moi, jambes croisées. Elle est magnifique, belles fesses rondes, cheveux châtains au milieu du dos, Claude lui enlève son soutien et lui demande de placer ses bras sur sa tête, Gabriel Obéi et monte ses bras en se mettant à pleurnicher.

  Claude là laisse dans cette position dos à moi et se retourne vers Diana. Elle lui donne une dernière chance de se dévêtir seul ici en la menaçant de demander aux hommes qui sont ici (moi et Jean le prof d’éducation physique) de la dévêtir de force. Et sa punition se tiendra à la cafétéria en circulant nu dans les corridors si elle n’obéit pas. Diana se retourne et enlève son gilet noir. Elle le place à côté des vêtements de Gabrielle, elle aussi, porte un soutien qui est blanc. Diana retire ensuite ses chaussures, ses bas et son jeans descendent à ses chevilles. Elle reste dos à nous et retire son jeans de ses chevilles. tout en retirant son jeans Diana regarde Gabrielle qui est fesses à l’air au côté d’elle. Je regarde Diana en sous-vêtements et elle est aussi est superbe que Gabrielle. Un soutien blanc que son bras gauche recouvre maintenant et un string noir qui nous laisse voir ses jolies fesses. Une belle grande chevelure dorée et épaisse qui atteint le bas de son dos presque à sa raie de fesses, deux superbes filles de la même taille.

          

Claude demande à une des deux profs Maria de placer une chaise juste à côté de Gabrielle pendant qu’elle se dirige à l’armoire au fond. Claude revient avec une sangle de cuir, une strap un paddle de bois et des ciseaux qu’elle dépose ensuite sur la table à côté des vêtements des filles.

En se retournant, elle agrippe Diana par un bras et l’entraîne avec elle vers la chaise et s’assoit sur la chaise. elle fait coucher Diana sur ses genoux sans que Diana ait le temps de réagir. Diana est couchée sur les genoux de Claude, la tête qui touche quasiment le sol, ses long cheveux traine sur le sol. Diana essaie de se débattre et de se relever, mais Claude la l'emprisonne très solidement. Claude demande à Claudette, une prof, de lui maintenir les bras fermement pour l’immobiliser et de ne pas la lâcher avant qu’elle lui dise. Claudette se met à genoux et lui immobilise les bras entre ses jambes ce qui la limite dans ses débattements. Claude demande à Maria, l’autre prof qu'elle avait demandé de l’assister, de lui donner les ciseaux,

Les ciseaux en main Claude s’adresse à Diana. Ici à l’institut quand on donne un ordre, il faut obéir sinon on rajoute une punition et que sa pudeur, elle s’en foutait. Diana c’est tout ce que mérite recevoir une fessée supplémentaire comme une gamine qui en fait qu’à sa tête. En même temps que Claude lui parle, elle coupe son petit vêtement qui protégeait encore son intimité et le retire d'entre ses jambes. Pour l’instant ma belle, tu n’as plus besoin de ce petit vêtement. Ensuite Claude coupe les bretelles de son soutien laisse tomber les ciseaux au sol et détache l’attache de son soutien. Le soutien-gorge tombe au sol et Claude lui empoigne un sein avec sa main droite en lui disant. J'aime tes petits seins, ils entrent à merveille dans ma main, juste la bonne grosseur. Tu vois maintenant que tu es à poil tous les gens ici te regarde. Tu es le point de mire de tout ce beau monde, une douzaine de personnes. C'est moins humiliant qu’une salle avec plusieurs centaines de personnes, mais c'est gênant pareil. Et ça ne t’a pas tué, tu respires encore à ce que je peux, voire.

En retirant sa main de sur le sein de Diana Claude remonte sa main sur ses fesses en les flattant. Et littéralement descend sa main entre ses cuisses pour lui passer ses doigts sur sa fente. Diana proteste traite Claude de cochonne de salope d’enlever ses doigts de son sexe. Mais Claude avec sa main gauche lui claque les fesses et lui dit de se fermer, qu’elle n’est pas en position de donner des ordres et de rester polie. Diana, tu dois adorer ça te faire caresser la chatte puisque ça commence à être humide ici. Claude demande ensuite à Maria de prendre la strap qui est sur la table et de se préparer à donner les 20 coups de strap à Gabrielle dans la même position qu'elle se tient présentement. Debout dos à nous et avertie Gabrielle que si elle enlève ses mains de sur sa tête pour protéger ses fesses durant sa fessée. On recommence le compte à zéro, tu m’as bien comprise. Et tout le temps que Maria va te donner ta fessée jusqu’au dernier coup, moi, je vais claquer les jolies fesses de ton amie rebelle, coucher sur mes genoux, fesses à l’air pour sa première fessée. Elle va regretter d’avoir refusé d’obéir. Gabrielle, je te le répète, si tu bouges les mains de leur position, on recommence ta fessée à zéro. Tu allongeras aussi la punition de ta copine. Elle aussi sa fessée va continuer tan que la tienne n’es pas terminé, donc pense aux fesses de ta copine aussi avant de baisser les bras pour protéger tes fesses. Ginette, elle, s’approche des deux punies pour prendre quelques photos des deux filles recevant leur fessée comme exiger par la juge

   
Je vois Maria qui ajuste sa distance avec les fesses de Gabrielle en lui donnant deux petits coups avec la strap de cuir bien rigide. Maria lève ensuite son bras bien haut pour lui donner le premier coup en travers des fesses. Claude, elle commence à claquer les fesses de Diana avec force. Diana, elle, essaie de se déprendre de l’emprise que Claudette à sur ses bras et ses épaules, mais Claudette ne lâche pas prise et lui maintient les bras bien immobile entre ses jambes. Les fesses de Diana rougissent très rapidement et Diana la supplie d’arrêter, ça lui fait très mal, lui dit-elle. Mais Claude ne modère pas et frappe toujours au même rythme et force. D’après moi Diana va recevoir plus d’une centaine de claques sur les fesses à la vitesse que Claude claque les fesses. Gabrielle aussi cri à chaque coup que ses fesses reçoivent et a l’occasion ses mains quitte sa tête. Maria lui rappelle que si elle touche à ses fesses, sa copine et elles vont souffrir encore plus. Maria, elle aussi, frappe les fesses de Gabrielle avec force à chaque coup qu’elle donne. On distingue la marque que la strap laisse sur sa peau blanche et les cris que Gabrielle laisse entendre aussi le démontre que ça lui fait mal. 
 
Au même moment que Maria donne ses derniers coups sur les fesses de Gabrielle et que Claude arrête de claquer les fesses de Diana, Marie arrive de sa punition du midi, les fesses encore très rouge. Laurie la suit, quelques secondes plus tard, c'est Béatrice qui rentre dans la salle, elle aussi, les fesses rouges avec l’agente de sécurité qui l’accompagne. L’agente me dit pauvre, Béatrice et Marie. Je ne changerai pas ma place avec elles. Se montrer nu devant tous ces gens des journées entières et se faire punir en public plusieurs fois par jour. Ça doit finir par faire très mal et c’est surement très humiliant dans les couloirs. Il y en a qui leur disent des commentaires peu flatteurs et même plusieurs leur claque les fesses en passant près d’elles. Claude demande à Claudette de lâcher les bras de Diana et fait relever Diana debout. Plusieurs autres profs arrivent dans la salle pour ramasser leur livre et regardent tous les deux nouvelles et splendides filles nues au centre de la salle, les fesses rouges et me demande ce qui leur arrivent. On doit être rendu une trentaine dans la salle présentement et plus peut-être. 

  Revenu sur pied au centre de la salle, Diana est en pleure, les joues pleines de larmes. La première réaction que Diana a en étant sur pied, c'est de se mettre dos à nous et de se frotter les fesses a deux mains. On peut tous voire la belle couleur que ses fesses, on prise avec la fessée reçue, mais on n’a pas pu distinguer sa fente et ses petits seins, encore, elle ne sait jamais retourner directement face à nous encore. Gabrielle aussi, ses fesses ont une belle couleur et elle est toujours restée dos à nous. Claude exige que les deux filles croise leur bras dans leur dos et se retourne vers nous tous. Claude leur dit les gens ici ont assez vu vos fesses il est temps de leur montrer votre intimité. Mais ça semble difficile aux filles de montrer leur intimité, aucune des filles ne bouge et reste dos à nous.
 
 Claude demande à Laurie de prendre la palette de bois et de donner cinq coups a chacune. Aussitôt que Gabrielle entend dire cinq coups, elle se retourne face à nous et croise ses bras dans son dos. J'ai l’impression que ses fesses lui font encore mal et elle ne veut sûrement plus recevoir d’autre claque. C'est là qu’on aperçoit son intimité, ses beaux seins, sa fente et la repousse de son duvet, son petit triangle qu'elle devait avoir ne parait presque plus, ça fait quelque temps qu’elle ne s’est pas rasée. En prison, ce n'est pas trop faisable. Diana, elle n’a pas bougé, mais en regardant Laurie qui s’apprête à lui claquer les fesses avec la palette, elle aussi, se retourne et mets ses bras dans son dos, tout le monde ici les regardent, ses deux belles filles nues et exposer au centre, enfin, on peut tous voire Diana de face, elle aussi son poil à recommencer à pousser. Elle devait se garder une petite ligne en haut de sa fente ont là distingue encore au travers de la repousse.

Pendant que les profs retournent à leur salle de cours et que la salle ici se vide. Claude demande à Laurie de changer sa palette pour la strap, et de se mettre au côté de Diana. Donne-lui sa deuxième punition, lui demande-t-elle. Diana se met à genoux devant Claude. Elle lui demande de ne pas la punir encore, elle a compris sa leçon et elle sera obéissante à l’avenir ses fesses lui font trop mal encore. Mais Claude la relève en la prenant par une oreille et lui fait reprendre sa position. Cinq coups au lieu de 20 juste pour les photos que la juge exige et on arrête ensuite. 
 
Étant donné que tu es une gentille fille maintenant pour une première expérience de la fessée, je n’ai pas ménagé tes fesses et tu n'as pas aimé ça, tes petites fesses te font encore très mal. Je peux, voire qu’elles sont très rouges. Et en le touchant, je m’aperçois qu’elles sont encore très chaudes, dit Claude pour rire un peu de Diana. Avec les cinq prochains coups de palette, tu auras encore plus mal à tes fesses et pour quelques jours. Regarde les fesses à ton amie Gabrielle. les tiennes seront aussi rouges. Laurie recommande à Diana de ne pas bouger, de garder ses bras croisés sinon c’est deux coups supplémentaires qui se rajoute si ses mains descendent sur ses fesses. Elle lui claque les fesses, premier coup Diana lâche un cri, un deuxième sabbat Diane fait une grimace. Claude, elle photographie tout, Laurie lui applique le troisième Diane cri et résiste ne bouge pas, mais demande d’arrêter, elle a mal, Gabrielle est Juste à côté et regarde son amie se faire claquer les fesses et ferme les yeux à chaque fois que la palette claque les fesses de Diana. Laurie, elle continue le quatrième et le dernier suit. 
 
À la seconde suivante, Diana hurle et se frotte les fesses à deux mains et supplie Laurie d’arrêter. C'est fini, lui dit Claude maintenant, tu sais, c'est quoi recevoir une fessée à 20 ans, c'est humiliant. Gabrielle, elle, s’est retourné et ramasse son soutien pour le remettre. Claude lui enlève et ramasse tous les vêtements et les envoie dans une boite le long du mur. Gabrielle ici quand tu es en punition, tu attends les ordres pour bouger, lui dit-elle. Gabrielle lui dit qu’elle a hâte de se rhabiller, Claude sort deux sarraus de l’armoire et les donne aux filles pour qu'elles les mettent et seulement leur chaussure. Leurs vêtements vont au lavage et leur effet personnel arriverons en fin d’après-midi par transport. Diane lui demande si elles feront la visite que Claude leur avait dit avec uniquement un sarrau sur le dos. Claude lui répond que oui, ses vêtements ont l’air trop sale. Maintenant, on va tous manger et après, c'est la visite, Diane lui dit qu’elle ne sait pas si elle pourra s’asseoir pour manger, elle a trop mal aux fesses.

Moi, je laisse mes adjointes avec leurs nouvelles arrivées et je rejoins mon collègue Gilles, le directeur général de l’institut. On a un repas conférence dans un restaurant avec le ministère de la Justice et les autres directeurs des instituts comme le nôtre pour les nouvelles directives.

          


  


             

                 

                   

           

mercredi 29 septembre 2021

Elles aiment voir leurs camarades nus, maintenant, elles le paient cher


 

Claude la chef de la sécurité à l’institut St-Thomas

Je viens de convoquer une étudiante de deuxième à mon bureau, ma camarade Laurie est partie la chercher et je les attends d’une minute à l’autre. J'étudie son dossier qui est sans tache depuis son arrivée à l’institut l’an dernier. La mère de cette étudiante a découvert une carte mémoire dans ses affaires ce matin. En visionnant le contenu de la carte cela ne lui a pas plus, elle m’a fait parvenir quelques séquences vidéo du contenu de la carte par internet et moi aussi cela ne me plaît pas. Je dois éclaircir la provenance de ces vidéos d’ados filme dans les vestiaires du gym avec Béatrice en attendant que sa mère me fasse parvenir la carte mémoire et que je puisse analyser le reste de son contenu. Parce qu'à moi aussi ça ne me plaît pas ce que je viens de, voire.

Enfin arriver

Béatrice arrive avec Laurie. Bonjour, lui dis-je. Je m'appelle Claude. Et mon assistante s'appelle Laurie. Tu dois déjà la connaitre en l’accompagnant jusqu’à mon bureau. Laurie n’a sûrement plus besoin de présentation. Et toi, je crois que c'est Béatrice (une très belle jeune fille de 17 ans, pas très grande, 1,70 m et 45 kg environs avec une longue chevelure châtaine et un très beau visage). On ne se connaît pas, c'est la première fois que je te parle et qu’on te convoque à la direction, je crois. Je vais droit au but, finis les présentations. J’ai reçu des images et deux vidéos ce matin très troublant à regarder et s’ils sont mises en circulation sur internet ça va entacher la réputation de notre institut. C’est pour ça que tu es ici. J'ai déjà interrogé quelques-uns de tes camarades ce matin. 

Et tout comme eux, je t’ai fait venir parce que toi aussi, tu as eu accès au vestiaire la semaine dernière comme bien d’autre étudiants. Je veux savoir si tu as eu connaissance ou tu as vu ou entendu quelqu’un qui aurait pris des images ou vidéo du côté garçon ou fille dans les vestiaires. Je veux que tu sois honnête avec nous. C'est grave ses gestes là et il faut trouver le ou les coupables. Je me rends compte que plus, je lui parle et la questionne, Béatrice devient de plus en plus nerveuse et fixe un peu partout. Elle joue beaucoup dans sa longue chevelure et commence à être mal à l’aise. Mais pour l’instant, je n’ose pas lui dire comment j’ai obtenu les vidéos. Je retourne mon portable pour lui montrées les images prises dans le vestiaire des gars, ou on aperçoit plusieurs gars qui se déshabille et évidement il y en a quelque' un que l'on aperçoit nu.

Béatrice-
 

    En regardant cette vidéo, je vois bien que ce sont mes images et je me demande bien comment elle les a obtenues. Je lui demande, Mme Claude, je n’ai aucune idée de ce que vous me montrez là et je ne sais pas pourquoi vous me montrer ces images de mes camarades, au même moment deux employés rentre. 

C'est M.Lepetit le directeur de la discipline et M.Ponge le chef de l'entretien. Je vois bien qu’il a des caméras dans les mains et je les reconnais sans le dire à haute voix. Ce sont les caméras que Sébastien, Marie et moi avion installé, jeudi passé, en forçant une grille de ventilation dans un mur et passant dans le gros conduit d’aération à partir du couloir principal au sous-sol. Et ce petit passage donne accès à l’arrière des vestiaires du gymnase. Dans ce conduit de ventilation, il y a des petites grilles de ventilation pour les vestiaires des gars et des filles. En fixent les caméras dans les grilles, on avait une très belle vision des salles ou se déshabillait nos camarades. On pouvait contrôler les caméras par nos mobiles. Il s'agissait d'y retourner lendemain pour recharger les batteries et changer les cartes mémoires. On s’amusait à regarder le comportement des gars ou les filles, ceux ou celle qui aime se promener nu ou ceux qui sont gênés de se montrer nu. Samedi, j’ai téléchargé les enregistrements obtenus des caméras sur une autre carte mémoire avec mon amie Marie pour redonner de l’espace aux cartes mémoire des caméras. Mais pourquoi ces images-là sont-elles ici ? Qui a pu les faire parvenir ici ? Il y a juste Marie et moi qui détienne pour l'instant ces Photos et vidéos-là.


M Ponge le chef de l’entretien
Claude voici deux caméras qui étaient cachées dans les grilles qui sert de ventilation dans les deux vestiaires gars et fille. Elles étaient installées dans un entre mur assez large pour qu'on circule bien, et qui sert à faire passer toute la tuyauterie du bâtiment. L'accès est restreint, mais ça circule en marchant sur les gros tuyaux pour les eaux usés qui sont au sol.

 Et on a aussi remarqué qu’il y a sûrement deux personnes ou plus qui ont circulé la très récemment pour installer ces caméras. Parce qu’il y a deux sortes d’empreintes sur la saleté accumulée sur les tuyaux. Celle d’un soulier assez large, plus masculin et l’autre d’un soulier plus étroit comme celui d’un pied féminin. Les caméras étaient très bien installer. Il n’y avait aucune possibilité de les apercevoir de l’intérieur des vestiaires. Les caméras ont certainement donné de belles images des étudiants se promenant nu à leur insu. Car ce sont de très bonne petites caméras à haute définition. Moi et Martine, mon employée, on a bouché l’accès à cet endroit. Maintenant, personne n’y retournera. À présent, dois retrouver le directeur de l’institut M Lepetit et moi pour une réunion d’urgence à propos de ce cas-là. Le directeur et d'autre nous m’attendent dans le bureau de directeur.

 Claude-

Je vois que c’était bien organisé et je vous remercie M. Moi de mon côté, je m’occupe de trouver le ou les coupables et je vous rappelle. Un jeune homme se présente à ma porte ou même moment que M Ponge quitte. Il se présente, c'est le frère de Béatrice, David, 23 ans et me donne ce que la mère de Béatrice m’avait promise au téléphone, les fameuses cartes mémoire. Béatrice en voyant entrer son frère blêmie. Voyons Béatrice est tu malade, je peux faire venir l'infirmière si tu te sens pas bien. C'est correct Mme ça va passer et Béatrice regarde ses pied.

 Je retourne mon portable vers Béatrice et lui montre les images que j’étais en train de regarder sur mon portable. Le vestiaire des gars et on distingue deux gars à poil se changeant après leur cours. Je redemande encore une fois à Béatrice si elle connaît la provenance de ces images et de ces cartes mémoire que son frère vient de me donner. Qui sont sûrement elles aussi pleines d’images semblables.

 Béatrice commence par me dire qu’elle n’a rien à voir dans ces vidéos-là, et cette histoire de caméra cachée. David, son frère toujours présent avec nous me dit que lui et sa mère, ont regardé quelques séquences d’une carte mémoire. Dans une des vidéos, ils ont entendu et identifié la voie de Béatrice et une autre fille qui semblait être avec elle. David soupçonne que se serait Marie. Les filles qu'on entend paraissaient faire la mise au point des caméras. J’installe l'une des cartes dans mon lecteur et une des vidéos commence à jouer sur mon portable. Des images d’étudiants apparaissent. On distingue des gars en train de se déshabiller défilent sur l’écran devant nous. J’arrête la vidéo et demande à Béatrice avec qui elle a installé les caméras. Elle me nie encore tout sur l’installation et les cartes mémoires. Je commence à perdre patience et son frère aussi. Laurie qui était repartie pour fouiller le casier de Béatrice pour trouver le mobile de Béatrice revient. Elle me dit que son mobile n’était pas dans le casier. Son frère nous dit à Laurie et moi qu’il a entendu sa sœur dire dans une conversation avec une amie qu’elle traînait pratiquement toujours son mobile sur elle dans ses cours.

Je demande à Béatrice si elle connaît les règlements de l’école pour les mobiles et de me donner sa veste. Béatrice, je veux fouiller tes poches. Elle refuse en fouillant dans un de mes tiroirs. je sors une sangle de cuir de 3 cm de large et la pose sur le bureau devant elle. Pour l’instant ma belle, tu es en punition et tu dois m’obéir et me donner ta veste. Je te confisque aussi ton uniforme de l’institut au complet, le chemisier et ta jupe aussi, tu me les donnes sur le champ. Avec les graves accusations qui pèsent contre toi, tu es en punition. Je vais m’occuper de te faire parler, donne-moi ton chemisier et ta jupe aussi, et après, tu vas me dire qui sont tes complices, dépêche-toi de te dévêtir.

  Béatrice me donne sa veste et refuse de se déshabiller surtout devant son frère qui est dans mon bureau. Pendant que je cherche son mobile dans ses poches de veste, son frère nous dit à moi et Laurie ma collègue. Ma sœur est sûrement sans sous-vêtements parce que je l’ai entendu parler avec son amie Marie au téléphone ce matin dans sa chambre et elles ont parlé de prendre une gageure sur leur tenue vestimentaire. Elle parlait avec son amie de venir sans sous-vêtements pour défier les règles. Et je l'ai entendu dire qu'elle mettait Marie au défie de le faire elle aussi.

   Je trouve le mobile dans sa veste et je la réprimande pour cette infraction qui mérite une punition, car c’est interdit dans les cours. Laurie oblige Béatrice à me donner le reste de ses vêtements qu’elle ne veut pas enlever. Effectivement, elle confirme qu’elle ne porte rien sous son chemisier et sa jupe. Laurie lui dit donc ton frère à raison pour ta tenue. Pas le choix Béatrice, tu te mets à poil ici devant nous, tes vêtements sont confisqués pareille. Ton frère reste ici avec nous, il va peut-être aimer voir sa sœur nue. Ensuite, je vais te montrer quelles sont les conséquences de défier les règlements. Tu as sûrement vu des camarades se faire punir pour avoir porté des sous-vêtements non réglementaires, c'est très fréquent ici. Béatrice se retourne dos à nous pendant que j’examine le contenu de son mobile. Elle retire son chemisier et me le donne en se cachant tan bien que mal les seins avec une main et réussi à déboutonner sa jupe de l’autre main et laisse tomber sa jupe à ses chevilles. Elle est complètement nue. Dos à nous, son frère lui a les yeux grands ouverts et regarde sa sœur fesse à l’air devant lui. Il lui reste que ses bas blancs et chaussures comme vêtement. Béatrice commence à pleurnicher en nous disant que c’est très humiliant d’être nue et elle veut que son frère sorte d’ici.

   Mais sans m’occuper de ce que dit Béatrice. Je place une chaise dans le centre de la pièce et demande à Béatrice de me rejoindre et de se placer au dos de la chaise qui est face à son frère. Avec l'ordre de prendre appuis avec ses mains sur le siège de la chaise pour que son frère puisse admirer sa sœur fesses à l’air. Béatrice obéie et prend la position demandé sous les yeux de son frère qui a l’air malgré tout d'apprécier voir sa sœur nue. David, le frère de Béatrice nous dit à moi et Laurie qu’il n’a jamais vue sa sœur se faire punir de cette manière-là à la maison. Elle le mérite bien cette voyeuse à l’âge qu’elle a, c'est tout ce qu’elle mérite. Laurie ramasse la sangle de cuir que j’ai mise sur le bureau et demande à Béatrice si elle veut bien nous dire c’est qui la Marie à qui elle a parlé ce matin pour lui dire qu’elle venait à ses cours sans sous-vêtements. Marie si elle a relevée ton défi elle aussi sûrement qu'elle doit être sans sous-vêtements présentement dans sa classe. Parce que Laurie me dit que de mémoire, elle en connaît environs 7 à 8 Marie juste au deuxième niveau. Alors, tu nous dis, c'est laquelle que tu as mise au défi. Si tu refuses de nous le dire, je te rougis les fesses jusqu’à ce que tu parles ma belle rajoute Laurie choisie. Aussi on peut te faire coucher sur les genoux de David pour qu’il commence à te chauffer les fesses lui-même avec ses mains. Il adorerait assurément te rougir tes belles fesses blanches. On s’aperçoit qu’il aimerait ça te donné une fessée ton frère ainé.

Béatrice-

            Je n’ai rien a voir avec ça ces caméras-là et la Marie que tu parles  elle n’a pas accepté le défie je t’en supplie.

Claude-

Au même moment que Béatrice répond à Laurie, Laurie lui flanque un coup de sangle sur les fesses, ce qui fait pousser un cri de douleur à Béatrice. Tu nous mens lui dit Laurie et elle lui en donne quatre autres aussi fort. Béatrice pousse un autre cri encore plus fort cette fois ci et se retourne pour éviter le prochain et se frotte les fesses avec ses mains et nous dit que c’est Marie Richard qui j'ai installer les caméras. C’est bien lui dis-je tu vois bien que se faire rougir les fesses peut faire du bien pour dire la vérité. Maintenant, tu te repositionnes et Laurie va continuer ta punition pour ton manquement au règlement. Tu t'en souviendras pour les prochaines fois qu’il faut toujours porter des sous-vêtements ici à l’institut. Laurie donne lui encore 15 coups sur ses jolies fesses et cinq autres pour son mobile qu'elle traine avec elle toutes ses journées entière. Après, c'est 25 coups, je crois bien que ca suffira pour l'instant. Moi, je vais chercher Marie dans sa classe.

En sortant du bureau. Je laisse la porte ouverte et il y a un couple qui est ici pour inscrire leur fille et à cause des cris que Béatrice lâche en recevant d'autre coup de sangle le couple s’intéresse à ce qui se passe à l’intérieur du bureau. Le couple voit Béatrice pleurnicher et nu, et Laurie qui lui frappe les fesses et Dave qui regarde. Mais le couple ne sait pas que c'est son frère. Je leur explique en gros sans trop de détail pourquoi elle est punie. Les deux sont satisfaits de la discipline que nous lui administrons et c’est ce qu’ils veulent pour leur fille de 15 ans qui est supposément très indiscipliné et rebelle. Je quitte le couple et dans l’escalier. J’entends chaque coup de sangle que donne Laurie sur les fesses de Béatrice résonner dans le grand hall et ses cris.

 

  Quelque instant plus tard, j'entre à l’intérieur de la salle de cours ou est Marie R et interrompt la professeure. Discrètement, je demande à Mlle Garcia, la prof de faire une inspection vestimentaire pour les filles en lui expliquant vite le pourquoi. Mlle Garcia la prof demande a toutes les filles de se lever. Il y a que quatre garçons dans ce cours. Mlle Garcia et moi, on fait le tour des filles et demandons à chacune d’entre elles de nous montrer leur petite culotte pour une inspection. Moi je prends la range qui mène à Marie. Je me dirige vers elle en inspectant les autres filles jusqu’à Marie les fille sont en règle. Marie ne veut pas monter sa jupe.

 C’est moi qui suis obligée de mettre ma main sous sa jupe. Je m'aperçois vite qu'elle n'a pas de culotte. Ma main lui touche les fesses directement sur sa raie. Marie se retourne pour m'enlever la main de sur ses fesses. C'est David qui avait raison pour le défi entre fille. Elle aussi ne porte pas de culotte comme prévu. Je lui donne l’ordre d’enlever sa jupe et je tire son chemisier par le devant pour voir à l'intérieur. Elle ne porte pas de soutien-gorge non plus. Je lui ordonne donc de retirer sa jupe et son chemisier ici a son bureau au travers des autres. Elle argumente et ne veut pas obéir. Je lui donne quelques bonnes claques sur les fesses pour qu'elle obéisse, et ensuite défait moi-même les boutons qui tiennent sa jupe. Je tire sa jupe que Marie retenait pour qu'elle tombe à ses chevilles. Ensuite, c'est son chemisier que je commence à déboutonner, même si elle résiste, je lui enlève. Elle se retrouve nue au beau milieu de la classe, aucune pitié, c'est ce qu'elle mérite. Tu te rends compte ma belle que si tu porterais des sous-vêtements réglementaires, tu ne serais pas dans cette position humiliante maintenant avance sur l’estrade en lui claquant les fesses pour qu’elle avance. Je fouille dans sa veste et trouve son mobile, elle aussi, le traînait dans les cours comme Béatrice.

    De son côté Mlle Garcia a deux filles qui ne porte pas la culotte réglementaire donc Mlle Garcia leur fait enlever à elles aussi leur jupe et leur string . Ce n’est pas accepter le string ici et elles doivent les poser sur leur bureau. Ensuite, elles les envoient en avant sur l’estrade fesses à l’air devant leur camarade, ces deux là, on les fesses a l'air. C'est un petit peu moi humiliant que nue. Sur l’estrade, Marie est la seule nue et cache ses parties intimes du mieux qu’elle peut avec ses bras et ses mains. Les deux autre peuvent garder leur chemisier, leur soutien qu'elles portent sont légales. Moi, je fais placer Marie dos à la salle, mains sur la tête pour que tous ses camarades admirent ses belles fesses blanches. Je demande à Mlle Garcia de sortir sa grande règle de bois de son tiroir. La règle en main, j’explique au spectateur que Marie va recevoir devant eux 15 coups de règles, je commence à lui administrer les premiers coups sur ses fesses qui prennent vite une belle couleur rouge.         

. Marie commence à lâcher des cris au 10è coups et essaie de résister pour ne pas faire voire que se lui fait mal devant ses camarades au dernier coup Marie verse des larmes et essaie de se frotter les fesses. Je lui interdis et elle doit repositionner ses mains sur sa tête, je lui fait faire un demi-tour pour que tout le monde regarde ses charmes le sexe bien raser et ses beau seins une dernière fois avant qu’on parte à mon bureau. Mlle Garcia va  s’occupe de ses deux autres étudiantes. J’envoie Marie chercher ses vêtements pour qu’elle circule au travers de ses camarades, nu et pour l’humilier un peu plus. Marie me demande si elle peut s’habiller mais je lui interdis car elle est en punition et elle doit me suive nu, c'est moi qui va descendre ses vêtements. Au bureau on rentre et elle aperçoit Béatrice qui est nu elle aussi et face au mur fesses bien marquer par la sangle, mais c’est David qui la dérange et elle essaie de  cacher sa nudité le plus possible. J’ordonne à Marie de prendre position au centre de la pièce mains sur la tête alors que je la traîne par un bras jusqu’au centre de la salle bien à la vue de David pour qu’il puisse en profiter, au même moment M le directeur et M Lepetit arrive de leur réunion en mirant eux aussi Marie nu et les fesses encore un peu rouge de sa punition dans la salle de cours et je leur explique sa tenue vestimentaire de ce matin.  

 

    M le directeur-  Béatrice viens rejoindre  Marie au centre et dans la même position et écouter ce qu’on a décidé pour vous deux. Les deux filles en position humiliante de punies regardent tous les deux a terre humilier devant nous tous d’être nu.

M le directeur-  Les gestes qui vous avez commissent ici toutes les deux avec ces caméras sont inadmissible et mérite l’expulsion de notre institut en plus d’être signaler au criminel, mais étant donné que je connais bien tes parents Marie, Claude et Pierre Richard qui sont venue ici il y a quelques années je passe par-dessus la plainte à la police, mais pour la gravité de votre geste et le non-respect de la tenue vestimentaire obligatoire et que pour vous est  le je m’en fou des règlements d’ici comme on pourrait dire le comité de discipline a décidé de vous mettre en punition de catégorie 3 qui est la pire punition ce qui signifie la punition corporelle en public et nu.

 

    A partir de ce matin et pour les deux prochaine semaine vous serez interdit de sortir d’ici sauf pour le week-end prochain que vous pourrez rentrer à la maison. Lundi matin à 7h30 vous devez être ici dans ce bureau et remettre tous vos vêtements au responsable.

    Ce midi dans 35 minutes toi Marie dans la salle à manger des 2è et 1è année sur l’estrade devant tous tes camarades et le personnel présent tu vas expliquer pourquoi tu es puni et nu devant eux,  la pause de tes caméras pour espionner les gens nu dans les vestiaires  et la jouissance que ça te procurait de les voir nu je t’ai préparer un petit texte que je te donne que tu devras lire dans la salle et ensuite tu on va te mettre en position attacher aux mains et aux pieds a la poutre central, tu recevras 30 coups de la strap de cuir donner par Claude. A la fin de la pause du repas a 1h15 toujours nu, tu iras chercher tes livres pour suivre tes cour d’après-midi. A la fin tu reviens a la cafétéria  pour travailler avec le personnel de soir a nettoyer la salle et après on va te descendre dans ta petite chambre au sous-sol ou tu passeras la nuit avec Béatrice et pour toi aussi c’est la même chose Béatrice sauf que ce midi c’est dans la salle des 3è et finissant que tu devras expliquer ton geste et toi aussi tu seras punis avec 30 coups de strap sur les fesses. Demain matin a 7 h vous prendrai le petit déjeuner en attendant que les gens arrivent et a 7h30 vous recevrez chacune une autre fessée au centre de la salle qui vous seras attitrer parce que vous changerez de salle chaque jour étant donner que vous avez admirer toute les camarades peu importe leur âge donc eux aussi ont tous le droit de vous admirer à leur tour,  ensuite vous circulerez   au travers des tables toujours nu pour faire le ménage des tables qui se seront libérées jusqu’au début de vos cours. Pour vos cours c’est nu aussi toute le temps de votre punition Et si quelqu’un dans la salle vous parle ou vous donne une tape sur les fesses ce qui probablement va arriver vous rester très poli sinon l’employer sera attitrer pour vous suivre va vous chauffer les fesses à nouveau. Ensuite a tous les matins et midi  ca seras une fessée devant la salle, vos prof son tous avertis de ne rien tolérer durant la journée vous devrez avoir un comportement exemplaire sinon c’est la fessée qui vous attend.

     Ça va être votre tour de vous faire voire nu comme vous avez aimé regarder vous camarades  maintenant vous devez payer pour votre geste. Maintenant Béatrice, Laurie vous me suivez on se déplace a la cafétéria tous ensemble,  Marie tu sui Claude et M Lepetit.    

 

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...