lundi 26 septembre 2022

Vicky et ses colocs découvrent leur nouvel institut-- deuxième partie

 




Vicky — en sortant du bureau de la sécurité

En mettant les pieds dans la salle. On arrive juste devant le petit escalier qui monte sur la scène. Mais nous, on passe en avant de la scène pour nous rendre à des places réservées à notre groupe dans la première ranger, presque au centre. Ma prof nous dit, ne vous en faite pas les filles, au début, vous trouverez peu tête cela très dure de regarder des filles nues recevant une punition de la sorte. Mais a mesure que vous allez en voir des filles se faire punir ainsi durant les années que vous passerez ici vous allez vous habituer et cela deviendra un spectacle comme bien d’autre. En espérant que ne soit pas l’une d’entre vous qui êtes sur la scène.

Danielle et Clarisse apparaissent entièrement nues par le côté de la scène en traversant les rideaux, bras croisés dans leur dos comme exigé. Accompagné d’une agente et probablement de la présentatrice avec micro en main. Elles obligent Clarisse et Danielle à se placer face à nous tous en avant de la scène pour qu’on les voie bien. Sur les écrans géants de chaque côté de la scène, apparaissent deux images par écran. Les écrans sont divisés en deux pour que les spectateurs ne manquent rien. Des gros plans d’elles apparaissent.
L’une des images, c'est Clarisse et Danielle qui apparaissent de face et en gros plan bien détailler en HD. Clarisse est superbe avec son petit duvet châtain, une petite ligne de duvet descend à sa fente, ça la rend encore plus mignonne. Un piercing au nombril, on distingue un petit diamant reluisant avec l’éclairage. De beaux, petits seins archétype et bien ferme qui se dresse bien droit, en gardent les bras croisés derrière son dos, ça fait ressortir encore plus ses seins. Même si je suis une fille, j’adore la regarder, je la trouve très belle comme probablement toutes les autres spectatrices ici. Barbara aussi ne la lâche pas des yeux. Danielle, elle est rasée, aucun duvet. Elle est aussi belle que Clarisse àregarder nue. La poitrine un peu plus volumineuse et ses seins style athlétique, les aréoles un peu plus grosses et foncées, ses seins cherche à descendre un peu, mais c’est très cuite à regarder.

Dans l’autre image, elles sont dos, la caméra braquée sur les fesses qui nous les font très bien voire. Superbes fesses blanches et bien rondes toutes les deux. Ça réagit beaucoup dans la salle, en plus de voir les deux filles face à nous, elles sont montrées sur écran géant. Il y a énormément de commentaires, c'est bruyant.
Quelle humiliation me dit Amanda qui est ma voisine de droite.
Moi-même, je ne peux m’empêcher de regarder ses deux superbes filles nues devant moi et surtout sur écran géant et très bien détailler.
Elles sont accompagnées d’une agente de sécurité et suivies des deux autres punies, Kali et Tania qui ont la jaquette remontée au nombril, nue du nombril aux pieds, fesses à l’air. Quatre autres femmes attendent au centre, près du chevalet. Kali et Tania aussi rejoignent Clarisse et Danielle en avant-scène, bras dans leur dos, elles aussi.

On leur distingue seulement leur chatte sans aucun duvet. Elles sont toutes les deux sans poils bien rasés. Et par les écrans, on regarde leurs jolies fesses. C’est joli à voir quatre paires de superbes fesses enligner une aux côtés de l’autre aussi belle les unes que les autres à regarder.
Ma prof nous dit que la responsable de la discipline s’appelle Mme Lépine Julia Lepine, c’est elle qui se prépare à parler.
Elle demande le silence, car c’est agité et bruyant dans la salle, il y a environ cent cinquante personnes d'installé pour assister au spectacle. Ce n’est pas plein, mais il y a beaucoup de monde.
C’est le discours habituel explication des sanctions à appliquer, etc.
Danielle est amenée au centre, face au chevalet, dos à nous, toujours suivie par les caméras humiliée et les yeux pleins d’eau d’être traitée ainsi. Clarisse tant qu’à elle, ils l'ont fait tourner d’un quart de tour face à l’autre extrémité de la scène. Elle est de profil avec nous, même de profil, elle est superbe à regarder nue. On distingue la rondeur de ses seins, son petit ventre, la superbe courbe de ses fesses, ses magnifiques jambes. Les lumières de la salle se ferment. On tombe dans le noir, et dans le calme.

Danielle en place devant le chevalet dos a la salle fesses toujours bien exposer. La femme qui est à côté d’elle lui ordonne de se pencher et de mettre ses mains au bas de chacune des pattes du chevalet. Deux femmes lui attachent les poignets bien solidement aux pattes du chevalet. Deux autres lui demandent d’écarter les jambes et elles attachent ses chevilles aussi. D’où je suis, je vois très bien son entre-jambe. Son sexe qui est largement exposé ainsi que son anus, les petites parties qu’on essaie tous de garder, cacher, sont exposées au public. Mais le plus impressionnant, c'est dans les écrans, il n'y a qu’une seule image maintenant. Le derrière de Danielle a plein écran. Sa chatte est toute grande offerte à la caméra et c’est impressionnant la vision que ça nous donne. Sa fente est très bien détaillée. Rosée et quelque peu ouverte. Les fesses écartées, on voit très bien les plies qu’il y a autour de son anus et son petit trou au centre, on le voit se rétracter quand elle pleure. On a le nez directement dans son intimité et en H D. L’intérieur et le bas de ses fesses a comme des petits boutons, comme quand on a la chair de poule.

La caméra recule un peu sa vue et on est un peu mois dans son intimité, et l’ensemble de la vision est mieux. On distingue mieux le haut de ses cuisses, ses fesses en entier et le dessus du chevalet. Le bourreau qui est installé à côté d’elle tien une tawse en cuir qui paraît assez rigide et épaisse.

On lui fait signe de commencer. Le premier coup qu’elle reçoit est donné avec force et on a vu la tête de Danielle secouer.

Les fesses de Danielle reçoivent plusieurs autres bons coups. À chaque coup, la tawse laisse sa marque. Une rougeur apparaît en quelques secondes. Dès que le dernier est apiqué, les agentes se penchent et détachent Danielle du chevalet et l’aide à se redresser debout. Ses fesses sont rouges et Danielle se les frottent à deux mains en grimaçant et échappant encore quelques larmes. On lui indique de se déplacer sur le côté de la scène et on enlève le chevalet. Deux cordes descendent du plafond à environ 2 m de distance entre chaque, avec un petit bracelet a chaque bout. Une des femmes vient chercher Clarisse. Elle n'a pas l’air de vouloir avancer, mais la femme l’oblige en la poussant dans le dos, en lui disant d’avancer, et l’amène au centre entre les deux cordes, dos a la salle. Chacun de ses poignets est attaché avec les bracelets à l’extrémité des cordes, et on remonte un peu les cordes pour tenir ses bras bien tendus.

La caméra du fond de la scène s’ajuste et on voit Clarisse du nombril au haut de ses cuisses. Son duvet et sa chatte sont en gros plans dans les écrans, elle essaie de garder les jambes collées, mais on a tous les détaille de sa fente pareille. La vision des écrans change, maintenant, c'est entre le bas de son dos et le haut de ses cuisses arrière qu’il nous montre, ses jolies fesses sont maintenant en évidence. Je ne pensais pas aimer cela autant, regarder des personnes nues. Je n’avais jamais eu l’occasion auparavant de m’arrêter à regarder des personnes nues et j’aime ça ma culotte commence à être humide tellement ça m’excite.

La caméra recule et on voit les épaules de Clarisse et une partie de ses cuisses, on n'a pas la vision de l’autre caméra, ce sont les fesses qu’ils veulent nous montrer probablement. Le bourreau revient avec une lanière de cuir relier à un manche de bois. Ça ressemble à ceinture de cuir pas si souple que ça, assez large, épaisse et longue qui aurait été modifier en style fouet avec un manche de bois. Je prends la main de Barbara qui est ma voisine de gauche. Barbara se demande pourquoi je lui prends la main. Je dirige sa main entre mes cuisses et remonte sa main sur ma culotte pour qu’elle touche ma chatte, en lui murmurant à l’oreille pour qu’elle soit la seule à comprendre. Barbara laisse-moi faire, je veux que tu touches ma chatte pour que tu te rendes compte comment elle est humide, fait moi plaisir et caresse là. Barbara me regarde toute surprise pendant que moi aussi, je rentre ma main sous sa jupe. Je m’aperçois qu’elle aussi a réagi à la vue des filles nues sur la scène, sa culotte est tout aussi humide que la mienne et j’essaie de rentrer sous sa culotte avec mes doigts en me frayant un chemin entre sa culotte et sa fente. Tu es folle, me dit-elle, en enlevant sa main de sous ma jupe, si on se fait prendre à se caresser l’une et l’autre ça peut nous coûter cher, enlève ta main Vicky.

Je n’étais pas si sûre de cela si ça exciterait Barbara d’avoir des filles nues devant nous, mais là, j'ai ma réponse. Je fais la même chose avec Amanda qui est à ma droite. J'entre ma main sous sa jupe et entre ses cuisses, elle ne s’attendait pas à ça que je lui touche l’entre cuisse et si haut sous sa jupe, son sexe surtout. Elle est surprise et me regarde sans réagir. Je lui touche sa culotte et elle aussi est humide et excité à regarder le spectacle. Elle m’enlève ma main de sûr son sexe et me dit, toi aussi ça t’excite, j’en étais certaine, mais pas ici Vicky, c'est trop risqué, même si c’est sombre, c'est risquer que quelqu'un nous vois.

Je regarde la scène et cette magnifique fille nue attachée.
La femme qui se charge de punir Clarisse éloigne son bras et frappe les fesses de Clarisse en plein centre. La lanière de cuir rentre profondément dans la peau des fesses, une ligne rouge presque aussi large que la lanière apparaît en quelques secondes à peine. Clarisse tient les cordes fermement avec ses mains et essaie de se tasser le derrière. Étant est très limité dans ses mouvements, elle n’a pas le choix de rester debout à la merci de son bourreau à attendre le prochain coup à venir.
Au cinquième coup, en lui tirant la tête par en arrière par les cheveux, le bourreau lui parle. En entend de nos places dans la première range. Ma belle, on a fait faire cette lanière spécialement pour tes fesses, elle est toute neuve et ce sont tes fesses qui étrennent ma nouvelle lanière. Tu me donneras ton appréciation de la nouvelle lanière quand j'en aurai fini avec ta fessée dans quelques instantes. Il ne reste que 20 petits coups à recevoir pour le test, après, c'est fini. Après, tu me donneras ton appréciation de ma nouvelle lanière.

J’espère que tes fesses en garderont un bon souvenir et que ça va te faire réfléchir avant de refaire des bêtises.
Notre prof nous dit que cette fille-là, Clarisse, ce n’est pas la première fois qu’elle reçoit une t’elle punition. À sa dernière année qui a fini en mai, Clarisse a été convoquée ici pour être punie 4 fois et a toutes les fois, c'était nu et une autre fois l’automne passé, elle a été punie à la salle à manger. C’est pour cela que la femme lui a parlé ainsi.

La femme recommence en frappant aussi fort d’un coup à l’autre. Ses fesses deviennent de plus en plus rouges à mesure qu’elles reçoivent des coups, et le côté de sa hanche ou la lanière arrête aussi est marquée. Au dix-septième coups. C’est plus fort que moi, il faut que je compte tous les coups qu’elle reçoit. Clarisse lâche un cri de douleur qui résonne dans tout amphithéâtre, le premier qu’elle laisse entendre. C’est impressionnant d’entendre crier de douleur une fille qui se fait rougir les fesses aussi durement. Elle lève une de ses jambes jusqu’à toucher ses fesses avec son talon. La femme lui donne un petit coup de lanière sur son dessous de pied pour qu’elle le repose au sol. Clarisse calmée, la fessée recommence et presque à chaque coup que Clarisse reçoit sur ses fesses une de ses jambes relève sur ses fesses et on l’entend pleurer. Quand le dernier coup arrive sur ses fesses, la femme passe l’une de ses mains sur les fesses de Clarisse.
Elle lui demande si c’est satisfaisant cette nouvelle lanière. Tu l’aimes ma nouvelle lanière la semaine prochaine, je te la referai réessayer à nouveau pour aujourd’hui, on va laisser tes fesses refroidir et dérougir. Elle détache les poignets de Clarisse et une autre l’aide à rester debout, à garder son équilibre en la tenant par les épaules.

Notre professeure nous demande tous de la suivre, on retourne en cours. On la suit tous en direction du bureau de sécurité pour récupérer nos effets personnels. Sauf Amanda qui est libre de cours et veut rester ici pour assister aux deux punitions qui restent cet après-midi.
En fin de journée, Amanda, Barbara et moi, nous sommes sur le chemin du retour et parlons de notre après-midi. À ce que l’on a assisté. Je leur dis que j’avais aimé regarder ses filles nues devant nous, ça m’avait excité. Elles ont aimé cela, voir des filles nues ça fait nous fait toujours une drôle d'impression de voir des personnes nues devant nous dit Amanda.
On s’en est rendu compte que tu étais excité, Vicky. Tu nous l’as laissé voir par tes caresses que tu nous as faites et ta chatte toute trempe que j'ai été obligé de toucher malgré moi. Me dit Amanda.
Rentrée à la maison, je me dirige directement à la salle de bain au premier. J’ai une salle de bain privée dans ma chambre comme tous les autres. Mais ça ne me tente pas de monter au deuxième. J’ai trop hâte d’enlever cette culotte avec un cerne jaune hâte causée de mes excitations aujourd’hui. Je prends une douche les filles a plus tard.

La douche terminée. J’envoie ma culotte qui traînait sur le plancher au panier a lavage et laisse le reste de mes vêtements mon uniforme de l’institut soutien dans la salle de bain sur le plancher. Je vais me faire chicaner Amanda déteste quand l'une de nous se laisse traîner. Je me balade nue dans la maison, c’est une première depuis qu’on habite tous les trois ensemble. Aucune de nous l'a fait se promener nu dans la maison. En pyjama ou nuisette, mais jamais nu.

Toute la journée, j’ai fantasmé sur ça me présenter nue devant mes amies et c'est aujourd'hui que j'en fais l'expérience de me montrer nu devant mes amies. Je suis gêné horrifier d’être nue dans la salle à manger en pensant qu’elles sont toutes les deux dans la maison et je vais arriver face à face avec l’une d’elle. Je suis du genre plutôt pudique, je n'aime pas trop me montrer nu devant d'autre. Mais je continue sans me cacher en marchant naturellement comme d’habitude quand je suis habillée. Personne n’est là même pas dans la cuisine.

Je regarde dehors sur la terrasse par la grande fenêtre. J’aperçois Amanda qui me tourne le dos et Barbara est sur l’autre sofa plus loin face à moi. Je prends mon courage a deux mains comme on dit souvent et franchit la porte qui est déjà ouverte, entièrement nue, j'avance tranquillement, gêner de me présenter nu devant elles. Barbara me regarde sortir toute nue. Elle arrête de parler et continue de me regarder sans trop savoir comment réagir. Figée de me voir apparaître nu devant elle et dehors en plus. Amanda se retourne en voyant Barbara me fixer et elle aussi reste surprise et me regarde de la tête aux pieds. Et surtout ma fente qu’elle ne lâche pas des yeux
 

Amanda ---

Voyons Vicky depuis quand on se promène nu. Ta journée t’as réellement excité. Je sais qu’il fait très chaud mais nu t’exagère. Rentre mettre un maillot tout de suite c’est pas mal indécent. Nos voisin Claude ou ses invités si elle circule pour monté a leur maison elle vont sûrement t’apercevoir. Même les jardiniers peuvent encore travaillé a cette heure ci.

Vicky ---
Je m’assois à côté de Barbara et je ne m’occupe pas de ce que dit Amanda. Barbara a encore son uniforme sur le dos, sans perdre une seconde, je l’embrase sur la bouche et entre immédiatement une main sous la jupe de Barbara et tire sur l’élastique de sa culotte. Barbara figée de me, voire nue à côté d’elle et que je l’embrasse à pleine bouche, n’a pas trop le temps de réaliser que je suis sur le point de lui enlever sa culotte. Je fais aussi vite que je le peux pendant qu’elle ne réagit pas.

Même assise la culotte de Barbara descend aux milieux de ses fesses, j’insiste et continue de tirer la culotte, passe sous les fesses de Barbara et réussi a amené sa culotte sous les fesses à ses cuisses. J’arrête de l’embrasser et pousse alors Barbara sur le siège du sofa pour l’obligé à s'étendre sur le dos. Elle me demande si je suis folle de l’embrasser et de fouiller sous sa jupe. Je ne réponds pas et en même temps qu’elle se couche, j'embarque par-dessus elle. Je remets ma main sous sa jupe et commence à caresser son sexe. Laisse-toi aller, Barbara, arrête de parler, lui murmurai-je, à l’oreille. J'entre un doigt dans sa fente en jouant sur ses lèvres tout en caressant sa fente et son petit bouton avec un doigt, ça commence à être très humide, elle est très excitée. J'aime ça moi aussi, je sens que ça commence à être très humide entre mes cuisses. C'est la deuxième fois que j'ai l'occasion de jouer dans la chatte de Barbara.

Amanda me regarde allongée sur Barbara nue et me laisse faire, elle veut sûrement voir jusque ou j’irais. Ça me surprend, car Barbara n’oppose aucune résistance et se laisse caresser, et même commence à me flatter les fesses. Elle adore ça que je lui caresse la chatte. Je me mets à genoux à côté d’elle et du sofa et relève sa jupe. Je descends ensuite sa culotte et la fait tomber au sol, tout en continuant de l’excité. Je remonte entre ses jambes bien écartées et replier cette fois-ci, son sexe m’est tout grand offert sans qu’elle essaie de le cacher ou de redescendre sa jupe. J’approche ma bouche de sa chatte et commence à la lécher et avec le bout de ma langue m’amuse sur son bouton. Barbara commence à lâche des petits gémissements, je l’excite et elle adore. Elle me laisse continuer à la caresser.
Je sens des doigts qui entrent dans ma fente. C’est Amanda qui est redue derrière moi et commence à me caresser. Je suis à genoux sur le sofa entièrement nu et penché la tête entre les jambes de Barbara, le derrière relevé en l’air et la chatte bien exposé et trempé. Je sens que ça dégouline entre mes cuisses. Amanda l’a remarqué et n’a pas pu résister et est venue explorer ce que je lui offrais, une chatte bien trempe dégoulinante.

 Il me passe des frissons à la grandeur du corps tellement la caresse d’Amanda m’excite. Elle joue avec mon petit piton et caresse l’intérieur de ma fente. Elle pénètre ses doigts dans mon vagin, je me sens dans un autre monde. C’est la première fois que j’atteins un degré de jouissance pareille. Jamais une personne m’a caressé la chatte ou fait l’amour auparavant, je n'ai jamais connu cela, faire l'amour avec un autre et j'ai 22 ans. La seule jouissance que j’ai connue, c’était par, moi-même en me masturbant et me caressant moi-même.
J’aime les caresses d’Amanda. Elle me pénètre, je la sens en moi, elle rentre et ressort ses doigts très rapidement et me procure une sensation que je n’avais jamais atteinte. Je suis dans un autre monde, plus rien n’existe autour de moi que la sensation d'un laisser aller. Je me mets à gémir, crier et jouir comme jamais au par avant. C’est peut-être ça qu’on appelle à avoir un orgasme, atteindre le point g et c’est fantastique. J’ai tout arrêté et je me suis couché la tête sur la poitrine de Barbara en poussant des gémissements. Barbara me caresse les seins et ça m’excite encore plus. J’ai de la misère à respirer, je manque de souffle tellement, je suis essoufflée et en sueur de la tête aux pieds.

Amanda ressort ses doigts tout dégoulinants de cyprine de mon vagin et commence à caresse mes fesses et mon anus avec ses doigts encore tous humides. Ça me procure une autre belle sensation. Je jouis à nouveau quand elle redescend ses doigts dans ma fente et rejoue entre mes lèvres et caresse à nouveau mon clito. Elle s’arrête et nous fait signe Barbara et moi de la suivre dans sa chambre.

En montant les marche pour aller rejoindre Amanda, Barbara qui est derrière moi. elle s’amuse à me taper les fesses et j’adore ça, ça m’excite encore plus me faire taper les fesses.


En entrants dans la chambre d'Amanda, on voit Amanda, étendue sur son lit, sur le ventre, et nue, elle nous attend, montrant son beau corps et ses belles fesses. Je m'allonge à ses côtés et lui caresse doucement les fesses et le dos, pendant que Barbara se débarrasse de ses vêtements à son tour et couche de l’autre côté d’Amanda, et commence, elle aussi, à lui caresser les fesses.

La vue de filles nue sur la scène de l'amphithéâtre cet après-midi a réveillé quelque chose de très plaisant en nous trois qu’on n' avait jamais osé encore explorer auparavant ou en parlé. La grande amitié et l'amour qui se crée entre nous trois devient très intense au fil du temps. Depuis quatre mois qu’on reste ensemble et je commence à ressentir des sentiments très profond envers Amanda et Barbara. Je fantasmais à l'idée qu'un jour, qu'on devienne de plus en plus intime nous trois et je pense que je n'étais pas la seule a fantasmé sur cette idée-là. Mais jamais, d'être initiée au sexe un jour avec mes trois amies qui le découvrent en même temps que moi serait aussi plaisant.





vendredi 16 septembre 2022

Sacha et Judith humilient des jeunes clients et son humiliée à leur tour

Sacha, 16 ans, et Judith, 18 ans viennent de commencer leur journée de travail à la boutique de mode familiale.

À l’intérieur de la boutique, il y a déjà quelques clientes malgré qu’il est encore tôt dans la matinée. Et arrive un couple avec ses trois enfants. Deux filles, des jumelles de 12 ans et un garçon de 15 ans. La mère et les enfants se dirigent ver la section maillot. Sacha et Judith vont toutes les deux à leur rencontre pour les servir, l’autre employée est occupée dans une autre section avec d’autres clientes. Le père lui continu dans les vêtements sport et salut Sacha et Judith en les croisant sans s’arrêter.

Mes enfants ont besoin de chacun maillot, je regarde le grand choix que vous possédez ici, c'est impressionnant.

Mes jumelles, c'est des maillots une pièce que je veux qu’elles portent à leur âge, c'est mieux qu’un bikini. Elles sont encore bien jeunes pour s’exposer, j’aime mieux qu’elles ne soient pas trop a l’air.

L’une des deux Béa proteste, elle veut un deux pièces comme une de ses amies et pointe la section des deux pièces et un en particulier.

Sa sœur Fanny, elle aussi, ne veut pas d’un maillot une pièce, elle dit à sa mère que ce n’est pas à la mode un maillot une pièce. Déjà qu'à l’école, il l’exige. Quand on est en dehors de cet établissement ont peu suive la mode, j'espère. 

 Judith s’occupe de leur frère et lui montre six modèles de maillots qui paraissent plaire à la mère et demande à son garçon d’aller à la cabine d’essayage avec Judith pendant qu’elle choisit avec ses sœurs.
Sacha commence à sortir des maillots une pièce qui semble être à leur taille pour les montrer à la mère, mais les filles, elles, elles sortent plusieurs maillots deux pièces et demande à Sacha si elles peuvent en faire l’essai. Oui, venez les filles, les cabines d’essayage pour filles sont dans l’autre coin à gauche, et Sacha les amène aux cabines pendant que leur mère regarde des maillots une pièce. Non, les filles, n’essayez pas ces maillots pour rien. Je ne veux pas que vous les portiez leur demande leur mère, mais les deux sœurs ne l’écoute pas et entre dans la même cabine d’essayage avec quelques deux-pièces pour les essayer.
Le garçon qui est installé dans la cabine et que Judith s’occupe est déjà déshabillé. Il enfile un des maillots qu’il a apporté avec lui, c’est le noir et rouge qui est plus à sa taille, et c’est celui-là qu’il préfère. Les autres ne lui plaisent pas et lui paraissent trop grands. Il ouvre la porte de sa cabine. Judith regarde le maillot qu’il a enfilé, le noir et rouge et qui lui descend à mi-cuisse. C’était son préféré, les autres étaient plus longs et avec des motifs qu’il n’aime pas. Judith entre dans la cabine, elle tire sur le maillot par en arrière, c’est beaucoup trop grand mon petit bonhomme comme elle s’amuse à l’appelé, et ça insulte le garçon. Regarde dans le miroir derrière toi, on te voit les fesses si je tire un peu dessus. Judith tire sur le maillot et regarde les fesses de Jean-Luc . Tu vas le perdre dans l’eau quand il sera mouillé, si je tire doucement par le bas, il descend facilement et il est sec sans poids rajouté par l’eau. Le cordon qui sert de ceinture est au maximum. Malheureusement pour toi mon petit bonhomme, c’est la seule taille qu’il nous reste. Enlève-le et essai un autre maillot.

Moi, c’est celui-ci que je préfère et je le garde, lui dit-il. Judith tire vers le bas et fait descendre le maillot à mi-fesses, regarde, c’est à peine si je lui touche et il descend. Tu vas montrer tes fesses et ton tout petit zizi ridicule a la piscine en public aux filles autour de toi. Il ne tient pas en place, tout le monde rira de toi avec ce petit zizi que tu as quand il va descendre. Judith, laisse descendre le maillot à ses pieds, enlève m'a ça et rhabille-toi, cache cette petite horreur. Judith sort de la cabine sans refermer la porte. Le jeune est nu devant Judith et gêner, il s’empresse de remonter le maillot et sort à son tour. Se dirige vers sa mère qui est plus loin dans les ranger de maillots.
Sacha pendant ce temps s’occupe des jumelles. Elles aussi les maillots qu’elles ont choisis sont trop grands. Sacha entre dans la cabine où elles ont entré toutes les deux et regarde. Le haut ne vous fait pas à ni l’une ni l’autre les filles. Sacha tire sur le haut des maillots. Regardez-vous, n’avez pas assez de poitrine pour ces maillots-là et la culotte aussi, ça vous prend des tailles enfant, vous êtes encore que des gamines en non des ados avec des seins. Lassez vous pousser des seins et du poil, ensuite, vous pourrez porter des vêtements sexy. Même les autres que vous avez apportées sont trop grands, enlevez-moi ces maillots, je vous ramène des maillots une-pièces comme votre mère veut que vous portiez.
Sacha baisse la culotte de Béa à ses chevilles et demande à sa sœur d’enlever, elle aussi, le maillot. Béa proteste, tu n’as pas le droit sort, je suis nue et elle remonte la culotte du maillot en place pour cacher son intimité. Sacha la regarde et lui dit, tu n’es qu’une petite gamine, tu n’as rien à cacher, ta vulve est lisse, pas de poil. Quand je garde chez ma voisine, je change des couches à des petits bébés comme vous deux, vous êtes pratiquement aux couches encore, donc aucune gêne à avoir les fesses à l’air.

Les jumelles sortent et se dirigent toutes les deux vers leurs parents. Qu’est-ce qu’il se passe ? Vous trois pourquoi êtes-vous si excités. Les jumelles se plaignent que Sacha les a traitées de gamines bébé, et est entré sans leur permission dans la cabine pendant qu’elles étaient nues pour rire d’elle et de leur corps.

 Maman, elle a été méchante avec nous. Béa rajoute, elle m’a regardée entre les jambes, ma chatte qu’elle a appelée et m’a traitée de gamine, bébé.

C’est vrai ce que vous me dites les filles ? Demande la mère.

Elle n’a pas le droit d’entrée sans permission dans des cabines d’essayage et pour vous dévêtir. C'est au client à le faire lui-même et vous insulter en plus, c’est une vendeuse, une conseillère, pas une habilleuse.

Oui maman, nous quand on manque de respect envers quelqu’un, on reçoit une punition, mais elle pourquoi elle a le droit de nous insulter sans être punie.

Son frère qui venait tout juste d’arriver lui aussi dit à ses parents. Elle aussi la brune Judith est entrée dans ma cabine. Elle a tiré sur le maillot que j’essayais, celui que je porte encore, et m'a dit qu’il était trop grand pour moi. Je le savais très bien et je voulais l’enlever. Mais elle-même me l'a baissé au lieu de ressortir et de refermer la porte et m'a regardé nu, elle c’est amuser ma me mater le zizi comme elle l’appelle. 

 

Claude, leur patronne, entend les discutions et se rend près de la famille avec sa gérante Francine.

Bonjour Mme, je suis la propriétaire et voici ma gérante, et associée Francine. Depuis quelques minutes qu’on entend discuter sur le comportement de mes employées, je viens vérifier ce qui se passe ici. J’entends que l’une de mes employées a un comportement inapproprié, je crois.

Le garçon dit à Claude, la patronne. C'est cette salope, elle est entrée dans la cabine pendant que j’essayais le maillot et me là descendue et m'a regardé nu et c’est moquer de mon pénis et ma claque les fesses.

Le garçon reçoit deux fortes claques sur ses fesses par son père. Le garçon grimace de douleur.

Jean-Luc dit son père reste poli. Tu n’es pas obligé de traiter cette jeune fille de salope, excuse-toi.



Le garçon ne fait pas ses excuses, mais il continue à s'adresser à la patronne. En plus Mme cette cochonne m’a touché mon pénis. Elle la prit dans ses mains et m'a dit, un petit zizi comme ça, il faut que tu garde ça cacher. Elle m’a ridiculisé Mme, je n’ai que 15 ans et elle m’a humilié. C’est la première fois qu’une fille me touche. Et en plus la porte de la cabine était grande ouverte. Tout le monde dans la boutique aurait pu me voire nu. Deux autres claques frappent les fesses du jeune sur le maillot qu’il porte encore. 

 

Je t’ai averti de rester poli Jean-Luc, excuse-toi tout de suite sinon c’est moi qui te baisse le maillot et te rougi les fesses ici même. Le jeune s’excuse envers Judith et lui demande pardon.

Judith

Ce n’est que des mensonges, je ne lui ai jamais baissé le maillot et mis nu, il ment. La seule chose que je lui ai faite, c'est de lui montrer que le maillot était trop grand en lui serrant le cordon au maximum. Et il le perdait encore. C’est la seule chose, jamais, je ne l’ai jamais taponné ou insulté comme il le prétend.

Béa

elle aussi Sacha la blonde nous à regarder nue et nous a traité de gamines bébés. Qu’on n'était que des gamines sans seins et ce n’était pas plus grave que cela nous, voire nu puisqu’on est des bébés.

Quand on a un mauvais comportement, mes parents ne se gêne pas pour nous punir.

C’est inachetable, rajoute le père mes enfants lorsqu'ils manquent de respect envers d’autre ou nous leurs parents, ils sont très sévèrement punis.

Quelle sorte de punition tes parents vous donne les jeunes ? Demande Claude.

Le garçon ne dit rien, a plutôt l’air de réfléchir et de se retenir, gêné de la question. C’est sa sœur Fanny qui prend la parole.

 Mme mes parents, quand ils nous punissent moi, mon frère et ma sœur, c'est physiquement, ça fait mal.

Que veux-tu dire par physiquement Fanny. Ils vous envoient au coin à genoux, ils vous donnent une fessée ou autre ?

Oui Mme, c'est la fessée Mme sur les genoux de papa ou maman ou debout au centre du salon et très souvent, on est nu. Après, on passe au coin, 30 à 40 minutes, fesses a l’air. C’est très humiliant. Quand même qu’il y a des invités, si mes parents décident de punir l’un de nous, les invités y assiste. Ce n’est pas discutable, on obtient notre punition.

Mon frère hier soir a reçu une fessée pour avoir cassé une fenêtre chez notre voisin. Ma mère l’avertissait fréquemment de ne pas jouer avec le ballon dans la cour, mais il en fessait qu'à sa tête. Il a botté le ballon trop fort et le ballon à traverser chez le voisin et à casser une fenêtre. Ma mère là obligée à se dévêtir devant nous dans le salon et elle lui a rougi les fesses. Ou début, c'était sur ses genoux avec ses mains. Mais après ma mère la fait placer debout, main sur la tête et lui a claqué les fesses avec une épaisse règle de bois, devant nous et nos amies.

À ce que je peux entendre, ta mère vous punit sévèrement.

Toi et ta sœur, ça vous arrive souvent de recevoir une punition aussi sévère ?

Fanny et Béa commencent à rire et ne répondent pas.

Oui, c'est assez fréquemment, mais moins que leur frère, mais pas mal souvent, elles sont un petit peu plus sage que leur frère. Répond leur père.

Claude avance vers un banc qui est installé pour les clients pas très loin d’eux. Elle s’assoit dessus et fait signe à Sacha de venir la rejoindre. Les autres se déplacent aussi jusqu’au banc, y compris Judith que Francine l’oblige à suivre. Trois autres clientes qui ont entendu le brouhaha dans la boutique s’ajoutent au groupe par curiosité. Sacha vient t’allonger sur mes genoux, lui demande Claude.

Tu n’es pas sérieuse ? Tu veux que je m’allonge devant eux sur tes genoux, s’il ne te plaît pas ici, on ira discuter dans ton bureau, mais pas ici.



Claude se lève et prend Sacha par un bras et la force à s'allonger sur ses genoux. Sacha n’a même pas résisté, elle sait très bien qu’avec Claude, il ne faut pas trop lui tenir tête.

Tout le monde regarde Sacha qui s’allonge sur les genoux de Claude et tirant sur le bas de sa courte robe fleuri rose pour l’empêcher de remonter.

Elle finit par s’installer, tenant ses jambes collées et prend appuis avec ses mains au sol et ne bouge plus. Les fesses bien en positon pour Claude.

Claude pose un de ses mains sur le dos de Sacha et l’autre sur les fesses de Sacha. Maintenant, moi je vais vous montrer comment je traite les grandes gamines de son genre qui sont trop impolies envers la clientèle et pense qu’elles sont à l’abri des punitions.

Pour moi, un client, c'est de l’or. C’est le plus important, c’est celui qui fait le succès de nos entreprises. Si les clients sont mal servis et ne reviennent plus, l’entreprise ferme. Et des grandes gamines comme elles, quand elles se comportent mal envers les clients, elles doivent en payer le pris et en public. Cet la même règle pour tous mes employés, ici pas d’exception.

Claude commence à claquer les fesses de Sacha, toujours protéger par sa robe.


Claude ne ménage pas le postérieur de Sacha et frappe avec vigueur et a un rythme soutenue. Sacha commence a balancé ses jambes de haut en bas en essayant de les garder collées l’une sur l’autre. Elle essaie de protégé ses fesses avec une main Claude lui bloc son bras dans son dos et continue a lui frappé les fesses sans ralentir son rythme. Sacha lui demande d’arrêter ça lui fait mal dit-elle

Non Sacha je vais arrêter seulement si tu t’excuses pour ce que tu a fait aux jumelles.

Je m’excuse je m’excuse je regrette Claude arrête s’il te plaît arrête.

C’est bon j’arrête. Claude cesse de frapper le derrière de Sacha et l’aide a se relevé.

Sacha, va à l’extrémité du banc et mets-toi à genoux, mains sur ta tête et demande pardon aux jumelles.

Sacha replace sa robe se frotte les fesses et prend place a genoux. On attend Sacha demande pardon et excuse toi sinon je reprend la punition et cette fois je te fait enlever ta robe.

On entend les excuses que Sacha adresse aux jumelles. Bon maintenant que c’est fait Francine pendant que je m’occupe de punir Judith à son tour pourrait-tu demander à Gina la couturière en chef de venir ici on va lui demander si c’est possible d’ajuster le maillot de Jean Luc puisque qu’il y en a plus a sa taille.

Judith tien elle aussi sa robe en place et s’installe à son tour sur les genoux de Claude.

Dit nous pourquoi tu tire si fort sur ta robe Judith. Comme Sacha plus tôt y a t il un problème avec vos robes les filles ?

Non non Claude, juste par précaution, c'est tout pas plus. Répond Judith.

Ne me mens pas, c’est une drôle de réponse. Ce n’est pas plutôt que tu ne portes pas de sous-vêtement dessous ta robe Judith. Claude prend là-bas de la robe et essaie de le remonter. Judith met ses deux mains sur ses fesses pour empêcher sa robe de remonté et dévoiler ses fesses a tout le monde autour d’elle et lui demande de laisser sa robe en place.

Oui Claude, je ne porte pas de sous-vêtement sous ma robe, c’est pour ça que je tiens ma robe en place, arrête de la remonter s’il te plaît.

Claude tasse les mains de Judith et lui demande de les redescendre et remonte la robe en haut des fesses de Judith. Pour une gamine de dix-huit ans, elle s’en permet pas-mal rien sous sa robe. C’est ça qu’elle ne veut pas laisser voir.

Pensez-vous que c’est descend pour une jeune fille de se balader fesses à l’air sous sa robe quasi transparente ?

Béa regarde sa mère et répond à Claude, non, je ne pense pas. Ma sœur et moi, si l’on sort de la maison en jupe ou en robe, notre mère nous oblige à porter une culotte et elle vérifie souvent avant que l’on sorte.

Oui, je les oblige à porter une culotte et surtout pas un string à leur âge sous leur robe. Je suis stricte avec ça, porter une culotte sous ses jupes ou robes. C’est plus descend s'il y a un problème, c’est moins provocant ou humiliant. Quand elles croisent un dévergondé qui s’amuse à lever les robes des filles pour les humilier ou regarder sous les escaliers quand les filles montent, elles n’ont pas les fesses a l'air au moins. Une jeune fille comme Judith, à peine mature, ne devrait pas être en public vêtue que d’une seule robe, c’est indécent. On s’aperçoit vite qu’elle ne porte pas de soutien aussi, ça attire beaucoup de regard et ça agace les gars comme mon mari et mon fils. Son mari détourne le regard, gêner de ce que sa femme vient de dire.

Jean-Luc ne lâche pas des yeux les fesses nues de Judith et son père aussi aimerait se rincer l’œil, mais sa femme lui donne un coup de coudre pour qu’il détourne son regard du postérieur de Judith.

Claude commence à claquer les fesses de Judith rester à l’air.

Francine arrive avec sa couturière et la présente aux jeunes et leur parent. Jean-Luc, ce qui l’intéresse, ce sont les fesses à l’air de Judith qui se font rougir bien plus que la couturière qui est là pour lui. Surtout quand Judith remue ses jambes. Il essaie plutôt de regarder entre les jambes de Judith s'il peut apercevoir sa chatte.

Claude arrête et montre aux trois jeunes la couleur de la peau des fesses à Judith. Prend le temps de regarder Jean-Luc fait comme Judith. Elle a aimé te mater les fesses toi aussi regarde. Ses fesses sont d’une belle couleur, ça a l’air à te plaire de regarder de si belles fesses. Après quelques instants, Judith se relève, baisse ça rode sous ses fesses pour les remettre à l’abri des voyeurs, et va s’agenouiller, elle aussi, a l’autre extrémité du banc, la robe remise en place.

Claude se place derrière Sacha et lève sa robe, regardez je me savais que Sacha n’avait pas de culotte sous sa robe elle aussi. Prenez le temps de regarder son beau petit derrière.

La couturière commence à prendre les mensurations avec son assistante de Jean-Luc.

Si Jean-Luc aime ce maillot, c'est possible de faire les ajustements en 30 minutes environs.

Venez visiter l’atelier de couture, je vous invite, dit Claude, pendant que les ajustements vont se faire. Béa, Fanny, si vous voulez vous choisir un autre maillot, on en a reçu à l’arrière. Ils viennent de nos autres ateliers d'Europe et d’Asie. C’est maillot ne serons disponible en boutique que dans deux semaines, mais pour vous je vais vous en faire choisir chaque un et votre mère aussi, je vous les offre et en plus je vais vous les livrer aujourd’hui quand le maillot de Jean-Luc sera prêt. J’aurai une belle surprise pour vous a la livraison en plus de vos nouveaux maillots.

À l’atelier, la mère et ses filles se sont choisie chacune un maillot et on fait la visite de l’atelier.

Donnez-moi votre numéro de mobile Mme et je vais vous appeler ce midi. J’irai vous porter les maillots avec Judith et Sacha.

Ne vous dérangez pas, on peut attendre le maillot de Jean-Luc ici, vous êtes déjà très gentille de nous les donner et nous faire visiter vos installations.

Non, partez, allez finir votre shopping et attendez mon appel, j’aurai une surprise pour vous avec ma livraison. Le couple et les enfants quittent la boutique, et se disent à plus tard en embrassant Claude et Francine.

Vers les 13 h 30, Claude, Francine sa gérante, Sacha et Judith se rendent avec la voiture de Claude au domicile de la petite famille pour donner les maillots promis de ce matin. Une fois stationner dans la rue face au domicile, Claude ordonne à Sacha et Judith d’enlever leur robe. C’est vous deux qui allez donner les boite-cadeau à la famille et nue. Votre comportement de ce matin envers les enfants de cette famille ne m’a pas plus et c’est la suite de votre punition de ce matin. Je me suis retenue ce matin, j’avais l’intention de vous faire mettre nue pour vous punir sur mes genoux, mais j’ai changé d’idée. À la place, c'est ici que votre deuxième partie de votre punition va se dérouler. Et ne discutez surtout pas avec moi. J’ai apporté avec moi une belle brosse à cheveux et je vais m’en servir si nécessaire, pour l’instant je vous évite une autre fessée.

Mais Claude, tu exagères, sortir nue de la voiture dans la rue et entrée à l’intérieur nue devant les jeunes, c'est humiliant, et leur père doit nous attendre aussi.

Je vous ai dit de ne pas discuter et obéir sinon je rajoute une fessée à votre humiliation, allez déshabiller vous et sortez de la voiture. Ce matin, vous ne vous êtes pas gênées pour les humilier, maintenant, c'est à votre tour d’être humiliées.

Sacha surmonte sa peur, son stressé et obéie, elle enlève son unique vêtement, sa robe. Judith toi aussi, tu obéis et vos sandales aussi reste dans la voiture. Judith, tu vas encore te faire rougir les fesses et avec la brosse cette fois-ci.

Judith obéie, elle aussi, très nerveuse d’être obligée de se dévêtir dans la rue. Elle sait très bien qu’avec Claude, elle n’a pas d’autre choix. Elle enlève sa robe et ses sandales. Claude et Francine ouvrent les porte arrière de la voiture pour que les filles sortent, car elles n'osaient pas ouvrir leur porte par elles-mêmes.

Dans le voisinage, il y a quelques voisins qui sont dehors à travailler autour de leur demeure. L’un d’eux remarque les filles sortir entièrement nues de la voiture avec chacune des boites dans leurs mains et elles se dirigent vers la porte avant de la maison de leur voisin. Il regarde les quatre filles se diriger vers la porte avant de la maison de leur voisin et pourquoi les deux plus jeunes sont nues ?

Aucune des deux filles n’ose sonner. Sacha et Judith voulaient retourner dans la voiture, mais Claude a sonné et reste un peu à l’écart avec Francine pour que Sacha et Judith apparaisse devant la personne qui va réponde. Je vous avertis les filles, gardez vos mains devant vous pour tenir les boites. Celle qui essaie de se cacher avec ses mains va se faire chauffer les fesses devant la famille avec ma brosse. Pour l'instant, je vous évite cette humiliation de recevoir une fessée, juste d’être exposées nue devrait suffire.

C’est le père qui ouvre la porte et aperçoit deux splendides filles à poil devant lui qui tiennent des boites dans leurs mains. Sa femme est derrière lui et regarde, elle aussi, Sacha et Judith nue.

Claude, tu nous avais dit qu’il y aurait une surprise, mais je ne m’attendais pas du tout à cela, moi non plus, rajoute son mari figé à la vue de cette belle surprise.

Je vous avais promise une livraison spéciale. Là voici, vos enfants se sont fait humilier ce matin, maintenant, c'est à leur tour d’en profité. Dehors, il y a quelques autres passants et voisins qui regardent ce qui se passe, ce n’est pas à tous les jours que des filles viennent livrer nue dans leur quartier et plus Sacha et Judith reste dehors longtemps, plus cela attire les curieux.

Allez passer entrée qu’on puisse refermer la porte, ça commence à attirer l’attention des voisins, dit la mère.

À l’intérieur, Jean-Luc installé sur le sofa et jouait sur sa console. Il fait une pause sur sa console et regarde entrer Sacha et Judith, tout surpris et excité de voir deux filles se présenter nue dans sa maison. Regarde Jean-Luc la belle visite qui arrive. Dit son père, les jumelles arrivent, elles aussi, avec deux amies qu’elles avaient invitées pour l’après midi et toutes surprissent, elles aussi, de voir des filles nues. Béa dit à ses amies, regardez ce que je vous disais, ce matin, c’est elle. Judith la brune à droite, c’est elle qui a reçu une fessée, fesses a l’air devant nous à la boutique. Fanny, elle passe une remarque à sa mère en regardant l'entre-jambe des filles

Maman, elles sont plus vielles que nous, mais elles aussi n’ont pas plus de poil que moi !

Ce matin Sacha m’a traitée de bébé parce que je n’avais pas de poil et pas de sein. Toi, tu en as un peu de poil maman. Les autres Claude et Francine n’ont-elles aussi de poil comme toi maman. Ce n’est pas tout le monde qui a du poil en haut du sexe ? Ou juste les gars comme papa et mon frère, demande Fanny.

Fanny a mis sa mère mal à l’aise en parlant de son anatomie. Les filles et ça va aussi pour les jeunes gars, le poil que tu parles que moi, ton frère et ton père, on a plus bas que le nombril s'appelle du poil pubien. À votre âge, ça commence à pousser. Sacha et Judith comme bien d’autre personne le rase tout dépend des goûts des personnes. Chacun décide de son apparence. Et pour les seins aussi ça commence à se former entre 12 et 13 ans pour une bonne majorité des filles comme vous, regarde ton amie Sylvie quand elle met son maillot, elle commence à avoir des formes, une poitrine, elle a 13 ans. Quand vous avez eu vos premières menstruations il y a 2 mois je vous avais expliquée que votre corps allait changer, cela fait partie des changements, le poil et les seins

Voici vos maillots, Sacha donne les boites a Béa et Fanny dit Claude. Toi Jean-Luc, c’est Judith qui a le tien et celui de ta mère, approche-toi de Judith, elle va te le donner. Jean-Luc tout content s’approche de Judith et prend sa boite. Son père dit a son fils. Dit lui merci et embrasse-là sur la joue, elle est très gentille de te livrer ton vêtement ici, c'est très aimable de sa part.

Judith regarde le père sans sourire, elle ne trouve pas drôle son commentaire.

Les bras libres des boites, Claude oblige, Judith et Sacha a gardé leurs bras croisés dans leur dos, et rester au centre du salon sans bouger. Claude sort de son sac à main une brosse à cheveux.

Elles sont bien averties que si elle ne m’obéisse pas, je leur rougis les fesses avec ma brosse, et Claude pose la brosse sur la table à café au centre du salon.

Les jumelles et leurs amies regardent les deux filles exposer au centre du salon. Elles font le tour d’elles, regardez Judith n’a plus les fesses rouges. Judith est gênée que les filles la regarde d’aussi prêt, même que l’une d’entre elles lui touche les fesses, et les compare avec celles de Sacha. Sacha a les fesses moins rondes, touchez comme elles sont douces. Sacha a de plus petits seins et des bouts plus gros.

Claude trouve ça drôle que les jeunes s’amusent à examiner Judith et Sacha. C’est normal que leurs fesses soient redevenues blanche, ça fait quelques heures qu’elles ont reçu leur fessée.

Les filles lâchées les fesses des filles et ouvrez vos boites, demande leur mère pour qu’elles lâchent les fesses des punis. Montrez vos nouveaux maillots à vos amies. Pendant que les filles déballe leur boite et montre leur nouveauté, Jean-Luc lui est assis devant Sacha et Judith et les regardent, ne les lâche pas des yeux. C’est la première fois qu’il a l’occasion d’avoir deux belles filles de son âge nues a quelques centimètres de lui et il est excité. Mis à part ses deux jeunes sœurs qui a l’occasion de voire nue quand elles sont punies, mais avec un corps mois développé.

Sacha n’a pas beaucoup plus de poitrine que toi Béa, commente-t-il. Si tu te mets nue et je compare ta poitrine en prenant un de tes seins et un des siens de Sacha dans mes mains, je suis sûr qui la différence n’est pas énorme, dit Jean-Luc.

Je t’interdis de toucher le corps de l’une de ses filles Jean-Luc et tes sœurs aussi regarde, mais interdit de toucher. Ne t’avise pas à le faire sinon je te chauffe les fesses ici même devant elles. À ton âge, tu as bien d’autre chose a pensé que de vouloir taponner des filles, surtout tes sœurs.

Son père tant qu’a lui trouve ça drôle que son jeune compare les poitrines des filles.

Claude, tu ne trouve pas cela un peu exagérer d’humiliées ainsi tes deux employées. Après tout ce matin, elles ont manqué de s'avoir vive mais…

Je suis d’accord pour qu’elles soient punies. Elles ont manqué de respect envers mes enfants, mais pas humilier ainsi en public. Ce qu’ils ont fait, c'était dans les cabines, à l’abri de tout le monde. C’est pas mal humiliant les punir ainsi.

Non pour moi, c'est ce qu’elles méritent. Judith a déjà été punie beaucoup plus sévèrement que recevoir quelques petites claques sur ses fesses comme ce matin. Elle et une autre de mes filles ont reçu 30 coups de canne chacune et sont restées exposer nue devant tous les employés au vignoble que je possède avec mon frère. Mes parents, quand ils décidaient de nous punir mon frère et moi, c’était très humiliant et très douloureux. Ça me portait à réfléchir sur ma bêtise que je venais de commettre.

Ha !, c'est à ta famille le grand vignoble au nord de la ville. Donc, tu t’appelles Claude Richard. Je suis contente de connaître un des membres de la famille Richard.

La mère s’adresse à son mari. Ne ris pas toi aussi, tu es bandé et tu aime ça voir ces deux belles filles nues dans ton salon. Tu dois avoir autre chose à faire que d’admirer de si jeunes filles à poil, vient avec nous, je leur fais visiter notre maison.

Judith Sacha, suivez nous sans bouger vos bras, vous allez visiter la demeure avec nous. Comme ça tout le monde va nous suivre. Claude fait un clin d'œil à la mère.

Durant la visite la mère dit à Claude et Francine, ça devient gênant, à chaque fois que je me vire je les voie nues autour de nous. Je n’ose pas les regarder, c’est moi qui suis gêné de les regarder, voire tes deux employées nues ça me met mal à l'aise pour elles. Je ne me vois pas me promener nue devant d’autre personne étrangère, je serais gênée d’être à leur place.

Pourtant, à l’occasion, tu ne déteste pas ça, circuler nue dans la maison et devant les enfants.

Mais mon chéri, c'est dans ma maison et en privé, pas devant des étrangers. Et arrête de parler de notre vie privé devant eux

Claude

Ne t’en fais pas chère, l’humiliation qu’elles subissent leur fait du bien, ça les rend plus matures. À l’avenir quand elles voudront faire des sottises, elles réfléchiront avant d’agir à ce qui peut leur arrivée. C’est ma manière de les éduquer, et c’est très efficace, je peux en témoigné.

Rendu à la partie cour arrière, Béa dit à sa mère, il y a plein de voisin dehors. Maman, Judith et Sacha ne peuvent pas nous suivent dehors, ils doivent rester dans la maison. Tout le monde vont les regarder, il y a plusieurs voisins dans leur cour.

Ne t’occupe pas de ça Béa, elles sont ici en punition, et cela fait partie de la punition, nous suivre même s'il y a du monde autour, elles sortent pareille.

Claude oblige Sacha et Judith à sortir sur le patio avec eux. La mère est un peu mal à laisse de voir ses voisins lui envoyer la main, la saluer avec les deux filles nue autour d’elle. Les jumelles et leurs amies regardent les filles nues et rient trouvent ça drôle des filles sur leur patio fesses a l’air que les voisins regardent tous. Jean-Luc lui se tient très près des filles et est concentré sur leur chatte et leur poitrine, le jeune se retient, il adorerait toucher une des filles, mais sa mère le surveille.

Bon nous, on rentre à l’atelier. Les jeunes si ça vous intéresse je vous invite tous, vos deux amies aussi et vos parents bien sûr à notre défilé. La présentation de notre nouvelle collection qui aura lieu dans 14 jours. C’est réservé au propriétaire de nos boutiques associé en Europe et en Amérique du Nord, mais je vous invite à venir en v i p. Si ça vous intéresse les jeunes, mon personnel va vous intégrer au défilé, ça vous fera une belle expérience de la mode. On s’occupera de vous trouver des créations à présenter. Maillot et vêtement sport sont les deux thèmes du défilé, même votre mère si elle le veut pourra participer.

Mme Claude, je peux prêter des sorties de plage à Sacha et Judith pour qu’elles retournent a votre voiture dit Fanny, ma sœur et moi, on va allez les chercher dans nos chambres.

Non merci Fanny, vous êtes bien gentilles, mais elles retournent à la voiture nue comme elles ont débarqué plutôt, leur robe sont à l’intérieur de la voiture.

Claude fait sortir Sacha et Judith, Francine suit. Toute la petite famille les regardent partir, mais ils ne sont pas seuls. Il y a quelques voisins sur leur terrain ou dans la rue qui regarde, eux aussi, les filles faire le trajet entre la maison et la voiture, et toujours obliger de garder leur bras croisé derrière leur dos et bien exposée à qui veut bien les regarder.

Elles sont très heureuses de rentrer à l’intérieur de la voiture et pouvoir remettre leur robe. Elles n’ont pas aimé leur livraison spéciale de cette après-midi.





jeudi 1 septembre 2022

Vicky et ses colocs découvrent leur nouvel institut

 

 

 Vicky et ses amies Barbara et Amanda ont toutes trois commencé de nouvelles études universitaires. Depuis une semaine qu'elles fréquentent leur nouvel institut, qui se nomme, l'institut universitaire St-David. Après leur mauvaise expérience avec la sœur de d’Amanda, Jasmine, qu'elles essaient d'oublier. Elles aiment bien leur nouvelle vie d'étudiante et vont découvrir un aspect de cette vie étudiante dont elles ne s'attendaient pas et vont l'aimer.

Institut universitaire St-David qui est uniquement pour filles est très bien reconnue pour sa qualité, son professionnalise en enseignement. Mais aussi pour sa discipline, ses règlements très stricts. Les dirigeants ne se gênent pas pour punir ceux qui ne respecte pas les règlements établis. 75 % à 80 % des étudiantes qui fréquentent l'établissement sont envoyées par la justice de plusieurs provinces.

 

Ce sont des filles qui ont été condamnées pour des crimes non violents et les juges les envoie à l’institut. C'est mieux les envoyer aux études, ou à l'ouvrage, selon leur choix, qu'elles perdent leur jeunesse en prison, se disent plusieurs juges. Et ça leur évite un casier judiciaire à leur dossier. Soi les études payées par l'état ou travailler obligatoirement à l'institut pour la durée de la condamnation en ayant un salaire. Tout dépend du choix de la condamnée. L’autre partie des étudiantes viennent par eux même ou ce sont leurs parents qui les inscrivent et tiennent à qu’elles soient éduquées sévèrement, et ils payent cher pour que leurs filles étudient ici.

 À la direction de St-David le recteur en ses adjoints, ce sont les mêmes que l’institut St Thomas qui est à quelques kilomètres d'ici, ils dirigent les deux places. St-Thomas est un lycée destiné au 15 à 19 ans, et St-David, une université, pour les jeunes adultes de plus ou mois 20 à 25 ans.

Vicky et ses amies et colocs, Barbara et Amanda, elles aussi, sont inscrites par l’entremise de leur employeur qui paye leurs études. C’était la condition de leur employeur pour qu’il leur paye leurs études de venir ici à St-David. Vicky et Barbara en droit international, et Amanda, c'est pour devenir sommelière. 

 À leur deuxième semaine de fréquentation à l’institut, aujourd’hui, jeudi, ici c'est la journée ou le comité de discipline convoque ses accusées mais en imitation procès. Pour Vicky et Barbara ce matin, c’est l’initiation à la simulation de la dite cour pénale qu'ils appellent ici. 

C'est seulement à l'intérieur des murs de l'institut que ça se déroule (un genre de comité de discipline) mais en petit procès individuel et public en même temps qui se déroule ici dans l'amphithéâtre, comme à tous les jeudis matin. Vicky et Barbara y assistent. Elles sont avec leur groupe d'étudiantes en droit une vingtaine en tout. C'est petit procès d’étudiants qui ont transgresser les règlements établis ou fait des bêtises durant leur semaine et ont été convoquer devant un comité de discipline appelé tribunal.

 Les procès qui se déroulent à l’amphithéâtre de l’institut à tous les jeudis matin sont là juste pour la forme. Le principe de donner une petite chance a l’accusée de se défendre, et une toute petite pratique pour les étudiants en droit. Ce sont tous des étudiantes ou employées qui sont jugées pour des manquements aux règlements durant la semaine. Des procès vraiment cour qui n’est uniquement qu’une formalité. À la place d’un comité de discipline qui étudie la cause de l’étudiant et que le comité applique les peines déjà préétablies, c'est une autre manière d'opéré.

 Ce sont les juges qui sont des étudiants dernière année en droit qui détermine la punition entre eux, superviser bien sûr des profs qui approuvent les sanctions. Il y a deux juges, des étudiantes de dernière année en droit, des finissantes. Une avocate de la défense que l’accusée a choisie elle-même si elle le désire, parmi les étudiantes aussi en droit de troisième année. Et bien entendu la poursuite représentée par une étudiante aussi en droit.

C’est presque identique au procès qui se déroule au civil, mais interne, cela ne sort pas de l’institut. Et aucune image vidéo n’est permise pendant l'exécution des punitions qui s'ensuivent. Les mobiles ou appareille photo sont totalement interdits pour tous ceux qui assiste aux séances de punition dans l'après-midi. Les accusées sont convoquées la veille, soit le mercredi soir après les cours. Elles doivent tous passer la nuit dans des cellules aménager à quelques pas de la grande salle. 

Et un peu comme dans une prison, les accusées doivent tous remettre leurs vêtements, leurs bijoux, leurs montre, chaussures etc… 

Une jaquette comme tout le monde l’appelle ici, blanche et quasiment transparente, qui arrive aux genoux et très décolleté leur est remise. C’est le seul vêtement permis pour passer la nuit en cellule et passé devant les juges le lendemain. Le matin les accusées passent aux douches, c'est obligatoire avant de ce rend à la cantine pour le petit déjeuner. Pieds nus et vêtus que de leur jaquette pratiquement transparente et assez bien décolletée, les accusées qui portent ce vêtement attire beaucoup de regard. 

Tout le monde dans cet institut et les nouveaux qui le découvrent l’apprennent très vite qu’une personne qui porte uniquement ce vêtement blanc marqué dans le dos d'une inscription (département de discipline) est accusé de quelques chose, et sera condamné dans la journée à une punition corporelle. Et tous sont invités à assister au procès et a la sentence administrée selon leur disponibilité. Après le petit déjeuner, les accusées reviennent aux cellules et attendent qu’elles soient appelées devant les juges.

La première qui est au banc des accusées, c'est Clarisse, une étudiante de 23 ans en sport de troisième année et très rebelle. Une jolie blonde, cheveux qui descendent au milieu du dos, belle poitrine dont on peut à peine distinguer la forme dans sa jaquette, les mamelons sont bien visibles dreser dans la jaquette, ils veulent percer le tissu. Elle est ammener devant les juges pour harcellement. La jaquette n’étant pas ajustée, serré et tombe droite, ne nous laisse pas voir les formes de son corps. Seul le bas de ses jambes et ses pieds sont visibles. La prof dit a ses étudiantes que cette Clarisse l’an dernier a été plusieurs fois punie, c’est une habituée des punitions et dès le début de sa nouvelle année, elle est déjà en punition.

 Elle est accusée d’avoir harcelé une autre étudiante sur les réseaux sociaux durant la période des vacances cet été. Elle et son avocate ont essayé d’argumenter, de prouver son innocence. Rien à faire tout est contre elle. E-mail, texto, message haineux sur les réseaux sociaux. Les juges l’ont déclaré coupable en à peine 10 minutes. Les procès ici n’excèdent presque jamais plus de 10 minutes en général, et les décisions rendues sont sans appel. 

Étant donné que le geste est considéré comme grave et répétitif, elle est condamnée à recevoir 50 coups de canne ou autre instrument au choix du bourreau. Une des deux juge lui lit la condamnation. Mlle quand les punitions excèdrent 25 coups, c'est en deux séances d’un intervalle d'une semaine que s’applique la punition. Donc cette après midi vers les 14 h la première partie vous sera appliquer.

 Mlle, vous serez attacher debout par les poignets, bras écarté de chaque côté de votre corps et nue au centre de la scène ici. Vous recevrez une première série de vingt-cinq coups, et vingt-cinq autres jeudi prochains ici aussi à 13 h 30. Dans la même position. Pour la prochaine semaine, vous perdez le droit de porter l’uniforme de l’institut, alors c’est la tenue de punie qui est obligatoire pour vous. Tous les matins à 8 h vous allez vous présenter au bureau de la sécurité. Vous devez remettre tous vos vêtements civils, le port de l’uniforme vous est interdit. La responsable va vous remettre le vêtement appeler jaquette pour assister à vos cours. D’ici à votre sentence, vous retournez assister à vos cours pour finir votre matinée. Après le déjeuner de ce midi, vous revenez ici aux cellules, le personnel s’occupera de vous préparer pour votre sentence. Au suivant.

Vicky et Barbara sont dans les premières rangées de la salle à regarder la pauvre fille qui sera punie cette après-midi, et elles se regardent. Elles se demandent comment elles réagiraient si elles seraient à la place de cette fille-là, Clarisse.

Vicky

Je n’aimerais pas ça, être condamnée à cinquante coups de canne. Les fesses doivent te faire terriblement mal. Et en plus nue devant du monde tes amies et tes camarades. Tout le monde dans l’institut a le droit de venir assister à ta punition, regarde autour de nous, il y a pas mal de monde et ce sont juste les procès bidon. En plus il y a une caméra qui retransmet les images sur les deux gros écrans dans la salle, tu es en gros plan devant tout le monde. Le week-end dernier, la sœur d’Amanda, Jasmine nous a fait mettre a poil. Et elle m’a claquée les fesses avec sa brosse et j’ai eu mal aux fesses toute la soirée, et la gêne d’être nue aussi m’a marquée. Tu t’imagines se promener devant des centaines de personnes avec seulement comme vêtement cette ridicule jaquette quasi transparente. Ouverte du devant, tes nichons presque à l’air, comme a été obliger de se présenter en public Clarisse ce matin, et qui annonce à tous que tu vas être punie dans quelques heures.

Quelle humiliation !

Et elle va être montrée nue, sûre, c'est écrans géants en gros plan, comme la prof, nous là expliquer plus tôt pour que tout le monde voie bien ce qui se passe sur la scène. Moi, ça me fait peur, si c’était moi, je serais en panique. Nue ici dans le milieu de cette scène devant une centaine de personnes et plus à recevoir une fessée à mon âge. Je te le dis, Barbara, je paniquerai. Et quelque heures plus tard, en retournant à tes cours, tout le monde doit te regarder circuler dans les couloirs en riant et te matant le derrière. Ils doivent tous se demander si tu es capable de poser tes fesses sur ta chaise.

La professeure de Vicky et Barbara les informes que sur tous les tableaux électroniques de l’institut le nom des condamnés le déroulement de leur punition l'huere la sorte de punition va être indiquer. Cela veut dire que nombre de coups, l’instrument qui sera utilisé, la tenue de la punie aussi. Sur tous les tableaux de l’institut. Comme elle Clarisse, c'est nu qui sera écrit, et l’heure que la sentence sera indiquer pour que tous les gens soient informé. 

 

Il c’est dérouler 5 autres procès qui ont duré environs 10 minutes chaque, durant la matinée.

Une fille de deuxième année a été condamner à recevoir 15 coups de tawse. Attaché sur le chevalet et nue elle aussi.

Deux autres filles de troisième à 10 coups de canne penché, jaquette relevé, fesses à l’air.

Et deux autres filles de deuxième à dix coups, elles aussi, mais à la salle à manger, debout devant les gens, mais sur la jaquette sans être obligée de se dénuder. La prof dit que c’est assez fréquent, tout dépend de la graviter des actes reprocher, et le nombre de fois qu'elles ont comparus ici devant le comité. Mais c’est humiliant pareil même si elles s’évitent la nudité public. Recevoir une fessée en public a 20 ans et plus ce n'est pas du tout plaisant.


La matinée à passer assez vite et c’est maintenant l’heure du Déjeuner. Déjà 11 h 30, la prof de Vicky et Barbara leur indique qu’elle ira les rejoindre à la table dans la salle tout près du centre ou elle et ses étudiantes ont l’habitude de s’installer pour manger. Amanda rejoint ses deux amies et elles commencent toutes à manger avec les autres.

Amanda demande à Barbara pourquoi il y a des filles qui sont vêtue que d’une jaquette blanche et qui en cache si peu. C’est la première journée qu’il y a des étudiantes habillées bizarrement comme ça. Sont-elles malade? Elles sortent de l’infirmerie ou quoi ? personne ce matin ne m'a répondu quand je leur ai demandé


Barbara --

Non Amanda, c'est filles recevrons une punition cet après-midi, regarde le tableau à ta droite.

Les deux premiers noms.
Nancy L
et Sally R
Elles ont toutes les deux été condamnées à recevoir dix coups de palette de bois ici dans cette salle a 12 h 10 ici au centre de la salle. C'est la première fois que je vais voire quelqu'un recevoir une fessée devant moi. Mis à part ta foutue sœur de l'autre semaine qui nous a tous chauffé les fesses. Mais je n'avais pas pu vous regarder vous faire chauffer les fesses moi-même, je me fessais chauffer les fesses.


Ce sont les deux filles qui sont assises à la table dos nous en jaquette. C’est le vêtement que doivent porter les accusées ici, contrairement à St Thomas ou les étudiants sont souvent exposés nus dans les corridors et a la salle à manger. Ici, c'est à l’amphithéâtre à tous les jeudis que se déroule les plus dures punitions.

J’ai mon après-midi libre dit Amanda, mon prochain cours n’est que demain matin alors si je comprends bien ce qui est écrit sur le tableau, je peux aller assister à ça moi aussi.
Oui, vient, c'est permis, c'est ouvert à tout le monde d’ici, leur disent ses amies.
Il y a deux filles habillées en uniforme de sécurité qui approche des deux filles derrière Amanda.
Nancy L. levez-vous, dit une des deux agentes.
Sally R. debout vous aussi.
Suivez-nous toutes les deux, nous devons vous faire prendre position pour votre punition.
La prof de Vicky rappelle aux filles que ce qu’elles ont entendues ce matin au tribunal s’applique présentement. À la sortie du repas, les punis pourront récupérer leur vêtement et se débarrasser de ces jaquettes-là, et remettent leurs chaussures. Mais juste quand la période du repas sera terminer, pas avant.

Vicky

Pourquoi les six filles qui sont punies sont obligées d’être pied nu ? Ce n’est pas nécessaire qu’elles soient pieds nus. Les planchers doivent être froids, et ce n’est pas confortable. Demande Vicky a sa prof.

La Prof

C’est dans les règlements Vicky çà fait des années. Quand un accusé est convoquer et doit se présenté au Bureau des accusées ou plutôt le bureau de la sécurité qu’on s’en va visiter à l’instant. Il y a automatiquement un dossier en discipline qui se rouvre pour sa comparution. La première chose qu’ils font ensuite, c'est de lui faire enlever son uniforme de l’institut et tout le reste de ses vêtements pour la douche, employé ou étudiant pas de différence. Les effets personnels sont rangés dans des casiers sous clef. Ensuite, c'est la douche et après, c'est la fameuse jaquette qui lui est remise. Aucun sous-vêtement, aucune chaussures ou bas, rien que la jaquette pour ne pas que la personne ne soit nu pour passer la nuit en cellule, c'est tout. le jour seul les employées peuvent remettre leur chaussure pour travaillé, question de sécurité. Les étudiants c'est pieds nus.


Et rappeler vous que ces filles-là n’ont rien sous la jaquette, donc chaque coup reçu est presque direct sur les fesses, pas de jupe ou de culotte, rien que le mince morceau de tissu qui cache les fesses. C’est toujours mieux que nue, mais les fesses te chauffe et rougisses autant que si les coups seraient donnés sur la peau directe. Je l’ai déjà essayé. Les dirigent ici oblige le personnel à faire l’essai d’une des punitions qui se donne ici. Et on n’a pas le choix, il faut en faire le teste, c’est dix coups minimum. Les fesses te font mal longtemps, je m’en souviens encore très bien même si sa date de pas mal, tu n’oublies jamais.


Les gens dans la salle regardent tous ci qui se passe au centre ce midi. Les deux filles sont installées une à côté de l’autre main sur leur tête et attendent. Plusieurs s’approchent avec leur mobile pour prendre les punis en photo. On se fait dire qu’ici, c'est permis de prendre des photos des punis, car les punis ne sont pas nus, ça s’ajoute à l’humiliation de la punition d’être prises en photo.

Une prof se présente avec deux autres femmes. C’est deux femmes qui s’installent de chaque côté des punis sont celles qui vont administrer la punition, dit la prof de Vicky et Barbara. Elle leur dit qu’il n’y a qu’une dizaine de personnes qui ont le droit d’administrer les punitions ici.

La femme commence à lire la sentence à haute voix.

Mlle Nancy L. recevra dix coups de pagaie ce midi dans cette salle comme punition. Si la punie bouge quitte sa position pour essayer d’éviter les coups ou se protéger le coup ne conte pas il en aura un de plus d’administrer.

Mlle Sally R. elle aussi recevra dix coups de pagaie ce midi ici, et elle répète même chose pour le reste. Après sa lecture faite elle donne l’ordre aux bourreaux de commencer.


Il n’y a plus un bruit dans la salle, tout le monde reste silencieux. Plus le temps passe et plus, il y a de voyeur qui s’approche pour prendre des photos de la punition que vont recevoir les deux filles. Tout le monde regarde ces deux belles grandes filles debout, les deux mains sur leur tête et qui ont quelques larmes qui coulent sur leurs joues au centre d’une salle pleine à craquer, humilier d’être prise ainsi en photo. Elles ne sont vêtues que d’une ridicule jaquette blanche et pied nus comme les quatre autres punies qui sont dans la salle présentement ce midi, et rester assise sur leur chaise, c’est la règle parait-il.

Les bourreaux se synchronisent et frappe en même temps les fesses des deux filles. On entend un très fort bruit qui résonne dans la salle qui était très silencieuse. C’est le bruit qu’ont fait les pagaies qui se sont abattues sur les fesses des deux filles en même temps. Un deuxième et ça continue. Les deux filles ne bougent pas trop, elles savent très bien ce qui les attend si elles bougent. Elles retiennent leurs cris, mais elles grimacent à chaque coup et à l’occasion une au, l’autre n'en peut plus et lâche un cri de douleur.

Au dernier coup donner, la prof qui comptait les coups donne la permission aux filles d’enlever leurs mains de sûr leur tête. Le deux filles en pleur se frottent les fesses à deux mains. Même s'il y a des centaines de personnes qui les regardent et plusieurs continues a posé les punis, elles n’y font pas attention et se frottent vigoureusement les fesses. Quelques instants plus tard, elles se font reconduire à leur place qu’elles avaient pour le repas. Tout le monde s’amuse à regarder leurs réactions en essayent de poser leurs fesses sur leur chaise. Même leurs camarades qui sont à leur table les regardent essayer de s’asseoir. C’est pénible, mais elles n’ont pas les choix, c'est debout à la vue de tous ou assises à endurer leur mal moins à la vue.

Venez tous avec moi, demande la prof. Je vous fais visiter le fameux bureau des accusés, ou plutôt le bureau de la sécurité et discipline, le vrai nom, avant que tous les étudiants sortent. Et toi aussi Amanda, si tu le désires, suis nous.


Vicky--

Dans le couloir qui mène à l’entrée principale de l’amphithéâtre et les gymnases, nous suivons les deux femmes qui ont administré la punition. Elles ont encore en mains les pagaies et parlent avec notre professeur. Je peux entendre quelques bouts de la conversation. Une des deux dit qu’elle adore ça claquer des fesses, ça l’amuse. L’autre, elle dit quand ont puni à la salle à manger, je suis toujours surprise par le nombre de photos que les gens aime prendre de filles qui se font claquer les fesses. C’est la même chose à chaque fois, et cela me surprend à chaque fois comment les autres aime ça, regarder et surtout immortaliser ça une fille qui reçoit une fessée. Garder un souvenir de leurs camarades qui se fait chauffer les fesses.

On s’arrête a une porte bien avant l’entrée centrale pour le public. C’est marqué entrée des artistes et du bureau de la sécurité. Ma prof fait entrer tout le groupe. À droite la porte est pour les artistes, accès aux loges et technicien, on peut y lire, les quelques fois qu’il y a des spectacles nous dit la prof, c'est là que vont les artistes. Au fond, à quelques mètres, c'est le fameux bureau. Tout au long des murs, il y a des grandes affiches.

Il est inscrit sur le mur du fond

Les personnes qui franchissent cette porte son obligé de laisser leur sac à main ou tout autre objet personnel au responsable qui les rangera sous clef. La fouille corporelle est obligatoire.

À l’intérieur de ces murs, il est strictement interdit de posséder un appareil photo ou mobile ou autre appareille électronique.

Sous ses linges est détaillé les conséquences.

----Dans l’article 12, 05 de la liste des règlements, il est prévu qu’une punition corporelle d’un minimum de 30 coups, a toutes personnes qui ne respecteront cet article et utiliserons tout appareil qui peut servir à prendre des photo ou vidéo.

Une autre affiche, il est écrit

Il est obligatoire à toutes personnes qui est convoquée ici d’avoir sa lettre de convocation en main, qui contient un numéro de dossier à ouvrir.

Toute personne qui est convoquée à ce bureau doit déposer ça lettre dans l’espace prévue avant de sonner et d'attendre qu'un responsable vienne vous ouvrir.

Une des deux femmes qui nous accompagnent nous dit avant d’ouvrir la porte toutes celles qui refusent de passer par la fouille corporelle ne rentre pas. Ce refus comptera pour une absence à son dossier et qu'elle sorte d’ici. C’est obligatoire, celles qui ne veulent pas faites demi-tour et sortez à l’autre bout. Aucune d’entre nous ne recule, mais une fille demande si on se déshabille pour la fouille.

Ce n’est toujours pas à nu la fouille ? Sinon je ressors Demande Jessie.

Non les files. Pour celles qui s’inquiètent et semble vouloir paniquer. Ce n'est pas pour vous la fouille à nu pour vous tous ici. C'est juste pour les convoquées ou accusées et condamner qui sont mis à nu et fouillée ainsi, pas nous rassurez-vous, vous n’aurez pas à montrer vos fesses, mais seulement, vous les faire palper.

Moi qui suis dans les premières de la file, on me fait signe de rentrer avec trois autres, Barbara, Amanda et Katia. À l’intérieur, il y a quatre femmes qui nous attendent pour là fouille.

Une des responsables qui fait la fouille et s’occupe de me fouiller, me demande d’écarté les jambes et de relever les bras à la hauteur des épaules, étendus de chaque côté et de rester immobile. Elle se penche et commence par mes chevilles et remonte mes jambes jusqu’au haut de mes cuisses sous ma courte jupe que l’on porte tous ici. Elle fait le tour de mes cuisses et le début de mes hanches sous ma jupe. Ce n'est pas trop plaisant, je n’ai jamais subi de fouille corporelle et je déteste. La femme revient entre mes jambes et met carrément sa main sur ma chatte. Je sens ses doigts entrés entre mes lèvres même si ma culotte protège, elle insiste et pousse ses doigts dans ma fente. C’est très désagréable et je ressers les cuisses en reculant un peu.

Du calme, me dit elle, reste immobile, je ne te fais pas mal, je te caresse la chatte.

Elle monte ensuite ses mains en relevant ma jupe pour atteindre mon ventre et empoigne mes seins, les palpes. Sans gêne et aucun avertissement, elle entrouvre l’encolure de mon chemisier en détachant le premier bouton pour regarder à l’intérieur. Je suis humiliée une parfaite étrangère qui me taponne, me joue dans mes parties intimes, je déteste ça. Elle passe ensuite derrière moi. Elle redescend sa main dans mon dos, tire sur l’attache de mon soutien et le laisse revenir dans mon dos, ça m'a fait un pincement. Encore une fois, elle remet sa main sous ma jupe sur mes fesses. Mais cette fois, elle rentre sa main profondément entre mes fesses, cela fait rentrer ma culotte dans ma fente, ça m’a surprise et fait mal, j’ai poussé un petit cri de douleur. Sa main redescend entre mes cuisses et retouche à ma chatte, je lui dis que ça me fessait mal. La femme me regarde et rie. Il y a pire que cela dans la vie ma belle, réplique-t-elle. Ses doigts toujours dans ma fente. Elle prend le tissu de coton de ma culotte entre ses doigts et tire par en bas pour le sortir de ma fente et replace ma culotte pour qu’elle sorte de mon entre fesses et ma fente. Tien ma belle fille, j'ai tout remis en place.

Tu vois ce n’est pas plus long que ça se faire fouiller les parties. Avance maintenant avec les autres et elle me donne une petite claque sur mes fesses.

Ma prof qui était déjà passé avant moi a la fouille nous attendent au centre près des cellules. Ils y en a déjà plusieurs qui sont passées à la fouille. Une douzaine de filles sur 22 que nous sommes dans le groupe.

À part les cinq femmes qui sont à la fouille, il y a deux employées qui font le ménage du local. Elles aussi, nous dit la prof, qu’elles doivent subir une fouille à chaque fois qu’elles entrent ici. 

 

On regarde tous les deux filles de ce midi rentrée celle qui ont reçu une punition à la salle a mangé.

Une des responsables les sépare de notre groupe. Vous venez chercher vos vêtements les filles ? Leur demande t-elles. Votre punition est terminée, donnez-moi, vos jaquettes ou déposer là dans le panier en face de vous deux s’il vous plaît.

Ici devant tout le monde ? On ne peut pas ramasser nos vêtements et allez dans l’autre pièce ? Demande Sally, l’une des deux punies. Non, répond la responsable, l’autre pièce, c'est un bureau privé. Vous enlevez vos jaquettes ici même et sa presse, allez, j'ai de l’ouvrage, vous ne voyez pas que c’est plein et j’attends d’autres punies, allez bouger. Les filles se retournent dos à nous et font passer leur Jaquette pardessus leur tête et les envoie dans le panier. On regarde tous les deux filles nues. Des petites marques rouges paraissent encore sur leurs fesses. La responsable leur fait signe de la suivre. Sally et Nancy suivent la responsable et sont obligées de traverser la pièce devant nous tout en se cachant du mieux qu’elles peuvent. Bon, lavez-vous les pieds dans les douches, il y a un savon ici, partagez-le. À marcher pieds nus dans l’édifice, vos pieds doivent être très sale. Prenez les robinets du bas au mur, c'est pour cela qu’ils sont installés si bas et venez me rejoindre aux casiers quand vous serez prête.

Je regarde Clarisse et Danielle qui arrivent elles aussi. Sur le tableau elles sont toujours indiquées pour 13 h 30 et Clarisse elle c’est la suivante, mais devancer, l’heure à changer quelque peu.

Une autre des responsables dit à Clarisse et Danielle vos jaquettes dans le panier a votre droite. Chacune de vous deux, c'est nu qu’on doit vous punir, donc les jaquettes sont de trop, enlevez là ici et assoyez-vous sur le banc à votre gauche, on s’occupe de vous.

Nous on commence à faire un tour du local pendant que les punis se mettent à nues. Deux petits écrans montrent des images de l’estrade. Une caméra est installée au fond de l’estrade, en film vers l’avant, on aperçoit en gros plan un chevalet qui est installé au centre. Je m’imagine que la fille qui sera installer dessus sera filmé en gros plan la chatte bien exposée. On aperçoit aussi des gens déjà installés dans l’amphithéâtre et d’autre à l’entrée qui passe à la fouille corporelle pour avoir accès à l’intérieur eux aussi. Les sièges du parterre sont presque remplis, c’est surprenant tous, c'est curieux qui veulent regarder l’une de leur camarade recevoir une fessée. Je ne savais pas que cela attirait tant de monde que ça les punitions corporelles qui se donnent ici. La deuxième caméra est au début de l’estrade et film vers le fond et on voit aussi le chevalet d’un autre angle.

Deux autres entre les dernières sur la liste Kali et Tania. L’une des responsables dit Mlle Kali B. et Tania d. vous deux, c'est seulement fesses à l'air que vous recevrez vos punitions. Une autre des agentes arrive avec des genres d’épingles. L’agente de sécurité roule le bord de la jaquette. En partant par le bas en montant égale tout au tour de là taille de Kali jusqu’à son nombril et attache le tissu en avant et en arrière, elle fait la même chose à l’autre Tania. Kali et Tania sont donc nues de la taille aux pieds, fesses et chatte a l’air. Vous êtes prête maintenant, leur dit la femme. Assoyez-vous à côté des deux autres Mlles, je vous reviens Nancy et Sally, elles ont fini de se rhabillées et une des responsables leur donne à chacune une carte. Les filles, leur demande-t-elle. En sortant d’ici, vous avez 15 minutes pour monter chercher vos livres et vous rendre à votre salle de cours. Votre professeur va n’envoyer l’heure de votre arrivée en salle. Si vous prenez plus de temps pour vous rendre, il y a des chances que vous soyez reconvoquée au bureau ici la semaine prochaine. J’ai l’impression que vous n’avez pas aimées votre séjour ici alors à vous de s’organiser pour ne pas revenir.


On nous demande tous de sortir par la porte qui mène à l’intérieur  de  l'amphithéâtre pour prendre place et assister aux punitions de cette après-midi.


À suivre peut-être ?

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