lundi 19 décembre 2022

Trois ados immatures et harceleuses se font humilier. Le lendemain au lycée

Le lendemain a la salle de réunion du lycée

M. le directeur se présente avec ses adjoints à la direction.

M. et Mme Michel, vous êtes ici avec votre fille Gabrielle qui est accusée d’avoir entré des substances illégales dans l’établissement. Tout comme vous deux M et Mme Jonças, votre fille Bianca, elle aussi, est complice. Mme Renier, Marie-Line elle aussi, à participer à cette histoire de drogue dissimulée dans de la nourriture. Et le harcèlement que font ses trois fille-là à un prof et une étudiante. Cela leur mérite déjà une suspension.

M. Jonças, vous m’avez écrit hier soir sur mon courriel pour me suggérer de ne pas renvoyer votre fille et proposé autre chose. C’est pour cela que mes adjoints sont ici et on a étudié votre proposition. Les deux autres familles, je suppose que vous êtes du même avis que M. Jonças pour la proposition de punir vos filles publiquement en replacement du renvoi, et pour le reste de la semaine aussi. C’est de punition corporelle qu'on parle. Une fessée en public pour ces trois ados que vous nous proposez et nue, on s’entend bien. Et de les humilier publiquement aussi.

 
Oui M. répond la mère de Marie-Line, c’est cela qu’on vous propose tous de ne pas renvoyer nos filles, mais d'être très sévère envers elles. Les punir publiquement comme dans le passé. Quand j’avais son âge, j'en ai reçu couramment des punitions corporelles. Ces méthodes-là dans nos écoles s'utilisaient et c'était efficace. Si on n’était pas gentil et poli à cette époque, on était cul nu en public, les fesses marquées par la ceinture en public. personnellement, je me suis fait rougir les fesses très souvent par mes parents et mes profs et en public, cela me calmait et me rappelait à l'ordre. Pour moi ça me convient. Ça va faire réfléchir ma fille de se faire punir publiquement et humilier, son harcèlement qu’elle faisait lui coûtera très cher, et ce sera une vengeance pour la victime de voir sa harceleuse être humiliée à son tour. Moi aussi je vous demande d’adhérer à notre demande, M. réplique, le père de Gabrielle. Les trois familles, on en a discuté hier et c’est notre choix. Et j’espère que ce sera accepté de votre part… Des filles de cet âge ne peuvent pas quitter l’école et traîner dans les rues.

    Les trois filles étaient restées à l’extérieur de la salle. Le directeur demande à ce qu’elles entre.

    Prenez une chaise mesdemoiselles, dit le directeur en leur montrant trois chaises installé spécialement pour elles au centre de la pièce.

    Le directeur remarque que les trois filles, on peine à s'asseoir sur les chaises, même que Gabrielle a grimacé et le directeur passe une remarque sur la manière qu’elle s’assoie.

   Hier soir M. j’ai donné a ma fille une bonne correction fesses a l’air avec ma ceinture réplique Jean-Luc le père de Gabrielle, c’est pour ça qu’elle a le derrière encore pas mal endolori.

    Bon, je vois, mais ici, c'est extrêmement rare qu’on a puni un étudiant en public. Cela arrive quelques fois par an. Ici dans ce lycée public dans de très grave cas ont puni des étudiants par une punition corporelle. Mais en privé dans la salle des profs ou ici dans mon bureau, et sur le vêtement pas cul nu ou entièremnet nu. Mais jamais devant les autres étudiants comme vous nous demandez de le faire avec vos filles. 

  Un lycée comme l’institut St-Thomas qui est l’unique lycée pour fille au pays à être mandaté par l’état pour ça la punition corporelle. Eux se le permettent avec l'accord de l'état. De nos jours, c'est plus envisageable, mais faisable pour de rare exception. Nos experts nous donne le droit de procéder à notre guise, c'est légal de punir des étudiants. St-Thomas, eux, utilisent ces méthode-là depuis des années, et ils ont un très bon succès, il faut bien l'avouer. Je connais le directeur, c'est un bon ami. 

   Mais je pense que l’idée est très bonne, et selon les lois dans le pays, il est toujours possible d’utiliser cette méthode de punition corporelle, et public à l’occasion, sans en abuser. Cela sera une première pour ici, et un bon exemple. Ce midi, durant le déjeuner au préau. Je vais les punir devant la salle toutes les trois. Vous pouvez Mrs. Dames vous fier à nous. Je vous promets que vos filles ne seront pas renvoyer. Signez-moi cette permission pour les punir selon vos demandes et on s’occupe du reste.

    Les filles protestent, vous ne pouvez pas nous faire ça M. on n’est plus des enfants pour nous claquer les fesses. Moi, j'ai presque quinze-ans bientôt et c’est gênant de recevoir une fessée à mon âge, lui réplique Gabrielle.

    Vous n’avez pas le choix Mlles, vous auriez dû y réfléchir avant de faire vos bêtises, maintenant, il est trop tard. À partir de à présent, vous êtes en retenue pour le reste de la semaine. La réunion est terminée Mrs. Dames. Je vous redonne des nouvelles de notre entretien plus tard. Tout le monde repart satisfait de la décision prise par la direction.

    Le directeur demande a son responsable de la sécurité d’aller chercher les deux personnes qui lui a demandé. À sa secrétaire aussi, il lui demande de faire venir Valérie. Il amène ensuite les trois filles dans son bureau.

Entré tous les quatre dans le bureau, le directeur est direct avec les filles.

    Votre punition commence ici. Premièrement, je vous demande à vous deux de me donner vos vestes et toi ton jacket Gabrielle. Les filles obéissent et enlèvent leur vêtement comme demandé. Vos parents m'ont donné carte blanche pour vous punir sévèrement. Je vous confisque vos vêtements Jeans, pull, t-shirt, legging, enlevez-moi ça, c'est confisquer pour la journée. Pour l’instant, vous êtes chanceuses, je ne vous confisque pas vos sous-vêtements.

Mais M. on ne va pas à nos cours ? Vous avez dit à mon père qu’on n'était pas suspendu, mais en punition. Demande Bianca.

    C’est justement ce que je fais, c'est le début de votre punition, vous irez à vos cours, ne paniquez pas. Allez bouger pour ne pas être en retard à vos cours. Le directeur s’approche de Bianca et lui donne deux claques sur les fesses pour qu’elle enlève son jeans et son t-shirt.cela lui fait très mal, elle a les fesses encore endolories de sa punition reçu par son père hier soir et les claques qu'elle vient de recevoir lui ont pas plus.

OK M. j’enlève mon jeans, mais ne me frappé plus.

    Marie-Line et Gabrielle sont déjà en sous-vêtements et Bianca a baissé son jeans à ses chevilles et retire ses chaussures.

    Bon c’est ce que vous vouliez nous humilier, vous rincer l’œil, vous avez réussi, maintenant regardez nous après on se rhabille rèplique Bianca.

    Oh non ma belle ! Tu n’as très mal compris, répond le directeur à Bianca. Vous n’avez plus besoin de vos vêtements pour le reste de la journée. Il prend Bianca par la nuque et la pousse vers son bureau. Lâchez-moi, vous me faites mal, ça me fait mal au coup.

    Et à présent penche-toi, pose tes mains sur le coin de mon bureau et ne bouge plus, c’est un ordre. Bianca porte un string et un soutien noir. C’est parfait que tu aies choisi de mettre un string ce matin. Je pourrais voir tes fesses changer de couleur, elles ont pas mal blanchies depuis que ton père te les aient rougis hier soir. Le directeur fait le tour de la taille de Bianca avec son bras gauche et la serre très fort sur lui. En même temps, il commence à lui claquer les fesses.


Il lui claque les fesses avec force. Bianca essaie de l’arrêter ou de se séparer de l’emprise du directeur, mais n’est pas capable de bouger. Le directeur est trop fort pour elle, elle est obligée d’endurer la rafale de claques qui s’ablatent sur ses fesses. Ses deux amies regardent le directeur claquer les fesses de Bianca et en grimacent de peur. Soudain la porte du bureau ouvre. C’est le chef de la sécurité qui entre avec deux gars. Les étudiantes regardent la fille qui se fait chauffer les fesses, ils s'aperçoivent que c'est Bianca à moitié nue. Ils ont l’air d’aimer ce qu’ils voient devant eux.

    Une belle fille brune qui connaisse bien, en string et soutien-gorge qui a les fesses bien rouges, et dans l’autre coin deux autres connaissances et en sous-vêtements elles aussi. ce sont deux étudiants du même niveau que Bianca qui sont entrés. Le directeur arrête, C’est justement vous deux que j’attendais. Je vous ai demandé de venir ici pour me dire la vérité sur ce que vous avez vu l’autre semaine dans le local de repos des employés au deuxième étage.

    Le plus petit des deux commence. M. le directeur, moi et mon ami, on circulait dans le couloir tout près du local quand deux filles en sont sorties et ont refermé la porte. Elle tenait une bonne quantité de feuille dans leurs mains. Laquelle de ces filles as-tu vue ? Demande le dirlo. Celle que vous venez de punir, M. Bianca, s'est-elle qui tenait des feuilles dans ses mains, et elle m’a dit de me taire que je n’avais rien vu. Les deux sont repartis dans l’escalier en descendant très rapidement.

Et l’autre fille est-elle ici ? Redemande le directeur.

Oui M. répond l’autre gars. C’est Gabrielle, celle au mur à moitié nue, M…

    Merci les gars, retournez vers vos classes. J’ai ma réponse, la secrétaire entre au même moment avec une étudiante. Elles aussi regarde les filles à moitié nues dans le bureau et sont aussi surprises que les gars de trouvé trois filles aussi peu vêtues dans son bureau.

    Le directeur replace Bianca au mur et oblige les deux autres à se repositionner bien droite et les bras croisés dans leur dos. Elles s’étaient toutes deux accroupies, les bras croisés autour de leur corps pour se cacher des trois gars qui étaient entrés dans le bureau.

    Vous Mlle, je vous demande de me confirmer si c’est bien ces filles-là qui vous harcèle et vous rend la vie si compliquée.

Oui, répond-elle sans hésiter, c’est bien elles M.

    Depuis une semaine qu’elle me menace de me faire du mal si je ne dénonce pas    mon oncle. Elles veulent que je porte plainte contre mon prof de Math qui est mon oncle aussi. Que je l’accuse d’être un pédophile, un abuseur. Il ne m’a rein fait mon oncle, elles l'ont vue me faire une accolade dans sa salle de cours pendant la pause il y a 8 jours environs. On n'était que tous les deux, mon oncle et moi, et mon oncle me félicitait pour mon succès dans le club de basket du lycée.

    Et la semaine dernière mon oncle me tenait pas une épaule en me raccompagnant à la sortie de l’école.

    Le directeur demande aux trois filles si elles s'avaient que Valérie était la nièce de leur prof de math M. V . Euh non M.! Elle ment, c'est sûr. Un oncle n’embrasse pas sa nièce sur la bouche, M. réplique Bianca.

 

Elle ne vous a pas dit qu’il l’embrassait en la baisant comme des amoureux, mais qu’il lui avait fait une accolade. L’embrassade, un baiser d'amitié, peut être aussi bien bouche-à-bouche ou sur une joue sans être tragique, dois-je refaire votre éducation, quel âge as-tu pour répondre des niaiseries pareilles Bianca ? Vous trois je vous promets que votre semaine sera pénible, préparez-vous.

Très bien Mlle, retournez à vos cours et merci pour votre éclaircissement.

Le directeur sort une affiche de son tiroir. C’est pour cela que vous avez fabriqué ces affiches-là et en avez collées sur les murs, pour une accolade. Il est écrit, si je lis bien, dénoncer le pédophile qu’est M. Vincent. Il n’a plus le droit de travailler ici dans notre école, etc.
 
C’est de fausse rumeur qui entache la vie professionnelle et privée de M. Vincent. Et vous allez lui faire des excuses les filles. Et il y a l’histoire des galettes illégale aussi. C’est aussi grave que de partir de fausse rumeur. Le directeur ramasse les vêtements confisqués et les donne à sa secrétaire pour qu’elle les dépose dans une des armoires au secrétariat. Maintenant, vous trois remettez vos chaussures, ont et suivez-moi, on monte dans la salle de cours de M. Vincent. la secrétaire sort de la salle avec les vêtements. Mais Mme, redonnez-moi mes vêtements si on retourne dans notre salle. Non Mlle je vous ai dit de me suivre et c’est dans cette tenue que vous venez, le directeur claques les fesses de Bianca pour qu’elle avance plus vite, et en fait de même avec les deux autres. Les trois filles sont sorties du bureau et le directeur les suit en les menaçant de leur claquer les fesses pour qu’elle aille plus vite. Dans le couloir, c'est plein d’étudiants qui, eux aussi, se rendent à leur salle. Ils remarquent presque tous les trois filles qui circulent en sous-vêtements autour d’eux et une qui ne porte qu'un léger string en plus. Elles se sentent observer comme des bêtes de scène. C'est un événement très spécial dans cette école que des filles circulent aussi peu vêtues. M. le dirlo les dirigent à l’escalier pour montée au deuxième, elles espéraient que le directeur prenne l'assesseur réserver aux personnels, mais le directeur aime mieux les garder dans la circulation, c'est plus humiliant. Dans l'escalier, c'est aussi achalandé que dans le couloir sauf que c’est beaucoup plus étroit et les filles sentent qu’il y a des mains qui leur poigne les fesses, le directeur derrière elles s’en rend compte et ferme les yeux.

Approchant du local encore dans le couloir, M. Vincent, leur prof regarde ses trois étudiantes qui doivent assister à son cours à la deuxième période, arrivées avec le directeur. Pourquoi sont-elles ici et si peu vêtues ? Demande le prof. Tous les étudiants qui entraient dans la salle arrêtent de parler et regardent les filles qui ne sont pas de leur groupe, et se demandent tous pourquoi des filles presque à poil entrent dans leur salle. Continuez d'entrer, prenez tous vos places, demande le directeur. Il fait entrer les filles et les garde avec lui en avant de la classe.
Le Directeur explique à M. Vincent tout ce qu’il doit savoir pour l’histoire des rumeurs et des affiches. M. Vincent, dit le directeur, ces trois fille-là passerons toute la matinée ici avec vous, même si présentement, elles ne sont pas dans leur groupe, elles restent avec vous. Je vous promets qu'elles vont être punies très sévèrement ce midi, M. rajoute le dirlo. Le directeur rajoute avant que quitter, si elles n’obéissent pas ne vous gêner pas, une bonne fessée devant tous ici les tranquillisera. Vous me les retournées 30 minutes avant la fin de votre dernier cours, et le directeur retourne à son bureau. M. V le prof demande aux trois filles de se placer debout face à la classe. M. V prend sa règle de bois qui est sur son bureau. Il s'adresse aux filles. C’est vous trois les auteurs de ces affiches. En s’approchant de Gabrielle, il lui donne un coup sur les fesses avec ça règle. Cela en a fait rire plusieurs dans la salle, un des étudiants suggère à son prof. Une bonne fessée nue M. c’est ce qu’elles mériteraient toutes M. Le prof se retourne, vous aimeriez tous cela surtout vous les gars, mais gardez vos fantasmes pour vous, patienter ce midi, vous serez sûrement satisfait. Pour l’instant, elles sont tranquilles. Si ça devient nécessaire, on passera a un autre étape, mais pour l’instant, je commence mon cours. Les filles à genoux si vous ne voulez pas que je fasse ce que beaucoup souhaiteraient voir. Gabrielle, Bianca et Marie-Line obéissent et s’agenouillent sur la petite estrade devant tout le monde. Je vois Mlles que vous tenez à garder les quelques vêtements qu’ils vous reste, c’est beaucoup plus sage d’obéir, la majorité dans la salle sont déçus que le prof n’aille pas plus loin et les garde habillé ou plutôt à moitié habillé.


Elles ont passé toute la durée du cours à genoux. À la pause, le prof leur donne la permission de se relever. Sortez dans le couloir pour vous dégourdir Mlles attendez dans le couloir que je vous dise quand entrée, les filles n’ont pas trop d’autre option. La menace de perdre ce qui leur reste de vêtements leur reste en mémoire. Pour aller aux toilettes, elles n’ont pas les choix que de circuler à moitiés nues entre plein d’autres étudiants. Elles détestent le comportement de plusieurs. Les commentaires sur la couleur de leur fesses ssurtout Bianca, et les attouchements, les claques surs les fesses que plusieurs s’amuse leur faire les humilient. Il y a un gars qui est allé jusqu'à baisser la culotte de Marie-Line et lui claquer les fesses nues. Plusieurs de leurs amies questionnent les trois filles sur leur tenue inhabituelle dans le lycée. Le deuxième cours, c'est leur groupe. M. V. les gardent en avant avec lui. Il explique encore une fois aux nouveaux qui viennent d’arriver les raisons de leu tenues, pourquoi elles sont si peu vêtues et les explications fines, il retourne les trois filles à leur place habituelle pour assister au cours. Le dernier cours aussi se déroule un peu comme le premier. À genoux devant la classe. Trente minutes avant la fin, M. V. renvoi Bianca, Marie-Line et Gabrielle au bureau du directeur comme prévu. La secrétaire les attendait au bas de l’escalier. Les filles, j'ai l’ordre de vous conduire à la salle à manger, suivez-moi. Pourquoi la grande salle Mme ?. À moitié nue, c'est ridicule. On passe à votre bureau pour se rhabiller avant de s’y rendre, demande Marie-Line. Non, vous n’avez pas le choix de me suivre sans discuter, c’est un ordre, si vous ne me suivrez pas, je demande à la sécurité de vous escorter jusqu'à la salle.
À l’heure qu’il est dans la salle, il n’y a que les cuisiniers et le personnel qui travaille dans la cuisine pour préparer le déjeuner. Le personnel en place regarde tous les trois filles qui entre vêtue que de sous-vêtements. C’est la première fois qu’ils voient cela. Ce n’est pas coutume de voir de si jolies étudiantes à moitié nue circuler dans l’édifice.
 
 Les trois filles se dirigent avec la secrétaire au comptoir pour prendre leur cabaret. Suivez-moi les filles, la secrétaire leur dit. Ce midi, vous avez une table réservée spécialement pour vous trois, sur l’estrade avec la direction et les profs. En montant sur l'estrade, les filles pose leur cabaret sur la table qui leur est réservée. Le responsable de la discipline vient leur parler. Avant de vous installer, les filles, vous me donnez vos chaussures et vos bas. C’est pied nu sur l’estrade que le directeur à ordonner que vous soyez pour manger. 
Mais pourquoi c’est aussi ridicule que de nous obliger à être vêtu ainsi devant tout le monde, réplique Marie-Line. Bianca se penche et enlève ses chaussures et ses bas et les donne au responsable, Marie-Line et Gabrielle font de même. C’est très bien que vous obéissiez. Cela vous évite de nouveaux problèmes. Assoyez-vous et manger. Le directeur sera bientôt ici avec nous pour la suite Mlles. Le responsable retourne à sa table en plaçant les chaussures confisquées sous sa table. Les filles essaient de manger, mais n’ont pas trop d’appétit. Bianca regarde davantage autour de l’estrade où elle est assise. Elle fait remarquer aux deux autres que le personnel d’entretien du lycée commence à entrer et ça devient de plus en plus gênant. Le directeur qui est au comptoir pour ramasser son cabaret regarde en direction de l’estrade. Quelque instant plus tard le directeur arrive sur l’estrade près des filles, il pose son cabaret sur la table. Je vois Mlles que vous avez terminé, suivez-moi maintenant, dépèchez-vous qu'on commence pendant qu'il est tôt avant qu'il y ait trop de circulation ici. Gabrielle se lève la première et les deux autres font de même. Pour aller où cette fois-ci M. ? C’est ridicule, la salle est sur le point de se remplir ou voulez-vous qu’on n'aille pas plus habiller que ça. À quelques pas de leur table, le directeur leur ordonne d’enlever leurs sous-vêtements et de lui donner.

   Quoi, vous êtes devenu cinglé ! M... Jamais je vais m’abaisser à me mettre à poil devant vous dans cette salle, lui dit Gabrielle. Très bien, mais tu vas le regretter. Le directeur retourne Gabrielle en le tenant par un bras, et commence à lui claquer les fesses. C’est ce que l’on va voir petite effrontée. Tant que tu ne te mets pas à poil, je te claque les fesses. Quand tu auras assez mal à tes fesses, tu finiras par me supplier d’arrêter et tu obéiras à ce que je t’ordonne de faire. Et vous deux aussi, si vous ne m’obéissez pas, vous aussi, je ne vous ménagerai pas les fesses. Regardez votre amie comment elle a mal et je ne fais que commencer. Le bruit de claques sur les fesses de Gabrielle attire l'attention de ceux qui sont dans la salle. plusieurs se rapproche de l'estrade pour regarder de plus près la fille qui se fait rougir les fesses.

   Très bien, arrêter, arrêter, cri Gabrielle, j'obéis. Le directeur arrête et lui lâche le bras. Gabrielle se frotte les fesses. Obéi où je recommence, Gabrielle lui conseille le directeur.

   Gabrielle enlève ce qui lui restait et est entièrement nue devant tout le monde, et le paquet de curieux qui sont autour de l'estrade. Elle donne au directeur ses sous-vêtements. Dois-je prendre la même méthode pour vous deux Mlles ça me ferait un grand plaisir de vous chauffer les fesses à votre tour. Non M. et en quelques instants, Bianca et Marie-Line elles aussi se retrouvent nue. 

 

Le directeur demande a son responsable de la sécurité d’indiquer à Bianca la table qui lui est réservée et de la faire installer comme prévu. À un autre de la direction d’amener Marie-Line à la table prévu pour elle. Lui le directeur s’occupe de faire descendre Gabriel dans la salle. En se dirigeant vers l'entrée ou tous les gens passe pour venir manger, le directeur traine Gabrielle par un bras et l'amène a une table réservée pour elle, sans chaise autour et directement dans l'entrée. Vient, j'ai une belle place pour toi juste ici dans la porte d'entrée. Tu seras le sujet de beaucoup conversation ce midi, ta popularité va monter en flèche.

   Il l’oblige a monté sur la table devant elle en l’aidant. C’est ta place pour les prochains 25 minutes ma belle. Reste a genoux et tu te croises les bras dans le dos tient tes coude pour garder tes fesses bien dégager. Regarde dans la salle Gabrielle, tes deux copines plus loin pendant qu'il n'y a pas beaucoup de monde elle aussi sont installer comme toi. Elles aussi sont exposée et deviendrons aussi populaire que toi. Gabrielle constate qu’effectivement elle voie Bianca au centre de la salle a genoux sur une table, et Marie-Line près de la sortie et installé elle aussi nue et a genoux sur une table. Le directeur rappelle a Gabrielle que montée sur une table comme elles le sont présentement, elles sont à la vue de tout le monde.

   Tout le monde ici qui circule et sont assis pour manger autour de toi pourront te regarder, et de tous les côté. Ne cache surtout pas tes jolies fesses avec tes mains. C’est pour ça que je t’ai faite mettre a poil sur cette table pour que tu sois vu de partout et de tout le monde dans cette salle. L’humiliation fait partie de ta punition comme vous avez fait a votre prof de math l’humilier. Je te préviens si tu change de position sur cette table sans mon accord, je double ta punition de ce midi. Pense y avant de bouger. Je reviens dans 20 minutes pour la suite de ta punition. Ce sera une fessée en public ici devant tous ces gens pour la prochaine étape. Et Gabrielle tu n’as pas finie de nous montrée tes jolies petites fesses. Vous serez le sujet de conversation et les plus populaire de ce lycée pour un bon moment.

    La cloche vient de sonner et beaucoup d’étudiants commence à entrer dans la salle. Ils font tous un détour gars ou fille pour regarder Gabrielle à genoux et nue sur la table a l’entrée de la salle à manger. C'est spécial, j'aimais dans ce lycée, il y a eu quelqu'un exposé nu, c'est une première pour tout le monde, ici même les vieux employés n'ont jamais vue cela. Gabrielle est une jolie fille blonde, les cheveux bouclés aux épaules. Beaucoup admire et commente sur ses jolies petits seins aussi sur ses mamelons. Ses amies s’amusent à la regarder nue et bien rasé, aucun poil qui entrave la vue de sa fente, un petit grain de beauté sur sa hanche gauche lui donne un certain charme. Beaucoup aime ses petites fesses toutes rondes et colorées un peu rosées par les claques qu’elle vient de recevoir du directeur, ses belles cuisses aussi attire les regards. Une des amies de Gabrielle s‘aperçoit qu’il y a d’autres filles nues comme Gabrielle. Regardez la-bas, c’est Bianca, commente-t-elle, et elle aussi est à poil, allons lui rendre visite. Ses amies partent en lui souhaitant bonne chance. Gabrielle essaie de fixer le mur au fond sans s’occuper de ce que le monde lui dise et les questions que ses amies lui avait posées aussi. Le directeur heureux de constater que ses punies sont très populaire, retourne sur l’estrade. Il fait un arrêt pour voir Bianca qui est installée en face de l’estrade. Il lui glisse quelques mots un peu du même genre qu’il a dit à Gabrielle et monte sur l’estrade, prend un micro. Il commence à expliquer aux gens la raison inhabituelle de la présence de ces filles nues aujourd’hui et ce que subiront les filles en punition devant eux dans quelques instants. Il rejoint les autres de l’administration pour manger.

    Plus tard, trois personnes, donc le directeur, se lèvent et descendent de l’estrade. Ils se dirigent chacun vers une des filles, pendant que le dirlo les attend debout sur l’estrade. Gabrielle, Bianca et Marie-Line essaient de circuler dans le peu d’espace disponible entre les tables et nues, ce n'est pas facile d’éviter les mains qui essaient de les toucher.


   Sur l’estrade, le directeur donne deux fortes claques sur les fesses à Bianca et lui ordonne d’aller se placer au bout de l’estrade dans un coin et face aux gens les mains sur sa tête. Au tour de Marie-Line de recevoir, elle aussi, deux bonnes claques sur ses fesses, va dans l’autre coin face aux gens, répartie de chaque côté on veut vous voire de partout dans la salle. Et toi Gabrielle, tu restes au centre avec moi et mets tes mains sur ta tête pour que tout le monde regardes ton joli corps. Gabrielle obéie au directeur et verse quelques larmes. Le directeur la laisse quelques instants seul au centre et revient. Retourne-toi Gabrielle, dos à tes spectateurs. Le personnelle qui est assis aux tables sur l’estrade regarde Gabrielle qui est face à eux, et beaucoup de ses profs la trouve très belle leur étudiante


Gabrielle toujours debout, ses mains sur sa tête, obéi et se retourne, les gens dans la salle ont tous le regard sur les jolies fesses exposées devant eux. Le directeur passe son bras droit sur le ventre de Gabrielle et fait le tour de sa taille pour empêcher que Gabrielle ne bouge. Il commence à lui claquer les fesses avec son autre main. Une rafale de claques s’abat très rapidement sur ses fesses. Gabrielle grimace, lâche des cris, descend ses mains sur ses fesses pour que ça arrête. Le directeur lui enlève et lui ordonne de ne plus remettre ses mains et recommencent la fessée où il l’avait arrêtée. Les gens, donc la grosse majorité, sont des camarades de son âge dans la salle, aime ce qu’ils voient. C’est très rare de pouvoir regarder une si jolie fille de cette âge-là recevoir une fessée devant eux, et nue. Le directeur arrête de claquer les fesses de Gabrielle, il regarde la couleur et en passant sa main, il teste la chaleur qu’on atteint les fesses de Gabrielle pendant qu’elle essaie de se distancer de lui. Bon, lui dit-il, retourne-toi face à tes spectateurs, Gabrielle et les bras croisés dans ton dos. Je vais m’occuper de chauffer les fesses de ta copine Marie-Line. Le directeur demande à M. Vincent de prendre la lanière de cuir sur la table et de donner cinq coups de lanière à Gabrielle pendant qu’il va s’occuper de chauffer les fesses de Marie-Line

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     Le directeur s’y prend de la même façon avec Marie-Line en l’immobilisant avec un bras et il lui claque les fesses avec son autre main. M. Vincent lui s’approche de Gabrielle qui fait face à la salle, il la regarde et constate qu’elle a encore des larmes sur ses joues.

    Retourne toi, je veux que tous tes spectateurs voient tes fesses se faire claquer avec ma lanière, lui demande-t-il. Les gens vont plus apprécier s’il voit tes fesses, et regarder apparaître les trace que va laisser la lanière à mesure que je vais te claquer les fesses, c’est beaucoup plus intéressant de voire tes fesses se faire rougir que de te, voire faire des grimaces. Il se recule un peu d’elle pour se mettre à la bonne distance. Il demande à Gabrielle de montée ses mains sur sa tête et garder sa position. Le prof questionne tous ceux qui regardent Gabrielle dans la salle s’il aime le petit spectacle que leurs camarades leur offre ce midi. C’est rare d’assister à un si beau spectacle dans ce lycée, s’exprime-t-il, profiter de ce que vous offrent ces filles. Beaucoup se mette à siffler où applaudir pendant qu’on entend résonner les claques que reçois Marie-Line par le directeur sur ses fesses.


     Le prof s’élance et claque les fesses de Gabrielle avec la lanière. Gabrielle grimace de douleur, lève sa jambe gauche pour essayer de soulager un peu la douleur, mais se retient pour ne pas lâcher de cri devant a toutes ces amies et camarades qui la regardent. Les profs qui sont encore assis sur l'estrade à leur table, eux, admirent Gabrielle qui est face à eux et verse quelques larmes. Une belle ligne rouge commence à apparaître presque instantanément.

    Le prof s’élance une deuxième fois et un autre coup résonne dans la salle même si c’est déjà bruyant par l’excitation de voire les filles nues le bruit de la lanière qui a frappé les fesses de Gabrielle a été entendue d’un bout à l’autre de la grande salle. Une deuxième ligne aussi rouge apparaît sur ses fesses, juste au-dessus de la première. Le troisième coup est atterri dans le plus gras des fesses, a la limite de ses cuisses, une autre belle ligne rouge se forme. Gabrielle est montée sur le bout de ses pieds et à avancer d’un pas. Cette fois-ci, Gabrielle a lâché un cri que toute la salle a entendu, c’était plus fort qu’elle, la douleur était trop forte.

 

    Le directeur à fine avec Marie-Line et revient regarder le résultat. Il félicite son prof. Le directeur prend le temps de frotter les fesses de Gabrielle et tâter la chaleur de sa peau. Continuer M. lui dit-il. Gabrielle va rester avec de belles marques sur ses fesses pour le reste de sa journée. Tout le monde vont aimer regarder ses jolies fesses bien colorées quand elle va circuler dans les corridors. Terminer avec Gabrielle et allez vous occuper des fesses de Marie-Line. Elle vous attend et a hâte de goûter à votre lanière elle aussi, moi, je vais réchauffer les fesses de Bianca ma petite rebelle. M. Vincent applique les deux derniers coups, ses fesses son juste devenues encore plus foncées et plus endolories aussi. Les coups ont été appliquer à la même endroit que les deux premiers.au tour de Mari-Line de recevoir ses cinq coups de lanière dit M.V.

  

M. V fait mettre Gabrielle à genoux cette fois-ci et face à la salle, bras croisés dans son dos. Marie-Line aussi a eu droit au même traitement dos à la salle pour que tout le monde regarde ses fesses qui ont changé de couleur. Bianca n’y a pas échappé, elle aussi, mais ce sont dix coups de lanière que le directeur lui a réservés. Bianca a le derrière zébré par les coups de lanière et ne peut plus se retenir, elle se frotte les fesses devant tout le monde devant elle, en se retenant le plus possible pour ne pas crier de douleur.

    

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 Le directeur juste avant que la cloche ne sonne libère les trois filles. Je crois leur dit il que votre prochain cours est à la piscine. Cela ne peut pas adonner mieux pour vous trois. Il ne vous reste plus qu’à vous rendre à la piscine, vous êtes déjà prête pour la baignade. Je vous accompagne pour vous aider à vous rendre. Je pense que la circulation dans le lycée sera difficile avec vous trois dans les corridors. Ce soir, vous reviendrez dans mon bureau pour récupérer vos vêtements et chaussures. Je ne suis pas si dure que ça avec vous. Je ne vous laisserai pas sortir dans la rue nue et pieds nus en plus. Je ne suis pas si sans cœur que ça. Et pour tous ceux qui veulent le savoir ici dans cette salle, nos trois filles ici en ont pour trois autres jours à être en punition. Alors, profitez en tous, elles vous donnent rendez-vous demain midi ici.

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...