Gérard
Je suis resté à l'intérieur de ma classe pendant là pause. Au lieu de
suivre les filles à la toilette pour rester un peu à l'abri des voyeurs
dans le couloir qui essaient de nous regarder à l'intérieur par là porte
qui est grande ouverte. À part quelques filles de ma classe qui reste
dans la porte à nous regarder Ludovic et moi qui sommes nus. Ludovic
lui est bien bandé, le pénis dresser bien droit que plusieurs filles
s'excite à le regarder. Moi nue de la taille aux chevilles et en plein
début d'érection moi aussi. Ma honte est que les filles mire mon pénis
qui commence à grossir et raidir, c'est gênant. J'ai hâte que les filles
sorte et me laisse enfin seule ici, ce sera moins humiliant. Je vois le
dirlo qui s'approche de Ludovic en me regardant.
— M. Delavarenne me fait signe et je le regarde. Il me dit M. Duhamel,
vous aussi, votre chemise, vous l’enlever, vos souliers et vos bas aussi
et vous nous accompagner dans le couloir. Je n’ai pas trop le choix
avec lui, il faut lui obéir sinon on s’en souvient longtemps. Pendant
que les étudiants de ma classe sortent, je finis de me déshabiller
devant quelques curieuses que me regarde encore bander. À mon tour moi
aussi, je suis entièrement nu, on n'a pas le choix, c'est plus prudent
d'obéir quand le dirlo donne des ordres. J'approche de la porte presque
obstruer par des filles qui nous regard Ludovic et moi s'approcher
d'elles, main sur mon intimité qui a rétréci très rapidement par la
gêne. Le dirlo m’attend, Ludovic est déjà sorti dans le couloir au
travers des étudiants.
Je fige dans la porte, humiliée d’être nu devant plusieurs dizaines de personnes. Jamais je pensais que c’était si humiliant d’être seul à être nu devant autant de gens en public. Tous les autres sont déjà plus loin dans le corridor et je suis le seul à rester dans la porte de la classe et être le sujet de conversation de toutes ces filles-là alentour de moi. Par instinct, je cache mon intimité avec mes mains, mon pénis est redevenu normal, c'est beaucoup moins difficile de le cacher. Pour le reste, c'est gênant pareil d'être nu devant tout le monde, mais j'essaie de dissimuler le principal. Les filles aiment me mater le derrière aussi, mais je ne peux pas tout cacher.
J’entends M Lepetit
qui est dans le corridor me dire. Tes bras croisent les dans ton dos comme les autres, au
même moment les fesses me brûlent. Je viens de recevoir un coup de
canne en travers des fesses, une canne qui était accrochée près du
tableau et que M. Lepetit avait ramassé avant de sortir.
Vas rejoindre M
Rachid au centre du couloir, me dit-il, ou je te fais avancer à coup de
canne, c'est toi qui décides. J’enlève mes mains de mon intimité et
croise mes bras comme demander. Sur un sol en céramique, c'est froid
pied nu. J'avance devant tous ces gars et filles qui sont devant moi à
me regarder dans le couloir qui sont eux aussi en pause c'est plein je suis obligé de me frayer un chemin pour rejoundre les autres au centre. Sur cet étage, on est plus ou
moins 300 étudiants en deuxième année et on n'est environs qu'une
soixantaine de gars. L'institut n’accueille plus que des filles, à
partir de cette année plus aucun gars n’est admis ici en première.
J'avance tranquillement, très humilié d’être nu devant tant de filles
donc plusieurs d'entre elles sont de mes amies. M. Lepetit qui me suit
demande aux étudiants de nous laisser avancer, c'est plein devant nous.
Les étudiantes pour la plupart s’écartent pour me laisser avancer et
s'amusent à commenter sur ce qu'il regarde pendre, et à rire de ma nudité. Je réussis à rejoindre
Ludovic pas très loin en face de moi. M. le directeur qui était déjà
avec Ludovic me fait signe de me placer à la gauche de Ludovic et ne
plus bouger. beaucoup s'amuse a comperer la longeur de nos queue et c'est humiliant. Les quatre filles arrivent des toilettes en se frayant un
chemin, elles aussi, au travers des autres personnes dans le couloir
très achalandé.
Mme Petigrew les a obligées à elles aussi de croiser leurs bras derrière elle dans leur dos. Rebecca me regarde de la tête au pied, maintenant, on a plus de secret l'un envers l’autre, me dit-elle. Elle se place à ma gauche suivie de Nancy. Le dirlo fait placer Marie à la droite de Ludovic. Pour Sandra, il lui demande de se placer juste derrière Marie avec les autres curieux qui nous regardent. Sandra lâche des commentaires. Lâchez-moi sale cochon, ça dérange le directeur qui est devant Sandra. Qui y a-t-il Mlle Lawson pourquoi êtes-vous si impolis Mlle envers vos camarades. Sandra dit au dirlo, il y en a qui me taponnent les fesses M. Je n’aime pas ça du tout me faire pogner les fesses, c'est très désagréable M. Le directeur lui demande d’arrêter de se plaindre. Une belle fille comme toi et à poil au travers de tout ce monde-là, c'est normal qu’il y en ait qui ont envie de toucher tes jolies fesses, c'est humain.
La secrétaire du dirlo arrive en se frayant un passage au travers
des étudiants dans le couloir avec une magnifique fille 1,58 m environs,
cheveux châtains aux épaules. Superbe silhouette que sa robe bleue très
courte et très moulante nous fait voir. De petits seins qu'on devine
dans son décolleté plongeant, belles courbe de fesses que tous regarde.
Personnes ne la connaît, Mme Sénégal commence à nous la présenter. Mlle
Claude Letarte la nouvelle stagiaire de M. Lepetit qui commence
aujourd'hui nous annonce-t-elle. Claude la petite nouvelle se place
juste en face de moi, je suis mort de honte à poil devant une si belle
fille. Et obliger de garder mes mains dans mon dos. Ne pouvant même pas
cacher mon intimité devant cette belle fille d'environs 23, 24 ans. Elle
me regarde de la tête au pied et fait le tour de mes camarades qui sont
elles aussi a poil de chaque côté de moi et qui donne quelques petites
tapes sur les fesses de Nancy. Très jolie ce que je vois,
commente-t-elle en me regardant les fesses à moi aussi
Le
dirlo nous la présente comme la nouvelle stagiaire de M Lepetit qui va
devenir son assistante après son stage. Moi et M. Lepetit rajoute-t-il,
nous avons trop d’ouvrage, on est de plus en plus obliger de sévir. Les
règlements sont de plus en plus bafouer et on va devenir beaucoup plus
sévère dans l'avenir Alors, vous en êtes tous avertis. Mlle Letarte va
être celle qui appliquera la majorité des punitions ici à l'avenir,
c'est pour cela qu'on vous a engager Mlle pour faire respecter les
règlements. Moi et M Lepetit devons être de plus en plus présent à
l’institut universitaire St-David qui fonctionne avec la nôtre et qui
est à quelques kilomètres d’ici. Vous tous les étudiants ici, vous allez
finir par la connaître et la respecter elle aussi.
Tous
ceux qui sont ici dans le couloir présentement ont sûrement vu ou
entendu parler de la punition ce midi qu'a reçu Mlle Lawson derrière
moi. Mais Mlle Esteban et M. Rachid sont ses complices, ils ont tous
deux participer à ce vandalisme parce que, c'est du vandalisme dessiné
sur des murs avec de la peinture. Et ils sont aussi coupables que
Sandra. Je me prépare donc à les punir à leur tour, eux aussi, comme
j'ai puni Sandra ce midi ici même devant vous tous. Ils méritent la même
punition que Mlle Lawson. Une fille qui est derrière moi demande au
dirlo pourquoi les trois autres sont-ils là et à poil au côté de Marie
et Ludovic. Ce n’est pas compliquer Mlle, ces trois jeunes sont devenus
incontrôlables devant leurs camarades à poil devant eux, et se sont
tripotés sous leur bureau. Malgré tous les avertissements reçus, ils ne
se sont pas calmés les hormones, et voici ce qui arrive quand on
n’écoute pas les consignes.
On entend Le dirlo demandé à Marie qui est la dernière à ma droite de se pencher, et lui claque les cuisses avec sa canne. Mlle Esteban, écartez vos jambes. Je veux voire vos mains sur vos chevilles et vos jambes bien écartées pour que vous restiez plus stable. Je veux aussi que vous montriez vos parties intimes à vos camarades, pour que vos camarades soient satisfait de ce qu’ils voient. Vous allez recevoir 15 coups de cette canne que je tiens. Ça laissera de belles marques sur vos fesses semblables à celle du fouet sur les fesses de Sandra ce midi, et vous aurez du mal à poser vos fesses sur une chaise pour quelques heures. Si vos mains quittent vos chevilles et vont toucher vos fesses, je vous rajoute trois coups supplémentaires. Et chacun de vos camarades a votre gauche par votre faute en recevrons chacun trois coups supplémentaires, eux aussi. C'est M. Lepetit qui se tient derrière eux qui va les appliquer. Vous m’avez bien comprise, j'espère. Si vous quittez votre position, vous ferez punir les quatre autres aussi de trois coups supplémentaires, sauf pour Mlle Lawson. Pour elle, ses fesses en ont reçu assez pour aujourd'hui.
Le dirlo fait signe à M. Lepetit de punir Nancy et demande à Marie de regarder. Ce que tes amies vont recevoir est ta faute. Nancy reçoit ces trois coups en restant debout et fait une grimace, ça lui a fait mal. Rebecca, elle aussi, fait un petit cri à chaque coup. Au tour de Ludovic pendant ce temps le dirlo a fait reprendre la position que Marie avait quittée. Il reprend ses coups, le douzième, et les trois autres ont suivi sans que Marie bouge, mais on l'entend crier à chaque coup. C’est à mon tour maintenant. M. Lepetit me donne le premier, ça me chauffe les fesses, m’engourdisse, j’essaie de ne pas trop laisser paraître que ça fait mal, le deuxième fait encore plus mal, le dernier est pire. Je n’ai jamais reçu de coup de canne ou autre instrument. Mis à part ma mère qui m’a déjà donné quelques bonnes fessées méritées, je l'avoue avec ses mains cul nu ça me rougissait les fesses, mais jamais cela procurait autant de brulure que la canne. Ça me procurait une bonne douleur pendant quelques minutes, mais jamais ça n’avait autant chauffer et brûlé que ces coups que je viens de recevoir. Et rien que 3, ça doit être terrible les étudiants que l’on voie recevoir 15, 20 coups de lanière ou plus comme Sandra a reçu ce midi. Je sais pourquoi Marie cri à chaque coup maintenant.
Le dirlo doit redescendre au premier pour affaire, maintenant qu’il en a fini avec Marie, il donne la canne à la nouvelle Mlle Letarte et lui demande de punir Ludovic 15 coups comme a reçu Mlle Esteban. M Lepetit va vous superviser Mlle pour votre première punition que vous administrerez. Mlle Letarte nous fait faire un pas par en avant à moi et Marie pour être mieux positionnée au côté de Ludovic. Elle commence à frapper sont derrière elle frappe presque aussi fort que le dirlo. D'après les sifflements et le bruit que fait la canne sur les fesses de Ludovic et ses lamentations aussi. Pendant que Ludovic reçoit ses coups, je regarde les fesses de Marie qui sont zébrées pratiquement comme celles de Sandra. Marie a les fesses et sa hanche droite marquée par la canne et elle a encore les yeux tout mouiller et rouges. Aux onzièmes coups de canne, Mlle Letarte prend une petite pause et frotte les fesses de Ludovic. Elle prend le temps de regardée son engin qui cherche à grossir. La stagiaire prend même le pénis de Ludovic dans sa main droite et dit. Regardez tous ça l’excite de recevoir une fessée par une fille, il bande même en public devant toutes nous autres les filles.
La pause finie, Mlle Letarte fini de donner ses quatre derniers coups à
Ludovic. M Lepetit demande à tous les étudiants dans le couloir de
regagner leur salle de cours. Nous les six punis, il nous fait rentrer
dans la nôtre en même temps que nos camarades en nous envoyant mes deux
amies et moi le long du mur extérieur où sont était resté nos vêtements.
Les bras toujours croisé dans le dos face à tous, à la différence cette
fois-ci, on est entièrement nu. Et c'est ainsi que l'on devra assister
à notre prochain cours. M Lepetit en avise Mme Petigrew que pour le
prochain cours tous les trois, on reste nu, aussi. À la fin de la
journée, nous pourrons nous rhabiller pour retourner à la maison, pas
avant, lui dit-il. Mlle Letarte, ramassez les vêtements de Marie et
Ludovic qui sont encore sur le bureau. Descends les vêtements à mon
bureau, lui demande M. Lepetit. Mlle Lawson Mlle Esteban et M. Rachid,
vous trois, c'est dans mon bureau que vous viendrez vous habiller ce
soir. Donc qu'on doit tous les six finir notre journée nus d’après ce
qu’il vient de dire, c'était donc sérieux ce que venait de dire le
dirlo.
Mlle Letarte qui est revenue nous voir avant de ramasser
les vêtements regarde à nouveau Ludovic qui recommence encore à bander.
---
C'es-tu jeune garçon, c'est indécent toujours être bandé devant des
filles. Calme-toi les hormones, tu as des filles à poil à côté de toi et
ça t'excite. Ou peut-être voudrais-tu que moi, je me déshabille devant
toi. Mme Petigrew, j'ai probablement trouvé la raison pourquoi il est
toujours bandé. Il vaudrait me voire toute nue moi aussi. Il tripe sur
mon corps à son regard, j'en suis sûre.
Je regarde la stagiaire
qui reprend dans ses mains la bite bien raide de Ludovic. Elle lui
demande s'il aimerait ça, que devant toutes ses copines, elle le
masturbe, ça te ferait un grand plaisir que je te masturbe ?, lui
demande-t-elle.
Mlle Letarte réplique avec une
claque sur un de ses seins avec son autre main. Sachez, vous aussi,
Mlle, que quand un élève est en punition, on a tous les droits sur cet
étudiant. Alors, je suis sûre que ça commence à t’exciter mes petites
caresses, c'est pour cela que tu me demandes de l'enlever. Ça te gêne
que devant tes amies, je te caresse, ça doit t'excitée, je sens que ça
devient humide. Ton sexe s'humidifie. La stagiaire s'adresse aux autres
étudiants dans la salle qui regardent tous en notre direction. Votre
amie Nancy est toute trempe, elle aime se faire jouer dans sa chatte.
Elle rajoute pour l'humilier encore plus. Pour Nancy, c'est peut-être
une première dans sa vie, qu'elle se fait caresser à cette endroit-là
par un autre et une fille en plus, aimes-tu ça Nancy ? Sûrement, Claude
ressort ses doigts. Regardez tous mes doigts sont mouillés, et elle
expose ses doigts. Toute la salle regarde Nancy qui se fait explorer son
intimité et est humiliée.
Rebecca qui est tous près de
moi me chuchote pour ne pas que Mlle Letarte l’entendre. Tu parles d’une
cochonne celle-là, une maudite chipie, nous humilier et taponnés ainsi.
Mlle Letarte qui avait remis sa main entre les fesses de Nancy l'enlève
et vient voire Rebecca. Répète à haute voix ce que tu viens de dire à
ton ami. Rebecca n’ose pas trop et cherche ces mots. Je t’ai entendu
dire que j’étais une chipie. Je vais te montrer que je suis une vraie
chipie, demain matin à 7:00 avec tes trois amies Sandra, Marie et
Ludovic, toi aussi, tu vas te présenter à l’atelier de M. Pogne. Je
serai présente pour vous accueillir et tu subiras la même punition que
les trois autres, toi aussi, tu n'as finie de te promener fesses a l'air en
public. Maintenant, je vous quitte pour laisser Mme Petigrew faire son
cours et n'oublie pas Rebecca pour demain matin, sinon j'irai moi-même
te chercher dans ta classe. Et je te déshabillerai moi-même devant tes camarades, tu feras le trajet a poil. Je vous reverrai demain matin tous les
quatre et soyez tous à l’heure. Rebecca regrette ses paroles et lui
demande pardon. Elle s’excuse, mais Mlle Letarte ramasse les vêtements
de Marie et Ludovic et lui dit a Rebecca. C'est trop tard Rebecca, je t'attends
demain. J'ai vraiment hâte de te chauffer moi-même les fesses ma belle,
et elle sort de la salle en fermant le porte derrière elle.