mardi 11 juillet 2023

Karine qui veut faire l'essai de la punition public avec ses amies

Marie

Après notre journée de travail a la boutique de ma famille, une amie à moi, Karine et collègue de travail, m’invite à passer la soirée et le week-end chez elle. Ses parents sont en voyage et elle veut que l’on passe un week-end entre filles. C’est la première fois que j’ai l’occasion d’aller chez elle et pouvoir visiter sa maison aussi. Même si j’ai dix-huit ans, je demande pareille à ma mère adoptive, Claude, pour la tenir informer où je suis aussi. Je l’appelle ma mère, elle me donne la permission de passer le week-end. Moi et Karine sommes en congé tout le week-end à la boutique, et Claude ne s’oppose pas à ce que je passe quelques jours avec Karine. Cela me surprend un peu, mais elle a accepté et c’est bien tant mieux pour moi et Karine.


Arriver à sa maison, Karine me présente sa sœur cadette de quinze ans, Claire, et son frère aîné Paul, âgé de vingt-et-un ans. Paul me parait très content que sa sœur m’ait invité, il me regarde de la tête aux pieds comme si j’étais nue, et cela me met mal à l’aise de me sentir regarder ou déshabiller des yeux ainsi. Deux autres filles se joignent à nous, des amies de Karine que je connais déjà un peu depuis quelques années, Abigail et Audrey —

Karine me fait faire un tour très vite de sa maison. Il n’y a rien ici pour t’impressionner Marie, me dit-elle, ma maison équivaut à peu près au garage chez-toi. Tu exagères, je lui réponds, ta maison est très jolie.

Karine —

Mais, Marie, toi, tu fréquentes l’école st-Thomas, c'est un lycée qui utilise la punition corporelle. Selon les rumeurs ou les échos de mes amies, il y a beaucoup d’étudiants qui se font punir à poil devant tout le monde et presque à tous les jours.

— Oui, c'est vrai, je lui réponds. C’est très sévère et si l'on ne se comporte pas correctement, on peut le regretter de manière très humiliante. La pudeur ou l’intimité, eux, ils ne connaissent pas ça.

Karine —

Audrey, tu te souviens des trois filles de notre classe qui se sont faites punir pendant trois jours à poil il y a quelques mois. Gabrielle qui reste ici dans la rue, Marie-Line et Bianca. C’était impressionnant de les regarder circuler nues et des voire assistées au cours nues à côté de nous. Et, le directeur qui a tous les repas du midi s’amusait à les exposer nues et leur donnait une fessée comme des petites gamine devant nous tous.

J’avoue que je n’aurais pas aimé être à leur place, si ç'aurait été moi qui aurais été punie nue en avant-scène, je pense bien que j’en n’aurais pas survécu. L’humiliation et la honte doivent être terribles. Mais, j'aimais ça les regarder circuler nue devant moi, regarder leurs jolies fesses colorées par la fessée, reçue m’amusais.

Quand leur punition a pris fin, j'ai parlé à plusieurs reprises avec Gabrielle et elle m’a dit qu’elle n’avait pas du tout aimé son expérience. Bien sûr que personne n'aimerait être traitée de la sorte en public.

Oui, je m’en rappelle dit Audrey. Personne ne peut oublier ça, voir trois filles circuler nue dans l’école. C’est presque impossible à oublier. Moi aussi, j'aimais ça les regarder, c’est toujours impressionnant de voir quelqu’un nu dans une foule, on ne peut pas s’empêcher de le regarder. Et, de regarder une fille se faire rougir les fesses, ça m’a plus aussi. On ne voit plus cela de nos jours, quelqu’un qui reçoit une fessée et en direct en plus devant nos yeux. Moi, chez moi, jamais mes parents m'ont donné de fessée, je suis sûr qu’avec le temps, j'aurais peur-être mérité de bonnes punitions de la sorte, mais mon père me punissait autrement. J’ai été souvent au coin à genoux ou dans ma chambre, mais jamais, je n’ai reçu de fessée.

Mais, toi Marie, ta mère vous punit fréquemment d’après ce que j’en sais. À la boutique, les deux voleuses que Claude a punies devant nous la semaine dernière, c'était impressionnant à regarder aussi. Elles ont passé la journée nu à l’atelier. Elles aussi se sont fait chauffer les fesses assez violemment. C’est deux filles du quartier qui ont la réputation d’être voleuse et harceleuses.

Marie—

Claude, ma mère, tu la connais Karine, c'est ta patronne. Je n’aime pas ça, parler de chez moi intimement, mais je ne peux rien vous cacher. Oui Claude est très dure envers nous tous mes sœurs d’adoption et moi. À dix-huit ans, je me fais encore punir par la fessée, et c'est très douloureux, elle ne se gêne pas, on a mal aux fesses pour quelques heures. À l’institut St-Thomas aussi, c'est la punition corporelle qui nous attend quand ils décident de nous punir. Mais, c'est le prix à payer pour ne pas être à la rue. Quand Claude m’a proposée de rester chez elle avec son frère, j’ai dû approuver la liste de règlements. J’ai accepté de rester avec eux dans ces conditions-là, sinon c’était la rue et la misère. Toutes les neuf qui restons chez Claude sommes soumises aux même règlements. À seize-ans et seule, je n'avais que ce choix-là et ses inconvénients. Pour la fessée, Claude n’est pas délicate, la palette de bois qu’elle utilise est large et quand elle te fesse les fesses ça fait très mal, ça brûle. La ceinture ou la canne, c'est pire pour les marques et la douleur persiste quelques jours. Tu as mal aux fesses et les marques paraissent presque deux jours.

Karine —

Je t’entends parler de ça, les punitions par la ceinture ou la palette de bois, c’est si terrible que ça. Moi aussi, je suis comme Audrey, je n’ai jamais reçu de tape sur les fesses. Sur une cuisse, c'est une partie très sensible, il n’y a pas de graisse, mais sur les fesses, c'est une place beaucoup moins sensible. Ça doit être moins douloureux que sur l’intérieur d’une cuisse qui est ultrasensible. C’est une autre chose aussi qu’un enfant se fasse taper les fesses sur son pantalon, c'est une punition de leur âge, mais, cul nu et a notre âge en public en plus, c’est humiliant, je présume.

Se faire toucher les fesses par une autre, cela doit être plaisant et en privé. Cependant, je n’ai jamais été aussi loin et osé en faire la demande à une copine de me flatter les fesses.

Marie —

D’après tes dires, tu aimerais que l'on essaie de jouer à un jeu ensemble, que l'on essaye quelque chose du genre à se dévêtir. Tu aimerais tenter l’expérience de jouer à des jeux ou le défi du ou des perdants est de se mettre à poil. C’est à ce que tu veux en venir. À toujours parler de fessée et nudité, tu dois avoir une idée en tête. Depuis plus d’une heure que tu parles de filles à poil. Aimerais-tu que l'on joue à quelque chose de genre, tous les six, ta sœur et ton frère inclus. On peut demander si tout le monde veulent bien jouer ou se risquer à jouer. Si tout le monde est d’accord, on peut s’organiser pour trouver un jeu. Mais, Karine, je ne suis pas si sûr que tu seras capable de te montrer les fesses devant nous.

Moi non plus, rajoute son frère, ma sœur à poil, c'est impossible. Elle est bien trop pudique pour faire une folie comme celle-là.

Moi, Karine, j’ai déjà vécu ça, être punie nu devant d’autre et c’est terriblement humiliant. Mais, pour vous tous ici et toi, Karine, je ne suis pas certaine que l’idée est si bonne, d’essayer ça. Je suis persuadée que rendu aux sous-vêtements, vous allez tous lâcher l’une après l’autre.

Karine —

Non, non Marie, je ne veux pas que l’on se mette à jouer à des jeux semblable, la seule chose que j’aimerais, c'est d’être seul quelques instants avec toi. Sui moi dans ma chambre au deuxième et tu verras. Seulement, toutes les deux, les autres rester ici, Marie et moi reviendrons dans quelques instants.

Je regarde Audrey qui pousse Karine vers moi en lui disant, Marie va s’asseoir sur le canapé derrière elle et tu t’allonges sur ses genoux. Si tu veux recevoir la fessée, c'est ici devant nous Karine. Nous aussi, on a droit d’y assister.

Karine rendu a quelques centimètres de moi avec l'aide d'Audrey, je l’attrape par un bras avant qu'elle ne recule et la fait basculer sur mes genoux en m’assoyant sur le canapé derrière moi. Elle n’a pas le choix, elle s’allonge et je m’empresse de la maintenir bien couché et lui retient un bras croisé dans son dos. Les jambes presque dans le vide, Karine n'ose pas trop se débattre pour rester en équilibre sur mes genoux.

Karine —

Non Marie ! lâche-moi, je ne veux pas, je ne veux pas que tu me fesses pas ici. S’il te plaît

Il est trop tard Karine, tu es maintenant en position. Je vais te faire connaître ce que tu veux connaître, C’est quoi l’effet d’une bonne fessée.

Et, je commence à lui claquer les fesses sur sa courte jupe en jeans. Je ne ménage pas la force avec laquelle j’applique mes coups, après tout c’est ça qu’elle veut connaître l’effet d’une fessée, et avec l’épaisseur de tissu qui protège ses fesses ça ne lui fera pas si mal.

Audrey et le frère de Karine regardent tous les deux Karine se faire claquer les fesses et essayer de se déprendre de sa fâcheuse position et ont tous les deux l’air à apprécier ce qu’il voit. Claire aussi s’amuse à regarder sa sœur se balancer les jambes à chaque coup que ses fesses reçoivent pour essayer de se libérer.

Après environs une quarantaine de secondes à lui claquer les fesses, j'arrête, mais ne lâche pas ma prise pour qu’elle reste encore bien immobile.

Karine en furie et essouffler reprend ses esprits et me traite de folle.

Je t’ai dit que je ne voulais pas que tu ne me touches pas ici.

C’est ce que tu voulais Karine, recevoir une première fessée, c’est ce que je t’ai donnée. Maintenant, on passe à plus sérieux. Avec mon autre main, je fouille sous le ventre de Karine pour trouver l’agrafe qui tient sa jupe fermée et réussie à la défaire.

Lâche-moi, je ne veux plus aller plus loin Marie, arrête, j'en ai assez reçu, me supplie Karine.

Paul, le frère de Karine me dit de continuer. C’est ce que ma sœur veut et te l’a presque demandée à genoux, alors continue Marie. Les autres aussi m’approuve dans ce que je suis en train de faire, Abigail m’encourage en prenant les côtés de sa jupe et là descend le long de ses jambes pour le faire tomber au sol.

Une petite culotte bleue à pois blanc nous apparaît, couvrant encore ses petites fesses.

Vous n’êtes que des sauvages, ce plein Karine. Laisse-moi remettre ma jupe, je ne veux plus continuer, tu entends Marie.

Je relève les côtés de sa culotte et constate que ses fesses n’ont même pas changer de couleur, elles sont encore bien blanches.

Karine, la fessée que je viens de te donner n’a aucun effet sur tes fesses, elles sont toutes blanches encore. Je vais maintenant te faire goûter à plus. Là, tes fesses vont commencer à te brûler avec moins de protection, c’était juste un petit réchauffement, Maintenant, je passe à plus sévère en punition et c’est cela que tu voulais de toute façon. Les autres sont bien d'accord à ce que je continue, surtout Paul qui reste à l’arrière et s’agenouille pour retenir les jambes de sa sœur.

Paul, lâche-moi, tu es fou ! Ôte-toi de là et lâche-moi les jambes.

— Je sais très bien pourquoi Paul a décidé de maintenir les jambes de sa sœur.

Je commence à lui claquer à nouveau les fesses. À la grosse différence cette fois-ci, c’est que dès les premières claques, Karine lâche des cris de douleur. Il y a moins de protection et ses petites fesses

rougisses aussi vite que je les claque. Je rentre le tissu entre ses fesses pour les mettre à l’air et continue la fessée.

Aïe, ça fait mal, arrête ce plaint-elle, ça suffit, ça fait mal.

Arrête de te plaindre comme une gamine. Ce n’est que de toutes petites claques, tes fesses sont capables d’en prendre beaucoup plus, j'en suis sûre. C’est toi qui l'a demandé et c’est ce que tu reçois, réplique Paul, toujours en lui tenant les jambes fermement.

J’arrête en ne lâchant pas ma prise. En lui passant ma main sur ses fesses qui commence à prendre de belles couleurs cette fois-ci. Ensuite, en prenant une petite pause, je glisse mes doigts sous l'élastique de sa culotte.

Nonnn!!! pas ça Marie, je t’en supplie pas ça, lâche ma culotte.

Je ne fis de rien et la descends plus bas que ses fesses rosées et chaudes.

Paul tout content lui fait suivre sa culotte qui prend le même chemin que sa jupe. Enfin, il regarde ce qu’il avait hâte de voir. Sa sœur les fesses a l’air. Mais, pour l'entre-jambe, ce n’est pas encore visible, Karine garde les jambes très serrées ensemble et pas de chance pour Paul, pour l’instant.

C’est ça une vraie punition que je te donne Karine, c'est nu, il reste ta camisole. En disant cela, je lui remonte au milieu du dos et Audrey s’occupe de lui faire passer les épaules et la tête.

Pas de soutien, Karine est complètement nue, ses petits seins sont pendants et elle se met à chigner comme une enfant.

Tu as honte d’être à poil devant nous Karine, c’est ce que tu demandais, être à poil devant nous. Tu nous suppliais de te mettre à poil, c'est ce que l’on a fait, lui dit Audrey en lui tenant un de ses petits seins et lui passant son autre main sur ses fesses. J’adore toucher à ta poitrine Karine, c'est très ferme comme j’aime. Et tu est superbe nu devant nous. Tu as de jolies fesses.

Pauvre petite Karine a poil devant nous et se fessant punir comme une petite gamine, j'aime ça rajoute Abigail en lui donnant quelques tapes sur les fesses. Belles fesses fermes, rajoute-t-elle, c'est plaisant à toucher.

Moi, je recommence la fessée, à la différence cette fois-ci c’est que je lui applique directement sur les fesses, plus rien ne protège ses petites fesses toute douces rougisses aussi vite que je les claque.  Karine se met à crier et se débat encore plus.

Ça fait mal, arrête, j'ai mal, c'est assez, j’ai compris, c'est quoi recevoir une fessée, stop.

Quand ses fesses, on atteint la couleur que je voulais qu’elles atteignent, j’arrête la fessée.

En lui frottant les fesses pour la soulager un peu de la douleur. Mon but n’était pas de lui faire très mal. En revanche, juste de lui chauffer les fesses uniquement pour qu’elle se le rappelle que ça peut faire très mal bien appliquer. Je lui lâche son bras que je tenais toujours fermement pour qu’elle se remette debout. Debout maintenant Karine, on passe à la seconde partie de ta punition que tu m’as tant demandée. Karine se remet sur ses pieds en se frottant les fesses et les cachant aussi avec ses mains et essayant de nous tourner dos le plus possible.

Ne touche pas à tes vêtements Karine et tourne-toi face à nous tous, lui ordonnais-je. Montre-nous ton intimité pour que tu saches, c'est quoi être nu devant tes amies. Mais, elle n’a pas l’intention d’obéir et ramasse sa culotte et essaie de se sauver à la salle de bain pour se mettre à l’abri des regards.

Non ma belle, tu restes ici avec nous. Une fille en punition doit obéir. En la retenant par un bras, je lui rajoute six claques sur ses fesses déjà endolories. Redonne-moi ta culotte, ce n’est pas tout de suite que tu peux te rhabiller, il reste encore une étape à faire pour ta punition.

S’il te plaît Marie, laisse-moi me rhabiller. Maintenant, je sais, c'est quoi être puni en public. Je te promets que je ne te poserai plus de question sur la fessée, c'est une promesse.

Audrey —

Tu ne t’en tireras pas aussi facilement. Si tout le monde est d’accord, tu vas te mettre au bout du salon ici et faire le piquet pendant vingt minutes main sur ta tête. C’est souvent ça la fin d’une punition, ça garde la punie dans une posture humiliante, c’est ce que tu cherchais à savoir, on va te le faire connaître Karine.

Marie —

C’était mon intention de la faire prendre une pose humiliante, mais Audrey m’a devancée et c’est mieux ainsi. Ce n’est pas juste moi qui aime ça voir une fille se faire punir de cette manière-là. Même si moi, je déteste ça quand c’est moi qui suis la punie, j’aime regarder les autres.

Paul —

Moi, je suis pour la proposition d'Audrey et même, j'en rajouterais. Après ses vingt minutes de piquet, j'irai chercher une des brosses en bois et je lui rougirai encore les fesses, elles vont être presque redevenues blanches après une vingtaine de minutes. Elle n’a goûté que la fessée à la main, la moins pire des punitions d’après moi. Il y a d’autre manière de recevoir une fessée. C’est ce que ma sœur veut savoir les effets d’une bonne fessée. Ainsi, je suggère de lui faire plaisir et de lui faire connaître d’autre manière de se faire rougir le cul.

Abigail —

Pendant que Marie oblige Karine à se placer comme tous les autres l’ont suggéré, moi, je m’approche de son frère en lui mettant la main aux fesses, ce qui l'a figé de se sentir le cul taponner. Il ne s’attendait pas du tout à ça qu’une des amies a sa sœur lui poigne les fesses.

Paul, tu as aimé ça, regarder ta sœur se faire chauffer les fesses, ta suggestion n’est pas si bête que cela. Mais, je ne suis pas certaine que les autres vont être en accord pour une deuxième fessée à Karine. C’est plutôt toi à qui l'on devrait donner la prochaine fessée. Tu as l’air à aimer ça toi aussi parler de fessée.

Audrey —

Oui Abigail, tu as une très bonne idée. On fait mettre Paul a poil et a chacun notre tour, on lui donne une fessée. C’est super comme idée. Même sa sœur Claire pourra y participer.

Abigail ---

 Paul n’aime pas ma merveilleuse idée et s’éloigne de moi et devient la face rouge.

Marie —

Quoi Paul, ça te gênerait de te mettre à poil devant nous et nous montrer ton petit zizi. Ta face est devenue rouge. Toi qui disais il n’y a pas si longtemps que Karine ne serait pas capable d’enlever ses sous-vêtements si l'on aurait joué à des jeux. Maintenant, c'est toi qui es gêné. Mais, tu ne te gênes pas pour regarder ta sœur nue. Il faut que je l'avoue Karine est très belle nue, très bien rasé, sa fente est bien visible, de très beaux petits seins et des fesses superbes. Paul, tu ne t'en plains pas trop. Tu aime ça voir ta sœur à poil. Paul --- Mais, même si c'est ma sœur, j'ai bien le droit de la regarder, à ce que je sache, elle est faite comme toutes les autres filles donc que ce soit ma sœur ou une autre, c'est toujours beau à regarder une fille nue. Mais pour me mettre a poil devant vous je passe mon tour.

Pendant que l'on se concentre sur Paul, Karine se met à verser des larmes. Je la regarde. Tu as maintenant l’effet de ce que l’on ressent quand on est exposée en public nu Karine. Toi qui te demandais, c'était quoi le feeling d’être nue, tu es maintenant servie, profites-en, car je suis sûr et les autres aussi que tu ne redemanderas pas d'en faire l'essaie à nouveau de la fessée, ce n’est pas du tout plaisant d’être exposée ainsi. Et, pour la suite, on va tous réfléchir à la proposition d'Abigail et Paul. Je pense que tu n’as pas fini de nous montrer tes jolies petites fesses aujourd’hui.



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    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...