vendredi 3 mars 2023

Des vacances bien spéciales en France

Moi Benoît

Je suis un gars de quatorze ans et je commence à visionner beaucoup de site pour adulte sans que ma mère le sache, ce sont mes potes qui m’ont initié à ce genre de visionnement et j’adore. Depuis environs cinq ans, a tous les étés, durant les vacances, ma mère m’envoie passer un peu plus d’un mois chez ma tante qui est sa sœur cadette en France pour que je pratique mon français. Nous, on demeure à Londres dans un milieu anglophone. Ma mère veut que moi et ma sœur cadette parlions français comme elle. Et c'est la manière, me dit-elle, de l'apprendre, faire des séjours chez sa sœur en France avec mes cousines. Avec les années, je me suis lié d’amitié avec Louis un voisin de mes cousines qui a mon âge, et lui aussi, je l’ai initié à ce genre de vidéo que je regarde. C’est le voisin de mes cousines, mais c'est surtout plus avec sa demi-sœur Miranda qui aura 15 ans cette année que j'essai de me raprocher le plus. Miranda a six mois de plus vielle que moi et je la trouve très jolie. Elle a de beaux cheveux châtains bouclés aux épaules, de belles petites joues rondes. D’après mes dernières communications avec elle par FaceTime hier soir quelque minutes avant d’aller se coucher, j'ai pu l’apercevoir presque en entier au lieu de juste son visage. Je m’aperçois qu’elle commence à avoir une jolie poitrine. Dans les dernières image que j’ai vu d’elle, elle portait une petite camisole rose sans soutien. Je voyais ses mamelons qui voulaient percer sa camisole. C'est là que j’ai commencé à fantasmer pour cet été a ce qui m’apparaissait dans mon écran. À mon âge, je commence à avoir pas mal de réaction à regarder les filles, surtout sur internet avec mes potes de l'école. J’ai vraiment hâte d’être près d’elle dans quelques jours. Ma tante habite dans un petit village qui longe la manche. Tout l’hiver, j'ai communiqué avec Louis et depuis deux semaines Miranda, elle aussi, essaie de me rejoindre par FaceTime et me dit-elle à hâte de me revoir elle aussi.

Quand j’en ai eu terminé avec Miranda et j’ai fermé mon portable, j’entendais ma mère qui était en train de se doucher. Presque à tous les soirs, elle prend sa douche dans, c'est heures-là avant d’aller se coucher. Elle est sûre qu’on dort moi et ma sœur. J’ai décidé d’aller jeter un œil devant la porte de la salle de bain. À l’heure qui est minuit 15, ma petite peste de sœur doit sûrement dormir. Comme à son habitude, ma mère quand elle se douche a cette heure tardive, elle ne ferme pas complètement la porte, elle fait juste l’accoté sans la fermer complètement. Je m’agenouille et regarde par la fente qui reste et aperçois ma mère qui sort de la douche. Elle est nue et je la trouve très belle.

Du haut de mes quatorze ans, c'est la première fille que je vois devant moi nue et c’est ma mère. Elle a des nichons superbes, des mamelons (une des parties du corps féminin que j’ai appris un mamelon, c'était quoi sur internet) que j’aime regarder, et une toute petite ligne de poil au-dessus de la chatte (un autre mot). Même si c’est ma mère, je la trouve superbe à regarder, quand elle se retourne, j'aperçois son joli petit cul tout rond avec une raie qui me paraît assez profonde. Quand je la voyais dans un maillot deux pièces à la plage, je trouvais que ma mère était une superbe femme. À mon âge, je commençais souvent à avoir des réactions dans mon pantalon que je venais de découvrir quand j'admirais les filles en maillot, et surtout que ne pouvait pas contrôler quand ça partait. J’essayais de dissimuler mon grossissement le plus possible devant elle et les autres aussi. Mais maintenant que le la voie nue devant moi, c'est encore mieux. Elle se dirige vers une serviette donc je l’aperçois de tous les angles, elle lève sa jambe droite et pose son pied sur le couvert de la toilette pour commencer à s'essuyer les cuisses. Ma mère est bien écartée et juste dans ma vision pour que j’entrevoie encore plus sa fente. C’est comme sur les vidéos dans l'internet, mais en plus beau encore. J’ai un début d’érection dans mon pantalon de pyjama qui est le seul vêtement que je porte. Même si c’est ma mère, elle me fait bander d’être nue devant moi.

Sans que je l’entende venir, ma peste de sœur arrive derrière moi et pousse dans la porte de la salle de bain. La porte ouvre, et je me retrouve à genoux dans le couloir face à ma mère qui elle est nue devant nous deux. Ma sœur tout en panique commence à dire à ma mère que je l’observais depuis un certain moment déjà. Et fait remarquer à ma mère que mon pantalon est très gonflé comme elle dit.

Ma réaction a été instantanée, je me suis relevé mort de honte d’être devant ma mère qui est nue. Je suis entré dans ma chambre en fermant la porte en espérant que ma mère ne me suive pas. Quelque instant après ma mère a suivi entourer dans sa serviette et ma sœur aussi.

 Maman, dit ma sœur, Benoît m’a déjà demandé de mettre son pénis gonfler dans ma bouche la semaine passer. Pourquoi son pénis devient-il si gros ? Demande-t-elle à notre mère. C'est ça sa grosse bosse comme l’autre fois.(ma sœur n'a que dix ans et demi et est très indiscrète)

Jamais je pensais qu’elle irait à dire cela à ma mère, je lui avais pourtant dit que cela restait entre nous deux.

Ma mère, choquée de mon comportement de voyeur et de ce que ma sœur vient de lui révéler, s’assoie sur mon lit. Sa serviette qui descend à peine sous ses fesses remonte et laisse une grosse patrie de ses fesses a l’air. Elle me prend par un bras et me tire pour que je m’étende sur ses genoux. En n'ayant pas le choix, je m’étends et remarque que sa chatte est exposée, rien pour soulager mon érection. Étendu sur les cuisses nue de ma mère et mon pénis dans mon pantalon de pyjama qui frotte sur ses cuisses, ça m’excite encore plus.

Je ne sais plus que faire avec toi Benoît, me dit-elle. Tu exagères, commencer à demander à ta sœur de faire des cochonneries pareille, elle n’a que 10 ans, ce n'est qu'une fillette et ta sœur en plus. 

Et toi ou as-tu appris ça ? a ton âge ce n'est pas un comportement normal de penser à, c'est cochonneries là . Je n’ai jamais fait ça avec toi au paravent, mais tu mérites une bonne correction, une fessée comme mon père me donnait quand j'étais de ton âge et j’agissais sans réfléchir.

Et ma mère commence à me claquer les fesses. Ça me fait une drôle de sensation, me faire claquer les fesses, j'aime ça. Ça chauffe un peu, mais mon tissu de pantalon amorti la main de ma mère. J’imagine que fesse a l’air, les claques doivent être plus mordantes et plus humiliantes aussi.

Ma mère arrête après peu être une trentaine de claques ou plus, elle s’aperçoit que plus, elle me claque les fesses, plus je reste bandé. Elle me fait relever.

Ma mère demande à Sofia, ma sœur, si je lui avais montré mon pénis.

Quand ton frère t’a demandée de mettre son pénis dans ta bouche, était-il nu ? Questionne ma mère

Non maman, je lui ai seulement demandé, c'était quoi la bosse dans son pyjama. C’est là qui m'a demandé si je voulais essayer de goûter à sa queue, il disait que j’aimerais ça. Pourquoi un gars a une queue comme un chat maman ? Demande-t-elle naïvement.

Ma mère se retourne vers moi en disant Benoît, tu as été trop loin cette fois-ci. Tu baisses ton pantalon pour montrer à ta sœur, c'est quoi que tu appelles une queue.  Et si tu ne le baisses pas ton pantalon toit même c’est moi qui le ferais et je vais te chauffer les fesses avec autre chose que mes mains cette fois-ci. J’ai protesté, disant que cela n’avait pas de sens me mettre à poil devant elle et ma sœur, mais ma mère était sérieuse et m'a obligé à baisser mon pantalon et montrer mon pénis encore en érection devant elles. C’est gênant humiliant.

Benoît, je pense que je vais changer d’idée pour ton séjour chez ta tante, me dit elle. Avec ce qui se passe ici chez ta tante avec tes cousines, j’ai peur de ton comportement. Pour ce soir rhabille-toi et on va tous ce coucher, demain matin, je vais parler à ma sœur et on verra après.


Ma mère et ma tante, après une longue discutions, ont décidé que je pouvais aller comme à l’habitude passer une partie de l’été chez mes cousines, mais avec quelques bons avertissements sur mon comportement.
Quelques jours plus tard, arriver chez ma tante en Normandie, même si j’aime voir mes cousines, j’ai trop hâte, je m’empresse de traverser chez la voisine et d’aller voir Louis et surtout Miranda. Ma tante et mes cousines me suivent, ce sont de très grands amis.

Arrivé tous les quatre chez le voisin de ma tante, mes cousines entrent sans frapper, elles ont l’habitude d'entrer sans frapper chez leurs amies. Miranda et sa mère, nous accueil, mais Louis n’est pas là. Miranda commence à m'expliquer que mon ami Louis est en punition dans le salon.

Benoît vient voir ton ami Louis me dit Miranda. Ma mère lui a donné une fessée comme un petit gamin et il est à genoux dans le coin, fesses à l’air.

Je suis Miranda et sa mère avertie sa fille de ne pas s’en mêler, car elle aussi ira le rejoindre dans la même position si elle le dérange. 

Dans le salon, je m’assois sur le sofa à côté de Miranda et regarde mon ami Louis, à genoux dans le coin mains sur la tête, fesse à l’air, vêtu que d’un pull qui lui cache la moitié des fesses. Miranda commence à m'expliquer à moi et mes cousines que Louis avait imitées la signature de son père sur deux contrôles à l’école pour cacher ses mauvaises notes. Le directeur avait appelé sa mère pour la mettre au courant de son stratagème. Pauline sa mère rajoute oui il pensait nous cacher ses mauvais résultats de fin d’année. Mais il va le regretter, son père est sur le point d’arriver d’une réunion avec le directeur de son école et je pense que Louis va s’en souvenir pour longtemps de sa gaffe. Ma tante regarde Danielle sa fille et nous dit moi aussi j'ai quelque chose a régler plus tard, cela laisse une drôle d'impression dans le salon.

Roland, le père de Louis entre presque au même moment que sa mère, nous expliquait les niaiseries de Louis. On entend Louis, lève-toi et vient ici me voir au centre du salon.

Et quand le père de Louis parle sur ce ton, c'est mieux de lui obéir. Dans les années passe je me m’étais rendu compte que c’était mieux de lui obéir, quand il s’adresse a ses enfants sûrs ce ton-là.

Louis se lève en se cachant avec ses mains et tirant sur son pull pour en montrer le moins possible. Il est gêné d’être pratiquement nu devant nous. Il passe devant nous et s’approche en demandant a son père s'il peut monter dans sa chambre pour le punir parce qu’il sait très bien ce qui va lui arriver. Mais son père ne l’écoute pas et enlève sa ceinture et demande à Louis de rester au centre du salon et d’enlever son pull. Louis obéi à son père et passe son pull par-dessus sa tête et le donne à sa mère. Louis est nu devant mes cousines, sa sœur, ma tante et moi aussi. Louis remet ses mains entre ses jambes pour cacher son intimité.

 Son père lui pose une question.

Dit moi la vérité Louis.

Dans le passé as-tu déjà imité ma signature pour d’autre contrôle ?

Louis ne répond pas et regarde ses pieds

Sans prévenir, son père lui donne un violent coup de ceinture en travers de ses fesses. Louis laisse paraître une petite grimace, mais se retient pour cacher le plus possible sa douleur. Une ligne rosée commence à apparaître sur ses fesses.

Son père lui en rajoute plusieurs autres, cinq, six aussi fort en travers de ses fesses. Tu ne veux pas répondre, je vais te faire parler, dit son père, dit nous comment de fois, tu as imité ma signature. Louis nous laisse voir ce que mes cousines avait hâte de regarder et se frotte les fesses en demandant à son père d’arrêter.

C’est la première fois que j’assiste à une punition en direct sous mes yeux, et je m’imagine la douleur que ça doit procurer, recevoir des coups de ceinture aussi fort sur les fesses. Ma mère l’autre soir m'a donné quelques petits coups avec sa main et sur mon pantalon, je n’avais presque rien senti, mais de la force que Louis se fait claquer les fesses cela doit brûler. Ses fesses tournent au rouge et mes cousines ont les yeux rivés sur son engin qui branle devant leurs yeux, cela doit être humiliant.

Ma tante, c'est plus la ceinture qu’elle aime voir s’abattre sur les fesses de Louis.

Ça fait quatre ou cinq fois papa, mais arrête, ça fait mal, dit Louis.

Je le savais, dit son père, je voulais que tu nous l'affirmes. Il oblige Louis à se pencher et à poser ses mains sur la table basse au centre en face de lui. Louis se penche et il a les fesses bien exposer et le reste aussi.

Son père recommence à lui claquer les fesses. En l’espace de quelques secondes, c'est environs une vingtaine de coup de ceinture qui se sont abattu sur ses fesses jusqu’à ce que Louis fléchisse les genoux et éclate en sanglot en se protégeant les fesses avec ses mains.

Le père de Louis lui ordonne de se relever. Pour l’instant Louis lui dit son père, tu vas au coin debout, main sur la tête et tu restes nu pour un bon moment encore. Je vais revenir plus tard pour la suite. Et cette fois-ci, ce sera la cane, prépare tes fesses, je n’en ai pas fini. Mes cousines regardent Louis qui traverser devant elles en se tenant les fesses le zizi à l’air et s’installer dans le coin.  Moi, c'est surtout la couleur de ses fesses qui impressionne, la douleur que Louis doit avoir n’intrigue.

Ma tante décide de rentrer et je suis aussi laissant Louis avec sa douleur et nu dans son coin.

Je demande à mes cousines si elles avaient déjà reçu une punition aussi sévère. je savais que ma tante punissait souvent ses filles par la fessée. L’été passé, j'avais eu connaissance que la plus jeune Jacinthe qui avait 10 ans avait reçu une bonne fessée dans sa chambre et fesse a l’air. Car le bruit était clairement une main qui claquait la peau et le soir Jacinthe, toujours en punition et ne portant qu’une nuisette, avait du mal à s'asseoir.

Gêner Danielle la plus vieille finie par me répond. Oui Benoît à l’occasion notre mère nous punie en nous donnant la fessée même à mon âge. J'ai quinze ans et ça arrive encore que ma mère me chauffe les fesses. Je ne pensais jamais que ma cousine me dirait qu’elle recevait la fessée, c'est un peu gênant de parler de cela à quelqu’un que l’on reçoit une telle punition a son âge.

Ma tante apparaît dans le salon dans lequel nous sommes installés Danielle et moi, elle tient une petite palette de bois dans ses mains. Danielle blêmie et je la vois devenir très mal à l’aise. 

Pourquoi Danielle, tu m'as menti à propos de ton contrôle de la semaine dernière ? Demande ma tante à sa fille Danielle.

Qu’as-tu fait avec le contrôle ?

As-tu utilisé la méthode de Louis imité ma signature ? Répond Danielle. Si oui, tu mérites d’être punie aussi sévèrement que Louis.

Danielle commence à jouer dans ses cheveux, tourner une couette en signe de nervosité.

Ma cousine Danielle est une très belle fille châtaine, même si c’est ma cousine, je la trouve très belle. Elle commence à avoir une belle petite poitrine qui prend forme dans son pull, j’ai remarqué qu’elle ne portait pas de soutien, ses tétons pointent dans son pull. Elle a un beau petit cul dans son short très court.

Danielle commence à bégayer, ne sait pas quoi dire et répond n’importe quoi sans rapport à la vraie question que sa mère lui a posé.

Debout lui ordonne sa mère, tu sais très bien de quoi je parle. Ce matin, j'ai été convoquer au bureau de ton directeur et il m’a montré toutes les tricheries que tu as faites pour essayer de me tromper sur tes mauvaises notes. Danielle se lève et s’approche de sa mère.

Maman dit Danielle, s’il te plaît allons dans ton bureau ou demande à Benoît de sortir du salon d’aller dehors.

Je pense que je vais assister encore une fois à une autre fessée et cette fois-ci c’est ma cousine qui va la recevoir. J’espère juste que ma tante ne me fera pas sortir.

Non Danielle, Benoît reste ici pour ta punition. Il commence à être assez vieux pour aimer regarder une grande fille comme toi se faire punir, et pour toi, cela sera plus humiliant. Et ne discute surtout pas avec moi, je ne suis pas d'humeur pour cela. Enlève ton pull et ton short, je m’occupe de tes fesses. Et toi Benoît vient t’asseoir ici dans le fauteuil à ma droite, tu seras mieux placer. Sa sœur cadette descend de sa chambre et elle aussi vient assister à la punition que va recevoir sa sœur.

Allez Danielle, enlève ton short, si c’est moi qui te le retire, je double ta punition. Je vais te montrer à quoi cela mène de tricher et de frauder.

Je regarde ma cousine qui enlève son pull juste devant moi, pas de soutien, elle a la poitrine à l’air. Ses jolies petits nichons apparaissent dans ma face. Ma cousine se retourne pour se cacher de moi, les nichons ont l’air cela la met mal à l’aise et en se retournant, elle reste un peu plus intime devant moi. Ma tante se lève et claque les fesses de Danielle.

Non ma belle, lui dit sa mère, tu te retournes et montre à ton cousin ce que tu lui caches, ce n’est pas ton dos qui l’intéresse. C’est pour ça que je le garde ici devant toi, pour t’humilier le pus possible. Alors Danielle, tourne-toi face à lui et ta sœur et enlève tes bras, de sûr ta poitrine. Maintenant donne-moi ton short en lui redonnant quatre claques sur ses fesses encore protéger par son petit short en jeans.

Je vois ma cousine se retournée face à moi, un bras croisé sur sa petite poitrine et avec son autre main, elle défait le bouton qui tien son short encore en place. C’est seulement ce qui lui reste sur le dos, son short et probablement un sous-vêtement, j’aperçois un bout d’élastique rose qui excède son short. Je commence à avoir un gonflement dans mon pantalon, ma cousine m’excite, une si jolie fille qui se dénude devant moi, je ne peux pas faire autrement. Danielle est belle à regarder à moitié nue. En quelque jour, c'est la deuxième fille que je voie nue. Ma mère il y a quelques jours et qui a des nichons un peu plus gros que ceux de Danielle. Et Danielle, ma cousine, que je vais voire nue dans quelques instants, j’espère devant moi. Si ma tante ne change pas d’idée. Mon plus gros fantasme serait de pouvoir voire Miranda nue durant l’été.

Danielle réussie a détaché son short d’une seule main et le laisser descendre à ses chevilles.

Par conte, sa main reste entre ses cuisses pour cacher ce qu’elle ne veut pas me montrer.

Sa mère lui claque à nouveau les fesses pour l’obliger à mettre ses mains sur sa tête.

Allez ma fille, montre à Benoît ce qu'il espère voir depuis longtemps ton corps nu.

Je ne sais plus où regarder ma tante me gêne, je suis sûr que j’ai la face rouge de honte.

Danielle obéie et me monte son petit string rose qui garde son intimité encore hors de ma vue. Mais cette fois-ci, je peux regarder ses jolies petits nichons tous blancs comme neige qu’elle me laisse enfin voir. De superbe gros tétons pointe vers moi, je suis surpris de voir de si gros pitons sûrs de si petits seins. C’est vrai que je n’ai pas l’habitude de voir une fille nue de si près, ce n’est que la deuxième fois. Mais cela me surprend de la grosseur de ses tétons, de la manière qu'ils pointaient dans son pull.

Amuse-toi Benoît, fait toi plaisir me dit ma tante, tu as le privilège de lui enlever son string et la mettre nue, profites-en. Et prend le temps de la regarder de la tête au pied. Je n’en reviens pas ma tante qui me laisse mettre sa fille nue, cela me rend nerveux et mal à l’aise de finir de déshabiller ma cousine. Je sais très bien qu'elle-même va être très humilié de se faire mettre nue par son cousin, mais les mains me démange, j’attends ce moment-là depuis longtemps de pouvoir regarder ma cousine en tenue d’Ève.

Non maman, je lui interdis de me toucher, il n’a pas le droit, dit Danielle. C’est un garçon et mon cousin, je ne veux pas qu’il me déshabille et qu'il me voit nue, déjà, il en a déjà beaucoup trop vu, fait le sortir. Danielle redescend ses mains entre ses jambes et tien ses bras sur sa poitrine en même temps qu’elle avertit sa mère de me faire sortir du salon. Danielle recule tranquillement vers la porte de la cuisine pour essayer de se sauver de ma vision.

Jacinthe mon autre cousine s’approche de moi et regardant sa sœur presque nue et reculant pour se sauver et elle me dit. Ma sœur ne devrait surtout pas tenir tête à notre mère, ça ne donne rien, ça fait juste empirer sa punition. Elle n’y échappera pas à sa fessée devant nous, ma mère est bien décidée à lui en donner une ici devant toi et lui faire honte, et Danielle n’a pas le choix. Quand ma mère décide de nous punir, on s’en souvient longtemps.

Jacinthe remarque que mon legging que je porte à une grosse bosse qui ressort. Maman regarde Benoît entre ses jambes, il a une grosse bosse. Ma petite cousine est comme ma sœur et de la même âge. Elles sont très curieuses et sans retenue, elle disent tout ce qu’elles voient de bizarre selon elles.

Je m’empresse d’essayer de dissimuler le plus possible mon érection, ma tante me regarde sans parler, ça me soulage un peu.

En s’approchant de Danielle, sa mère lui claque les fesses et la fait revenir au centre. Elle l’oblige à enlever son seul vêtement qui lui reste, son petit string rose. Cela me déçoit que ce ne soit pas moi qui lui enlève comme elle me l'avait dit plus tôt. Mais j’adore ce que je vois devant moi, ma belle cousine qui est nue et se tient les mains sur sa tête, je la regarde de la tête au pied. Je suis mal à l’aise, je pense que je suis encore plus gêné de regarder ma cousine nue devant moi, le sexe bien rasé, qu’elle-même est gênée d’être nue dans le salon devant nous trois. C’est ma première expérience d’avoir une fille nue et aussi près de ma face et je ne sais plus où regarder, ma tante et Jacinthe mon autre cousine me regarde et cela me gêne bien plus. Je fais semblant de regarder ailleurs que devant moi, mais ma tante s’en rend compte.

J’entends ma tante dire aller Benoît, profite de ce que tu as a quelque centimètre de ton visage, regarde comme ta cousine est belle nue, c’est ce que tu veux voire depuis que tu es arrivé ce matin.

Ma tante se lève et me tire par un bras pour que je me lève moi aussi. Je suis debout en face de Danielle qui a les mains sur sa tête et son intimité n’a plus de secret pour moi. Je suis concentré sur son magnifique corps et ne suis plus trop conscient de ce qui se passe autour de moi.

Ma tante, elle est derrière moi et pendant que je suis concentré à regarder Danielle, elle baisse mon legging jusqu’à mes chevilles. Je n’ai aucun slip dessous, je me retrouve fesses à l’air et le pénis en érection a la vue de Danielle et Jacinthe sans que j’aie le temps de trop réagir. Je n'ai jamais été aussi humilié de toute ma courte vie. Fesses à l'air devant trois filles même si ce sont mes cousines c'est très gênant.

Benoît, ce n’est pas juste toi qui as droit à une éducation sexuelle cet après-midi. Tes cousines aussi ont droit de découvrir c’est quoi l’anatomie d’un gars en érection, en entendant ces paroles, je reçois cinq claques sur mes fesses. Aïe ça chauffe.

Lâche ton machin ! petit impoli. Laisse nous regarder ton excitation que te procure la vision d'une fille nue devant toi, me demande ma tante. C'est très impoli de cacher ce que l'on veut tous voire. Danielle aussi a le droit de te regarder. Je suis mort de honte, je tire sur mon tee-shirt, l’étire du mieux que je peux pour cacher mon érection et mes fesses, mais il ne se rend pas bien bas. Jacinthe qui est assise à côté s’amuse à se mirer sur mon derrière et mon érection que j’essaie de cacher avec mes mains.

L’ache toi le pénis Benoît et garde tes mains de chaque côté de toi sinon je t’oblige à te masturber ici devant nous. Ça te plairait peut-être de t’amuser avec ton engin devant nous et montrer à tes cousines à quoi ça serre un pénis qui devient gros. Tu pourrais donner une démonstration à tes cousines de ce qu’un gars peut faire avec son pénis.

Je n’ai pas l’intention de me masturber devant elles, j’obéis à ma tante et place mes bras de chaque côté de mon corps. Ça laisse le champ libre à mes cousines de regarder à leur tour mon intimité, et mon érection commence à tomber par la honte d’être exposé ainsi.

Enlève ton tee-shirt Benoît et assieds-toi au bout du sofa, et laisse ton engin à la vue pour que l’on puisse le regarder. Je retire mon tee-shirt, je suis maintenant nu comme Danielle devant mes cousines et ma tante et extrêmement gêner de l'être. Je m’assois à l’endroit indiqué, sur le grand sofa en gardant mes mains sur mes genoux. Jacinthe, même à son jeune âge, s’amuse à me regarder, pas dans les yeux, mais surtout entre mes cuisses, mon intimité. La grosseur que mon pénis est redevenu, tout petit, cela l’intrigue et elle trouve cela drôle, elle en rie.

Danielle est obligée de faire le tour de sa mère en gardant ses mains sur sa tête, et se mettre debout entre moi et ma tante. Moi, étant assis, j'ai ses jolies fesses blanches à quelque centimètre de mes yeux sans être capable de les caresser. J'ai les mains qui me démangent, je me retiens de ne pas lui toucher les fesses, mais je ne m'en plains pas. 

J'entends Benoît, prend le temps de regarder ta cousine nue, me dit ma tante. Elle se rend bien conte que j'ai le fixe sur ses fesses, c'est ta journée de chance aujourd'hui. A mon âge, je n'ai pas l'habitude de voir de si jolies fesses de si près. Elle fait retourner Danielle face à moi et la rapproche de moi pour que je puisse la regarder de face aussi, je vois son sexe bien rasé en détaille. J'ai le nez presque collé dessus, je ne peux rien manquer, c'est beaucoup mieux que sur un écran de portable. J'ai quasiment sa chatte dans mon nez, et ses beaux petits seins que j'aimerais toucher sont juste au-dessus de ma tête. Je recommence à avoir une nouvelle érection, j'essaie de me cacher le pénis gêner de bander devant mes cousines et ma tante. 

Non Benoît, lâche ta queue et laisse nous voir ton excitation, m'ordonne ma tante. Sinon, tu viens au centre du salon et tu t'amuseras avec ton pénis pour montrer à tes cousines ce que tu aimes faire avec. Ma tante fait tout pour m'humilier le plus possible et cela me met très à l'aise.

Je ne m'oppose pas à ma tante et j'enlève mes mains de sur mon érection, Jacinthe a encore les yeux river sur moi ou plus tôt plus bas au niveau de mes cuisses.

 Danielle se retourne et sa mère l'oblige à s'étendre sur ses genoux. J'ai ses pieds qui touchent mes jambes. Danielle garde ses jambes serrées l'une contre l'autre, ça me cache ce que j'aimerais regarder le plus, mais ses fesses sont si belles que je me contente de ce que je vois.

En lui immobilisant un bras dans son dos, Ma tante commence à lui claquer les fesses. Toujours en la sermonnant sur son comportement, elle claque avec force et très rapidement. C'est comme sur les sites que je regarde et les filles crient pour que cela arrête, c'est la même chose. Les jambes de Danielle commencent à se balancer par la douleur qu'elle commence à ressentir et je peux entrevoir son petit trésor qu'elle ne voulait pas me montrer. Sa mère arrête et je constate que ses fesses ne sont plus blanches, mais rosées, presque rouges, et Danielle pleurniche et essaie de se déprendre, mais est toujours tenue immobile par sa mère.

Benoît, donne-moi la palette que j'ai posée sur la table dans le coin là-bas, me demande ma tante. Je n'en n'ai pas fini avec ta cousine, elle mérite encore plus que quelques petites claques. La vraie fessée commence, dit sa mère, les fesses vont lui chauffer encore plus. 

Non, non maman, je t'en supplie pas la palette et devant Benoît en plus s'il te plaît pas ça. Danielle, encore étendue sur les genoux de sa mère, essaie de se protéger les fesses avec son autre main libre, mais n'en est pas capable. Quasiment en équilibre, sa tête est dans le vide et ses jambes aussi, elle est à la merci de sa fesseuse.

Moi, gêner de me lever nue devant ma jeune cousine Jacinthe et ma tante avec une érection raide comme une barre. J'essaie de rester dos à elles et je me rends à la table qui est à l'autre bout du salon en prenant soin de ne pas cacher mon érection . Je me souviens très bien de ce que m'a dit ma tante. Je reviens vers elles en dévoilant tout de mon anatomie et c'est humiliant, c'est ce que veut ma tante, me faire honte et elle a réussi. Merci Benoît, maintenant reste debout, j'aime ça, te regarder la queue raide, c'est mignon, me dit-elle, et en même temps qu'elle dit ces paroles-là, elle regarde Jacinthe qui, elle aussi, est surprise par ce qu'elle voie. Benoît, tu vois ta petite cousine, elle est toute contente de te regarder, elle aussi, fait son éducation.  À dix ans, elle a le droit et est en âge de commencer à découvrir de belles choses. Danielle aussi me regarde même si elle a la tête dans le vide et les fesses en feu, elle prend le temps de me regarder. Je suis debout juste à côté d'elle et je commence à redevenir plus à la normale, je me sens gêner d'être regardé ainsi. 

Assois-toi ou tu étais Benoît me demande ma tante. J'obéis et retourne n'asseoir.

  J'entends ma tante dire Danielle, tu la mérites cette humiliante punition, tricher et frauder ce n'est pas la manière que je vous aie éduquées. Ma tante commence à claquer les fesses de sa fille avec la palette de bois. Ça doit faire un mal de chien, j'entends le bruit qui résonne dans tout le salon et ses fesses virent encore plus au rouge. Danielle se débat, ses jambes bougent dans toutes les directions, la douleur est trop intense. Danielle ne s'occupe plus de sa pudeur et me laisse voir tout ce que j'espérais voir. J'aperçois très bien sa belle fente rosée quand Danielle ouvre les jambes en essayant de fuir les coups de palette qu'elle reçoit sur ses belles fesses.

Danielle qui crie, pleur, essaie d'éviter les coups, supplie sa mère d'arrêter. Mais ma tante est bien décidée à lui donner une solide correction et ne modère pas, elle change la palette de main, son bras commence à être fatigué. De son autre main, elle continue à frapper le derrière de sa fille aussi fort. Ma tante fine par arrêter la fessée et me donne la palette de bois, je constate que les fesses de Danielle sont rouges, elle doit avoir un mal de chien. Ma cousine pleure comme une petite fille et sa mère lui frotte ses fesses en la laissant reprendre son souffle et se calmer.

Lève-toi maintenant Danielle et mets-toi à genoux au centre, mains sur ta tête. Danielle se relève péniblement en se tenant les fesses à deux mains et pleurnichant, j'aime la regarder nue. À quinze ans, ma cousine est devenue une très belle fille et j'en profite pour la regarder. C'est la première fois que je la voie nue et c'est la première fille aussi que j'ai le plaisir de regarder nue à quelque centimètre de moi.

Ma tante me sort de mon fantasme en me claquant sur une cuisse. Debout toi aussi Benoît et mains dans le dos. Je veux que tes cousines te regarde nu toi aussi, ce n'est pas juste a toi de te rincer l'œil. J'ai promis à ma sœur que je t'enlèverais l'envie de demander à faire des cochonneries à des filles, je vais assez t'humilier durant tes vacances ici avec nous que l'envie va te passer. Au même moment que je me lève, Miranda et sa mère entre par la cuisine pour nous rendre visite. 

C'est vrai Linda (C'es le prénom de ma tante) tu m'avais déjà parlé de ce qu'avait demandé Benoît a sa sœur et c'était dégueulasse surtout à sa petite sœur de 10 ans en plus. Si c'était mon fils qui aurait demandé une cochonnerie pareille à Miranda, il se serait fait chauffer les fesses à la ceinture et nu devant sa demi-sœur. On arrive juste au bon moment, je vois, tu es en train de punir Benoît aussi, Miranda et moi, on va regarder ce beau jeune homme, s'il veut bien enlever ses mains et nous laisser le regarder.

Ma tante me claque les fesses et m'ordonne de retirer mes mains de mon entre jambe. Laisse voir à Miranda ton intimité Benoît. Je veux te montrer ce que c'est être humilier nu. j'avais eu le réflex de cacher mon intimité devant Miranda et sa mère qui sont apparues à l'improviste. Je n'ai jamais été aussi gêné qu'aujourd'hui. Je n'airais jamais penser que d'être nu devant un paquet de filles est si humiliant

Après quelques minutes à être exposé nu, ma tante me redonne mon legging et mon tee-shirt, enfin je peux me rhabiller. je reste gêner pareille mais je suis plus à l'aise habillé. Ma tante oblige à sa fille d'aller chercher les travaux spéciaux  dans sa chambre que le directeur lui a donné à faire pour ce soir. Deux copies de 200 lignes et de revenir ici pour qu'elles les fassent devant sa mère. 

Mais maman, dit Danielle, je vais les faire dans ma chambre. Je reviendrai te les montrés plus tard quand j'aurai fine de les faire. 

Non, répond ma tante, tu montes les cherchés et revient ici et tu restes nue. Tu es en punition pour le reste de la journée. À ton retour tu t'assoie ici a la table et tu fait ces devoirs.

Pour ma première journée de vacances chez ma tante, cela commence bien, ma cousine que je vais voir nue toute la soirée. J'espère juste que ma tante ne me fera pas enlever mes vêtements comme plus tôt cette après-midi, j'ai déjà été assez humilier pour aujourd'hui.

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...