jeudi 1 septembre 2022

Vicky et ses colocs découvrent leur nouvel institut

 

 

 Vicky et ses amies Barbara et Amanda ont toutes trois commencé de nouvelles études universitaires. Depuis une semaine qu'elles fréquentent leur nouvel institut, qui se nomme, l'institut universitaire St-David. Après leur mauvaise expérience avec la sœur de d’Amanda, Jasmine, qu'elles essaient d'oublier. Elles aiment bien leur nouvelle vie d'étudiante et vont découvrir un aspect de cette vie étudiante dont elles ne s'attendaient pas et vont l'aimer.

Institut universitaire St-David qui est uniquement pour filles est très bien reconnue pour sa qualité, son professionnalise en enseignement. Mais aussi pour sa discipline, ses règlements très stricts. Les dirigeants ne se gênent pas pour punir ceux qui ne respecte pas les règlements établis. 75 % à 80 % des étudiantes qui fréquentent l'établissement sont envoyées par la justice de plusieurs provinces.

 

Ce sont des filles qui ont été condamnées pour des crimes non violents et les juges les envoie à l’institut. C'est mieux les envoyer aux études, ou à l'ouvrage, selon leur choix, qu'elles perdent leur jeunesse en prison, se disent plusieurs juges. Et ça leur évite un casier judiciaire à leur dossier. Soi les études payées par l'état ou travailler obligatoirement à l'institut pour la durée de la condamnation en ayant un salaire. Tout dépend du choix de la condamnée. L’autre partie des étudiantes viennent par eux même ou ce sont leurs parents qui les inscrivent et tiennent à qu’elles soient éduquées sévèrement, et ils payent cher pour que leurs filles étudient ici.

 À la direction de St-David le recteur en ses adjoints, ce sont les mêmes que l’institut St Thomas qui est à quelques kilomètres d'ici, ils dirigent les deux places. St-Thomas est un lycée destiné au 15 à 19 ans, et St-David, une université, pour les jeunes adultes de plus ou mois 20 à 25 ans.

Vicky et ses amies et colocs, Barbara et Amanda, elles aussi, sont inscrites par l’entremise de leur employeur qui paye leurs études. C’était la condition de leur employeur pour qu’il leur paye leurs études de venir ici à St-David. Vicky et Barbara en droit international, et Amanda, c'est pour devenir sommelière. 

 À leur deuxième semaine de fréquentation à l’institut, aujourd’hui, jeudi, ici c'est la journée ou le comité de discipline convoque ses accusées mais en imitation procès. Pour Vicky et Barbara ce matin, c’est l’initiation à la simulation de la dite cour pénale qu'ils appellent ici. 

C'est seulement à l'intérieur des murs de l'institut que ça se déroule (un genre de comité de discipline) mais en petit procès individuel et public en même temps qui se déroule ici dans l'amphithéâtre, comme à tous les jeudis matin. Vicky et Barbara y assistent. Elles sont avec leur groupe d'étudiantes en droit une vingtaine en tout. C'est petit procès d’étudiants qui ont transgresser les règlements établis ou fait des bêtises durant leur semaine et ont été convoquer devant un comité de discipline appelé tribunal.

 Les procès qui se déroulent à l’amphithéâtre de l’institut à tous les jeudis matin sont là juste pour la forme. Le principe de donner une petite chance a l’accusée de se défendre, et une toute petite pratique pour les étudiants en droit. Ce sont tous des étudiantes ou employées qui sont jugées pour des manquements aux règlements durant la semaine. Des procès vraiment cour qui n’est uniquement qu’une formalité. À la place d’un comité de discipline qui étudie la cause de l’étudiant et que le comité applique les peines déjà préétablies, c'est une autre manière d'opéré.

 Ce sont les juges qui sont des étudiants dernière année en droit qui détermine la punition entre eux, superviser bien sûr des profs qui approuvent les sanctions. Il y a deux juges, des étudiantes de dernière année en droit, des finissantes. Une avocate de la défense que l’accusée a choisie elle-même si elle le désire, parmi les étudiantes aussi en droit de troisième année. Et bien entendu la poursuite représentée par une étudiante aussi en droit.

C’est presque identique au procès qui se déroule au civil, mais interne, cela ne sort pas de l’institut. Et aucune image vidéo n’est permise pendant l'exécution des punitions qui s'ensuivent. Les mobiles ou appareille photo sont totalement interdits pour tous ceux qui assiste aux séances de punition dans l'après-midi. Les accusées sont convoquées la veille, soit le mercredi soir après les cours. Elles doivent tous passer la nuit dans des cellules aménager à quelques pas de la grande salle. 

Et un peu comme dans une prison, les accusées doivent tous remettre leurs vêtements, leurs bijoux, leurs montre, chaussures etc… 

Une jaquette comme tout le monde l’appelle ici, blanche et quasiment transparente, qui arrive aux genoux et très décolleté leur est remise. C’est le seul vêtement permis pour passer la nuit en cellule et passé devant les juges le lendemain. Le matin les accusées passent aux douches, c'est obligatoire avant de ce rend à la cantine pour le petit déjeuner. Pieds nus et vêtus que de leur jaquette pratiquement transparente et assez bien décolletée, les accusées qui portent ce vêtement attire beaucoup de regard. 

Tout le monde dans cet institut et les nouveaux qui le découvrent l’apprennent très vite qu’une personne qui porte uniquement ce vêtement blanc marqué dans le dos d'une inscription (département de discipline) est accusé de quelques chose, et sera condamné dans la journée à une punition corporelle. Et tous sont invités à assister au procès et a la sentence administrée selon leur disponibilité. Après le petit déjeuner, les accusées reviennent aux cellules et attendent qu’elles soient appelées devant les juges.

La première qui est au banc des accusées, c'est Clarisse, une étudiante de 23 ans en sport de troisième année et très rebelle. Une jolie blonde, cheveux qui descendent au milieu du dos, belle poitrine dont on peut à peine distinguer la forme dans sa jaquette, les mamelons sont bien visibles dreser dans la jaquette, ils veulent percer le tissu. Elle est ammener devant les juges pour harcellement. La jaquette n’étant pas ajustée, serré et tombe droite, ne nous laisse pas voir les formes de son corps. Seul le bas de ses jambes et ses pieds sont visibles. La prof dit a ses étudiantes que cette Clarisse l’an dernier a été plusieurs fois punie, c’est une habituée des punitions et dès le début de sa nouvelle année, elle est déjà en punition.

 Elle est accusée d’avoir harcelé une autre étudiante sur les réseaux sociaux durant la période des vacances cet été. Elle et son avocate ont essayé d’argumenter, de prouver son innocence. Rien à faire tout est contre elle. E-mail, texto, message haineux sur les réseaux sociaux. Les juges l’ont déclaré coupable en à peine 10 minutes. Les procès ici n’excèdent presque jamais plus de 10 minutes en général, et les décisions rendues sont sans appel. 

Étant donné que le geste est considéré comme grave et répétitif, elle est condamnée à recevoir 50 coups de canne ou autre instrument au choix du bourreau. Une des deux juge lui lit la condamnation. Mlle quand les punitions excèdrent 25 coups, c'est en deux séances d’un intervalle d'une semaine que s’applique la punition. Donc cette après midi vers les 14 h la première partie vous sera appliquer.

 Mlle, vous serez attacher debout par les poignets, bras écarté de chaque côté de votre corps et nue au centre de la scène ici. Vous recevrez une première série de vingt-cinq coups, et vingt-cinq autres jeudi prochains ici aussi à 13 h 30. Dans la même position. Pour la prochaine semaine, vous perdez le droit de porter l’uniforme de l’institut, alors c’est la tenue de punie qui est obligatoire pour vous. Tous les matins à 8 h vous allez vous présenter au bureau de la sécurité. Vous devez remettre tous vos vêtements civils, le port de l’uniforme vous est interdit. La responsable va vous remettre le vêtement appeler jaquette pour assister à vos cours. D’ici à votre sentence, vous retournez assister à vos cours pour finir votre matinée. Après le déjeuner de ce midi, vous revenez ici aux cellules, le personnel s’occupera de vous préparer pour votre sentence. Au suivant.

Vicky et Barbara sont dans les premières rangées de la salle à regarder la pauvre fille qui sera punie cette après-midi, et elles se regardent. Elles se demandent comment elles réagiraient si elles seraient à la place de cette fille-là, Clarisse.

Vicky

Je n’aimerais pas ça, être condamnée à cinquante coups de canne. Les fesses doivent te faire terriblement mal. Et en plus nue devant du monde tes amies et tes camarades. Tout le monde dans l’institut a le droit de venir assister à ta punition, regarde autour de nous, il y a pas mal de monde et ce sont juste les procès bidon. En plus il y a une caméra qui retransmet les images sur les deux gros écrans dans la salle, tu es en gros plan devant tout le monde. Le week-end dernier, la sœur d’Amanda, Jasmine nous a fait mettre a poil. Et elle m’a claquée les fesses avec sa brosse et j’ai eu mal aux fesses toute la soirée, et la gêne d’être nue aussi m’a marquée. Tu t’imagines se promener devant des centaines de personnes avec seulement comme vêtement cette ridicule jaquette quasi transparente. Ouverte du devant, tes nichons presque à l’air, comme a été obliger de se présenter en public Clarisse ce matin, et qui annonce à tous que tu vas être punie dans quelques heures.

Quelle humiliation !

Et elle va être montrée nue, sûre, c'est écrans géants en gros plan, comme la prof, nous là expliquer plus tôt pour que tout le monde voie bien ce qui se passe sur la scène. Moi, ça me fait peur, si c’était moi, je serais en panique. Nue ici dans le milieu de cette scène devant une centaine de personnes et plus à recevoir une fessée à mon âge. Je te le dis, Barbara, je paniquerai. Et quelque heures plus tard, en retournant à tes cours, tout le monde doit te regarder circuler dans les couloirs en riant et te matant le derrière. Ils doivent tous se demander si tu es capable de poser tes fesses sur ta chaise.

La professeure de Vicky et Barbara les informes que sur tous les tableaux électroniques de l’institut le nom des condamnés le déroulement de leur punition l'huere la sorte de punition va être indiquer. Cela veut dire que nombre de coups, l’instrument qui sera utilisé, la tenue de la punie aussi. Sur tous les tableaux de l’institut. Comme elle Clarisse, c'est nu qui sera écrit, et l’heure que la sentence sera indiquer pour que tous les gens soient informé. 

 

Il c’est dérouler 5 autres procès qui ont duré environs 10 minutes chaque, durant la matinée.

Une fille de deuxième année a été condamner à recevoir 15 coups de tawse. Attaché sur le chevalet et nue elle aussi.

Deux autres filles de troisième à 10 coups de canne penché, jaquette relevé, fesses à l’air.

Et deux autres filles de deuxième à dix coups, elles aussi, mais à la salle à manger, debout devant les gens, mais sur la jaquette sans être obligée de se dénuder. La prof dit que c’est assez fréquent, tout dépend de la graviter des actes reprocher, et le nombre de fois qu'elles ont comparus ici devant le comité. Mais c’est humiliant pareil même si elles s’évitent la nudité public. Recevoir une fessée en public a 20 ans et plus ce n'est pas du tout plaisant.


La matinée à passer assez vite et c’est maintenant l’heure du Déjeuner. Déjà 11 h 30, la prof de Vicky et Barbara leur indique qu’elle ira les rejoindre à la table dans la salle tout près du centre ou elle et ses étudiantes ont l’habitude de s’installer pour manger. Amanda rejoint ses deux amies et elles commencent toutes à manger avec les autres.

Amanda demande à Barbara pourquoi il y a des filles qui sont vêtue que d’une jaquette blanche et qui en cache si peu. C’est la première journée qu’il y a des étudiantes habillées bizarrement comme ça. Sont-elles malade? Elles sortent de l’infirmerie ou quoi ? personne ce matin ne m'a répondu quand je leur ai demandé


Barbara --

Non Amanda, c'est filles recevrons une punition cet après-midi, regarde le tableau à ta droite.

Les deux premiers noms.
Nancy L
et Sally R
Elles ont toutes les deux été condamnées à recevoir dix coups de palette de bois ici dans cette salle a 12 h 10 ici au centre de la salle. C'est la première fois que je vais voire quelqu'un recevoir une fessée devant moi. Mis à part ta foutue sœur de l'autre semaine qui nous a tous chauffé les fesses. Mais je n'avais pas pu vous regarder vous faire chauffer les fesses moi-même, je me fessais chauffer les fesses.


Ce sont les deux filles qui sont assises à la table dos nous en jaquette. C’est le vêtement que doivent porter les accusées ici, contrairement à St Thomas ou les étudiants sont souvent exposés nus dans les corridors et a la salle à manger. Ici, c'est à l’amphithéâtre à tous les jeudis que se déroule les plus dures punitions.

J’ai mon après-midi libre dit Amanda, mon prochain cours n’est que demain matin alors si je comprends bien ce qui est écrit sur le tableau, je peux aller assister à ça moi aussi.
Oui, vient, c'est permis, c'est ouvert à tout le monde d’ici, leur disent ses amies.
Il y a deux filles habillées en uniforme de sécurité qui approche des deux filles derrière Amanda.
Nancy L. levez-vous, dit une des deux agentes.
Sally R. debout vous aussi.
Suivez-nous toutes les deux, nous devons vous faire prendre position pour votre punition.
La prof de Vicky rappelle aux filles que ce qu’elles ont entendues ce matin au tribunal s’applique présentement. À la sortie du repas, les punis pourront récupérer leur vêtement et se débarrasser de ces jaquettes-là, et remettent leurs chaussures. Mais juste quand la période du repas sera terminer, pas avant.

Vicky

Pourquoi les six filles qui sont punies sont obligées d’être pied nu ? Ce n’est pas nécessaire qu’elles soient pieds nus. Les planchers doivent être froids, et ce n’est pas confortable. Demande Vicky a sa prof.

La Prof

C’est dans les règlements Vicky çà fait des années. Quand un accusé est convoquer et doit se présenté au Bureau des accusées ou plutôt le bureau de la sécurité qu’on s’en va visiter à l’instant. Il y a automatiquement un dossier en discipline qui se rouvre pour sa comparution. La première chose qu’ils font ensuite, c'est de lui faire enlever son uniforme de l’institut et tout le reste de ses vêtements pour la douche, employé ou étudiant pas de différence. Les effets personnels sont rangés dans des casiers sous clef. Ensuite, c'est la douche et après, c'est la fameuse jaquette qui lui est remise. Aucun sous-vêtement, aucune chaussures ou bas, rien que la jaquette pour ne pas que la personne ne soit nu pour passer la nuit en cellule, c'est tout. le jour seul les employées peuvent remettre leur chaussure pour travaillé, question de sécurité. Les étudiants c'est pieds nus.


Et rappeler vous que ces filles-là n’ont rien sous la jaquette, donc chaque coup reçu est presque direct sur les fesses, pas de jupe ou de culotte, rien que le mince morceau de tissu qui cache les fesses. C’est toujours mieux que nue, mais les fesses te chauffe et rougisses autant que si les coups seraient donnés sur la peau directe. Je l’ai déjà essayé. Les dirigent ici oblige le personnel à faire l’essai d’une des punitions qui se donne ici. Et on n’a pas le choix, il faut en faire le teste, c’est dix coups minimum. Les fesses te font mal longtemps, je m’en souviens encore très bien même si sa date de pas mal, tu n’oublies jamais.


Les gens dans la salle regardent tous ci qui se passe au centre ce midi. Les deux filles sont installées une à côté de l’autre main sur leur tête et attendent. Plusieurs s’approchent avec leur mobile pour prendre les punis en photo. On se fait dire qu’ici, c'est permis de prendre des photos des punis, car les punis ne sont pas nus, ça s’ajoute à l’humiliation de la punition d’être prises en photo.

Une prof se présente avec deux autres femmes. C’est deux femmes qui s’installent de chaque côté des punis sont celles qui vont administrer la punition, dit la prof de Vicky et Barbara. Elle leur dit qu’il n’y a qu’une dizaine de personnes qui ont le droit d’administrer les punitions ici.

La femme commence à lire la sentence à haute voix.

Mlle Nancy L. recevra dix coups de pagaie ce midi dans cette salle comme punition. Si la punie bouge quitte sa position pour essayer d’éviter les coups ou se protéger le coup ne conte pas il en aura un de plus d’administrer.

Mlle Sally R. elle aussi recevra dix coups de pagaie ce midi ici, et elle répète même chose pour le reste. Après sa lecture faite elle donne l’ordre aux bourreaux de commencer.


Il n’y a plus un bruit dans la salle, tout le monde reste silencieux. Plus le temps passe et plus, il y a de voyeur qui s’approche pour prendre des photos de la punition que vont recevoir les deux filles. Tout le monde regarde ces deux belles grandes filles debout, les deux mains sur leur tête et qui ont quelques larmes qui coulent sur leurs joues au centre d’une salle pleine à craquer, humilier d’être prise ainsi en photo. Elles ne sont vêtues que d’une ridicule jaquette blanche et pied nus comme les quatre autres punies qui sont dans la salle présentement ce midi, et rester assise sur leur chaise, c’est la règle parait-il.

Les bourreaux se synchronisent et frappe en même temps les fesses des deux filles. On entend un très fort bruit qui résonne dans la salle qui était très silencieuse. C’est le bruit qu’ont fait les pagaies qui se sont abattues sur les fesses des deux filles en même temps. Un deuxième et ça continue. Les deux filles ne bougent pas trop, elles savent très bien ce qui les attend si elles bougent. Elles retiennent leurs cris, mais elles grimacent à chaque coup et à l’occasion une au, l’autre n'en peut plus et lâche un cri de douleur.

Au dernier coup donner, la prof qui comptait les coups donne la permission aux filles d’enlever leurs mains de sûr leur tête. Le deux filles en pleur se frottent les fesses à deux mains. Même s'il y a des centaines de personnes qui les regardent et plusieurs continues a posé les punis, elles n’y font pas attention et se frottent vigoureusement les fesses. Quelques instants plus tard, elles se font reconduire à leur place qu’elles avaient pour le repas. Tout le monde s’amuse à regarder leurs réactions en essayent de poser leurs fesses sur leur chaise. Même leurs camarades qui sont à leur table les regardent essayer de s’asseoir. C’est pénible, mais elles n’ont pas les choix, c'est debout à la vue de tous ou assises à endurer leur mal moins à la vue.

Venez tous avec moi, demande la prof. Je vous fais visiter le fameux bureau des accusés, ou plutôt le bureau de la sécurité et discipline, le vrai nom, avant que tous les étudiants sortent. Et toi aussi Amanda, si tu le désires, suis nous.


Vicky--

Dans le couloir qui mène à l’entrée principale de l’amphithéâtre et les gymnases, nous suivons les deux femmes qui ont administré la punition. Elles ont encore en mains les pagaies et parlent avec notre professeur. Je peux entendre quelques bouts de la conversation. Une des deux dit qu’elle adore ça claquer des fesses, ça l’amuse. L’autre, elle dit quand ont puni à la salle à manger, je suis toujours surprise par le nombre de photos que les gens aime prendre de filles qui se font claquer les fesses. C’est la même chose à chaque fois, et cela me surprend à chaque fois comment les autres aime ça, regarder et surtout immortaliser ça une fille qui reçoit une fessée. Garder un souvenir de leurs camarades qui se fait chauffer les fesses.

On s’arrête a une porte bien avant l’entrée centrale pour le public. C’est marqué entrée des artistes et du bureau de la sécurité. Ma prof fait entrer tout le groupe. À droite la porte est pour les artistes, accès aux loges et technicien, on peut y lire, les quelques fois qu’il y a des spectacles nous dit la prof, c'est là que vont les artistes. Au fond, à quelques mètres, c'est le fameux bureau. Tout au long des murs, il y a des grandes affiches.

Il est inscrit sur le mur du fond

Les personnes qui franchissent cette porte son obligé de laisser leur sac à main ou tout autre objet personnel au responsable qui les rangera sous clef. La fouille corporelle est obligatoire.

À l’intérieur de ces murs, il est strictement interdit de posséder un appareil photo ou mobile ou autre appareille électronique.

Sous ses linges est détaillé les conséquences.

----Dans l’article 12, 05 de la liste des règlements, il est prévu qu’une punition corporelle d’un minimum de 30 coups, a toutes personnes qui ne respecteront cet article et utiliserons tout appareil qui peut servir à prendre des photo ou vidéo.

Une autre affiche, il est écrit

Il est obligatoire à toutes personnes qui est convoquée ici d’avoir sa lettre de convocation en main, qui contient un numéro de dossier à ouvrir.

Toute personne qui est convoquée à ce bureau doit déposer ça lettre dans l’espace prévue avant de sonner et d'attendre qu'un responsable vienne vous ouvrir.

Une des deux femmes qui nous accompagnent nous dit avant d’ouvrir la porte toutes celles qui refusent de passer par la fouille corporelle ne rentre pas. Ce refus comptera pour une absence à son dossier et qu'elle sorte d’ici. C’est obligatoire, celles qui ne veulent pas faites demi-tour et sortez à l’autre bout. Aucune d’entre nous ne recule, mais une fille demande si on se déshabille pour la fouille.

Ce n’est toujours pas à nu la fouille ? Sinon je ressors Demande Jessie.

Non les files. Pour celles qui s’inquiètent et semble vouloir paniquer. Ce n'est pas pour vous la fouille à nu pour vous tous ici. C'est juste pour les convoquées ou accusées et condamner qui sont mis à nu et fouillée ainsi, pas nous rassurez-vous, vous n’aurez pas à montrer vos fesses, mais seulement, vous les faire palper.

Moi qui suis dans les premières de la file, on me fait signe de rentrer avec trois autres, Barbara, Amanda et Katia. À l’intérieur, il y a quatre femmes qui nous attendent pour là fouille.

Une des responsables qui fait la fouille et s’occupe de me fouiller, me demande d’écarté les jambes et de relever les bras à la hauteur des épaules, étendus de chaque côté et de rester immobile. Elle se penche et commence par mes chevilles et remonte mes jambes jusqu’au haut de mes cuisses sous ma courte jupe que l’on porte tous ici. Elle fait le tour de mes cuisses et le début de mes hanches sous ma jupe. Ce n'est pas trop plaisant, je n’ai jamais subi de fouille corporelle et je déteste. La femme revient entre mes jambes et met carrément sa main sur ma chatte. Je sens ses doigts entrés entre mes lèvres même si ma culotte protège, elle insiste et pousse ses doigts dans ma fente. C’est très désagréable et je ressers les cuisses en reculant un peu.

Du calme, me dit elle, reste immobile, je ne te fais pas mal, je te caresse la chatte.

Elle monte ensuite ses mains en relevant ma jupe pour atteindre mon ventre et empoigne mes seins, les palpes. Sans gêne et aucun avertissement, elle entrouvre l’encolure de mon chemisier en détachant le premier bouton pour regarder à l’intérieur. Je suis humiliée une parfaite étrangère qui me taponne, me joue dans mes parties intimes, je déteste ça. Elle passe ensuite derrière moi. Elle redescend sa main dans mon dos, tire sur l’attache de mon soutien et le laisse revenir dans mon dos, ça m'a fait un pincement. Encore une fois, elle remet sa main sous ma jupe sur mes fesses. Mais cette fois, elle rentre sa main profondément entre mes fesses, cela fait rentrer ma culotte dans ma fente, ça m’a surprise et fait mal, j’ai poussé un petit cri de douleur. Sa main redescend entre mes cuisses et retouche à ma chatte, je lui dis que ça me fessait mal. La femme me regarde et rie. Il y a pire que cela dans la vie ma belle, réplique-t-elle. Ses doigts toujours dans ma fente. Elle prend le tissu de coton de ma culotte entre ses doigts et tire par en bas pour le sortir de ma fente et replace ma culotte pour qu’elle sorte de mon entre fesses et ma fente. Tien ma belle fille, j'ai tout remis en place.

Tu vois ce n’est pas plus long que ça se faire fouiller les parties. Avance maintenant avec les autres et elle me donne une petite claque sur mes fesses.

Ma prof qui était déjà passé avant moi a la fouille nous attendent au centre près des cellules. Ils y en a déjà plusieurs qui sont passées à la fouille. Une douzaine de filles sur 22 que nous sommes dans le groupe.

À part les cinq femmes qui sont à la fouille, il y a deux employées qui font le ménage du local. Elles aussi, nous dit la prof, qu’elles doivent subir une fouille à chaque fois qu’elles entrent ici. 

 

On regarde tous les deux filles de ce midi rentrée celle qui ont reçu une punition à la salle a mangé.

Une des responsables les sépare de notre groupe. Vous venez chercher vos vêtements les filles ? Leur demande t-elles. Votre punition est terminée, donnez-moi, vos jaquettes ou déposer là dans le panier en face de vous deux s’il vous plaît.

Ici devant tout le monde ? On ne peut pas ramasser nos vêtements et allez dans l’autre pièce ? Demande Sally, l’une des deux punies. Non, répond la responsable, l’autre pièce, c'est un bureau privé. Vous enlevez vos jaquettes ici même et sa presse, allez, j'ai de l’ouvrage, vous ne voyez pas que c’est plein et j’attends d’autres punies, allez bouger. Les filles se retournent dos à nous et font passer leur Jaquette pardessus leur tête et les envoie dans le panier. On regarde tous les deux filles nues. Des petites marques rouges paraissent encore sur leurs fesses. La responsable leur fait signe de la suivre. Sally et Nancy suivent la responsable et sont obligées de traverser la pièce devant nous tout en se cachant du mieux qu’elles peuvent. Bon, lavez-vous les pieds dans les douches, il y a un savon ici, partagez-le. À marcher pieds nus dans l’édifice, vos pieds doivent être très sale. Prenez les robinets du bas au mur, c'est pour cela qu’ils sont installés si bas et venez me rejoindre aux casiers quand vous serez prête.

Je regarde Clarisse et Danielle qui arrivent elles aussi. Sur le tableau elles sont toujours indiquées pour 13 h 30 et Clarisse elle c’est la suivante, mais devancer, l’heure à changer quelque peu.

Une autre des responsables dit à Clarisse et Danielle vos jaquettes dans le panier a votre droite. Chacune de vous deux, c'est nu qu’on doit vous punir, donc les jaquettes sont de trop, enlevez là ici et assoyez-vous sur le banc à votre gauche, on s’occupe de vous.

Nous on commence à faire un tour du local pendant que les punis se mettent à nues. Deux petits écrans montrent des images de l’estrade. Une caméra est installée au fond de l’estrade, en film vers l’avant, on aperçoit en gros plan un chevalet qui est installé au centre. Je m’imagine que la fille qui sera installer dessus sera filmé en gros plan la chatte bien exposée. On aperçoit aussi des gens déjà installés dans l’amphithéâtre et d’autre à l’entrée qui passe à la fouille corporelle pour avoir accès à l’intérieur eux aussi. Les sièges du parterre sont presque remplis, c’est surprenant tous, c'est curieux qui veulent regarder l’une de leur camarade recevoir une fessée. Je ne savais pas que cela attirait tant de monde que ça les punitions corporelles qui se donnent ici. La deuxième caméra est au début de l’estrade et film vers le fond et on voit aussi le chevalet d’un autre angle.

Deux autres entre les dernières sur la liste Kali et Tania. L’une des responsables dit Mlle Kali B. et Tania d. vous deux, c'est seulement fesses à l'air que vous recevrez vos punitions. Une autre des agentes arrive avec des genres d’épingles. L’agente de sécurité roule le bord de la jaquette. En partant par le bas en montant égale tout au tour de là taille de Kali jusqu’à son nombril et attache le tissu en avant et en arrière, elle fait la même chose à l’autre Tania. Kali et Tania sont donc nues de la taille aux pieds, fesses et chatte a l’air. Vous êtes prête maintenant, leur dit la femme. Assoyez-vous à côté des deux autres Mlles, je vous reviens Nancy et Sally, elles ont fini de se rhabillées et une des responsables leur donne à chacune une carte. Les filles, leur demande-t-elle. En sortant d’ici, vous avez 15 minutes pour monter chercher vos livres et vous rendre à votre salle de cours. Votre professeur va n’envoyer l’heure de votre arrivée en salle. Si vous prenez plus de temps pour vous rendre, il y a des chances que vous soyez reconvoquée au bureau ici la semaine prochaine. J’ai l’impression que vous n’avez pas aimées votre séjour ici alors à vous de s’organiser pour ne pas revenir.


On nous demande tous de sortir par la porte qui mène à l’intérieur  de  l'amphithéâtre pour prendre place et assister aux punitions de cette après-midi.


À suivre peut-être ?

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...