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jeudi 20 octobre 2022

Amanda en visite adore assister à la punition que d'autres filles reçoivent

 

    Journée de congé pour moi et mes colocs. J’en ai profilé ce matin pour me mettre à jour dans mes travaux scolaire. Mes deux colocs Vicky et Barbara ont fait la même chose que moi. Juste avant d’embarquer dans la douche, je demande à mes deux copines s’ils veulent regarder un film, d’accord, me répondent-elles. Donc j’embarque dans la douche, elles en font de même elles aussi. En ressortant de la douche, je décide de ne rien me mettre sur le dos, allez regarder le film nue. Étant que nous trois à la maison je prends une chance et vais les rejoindre, mais entièrement nue.

Ça fait quatre mois que nous vivons ensemble et depuis l’incident avec ma stupide  sœur et son copain, ç'a réveillé en nous un désir qu’auparavant, on n’avait pas. Avant, c'était une grande amitié, mais maintenant, c'est beaucoup plus.

Je suis mal à l’aise, ma chambre etant au deuxième, je descends pareille nue à la salle de notre cinéma maison, et je vais les rejoindre sans savoir comment elles, elles se sont habillées. Souvent, c'est seulement une nuisette qu’on a l’habitude de portée pour se détendre entre nous., mais aujourd’hui, je passe à autre chose.

Les filles me regardent entrer dans la pièce toute surprise de me, voire apparaître devant elles nue.

Barbara

Amanda, tu nous surprends de jour en jour, descendre nue en au beau milieu de la journée, c’est vrai qu’on est seul dans la maison et il fait vraiment chaud. Je regarde Amanda qui passe devant moi et Vicky. Elle est superbe à regarder nue, elle n’embrasse et ambrasse Vicky. Amanda s’allonge ensuite sur le sofa à notre gauche. Je pense, ça vire dans ma tête, j’ai le goût d’enlever ma nuisette. Bon, je me décide et l’enlève, je fais comme Amanda et tire ma nuisette dans le coin de la pièce et va la rejoindre. Amanda se relève, s’assoit pour me laisser une place. Vicky son tour se met nue et on se regarde tous les trois.

Bon les filles, je commence le film. Le film commence et on se colle les trois, l'une sur l'autre. J'ajuste le son assez fort, et on essaie de se concentrer sur le film qui commence. J'ai un peu de misère avec ça, ma concentration. D'avoir Barbara nue et bien collée sur moi à ma droite et Vicky à ma gauche et elle aussi nue me fait perdre le fil du film comme on dit.

Dix minutes plus tard, sans que l’ont sen aperçoivent, notre propriétaire et patronne arrive avec deux de ses filles.

Bonjour les filles ! Je vois que tout va bien ici, qu’on entend au travers du son de notre film.

Je me retourne et dans la noirceur, j'aperçois Claude et deux autres personnes avec elle qui sont juste à mes côtés.

Je m’empresse de me cacher du mieux que je peux, gêner d’être nue devant ma patronne. Claude et ses deux filles se tiennent juste entre moi et la salle de bain, j’airais aimer aller me chercher une serviette, mais le chemin est bloqué, donc je suis debout devant elles. Vicky et Amanda aussi essaie de rester le plus possible dos à elles, elles sont aussi mal à l’aise que moi.

N’ayez pas honte les filles, c'est moi qui aurais dû appeler avant de venir. Mais je ne le regrette pas, trois jolies filles nues, j’adore ça. Je vous présente deux de mes filles Marie à ma droite et Patricia à ma gauche. Patricia, Marie, je vous présente Amanda, Vicky et Barbara. Les trois travaillent avec nous en plus d’aller à l’institut universitaire St-David.

Amanda

Je suis gênée de donner la main à des étrangers nue, même si on c'était et déjà croisées à quelques reprises, jamais, on ne s'était présentées officiellement. C’est une drôle de manière et surtout humiliante de se faire présenter nue, mais je leur donne la main, pas le choix la politesse oblige, tout en leur donnant un petit bisou. Je m’empresse ensuite d’aller chercher une serviette et que j’enroule autour de moi pour me cacher. Mes deux amies ont réussi à atteindre leur nuisette et les enfilent. Là, je suis un peu plus décente, même si la serviette en cache le minimum, c’est mieux qu’entièrement nue.

Claude

Ne vous en faite pas les filles ne soyez surtout pas gêner, on a l’habitude chez moi de se, voire nue. À la maison, on est souvent nue davantage autour de la piscine. Nous trois, on a même pensé venir vous inviter nu, mais j’ai décidé d’enfiler un paréo. Je trouvais ça plus décent pour venir ici, c’est la première fois que vous voyez Marie et Patricia donc on a mi chacun un paréo pour la présentation.

Les filles excusées-moi de vous déranger dans votre relaxation, mais je suis ici pour vous inviter à passer la journée avec nos tous. Vous aurez l’occasion de connaître toutes mes filles et ma demeure aussi. Vous n’avez jamais eu l’occasion de venir la visiter et de connaître tout le monde aussi.

Vicky

Bon Claude, moi, j'accepte ton invitation. Donne-moi trente minutes pour m’habiller et je monte chez toi. Barbara et Amanda me suivent, elle accepte l’invitation, elles aussi.

Bon, suivez nous les filles, vous êtes déjà bien comme ça nous dit Claude, laisser faire pour l’habillage. Nous aussi, on n'a pas plus de vêtement qu’un paréo, c’est suffisant.

En quittant la pièce. Je suis Claude et ses filles, quand elles sortent de la pièce qui est sombre et elles passe dans la lumière du jour et que cette lumière traverse leurs vêtements, je me rends compte qu'elles sont nues sous leur paréo.

C’est bien Claude, dans quelques instants, je serais chez toi le temps d’enfilé une robe. Amanda, elle aussi, veut se couvrir un peu mieux qu’une simple serviette.

J’enfile une culotte, fesse à l’air, ce n'est pas mon habitude et avec ma petite robe rose que je trouve très courte pour être en public, ça nécessite une culotte. Mais pour ma visite chez Claude, ma petite robe fera l’affaire même si elle est courte. Je redescends au salon pour attendre les deux autres. En me regardant dans le grand miroir, je me penche jus un peu et ma culotte apparaît, j’ai bien fait de mettre cette culotte sous ma robe, me dis-je. C'est ma soeur qui me l'a donnée et elle est courte pour moi.

Barbara et Amanda me rejoignent et elles aussi ont de très courtes robes. Barbara lève sa robe pour me montrer qu’elle a mi une culotte elle aussi. Ne vous inquiétez pas les filles, nous dit-elle. Ma robe est courte, mais je n’ai pas pris de chance, j'ai une culotte sous ma robe pour me cacher les fesses au cas où.

Tous les trois rendus à la maison de Claude, on rentre, c'était la consigne de rentrée sans sonner ou cogné.

Marie est dans le salon et est en train de lire portant toujours son paréo. Deux autres filles arrivent d’une pièce un peu plus loin. Marie nous les présente. Sacha et Maryse, deux autres parmi les 10 filles qui restent dans ces immenses maisons.

Marie nous montre le chemin pour se rendre à la terrasse ou Claude nous attend.

Quand nous sortons sur la terrasse, on aperçoit Claude. Elle est assise sur un fauteuil presque dos à nous et regarde son mobile. Mais en s’approchant d’elle, Amanda me dit Claude me semble nue ou c'est moi qui voie mal. Moi et Barbara, on la regarde se lever pour nous accueillir et on constate aussi qu’elle est nue.

Bonjour les filles, nous dit Claude. Je suis contente que vous soyez enfin arrivées. J’avais hâte de vous recevoir, pouvoir passer une journée ensemble. Depuis que vous avez aménagé ici, on n'avait jamais réussi à se voir autrement que par le travail.

Claude nous regarde et lève ma robe par en arrière.

Je vous avais pourtant dit que vous étiez correcte avec vos nuisettes, ce n’était pas nécessaire de vous changer, vous donner le trouble de vous mettre chic. Regarde-moi comment je suis vêtue. Ici, quand on profite de la piscine, on n'a pas besoin de vêtement. Et cela existe depuis des décennies. Du temps de mes parents, c'était comme ça et c’est encore comme ça.

Ça me gêne qu’elle me remonte la robe et regarde ma culotte, mais Claude est nue devant moi et sans gêne elle. Et je la touve suberbe.

Au même moment que Claude nous dit ça, quatre autres filles arrivent de l’autre maison un peu plus loin. Et elles aussi sont nues. Des filles que nous connaissons déjà, on travaille avec elles au vignoble.

Vous connaissez sûrement mes filles nous dit elle. Elles aussi travaillent au vignoble avec vous.

Un autre moment embarrassant. Rencontrer des collègues de travail et filles de notre patronne qui sont nues chez elles, cela me mets mal à laise de les regarder, et surtout de voire qu'elles n'ont aucune pudeur, aucune gêne. C’est comme si c’était naturel pour elles de se promener nue devant nous trois qui sont en visite cic chez elles.

Vous voyez, personne ici ne se cache, c'est tout à fait normal autour de la piscine de se promener nus. Faite comme nous et enlevez-moi ses robes. Allez-vous serez plus confortable pour profiter de la piscine, après je vous fais visiter notre domaine.

Je regarde Amanda et Barbara et elles enlèvent leur robe. Je me résigne à faire comme elles pour ne pas être à part, et moi aussi, je fais descendre ma robe à mes pieds, il me reste que ma culotte tout comme Amanda et Barbara. Le pire pour moi, c'est ma culotte. J’hésite en gardant un de mes bras croisé sur ma poitrine. Amanda, elle aussi, n’ose pas Claude, vient vite autour de moi et s’occupe de me la baisser ma culotte. Et Judith, une des filles de Claude s’occupe d'Amanda.

Pas le choix, nous disent-elles, c’est comme ça ici. Je pile sur ma pudeur et ramasse mes vêtements et les envoie sur une des tables qui sont là-derrière nous. Amanda fait de même. Ça m'a fait un effet bizarre d’être nue devant d’autre, mais je ne suis pas la seule à nue, je m'y habituerais sans doute comme elles.

Barbara regarde Véronique plus que les autres, surtout ses fesses. Moi aussi, je remarque qu’elle a les fesses avec des marques rouges, des marques qui ressemblent à des lignes des marques qu'une canne peu laisser sur la peau. Véronique essaie de se cacher les fesses du mieux qu’elle peu, mais quand elle se retourne on s'en rend compte, c'est bien visible.

Claude

 

Je m’aperçois que vous regardez Véronique, davantage ses jolies fesses, vient ici Véro.

Véronique s’approche tranquillement.

Tourne-toi et montre-nous ton derrière, nos invitées veulent le voire. Je pense plutôt qu'elles veulent  savoirs, pourquoi tes fesses ont des traces rouges.

Hier après-midi a l’institut Véro a voulu défier les autorités de l’institut. Elle, Jessica et deux autres ont décidées de sortir de l’institut et manquer leur dernier cours de l’après-midi pour aller fumer dans le parc municipal a quelques coins de rue de l’établissement. La direction de l’institut m’a contacté et m’a avisé qu’elle est convoquée au bureau de Mlle Letarte lundi matin à 8 h. C’est la directrice de la disciple a ST-Thomas. Elle sera en punition pour une partie de la semaine.

C’est la deuxième infraction qu’elle commet ce mois-ci, et cela lui vaut une punition public a ST-Thomas. Et moi quand une de mes filles est en punition à l’institut, elle reçoit la même chose ici, c'est la règle de la maison.

Quand elle est rentrée hier, je l’attendais. Elle a passé sur mes genoux et c’est fait rougir les fesses a nouveau même si dans la journée à l'institut il l'avait puni moi aussi je lui ai redonner une solide punition. Après la fessée a la main que je lui ai donner, je lui ai fait goûter à ma canne.

Amanda-

Je n’ai jamais fréquenté cet institut, mais mon demi-frère est là à ST-Thomas. Et je connais bien leur méthode pour punir les étudiants indisciplinés.

Marie qui vient nous rejoindre avec Sacha et Maryse me demande comment s’appelle mon demi-frère.

Gino, il s’appelle Gino et il en deuxième année a ST-Thomas.

Oui on le connaît me répondent-elles plusieurs des filles présente, tous en même temps.

Marie

Il a été puni pendant une semaine le printemps dernier avec Fabien, son inséparable ami et une de nos professeures. Il a été pris à tricher lui et Fabien, c'est notre professeure qui leur avait fourni des réponses à un examen de contrôle. Lui, Gino la profe et Fabien ont été punis dans la salle à manger. Fabien et son ami et ont passé la semaine fesses à l’air et à nous montrer leur zizi

Amanda

oui, je le sais, mais je ne l’avais jamais revue depuis la semaine dernière.

Il a été sévèrement puni d’après ce que vous me dites les filles ?

Oui Amanda lui Fabien et Mlle Garcia notre Prof de langue. A tous les matins, ils étaient tous les trois Gino, Fabien et notre prof à la salle à manger et recevait leur punition nue au centre de la salle.

C’était assez sévère leur punition ? Leur demandais-je.

Ho oui ! À tous les matins, chacun leur tour, il devait monter sur un banc installé au centre de la salle et se tenait les mains sur la tête et recevait chacun 20 coups de lanière un après l’autre. Ensuite, ils étaient obligés de débarrasser les tables à mesure que les occupants le demandaient. Ça les forçait à se déplacer nus dans la salle. Ils allaient assister a leur cours nus. Moi et bien d’autres aussi, on aimaient ça les voir circuler dans les couloirs. Mlle Garcia aussi était obligée de donner ses cours nue et les fesses bien rougies pendant toute la semaine. elle etait jolie a regarder notre profe. C'est une très belle fille.

Bon Amanda assez parler de ton demi-frère, suivez-moi je vais vous montrer le jardin et les alentour de nos maisons à Pierre mon frère et moi.

Mais nous n’allons pas, allez visiter ton terrain nu, dit Vicky. Je mets ma robe avant de partir, c’est plus normal qu'aller faire la visite nue Claude.

Non Amanda, on reste comme on n'est, pas de problème, regarde autour, il n’y a personne à mois d’un kilomètre et le voisin que tu vois est notre bâtisse, notre atelier au domaine.

Les filles si Jessica rentre avant que je sois revenue de notre promenade, je te charge toi, Marie ou une de vous de dire à Jessica quand elle rentrera, de se mettre à genoux ici au centre de la terrasse, mains sur la tête, et de m’attendre sans bouger. J’ai une très grosse discussion à avoir avec elle.

Amanda

Au retour de notre visite du domaine, Claude demande où est Jessica. Elle est entrée, nous l’avons vues toutes les quatre entrée dans l'autre maison avec deux autres filles quand nou étions plus loin, dit Claude. Pourquoi n’est-elle pas ici et en position ? Comme je l’avais demandé.

Je ne le sais pas, répond Marie, nous ne l’avons pas vue ici, probablement qu'elle s'est dirigé directement à la maison et ne voulait pas passer par ici. J’ai été l’avertir, les trois étaient dans le bureau à parler. Jessica m’a dit qu’elle viendrait te voire plus tard. Présentement, elle doit être encore dans le bureau avec deux amies à elle que j'ai déjà vues en ville. Deux filles qui vont à l'école publique. Et elles jouent sur leur mobile. Et elle m'a dit qu'elle ne voilait pas amener ses amies ici a la piscine, ça la gênait de venir nous voire dehors.

Je regarde Claude qui me paraît furieuse. je vais lui montrer qui de nous va être la plus gêner. Sans même se vêtir, elle traverse à l’autre maison et quelques instants plus tard ont la voie tous revenir avec Jessica qui suplie Claude de la lâcher. Claude la tire par une oreille, ses deux amies la suivent. Les trois filles sont vêtues d’une jupe jeans et deux portent une camisole. Jessica elle porte un tee-shirt. On entend, lâche-la, tu lui fais mal, ce n’est pas une manière de traiter quelqu’un. Ce sont ses amies qui demandent à Claude de la lâcher.

Jessica ce plain que ça lui fait mal de lui lâcher l’oreille. Ce n’est pas nécessaire de me l’arracher, lui dit-elle, je vais te suivre pareille.

Arrivé sur la terrasse, Claude oblige Jessica à se mettre à genoux devant nous tous. Ses amies nous regarde d'un air bizarre. Elles trouvent cela étrange qu’on est toutes nues ensemble et dehors surtout, autour de la piscine.

Vous êtes drôle. Dit Clara, une des deux amies à Jessica. C’est la première fois de ma vie que je voie ça une famille qui se balade à poil, en plus devant des invitées.

Où est Murielle les filles ? Demande Claude. Elle n'est pas encore rentrée de la boutique ? Maryse lui dit qu’elle vient de lui parlée et elle sera ici dans une heure environs.

Claude s’assoit sur le sofa qui face à elle et regarde Jessica.

Elle dit en parlant à Jessica, Jessica, tu es convoquée avec Véronique lundi matin au bureau de Mlle Letarte. Mlle Letarte m'a appelée hier. Ton mauvais comportement et ton absence injustifiée de vendredi m’a-t-elle dit te mérite une punition de grade trois tout comme Véronique.


 Je sais que c’est la plus haute punition à ST-Thomas et que les deux filles vont être très sévèrement punies lundi.

Tu connais très bien ce qui t’attend ici même, lui demande Claude. Et explique-moi pourquoi tu n’es pas venue coucher hier ? Lui demande Claude. Je t’attendais ici avec la ferme intention de te punir, comme je l’ai fait avec Véronique, mais, tu n’as jamais répondu à mes appels. En plus tu empestes la boisson, je suis stricte avec la boisson et ça aussi, tu le sais. Je ne tolère pas que vous conduisiez quand vous avez prises de la boisson alcoolisée, et ça t’inclue dans le vous. Tu viens juste d'arrivée avec la voiture.

Je regarde Jessica à genoux devant nous qui regarde le sol. Elle n’ose pas, répond à Claude. Jessica saie très bien ce qui l’attend. Ça me donne l’impression qu’on va assister à une bonne fessée, et c’est Jessica qui va en être la victime.

Claude —

Jessica, tu ne veux pas me répond, c’est bien regarde Véronique surtout ses fesses. Je fais signe à Véronique de venir au côté de Jessica. Véronique debout à côté de Jessica et Jessica a genoux, elle a la chatte bien rasée de Véronique jus à la hauteur de ses yeux. 

Tourne lentement et montre-lui tes fesses Véronique, lui dis-je. 

Véronique tourne sur elle-même et tout le monde regarde en même temps Jessica et ses fesses qui portent encore des plaques rouges de la punition que je lui aie donné hier.

Clara me coupe la paroleet les idées

Vous n’allez toujours pas lui donner une fessée. Elle a presque 19 ans, c'est pour des petits gamine ce traitement-là, par pour des ados. Ma petite nièce de sept ans en reçoit encore, mais c’est une petite garce, elle, pas Jessica qui est presque une adulte.

Allez Jessica, lève-toi, elle n’a aucun droit de te punir ainsi et devant nous tous à ton âge c'est humiliant.

Claude —

je me lève debout et j'arrête Clara qui s’était approché de Jessica. Toi, ma belle, tu regardes comme tous les autres ici. Et ne dit plus un mot sinon tu t’agenouilles à côté de ton amie, c’est sérieux ce que je viens de te dire, recule rejoindre les autres et ferme-toi. Même si tu es une amie de Jessica et en visite, je ne me gênerais pas pour te rougir les fesses petite impolie.

Clara recule et me regarde sans trop savoir quoi réponde. elle me regarde de la tête au pieds, trouvant ça étrange que je sois nue devant elle. Et c’est beaucoup mieux pour elle qu'elle se tranquilise.

Jessica, tu n’as pas voulu me répond alors viens sur mes genoux, je vais montrer à Clara qu’il faut toujours me respecter ici, et surtout se mêlé de ses affaires.

Jessica se lève et s’installe en travers dès mes genoux, sur mes cuisses nues. Depuis quand tu portes une jupe jeans et très usée, je dirais même finie. Je ne t'ai jamais vue porter cette jupe-là. Elle ne t'appartient pas, c'est qui, qui t'a prêté cette jupe Jessica ?

C’est mes amies qui me l’on prêter me répond elle.je me suis changer pour enlever mon uniforme de l'institut hier soir a l'appartement de Carmen, et c'est Carmen qui ma fourni des vêtements.

Amanda —

on regarde tous Jessica qui est allongée sur les genoux de Claude. Je ne voudrais surtout pas être a sa place. Déjà qu’être nue me mets mal a l’aise, être obliger de me coucher sur ses genoux comme une petite gamine serais une humiliation terrible pour moi. Mais je ressend un sensation bizzare en moi comme un genre de fantasme de me retrouver nue sur les genoux de Claude qui est nue elle aussi, c'est étrange de fantasmer sur des filles nues devant moi, ça commence a m'excitée. je n'ai jamais resenti cela avant cette semaine de regarder des filles nues et devenir excité.

Claude immobilise un bras à Jessica dans son dos. Jessica essayait de se protéger les fesses avec l'autre main et surtout, je pense, pour empêcher sa courte jupe de remontée. Mais n'est pas capable de l'atteindre. Claude commence à frapper les fesse de Jessica avec sa main droite. Une énorme quantité de claque sabbat sur le derrière de Jessica en très peu de temps. Les claques qu’elle reçoit sur ses fesses font que sa jupe remonte un peu. Les jambes de Jessica branlent de gauche à droite et de haut en bas tellement les fesses commencent à lui faire mal. On commence aussi à apercevoir la petite culotte rose qui recouvre la moitié de ses fesses et son sexe. Claude arrête et tire sur le tissu rose qui entre ses fesses.

Cette culotte que tu portes Jessica, c'est encore un vêtement que tu as emprunté. Où est ton uniforme de l’institut que tu portais hier ? et ta culotte. En relevant sa jupe sur son dos pour regarder sa culotte style brésilienne qui couvre la moitié de ses fesses.

Dans mon sac à dos, dans mon sac répond Jessica. Je l’ai rapporté dans mon sac qui est dans le living-room.

Marie ou Judith, allez chercher son uniforme et envoyer le au lavage, demande Claude. Il ne sera plus portable. Il doit être tout froissé. Et l'autre, reportez-moi la palette de bois troué et une canne de rotin, on passe à la deuxième partie de la punition.

Claude fait relever Jessica sur ses pieds. Jessica se frotte les fesses à deux mains et pleurniche.

Pas la palette s'il te plaît Claude supplie Jessica

J’entends Claude ordonné à Jessica de se déshabiller. Enlève tous tes vêtements Jessica lui dit Claude, et pose-les sur la table en arrière de toi. Remets-toi à genoux ensuite pour le reste. Attend Marie avant de traversée de l'autre côté, tu ramèneras ses bas pour les mettre au lavage eux aussi.

Judith elle est déjà revenue avec la palette et la canne.

Clara réplique. Et Carmen suit et en rajoute, elle aussi,

Tu n’es pas sérieuse avec ta palette, Jessica n’a rien fait de mal. La seule chose qu’elle ait faite, c'est de coucher chez moi et prendre une bière ce midi avec nous deux Carmen et moi. Je t'interdis de la punir plus. Clara s’approche de Jessica qui c'etait penché pour enlevé ses bas et pour l’empêcher de se déshabiller plus, mais Claude la prend par un bras et la traîne jusqu’à son fauteuil et la bascule sur ses genoux.

Clara se débat et essaie de se relever en lui interdisant de la toucher. Claude la maintient très fermement et lui donne de très forte claques sur les fesses par-dessus sa jupe en jeans. Ferme là, lui dit Claude, je vais te montrer comment on tranquillise une petite effrontée ici et Claude continue a claquer les fesses de Clara, pendant que Jessica finie de se déshabiller et s'agenouille au centre.

Arrête, ne me touche pas, tu n’as pas le droit, lâche-moi, tu me fais mal, lui dit Clara.

Je vois Carmen qui se rapproche de Claude et lui interdis de toucher son amie

Carmen essaie de s’interposer pour arrêter Claude de claquer les fesses de son amie Clara. Claude la regarde et lui dit de se mêler de ces affaires. Mais Carmen insiste.

Claude arrête la fessée qu’elle donne à Clara. Ça suffit pour l’instant ma belle. Lève-toi maintenant et a genoux à côté de Jessica. c'est un ordre, et mets tes mains sur ta tête comme Jessica, et ça presse en lui rajoutant quatre autres claques en travers des fesses. Clara obéi et s’agenouille.

Pendant que Carmen est occupée à parler à Clara, Claude saisie Carmen par un bras et l’entraîne avec elle. Claude lui fait prendre la même position qu’avait Clara sur ses genoux. À ton tour maintenant ma petite insolente. Elle lui remonte sa jupe en haut de ses fesses et saisit l’élastique de sa culotte bleu et la descend jusqu’à ses chevilles. Tu parles pas mal moins maintenant que tu as le derrière a l’air et prête à te faire rougir les fesses.

Claude commence à lui claquer les fesses, même si Carmen proteste et essaie de se protéger les fesses avec une de ses mains.

Après une cinquantaine de claque donnée sur les fesses de Carmen, ses fesses sont rendues rosées même tirant sur le rouge, Claude s'arrête. Elle frotte les fesses de sa victime qui cherche à reprendre son souffle et surtout Carmen cherche à rabattre sa jupe sur ses fesses pour les cacher même si elles lui font très mal. C'est plutôt son intimité, quel essai de nous cachée.

Claude la laisse descendre sa jupe et se frotter elle-même ses fesses. Pendant que Carmen se frotte les fesses. Claude la laisse, s'occuper elle-même de ses fesses, elle prend le bas de la camisole autour du ventre de Carmen sans que Carmen ait le temps de réagir ou de réalisée, ce que Claude fait. Claude lui remonte sa camisole jusqu’aux épaules et lui passe par-dessus la tête. Carmen n’a pas de soutien et ont lui voient ses tout petits seins.

Barbara me dit essayant de rester discrète, je ne pensais pas, voire de plus petits seins que les miens, mais ça existe. Véronique et Marie qui sont tout près de nous l’ont entendu et ont trouvé cela drôle le commentaire de Barbara. Claude aussi là entendu. Vous trouvez ça drôle les filles que Carmen la pudique se ramasse les seins à l’air, dit Claude. Elle va nous en montrer plus encore, elle va nous accompagner. C’est nu que je la veux comme nous.

C’est Judith qui est encore à côté de Claude et Carmen qui finie de lui enlever sa camisole. Perdant que Judith s’occupe de finir d'enlever la comisole, Claude défait le bouton de la jupe jean de Carmen et la fait détendre à ses pieds. Carmen proteste et essaie de retenir son seul vêtement qui est sa jupe, mais n’en est pas capable, elle est désormais nue.

Tu n'es pas ma mère ! s'exclame Carmen, tu n'as aucun droit de me punir de cette manière-là. Même ma mère ne m'a jamais punie de la sorte. Lâche-moi et enlève tes mains de sûr moi.

Claude lui redonne trois claques sur ses fesses déjà rougies. Lève-toi dit Claude. Carmen se relève en cachant ses parties qu’elle ne veut pas que l’on voie et crie à nouveau après Claude. Tu n’as pas le droit de me toucher, redonne-moi mes vêtements. Je ne suis pas ta fille et je t'interdis de me touche à nouveau, lui lance Carmen.

Tu n’as rien apprise de ta punition que tu viens de recevoir, ma belle, lui dit Claude, tes fesses ne te fon pas asser mal. je m'en occupe cette fois ci je vais te les chauffer encore plus. Les mains sur ta tête, et tu la fermes. C’est de la tête aux pieds qu’on veut tous te voir, pas a moitié. Claude lui rajoute cinq autres forte claques sur ses fesses déjà très endolories par sa fessée qu’elle vient de recevoir. Carmen obéi et place ses mains sur sa tête.

Elle ne se rase pas et Claude en fait la remarque. Tu ne te rases pas du tout, c’est très poilu pour une fille de 17 ans, c'est spécial à voir.

J’ai 18 ans réplique Carmen et si moi, j'aime ça, ce n’est certainement pas à toi de décidé comment je dois être. Normalement, c'est une partie intime que je ne montre jamais, c'est toi qui m'as forcé à me mettre à poil pour m'humilier.

Claude s’adresse à moi. Amanda, s'il te plaît, donne-moi la palette qui est à côté de toi.

Je me penche et prends la palette.

Ça me fait peur de regarder cette si épaisse palette et de m’imaginer que Claude va s’en servir pour claquer les fesses nues de Carmen. Ça doit être terrible !

Je lui donne la palette. Marie qui est à côté de moi tien encore la canne dans ses mains que lui avait demandé de ramener Claude.

Claude lui donne deux choix à Carmen en tenant la palette de bois dans ses mains en lui regardant les fesses rougis. Pauvre petite fesses ! S’exclame-t-elle en riant. Tu dois avoir encore mal à tes jolies petites fesses. Alors étant donné que tu as mal comprise le pourquoi de ta fessée que tu viens de recevoir je suppose que ça n,a pas été si douloureux. lors je peux encore en rajouté si tes fesses ne te font pas mal j'ai été trop gentille avec elles.

Je te demande de choisir pour la suite la deuxième partie de ta punition qui elle devrait être plus efficace j'espère. Cinq coups de cette palette a fessé ou dix coups de cette redoutable canne que tien Marie présentement et qui laisse de belles marques sur les fesses pour quelques jours. Demande à mes filles qui lui ont déjà gouté ici autour de toi, elle en garde tous un très mauvais souvenir.

C’est toi qui décides et fais vite, sinon ce sont les filles autour de toi qui vont décider pour toi. Et le nombre de coups pourrait augmenter aussi.

Claude fait relever Clara qui est à genoux à côté de Jessica et avec encore ses vêtements sur le dos. Claude lui demande de se déshabiller elle aussi. Enlève tous tes vêtements, y compris tes bas et vient ici debout à côté de ton amie Carmen. Toi aussi Clara, tu vas recevoir une deuxième punition et c’est nu cette fois-ci. Et ne discute surtout pas avec moi, obéi sinon ça feras encore plus mal.

Clara se décide et enlève sa camisole, elle porte un soutien-gorge rose, allez Clara j’ai dit à poil comme Carmen ton soutien et ta jupe. Clara continue et se met nue devant nous tous et elle aussi se cache avec ses mains. Pourquoi Clara es-tu si gêner ? Il y a 11 filles tout autour de toi et nues en plus. tu n'as pas a avoir honte de te montrer nue.

C’est si gênant de nous montrer ton joli body ? tes jolies fesses et tes petits seins. Clara ne répond pas

Mains sur la tête, Clara lui dit Claude en brandissant la palette vers ses fesses. Clara obéi et va rejoindre Carmen. 

Elle aussi ne se rase pas. C’est quoi ce poil ? Dit Claude. Toi aussi, tu garde ça long et Claude lui tire sur le poil pubien. Clara crie de douleur et baisse ses mais pour protéger son poil et son intimité. Trois claques retentissent sur ses fesses. Clara remet ses mains sur sa tête. Je ne t’ai pas dit de bouger donc ne bouge pas, c'est clair Clara.

Jessica vient rejoindre tes deux amies. On regarde Jessica se placer debout, main sur la tête, à côté de Clara.

Carmen, tu ne m’as jamais répondu sur ton choix, alors c’est moi qui décide, dit Claude.

J’ai décidé d’utiliser la palette et c’est cinq coups que vous recevrez chacune sauf Jessica toi, ce sera dix pour ton comportement à l’institut et tes mensonges. Et si l’une de vous trois bougent ou quitte sa position pour se protéger, je vous rajoute à chacune un coup.

Si l'une de vous trois bouges, vous pénalisez vos amies aussi. J’adore ça cette formule-là cela tranquillisent les personnes qui se font punir en pensant à son amie qui peu la mettre dans le trouble aussi si elle bouge.

Claude commence par Carmen. C'est trois premier coups qu’elle reçoit. Au troisième, Carmen se frotte les fesses et s’accroupie. Debout lui dit Claude, tu as bougé sans que je te l'autorise. Alors ton amie Clara et toi Carmen, vous recevrez six coups, un de plus. Toi, Jessica, ça sera onze coups. Carmen ce tien les fesses a deux mains, se relève en sautant d’une jambe à l’autre et verse quelques larmes. je t'avais promise que je te chaufferais les fesses solidement.

Avec la force que Claude a appliqué les coups et la grosseur de palette que Claude utilise, Carmen doit avoir très mal. J’aurais probablement fait la même chose et peut-être pire pour me protéger des coups.

Claude s’approche de Clara. C’est ton tour ma belle. Claude s’ajuste en frottant les fesses de Clara avec la palette. Bon, c'est parti, lui dit elle. Le premier coup arrive et on entend le claquement de la palette sur les fesses de Clara.

Clara grimace en se levant sur le bout de ses pieds et laisse aller un petit ouch !

Un deuxième arrive aussi fort que le premier quelques secondes après sans que Clara ait le temps de se remettre du premier.

Aïe ! Ça fait mal et Clara lève les bras en serrant les poings.

S’il te plaît arrête, lui demande Clara en regardant Claude. Elle lui fait des excuses. Elle remet ses mains sur sa tête et lui dit qu’elle regrette. Claude ne lui répond pas et lui en donne un troisième aussi fort que les deux premiers.

Les fesses de Clara deviennent aussitôt rosées et virent au rouge pâle et même foncé. On voit Clara qui verse quelques larmes.

Claude regarde Jessica.

Toi, je te réserve pour la fin, ne bouge pas, descend tes bras et croisent les dans ton dos, ça sera plus confortable et attends-moi.

Je t’ai promis six coups Carmen, il t’en reste trois à recevoir. Les prochains coups, j'ai choisi la canne. J'aime les jolies marques que ça laisse sur les fesses. Garde ta positon en fessant sifflé la canne dans les airs entre Carmen et Clara. Tu es prête, lui demande Claude, mais Carmen ne répond pas et fixe le mur devant elle. Je la trouve superbe avec ses cheveux châtain et bouclée, nue et entièrement exposée face à moi qui attends la suite de sa punition.

Claude ajuste sa distance avec les fesses de Carmen et lui applique le premier coup. Une marque se forme presque instantanément sur ses fesses et Carmen grimace en avançant d’un pas.

Recule à ta place, lui ordonne Claude.

Je me passe la main sur mes fesses en m’imaginant comment cela doit être terrible. J’ai vu la canne plier en frappant ses fesses. Je me souviens quand ma sœur me donnait des coups de brosse dans le passer et je m’imagine un peu la canne, ce petit bout de bois qui frappe violemment ta peau. Vicky qui est tout près de moi me frotte les fesses, elle aussi, en me regardant.

Deux autres coups, on suivit très rapidement. Carmen crie au dernier et se frotte les fesses à deux mains.

À genoux devant Clara et Jessica et tes bras croisés dans ton dos pendant que je m’occupe de Clara lui ordonne Claude.

On entend Clara qui supplie Claude et se protège les fesses avec ses mains.

Clara---

je m’excuse je t’en supplie pas d’autres coups.

Il est trop tard pour le s’excuser, lui réplique Claude, toi aussi, tu l’as mérité autant que Carmen. Silence maintenant et replace tes mains sur ta tête, tu n’y échapperas pas, je t’en ai promis six et c’est six que tu recevras toi aussi.

Amanda

Tout cela commence à m’excite de regarder des filles se faire chauffer les fesses. Cette semaine à l’institut en regardant les filles se faire punir nues devant nous a l'amphithéâtre ça m’a tellement excitée que ma culotte en devenue trempe. Mais aujourd’hui, ma chatte commence à être très humide et je suis nue, je garde mes jambes le plus serrées possible en espérant que personne ne s’en aperçoive, ça me gêne de réagir ainsi devant les autres filles. Vicky me chuchote à l’oreille, toi aussi ma cochonne ça t’excite de regarder ses fesses rougir. Ça me rassure de ne pas être la seule à être excitée.

Je fantasme sur Carmen et Clara qui se font rougir les fesses. C’est nouveau pour moi de fantasmer sur des filles qui se font punir. Pourtant, avec ma sœur qui m’obligeait à me mettre nue devant mon beau-frère et son gars, ça ne m'a jamais fait fantasmer. Au contraire, cela m’humiliait bien plus que de m'excitée. J’ai l’impression d’aimer ça, regarder quelqu'un se faire chauffer les fesses, ou moi-même qui pourrait être à sa place à se faire rougir les fesses. J’ai presque envie de demander à Claude de me faire coucher sur ses genoux et me claquer les fesses.

Vicky et Marie me ramènent à la réalité quand elle me demande si je veux les suivent et rejoindre les quatre autres filles dans la piscine. Mais je vais un jour réaliser mon fantasme de me coucher sur les genoux d’une de mes amies et lui demander de me punir sévèrement.

 






vendredi 16 septembre 2022

Sacha et Judith humilient des jeunes clients et son humiliée à leur tour

Sacha, 16 ans, et Judith, 18 ans viennent de commencer leur journée de travail à la boutique de mode familiale.

À l’intérieur de la boutique, il y a déjà quelques clientes malgré qu’il est encore tôt dans la matinée. Et arrive un couple avec ses trois enfants. Deux filles, des jumelles de 12 ans et un garçon de 15 ans. La mère et les enfants se dirigent ver la section maillot. Sacha et Judith vont toutes les deux à leur rencontre pour les servir, l’autre employée est occupée dans une autre section avec d’autres clientes. Le père lui continu dans les vêtements sport et salut Sacha et Judith en les croisant sans s’arrêter.

Mes enfants ont besoin de chacun maillot, je regarde le grand choix que vous possédez ici, c'est impressionnant.

Mes jumelles, c'est des maillots une pièce que je veux qu’elles portent à leur âge, c'est mieux qu’un bikini. Elles sont encore bien jeunes pour s’exposer, j’aime mieux qu’elles ne soient pas trop a l’air.

L’une des deux Béa proteste, elle veut un deux pièces comme une de ses amies et pointe la section des deux pièces et un en particulier.

Sa sœur Fanny, elle aussi, ne veut pas d’un maillot une pièce, elle dit à sa mère que ce n’est pas à la mode un maillot une pièce. Déjà qu'à l’école, il l’exige. Quand on est en dehors de cet établissement ont peu suive la mode, j'espère. 

 Judith s’occupe de leur frère et lui montre six modèles de maillots qui paraissent plaire à la mère et demande à son garçon d’aller à la cabine d’essayage avec Judith pendant qu’elle choisit avec ses sœurs.
Sacha commence à sortir des maillots une pièce qui semble être à leur taille pour les montrer à la mère, mais les filles, elles, elles sortent plusieurs maillots deux pièces et demande à Sacha si elles peuvent en faire l’essai. Oui, venez les filles, les cabines d’essayage pour filles sont dans l’autre coin à gauche, et Sacha les amène aux cabines pendant que leur mère regarde des maillots une pièce. Non, les filles, n’essayez pas ces maillots pour rien. Je ne veux pas que vous les portiez leur demande leur mère, mais les deux sœurs ne l’écoute pas et entre dans la même cabine d’essayage avec quelques deux-pièces pour les essayer.
Le garçon qui est installé dans la cabine et que Judith s’occupe est déjà déshabillé. Il enfile un des maillots qu’il a apporté avec lui, c’est le noir et rouge qui est plus à sa taille, et c’est celui-là qu’il préfère. Les autres ne lui plaisent pas et lui paraissent trop grands. Il ouvre la porte de sa cabine. Judith regarde le maillot qu’il a enfilé, le noir et rouge et qui lui descend à mi-cuisse. C’était son préféré, les autres étaient plus longs et avec des motifs qu’il n’aime pas. Judith entre dans la cabine, elle tire sur le maillot par en arrière, c’est beaucoup trop grand mon petit bonhomme comme elle s’amuse à l’appelé, et ça insulte le garçon. Regarde dans le miroir derrière toi, on te voit les fesses si je tire un peu dessus. Judith tire sur le maillot et regarde les fesses de Jean-Luc . Tu vas le perdre dans l’eau quand il sera mouillé, si je tire doucement par le bas, il descend facilement et il est sec sans poids rajouté par l’eau. Le cordon qui sert de ceinture est au maximum. Malheureusement pour toi mon petit bonhomme, c’est la seule taille qu’il nous reste. Enlève-le et essai un autre maillot.

Moi, c’est celui-ci que je préfère et je le garde, lui dit-il. Judith tire vers le bas et fait descendre le maillot à mi-fesses, regarde, c’est à peine si je lui touche et il descend. Tu vas montrer tes fesses et ton tout petit zizi ridicule a la piscine en public aux filles autour de toi. Il ne tient pas en place, tout le monde rira de toi avec ce petit zizi que tu as quand il va descendre. Judith, laisse descendre le maillot à ses pieds, enlève m'a ça et rhabille-toi, cache cette petite horreur. Judith sort de la cabine sans refermer la porte. Le jeune est nu devant Judith et gêner, il s’empresse de remonter le maillot et sort à son tour. Se dirige vers sa mère qui est plus loin dans les ranger de maillots.
Sacha pendant ce temps s’occupe des jumelles. Elles aussi les maillots qu’elles ont choisis sont trop grands. Sacha entre dans la cabine où elles ont entré toutes les deux et regarde. Le haut ne vous fait pas à ni l’une ni l’autre les filles. Sacha tire sur le haut des maillots. Regardez-vous, n’avez pas assez de poitrine pour ces maillots-là et la culotte aussi, ça vous prend des tailles enfant, vous êtes encore que des gamines en non des ados avec des seins. Lassez vous pousser des seins et du poil, ensuite, vous pourrez porter des vêtements sexy. Même les autres que vous avez apportées sont trop grands, enlevez-moi ces maillots, je vous ramène des maillots une-pièces comme votre mère veut que vous portiez.
Sacha baisse la culotte de Béa à ses chevilles et demande à sa sœur d’enlever, elle aussi, le maillot. Béa proteste, tu n’as pas le droit sort, je suis nue et elle remonte la culotte du maillot en place pour cacher son intimité. Sacha la regarde et lui dit, tu n’es qu’une petite gamine, tu n’as rien à cacher, ta vulve est lisse, pas de poil. Quand je garde chez ma voisine, je change des couches à des petits bébés comme vous deux, vous êtes pratiquement aux couches encore, donc aucune gêne à avoir les fesses à l’air.

Les jumelles sortent et se dirigent toutes les deux vers leurs parents. Qu’est-ce qu’il se passe ? Vous trois pourquoi êtes-vous si excités. Les jumelles se plaignent que Sacha les a traitées de gamines bébé, et est entré sans leur permission dans la cabine pendant qu’elles étaient nues pour rire d’elle et de leur corps.

 Maman, elle a été méchante avec nous. Béa rajoute, elle m’a regardée entre les jambes, ma chatte qu’elle a appelée et m’a traitée de gamine, bébé.

C’est vrai ce que vous me dites les filles ? Demande la mère.

Elle n’a pas le droit d’entrée sans permission dans des cabines d’essayage et pour vous dévêtir. C'est au client à le faire lui-même et vous insulter en plus, c’est une vendeuse, une conseillère, pas une habilleuse.

Oui maman, nous quand on manque de respect envers quelqu’un, on reçoit une punition, mais elle pourquoi elle a le droit de nous insulter sans être punie.

Son frère qui venait tout juste d’arriver lui aussi dit à ses parents. Elle aussi la brune Judith est entrée dans ma cabine. Elle a tiré sur le maillot que j’essayais, celui que je porte encore, et m'a dit qu’il était trop grand pour moi. Je le savais très bien et je voulais l’enlever. Mais elle-même me l'a baissé au lieu de ressortir et de refermer la porte et m'a regardé nu, elle c’est amuser ma me mater le zizi comme elle l’appelle. 

 

Claude, leur patronne, entend les discutions et se rend près de la famille avec sa gérante Francine.

Bonjour Mme, je suis la propriétaire et voici ma gérante, et associée Francine. Depuis quelques minutes qu’on entend discuter sur le comportement de mes employées, je viens vérifier ce qui se passe ici. J’entends que l’une de mes employées a un comportement inapproprié, je crois.

Le garçon dit à Claude, la patronne. C'est cette salope, elle est entrée dans la cabine pendant que j’essayais le maillot et me là descendue et m'a regardé nu et c’est moquer de mon pénis et ma claque les fesses.

Le garçon reçoit deux fortes claques sur ses fesses par son père. Le garçon grimace de douleur.

Jean-Luc dit son père reste poli. Tu n’es pas obligé de traiter cette jeune fille de salope, excuse-toi.



Le garçon ne fait pas ses excuses, mais il continue à s'adresser à la patronne. En plus Mme cette cochonne m’a touché mon pénis. Elle la prit dans ses mains et m'a dit, un petit zizi comme ça, il faut que tu garde ça cacher. Elle m’a ridiculisé Mme, je n’ai que 15 ans et elle m’a humilié. C’est la première fois qu’une fille me touche. Et en plus la porte de la cabine était grande ouverte. Tout le monde dans la boutique aurait pu me voire nu. Deux autres claques frappent les fesses du jeune sur le maillot qu’il porte encore. 

 

Je t’ai averti de rester poli Jean-Luc, excuse-toi tout de suite sinon c’est moi qui te baisse le maillot et te rougi les fesses ici même. Le jeune s’excuse envers Judith et lui demande pardon.

Judith

Ce n’est que des mensonges, je ne lui ai jamais baissé le maillot et mis nu, il ment. La seule chose que je lui ai faite, c'est de lui montrer que le maillot était trop grand en lui serrant le cordon au maximum. Et il le perdait encore. C’est la seule chose, jamais, je ne l’ai jamais taponné ou insulté comme il le prétend.

Béa

elle aussi Sacha la blonde nous à regarder nue et nous a traité de gamines bébés. Qu’on n'était que des gamines sans seins et ce n’était pas plus grave que cela nous, voire nu puisqu’on est des bébés.

Quand on a un mauvais comportement, mes parents ne se gêne pas pour nous punir.

C’est inachetable, rajoute le père mes enfants lorsqu'ils manquent de respect envers d’autre ou nous leurs parents, ils sont très sévèrement punis.

Quelle sorte de punition tes parents vous donne les jeunes ? Demande Claude.

Le garçon ne dit rien, a plutôt l’air de réfléchir et de se retenir, gêné de la question. C’est sa sœur Fanny qui prend la parole.

 Mme mes parents, quand ils nous punissent moi, mon frère et ma sœur, c'est physiquement, ça fait mal.

Que veux-tu dire par physiquement Fanny. Ils vous envoient au coin à genoux, ils vous donnent une fessée ou autre ?

Oui Mme, c'est la fessée Mme sur les genoux de papa ou maman ou debout au centre du salon et très souvent, on est nu. Après, on passe au coin, 30 à 40 minutes, fesses a l’air. C’est très humiliant. Quand même qu’il y a des invités, si mes parents décident de punir l’un de nous, les invités y assiste. Ce n’est pas discutable, on obtient notre punition.

Mon frère hier soir a reçu une fessée pour avoir cassé une fenêtre chez notre voisin. Ma mère l’avertissait fréquemment de ne pas jouer avec le ballon dans la cour, mais il en fessait qu'à sa tête. Il a botté le ballon trop fort et le ballon à traverser chez le voisin et à casser une fenêtre. Ma mère là obligée à se dévêtir devant nous dans le salon et elle lui a rougi les fesses. Ou début, c'était sur ses genoux avec ses mains. Mais après ma mère la fait placer debout, main sur la tête et lui a claqué les fesses avec une épaisse règle de bois, devant nous et nos amies.

À ce que je peux entendre, ta mère vous punit sévèrement.

Toi et ta sœur, ça vous arrive souvent de recevoir une punition aussi sévère ?

Fanny et Béa commencent à rire et ne répondent pas.

Oui, c'est assez fréquemment, mais moins que leur frère, mais pas mal souvent, elles sont un petit peu plus sage que leur frère. Répond leur père.

Claude avance vers un banc qui est installé pour les clients pas très loin d’eux. Elle s’assoit dessus et fait signe à Sacha de venir la rejoindre. Les autres se déplacent aussi jusqu’au banc, y compris Judith que Francine l’oblige à suivre. Trois autres clientes qui ont entendu le brouhaha dans la boutique s’ajoutent au groupe par curiosité. Sacha vient t’allonger sur mes genoux, lui demande Claude.

Tu n’es pas sérieuse ? Tu veux que je m’allonge devant eux sur tes genoux, s’il ne te plaît pas ici, on ira discuter dans ton bureau, mais pas ici.



Claude se lève et prend Sacha par un bras et la force à s'allonger sur ses genoux. Sacha n’a même pas résisté, elle sait très bien qu’avec Claude, il ne faut pas trop lui tenir tête.

Tout le monde regarde Sacha qui s’allonge sur les genoux de Claude et tirant sur le bas de sa courte robe fleuri rose pour l’empêcher de remonter.

Elle finit par s’installer, tenant ses jambes collées et prend appuis avec ses mains au sol et ne bouge plus. Les fesses bien en positon pour Claude.

Claude pose un de ses mains sur le dos de Sacha et l’autre sur les fesses de Sacha. Maintenant, moi je vais vous montrer comment je traite les grandes gamines de son genre qui sont trop impolies envers la clientèle et pense qu’elles sont à l’abri des punitions.

Pour moi, un client, c'est de l’or. C’est le plus important, c’est celui qui fait le succès de nos entreprises. Si les clients sont mal servis et ne reviennent plus, l’entreprise ferme. Et des grandes gamines comme elles, quand elles se comportent mal envers les clients, elles doivent en payer le pris et en public. Cet la même règle pour tous mes employés, ici pas d’exception.

Claude commence à claquer les fesses de Sacha, toujours protéger par sa robe.


Claude ne ménage pas le postérieur de Sacha et frappe avec vigueur et a un rythme soutenue. Sacha commence a balancé ses jambes de haut en bas en essayant de les garder collées l’une sur l’autre. Elle essaie de protégé ses fesses avec une main Claude lui bloc son bras dans son dos et continue a lui frappé les fesses sans ralentir son rythme. Sacha lui demande d’arrêter ça lui fait mal dit-elle

Non Sacha je vais arrêter seulement si tu t’excuses pour ce que tu a fait aux jumelles.

Je m’excuse je m’excuse je regrette Claude arrête s’il te plaît arrête.

C’est bon j’arrête. Claude cesse de frapper le derrière de Sacha et l’aide a se relevé.

Sacha, va à l’extrémité du banc et mets-toi à genoux, mains sur ta tête et demande pardon aux jumelles.

Sacha replace sa robe se frotte les fesses et prend place a genoux. On attend Sacha demande pardon et excuse toi sinon je reprend la punition et cette fois je te fait enlever ta robe.

On entend les excuses que Sacha adresse aux jumelles. Bon maintenant que c’est fait Francine pendant que je m’occupe de punir Judith à son tour pourrait-tu demander à Gina la couturière en chef de venir ici on va lui demander si c’est possible d’ajuster le maillot de Jean Luc puisque qu’il y en a plus a sa taille.

Judith tien elle aussi sa robe en place et s’installe à son tour sur les genoux de Claude.

Dit nous pourquoi tu tire si fort sur ta robe Judith. Comme Sacha plus tôt y a t il un problème avec vos robes les filles ?

Non non Claude, juste par précaution, c'est tout pas plus. Répond Judith.

Ne me mens pas, c’est une drôle de réponse. Ce n’est pas plutôt que tu ne portes pas de sous-vêtement dessous ta robe Judith. Claude prend là-bas de la robe et essaie de le remonter. Judith met ses deux mains sur ses fesses pour empêcher sa robe de remonté et dévoiler ses fesses a tout le monde autour d’elle et lui demande de laisser sa robe en place.

Oui Claude, je ne porte pas de sous-vêtement sous ma robe, c’est pour ça que je tiens ma robe en place, arrête de la remonter s’il te plaît.

Claude tasse les mains de Judith et lui demande de les redescendre et remonte la robe en haut des fesses de Judith. Pour une gamine de dix-huit ans, elle s’en permet pas-mal rien sous sa robe. C’est ça qu’elle ne veut pas laisser voir.

Pensez-vous que c’est descend pour une jeune fille de se balader fesses à l’air sous sa robe quasi transparente ?

Béa regarde sa mère et répond à Claude, non, je ne pense pas. Ma sœur et moi, si l’on sort de la maison en jupe ou en robe, notre mère nous oblige à porter une culotte et elle vérifie souvent avant que l’on sorte.

Oui, je les oblige à porter une culotte et surtout pas un string à leur âge sous leur robe. Je suis stricte avec ça, porter une culotte sous ses jupes ou robes. C’est plus descend s'il y a un problème, c’est moins provocant ou humiliant. Quand elles croisent un dévergondé qui s’amuse à lever les robes des filles pour les humilier ou regarder sous les escaliers quand les filles montent, elles n’ont pas les fesses a l'air au moins. Une jeune fille comme Judith, à peine mature, ne devrait pas être en public vêtue que d’une seule robe, c’est indécent. On s’aperçoit vite qu’elle ne porte pas de soutien aussi, ça attire beaucoup de regard et ça agace les gars comme mon mari et mon fils. Son mari détourne le regard, gêner de ce que sa femme vient de dire.

Jean-Luc ne lâche pas des yeux les fesses nues de Judith et son père aussi aimerait se rincer l’œil, mais sa femme lui donne un coup de coudre pour qu’il détourne son regard du postérieur de Judith.

Claude commence à claquer les fesses de Judith rester à l’air.

Francine arrive avec sa couturière et la présente aux jeunes et leur parent. Jean-Luc, ce qui l’intéresse, ce sont les fesses à l’air de Judith qui se font rougir bien plus que la couturière qui est là pour lui. Surtout quand Judith remue ses jambes. Il essaie plutôt de regarder entre les jambes de Judith s'il peut apercevoir sa chatte.

Claude arrête et montre aux trois jeunes la couleur de la peau des fesses à Judith. Prend le temps de regarder Jean-Luc fait comme Judith. Elle a aimé te mater les fesses toi aussi regarde. Ses fesses sont d’une belle couleur, ça a l’air à te plaire de regarder de si belles fesses. Après quelques instants, Judith se relève, baisse ça rode sous ses fesses pour les remettre à l’abri des voyeurs, et va s’agenouiller, elle aussi, a l’autre extrémité du banc, la robe remise en place.

Claude se place derrière Sacha et lève sa robe, regardez je me savais que Sacha n’avait pas de culotte sous sa robe elle aussi. Prenez le temps de regarder son beau petit derrière.

La couturière commence à prendre les mensurations avec son assistante de Jean-Luc.

Si Jean-Luc aime ce maillot, c'est possible de faire les ajustements en 30 minutes environs.

Venez visiter l’atelier de couture, je vous invite, dit Claude, pendant que les ajustements vont se faire. Béa, Fanny, si vous voulez vous choisir un autre maillot, on en a reçu à l’arrière. Ils viennent de nos autres ateliers d'Europe et d’Asie. C’est maillot ne serons disponible en boutique que dans deux semaines, mais pour vous je vais vous en faire choisir chaque un et votre mère aussi, je vous les offre et en plus je vais vous les livrer aujourd’hui quand le maillot de Jean-Luc sera prêt. J’aurai une belle surprise pour vous a la livraison en plus de vos nouveaux maillots.

À l’atelier, la mère et ses filles se sont choisie chacune un maillot et on fait la visite de l’atelier.

Donnez-moi votre numéro de mobile Mme et je vais vous appeler ce midi. J’irai vous porter les maillots avec Judith et Sacha.

Ne vous dérangez pas, on peut attendre le maillot de Jean-Luc ici, vous êtes déjà très gentille de nous les donner et nous faire visiter vos installations.

Non, partez, allez finir votre shopping et attendez mon appel, j’aurai une surprise pour vous avec ma livraison. Le couple et les enfants quittent la boutique, et se disent à plus tard en embrassant Claude et Francine.

Vers les 13 h 30, Claude, Francine sa gérante, Sacha et Judith se rendent avec la voiture de Claude au domicile de la petite famille pour donner les maillots promis de ce matin. Une fois stationner dans la rue face au domicile, Claude ordonne à Sacha et Judith d’enlever leur robe. C’est vous deux qui allez donner les boite-cadeau à la famille et nue. Votre comportement de ce matin envers les enfants de cette famille ne m’a pas plus et c’est la suite de votre punition de ce matin. Je me suis retenue ce matin, j’avais l’intention de vous faire mettre nue pour vous punir sur mes genoux, mais j’ai changé d’idée. À la place, c'est ici que votre deuxième partie de votre punition va se dérouler. Et ne discutez surtout pas avec moi. J’ai apporté avec moi une belle brosse à cheveux et je vais m’en servir si nécessaire, pour l’instant je vous évite une autre fessée.

Mais Claude, tu exagères, sortir nue de la voiture dans la rue et entrée à l’intérieur nue devant les jeunes, c'est humiliant, et leur père doit nous attendre aussi.

Je vous ai dit de ne pas discuter et obéir sinon je rajoute une fessée à votre humiliation, allez déshabiller vous et sortez de la voiture. Ce matin, vous ne vous êtes pas gênées pour les humilier, maintenant, c'est à votre tour d’être humiliées.

Sacha surmonte sa peur, son stressé et obéie, elle enlève son unique vêtement, sa robe. Judith toi aussi, tu obéis et vos sandales aussi reste dans la voiture. Judith, tu vas encore te faire rougir les fesses et avec la brosse cette fois-ci.

Judith obéie, elle aussi, très nerveuse d’être obligée de se dévêtir dans la rue. Elle sait très bien qu’avec Claude, elle n’a pas d’autre choix. Elle enlève sa robe et ses sandales. Claude et Francine ouvrent les porte arrière de la voiture pour que les filles sortent, car elles n'osaient pas ouvrir leur porte par elles-mêmes.

Dans le voisinage, il y a quelques voisins qui sont dehors à travailler autour de leur demeure. L’un d’eux remarque les filles sortir entièrement nues de la voiture avec chacune des boites dans leurs mains et elles se dirigent vers la porte avant de la maison de leur voisin. Il regarde les quatre filles se diriger vers la porte avant de la maison de leur voisin et pourquoi les deux plus jeunes sont nues ?

Aucune des deux filles n’ose sonner. Sacha et Judith voulaient retourner dans la voiture, mais Claude a sonné et reste un peu à l’écart avec Francine pour que Sacha et Judith apparaisse devant la personne qui va réponde. Je vous avertis les filles, gardez vos mains devant vous pour tenir les boites. Celle qui essaie de se cacher avec ses mains va se faire chauffer les fesses devant la famille avec ma brosse. Pour l'instant, je vous évite cette humiliation de recevoir une fessée, juste d’être exposées nue devrait suffire.

C’est le père qui ouvre la porte et aperçoit deux splendides filles à poil devant lui qui tiennent des boites dans leurs mains. Sa femme est derrière lui et regarde, elle aussi, Sacha et Judith nue.

Claude, tu nous avais dit qu’il y aurait une surprise, mais je ne m’attendais pas du tout à cela, moi non plus, rajoute son mari figé à la vue de cette belle surprise.

Je vous avais promise une livraison spéciale. Là voici, vos enfants se sont fait humilier ce matin, maintenant, c'est à leur tour d’en profité. Dehors, il y a quelques autres passants et voisins qui regardent ce qui se passe, ce n’est pas à tous les jours que des filles viennent livrer nue dans leur quartier et plus Sacha et Judith reste dehors longtemps, plus cela attire les curieux.

Allez passer entrée qu’on puisse refermer la porte, ça commence à attirer l’attention des voisins, dit la mère.

À l’intérieur, Jean-Luc installé sur le sofa et jouait sur sa console. Il fait une pause sur sa console et regarde entrer Sacha et Judith, tout surpris et excité de voir deux filles se présenter nue dans sa maison. Regarde Jean-Luc la belle visite qui arrive. Dit son père, les jumelles arrivent, elles aussi, avec deux amies qu’elles avaient invitées pour l’après midi et toutes surprissent, elles aussi, de voir des filles nues. Béa dit à ses amies, regardez ce que je vous disais, ce matin, c’est elle. Judith la brune à droite, c’est elle qui a reçu une fessée, fesses a l’air devant nous à la boutique. Fanny, elle passe une remarque à sa mère en regardant l'entre-jambe des filles

Maman, elles sont plus vielles que nous, mais elles aussi n’ont pas plus de poil que moi !

Ce matin Sacha m’a traitée de bébé parce que je n’avais pas de poil et pas de sein. Toi, tu en as un peu de poil maman. Les autres Claude et Francine n’ont-elles aussi de poil comme toi maman. Ce n’est pas tout le monde qui a du poil en haut du sexe ? Ou juste les gars comme papa et mon frère, demande Fanny.

Fanny a mis sa mère mal à l’aise en parlant de son anatomie. Les filles et ça va aussi pour les jeunes gars, le poil que tu parles que moi, ton frère et ton père, on a plus bas que le nombril s'appelle du poil pubien. À votre âge, ça commence à pousser. Sacha et Judith comme bien d’autre personne le rase tout dépend des goûts des personnes. Chacun décide de son apparence. Et pour les seins aussi ça commence à se former entre 12 et 13 ans pour une bonne majorité des filles comme vous, regarde ton amie Sylvie quand elle met son maillot, elle commence à avoir des formes, une poitrine, elle a 13 ans. Quand vous avez eu vos premières menstruations il y a 2 mois je vous avais expliquée que votre corps allait changer, cela fait partie des changements, le poil et les seins

Voici vos maillots, Sacha donne les boites a Béa et Fanny dit Claude. Toi Jean-Luc, c’est Judith qui a le tien et celui de ta mère, approche-toi de Judith, elle va te le donner. Jean-Luc tout content s’approche de Judith et prend sa boite. Son père dit a son fils. Dit lui merci et embrasse-là sur la joue, elle est très gentille de te livrer ton vêtement ici, c'est très aimable de sa part.

Judith regarde le père sans sourire, elle ne trouve pas drôle son commentaire.

Les bras libres des boites, Claude oblige, Judith et Sacha a gardé leurs bras croisés dans leur dos, et rester au centre du salon sans bouger. Claude sort de son sac à main une brosse à cheveux.

Elles sont bien averties que si elle ne m’obéisse pas, je leur rougis les fesses avec ma brosse, et Claude pose la brosse sur la table à café au centre du salon.

Les jumelles et leurs amies regardent les deux filles exposer au centre du salon. Elles font le tour d’elles, regardez Judith n’a plus les fesses rouges. Judith est gênée que les filles la regarde d’aussi prêt, même que l’une d’entre elles lui touche les fesses, et les compare avec celles de Sacha. Sacha a les fesses moins rondes, touchez comme elles sont douces. Sacha a de plus petits seins et des bouts plus gros.

Claude trouve ça drôle que les jeunes s’amusent à examiner Judith et Sacha. C’est normal que leurs fesses soient redevenues blanche, ça fait quelques heures qu’elles ont reçu leur fessée.

Les filles lâchées les fesses des filles et ouvrez vos boites, demande leur mère pour qu’elles lâchent les fesses des punis. Montrez vos nouveaux maillots à vos amies. Pendant que les filles déballe leur boite et montre leur nouveauté, Jean-Luc lui est assis devant Sacha et Judith et les regardent, ne les lâche pas des yeux. C’est la première fois qu’il a l’occasion d’avoir deux belles filles de son âge nues a quelques centimètres de lui et il est excité. Mis à part ses deux jeunes sœurs qui a l’occasion de voire nue quand elles sont punies, mais avec un corps mois développé.

Sacha n’a pas beaucoup plus de poitrine que toi Béa, commente-t-il. Si tu te mets nue et je compare ta poitrine en prenant un de tes seins et un des siens de Sacha dans mes mains, je suis sûr qui la différence n’est pas énorme, dit Jean-Luc.

Je t’interdis de toucher le corps de l’une de ses filles Jean-Luc et tes sœurs aussi regarde, mais interdit de toucher. Ne t’avise pas à le faire sinon je te chauffe les fesses ici même devant elles. À ton âge, tu as bien d’autre chose a pensé que de vouloir taponner des filles, surtout tes sœurs.

Son père tant qu’a lui trouve ça drôle que son jeune compare les poitrines des filles.

Claude, tu ne trouve pas cela un peu exagérer d’humiliées ainsi tes deux employées. Après tout ce matin, elles ont manqué de s'avoir vive mais…

Je suis d’accord pour qu’elles soient punies. Elles ont manqué de respect envers mes enfants, mais pas humilier ainsi en public. Ce qu’ils ont fait, c'était dans les cabines, à l’abri de tout le monde. C’est pas mal humiliant les punir ainsi.

Non pour moi, c'est ce qu’elles méritent. Judith a déjà été punie beaucoup plus sévèrement que recevoir quelques petites claques sur ses fesses comme ce matin. Elle et une autre de mes filles ont reçu 30 coups de canne chacune et sont restées exposer nue devant tous les employés au vignoble que je possède avec mon frère. Mes parents, quand ils décidaient de nous punir mon frère et moi, c’était très humiliant et très douloureux. Ça me portait à réfléchir sur ma bêtise que je venais de commettre.

Ha !, c'est à ta famille le grand vignoble au nord de la ville. Donc, tu t’appelles Claude Richard. Je suis contente de connaître un des membres de la famille Richard.

La mère s’adresse à son mari. Ne ris pas toi aussi, tu es bandé et tu aime ça voir ces deux belles filles nues dans ton salon. Tu dois avoir autre chose à faire que d’admirer de si jeunes filles à poil, vient avec nous, je leur fais visiter notre maison.

Judith Sacha, suivez nous sans bouger vos bras, vous allez visiter la demeure avec nous. Comme ça tout le monde va nous suivre. Claude fait un clin d'œil à la mère.

Durant la visite la mère dit à Claude et Francine, ça devient gênant, à chaque fois que je me vire je les voie nues autour de nous. Je n’ose pas les regarder, c’est moi qui suis gêné de les regarder, voire tes deux employées nues ça me met mal à l'aise pour elles. Je ne me vois pas me promener nue devant d’autre personne étrangère, je serais gênée d’être à leur place.

Pourtant, à l’occasion, tu ne déteste pas ça, circuler nue dans la maison et devant les enfants.

Mais mon chéri, c'est dans ma maison et en privé, pas devant des étrangers. Et arrête de parler de notre vie privé devant eux

Claude

Ne t’en fais pas chère, l’humiliation qu’elles subissent leur fait du bien, ça les rend plus matures. À l’avenir quand elles voudront faire des sottises, elles réfléchiront avant d’agir à ce qui peut leur arrivée. C’est ma manière de les éduquer, et c’est très efficace, je peux en témoigné.

Rendu à la partie cour arrière, Béa dit à sa mère, il y a plein de voisin dehors. Maman, Judith et Sacha ne peuvent pas nous suivent dehors, ils doivent rester dans la maison. Tout le monde vont les regarder, il y a plusieurs voisins dans leur cour.

Ne t’occupe pas de ça Béa, elles sont ici en punition, et cela fait partie de la punition, nous suivre même s'il y a du monde autour, elles sortent pareille.

Claude oblige Sacha et Judith à sortir sur le patio avec eux. La mère est un peu mal à laisse de voir ses voisins lui envoyer la main, la saluer avec les deux filles nue autour d’elle. Les jumelles et leurs amies regardent les filles nues et rient trouvent ça drôle des filles sur leur patio fesses a l’air que les voisins regardent tous. Jean-Luc lui se tient très près des filles et est concentré sur leur chatte et leur poitrine, le jeune se retient, il adorerait toucher une des filles, mais sa mère le surveille.

Bon nous, on rentre à l’atelier. Les jeunes si ça vous intéresse je vous invite tous, vos deux amies aussi et vos parents bien sûr à notre défilé. La présentation de notre nouvelle collection qui aura lieu dans 14 jours. C’est réservé au propriétaire de nos boutiques associé en Europe et en Amérique du Nord, mais je vous invite à venir en v i p. Si ça vous intéresse les jeunes, mon personnel va vous intégrer au défilé, ça vous fera une belle expérience de la mode. On s’occupera de vous trouver des créations à présenter. Maillot et vêtement sport sont les deux thèmes du défilé, même votre mère si elle le veut pourra participer.

Mme Claude, je peux prêter des sorties de plage à Sacha et Judith pour qu’elles retournent a votre voiture dit Fanny, ma sœur et moi, on va allez les chercher dans nos chambres.

Non merci Fanny, vous êtes bien gentilles, mais elles retournent à la voiture nue comme elles ont débarqué plutôt, leur robe sont à l’intérieur de la voiture.

Claude fait sortir Sacha et Judith, Francine suit. Toute la petite famille les regardent partir, mais ils ne sont pas seuls. Il y a quelques voisins sur leur terrain ou dans la rue qui regarde, eux aussi, les filles faire le trajet entre la maison et la voiture, et toujours obliger de garder leur bras croisé derrière leur dos et bien exposée à qui veut bien les regarder.

Elles sont très heureuses de rentrer à l’intérieur de la voiture et pouvoir remettre leur robe. Elles n’ont pas aimé leur livraison spéciale de cette après-midi.





Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...