lundi 20 décembre 2021

Des vacances à oublier pour Claude te Laurie qui font mal aux fesses


   Deux belles filles dans le début vingtaine Claude et Laurie qui travaillent, vivent, habitent  ensemble ont décidé de prendre des vacances bien méritées. Cela fait plus d’un an qu’elles se connaissent par l’entremise de leur emploi et se sont liée d’amitiés et cette semaine ont toutes deux demandé quelques jours de congés. Elles ont décidées de se louer un véhicule et partir quelques jours en vacances dans le sud-ouest et longer la méditerranée par de petite route et s’arrêter dans un tout petit village à environs 3h00 de route de chez elles, sur le web  elles ont réservé dans une petite auberge pour quatre nuits jusqu’à dimanche, le lendemain lundi elles reprennent le travail.

              Arriver à destination elles s’enregistrent à l’auberge place leurs bagages dans la chambre profite du paysage la plage et comme l’après-midi passe et sur les recommandations du personnel elles décident d’aller manger a un petit pub qu’elles ont aperçu sur la route à l’autre extrémité du village. Dans la soirée un musicien s’installe et les filles continue à boire en ce relaxent et écouter le musicien, deux nouvelles et belle nanas dans la place dans un si petit village elles ne passent pas inaperçu. Un des clients commence a payé un verre puis une autre a Laurie qui ne les boit pas, ne s’occupe même pas du gars qui la flirte et qui commence à lui faire des propositions à mesure que la soirée avance.

           À la fin de la soirée Claude et Laurie décide de quitter un peu amoché, mais le gars lui retient Laurie et lui dit que c’est avec lui qu’elle va passer la nuit. Laurie lui demande de la lâcher qu’elle n’est pas du tout intéressé à lui, mais le gars la traine dehors. Laurie se défend et lui assène un coup de genoux dans l’entrejambe et le frappe au visage et s’enfuit avec Claude dans leur voiture. Réchauffer par les quelques vers pris dans la soirée Claude décide de prendre la route il n’y a que quelques kilomètres entre le pub et l’auberge elle se dit que ce n’est pas si pire que ça, mais le policier du village l’intercepte, vous avez bu Mademoiselle vos papier lui demande le policier.  

          Après quelques minutes l’agent revient et mets les deux filles en arrestation fait remorquer la voiture et amène Claude et Laurie au poste de police du village. Claude et accuser de conduite en état d’ébriété et Laurie pour avoir frappé et blesser un homme, il y a eu une plainte contre Laurie pour coup et blessure de porter par son achalant contre elle. L’agent informe Claude et Laurie qu’elles devront passer la nuit au poste en cellule et demain elles seront convoqué par un juge. La nuit a paru interminable pour les filles seul dans la cellule en passant à ce qu’il va arriver, au matin une agente de police avec de la nourriture arrive, suivit d’un homme. L’homme se présente comme avocat mandaté pour les défendre, il leur explique les grandes lignes de ce qui ce passeras pour elles.

        

 

 

 

La juge

    A 8 h 30 la même agente vient chercher les deux filles menotte les deux et les amènent dans la salle de cour, elle les fait assoir dans le banc des accusés, bien sûre il y a le gars qui a harcelé Laurie et trois autres personnes qui l’accompagnent quelques autres citoyens sont dans la salle aussi, deux autres agents de police et une femme qui doit être la sténographe sont aussi dans cette salle. La juge se présente commence par Claude, Mademoiselle Letarte vous êtes accusé de conduite avec un taux d’alcoolémie élevé, donc c’est un mois de prison  1000 € d’amande et une suspension du permis de conduire pour cette infraction, est la sentence qui s’applique fréquemment pour ce genre de crime. Dans quel domaine travaillé vous Mlle ? Lui demande la juge, Claude lui répond qu’elle travaille à l’institut ST- Thomas en discipline, elle est l’assistante du directeur. Mme la juge lui dit qu’elle connaît un peu cet institut de réputation, le ministère de la Justice nous conseille d’envoyer les jeunes qui sont condamné à faire un séjour là-bas, cela permet à ces jeunes de terminer leur étude, c’est mieux que la prison.

 

        La juge dit qu’elle va étudier son dossier avant de prononcer la sentence définitive et pour l’instant, elle retourne en cellule. L’agente retourne avec Claude et la juge s’adresse à Laurie. Elle lui repose la même question et Laurie lui répond qu’elle aussi fait le même travail, la juge dit que pour une accusation de voie de fait causant des blessures, c'est deux semaines minimum de prison et 500 € d’amande. Elle rajoute je vais communiquer avec votre employeur et je vous ferais part de ma décision final très bien tôt sur vos cas, et elle retourne aussi Laurie en cellule. Une heure plus tard, l’avocat revient voir les filles et leur montre les trois options que la juge à décider.

          La première :    pour Claude, c'est 1000 € d’amande et un mois de prison suspension du permis et un casier judiciaire.

          La deuxième :     c’est que lundi prochain une voiture de police vous monte à l’institut ST- Thomas et c’est une punition de niveau trois qui est la plus haute dans cet institut que vous serez condamné Mlle. Cela veut dire que c’est une semaine de punition complète que Mme la juge suggère devant vos collègues et étudiants comme vous-même les administrer aux étudiants punis. Et avec une amande réduite à 500 € sans suspension du permis et casier.

           Claude lui demande la troisième, c'est quoi, l’avocat lui dit j’y arrive

           La troisième :   c’est une première ici dans le village et dans le pays surement depuis de nombreuses décennies, mais c’est Mme la juge qui l’assume, d’après elle les dispositions de la loi lui permette de vous l’imposer.

         C’est d’appliqué le même genre de punition que l’institut vous administrerait lundi de niveau trois mais ici même dans la salle de cour, une punition corporelle la même que vous auriez a l’institut, c’est 20 coups de lanière de cuir ce matin même, et pendant les 48 prochaines heures vous seriez au service de la mairie, à l’entretien ménager si tu aimes mieux du bâtiment, jumelé avec un des employés, cet entretient ménagé comprend le poste de police celui des pompiers et la mairie tout est regroupé en un seul bâtiment sur deux étages et les employés en font l’entretient, le plus important il n’y aura aucun dossier criminel et aucune suspension de permis, seulement 200 € d’amande  

       --- Mais M. si je me réfère à mon institut ou que je travaille, les punitions de troisième niveau, c'est nu que ça se donne, c'est bien ce que je comprends avec ces ridicules choix qu’elle me donne réplique Claude.

       Laissez-moi finir Mlle pour Laurie ta collègue, c'est 15 coups ici ce matin pour toi aussi, et 24 heures de punition en travaux comme Claude, mais pas de cassier criminel pour vous aussi et 100 € d’amande en suivrons, ou

         Lundi matin à St-Thomas toi aussi pour 4 jours de punition ou la dernière option

      15 jours de prison et 500 € d’amande et un cassier criminel selon ta décision

Et pour vous donner plus de détails, c'est nu au moment que vous choisirez l’option d’être punis ici et pour toute la durée de votre condamnation si vous choisissez bien sûr l’option d’être punies ici, et c’est tout petit ici il y à peine une vingtaine d’employés dans tout l’édifice et quelque citoyen à l’occasion qui vienne pour affaire, votre temps est écoulé il vous faut décider et vite, la policière vient vous chercher pour aller voir Mme. La juge.

 

   Le grand moment 

              Réinstallées au banc des accusés  et menotté  devant une douzaine de curieux dans la salle. Il y a eu un changement devant le bureau de la juge, une table en bois massif est installée celle qui était derrière la sténographe et un policier est debout au côté de cette table, et au centre de cette table il y a une lanière de caoutchouc noir assez large d’environ  quatre cm, et d’une trentaine de centimètres de long et d’une bonne épaisseur que Claude et Laurie ont toutes deux remarquer. La juge s’adresse à Claude ne premier, Mlle Letarte veillez-vous lever Claude se lève très nerveusement mains toujours menotter dans son dos, et regarde la juge. Ma décision est prise pour vous Mlle Letarte, et je ne vous demande même pas votre choix comme je l’avais proposé à votre avocat, votre employeur m’a écrit et vous considère comme une excellente employée et m’a envoyé tous les détails sur le type de punition qui est administré à l’institut. Je vous donne une chance de ne pas perdre votre emploi.  J’ai donc décidé tout en donnant son coup de marteau de vous condamner à recevoir la même punition que vous auriez reçu en vous envoyant à St-Thomas lundi, mais ici, de cette manière vous conserverez votre emploi.

          Pour les 48 prochaines heures Mlle Letarte vous êtes condamné à être en punition ici même, cela vous évitera la prison pour un mois, vous recevrez une punition corporelle ce matin et dans cette salle, et j’ai décidé que pour votre punition corporelle  sera de vingt coups de strap sur votre derrière et entièrement nue vos vêtements sont confisqué pour les quarante-huit prochaines heures comme à St-Thomas quand vous punissez quelqu’un.  La strap  qui servira pour vous punir, c’est celle qui est sur la table devant vous et notre chef de police M. Bernatchez  est mandaté pour vous administrer cette punition avec cette strap. Ensuite M. Muller qui est à votre gauche notre responsable de l’entretient pour l’édifice va vous conduire à votre affectation et vous présentera à l’employé avec qui vous serez jumelé pour les deux jours à venir ce sont des travaux à l’intérieur du bâtiment qui vous serons donner et superviser. L’employé, avec qui vous serez jumelé de jour vous surveillera, et au quart de soir un autre employé vous supervisera et vous devrez leurs obéir sinon ils ont tous les deux la permission de vous punir.

         A 3 h 00 cet après-midi, on va vous ramener ici dans cette salle devant moi et une autre punition corporelle vous serras administrer encore vingt coups. Ce soir pour la pause repas, vous en recevrez une autre punition, et demain matin à 8 h 30 vous serez convoquer ici avant de retourner à vous travaux forcés comme on peut les appelés. Je serai présente et la journée sera la répétition de celle d’aujourd’hui. Samedi je vais faire un spécial pour venir ici et assister à votre dernière punition et après je signerais votre libération.

 

                   Mme l’agent enlevé lui ses menottes pour qu’elle puisse se déshabiller demande la juge. Les quelques citoyens dans la salle et employés présents regarde toute la jolie jeune fille de 24 ans aux cheveux brun et vêtu que d’un short et une camisole ce faire enlever ses menottes. Mme la juge dit à la petite assistance présente. Ce que je viens de décider, c’est une première dans cette province et dans ce pays depuis près de cent ans utiliser le fouet comme sentence et la nudité, mais dans la loi rien ne l’interdit tout comme à votre institut Mlle Letarte.  J’ai le droit de choisir les sanctions a appliqué, et Mlle dépêcher vous a enlevé tous vos vêtements et les poser dans le panier qui est à côté de vous sauf les chaussures poser les près du panier.

         Claude regarde la salle et la juge et sait très bien qu’elle n’a pas le choix, c'est comme à l’institut quand elle oblige un étudiant à se dévêtir, elle se penche enlève ses chaussures les mets de côté et ses bas dans le panier, elle porte une camisole sans soutien, c'était très visible ses tétons pointe dans la camisole.  Tous les regards sont sur elle, même qu’il y a quelques personnes supplémentaires qui entrent dans la salle pour regarder surement que la rumeur circule à l’intérieur de l’édifice.  Elle rentre un bras sous sa camisole et nerveusement Claude lève sa camisole avec son autre main et la passe par-dessus sa tête et très maladroitement son seul vêtement qui cache sa poitrine essayant de garder un bras sur sa poitrine pour dissimuler ses petits seins tout en regardant Laurie assise à l’arrière d’elle qui est toujours menotté bras dans le dos.

              Il lui reste que sont très court short qui cache son intimité. Allez Mlle dépêcher vous a finir de vous dévêtir si vous ne le faite pas, c'est l’agent au côté de vous qui le fera et je rajoute cinq coups supplémentaires, Claude baisse son short d’une seule main et l’enlève le lance dans le panier sans enlever son autre bras de sur sa poitrine, Claude est entièrement nue, elle ne portait même pas de sous vêtement sous son short elle s’est empressée de cacher sa chatte que plusieurs plus près ont entrevu.

 

            Mlle Letarte avancer à la table devant vous et présenter vos mains à l’agent pour qui vous passent les menottes ça vous gardera immobile pendant votre punition, Claude se met face au policier qui lui fait dos à l’assistance et allonge les bras l’assistance ne la voie pas très bien le policier les cachent. Le policier lui passe les menottes en profite pour jeter un œil sur sa chatte bien raser et en faisant un pas de côté il demande à Claude de faire face à la salle pour que tout le monde la voie ça n’arrive pas souvent qu’une si jolie fille soit nue dans cette salle dit le policier, il faut en faire profiter tous les spectateurs. Claude peu toujours cacher son intimité avec ses mains, c'est un peu mois humiliant. Ensuite il la fait retourner de dos pour que tout le monde admire ses fesses bien rondes et blanche la juge se lève en même temps et s’approche de Claude qui est face à elle. Maintenant, penchez-vous  sur la table Mlle et ne bouger plus lui demande le chef de police qui tient la strap dans une de ses mains, Claude se penche écrase ses seins sur la table les bras de chaque côté de sa tête et tient ses jambes bien serrées, elle tourne sa tête vers le mur et fait face à la sténographe pour ne pas regarder les gens dans la salle et ferme ses yeux.      

       Mme la juge se place face au policier a un demi mètre des fesses de Claude pour ne rien manquer de la fessée. Elle fait signe au bourreau de commencer, le policier un homme d’un mètre 80 et d’un peu plus de 100 kilos s’élance et frappe en plein centre des fesses Claude lève la tête et grimace, il continue rapidement en tenant toujours le même rythme les fesses rougisse très vite et Claude se retient pour ne pas lâcher de cris de douleur.  Ça, c'est fait rapidement en à peine 30 secondes les vingt coups sont donnés. Le bourreau aide Claude pour qu’elle se relève debout et Mme la juge lui dit de lui enlever ses menottes. Claude essuie les quelques larmes qui ont coulée sur ses joues pendant que Mme la juge donne la permission à Claude de remettre ses chaussures. Mlle Letarte maintenant vous allez suivre M. Muller il va vous expliquer la deuxième partie de votre sentence et je vous revois ici à 3 h 00 cet après-midi. M. Muller ouvre la porte derrière le bureau qui donne accès aux cellules et fait signe à Claude d’entré, c’est ici que je vais vous présenter à l’employée elle nous attend tout près d’ici.

                    Mlle Letarte je vous présente Kate celle qui va vous coacher pour la journée vous devez y obéir sinon elle a tous les droits de vous punir. Kate regarde de la tête au pied Claude qui est complètement nue devant elle. Ça fait blizzard de regarder une fille nue ici au beau milieu du corridor et surtout de devoir travailler avec ce n’est pas trop habituel. Tu t’habitueras Kate moi je retourne pour m’occuper de son amie et ne te gêne pas pour la punir si elle ne coopère pas comme je vous l’ais dit dans notre petite réunion de ce matin.  M Muller reparti Kate ne lâche pas Claude des yeux et commence à lui poser toute sorte de questions sur sa nudité si c’est dur si humiliant… Elle fait le tour de Claude pour regarder ses fesses encore bien colorée va même jusqu’à les frotter et lui donne deux toutes petites claques et se rend compte qu’elles sont encore bien chaude, ça a dû être très douloureux j’aimerais ça pouvoir te claquer les fesses je n’ai jamais essayé cela ça doit être amusant, c'est ça ton travaille je crois. Elle lui compte qu'il y a  8 ans de cela, la seule fois que son père là punie avec sa ceinture elle avait 11 ans et portait une jupe ça lui avait fait mal, mais jamais ses fesses ont rougi comme ça et elle là encore en mémoire cette fessée-là, et en plus cet après-midi tu devras en recevoir une autre fessée je n’aimerais pas ça être à ta place ma belle rajoute elle. Claude ne répond pas reste muette le bras gauche sur sa poitrine et sa main droite sur sa chatte la honte d’être nue devant Kate qui a l’air bien gentille, mais Kate n’arrête pas de la bombarder d’un tas de question embarrassante humiliante sur sa tenue.

 

            Enlève tes mains de là tien toi comme une personne normale lui dit-elle, prend ce balai et fini de balayer le couloir il ne reste que ça à finir ça t’occupera les mains pendant que j’admire ton beau corps. Après nous traversons dans la partie bureau du poste je vais te présenter aux employés ils ont tous hâte de te voir ils sont tous très gentils. Claude fini la petite partie du plancher, il n’y avait rien, c'était probablement pour pouvoir admirer plus le corps nu devant elle pendant qu’elles étaient seule.

 

                Kate rouvre la porte toute grande juste devant et ça communique avec l’intérieur du poste, il y a deux policières assissent à des postes et un autre homme debout qui regarde tous vers la porte qui vient d’ouvrir. Kate oblige Claude à franchir la porte et entré dans la salle. Kate présente Claude aux quelques personnes qui sont devant Claude et d’autre sorte des deux bureaux pour regarder une des deux jolies filles en punition qu’ils avaient entendu parler plus tôt ce matin. Un des deux hommes présent dit on nous avait dit qu’elles étaient belles, mais je ne croyais pas qu’on les verrait se promener nue dans nos bureaux l’autre est-elle aussi belle. 

 

 

             Claude est devenue la face aussi rouge que ses fesses et a remis ses mains pour ce caché. Je ne le sais pas répond Kate je ne l’ai jamais vue encore, mais regarder son jolie postérieur tout rouge au même moment elle fait faire un demi-tour à Claude pour qu’elle montre ses fesses a tout ce beau monde. Au même instant un livreur arrive du restaurant d’accoté avec deux repas. Un des policiers dit au livreur d’aller, voire la demoiselle nue et lui remettre c’est pour elle le livreur s’empresse d’aller voir Claude tout content d’apercevoir la belle fille toute nue et lui tend le sac. Claude n’a pas le choix et prend le sac avec une main ça dégage sa poitrine et laisse, voire ses petits seins mignons a tous ces voyeurs. 

           Kate regarde Charlie le jeune livreur qui vient tout juste d’avoir dix-huit ans figé comme une statue la bouche et les yeux grande ouvert il regarde Claude ou plus sur son magnifique corps nu et ne bouge pas, il ne répond même pas à Kate qui lui demande de partir continué ses livraisons. Quelques instantes plus tard il répond à Kate en bégayant, c’est qui cette belle fille là ? Est-ce ton amie Kate ? Et Charlie part en regardant en arrière ne lâchant pas Claude des yeux. 

        Il est l’heure d’allé manger, Claude suit moi on se déplace à la salle a mangé on vous a fait venir à chacune un repas comme c’est la règle pour les détenus ici au deuxième. Rendue a cette salle bien sûre que d’autres employés sont sur place et la plupart de ceux du poste de police ont suivi aussi pour manger sur place ce qui est très rare la quasi-majorité sorte manger au restaurant le midi. Laurie arrive les fesses brulante rouge de sa punition qu’elle vient juste de recevoir et elle est accompagné de M. Muller au même moment que Claude et Kate rentre dans la salle à manger. 

         M. Muller fait placer Laurie au fond de la salle dos a tous ceux qui sont là et ordonne à Claude de la rejoindre.  Les gens regardent les deux filles et commente sur les fesses de Laurie très colorées et celles de Claude qui ont perdues beaucoup de couleur elles sont redevenues pratiquement blanche il reste quelques petites plaques rouges. Les bras croisés dans le dos leur ordonnent M. Muller et retourner vous on veut vous, voire, les filles obéissent et se retourne. C’est humiliant exposé nu maintenant Claude et Laurie savent ce qu’elles font vivre aux étudiants qu’elles obligent à circuler nu dans l’institut et les fessées qu’elles leur infligent.

 

  

        

 


 

mercredi 1 décembre 2021

Katie se fait punir nue par sa mère et devant son amie Maryse


 

Maryse

    

         Après petit déjeuner Katie et moi nous remontons à nos cours, moi en science et Katie en histoire. Mon amie me dit qu’elle a un examen de contrôle  et est nerveuse elle rentre dans sa salle et moi je me rends plus loin à la mienne ma salle, on s’est donné rendez-vous dans le couloir après notre 2e cours, le dernier de l’après-midi, on est ensemble en français et on ira chercher nos livres ensemble à nos casiers. À la fin de mon deuxième cours je revois Katie comme prévu et une autre fille Annie qui est avec nous en français nous suit.

       Annie commence à me dire que  Katia a été punie dans la deuxième partie du cours par la prof Mlle Jasmine et qu’elle a reçu une dizaine de coups de règle. Je demande à Katie pourquoi c’est la première fois depuis deux ans con se connaît que tu es punie. Annie répond pour Katie qui est gênée, Maryse, Katie à traiter Mlle Jasmine d’incompétente et idiote parce qu’elle ne lui a pas donné la note de passage. Mlle Jasmine l’a réprimandé et l’a obligé à monter sur l’estrade. Ensuite Mlle Jasmine a fait placer Katie dos à nous et mains sur sa tête et elle a relevé sa jupe jusqu’à son attache de soutien pour que sa jupe reste en place et à baisser sa culotte sous ses fesses et même à ses chevilles  ensuite la prof a sorti sa règle et lui a donné 10 coups sur les fesses, après Katie nous a fait admirer ses fesses tout le reste du cours.

       Comme ça Katie tu as su, c'était quoi se montrer les fesses en public toi qui me parlais souvent de ça que ça devais être humiliant de recevoir une fessée devant tout le monde et être nue. La prof n’a pas été trop dur avec toi la règle. Je suis sûre que tes fesses sont redevenues blanche. Ça fait mal, mais si elle aurait utilisé sa strap ou la canne tes fesses seraient encore bien colorées.

  Katie---

       Les filles, on ne parle plus de ça elle m’a laissé le reste du cours fesses à l’air et à genoux  main sur la tête et dos à la salle les pieds pendant au bout de l’estrade, elle m’a donné la permission de me relever et remette ma culotte 5 minutes avant la fin du cours.

 

Maryse

          Durant notre trajet d’autres filles qu’on croise agace Katie il lui demande si elle a encore mal aux fesses ou de leur laisser, voire si ses fesses sont encore colorées et chaude. Notre dernier cours a mieux été pour Katie et elle m’a demandé si je voulais aller passer la soirée chez elle et coucher aussi. J’ai fait un téléphone à Claude ou je demeure pour la prévenir et nous sommes partie chez Karine.

            À la maison de Katie je rencontre sa sœur Sandie. Katie ensuite me fait visiter sa maison sa chambre et me propose d’aller au jardin à la piscine, je ne peux pas embarquer dans la piscine je n’ai pas mon maillot, mais on sort, il fait si beau dehors

K----    Ne te fatigue  pas avec ça Maryse si tu veux te rafraîchir avec moi je vais te prêter un de           mes maillots, on a presque la même taille choisie entre ces trois-là.

M---    Non Katie je peux rester en sous-vêtement sans problème, on est juste entre nous deux et ta sœur, personne d’autre va la savoir que je ne porte pas un vrai maillot, c’est presque la même chose qu’un maillot deux pièces la seule différence est que c'est le tissu qui change et le temps de séchage aussi. Je sors de la chambre de Karine pour qu’elle enfile son maillot en toute intimité. Le changement fait Karine vient me rejoindre dehors sur la terrasse, et j’enlève ma jupe ma veste et mon chemisier chaussures et bas et je suis Karine dans la piscine en sous-vêtement les deux sœurs me regarde bizarrement, elles ne sont pas habituées de, voire une fille en sous-vêtement dehors. On vient juste d’embarquer que la mère de Katie arrive et vient nous voir et demande à Karine de sortir elle a affaire à lui parler et a l’air très fâché.

        La sœur de Katie nous avait apporté chacune serviette de plage pour nous couvrir et la mère de Katie me regarde en demandant à sa fille pourquoi elle ne m’avait pas prêté un maillot, ça me gêne un peu que sa mère dise cela a Katie je ne suis pas nue dehors malgré tout, ça me met mal à l'aise et je me couvre avec la serviette. Katie me présente à sa mère. Francine qu’elle s’appelle et elle ne veut pas trop discuter elle est fâché après Katie.

K---  Mama c’est Maryse qui a voulu rester en sous-vêtement. Je lui ai offert un de mes maillots, mais elle a choisi de rester comme ça. Et j’ai invité Maryse a passé la soirée et la nuit ici avec moi demain, ça sera à mon tour d’aller chez elle.

La mère Francine

          Pour l’instant Katie tu rentres avec moi e l’intérieur j’ai affaire à toi. Elle pousse Katie pour qu’elle rentre avec elle et nous demande de les suivre Sandie et moi. Dans la salle a mangé Francine déplace une chaise l’éloigne de la table et s’assoie dessus approche Katie d’elle en la tenant par un poignet et commence à parler de la punition qu’a reçu Katie en s’adressant à son autre fille Sandie  qui est juste à mes côtés et moi en même temps. Cet après-midi son prof m’a écrit, dans son mot elle précise qu’elle a punie Katie et lui a fait enlever sa culotte, remonter sa jupe dans le dos pour lui mettre les fesses a l’air devant tous les autres étudiants dans la salle, et elle t’a administré une punition corporelle des coups de règle devant la classe sur l’estrade pour les insultes que tu lui avais dites. Je t’ai inscrite à cet institut qui coute très chère par semestre a la place de l’école publique ou tu étais l’an passé pour que tu changes que tu deviennes plus sérieuse prenne de la maturité, mais je m'aperçois que ce n'est pas du tout le cas.

           J’espérais que la peur te gagne à voir des étudiants se faire punir pour des sottises comme tu as fait à ta prof et que tu deviennes plus sérieuse, parce que tu étais devenue très impolie avec les gens en vieillissant, et c’est ma faute. J'aurais dû être beaucoup plus sévère avec vous deux dans le passé et au lieu de vous envoyer dans vos chambres réfléchir quand vous faisiez des bêtises, j'aurais dû utiliser d’autre moyen plus sévère, comme la fessée et l'humiliation, cela aurait été beaucoup plus efficace.  Avec ce que ta prof m’a écrite je m’aperçois que ça ne t’effraie pas de voire des camarades se faire punir. J’ai décidé ce soir de te punir comme une gamine le mérite ce que j’aurais dû faire depuis très longtemps. Maintenant enlève ta serviette autour de toi et Katie tu t’allonges sur mes genoux

Katie---

            Maman ce n’est pas sérieux ce que tu veux faire me donner une fessée et coucher sur tes genoux à mon âge et devant ma sœur et Maryse. Lâche moi je m’en vais dans ma chambre et vient me parler en privé pas ici devant eux. J’essaie  en même temps que je lui parle de me libérer la main que ma mère me tient. je ne suis pas capable elle ne lâche pas prise avec son autre main tire sur ma serviette qui tombe au planché et me fait basculer sur ses genoux.

La mère

          Katie je t’ai demandée de t’allonger sur mes genoux et tu n’y échapperas pas. Je vais te punir comme j’aurais dû toujours le faire quand tu le méritais, je fais le tour de sa taille avec un bras pour l’immobiliser et avec l’autre main, je tire la culotte de son maillot vers le bas et l’envoie à ses chevilles, elle est maintenant fesses à l'air et ne l'apprécie pas du tout. Katie quand même que tu protestes tu te débats tu vas recevoir une fessée comme ton prof ta donnée cet après-midi et devant une vingtaine de personne ou plus peut être, ici il y en a que trois qui te regarde les fesses, c'est pas mal moi gênant.  Cela fait très longtemps qu’on ne t’avait pas vue les fesses à l’air depuis que tu étais une toute petite gamine. Sandie va me chercher ma brosse à cheveux sur mon bureau s’il te plait ses fesses vont y gouter.

  Maryse---

         Pendant que Sandie va chercher la brosse la mère de Katie commence à lui claquer les fesses avec sa main très fort et rapidement le bruit de chaque claque résonne dans la pièce, Katie crie débat ses jambes essaie de quitter les genoux de sa mère, mais n’en n'est pas capable elle est trop bien retenue. Sandie de retour avec la brosse elle la pose sur la table et regarde sa sœur qui se débat et surtout les fesses de sa sœur qui commence à prendre un peu de couleur et a l’air de trouver ça horrible ce que sa sœur subit devant elle.

        Katie a de très belles fesses et un superbe corps.  Moi, ça me fait toujours drôle de voir quelqu’un qui se fait mettre nu devant d’autre, chez moi on est tous habituer à se promener nue, entre nous et on le remarque presque pas tout le monde est dans la même tenue. Mais dans une pièce où il y a qu’une seule personne nue et tous les autres sont habillées comme à l’institut quand une étudiante est en punition et est la seule à être nue dans une pièce on est tous porter à regarder cette personne-là comme Katie présentement.

       Francine arrête de claquer les fesses de Katie  ses fesses n’ont pas trop pris de couleur malgré les claques reçue, elle lui frotte les fesses pendant que Katie essaie de ce libéré. Elle réussit pareille à poser une main sur ses fesses pour essayer de se cacher les fesses ou son intimité, et elle dit à sa mère de la lâcher. Sa mère la laisse se relevée en la tenant toujours par un poignet pour la garder près d’elle Katie place son autre main entre ses deux jambes pour se cacher et se débat elle essaie de se sauver dans sa chambre et demande à sa mère de la laisser.

 

     Non ma fille je n’ai pas fini avec toi tu te calmes et reste debout ici devant nous et tu enlèves ta main d’entre tes jambes, et tu places tes mains sur ta tête, lui dit-elle, et en lui ordonnant de prendre position  elle lui claque les fesses encore pour qu’elle obéisse. Katie fini par prendre la position demandée et pleurniche face à moi et Sandie. Je peux apercevoir sa petite ligne de duvet juste au-dessus de sa fente, elle est mignonne exposée ainsi. Il lui reste seulement le haut de son maillot quelle porte encore  qui cache ses petits seins et nous empêche de la voir nue de la tête au pied. Je regarde Sandie qui est à côté de moi et elle me semble surprise figer de voir sa sœur quasi nue devant elle.  Katie m’avait déjà dit qu’elle se rasait le pubis dans nos moments qu’on parle de chose de fille plus intime ensemble, mais je ne l’avais j’aimais vue nue auparavant.

----    Maman, j'ai 18 ans, je ne suis plus en âge de me faire punir de cette façon-là et c’est humiliant se faire punir ainsi devant mon amie et ma sœur presque nue, s'il te plait laisse-moi aller dans ma chambre, tu n’as pas le droit.

----    Oh si j’ai le droit de te punir Katie, comme à l’institut on tous les droits de te punir, eux aussi. Je suis responsable de ton éducation et dans le passé j’ai manqué à ma tâche en n'étant pas assez sévère avec vous deux.  Maintenant je passe à la deuxième étape de ta punition, je n'en ai pas fini avec tes fesses.

        Francine ramasse la brosse que Sandie avait posé sur la table et commence a frappé le derrière de sa fille. Les coups se suivent très rapidement et chaque coup est donné avec force d’une fesse à l’autre en alternance. Katie descend ses mains sur ses fesses lâches un cri se tourne face à sa mère pour quel arrêt. Je vois ses fesses qui ont changé de couleur cette fois ci, elle est dos à moi, avec la brosse ça rougis beaucoup plus et la douleur n'est pas du tout pareille. Subitement sa mère  me parle, Maryse si tu aurais été punie cet après-midi  à l’institut, en arrivant chez toi ta mère t’aurais-tu grondée punie ou il ne se serait rien passé ?  Toute surprise je ne sais pas trop quoi répondre, mais  je veux rester polie et je lui réponds. Je ne vis pas chez ma mère madame, je loge chez une famille j'ai ma chambre privée et c’est eux aussi qui paie pour mes études à St-Thomas, mais si ma prof aurait écrit à Claude celle qui me loge pour lui dire que j’ai été impolie comme Katie en rentrant à la maison j’aurais reçu une bonne punition moi aussi. Claude ou je demeure et que je considère ma mère est très sévère avec nous si on est indiscipliné elle ne se gêne pas pour nous chauffer les fesses elle aussi. 

----    Katie tu entends ton amie ce qu’elle nous raconte, alors tourne-toi reprend ta position et ne bouge plus sinon ce sont tes cuisses que je frappe.

 Maryse ---

         Francine claque l’arrière d’une  cuisse a Katie avec la brosse Katie crie se lève la jambe pour fuir les coups et se retourne face a nous remet ses mains sur sa tête et supplie sa mère. Francine bien décider à lui donner une bonne leçon recommence à frapper sur ses fesses de quelques autres coups une dizaine environs. Katie encore une fois se retourne et protège ses fesses, Katie encore une fois se retourne et protège ses fesses, sa mère dit à Katie ce n’est pas une dizaine de coups sur tes fesses qui te font crier comme ça, voyons Katie, tu es pire qu’une gamine, c'est à peine s'ils ont changé de couleur tes fesses, 

 F----    Katie vas te mettre à genoux dans le coin près de la porte et ne me fait pas perdre patience sinon tes fesses vont encore gouter à la brosse. Et toi Maryse vas ramasser tes vêtements dehors et rejoint moi dans la chambre de Katie. Je vais te prêter une robe, tu n’es plus à l’école ici pour remettre ton uniforme, et tu ne peux pas rester avec des sous-vêtements humides sur toi toute la soirée, je vais les étendre pour qu’ils sèchent.     

M----

           J’écoute Francine vas ramasser mes vêtements mes chaussures en rentrant dans la maison, je regarde Katie presque nue et à genoux dans le coin juste à côté de la porte, et sa sœur qui est assise à la table qui regarde sa sœur fesses à l’air et joue sur son iPad. Rendu  dans la chambre de Katie je pose mes vêtements sur son lit mes chaussures dans un coin et Francine me montre les trois robes qu’elle m’a sorties pour que j’en choisisse une. Elle me dit, choisie une de ces robes-là  qui son opaque personne ne pourra voir au travers et donne-moi tes sous-vêtements ils sont tous humides encore tu  seras plus confortable si ça te gêne d’être nue sous ta robe, je te prêterais des sous-vêtements, Katie et toi avez la même taille et la même grosseur de poitrine ce n'est pas un gros problème pour le soutient. J’enlève ma serviette que j’avais enroulé autour de moi et Francine touche mon soutien et s'aperçois qu’il est très humide, regarde ce que je te disais ton soutient est encore tout humide. De la chambre où on est, on entend les deux sœurs se disputer Katie demande à Sandie de s’en aller de la salle à manger c'est gênant pour elle de se sentir  regarder de la sorte lui dit-elle, et Sandie elle ne veut pas quitter elle doit aimer ça voir sa sœur les fesses a l'air, je m'en doutais me dit Francine, un soutien n’est pas fait pour se baigner c’est trop épais pour sécher vite et ça devient inconfortable apporte-le-moi dehors au jardin avec ta culotte quand tu les auras enlevé je vais les étendre.

      Je te quitte Maryse, je dois aller régler ça deux gamins qui se chicanent ça devient fatiguant. Quelques secondes plus tard j'entends Francine dire à Sandie de le suivre et laisser sa sœur tranquille sinon elle aussi ira accompagner sa sœur à genoux et nue, c'est drôle que Sandie capote sur la nudité de sa sœur, Sandie a 20 ans. J'enlève mes sous-vêtements et la porte de la chambre est grande ouverte Francine repasse pour aller à sa chambre et me regarde je suis nue je me dépêche d’enfiler une des robes, je me sens gêné d'être nue devant Francine et pourtant j'ai l'habitude chez moi avec ma gagne et Katie qui, elle aussi est presque nue je ne sais pas trop pourquoi.  Je retourne ensuite vers la sortie avec mes sous-vêtements dans mes mains et pied nu. Sa me met mal à laisse de passer à côté de Katie. Je n’ai pas le choix, elle est encore en punition à genoux mains sur la tête et juste au côté de la porte de sortie presque nue. Je dois passer à quelques centimètres d’elle pour sortir. Je la regarde, mais Katie fixe le mur gêné elle ne veut pas me regarder. Je donne mes affaires à Francine qui les suspends et revient me voir, Sandie est là, elle aussi et a enfin laissé sa sœur tranquille. Francine me questionne  encore sur ou je vis sur Claude que j’ai dit plus tôt qu’elle pouvait me punir et où est ma vraie mère elle veut savoir.

            Mme ma mère vit à l’autre bout du pays dans le nord et l’an dernier, elle m’a inscrit à l’institut St-Thomas elle jugeait que je manquais de discipline en m’envoyant ici elle espérait que je devienne plus sérieuse. Elle me payait aussi une petite chambre avec une cuisine commune pour me faire à manger. Moi, pour être capable d’arrivée un peu mieux je me suis mise à travailler à l’atelier de couture de la famille Richard et ça a fonctionner jusqu’à cet été ou plutôt jusqu'a mes dix-huite ans que j'ai eu en en Aout. À la fin de septembre ma mère à arrêter de payer l’institut elle ne voulait plus débourser pour moi et elle m’a dit que maintenant que je suis majeur c’est à moi de me débrouiller seul elle n’avait plus à payer pour moi.

        En étant une très bonne amie de Maude une des  filles que Claude a adopté et une de ses employés aussi, elle m’a prise en pitié quand elle a su que je devais abandonner mes études. Claude ne voulait pas que je me retrouve dans la misère et surtout d’arrêter mes études aussi, c'est là qu’elle  m’a offerte de venir rester chez elle et gratis. La seule condition que je devais respecter ce sont les règles de la maison comme ses filles et elle est très sévère, les résultats scolaires, la politesse, les bêtises,  l’obéissance, ça ressemble beaucoup aux règlements de l’institut. Nos notes de passage aux contrôles, C'est d’être au-dessus de la note de passage sinon on est puni. Et bien d’autres choses aussi, si à l’institut on est puni durant la journée peu importe la raison, en rentrant à la maison, c'est sûr qu’on est puni et c’est presque toujours nu qu’elle nous punit.

F--- Donc tu habites chez les Richard le gros domaine avec l’immense  terrain et des maisons que l’on voie quand on va au vignoble et ne m’appelle pas madame, c'est Francine. Il y a quelques semaines Sandie et moi on a été à ce vignoble pour acheter du vin. Ils produisent d’excellent vin en passant et que j’adore, les portes et fenêtre de la boutique étaient grande ouverte  et a l’intérieur de la boutique on entendait très bien  des cris et dès son de claquement comme si quelqu’un frappait sur la peau d’un autre,  provenant de l’arrière-cour. Comme je suis très curieuse, c'est un peu mon métier, je suis avocate je me suis rapproché de la porte arrière.

       Sandie m’a suivie en voyant que je me dirigeais dans la porte arrière qui était ouverte. Sur la terrasse on voyait qu’il y avait une fille dos à nous mains sur la tête et entièrement nue, les fesses toutes zébré marqué par une sangle et bien rouge. Une autre fille se tenait à côté d’elle et avait une sangle ou ceinture dans une main et d’autres personnes étaient autour de la fille à  regarder ce qui se passait et les fesses rougis de la fille.  J’ai demandé à l’employée de la boutique qui s’appelle Francine elle aussi si c’était fréquent ici de punir des personnes,  et surtout de cette manière-là. L’employée nous a expliqué que la fille qui est nue dehors et qui vient de se faire punir avait été très impolie avec des clients et qu’ici ça arrive que les patrons punissent les employées fautif et bien souvent c’est nue leur manière d’administrer les punitions. C’est là que mes venues l’idée de devenir plus sévère avec mes filles  

Maryse---

       La fille que vous avez vue dans l’arrière-cour, c’était probablement moi. Il y a 2 semaines, j'ai été punie à cet endroit devant des clients, c'est toujours humiliant de se faire punir et surtout devant d’autre personne à mon âge et nue, j’ai resté avec une bonne douleur  aux fesses et des marques aussi pendant 48 heures. Claude et Pierre son frère on eut des parents  très sévère parait-il et eux aussi le son et sa perdure dans tous les commerces qu’ils possèdent.

 Si on respecte les règlements de la maison il n’y a pas de problèmes  ils sont extrêmement gentils près a tous nous donner, mais quand l’une de nous fait une bêtise c’est là que nos problème commence. Les deux dans le passé Claude et Pierre ont fréquenté St-Thomas et Claude a ce qu’on dit d’elle sur trois ans d’étude a l’institut elle a été un an et demi en punition elle était très rebelle à l’époque d’après les dires.

 ­Francine ---

           Je connais très bien l’institut qui est devenu que pour  filles seulement depuis cette année, c’est la seule au pays depuis cette année qui est uniquement féminine et à utiliser la punition corporelle et géré par le ministère de la justice. Je suis avocate pour la couronne et quand une jeune fille entre 15 et 19 ans qui est encore d’ âge à aller au lycée est condamné pour presque n’importe quel crime sauf pour meurtre ou agression physique très grave, les juges prennent toujours la décision de l’envoyé à St-Thomas pour qu’elles finissent ses études.  C’est une sorte de chance pour la réhabilitation. Quand les trois ans sont passés aucun casier judiciaire n’apparait si leur comportement a été bon.  La cour de la province ici en envoi, environs une cinquantaine de ces filles-là par an. À la grandeur du pays c’est environs trois cent filles qui y sont envoyées par ans.

        Les plus viellent-elles entre 20 et 25 ans c'est une sorte de travaux forcée avec les mêmes règlements pour les punitions corporelles, elles, elles  sont condamnées entre deux et trois ans à travailler à l’institut et à rester en pension là aussi petit appart fourni,  c'est beaucoup mieux que la prison. C’est une place très stricte que la justice autorise et oblige l’institut à utiliser la punition corporelle, les jeunes sont soumises à des règles rigoureuses.

       C’est pour ça que Katie la fréquente et Sandie aurait dû elle aussi la fréquenté. Katie me compte souvent qu’il y a des étudiants qui son nu dans les cours ou en public et reçoivent des coups de strap. Mais je ne m’imaginais pas que de nos jours dans une industrie comme votre vignoble ou dans une famille ça se donnait encore des punitions corporelles et surtout en public. Sandie va dire à ta sœur  que sa punition est terminée et qu’elle peut aller se rhabiller et venir rejoindre son amie Maryse. Sandie aussi amène nous chacune une coupe de vin  avec une bouteille du vin aussi s’il te plaît moi je commande de la pizza.

 Maryse---

      Katie est revenue dans le jardin avec une robe sur le dos et toute honteuse, le reste de la soirée c’est bien dérouler a jaser surtout de moi et notre manière de vivre et Francine a parlé de punition toute la soirée, ça l’intriguait les histoires de fessé que j’avais commencé à parler, elle voulait toujours en savoir plus. En fin de soirée Katie et moi on rentre dans sa chambre sa mère nous suit en demandant a Katie de me prêter une chemise de nuit et une culotte la mienne étant encore un peu humide dehors. Je vous laisse les filles bonne nuit nous-dit-elle.  Katie me regarde enlevé la robe que sa mère m’avait prêté, je suis nue devant elle et elle se retourne pour ne pas me regarder, Katie regarde moi je n’ai rien à cacher de plus que toi, je suis faite exactement comme toi, et  a tous les jours chez moi je me couche nue. Si ça te gêne tant que ça je vais mettre la chemise de nuit que tu veux me prêter  mais moi je suis plus à l’aise nue pour dormir.

             J’embarque sous la couverture Katie va à la salle de bain pour enfiler sa jaquette elle n’ose pas se changer devant moi. Elle revient et avant d’embarquer au côté de moi dans son lit, Katie me demande si  je suis encore nue sous la couverture.

       Oui Katie je suis nue, ça te gêne de coucher au côté d’une fille nue je descends la couverture sous mes seins jusqu’à mes cuisse même pour lui montrer que je suis nue, regarde Katie ce n’est pas plus dure que ça j’ai le même corps que toi et ça ne me dérange pas que tu me regarde nue. je peux me relever tu me verras encore mieux. Je sors du lit et me montre face à elle les bras de chaque côté de mon corps et tourne pour qu’elle me voie de toute les côté. Katie du devrais faire comme moi regarde je suis complètement nue devant toi et il n’y a pas de problème à ce que tu me regarde.

        Il n’y a rien de grave dans la nudité c’est juste une habitude d’être nu devant d’autre personne qu’ils le sont elles aussi, c’est juste plus relaxent de dormir nue essaie, et demain si tu viens chez moi je te préviens tout de suite que tu verras mes sœurs et moi nues on ne porte aucun maillot pour la baignade.

      Claude et Pierre s’il est là lui aussi n’en porte pas plus donc si tu viens chez moi ne te surprend pas de me voire nue et les autre aussi. Je me recouche sous la couverture, Katie  elle aussi se couche au côté de moi et enlève sa chemise de nuit sous la couverture. Je fais par exprès et regarde sous la couverture son corps elle a sa culotte mais ses seins son a l’air, je  touche un de ses seins pour la provoqué, et elle ne cherche pas à les cacher elle me laisse faire.

      Je me descends dans le lit à la hauteur de ses hanche et saisi l’élastique de  sa culotte et fait descendre sa culotte très tranquillement, elle soulève ses fesses pour la laisser glisser  je lui enlève complètement,  laisse aller sa culotte au sol près du lit. Katie est  nue devant moi sans couverture qui la cache. Tu vois que ce n’est pas si dure que ça on est toutes les deux nue et le pire est fait. Je me recouche au côté d’elle et remonte la couverture sur nous Katie commence à me prendre un sein et joue avec mon téton ça le fait durcir et elle s’en rend compte.

        Ca ne te gêne pas que je te touche me dit-elle et elle s’assoie dans le lit en descendant la couverte à mes genoux. Elle  regarde mon corps et commence à toucher mon ventre mon nombril et descend à mon pubis joue avec mon petit duvet. Sandie apparait dans la porte qu’on avait oubliée de la fermé elle est vêtu que d’une chemise de nuit elle regarde sa sœur assise dans son lit et nue et moi allongée au côté d’elle. Sandie entre et ferme le porte derrière elle et se place au pied du lit face à nous deux. Au même moment et par pudeur  Katie tire la couverture pour se couvrir et s’allonge dans le lit. Katie demande à sa sœur de lui foutre la paix et sortir de sa chambre.

 Sandie---

        Vous deux vous êtes-vous en train de vous caresser une et l’autre. Je le savais j’en étais sûre que ça finirait comme ça, Katie si maman savait quelle cochonnerie tu es en train de faire avec ton amie, je pense  bien que tu te ferais encore chauffé les fesses, trois fois dans la même journée tu commences à y prendre gout à la fessée. Et baisse le ton maman va nous entendre et venir ici et je pense que ça va mal finir pour toi. Katie si tu ne veux pas que j’aille chercher maman tu m’obéie toi et Maryse vous deux vous sortez du lit et rester debout face à moi les mains dans le dos sinon c’est maman qui va venir vous sortir du lit. Moi aussi j’ai envie de m’amuser de me faire plaisir comme on dit je ne suis pas faite en bois j’ai des fantasme moi aussi.

Maryse---

       Je me lève debout et fait comprendre à Katie qu’elle n’a pas d’autre option que de sortir du lit elle aussi. Je me place comme Sandie nous a demandé main dans mon dos,  Katie de l’autre côté du lit fait de même en disant a sa sœur  qu’elle était chienne de l’obligé à faire ça, et  garde ses mains sur ses partis. Sandie vient me voire elle est légèrement plus grande que moi, elle ne lâche pas mon corps des yeux elle passe sa main sur mon duvet et me prend un sein, je vois bien qu’ils ne sont pas plus gros que ceux de ma sœur rajout-elle.

       Sandie fait le tour de moi en gardant une de ses main sur ma hanche et tasse mes mains que j’ai dans le dos sur mes fesses et me claque les fesses deux petite claques une sur chacune de mes fesses, pas trop bruyante juste pour satisfaire son plaisir de me toucher les fesses et pour ne pas que sa mère entende de sa chambre. Elle me dit tu es superbe nue Maryse ne bouge surtout pas je reviens. Elle retourne au pied du lit et fait signe a sa sœur de venir la rejoindre. Je suis toute surprise d’entendre ça elle demande a Katie de la déshabillé, enlève ma chemise de nuit lui demande-elle. Katie toute surprise de la demande de sa sœur et la gêne d’être nue et de dénudée sa sœur en plus elle reste figée ne bouge pas elle garde ses mains collées sur elle pour rester caché devant sa sœur. J’entends dire Voyons, Sandie tu es ma sœur je ne peux pas faire ça, déjà que je suis nue devant toi ce n’est pas normal et humiliant.

Sandie---

        Bouge Katie tu m’obéie ou je vais chercher maman. Je te demande d’enlèvé ma chemise et t’obéie moi aussi je veux découvrir l’effet que ça fait de caresser un autre corps et de se faire toucher par une autre que soit même et ça fait longtemps que j’en rêve de ce jour-là. Je veux que ce soit toi qui me déshabille si tu ne veux pas je pars cherché maman.

Maryse—

         Katie se décide à bouger elle prend le cordon au coup de Sandie qui tient un peu fermé sa chemise de nuit et défait la boucle entre ses seins le vêtement s’élargi et Katie le fait glissé de sur les épaules de Sandie. Le vêtement étant très ample plus rien ne le retient, il descend vite  au pied de Sandie. Katie regarde sa sœur qui porte juste un string devant elle et se sent mal à l’aise. Je regarde ses seins qui sont plus gros que les miens et ceux de Katie et se tienne très bien elle est belle très mignonne avec son string. 

       Sandie fait signe à Katie de continuer il lui reste son string, Katie se met à genoux en avant de Sandie et prend l’élastique de son string et le descend tranquillement jusqu’à ses cheville et le débarrasse de ses jambes avec sa chemise. Sandie est raser pas un poil elle a les petite lève qui sorte de sa vulve une petite tache de naissance sur l’aine droite. Sans que l’on s’y attend la porte de la chambre s’ouvre, c’est la mère de Katie et Sandie elle nous regarde tous les trois nu, elle ne dit  pas un mot, ce secoue la tête reste immobile plusieurs seconde nous trois on se trouve quelque chose pour se caché Sandie c’est sa chemise qu’elle colle sur elle, moi c’est avec un  bout de couverture que je réussi a me caché. Katie elle aussi a ramassé son vêtement.

La mère---

         J’aurais jamais pensé que vous pourriez vous rendre a des basses comme ça entre sœur Maryse et Katie j’en avais un petit doute que ça pourait arrivé mais jamais mes filles ensemble. Vous sortez d’ici toutes les trois allez dans le living room j’ai a vous parlé, et laisse vos vêtements ici vous aimez ça vous voire nu alors sortez de la chambre nu toutes les trois.

Maryse---

       Pendant que l’on sort Francine a été dans la salle de bain et ressortie avec une brosse à cheveux et elle me suit je suis la dernière a avoir sortie. Francine est tout juste derrière moi et me claque les fesses avec sa brosse juste des petits coups sans que ça ne fasse mal comme pour ne dire avance mais gentiment. Dans la pièce Francine s’assoie sur le canapé et ne veut surtout pas que l’on s’assoie elle veut que l’on reste aligné une à côté de l’autre main dans le dos face a elle, et elle allume une lampe, par chance les rideaux sont tous fermé. Francine nous regarde toutes en se tapant dans une main avec la brosse et la pose ensuite sur la table du centre. Sandie lui demande si  elle a l’intention de nous punir avec sa brosse.

Francine---

        J’y pense vraiment Sandie depuis que vous nette plus au couche que vous ne vous promenez plus nues dans la maison et maintenant rendu à l’âge de la maturité vous, vous promenez à poil et avec une étrangère une amie de Katie, toi Maryse va remettre une chemise de nuit et une culotte, ensuite si ça te tente tu peux revenir. Je ne te retiens plus ici et nu. Je ne peux pas tous vous interdire sinon vous aller me détester, et aller ailleurs pour faire vos expériences et je veux que vous restiez avec moi ici le plus longtemps possible.

      C’est normal que des jeunes comme vous cherche à développer le goût pour le sexe et expérimenter leur côté sexuelle, moi a 17 ans j’ai gouter pour la première fois au plaisir sexuelle, c’était quoi toucher une autre fille ou une autre personne que moi, de lui caresser son corps j’avais pas connue autre chose que de me toucher moi-même me masturbé seul et j’ai fait cela avec ma meilleure amie dans le fond d’un champ pour ne pas que ma mère et la mère de mon amie le sache, si ma mère m’aurais prise a faire ça j’aurais reçu une cuisante fessée probablement devant ma sœur.  Ce soir ce que vous avez faite c’est normal pour des ados y compris toi Sandie t’as encore la mentalité d’un ados de 17 ans. Mais pas entre sœur je peux comprendre entre Katie et Maryse vous cherché à vous découvrir sexuellement c’est pas mal mieux la toute première fois de s’essayez et découvrir c’est quoi le sexe entre fille que de le faire avec un gars plus vieux sans protection et devenir enceinte après.

        Avec un gars ce n’est pas long il bande te pénètre éjacule en toi et c’est fait 3 minutes après il se rhabille et il débarrasse la place il passe à une autre ainsi de suite. Maryse je ne t’interdit pas d’aller coucher dans le lit de Katie et nue si ça te tente mais les filles surtout Katie et Sandie pas entre vous des sœurs. Maryse chez elle il se considère comme des sœurs mais ce ne sont pas des sœurs de sang comme vous deux il y a une grosse différence. je ne vous punie pas et si c’est plus fort que vous gardez ça secret n’en parlez a personne c’est de l’inceste que ça s’appelle et personne d’autre que vous deux doit le savoir y compris Maryse toi aussi tu gardes le secret tu m’as parue une très gentille fille ce soir quand on a jaser ensemble c’est pour ça que je te laisse coucher dans la chambre de Katie si vous faite rien ici ça sera probablement demain chez toi alors vous êtes libre. Moi je vais me coucher il est tard et allé vous mettre quelque chose sur le dos c’est indécent de se promené nu.

Maryse

             Francine retourne vers sa chambre et on la suit toutes, Sandie prend sa mère par la taille pour la collé, elle très belle femme à quarante ans je lui en aurais donné pas beaucoup plus que trente ans, Sandie lui met la main sous la chemise probablement pour sondé le dessous de sa chemise de nuit, son bras et sa main on fait que la chemise c’est relevé un peu, on distingue les fesses de Francine elle ne porte pas de sous-vêtement dessous et Katie l’a vue. Katie donne une claque sur les fesses a sa mère, maman dit-elle toi aussi tu te promènes les fesses a l’air. Francine demande a Sandie d’enlevé sa main de sous sa chemise il n’est pas question que je me laisse faire par mes filles, c’est pas touche les filles.  Katie et moi on rentre dans la chambre pour se couché  et supposé dormir mais… 

          

  

 

 

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...