En rentrant dans mon bureau, je regarde les messages et laissent mes deux punis patienter dans leur coin. Quelque instant plus trad. Je me retourne vers elles et les regardent. Mesdemoiselles Ducharme et Leroy, je crois que votre comportement d’aujourd’hui à dépasser les bornes, la tricherie ici n'est pas tolérée. Surtout que Mlle Gracia vous avait donné une très grosse chance la première fois. Et en plus un manque de respect envers elle en lui disant de s'en retourner d’où elle vient, qu'elle ne connaît rien de nos coutumes et de notre pays. C’est impardonnable, sachez qu’elle commence sa troisième année comme enseignante ici et qu'elle connaît les règlements parqueur et essaye d’être la moins dure possible envers ses étudiants. Elle en laisse beaucoup trop passer. On lui reproche souvent, c’est la deuxième fois en trois ans qu'elle nous envoie des étudiants en comparant d’autres professeurs. C'est presque un cas par mois Les filles se sont mises à contester les dires et de ne pas les punir, car ce serait une injustice, Mlle Garcia avait menti.
Je ne m'occupe pas de leurs paroles et leur demande d'arrêter de parler. Mlles, le comité de discipline ce réuni en fin d’après-midi à la fin des cours et vous allez être présentes. C'est là que sera décider de la sentence pour leur punition à recevoir. Mesdemoiselles, vous êtes nouvelles ici et en première année. Et cette année les punitions corporelles de niveau trois que vous allez probablement recevoir se donne en public. vous êtes surement au courant. En entrant ici à l'inscription, vous avez reçu chacune un carnet comme tous les étudiants inscrit ici, expliquant de long en large tous les règlements ici. Les deux, on réagit en même temps en disant qu’elles refusent les deux d’être fessée en public. Je rajoute que si la punition est le niveau trois ce n’est pas juste la fessée sur la jupe, mais entièrement nue qu’elles recevront. La panique envahit les deux filles. Pour les stressées un peut plus, je rajoute. vous deves me donner vorte uniforme de l'institut, je vous le confisque a toutes les deux. tout ce qui contient l'emplème de l'institution vous est interdit. Donc, vous ne pouvez plus porter l’uniforme de l’institut, le manque de respect en trichant vous fait perdre le droit de porter cet uniforme. Vous enlevez tous ici même, veste, chemisier et jupe dans ce bureau. Elles refusent et me disent que ça ne se fait pas de se dévêtir devant un homme. Ma réponse fut que je me foutais de leur pudeur, vous n'êtes pas les premières à se déshabiller ici. Et que si elles n’obéissent pas, vos vous-vêtements aussi, je vais vous confisquer. Aimez vous mieux être entièrement nue, c'est a vous de décidée. je vous donnerai une fessée nue dans le secrétariat. Je ne me gênerais pas de vous punir nues devant mon assistante. Et pour se rendre à la salle de conférence ou le comité nous attend, je vous obligerai à vous y rendre nue. Les filles hésitaient un peu puis Mlle Ducharme Pierrette commence à enlever sa veste, la plie et la pose sur une chaise dans le coin. Ensuite détache les boutons de manche de son chemisier et défait avec ceux de haut de son col en descendant jusqu'au dernier. Sa copine la regarde en disant, tu ne te déshabilles pas, devant lui es-tu folle. Pierrette lui répond qu’elles n’avaient pas le choix et de faire la même chose pour ne pas se ramasser nue dans les couloirs. Nadine commença à enlever sa veste aussi. Pierrette son chemisier est enlevé, mais elle n'ose pas s'en séparé. Elle le tien collé sur sa poitrine pour cacher ses petits seins à peine finis de se développer. Mettez votre chemisier bien plié sur la chaise avec votre veste et continuer, lui dis-je, avec la jupe. Nadine, elle enlève sa jupe, la pose sur la chaise et hésite pour le chemisier, je vois que vous portez la culotte réglementaire, ça vous évitera une punition supplémentaire Nadine. Maintenant Nadine, continuez, enlevé votre chemisier, mais elle ne bouge pas, se tenant les bras croisés sur sa poitrine et elle me dit qu’elle ne porte rien dessous son chemisier.
C’est contre le règlement, je lui fis remarquer et que dans les
règlements vestimentaires, c'est très bien mentionné dans ton carnet.
Pour entrer dans l’institut le matin, l’habillement doit être conforme
au règlement. On est très sévère sur ces point-là, mais il va falloir
qu'on se remette à faire plus de vérification. Il y a un gros manque à
ce que je peux voir. Ce règlement existe pour éviter bien des
provocations et que des gestes déplacé ne sois commis. Nadine me dit
qu’elle n’avait jamais lu les règlements. Je l’interromps en disant que
tous les étudiants ici doivent lire leur carnet. Ce n'est pas une excuse
Nadine, tu aurais dû lire ton carnet. Même si tu ne l'as pas lue, tu
es obligée de te le respecter pareille se règlement-là. Soutien ou pas
sous ton chemisier, il doit être enlevé ici dans mon bureau et devant
nous. Gêner, elle le déboutonne, en se retournant dos à moi et ça
copine et l’enlève. Elle garde son chemisier collé sur sa poitrine qui
est plus volumineuse que celle de Pierrette. Mlle Leroy, poser votre
chemisier sur la chaise, ne m'obligez pas à vous l'arraché de vos
mains. Et continuer, enlever votre jupe aussi. Elle se mit à pleurnicher
comme une petite gamine qu'on lui enlève son jouet. Nadine trouve que
c’est trop humiliant de se mettre nue devant un moi. Je ne suis pas à
l'aise avec ça, je ne me sens pas capable. C’est vous qui décidez
Nadine, je traverse de l’autre côté du bureau en m’approchant d’elle et
lui frappe les fesses, plusieurs claques, environs une dizaine
par-dessus la jupe, et pas mal forte ces claques. Elle c'est retourner
pour que j'arrête de lui claquer les fesses. Elle crie et dit ça fait
mal d’arrêter et se frotte les fesses avec une main et tien le chemisier
sur ses seins avec l’autre. Je profite et détache moi-même les boutons
de sa jupe, la jupe ne tient plus et tombe à ses chevilles. Les mains
occupées à cacher ses seins avec son chemisier, elle ne peut pas trop
m’empêcher de la dénuder de la taille aux pieds et je passe mes mains de
chaque côté de sa culotte et la descends aux chevilles. Ma patience a
des limites et elles sont atteintes. C'est fini pour toi, je te
confisque ta culotte aussi. Reste nue, tu ne veux pas écouter, alors, tu
vas rester nue.
Elle recommence à pleurer et ne veut pas qu'on la regarde nue. Je me
suis penché à ses pieds, en lui frappant une cuisse pour qu'elle lève
son pied, pour que je sorte sa jupe et la culotte et l’autre cuisse pour
passer les vêtements de son autre pied. Complètement nue, la seule
chose qu’il lui reste son ses chaussures, ses bas blanc et son
chemisier, quel tien toujours avec ses mains et bien coller sur sa
poitrine pour cacher ses seins. Je me relève et la regarde.
Instantanément elle se retourne dos à moi gêner d'être nue. Encore une
fois, je lui frappe très durement les fesses environs cinq à six bonnes
claques sur chacune de ses fesses, et de belles traces de doigts
apparaissent sur la peau. Elle baisse une main et la pose sur ses fesses
pour se protéger les fesses et ne lâche toujours pas son chemisier de
l’autre main, cachant toujours sa poitrine. Avec une bonne poigne, je
lui arrache de sa main le vêtement. Son chemisier en main, je le pose
avec sa jupe sur la chaise. Pierrette regarde les fesses a Nadine qui
est encore dos à nous deux et constate qu'elles deviennent plus en plus
rouges à chaque fois qu'elle reçoit une nouvelle série de claques. Je
lui redonne une série de puissantes claques en travers de fesses et
demande à Nadine de nous faire face. Elle se retourne face à moi et se
frotte les fesses à deux mains cette fois-ci, me laissant voir toute son
intimité. Elle me supplie d’arrêter et pleurant. Face à moi, et je lui
ordonne de mettre ses mains sur la tête, sinon je continue de lui rougir
les fesses. Elle obéit et ça copine, les yeux fixés sur son corps, lui
dit qu’elle n'avait qu’à obéir, d'arrêté de se plaindre. Pierrette,
elle est encore avec son soutien et sa jupe. Très bien Pierrette lui
dis-je, toi aussi te ne veux pas coopérer. Je redemande encore une fois de détacher sa
jupe et de l’enlever parce que c’est comme son amie qu'elle finiras. La
honte la gagne et elle obéit.
Conte-toi chanceuse Pierrette de pouvoir garder ses
sous-vêtements, tu as été obéissante, je te permets de les garder. Tu
auras la chance de circuler dans le hall en sous-vêtements, c'est moins
humiliant que d'être nue comme Nadine. Maintenant, il est l'heure,
suivez-moi tous les deux. je vois Nadine qui fige dans la porte de mon
bureau quand elle aperçoit la secrétaire, Mme Sénégal qui est assis à
son poste. Si tu ne veux pas recevoir d'autres claques sur tes fesses
devant elle, Nadine sort et continue sans s’arrêter. Ce sera beaucoup
mieux pour tes fesses déjà mal en point. Nadine, ce n’est pas la
première fois qu’une étudiante passe devant elle nue. Nadine mets une
main sur son sexe et l’autre sur ses seins et elle se décide. Elle
avance devant Rachel et sa copine la suit. Mais un peu moins humiliant
pour Pierrette.
Elle, elle, a pu garder ses sous-vêtements. Je leur donne l’ordre de garder les deux bras croisés dans leur dos est toujours laissées leurs fesses bien visibles surtout pour Nadine. C'est ça que l'on exige des punis, en montrer le plus possible. Et Nadine, lui, demandai-je arrête devant Rachelle pour qu'elle te regarde. Rachelle aime ça des filles qui circulent dans son bureau nue. Rachelle sourit quand Nadine passe devant elle. Rachelle la complimente sur ses belles fesses colorées. Nadine gêner de son commentaire se cache les fesses et son entre jambes. Tu aimes ça, te faire rougir les fesses Nadine. Tu fais exprès pour recevoir d'autres claques sur tes fesses, recroise tes bras sinon les fesses vont te chauffer à nouveau. Nadine se résigne à rester exposée devant elle et remet ses bras en position dans son dos. J'aide à ce qu'elles avancent, je les pousse dans le hall à l'extérieur du bureau. Les deux filles sont devenues la face rouge de honte. Presque autant que les fesses à Nadine de se retrouver ainsi une en sous-vêtement et l’autre nue dans un lieu publique avec quelques profs au centre du hall qui les regardent. La salle de conférence ou avait lieu la réunion était seulement qu'à quelque pas de mon bureau. Je vois que Pierrette regarde le derrière de Nadine et ne le lâche pas des yeux.
Pierrette, tu trouves que Nadine ton amie a de belles fesses
colorées. Veux-tu regarder Nadine de face, je peux l’obliger à s’écarter
les jambes devant toi si tu le veux, ça doit aussi t’intéresser sa
belle fente avec sa toison blonde et ses seins bien dressés. Pierrette
rougie de honte. Nadine, elle, elle, est humiliée et choquée. Elle se
colle dos au mur pour se cacher les fesses. Les mains sur sa fente, les
bras serrés pour cacher le plus possible sa poitrine. Elle traite
Pierrette de folle, tu n’as pas honte de me regarder de cette manière,
ce n'est pas la première fois que tu me voies nue, c'est gênant que tu
me regardes comme ça. Si c'était le contraire, que moi, je serais
habillée et toi nue devant moi, je ne t'aurais jamais humiliée comme ça.
Passe en avant pour faire le reste du chemin, ça te fera regarder
ailleurs. Mais Nadine savait très bien que moi aussi en suivant en
arrière d’elle j'ai les yeux fixés sur ses fesses. Nadine garde
beaucoup plus ses mains sur ses fesses que dans son dos. Je les fais
entrer dans la salle, la porte étant ouverte et on entend parler à
l’intérieur. Je pousse Nadine pour l'aidé a entré à l’intérieur. Car
elle fige encore dans l'entrée quand elle a aperçu une douzaine de
profs. Pierrette elle en sous-vêtement fige aussi, elle est aussi gênée
d'entrer que Nadine, mais avance lentement en se protégeant les fesses
de peur que je l'oblige a entré de force en lui claquant les fesses.
Mlle Garcia, leur professeure qui était debout très près de la porte en
voyant rentrée Nadine nue, prend quelques secondes pour la regarder.
Elle la détaille de la tête aux pieds et lui demande si elle aime se
balader nue. Je m'aperçois Nadine qu'on t'a déjà chauffé les fesses,
réplique sa prof. Nadine toute rouge de honte ne répond pas. Mlle Garcia
leur inique à toutes les deux d’aller se placer en avant de la salle
face à tous. Debout et mains sur la tête et obéissez ou c’est la fessée
pour les deux avant de commencer la réunion. C’est la première fois que
je vois Maria aussi autoritaire, les deux filles prennent position les
mains sur la tête comme demander jambes bien collées. Nadine s'aperçoit
que beaucoup de gens devant elle la regarde.
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