jeudi 14 mai 2020

Marie a peur a ses fesses devant le directeur, elle trahie son amie le tag 1



 

Un tag décorait la façade de l’institut Saint Thomas. Un mot, un seul, s’étalait : Bagne. Le directeur était furieux et avait demandé à tout le personnel d’être aux aguets pour réussir à attraper le coupable, il leur a promis une récompense à celui ou celle qui trouve le coupable.

Il n'a fallu que quelques heures pour qu’une piste se dégage, une employée d’entretien avait entendu une conversation entre étudiantes, l'une d'elle a paru se venter de savoir qui était l'auteur. Mais ce n'était que qu'une autre rumeur parmi quelques autres qui circulait. Ce qui laissait penser que Marie Esteban savait peu-être des choses. Monsieur Delavarenne, notre cher directeur, décida de prendre les choses en main pour essayer d'éclaircir ce méfait. Le lendemain matin, à la première heure, il fit venir l'étudiante dans son bureau.
Marie
Depuis vingt minutes que j’attends assise dans le grand hall de l'entrée principal de l'institut. Sur un banc de bois peu confortable devant le secrétariat, à me poser des questions sur la raison de cette convocation. Je suis passé devant le bureau de M Lepetit le directeur de la discipline qui est juste à côté, et j’entendais des pleurs. Sandra, mon amie l'an passé, avait été convoquer à son bureau. Elle avait été obliger d'enlever sa jupe et sa culotte. M.Lepetit lui avait donné dix coups de strap sur les fesses, elle me l'avait racontée en me promettant de garder ça secret. C'est lui qui normalement convoque les étudiants pour les punir, c’est lui qui gère la discipline ici. Mais on m’a bien dit d’aller au bureau du directeur M Delavarenne. La secrétaire vient me voir et me regarde avec un petit sourire en coin qui ne me rassure pas, elle me dit pauvre fille, je n’aimerais pas être dans tes souliers.
Enfin, elle me demande de pénétrer dans le bureau. Le directeur m’interpelle sans que j'aille le temps lui dire un bonjour ou autre :

— Vous devez être fière de vous ! Silence, je ne veux rien entendre ! Les mains dans le dos et laissez-moi parler…

J'obéis sans insister. Le dirlo a l'air de très mauvaise humeur ce matin. Et quand il est ainsi, c'est beaucoup mieux lui obéir, cela évite d'être puni.

Je me mets à trembler, cet accueil agressif ne me rassure pas. Et la réputation qu'à le directeur et cette institution pour les traitements me font craindre le pire. L'an passé, j'ai vu plusieurs étudiants recevoir des fessées nues et devant nous tous. On est en début d'année et les règlements n'ont pas changes, ils ont même empiré cette année.

 — Vous savez ce qui arrive dans un bagne aux mutins ? Ils sont attachés, exposés et fouettés nus au milieu de la cour en public et on leur fait affronter les pires humiliations.

Mes tremblements augmentent, le mot bagne me fait comprendre le sujet de cette convocation. Mais je ne comprends pas trop pourquoi c’était moi qui suis ici et non ma copine Sandra qui pourtant est l’auteure du tag.

 — Marie, vous savez que couvrir le responsable d’un forfait ou d'avoir aidé l'auteur, c’est être son complice ?

Je regarde le directeur. Comment donc sait-il tout cela ? Il me coupe dans mes pensées.

 — Mlle, votre uniforme vous est confisqué, déshabillez-vous complètement, pendant que je réfléchis un instant à votre sanction.

 Je sais que ce n'est pas le moment de discuter avec lui, le dirlo est trop en furie et je dois laisser ma pudeur de côte et obéir si je ne veux pas empirer les choses. La peur se diffuse en moi, le directeur a la réputation d’être très sévère et ses punitions sont très humiliante quand un étudiant n’obéi pas à ses ordres. Cravate, chemisier, jupe, je retire lentement mon uniforme. Il ne me reste que ma culotte sage et réglementaire en coton blanc et mon soutien-gorge, blanc lui aussi. Le directeur lève les yeux.

—J'ai été très clair, Mlle, j'ai dit tout et ne me le faite pas répéter encore une fois. Le reste aussi chaussures et bas inclus puis mains sur la tête.

Il reste les yeux fixés sur moi pendant que je retire mes sous-vêtements et mes chaussures, je suis maintenant nue devant lui. La position de mes bras cache ma poitrine et laisse visible mon bas-ventre visible. le dirlo regarde mon bas ventre que je garde bien rasé.

— Vous avez envie d’être fouettée nue au milieu de la cour ? Et devant tous vos camarades.

 J’ai les yeux pleins d’eau et sens des larmes qui coulent sur mes joues. Mes pensées ne sont bien claires, humiliées de cette façon, j'en ai perdu mes idées. Je m’imagine nue, exposée à la vue de tous et le fouet s’abattant sur ma peau. La peur me fait de nouveau trembler. On voit souvent des étudiants circuler nus dans les couloirs en punition et recevoir la fessée à la cafétéria le midi. Je me disais en moi-même que ça devait être tellement humiliant d’être nue devant tous ces gens. J'espérais ne jamais avoir à être punie de cette manière-là, et c’est moi maintenant ce matin qui est nu devant le directeur et horrifier de l’être nue.  

— Pitié, monsieur, pitié… Je n’ai rien fait…

 Le directeur me regarde.

 — Je sais que ce n'est pas vous qui l,avez fait. Mais par conte, vous êtes complice. Votre seule chance d’éviter l’humiliation d’être nue et fouettée devant des centaines de personnes ce midi, c’est de coopérer. Mais libre à vous de choisir le fouet.

 — Coopérer ? Je cherche un espoir de m'éviter cette humiliation-là.

 --- Vos mains sur votre tête, je veux vous, voire nue de la tête aux pieds et non cacher comme vous le fait  présentement, c'est beaucoup plus humiliant d'exposer son corps au grand complet. 

Je vais vous sortir dans la cour et vous attachez nue pour que tous les gens vous regarde si vous ne me répondez pas Mlle.

 — Marie, si tu veux te sauver cette humiliation, parle. Il me faut le nom du coupable ou de la coupable et vous le connaissez.

— Mais je ne peux pas dénoncer ma copine, me dis-je, dans ma tête !

 — Après un moment d’attente, le dirlo me dit.

--- C’est ton choix. Ma belle, tu as le droit de préférer l’humiliation et le fouet en public.

 --- Je reste muette. Le directeur se lève.

 — Bon, j’ai assez perdu de temps avec toi, j’ai bien d’autre cas a réglé ce matin, lui dis-je.  Je la prends par un bras et je l'oblige à me suivre, on s’en va tous les deux dehors et je te fais attacher après le poteau au milieu de la cour. Ainsi, tu seras exhiber nue pour le reste de la matinée à toutes les salles de cours qui ont des fenêtres avec vue sur la cour. Ça va sûrement plaire aux étudiants de voir une belle fille comme toi nue, avec ce superbe corps, et tu vas être prête pour le fouet ce midi, il devrait y avoir une assistance monstre pour venir assister à ta punition. Je suis sûr que tes hurlements sous le fouet feront comprendre à tout le monde que je ne plaisante pas. Rendus devant la secrétaire de l’autre côté de mon bureau, Marie me dit, je vais vous dire qui a fait le graffiti. Mais s'il vous plaît ne m’amenez pas dehors s’il vous plaît. J'ai trop honte d’être nue et dehors en plus. Alors parle sinon il sera trop tard, un coup sortit d’ici, on ne revient plus en arrière.

 — C’est Sandra. C’est Sandra Lawson, pitié, surtout pas nue dehors et le fouet, pitié monsieur.

 J’ai craqué par ce que vous voulez m’infliger, je sais que ce n’est pas bien de dénoncer une copine, mais j’ai trop peur.

 ---- Bon, Marie, je vois que vous voulez sauver vos fesses, retournez dans mon bureau et reprenez votre position, main sur la tête au centre de la pièce. Pendant que Marie me dit que c’est Sandra ma secrétaire, elle suit Marie dans mon bureau  et regarde Marie se positionner. Marie est nue devant ma secrétaire qui l'examine de la tête au pied, et lui passe un petit commentaire, je suis sûre ma belle fille que vous auriez faite fureur nue dans les couloirs et exposé dans la cour.

      Dans mon bureau, Marie a repris sa position à centre. Je sors une strappe en cuir véritable et très souple de 4 cm de large et 50 cm de long qui est rangé dans mon armoire. Je m’approche de Marie qui debout au centre de la pièce et lui conseille de ne pas bouger. Je lui annonce qu’elle va recevoir 15 coups de strappe sur ses belles fesses toutes blanches pour m’avoir fait perdre mon temps, et si elle bouge, c’est dans la cour que je l’amène pour finir sa punition attacher au centre de l’estrade et elle restera attaché jusqu’à sa séance de fouet de ce midi. Marie en pleure me supplie de ne pas la sortir, elle va rester sans remuer.

         C’est bien alors tes mains reste sur ta tête. Je lui applique un solide coup en travers des fesses, elle crie, mais garde sa position, ma secrétaire vient jeter un œil pour, voire Marie se faire punir, elle aime ça voir une fille se faire rougir les fesses.

       Je continue à lui claquer les fesses et elle résiste tan bien que mal à demeurer immobile au quinzième, elle descend ses mains sur ses fesses pour soulager sa douleur. Des larmes coulent plein ses joues. Je la laisse reprendre sont respire pour qu’elle se calme. Quelques minutes plus tard, je l’envoie face au mur, mains sur la tête et lui défend de bouger sinon gare à ses fesses, la strappe n’est pas loin de son derrière.

   

         J’appelle M Lepetit qui est dans son bureau juste a côte du mien. Quelque seconde plus tard, il frappe à ma porte et entre en regardant Marie nue face contre le mur et les fesses bien rouge. Je lui demande d’aller chercher Mlle Lawson et de me la remmener ici, j'ai un besoin urgent de lui parler.

 

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...