Laurie-
Je suis une des deux assistantes pour la sécurité es la
discipline de l’institut ST- Thomas. Ce matin, le directeur a fait
venir quatre étudiants dans son bureau qui sont accusé de tricherie et
d'agression envers une étudiante, et il m’a chargé de surveiller les
étudiants dans la salle de conférence. Il a fait venir les parents des
quatre étudiants pour s'expliquer avec eux. Présentement, il est avec
eux dans son bureau pour leur expliquer en détail la gravité de
l’agression qu’ils ont fait sur une de leur camarade samedi. D’avoir
triché à deux tests de contrôle hier avec la complicité de deux
professeurs, tous les six seront punis très sévèrement.
Les explications terminées tout ce monde ce transfert ici dans la salle
avec nous cinq qui étions en attente ici. Les deux profs, elles, elles
restent en attente dans une autre salle. Les quatre étudiants, le
directeur les fait installer au fond, debout face à la salle, en
position de puni, bras croisé dans le dos comme l’avait exigé M Lepetit
mon patron.
M. le directeur demande à tous les parents
de s'installer d’un côté de la salle face à nous, le personnel de
L’institut. M Lepetit mon patron, Claude ma collègue, M Ponge le
directeur de l’entretien et président du comité de discipline avec son
assistante Ginette qui arrivent. Ils s'installent à l'autre bout de la
grande table de conférence. Tant qu’au directeur, lui, il reste au
centre, debout juste en avant des étudiants, en punition. Il remonte
quatre boîtes qui sont sous les tables au sol pour les poser sur là
table devant eux et ces boîtes sont identifiées à chacun des punis.
Vous allez vivre ici jusqu’à mardi prochain inclusivement. Même pour les coucher, vous aurez chacun votre dortoir au sous-sol. Je me suis bien fait comprendre, j'espère. Pour ce matin, c'est 25 coups d'une de ses deux tawses qui sont ici devant vous sur la table que vous recevrez ici dans cette salle. Ça remplacera la ceinture que vous, vous avez utilisée samedi pour rougir les fesses de votre amie. Les étudiants commencent à enlever leur uniforme tranquillement et le directeur rajoutent. Pour le moment, vous gardez le privilège de garder vos sous-vêtements. J’ai bien dit pour le moment parce qu'à partir de 11 h 15 nous allons nous déplacer à l’auditorium. J'ai convoqué tous vos camarades et employés. Ils ont tous rendez-vous là-bas. Sur la scène, devant les gens qui seront présents dans la salle, vous devrez expliquer pourquoi vous êtes tous en punition. Et après vos explications, on passera à l'autre partie de votre punition, la plus humiliante.
Le directeur me demande d’aller chercher les deux professeures qui sont en attente dans la salle des profs et de les ramener ici. Je me lève et part dans l’autre salle les cherchées Mlle Garcia, Maria la prof de langue étrangère et Mme Solange la prof de science qui sont en attentent dans la salle des profs. Quand j'entre, je les vois assises chacune dans leur coin. Elles me semblent extrêmement nerveuses. Je leur demande de me suivre. On rentre tous les trois à l’intérieur de la salle où se trouve les autres. Les deux profs aperçoivent les quatre étudiants Gino, Fabien, Vicky et Clara qui sont seulement vêtus que de leurs sous-vêtements. Les deux gars sont déjà courbés sur la table en face eux. Ils sont appuyés sur leurs mains et leurs avants bras et prêts pour recevoir les premiers coups. Le directeur invite Mlle Garcia et Mme Solange à s’ajouter au quatre autres au côté de Vicky.Laurie
Je regarde la pauvre Mlle Garcia Maria qui est à l’aube de ses 27 ans et toute petite, 1 m 57 environs et environs 55 kg et des poussières. Moi, je fais 1 m, 61 et elle est un peu plus petite que moi. Mais ce que j'admire chez elle c'est qu'elle est en superforme. Je m’entraîne avec elle à l’occasion et je ne suis pas capable de la suivre. Maria commence doucement à enlever sa robe avec une gêne terrible, elle s’est retourné dos à la salle. C'est tout à fait normal, moi aussi si je serais à sa place et être obligée de me mettre à poil devant tout le monde ici, je réagirais de la même manière. Mme Solange, elle aussi, ses positionnés dos à la salle. Solange, tous ses élèves l’appel Mme Solange, elle, elle a 38 ans.
Elle à lune poitrine beaucoup plus volumineuse que Maria et même moi. Je parle de Maria avec ses petits seins, mais moi les miens ne sont pas beaucoup plus gros. Je ne voudrais surtout pas être à leurs places devant tous ces gens ici. Maria qui a quitté sa robe et n’a pas de soutien essaie de cacher le plus possible sa poitrine. Tout dépendant ou on est assis dans la salle, c'est impossible que personne ne voie ses petits seins. Maria porte rarement un soutien-gorge, c'est presque toujours une camisole sport qu'elle porte sauf aujourd'hui. Elle me dit souvent à la blague que ça ne vaut pas la peine, c'est comme si un gars voudrait en porter un. Mais moi, je n’ai pas beaucoup plus de poitrine à cacher qu’elle, mais j’en porte quasiment toujours un soutien. Maria a de tout petits seins, mais très dure-moi, je trouve ça minions. Elle a une superbe chevelure très épaisse noire aux épaules, un corps d’athlète superbe, très belles fesses fermes que j’ai l’occasion de voir de temps en temps quand on est à la douche après l'entraînement. Elle est très pudique, tout comme moi. Je la vois très rarement, ne se circuler nue dans le vestiaire contrairement à d’autres filles qui aiment se promener nues pour qu’on puisse les regarder.
Maria est toujours dos à nous et n’ose pas enlever sa culotte. M le
directeur lui claque les fesses et prend chaque côté de l’élastique de
sa culotte et la baisse jusqu’à ses chevilles. Il lui dit là prochaine
fois avant de poser un geste stupide comme vous avez fait Maria, vous
allez vous souvenir de cette punition humiliante et il rajoute. Maria,
tu poses ta culotte est tes bas dans la boite avec ta robe, et pour vous
deux aussi, c'est jusqu’à mardi prochain que vous serez en punitions,
comme vos étudiants la même punition s’applique.
Pendant
que Mme Solange fini d’enlever ses derniers vêtements et est nue, Maria
veut parler. Solange aussi et très belle pour une femme de 38 ans. Elle
ne parait pas du tout son âge. Si je ne connaissais pas son âge, je ne
lui donnerais pas plus que 31, 32 ans max et peut-être moins. Maria qui
est juste à côté de Solange et en pleure dit au directeur. M. j’ai
quelque chose à vous dire M. Le directeur se revire et demande que
veux-tu rajouter pour essayer de te sauver de l'humiliante punition que
tu vas recevoir. Maria déclare que Solange n’a rien à voir dans cette
histoire. Je suis désolée pour Solange de l'avoir fait humilier ainsi.
C'est moi qui aie photographié son examen et les corrigés avec mon
mobile. J'ai fouillé dans sa case jeudi passé et j’ai trouvé les copies,
c'est moi seule la coupable. M le directeur commence à changer de ton envers Maria en lui
claquant encore une fois les fesses de plusieurs coups et là tourne face
à nous et l’oblige à croiser ses bras dans son dos et lui interdit de
bouger. Pendant que mes collègues Claude et Ginette, l’assistante de M
Ponge a commencé à punir les deux filles Vicky et Clara. Le directeur
dit à Mme Solange de remettre sa robe et d’aller finir de s’habiller
dans son bureau, mais Solange remet seulement sa robe et sa culotte et
reste avec lui.
On entend les claquements des lanières
frapper sur les fesses des deux filles et leurs cris qui doivent
s’entendre dans le hall d'entrée. La porte est grande ouverte et c’est
vraiment échos s'il y a des personnes qui circulent, ils entendent
sûrement le bruit des coups de lanière que chaque fille reçoivent en
même temps sur les fesses. Même si ce n'est pas sur les fesses nues, ça
résonne beaucoup. Claude et Ginette sont pas mal synchronisées pour
donner chaque coup. Les deux se regardent avant de frapper les fesses de
chacune des filles. Maintenant rendues au vingtième coup, Clara qui
cri et supplie d’arrêter se met à genoux les mains sur ses fesses. Clara
supplie demande d’arrêter, elle à trop mal. M le directeur la saisie
par un bras, la remet debout et la repositionne. Il lui conseille de ne
plus bouger et de tenir sa position jusqu’à la fin pour ses cinq
derniers coups.
Samedi quand tu t'es amuser à rougir les fesses de ton amie Gina, elle ne pouvait pas se débattre, vous l'aviez attaché, toi tu est chanceuse de ne pas être attacher au centre ici. Je vais te maintenir les bras pour t’empêcher de remuer. En la maintenant fermement immobile, le directeur demande à Claude de lui descendre sa culotte. Claude s’empresse de lui descendre sa culotte comme le directeur la demander même si Clara sert les cuisses pour empêcher que sa culotte descende. Claude réussie quand même à la descendre à ses chevilles et lui enlève. Claude pose la culotte sur la table. Maintenant Claude, tu la mets nue, demande le directeur à Claude. Claude dégrafer son soutien-gorge et lui descendre ses bretelles aux coudes. Claude obéi au ordre et son soutien est à plat sur la table. Clara est nue, elle aussi, devant nous tous. J'aperçois ses petits seins tous mignons, car moi, je suis juste à côté d’elle avec sa mère à ma gauche, ce qui nous donne une bonne vue sur l’action. Clara est une belle châtaine cheveux bouclée aux épaules. Elle est pas mal dans mes grandeurs et de ma taille. Clara a de superbes petites fesses bien rondes, et hanches bien taillé attire plusieurs regards donc le mien.
Ses petits seins ne bougent pas, ne pendent pas du tout tellement qu’ils sont fermes quand ses épaules saute et bouge en pleurnichant et reniflant. M le directeur demande aux deux Claude et Ginette d’en finir, qu’on passe à Mlle Garcia. Toi, Clara, tu resteras dans cette tenue pour accompagner ta prof, et Claude occupe-toi que Clara soit entièrement nue comme sa prof. Qu'elle enlève ses bas aussi comme Maria après en avoir fini avec sa fessée. À deux dans la même tenue, cela devrait être moins humiliant.
Pendant que Claude et Ginette recommence à claquer les fesses des deux filles, la mère de Clara me parle et me dit que Clara n’a jamais reçu une punition aussi dure à la maison. Quand elle devait punir sa fille, c'était rare qu’elle lui claquait les fesses. Les quelques rares fois que c’est arrivé, c'était pardessus ses vêtements quelques petites claques qui l’insultait bien plus que ça lui faisait mal. C'est pour ça qu’elle est inscrite ici pour l’éduquer, moi je n'ai jamais eu le courage de lui donner une vraie fessée. Ça me fessait mal au cœur de la voire pleurer. C'est dernière année, Clara était rendue très impolie, même envers moi, sa mère, me disait-elle. C’est incompréhensible et inacceptable ce qu’elle a fait à sa meilleure amie Gina ce week-end. Depuis qu’elles sont toutes petites, qu’elle se connaisse et son ensemble, Gina était pratiquement toujours à la maison avec Clara.
Pendant que la mère de Clara me parle en même temps, les deux fesseuses se synchronisent encore ensemble à chaque coup et le bruit des twases sur les fesses continuent de résonner dans la salle. Vicky, tant qu'à elle, commence à plier les genoux presque à chaque coup, mais revient toujours à sa position. Elle a peur de finir nue comme Clara. Vicky se tient le visage à deux mains pour essayer de contenir la douleur et pour ne pas trop regarder les gens dans la salle.Au dernier coup, le directeur qui tenait toujours les bras de Clara lâche sa prise. Clara tombe à genoux sur le plancher se frottant les fesses et pleurant comme une petite gamine. Vicky elle toujours debout, a pris appuis sur le mur derrière elle et se tient elle, aussi les fesses à deux mains. Le directeur fait relever Clara et la repositionne face aux gens et fait la même chose avec Vicky. Il se tourne vers Maria qui elle est encore bras croisés dans son dos. Le directeur met ses mains sur chacune des épaules de Maria. Il la retourne pour qu’elle soit dos à nous. On la voit tous de dos et ses jolies fesses toute ronde et ferme attire mon regard. Maria ce tien les jambes bien collées et ses cuisses ne se touchent même pas. Le directeur dit à Maria pour toi Maria, j'ai un petit ajout avant de te donner la même punition qu’on reçut tes étudiants il y a quelques minutes.
Pour commencer, il demande à Maria d’écarter les jambes et avec ses
mains de tenir ses chevilles. Tu es en forme, lui dit-il, tu dois être
capable d'atteindre tes chevilles. Maria s’oppose et ne bouge pas, elle
sait trop bien ce qu’elle va laisser voir et elle est bien trop pudique
pour se plier aux exigences du directeur. Je te le redemande pour une
dernière fois, lui dit le directeur. Mais en rajoutant que si elle ne
prend pas position, il va lui claque son joli petit derrière jusqu’à ce
qu’elle obéisse. Maria n'a aucune réaction, même qu'elle se cache avec
ses bras, gêner d'être ainsi exposée. C'est bien Maria, moi je vais te
faire bouger. En finissant sa phrase au moment, le directeur commence à
lui taper la fesse droite de cinq claque et change sur la gauche pour
cinq autres coups. Maria a les fesses ferme très dure, c'est à peine si
les doigts du directeur écrase les fesses de Maria quand sa main entre
en contact avec ses fesses. Mais cela lui donne pareille, une belle
coloration à mesure que ses fesses reçoivent des claques. Maria lâche
un cri et demande d’arrêter. Le directeur arrête et lui fait signe de se
pencher comme il lui avait demandé. Maria s'exécute, mais sans
s’écarter les jambes. Une autre série de claques s'abattent sur les
fesses de Maria.
Solange, je pense qu’il est temps de passer à la deuxième punition, dit le directeur. Il invite Solange à choisir l’une des deux straps qui sont posées sur la table devant elle et de se préparer à donner la seconde punition. Le directeur donne la permission à Maria de se relever et de quitter son humiliante position. Le directeur demande à Maria de se retourner face au mur, dos à nous tous, te de mettre ses mains sur sa tête. On voit ses jolies fesses rondes et rouges, et sa raie profonde. C’est dans cette position debout que tu recevras ta fessée, dit-il.
Le directeur reste juste à ses côtés et lui défend de baisser ses mains. Solange lève son bras après avoir eu le signal du directeur et frappe en plein centre des fesses ce qui fait lever Maria sur le bout des pieds et en perd l’équilibre elle se repositionne droite puis le deuxième suit aussitôt.
Ça continue 3, 4, 5, 6, 7, 8 au 18ᵉ, Maria plie ses genoux plus
capables, elle implore d’arrêter. Après quelque instant à reprendre ses
esprits, Maria se repositionne et a de la peine à maintenir ses bras
dans les airs, elle se retient de ne pas les descendre sur ses fesses.
Je regarde les autres punis et je remarque Gino qui lui adore, voire sa
prof nue ça l’excite à tel point qu’il est bandé dans son slip. On
remarque une bosse énorme et il essaie de se cacher en enlevant ses bras
qui était croisé derrière son dos et plaçant ses mains devant son pénis
qui est en érection.
Sa demi-sœur qui remplace son père et sa
sœur ainée qui est absent est assise juste en face de lui à sa droite et
elle aussi avait remarqué son bandage et souri de voir son demi-frère
avec une érection en public. Le directeur le remarque lui aussi et
demande à Gino de remettre ses bras dans son dos et lui demande de se
retenir. Ça t’excite tant que ça de voir ton prof et ta camarade nue. Si
tu es si excité que ça on peut toujours te faire enlever ton slip et
montrer a toutes ses dames ici ton pénis en érection. Ça va peut-être te
le faire ramollir, regarde ton compagnon Fabien lui tout est normal
dans son slip. Tu as l’air d’un petit gars de 12, 13 ans qui n’a jamais
vu une fille nue, et qui pour la première fois découvre que son pénis ne
sert pas juste à pisser. Le monde dans la salle ont tous le regard sur
le slip de Gino et éclatent de rire sur ce qu’a dit le directeur. Gino
reprend aussitôt sa position bras dans le dos et devient la face rouge,
presque autant que les fesses de sa prof.
Solange, vous reprenez où vous avez arrêté, il reste sept coups à
donner, qu’on en finisse et toi Maria les mains sur la tête. Solange
reprend le dix-neuvième, les autres suivent toujours avec la même force.
Quand Solange a terminé la punition, elle remet la strap à sa place sur
la table et regarde les fesses de Maria. Pendant que Maria se frotte
les fesses, le directeur place quatre chaises à la table devant les
étudiants en punition. Il demande aux quatre étudiants de prendre
chacune chaise placer en face d'eux. Le dirlo leur donne à chacun une
feuille identifiée à leur non et qui contient 100 lignes de chaque côté
pour qu’ils copient une phrase 200 fois jusqu’au 11 h à partir de 11:00,
leur dit-il on se déplace à l’auditorium pour la suite. Maria toi tu
restes debout, mains croisées dans le dos pour que tout le monde te
regarde nue jusqu’à 11:00. La demi-sœur de Gino demande si les parents
peuvent assister à l’auditorium pour la suite. Mais le directeur les
invite à quitter, car le reste de ce qui va se dérouler, c’est privé.
Juste aux étudiants et employés d’ici qui ont la permission d'y
d’assister aux punitions qui se déroulent ici dans l’institut et pas au
public de l’extérieur. Les parents quittent tous la salle avec mes
collègues sauf Claude qui reste pour surveiller les punis, le directeur
les accompagnent vers la sortie. La demi-sœur de Gino, que je ne connais
pas du tout, vient me voir et me dit qu’elle aimerait me parler. Elle
me demande si j’aurai du temps, une demi-heure ou moins de libre, pas
plus. J'accepte et l’invite dans le bureau au 2ᵉ qui nous est attitré à
Claude et moi et j’avertis M Lepetit mon chef et Claude que je suis
occupé et que je dois rencontrer Amanda la soeur de Gino.