lundi 18 octobre 2021

Être impolie coute chère Les fesses de Maryse s'en ressentent



 

Lucia est une des assistantes de Julio le chef du vignoble du Domaine richard

Mais depuis une semaine, Lucia a l’aide de Maude et Maryse, deux des filles des propriétaires qui sont en congé scolaire. Le surplus d’ouvrage qu’occasionnent les vendanges et notre manque de personnel ne nous donne pas le choix, tout l’aide disponible, on l’utilise. Avec Maude tout va bien, elle fait tout ce qu’on lui demande, elle doit encore avoir en tête la punition qu’elle a subie ici, il y a un quelques mois devant les employés.

Mais pour Maryse, c'est tout autre chose, elle n’écoute pas du tout les consigne de Lucia qui l’envoie travailler dans les entrepôts avec d’autres employés pour apprendre comment se passe le temps des vendanges. Mais elle revient toujours au magasin qu’on a pour la vente des produits du vignoble et/ou les gens se présente pour les visites guidées qui sont disponibles. Moi, Julio, le grand patron de ce vignoble, je n’ai pas le temps de gérer tous ces employés-là. À cette époque de l’année je suis occupé a la récolte du raisin et de tout le déroulement qui entoure cela. Dès le lever du soleil jusqu’au coucher et même plus tard parfois. Ce matin, je reçois un appel de Claude, ma nièce qui est la propriétaire de ce vignoble et la mère adoptive des deux filles Maryse et Maude.
Bonjour Claude, qu’est qui vaut ton appelle, as-tu un problème. C'est très rare qu’on se parle en pleine semaine et surtout toi qui m'appelle occuper comme tu es ça doit être très sérieux. 

Oui, me dit-elle, c’est ta nièce Lucia, elle vient tout juste de me parler. Et selon elle Maryse lui occasionne des problèmes. Paraîtrait que Maryse est arrogante avec elle et le personnel et en fait qu’à sa tête, est-ce vrai. Bien oui Claude, j’ai parlé personnellement avec Maryse hier et je l’ai prévenue que si elle ne changeait pas, je lui réservais une bonne punition. Mais je vois que ça n’a pas changé puisque tu m’appelles et que Lucia t'a dérangé elle aussi. Claude me dit qu’elle a donné l’autorisation à Lucia de la punir à sa manière et même si Maryse a dix-huit ans et qu’elle fait partie des propriétaires du domaine. Lucia a tous les droits de lui donner une punition, une fessée et qu’elle ne se gêne pas devant tous tes employés si elle le désire. J'aimerais que tu rappelles Lucia me demande-t-elle pour lui dire toi aussi qu’elle ne se gêne pas pour la punir ou toi Julio si Lucia n’ose pas le faire. Claude me dit qu'elle en pour encore jusqu’à demain à être à paris. C'est pour ça qu'elle ne peut pas m’occuper elle-même de Maryse, car les fesses lui chaufferaient si elle était à la maison présentement. C’est très bien Claude, lui dis-je, m’en occupe immédiatement, j’appelle Lucia, bonne journée.

Lucia- 

 Apprêt avoir reçu l’appelle de Julio. Je sors de mon bureau, il y a une bouteille de vin qui traîne sur mon meuble et je l'amène avec moi pour la replacer dans les tablettes en même temps que je vais vérifier ce qui se passe. Je traverse la boutique, voire Maryse qui est encore revenue dans la boutique de vente et a l'air agressive envers mon employée. Justement, Maryse est en train d'envoyer mon employée travailler dans les entrepôts. C'est elle Maryse qui va s’occuper de la boutique lui dit elle. J'ai déjà pourtant défendu à Maryse cette semaine de déplacer les employés sans mon accord. Elle n’a aucune expérience et connaissance dans les vins, ce n’est pas à elle de décider ou doit aller travailler les employés. Et en plus la fille que Maryse envoie est très compétente où elle est. Je demande à Francine l’employer que Maryse avait dit de partir, de rester en poste. Le mobile de Maryse somme et c’est sa mère Claude qui l’appelle, quelques secondes plus tard Maryse raccroche et est très contrariée de ce que vient de lui dire Claude. Elle me dit que Claude vient de l’avertir que moi, j'avais pleinement le droit de la punir. Je lui dis que j'étais déjà au courant, Claude venait tout juste de me donné la permission de la punir si elle continuait à être si arrogante et impolie.

Maryse me met en garde devant deux couples des clients qui étaient devant nous pour des achats de ne surtout pas s'essayer de la punir. Que je n’ai aucun droit sur elle en rajoutant quelques insultes. La femme de l’un des deux couples nous regarde tous les deux, Maryse et moi et demande à sa fille d’environs 13 ans. Patricia, qu’est-ce qui t’arrive si tu oses être impolie envers nous comme la jeune fille qui est devant nous (en parlant de Maryse) l'a été avec sa patronne. Patricia hésite, sa face rougie par la gêne. Pour faire réagir sa fille, sa mère lui donne une petite claque sur les fesses pour qu'elle réponde à ma question, qui d'après-moi n'est pas si indiscrète que ça. Ne sois pas gêné de parler de tes punitions que tu reçois Patricia, quand tu es impolie, ou c’est moi qui leur dit. Patricia se décide à répondre. 
 
Quand je suis impolie ou je fais des gaffes, c'est une fessée que je reçois toute timide, en tenant sa tête baissée et regardant le plancher, nous répond elle. Sa mère rajoute, ça la gêne qui la retient de parler, qu'elle reçoit la fessée à son âge. Parce que en temps normal Patricia parle beaucoup. Et je ne me gêne pas pour lui mettre les fesses à l’air. Habituellement, c'est dans le salon et très souvent nue que je la puni. Et devant tout le monde qui si trouve que je punis Patricia et sa sœur aussi, ma plus vielle, et elle a presque 16. Étrangers ou visite, cela n'a pas de différence. Si je dois les punir, c'est dans le salon et pas ailleurs que ça se passe. Sa mère rajoute, je n’en reviens pas comment cette jeune fille est insolente envers sa patronne, en s’adressant à Maryse, elle continue à s'adresser à Maryse. Ma Belle, une chance que tu n’es pas ma fille, lui dit-elle, les fesses te chaufferait.
 
Tu recevrais une fessée ici même dans cette boutique, le robe relevée, fesses a l’air devant tout le monde même à ton âge. Son conjoint l’approuve en riant. L’autre couple, eux, me disent qu’il y a peine quelques minutes, ils avaient demandé à Maryse si une sorte de vin qui n’était plus dans la tablette, la bouteille que je tiens dans mes mains justement, étais toujours disponible. Il y en a-t-il encore en arrière-boutique, lui avais-je demandé. Mais votre effrontée d'employée, m'a répondu d’en choisir un autre, sorte qu’elle n’avait pas le temps d’aller voir. Francine me confirme qu’il y en avait beaucoup de bouteilles à l’arrière. Ça m’a mise hors de moi et j’ai demandé à Francine, l’employée, d’aller en chercher plusieurs bouteilles, de les ramener en avant pour remplir le vide de la tablette et de rester à son poste. Moi, je vais m’occupée de Maryse pour qu'elle ne l'achale plus.
 
Je demande aux deux couples s’il avait un peu de temps de libre. Les personnes me répondent oui. Alors, attendez-moi ici, je vous, je vais revenir vous cherche. Je vous invite. Nous irons tous déguster un verre de vin dehors à l’arrière sur notre terrasse. En même temps que je les invite, je prends Maryse par un bras et lui ordonne de me suivre et on traverse à l’arrière-boutique pour lui parler. Un autre employé, Fabien, si trouve dans l'arrière-boutique. Je lui demande de s’occuper de Maryse et de faire sortir Maryse sur la terrasse. Occupe-toi d'elle dix minutes et qu'elle reste polie et surtout qu'elle ne bouge pas de la terrasse, attendez-moi tous les deux. Je le rejoindrai avec mes invités dans pas long. Fabien reprend Maryse par un bras en ayant un grand sourire. J'ai l'impression qu'il sait ce que je vais faire à Maryse. Maryse proteste et demande à Fabien de la lâcher, elle est capable de marcher seul, mais Fabien ne lui lâche pas le bras et la fait sortir, sans s'occuper de ses plaintes.

Je fais sortir mes clients et invités avec moi et les amène à notre terrasse privée où on mange le midi, et je leur serre chacun verre de notre meilleur vin. Sauf Patricia bien entendu pour elle c'est un breuvage non alcoolisé. Maryse et Fabien attendent. Je demande à Fabien de changer sa prise. Fabien croise les bras de Maryse dans son dos s'il te plaît, lui demandai-je, et maintien là solidement sans la lâcher, je veux que Patricia s'approche de la table. Fabien m'obéi, l'emprisonne et approche Maryse à l’extrémité de la table à pique-nique. Maryse s'approche de la table malgré elle, poussé par Fabien, et ses cuisses touchent le bord de la table. Je demande à Maryse de se penchée sur la table et écrasé son ventre et sa poitrine sur le dessus de la table. Elle résiste, ne veux pas se pencher, elle se doute trop bien à quoi je veux en arriver, mais avec un peu d’aide de Fabien, elle est vite étendue, la face collée sur la table et les fesses bien exposées. Je me penche et regarde le postérieur de Maryse et sa robe qui recouvre encore ses fesses, juste à la limite de pouvoir voir sa culotte. Fabien lui maintient fermement les bras croisés dans son dos. Elle est immobile sans pouvoir bouger et me supplie de la laisser.


Maryse installée à mon goût. Maintenant, je m’adresse à Patricia la jeune. Patricia dit nous quand tes parents te punissent qu’est-ce qui t’arrive ? que t'oblige-t-il à faire ? Quelle tenue il t’exige à prendre ? quand ils te punissent ta mère m'a dit qu'elle t'obligeait à montrer tes fesses si j'ai bien comprise. Patricia toute surprise répond que ses parents quand ils veulent me punir l’oblige a, soit enlever sa robe si elle en porte une où quitter son pantalon si c'est le cas. Car lorsque qu'elle porte une robe, sa mère déteste cela. Ça retombe toujours sur les fesses si je bouge selon elle. Ensuite, quand sa robe ou son pantalon est enlevé, c’est sa culotte qu'elle est obligée d’enlever. Souvent, sa mère l'oblige à enlever le reste de ses vêtements, t-shirt, camisole, même mes bas, me dit-elle. Habituellement, c'est nu de la tête aux pieds que ses parents la punissent, d'après Patricia.
Patricia, maintenant que tu nous as décrit comment tes parents te punissent à ton âge, crois-tu que Maryse a 18 ans mériterait ou devrait recevoir une fessée cul nu, elle aussi. Patricia ne me répond pas, mais sa mère, elle me dit oui Mme. Il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne correction et c'est fesses à l'air que ça se donne une vraie fessée. Ma plus vielle, la sœur de Patricia, à 16 ans ou presque et elle aussi, je la punis très fréquemment nue dans la salle de séjour, rajouta-t-elle.

Bien alors, j'approuve leur demande et je prends le bas de la robe de Maryse sous ses fesses. Je relève la robe dans son dos sur ses bras que Maryse a de croisés et retenue par Fabien. Ça nous laisse voire son petit string rouge qui pénètre, entre ses fesses blanches et pleine de plaques rouges, l'essentielle, son intimité est toujours protégée.
 

Maryse est furieuse, proteste et essaie de se dégager, mais ne peut rien faire, Fabien l’immobilise. Elle peut juste se plaindre, et personne autour d'elle s'occupe de ses plaintes. Arrête de parler, lui dis-je, et je lui claque les fesses avec ma main pour qu’elle se ferme. Quand as-tu été puni la dernière fois, c'est très récent à ce que l'ont peu voir. Ça doit faire à peine quelques heures. Tes fesses ont encore des marques rouges. Maryse, encore aussi furieuse, me répond de me mêler de mes affaires, que ce n’est pas le résultat d'une fessée ces marques et ce n’est pas de mes affaires les plaques rouges. C'est supposer, rester intime cette endroit-là.

Tu vois Patricia la différence avec toi et Maryse. C'est que Maryse est chanceuse elle. Je ne la ferais pas déshabiller nu devant toi. Mais pour la fessée, même si elle proteste de toutes ses forces. J'ai décidé qu'elle va la recevoir, fesse a l’air dehors ici devant tout le monde comme une petite fille impolie le mérite. Mais même si son petit sous-vêtement nous laisse voire ses fesses et qu’elle n’est pas d’accord avec ce que je vais lui faire, je ne gênerai surtout pas pour lui baisser à ses chevilles. Ça va être plus humiliant pour elle et plus intéressant pour nous de pouvoir voir ses parties plus intimes, et penché comme est Maryse présentement et ses fesses aussi bien exposées, son intimité est dure à rester caché. Je pose ma main droite sur le commencement de sa raie. Je prend le cordon de son string qui sort de sa raie et descend le tout a ses chevilles.


J’arrête de parler et je commence à lui claquer les fesses sans ménager la force que j’emploie. Je lui claque chaque fesse à un rythme très rapide. Maryse essaie de retenir ses cris de douleur, mais ses plus fort qu’elle et supplie d’arrêter. Ses fesses rougissent très rapidement, elles ont pris une belle couleur. Maryse n’est plus capable de garder ses jambes collées, ses jambes bougent et s’écartent assez pour qu’on voie son petit piercing vaginal à l'endroit qu’on appelle fourchette, ou se rejoigne ses petites lèvres. Il y a un petit anneau et je la fais remarquer à tous en la touchant et reprend ou j'ai arrêté.


Après lui avoir claqué les fesses une minute et demie ou un peu plus, j’arrête. Je demande à la jeune Patricia et les autres si les fesses de Maryse sont assez rouges, ç'a l'air satisfaisant. Je me retourne ensuite vers Fabien et lui demande s’il veut bien ne prêter sa ceinture qu’il porte à sa taille. J'ai décidé de faire un petit ajout, un extra à sa punition. Fabien la retire et me la donne. Maryse, elle pleurniche et me supplie de la lâcher. Mais ce n’est pas encore fini, lui dis-je, en pliant la ceinture en deux. Maintenant ma belle Maryse pour ton arrogance et tes sauts d’humeur, je te rajoute un extra sur ta punition 10 coups de ceinture. Ne lâche surtout pas ta prise, dis-je à Fabien. Maryse n'a pas fini d'avoir mal à ses fesses avec la ceinture. J’applique le premier et Maryse lâche un cri, elle hurle.
Je continue à frapper ses fesses sans m’occuper de ses cris et ses pleurnichardes de bébé. Je me rends jusqu’au dixième. Les coups de ceinture sont visibles sur ses fesses ou peut compter presque chaque coup de ceinture que Maryse a reçu en travers de ses fesses. Je fais remarquer encore une fois à Patricia et les autres son piercing intime et demande à Fabien de la redresser debout sans lâcher sa prise sur les bras de Maryse. Maryse espérait que sa robe descende de par elle-même par la gravité. Mais elle reste en place dans son dos, ses bras sont retenus croisés dans son dos par Fabien, et sa robe aussi reste coincée avec ses bras, ses fesses restent bien exposées.

 Debout Maryse pleure comme une petite fille et demande a Fabien de la lâcher. Elle veut redescendre sa robe, mais Fabien la retient toujours et la robe aussi avec ses doigts pour qu’on admire le résultat de la fessée, la belle couleur de ses fesses. Patricia dit à sa mère à comparer à mes punitions et celle de ma sœur Maryse s’en tire bien. Elle a montré juste ses fesses. Moi, c'est toujours nu que je dois rester et les mains sur la tête après m'être fait rougir les fesses.

Hier ma sœur après sa fessée à passer l’après-midi nu debout main sur la tête au centre du salon devant tous nos cousins et cousines. Et ta sœur, quel âge a-t-elle, lui demandè-je ? Je crois avoir entendu qu’elle a 16 ans. Oui Madame, me répond Patricia. Je réfléchis à ce que Patricia vient de nous dire. Je regarde ma grande impolie qui est âgée d'à peine deux ans de plus que sa sœur, mais pas plus mature qu'une gamine de dix ans qui est devant nous. Je demande à Fabien de relâcher les bras de Maryse qui a toujours des larmes qui coulent sur ses joues. Maryse ayant les mains libres se frotte les fesses instinctivement par-dessus sa robe qui a repris sa place quand Fabien lui a relâché les bras. Malheureusement ç'a eu pour effet de mettre ses jolies fesses rouges à l’abri des regards. Son string lui est toujours au sol près de la table. Je le ramasse et le donne à Fabien pour qui le garde avec lui Ça là fait sourire et il s'empresse de dissimuler dans l'une de ses poches.

Je reprends la ceinture que j’avais mise sur la table, la replie en deux et frappe avec mon autre main en disant à Maryse. J'ai changé d’idée maintenant et tout le monde va être d'accord avec moi ici. Tu enlèves ta robe et ton soutien, c'est nu que tu passeras les 30 prochaines minute devant nous. Tu te mets à poil et reste au piquet 30 minutes ici au centre de la terrasse. Tu m'as bien comprise Maryse sinon je te claque les fesses jusqu’à temps que tu te déshabilles. Il faut que tu nous montres ton joli corps et tes fesses. On veut tous vérifier le résultat de ta fessée et terminer ta punition aussi, pendant que moi et nos invités ferons la dégustation de quelques produits de notre vignoble. Fabien va aider Francine s’il te plaît à préparer d'autre produit pour notre dégustation et quelques bons fromages que ma cousine produit juste ici en face de l'autre côté du chemin. Je vois que Maryse ne veut pas enlever sa robe, elle la tient par le bas avec ses mains et refuse de l’enlever. Très bien Maryse, je vais obliger à obéir si tu refuses. Je m’approche d’elle et lui donne un bon coup de ceinture sur ses fesses. Maryse, je retourne face à moi pour éviter que je lui frappe encore ses fesses. Ok Lucia arrête se t’en prie plus de ça mes fesses me font assez mal. Je t’en prie, plus de coups sur mes fesses, je l’enlève. En se retournant dos à nous, elle défait les boutons un par un de haut en bas à l’avant de sa robe jusqu’au dernier et la robe rouvre en deux. Tu vois Patricia comment Maryse est rendue obéissante. Maintenant, elle va être punie comme tu me l’as suggéré, peu importe l’âge et le lieu, quand une grande isolante mérite d’être punie, on la punie comme elle le mérite.

Maryse est maintenant nue. Je lui demande de se positionner au centre et lui dit ma belle, c'est très humiliant d’être nu en public et je le s'ai moi aussi, je l'ai déjà été punie ici même sur cette terrasse. Maryse, ça fait seulement quelques mois ou un an, peu-être que Claude t'a adoptée. Connaissant très bien ta mère Claude, je sais que ce n’est pas la première fessée que tu reçois depuis que tu restes au domaine. Je la connais bien Claude et je peux te confirmer qu’au même endroit que nous sommes, Claude ta mère et moi-même, il y a cinq ans, on reçut chacune fessée ici même nue. Tu t’imagines Claude qui à l'époque avait vingt-cinq ans et moi, j'en avais vingt-deux, devant tous les employés de vignoble pendant le repas du midi et à l'âge que j'avais, recevoir une fessée et nu devant d'autres collègues. Toutes les deux attachés au centre ici, c’est mon oncle Julio qui nous a fouetté les fesses. On a eu droit à 20 coups chacune. Après toutes les deux on à passé le reste de la journée nu à travailler dans les entrepôts devant les autres employés et les visiteurs qui venaient. Toi, à dix-huit ans, encore une gamine, ce n'est pas si pire que ça, être punie, une fessée, ça fait juste faire réfléchir une grande effrontée comme toi. 

  En s’exhibant ainsi nu et en face de nous, Maryse nous laisse, voire son joli corps et sa petite ligne de duvet qui arrête au début de sa fente. Patricia me fait remarquer que Maryse a un deuxième piercing, cette fois-ci c’est une petite boule juste à la fin de ses grandes lèvres, au haut de son clito, à la fin de sa fente. Je lui demande, Claude à surement déjà vue tes piercings . Vous êtes toujours nus à la piscine le maillot ne se porte pas chez toi. J'en ai déjà fait moi-même l’expérience plusieurs fois pour avoir été me baigner chez toi et ça me plait beaucoup à chaque fois que je rends visite à Claude. En plus de la baignade nue, si tu as un petit copain, lui, il doit aimer ça, aller jouer sur ta boule en haut de ta fente.

Maryse très mal à l’aise se croise les jambes et me dit qu’elle n’a pas de petit copain. Cela fait seulement quelques jours que Claude s'en est aperçue. Et pour, elle aussi, c'est nouveau. Elle nous dit que ça fait moins d'un mois qu'elle s'est fait installer ces piercings. Quand Claude, c'est rendu compte qu’elle avait des piercings à ces endroits -là. Claude l'aurait sévèrement punie sur les genoux à la main et ensuite Claude a pris une brosse à cheveux et lui aurait claqué les fesses jusqu’elle la supplie d’arrêter.

Maryse   

    C’est pour ça que tu as vu des marques encore visibles après deux jours. A la fin de la semaine dernière, vendredi matin, le lendemain de ma punition à l’institut ST-Thomas. Une de mes profs a décidé de faire une vérification surprise à l’entrée de la salle de cours pour notre tenue vestimentaire, ce qu’ils font assez régulièrement chez les filles. On doit remonter notre jupe pour montrer si on porte la culotte de coton réglementaire qui nous recouvrent les fesses. C’était seulement quelques heures après ma punition. J'avais le haut de mes cuisses rouges et en relevant ma jupe la prof et mes camarades ont tous vue le haut de mes cuisses et ont vite fait le lien avec mes fesses qui devait être aussi rouges sous ma culotte. Mes camarades ont tous ris de voir mon derrière mal en point. J’étais gênée. J'ai même eu du mal à poser mes fesses sur ma chaise. Même que ma prof pour m'humilier plus m'a demandé si je voulais rester debout pour son cours et si je voulais enlever ma jupe et ma culotte. Car selon elle, j'avais l’air à avoir du mal à supporter ma culotte et ma jupe qui frottait sur mes fesses, selon elle mes fesses avait l’air à me faire mal.

    Plus tard après notre petite dégustation avec les clients Maryse étant toujours debout nu mains sur la tête. Je demande à Maryse de demander pardon à nos invités pour son manque de politesse et de les remercier pour avoir assister à sa punition. elle s’exécute poliment, je lui donne la permission  de se rhabillé et d’aller travailler dans les entrepôts avec les autre. Fabien lui redonne son string Maryse c’est empresser de de l’enfiler, pendant que Maryse se rhabille devant nous je dis aux invités et clients qui sont avec moi sur la terrasse, des fois ça prend une bonne fessée pour faire réfléchir une fille lui montré qui est le patron. La mère de Patricia me questionne sur ce que j’avais dit au sujet de mes punitions ici et si c’était vrai. Oui je vous le dit sans aucune honte ici même sous cette arbre j’ai reçu plusieurs punition Jai déjà été très rebelle Monica et mon oncle m’ont apprise que ce n’était pas ça la manière de vivre se foutre de tout l’monde.

           Mes fesses on beaucoup souffertes et mon intimité aussi demander à Fabien lui ça fait 12 ans qu’il travaille ici il m’a déjà vu ici sur cette terrasse ou dans l’atelier nu me faire claquer les fesses. J’ai toujours survécu à mes fessée mais mon orgueil elle j’ose pas trop en parler quand a l’occasion les employées se mettre à parler des punitions qui se sont donner ici et surtout les miennes mes punitions en mangeant tous ensemble ça me gêne sa m’humilie d’entendre dire qu’ils adorait ça me voire nu quand mon oncle me ramassait par un bras rouge de colère.

 Les collègues me disent, on avait tous hâte que Julio te fasse déshabiller. Ça me gêne a chaque fois qu'ils en parlent. Même si je sais que ce soit moi ou Maryse qui serait nu cette après-midi, on est toutes faites pareille. Mais c’est notre pudeur qui en prend un coup. Patricia la punition que Maryse a reçue tout à l’heure, ce n'est rien à comparer à moi ce que j'ai reçu la dernière fois. Il y a 6 ans, j'avais 21 ans à l’époque, une de mes dernières punitions et la pire. J'ai été punie toute une semaine cinq jours d’affilée. Julio et Monica qui dirigent le vignoble ou voulu me dompter, me donner une vraie leçon cette fois-là, ils m'ont punie très durement et ça m’a fait réfléchir. 

À tous les matins, Monica m’attendait dans l’atelier et me donnait 20 coups de strap pour que mes fesses deviennent colorées et le restent toute la matinée.Le midi, je recevais une autre fessée, encore 20 coups de strap sur mes fesses, toujours nu ici sur cette terrasse, demande à Fabien. Il peut certifier mes dires. Il en a été témoin avec les autres employés. Et en plus j'ai été privé de vêtement durant ces cinq jours qu’a duré ma punition. J'ai dû travailler nu privé de mes vêtements dans un des entrepôts le plus achalandé, le no 3 au fond là-bas, devant les gens qui circulaient. Visiteur, employé, livreur tous me voyaient nu. je te dis Patricia quand tu es nu devant 20, 30 personnes et plus et que tu es la seule en plus à être nu, tous les autre sont vêtus, c'est humiliant. Ce n’est pas pareil qu'entre amies et on est toutes nues sur le bord d’une piscine. Si j’essayais de me cacher, me mettre à labris des regards, Monica avait donné l’ordre à un des employés qui me surveillait au travail de me punir sur place.

  Monica me donnait des endroits pour travailler ou la circulation était la plus dance. Et même ma mère, elle aussi, elle m’obligeait à sortir nu le matin, traverser le petit sentier en arrière, à l'époque, on habitait dans la maison à côté. Ma mère voulait que j'arrive ici nu durant mes cinq jours pour commencer ma journée, je sortais de la maison que j’habitais jus à côté, on la voie là-bas dans les arbres et je traversais ici nu pour travailler. 

 Fabien- Oui, c'est bien vrai ce qu’elle vos dit Lucia, et un an plus tard avec Claude la mère de Maryse et elle Lucia qui ans trois ans de plus jeune que Claude. les deux ont été punies ensemble ici dehors. Elles étaient à l’époque très complice, de très bonne amie et les deux. Ce jours-là, elles ont refait une autre bêtise et cette fois-ci les deux ont été punies ensemble. Vous voyez le poteau ici sur le côté gauche de la terrasse et l’autre poteau a la droite qui sert de support pour les lumières. Claude et Maryse ont été attacher à chacun de ces poteaux, l'une par un poteau, par un poignet et l'autre par un poignet à l'autre poteau et au centre, elle étaient attachées l'une à l'autre par leurs poignets. Les deux filles étaient au centre de la terrasse nue les bras écartés attaché l’une a un poteau et l’autre à l’autre poteau et les poignets relier ensemble. C’était la première fois que deux filles ou des employées recevait une punition ensemble et attacher ainsi au beau milieu de la terrasse. Je m’en souviens très bien, trente coups de ceinture a chacune, Lucia en a eu pour deux jours à s’assoir.

Lucia- 
 
Oui, c'est la pire punition en frais de douleur et humiliation. Car juste avant qu’il nous attache toutes les deux, on avait reçu chacune une magistrale fessée à la main sur les genoux, moi de Julio et Claude, c'était Monica qui s'était occupée de ses fesses. Les fesses me brulaient pendant qu’il nous attachait ensemble. J'en pleurais et même si j’étais exposée devant tous les employés, je ne pouvais pas me retenir de pleurer. Je ne m’en rendais pas compte tellement j’avais mal à mes fesses, que je pleurais comme une gamine devant mes collèges. Plus tard, quand la strappe qui s'est abattu sur mes fesses déjà brulantes, ce fut horrible ces trente coups. C’est juste après être détachée et qu’on m’a aidé à m’allonger sur une table à plat ventre, car je n’étais plus capable de m’assoir et de me tenir debout, que j'ai réalisé comment j'avais été exposer et attacher nue au centre bras tout grand écarté et étendue de chaque côté.
 
Je remercie mes clients et la belle Patricia et je dois retourner a mes papiers en ayant en tête, mais mauvaises punitions du passer et en me frottant les fesses de ces mauvais souvenir d’ado qui me revienne.

          

        

 

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