mardi 11 juillet 2023

Karine qui veut faire l'essai de la punition public avec ses amies

Marie

Après notre journée de travail a la boutique de ma famille, une amie à moi, Karine et collègue de travail, m’invite à passer la soirée et le week-end chez elle. Ses parents sont en voyage et elle veut que l’on passe un week-end entre filles. C’est la première fois que j’ai l’occasion d’aller chez elle et pouvoir visiter sa maison aussi. Même si j’ai dix-huit ans, je demande pareille à ma mère adoptive, Claude, pour la tenir informer où je suis aussi. Je l’appelle ma mère, elle me donne la permission de passer le week-end. Moi et Karine sommes en congé tout le week-end à la boutique, et Claude ne s’oppose pas à ce que je passe quelques jours avec Karine. Cela me surprend un peu, mais elle a accepté et c’est bien tant mieux pour moi et Karine.


Arriver à sa maison, Karine me présente sa sœur cadette de quinze ans, Claire, et son frère aîné Paul, âgé de vingt-et-un ans. Paul me parait très content que sa sœur m’ait invité, il me regarde de la tête aux pieds comme si j’étais nue, et cela me met mal à l’aise de me sentir regarder ou déshabiller des yeux ainsi. Deux autres filles se joignent à nous, des amies de Karine que je connais déjà un peu depuis quelques années, Abigail et Audrey —

Karine me fait faire un tour très vite de sa maison. Il n’y a rien ici pour t’impressionner Marie, me dit-elle, ma maison équivaut à peu près au garage chez-toi. Tu exagères, je lui réponds, ta maison est très jolie.

Karine —

Mais, Marie, toi, tu fréquentes l’école st-Thomas, c'est un lycée qui utilise la punition corporelle. Selon les rumeurs ou les échos de mes amies, il y a beaucoup d’étudiants qui se font punir à poil devant tout le monde et presque à tous les jours.

— Oui, c'est vrai, je lui réponds. C’est très sévère et si l'on ne se comporte pas correctement, on peut le regretter de manière très humiliante. La pudeur ou l’intimité, eux, ils ne connaissent pas ça.

Karine —

Audrey, tu te souviens des trois filles de notre classe qui se sont faites punir pendant trois jours à poil il y a quelques mois. Gabrielle qui reste ici dans la rue, Marie-Line et Bianca. C’était impressionnant de les regarder circuler nues et des voire assistées au cours nues à côté de nous. Et, le directeur qui a tous les repas du midi s’amusait à les exposer nues et leur donnait une fessée comme des petites gamine devant nous tous.

J’avoue que je n’aurais pas aimé être à leur place, si ç'aurait été moi qui aurais été punie nue en avant-scène, je pense bien que j’en n’aurais pas survécu. L’humiliation et la honte doivent être terribles. Mais, j'aimais ça les regarder circuler nue devant moi, regarder leurs jolies fesses colorées par la fessée, reçue m’amusais.

Quand leur punition a pris fin, j'ai parlé à plusieurs reprises avec Gabrielle et elle m’a dit qu’elle n’avait pas du tout aimé son expérience. Bien sûr que personne n'aimerait être traitée de la sorte en public.

Oui, je m’en rappelle dit Audrey. Personne ne peut oublier ça, voir trois filles circuler nue dans l’école. C’est presque impossible à oublier. Moi aussi, j'aimais ça les regarder, c’est toujours impressionnant de voir quelqu’un nu dans une foule, on ne peut pas s’empêcher de le regarder. Et, de regarder une fille se faire rougir les fesses, ça m’a plus aussi. On ne voit plus cela de nos jours, quelqu’un qui reçoit une fessée et en direct en plus devant nos yeux. Moi, chez moi, jamais mes parents m'ont donné de fessée, je suis sûr qu’avec le temps, j'aurais peur-être mérité de bonnes punitions de la sorte, mais mon père me punissait autrement. J’ai été souvent au coin à genoux ou dans ma chambre, mais jamais, je n’ai reçu de fessée.

Mais, toi Marie, ta mère vous punit fréquemment d’après ce que j’en sais. À la boutique, les deux voleuses que Claude a punies devant nous la semaine dernière, c'était impressionnant à regarder aussi. Elles ont passé la journée nu à l’atelier. Elles aussi se sont fait chauffer les fesses assez violemment. C’est deux filles du quartier qui ont la réputation d’être voleuse et harceleuses.

Marie—

Claude, ma mère, tu la connais Karine, c'est ta patronne. Je n’aime pas ça, parler de chez moi intimement, mais je ne peux rien vous cacher. Oui Claude est très dure envers nous tous mes sœurs d’adoption et moi. À dix-huit ans, je me fais encore punir par la fessée, et c'est très douloureux, elle ne se gêne pas, on a mal aux fesses pour quelques heures. À l’institut St-Thomas aussi, c'est la punition corporelle qui nous attend quand ils décident de nous punir. Mais, c'est le prix à payer pour ne pas être à la rue. Quand Claude m’a proposée de rester chez elle avec son frère, j’ai dû approuver la liste de règlements. J’ai accepté de rester avec eux dans ces conditions-là, sinon c’était la rue et la misère. Toutes les neuf qui restons chez Claude sommes soumises aux même règlements. À seize-ans et seule, je n'avais que ce choix-là et ses inconvénients. Pour la fessée, Claude n’est pas délicate, la palette de bois qu’elle utilise est large et quand elle te fesse les fesses ça fait très mal, ça brûle. La ceinture ou la canne, c'est pire pour les marques et la douleur persiste quelques jours. Tu as mal aux fesses et les marques paraissent presque deux jours.

Karine —

Je t’entends parler de ça, les punitions par la ceinture ou la palette de bois, c’est si terrible que ça. Moi aussi, je suis comme Audrey, je n’ai jamais reçu de tape sur les fesses. Sur une cuisse, c'est une partie très sensible, il n’y a pas de graisse, mais sur les fesses, c'est une place beaucoup moins sensible. Ça doit être moins douloureux que sur l’intérieur d’une cuisse qui est ultrasensible. C’est une autre chose aussi qu’un enfant se fasse taper les fesses sur son pantalon, c'est une punition de leur âge, mais, cul nu et a notre âge en public en plus, c’est humiliant, je présume.

Se faire toucher les fesses par une autre, cela doit être plaisant et en privé. Cependant, je n’ai jamais été aussi loin et osé en faire la demande à une copine de me flatter les fesses.

Marie —

D’après tes dires, tu aimerais que l'on essaie de jouer à un jeu ensemble, que l'on essaye quelque chose du genre à se dévêtir. Tu aimerais tenter l’expérience de jouer à des jeux ou le défi du ou des perdants est de se mettre à poil. C’est à ce que tu veux en venir. À toujours parler de fessée et nudité, tu dois avoir une idée en tête. Depuis plus d’une heure que tu parles de filles à poil. Aimerais-tu que l'on joue à quelque chose de genre, tous les six, ta sœur et ton frère inclus. On peut demander si tout le monde veulent bien jouer ou se risquer à jouer. Si tout le monde est d’accord, on peut s’organiser pour trouver un jeu. Mais, Karine, je ne suis pas si sûr que tu seras capable de te montrer les fesses devant nous.

Moi non plus, rajoute son frère, ma sœur à poil, c'est impossible. Elle est bien trop pudique pour faire une folie comme celle-là.

Moi, Karine, j’ai déjà vécu ça, être punie nu devant d’autre et c’est terriblement humiliant. Mais, pour vous tous ici et toi, Karine, je ne suis pas certaine que l’idée est si bonne, d’essayer ça. Je suis persuadée que rendu aux sous-vêtements, vous allez tous lâcher l’une après l’autre.

Karine —

Non, non Marie, je ne veux pas que l’on se mette à jouer à des jeux semblable, la seule chose que j’aimerais, c'est d’être seul quelques instants avec toi. Sui moi dans ma chambre au deuxième et tu verras. Seulement, toutes les deux, les autres rester ici, Marie et moi reviendrons dans quelques instants.

Je regarde Audrey qui pousse Karine vers moi en lui disant, Marie va s’asseoir sur le canapé derrière elle et tu t’allonges sur ses genoux. Si tu veux recevoir la fessée, c'est ici devant nous Karine. Nous aussi, on a droit d’y assister.

Karine rendu a quelques centimètres de moi avec l'aide d'Audrey, je l’attrape par un bras avant qu'elle ne recule et la fait basculer sur mes genoux en m’assoyant sur le canapé derrière moi. Elle n’a pas le choix, elle s’allonge et je m’empresse de la maintenir bien couché et lui retient un bras croisé dans son dos. Les jambes presque dans le vide, Karine n'ose pas trop se débattre pour rester en équilibre sur mes genoux.

Karine —

Non Marie ! lâche-moi, je ne veux pas, je ne veux pas que tu me fesses pas ici. S’il te plaît

Il est trop tard Karine, tu es maintenant en position. Je vais te faire connaître ce que tu veux connaître, C’est quoi l’effet d’une bonne fessée.

Et, je commence à lui claquer les fesses sur sa courte jupe en jeans. Je ne ménage pas la force avec laquelle j’applique mes coups, après tout c’est ça qu’elle veut connaître l’effet d’une fessée, et avec l’épaisseur de tissu qui protège ses fesses ça ne lui fera pas si mal.

Audrey et le frère de Karine regardent tous les deux Karine se faire claquer les fesses et essayer de se déprendre de sa fâcheuse position et ont tous les deux l’air à apprécier ce qu’il voit. Claire aussi s’amuse à regarder sa sœur se balancer les jambes à chaque coup que ses fesses reçoivent pour essayer de se libérer.

Après environs une quarantaine de secondes à lui claquer les fesses, j'arrête, mais ne lâche pas ma prise pour qu’elle reste encore bien immobile.

Karine en furie et essouffler reprend ses esprits et me traite de folle.

Je t’ai dit que je ne voulais pas que tu ne me touches pas ici.

C’est ce que tu voulais Karine, recevoir une première fessée, c’est ce que je t’ai donnée. Maintenant, on passe à plus sérieux. Avec mon autre main, je fouille sous le ventre de Karine pour trouver l’agrafe qui tient sa jupe fermée et réussie à la défaire.

Lâche-moi, je ne veux plus aller plus loin Marie, arrête, j'en ai assez reçu, me supplie Karine.

Paul, le frère de Karine me dit de continuer. C’est ce que ma sœur veut et te l’a presque demandée à genoux, alors continue Marie. Les autres aussi m’approuve dans ce que je suis en train de faire, Abigail m’encourage en prenant les côtés de sa jupe et là descend le long de ses jambes pour le faire tomber au sol.

Une petite culotte bleue à pois blanc nous apparaît, couvrant encore ses petites fesses.

Vous n’êtes que des sauvages, ce plein Karine. Laisse-moi remettre ma jupe, je ne veux plus continuer, tu entends Marie.

Je relève les côtés de sa culotte et constate que ses fesses n’ont même pas changer de couleur, elles sont encore bien blanches.

Karine, la fessée que je viens de te donner n’a aucun effet sur tes fesses, elles sont toutes blanches encore. Je vais maintenant te faire goûter à plus. Là, tes fesses vont commencer à te brûler avec moins de protection, c’était juste un petit réchauffement, Maintenant, je passe à plus sévère en punition et c’est cela que tu voulais de toute façon. Les autres sont bien d'accord à ce que je continue, surtout Paul qui reste à l’arrière et s’agenouille pour retenir les jambes de sa sœur.

Paul, lâche-moi, tu es fou ! Ôte-toi de là et lâche-moi les jambes.

— Je sais très bien pourquoi Paul a décidé de maintenir les jambes de sa sœur.

Je commence à lui claquer à nouveau les fesses. À la grosse différence cette fois-ci, c’est que dès les premières claques, Karine lâche des cris de douleur. Il y a moins de protection et ses petites fesses

rougisses aussi vite que je les claque. Je rentre le tissu entre ses fesses pour les mettre à l’air et continue la fessée.

Aïe, ça fait mal, arrête ce plaint-elle, ça suffit, ça fait mal.

Arrête de te plaindre comme une gamine. Ce n’est que de toutes petites claques, tes fesses sont capables d’en prendre beaucoup plus, j'en suis sûre. C’est toi qui l'a demandé et c’est ce que tu reçois, réplique Paul, toujours en lui tenant les jambes fermement.

J’arrête en ne lâchant pas ma prise. En lui passant ma main sur ses fesses qui commence à prendre de belles couleurs cette fois-ci. Ensuite, en prenant une petite pause, je glisse mes doigts sous l'élastique de sa culotte.

Nonnn!!! pas ça Marie, je t’en supplie pas ça, lâche ma culotte.

Je ne fis de rien et la descends plus bas que ses fesses rosées et chaudes.

Paul tout content lui fait suivre sa culotte qui prend le même chemin que sa jupe. Enfin, il regarde ce qu’il avait hâte de voir. Sa sœur les fesses a l’air. Mais, pour l'entre-jambe, ce n’est pas encore visible, Karine garde les jambes très serrées ensemble et pas de chance pour Paul, pour l’instant.

C’est ça une vraie punition que je te donne Karine, c'est nu, il reste ta camisole. En disant cela, je lui remonte au milieu du dos et Audrey s’occupe de lui faire passer les épaules et la tête.

Pas de soutien, Karine est complètement nue, ses petits seins sont pendants et elle se met à chigner comme une enfant.

Tu as honte d’être à poil devant nous Karine, c’est ce que tu demandais, être à poil devant nous. Tu nous suppliais de te mettre à poil, c'est ce que l’on a fait, lui dit Audrey en lui tenant un de ses petits seins et lui passant son autre main sur ses fesses. J’adore toucher à ta poitrine Karine, c'est très ferme comme j’aime. Et tu est superbe nu devant nous. Tu as de jolies fesses.

Pauvre petite Karine a poil devant nous et se fessant punir comme une petite gamine, j'aime ça rajoute Abigail en lui donnant quelques tapes sur les fesses. Belles fesses fermes, rajoute-t-elle, c'est plaisant à toucher.

Moi, je recommence la fessée, à la différence cette fois-ci c’est que je lui applique directement sur les fesses, plus rien ne protège ses petites fesses toute douces rougisses aussi vite que je les claque.  Karine se met à crier et se débat encore plus.

Ça fait mal, arrête, j'ai mal, c'est assez, j’ai compris, c'est quoi recevoir une fessée, stop.

Quand ses fesses, on atteint la couleur que je voulais qu’elles atteignent, j’arrête la fessée.

En lui frottant les fesses pour la soulager un peu de la douleur. Mon but n’était pas de lui faire très mal. En revanche, juste de lui chauffer les fesses uniquement pour qu’elle se le rappelle que ça peut faire très mal bien appliquer. Je lui lâche son bras que je tenais toujours fermement pour qu’elle se remette debout. Debout maintenant Karine, on passe à la seconde partie de ta punition que tu m’as tant demandée. Karine se remet sur ses pieds en se frottant les fesses et les cachant aussi avec ses mains et essayant de nous tourner dos le plus possible.

Ne touche pas à tes vêtements Karine et tourne-toi face à nous tous, lui ordonnais-je. Montre-nous ton intimité pour que tu saches, c'est quoi être nu devant tes amies. Mais, elle n’a pas l’intention d’obéir et ramasse sa culotte et essaie de se sauver à la salle de bain pour se mettre à l’abri des regards.

Non ma belle, tu restes ici avec nous. Une fille en punition doit obéir. En la retenant par un bras, je lui rajoute six claques sur ses fesses déjà endolories. Redonne-moi ta culotte, ce n’est pas tout de suite que tu peux te rhabiller, il reste encore une étape à faire pour ta punition.

S’il te plaît Marie, laisse-moi me rhabiller. Maintenant, je sais, c'est quoi être puni en public. Je te promets que je ne te poserai plus de question sur la fessée, c'est une promesse.

Audrey —

Tu ne t’en tireras pas aussi facilement. Si tout le monde est d’accord, tu vas te mettre au bout du salon ici et faire le piquet pendant vingt minutes main sur ta tête. C’est souvent ça la fin d’une punition, ça garde la punie dans une posture humiliante, c’est ce que tu cherchais à savoir, on va te le faire connaître Karine.

Marie —

C’était mon intention de la faire prendre une pose humiliante, mais Audrey m’a devancée et c’est mieux ainsi. Ce n’est pas juste moi qui aime ça voir une fille se faire punir de cette manière-là. Même si moi, je déteste ça quand c’est moi qui suis la punie, j’aime regarder les autres.

Paul —

Moi, je suis pour la proposition d'Audrey et même, j'en rajouterais. Après ses vingt minutes de piquet, j'irai chercher une des brosses en bois et je lui rougirai encore les fesses, elles vont être presque redevenues blanches après une vingtaine de minutes. Elle n’a goûté que la fessée à la main, la moins pire des punitions d’après moi. Il y a d’autre manière de recevoir une fessée. C’est ce que ma sœur veut savoir les effets d’une bonne fessée. Ainsi, je suggère de lui faire plaisir et de lui faire connaître d’autre manière de se faire rougir le cul.

Abigail —

Pendant que Marie oblige Karine à se placer comme tous les autres l’ont suggéré, moi, je m’approche de son frère en lui mettant la main aux fesses, ce qui l'a figé de se sentir le cul taponner. Il ne s’attendait pas du tout à ça qu’une des amies a sa sœur lui poigne les fesses.

Paul, tu as aimé ça, regarder ta sœur se faire chauffer les fesses, ta suggestion n’est pas si bête que cela. Mais, je ne suis pas certaine que les autres vont être en accord pour une deuxième fessée à Karine. C’est plutôt toi à qui l'on devrait donner la prochaine fessée. Tu as l’air à aimer ça toi aussi parler de fessée.

Audrey —

Oui Abigail, tu as une très bonne idée. On fait mettre Paul a poil et a chacun notre tour, on lui donne une fessée. C’est super comme idée. Même sa sœur Claire pourra y participer.

Abigail ---

 Paul n’aime pas ma merveilleuse idée et s’éloigne de moi et devient la face rouge.

Marie —

Quoi Paul, ça te gênerait de te mettre à poil devant nous et nous montrer ton petit zizi. Ta face est devenue rouge. Toi qui disais il n’y a pas si longtemps que Karine ne serait pas capable d’enlever ses sous-vêtements si l'on aurait joué à des jeux. Maintenant, c'est toi qui es gêné. Mais, tu ne te gênes pas pour regarder ta sœur nue. Il faut que je l'avoue Karine est très belle nue, très bien rasé, sa fente est bien visible, de très beaux petits seins et des fesses superbes. Paul, tu ne t'en plains pas trop. Tu aime ça voir ta sœur à poil. Paul --- Mais, même si c'est ma sœur, j'ai bien le droit de la regarder, à ce que je sache, elle est faite comme toutes les autres filles donc que ce soit ma sœur ou une autre, c'est toujours beau à regarder une fille nue. Mais pour me mettre a poil devant vous je passe mon tour.

Pendant que l'on se concentre sur Paul, Karine se met à verser des larmes. Je la regarde. Tu as maintenant l’effet de ce que l’on ressent quand on est exposée en public nu Karine. Toi qui te demandais, c'était quoi le feeling d’être nue, tu es maintenant servie, profites-en, car je suis sûr et les autres aussi que tu ne redemanderas pas d'en faire l'essaie à nouveau de la fessée, ce n’est pas du tout plaisant d’être exposée ainsi. Et, pour la suite, on va tous réfléchir à la proposition d'Abigail et Paul. Je pense que tu n’as pas fini de nous montrer tes jolies petites fesses aujourd’hui.



mardi 11 avril 2023

Insulter son prof coûte cher et Amanda va s'en souvenir longtemps.

 

 


Ça fait déjà un mois que je vais à l’université ST-David qui est exclusivement pour filles. Une université qui est contrôlée par la justice ou le gouvernement et privé et réservé surtout aux filles entre vingt-ans et vingt-cinq ou vingt-six ans. Ce sont des juges qui envoient des jeunes adultes étudier ici ou travailler selon ce que la personne désire comme sentence de prison ou réhabilitation. Un genre de prison, mais où le monde est libre entre les jours de cours, avec des conditions assez strictes quand même qui vont jusqu’à la punition corporelle. Mais ils prennent des inscriptions pour combler les trous ou les places vacantes comme on peut le dire. Moi, c'est ma patronne qui me paye mon très dispendieux cours pour devenir sommelière et c’est ici qu’il m’envoie. D'après elle, c'est l'une des meilleures universités privées du pays. Mes deux colocs, elles aussi, sont inscrites ici par l'entremise de notre patronne. C’est sévère et il utilise la punition corporelle comme punition qui me fait peur, même à des jeunes adultes, si leur comportement est jugé inadéa


Moi, je ne m’entends pas trop avec mon profe qui nous enseigne les maths et la chimie, les autres pas de problème, mais elle. Je ne sais pas trop pourquoi, mais entre nous deux ça ne marche pas trop bien. Pourtant, c'est une belle femme, mais je n’aime pas trop ses manières d’agir surtout avec moi. Ma coloc Vicky m’avait déjà avertis plusieurs fois d’arrêter d’écrire sur mon compte tweeter des mauvaises choses sur ma prof. Tu finiras par le regretter, me disait-elle. Ce matin, en entrant dans le bâtiment, j'ai été accueilli par une agente de sécurité. Elle m’a remise une lettre et m’a signalée que j’étais convoquée pour 15 h 30 à la salle de discipline, local 43. Mes deux colocs Vicky et Barbara ont regardé toutes les deux ma convocation. Oui, c'est le mercredi qu’il convoque les accusés, réplique Barbara et on est mercredi. C’est deux là sont mes colocs et étudient en droit et elles m’ont toutes deux souhaité bonne chance. Et bon courage surtout. Moi qui essayais de me comporter du mieux possible pour éviter ce passage très humiliant qu’on peut aller assister à tous les jeudis. Des étudiants qui se font punirent en public, je ne voulais pas me retrouver là un jeudi et me voilà convoquer pour ça la punition public. C'est sûrement pour cela sinon je n'aurais jamais été appelée pour me rendre à ce fameux local.

Je t’avais prévenue à plusieurs reprises Amanda me réplique Vicky. Tu t’amusais à ridiculiser Mme Barber, ton prof de science. Ici dans cette université, on ne peut pas s'amuser à insulter au ridiculisé le personnel. Maintenant, tu vas le payer très cher. Rends-toi à l’heure prévu ce soir et ne soit pas en retard ou n’essaie pas de te sauver. La sécurité ira te chercher et tu seras encore plus pénalisé.

Donc on se revoit ce midi à la cantine Amanda et soit très sage, sinon ton joli petit derrière va te chauffer longtemps. Barbara et moi devons monter à notre local plus tôt ce matin. Je vais en glisser un mot à ma prof pour ta convocation, mais je ne crois pas qu’elle pourra faire changer quoi que ce soit sur ta convocation, bye Amanda, je pense à toi et ta convocation.

Mes deux amies partent et moi, je file vers mon local en rejoignant quelques camarades. Je n’ose même pas leur montrer ma lettre morte de honte. J’essaie de garder cela en secret pour aujourd’hui du moins.

En nous assoyant à nos places, les premiers mots que notre profe nous dit son gênant pour moi.

Mlles, il y a une de vos camarades qui a reçu une nouvelle plus ou moins agréable ce matin, nous dit Mme Barber, notre profe. Et je laisse le plaisir à Amanda de vous l’annoncer elle-même. Lève-toi Amanda et met tes camarades de classe au courant de ta nouvelle.

Je suis devenue très nerveuses, figer, ne sachant pas trop si je devrais me lever et parler.

Allez, lève-toi et annonce-nous ta nouvelle ou c’est moi qui vais leur annoncer.

En prenant une grande respiration, je me lève et commence à expliquer ce que j’ai reçu pour demain. Les autre filles autour de moi commence tous à rire et donner plein de commentaires stupide et gênant.

 Même que plusieurs demandes a notre profe si elle peut les libérer pour aller assister à ma comparution demain. Mme ont aimeraient toutes ça regarder Amanda se faire chauffer les fesses à poil devant nous tous. Ses petites fesses devenir toutes rouge, ça doit être inintéressant à voir.

— Peut-être les filles, je vais y réfléchir, c’est une bonne suggestion. Mais Amanda continue, explique pourquoi. Ce peut être pas toutes tes camardes qui savent ce que tu t'amusais à faire de si négatif sur les réseaux sociaux à propos de moi. Et qui ont provoqué cette convocation. Il faut que tu précises le pourquoi. Après une brève explication de mes niaiseries sur internet, je me rassois.
 — Profite de ta journée Amanda. Demain et pour quelques jours, tu vas avoir du mal à poser tes fesses sur une chaise. Vendredi, je te garderai debout ici en avant avec moi, ce sera mieux pour tes fesses que d’essayer de rester assise.

Ma très dure matinée à me faire regarder de toute part étant enfin terminé, je me dirige vers la cantine et mes camarades me suivent en me bombardant de commentaires désobligeants. J’entends leurs conneries tout au long du trajet entre la classe et la cantine.

À la cantine, je me ramasse un plateau et vais m’asseoir avec mes amies qui étaient déjà à une table. Je remarque que mon nom apparaît sur le tableau électronique. Comme à tous les mercredis, ce tableau indique le nom des personnes qui sont convoquées pour le jeudi. On est sept en tout à être convoqué. Vicky a parlé à son profe ce matin et il n’y a rien à faire. Je suis obligée de me rendre ce soir à ma convocation et de subir la sentence qui me sera attribuée. Plus tard Barbara et Vicky en quittant la salle m’embrassent et me souhaitent toutes les deux bonne chance pour cette nuit et demain. Je ne peux pas entrer chez moi ce soir avec elles. Les convoqués sont obligés de coucher au local de discipline dans les petites cellules aménagé spécialement pour les convoqués.

À la fin de mon après-midi, je me rends au local 43, c'est le numéro du fameux local. En approchant de la porte dans le corridor, je me sens mal. Un énorme mal de ventre et un stresse m’envahit. Je m’arrête juste sur le bord de la porte, l’envie de retourné chez moi me prends très fort. Je repense a ce que m’a dit Vicky et Barbara.

Je me rappelle très bien. « Si une personne ignore la convocation et s’enfuie, la sécurité ira la chercher et souvent la sentence est doublé pour les fuyards ».

J’aime mieux affronter mon destin que le fuir et de le regretter. J’ouvre la porte qui donne accès au local 43. Du côté droit, il y a une porte marquée pour artiste et le personnel et l’écrite au plafond ça indique les autres pour le local 43 avancer à la porte du fond. J’avance à cette porte. Mettez votre convocation dans la fente au mur, sonnez et attendez patiemment, ont vous répondra. Deux minutes plus tard, la porte ouvre. Mlle Vicky J. c’est vous. Euh oui Mme, alors entrée et suivez-moi. À l’intérieur, je remarque trois filles complètement nues et adosser au mur à ma gauche, les bras croisé dans leur dos. Redus en face du bureau qui nous accueille, une femme me demande de rester face à elle bien droite et commence à me questionner. --- Quel âge as-tu ? 21 ans Mme. --- Sais-tu pourquoi tu es ici ? Bien oui se pense. C’est une plainte non-fonder de mon profe, je crois bien. Elle croit que je salis sa réputation sur les réseaux sociaux, et ce n'est pas vrai je vous le jure.
— Vous avez tous la même réponse. Vous, nette jamais responsable de vos actes. Mais regarde le dossier que je tiens dans mes mains. Si je me mets à le regarder c’est plein de citation ou on peut lire ce que tu as écrit que ton profe Mme Barber. Je la connais très bien et c’est une très gentille femme. Je ne sais pas pourquoi tu t’amusais à essayer de salir sa réputation. Mais demain, tu seras punie pour tes gestes si disgracieux. Maintenant, tu déposes tous tes vêtements dans le panier no-4 a ta droite.

Mais Mme, ici, je dois me dévêtir ici devant vous. Il n'y a pas de pièce pour cela, et que vais-je mettre.

— Ne t’occupe pas de ce que tu porteras et enlève tes vêtements. Si tu ne veux pas te déshabiller, c’est nous qui te déshabillerons et je pense que tu n’aimeras pas la façon que nous procéderons. Donc obéie et mets tous dans le panier et vite.

Je pensai en avoir fini avec ça, me mettre nue devant tout le monde. Dans le passé ma sœur m'obligeait à me dévêtir devant son petit copain et son stupide de gars. Elle s'amusait à me punir devant eux pour satisfaire les désirs de son copain. Il aimait que ma sœur me fasse déshabiller devant lui et son fils qui a 3 ans de moins que moi. C'est pour ça que je m'étais sauvée de la maison familiale. Mais même ici, je suis toujours obligé de subir le même genre d'humiliations mais devant de pur étranger, et je n'ai pas plus le choix, je dois obéir.

 J'enlève lentement ma veste et la dépose dans le panier. Je prends le temps de regarder autour de moi. Je commence à tenir mes boutons de chemisier sans les défaire. C'est très sérieux, elle veut absolument que je me mette à poil ici. Je n’ai pas d’autre choix, une des gardiennes s’approche de moi et commence à défaire les boutons de mon chemisier.

Non, laissez-moi faire, je vais obéir à l'âge que j'ai, je suis capable de le faire. En reculant, je continue à les détacher moi-même et j’enlève mon chemisier. Ce n’est pas plaisant, tous les gens dans la pièce me regardent me mettre nue. Elles sont cinq du personnel, et les trois filles déjà à poil derrière moi. Pendant que j’enlève ma jupe, j'entends une sonnerie. La femme qui m’a répondu regarde la feuille qui est tombée, c’est la cinquième qui arrive, il va nous en rester deux autres à venir. Si elles tardent trop, j’envoie la sécurité les cherchées. 

 --- Allez plus vite ton soutien et ta culotte ça presse me dit la femme devant moi. J'ai autre chose à faire, il faut vous installer pour la nuit et aller à la cantine pour manger aussi.

 Je finis de me mettre à poil, je t'ai pourtant dits tous tes vêtements, d'après moi les bas font partie des vêtements. Je m'étais essayée pour rester les pieds moins en contact avec le béton. après m'être mise entièrement nue cette fois-ci comme elle m'avait demandée, elle m’envoie rejoindre les trois autres au mur. Le personnel nous regardent en se moquant de nous quatre qui sommes à poil devant elles, et c’est gênant. La nouvelle est entrée et pendant que je passais devant elle nue, elle me regarde de la tête aux pieds et comme moi, je l’ai fait en rentrant. Elle nous regarde toutes les quatre enligner au mur, nous exhiber devant elle. Mais ce sera son tour à venir s’exhiber dans pas long.

Cela fait une bonne demi-heure que je suis debout nue et humilier par ces stupides d’agentes de sécurité. La dernière à la sixième ajoutée a notre groupe à une poitrine surprenante, même moi, je ne peux m’empêcher de la regarder et ça m’impressionne. Une fille pas plus grande que moi qui fait 1 m, 6 et avoir de si gros, seins, une poitrine si volumineuse ça m'impressionne.

L’une des agentes s’approche de nous en se tapant dans une main avec une petite baquette de bois. Les autres s’amusent à défiler devant nous et nous regardent de la tête aux pieds. Six salopes, il en manque une bosse. La patronne de la place envoie des agents à sa recherche. Mais elle n’est pas du tout respectueuse envers nous, elle nous a traité de salope.

Pardon Mme, j’ai sûrement mal entendu. C’est la première fille qui est à ma gauche qui commence à parlé. Brigitte une fille plus vielle que moi et que je vois pour la première fois. Elle lui demande des excuses. Brigitte lui dit ensuite qu’elle n’a aucun droit de nous insulter qu'on n'est pas des salopes, mais des filles très normales et obligé d’être dans cette tenue à cause de vous :

— Qui t’a donnée la permission de parler salope ? lui demande la femme

Et nous voyons la femme qui a la baguette prendre celle qui lui a répondu, Brigitte par une oreille et la faire avancer jusqu'aux barreaux des cellules. En lui mettant une main dans le dos et la poussant, elle lui colle le nez sur ces barreaux. Ne bouge pas, je vais t’enlever l’envie de répliqué. La gardienne commence à claquer les fesses de Brigitte avec sa baguette en poussant Brigitte dans le dos pour qu’elle reste plaquée contre les barreaux. On entend tous très clairement le bruit des coups qui s’abatte sur ses fesses, et les cris de Brigitte aussi.

 Brigitte lui demande d’arrêter, je m’excuse Mme, lui dit-elle, arrêtez, ça fait mal. Je ne parlerai plus je vous le promets. Tout en continuant de claquer les fesses de sa victime, la femme l’avertie que les prochains commentaires qu’elle entend, c'est le fouet.

 Je t’attache au centre sur le chevalet qui est là et c’est le fouet. Je vais te marquer les fesses au fouet si tu oses me répond une seconde fois, et elle la relâche en arrêtant la fessée. Brigitte revient à sa place dans le rang en se frottant les fesses.


— C’est l’heure de se rendre à la cantine mes jolies. J’avais une folle envie de vous faire sortir nue, tout le monde aime ça voir des filles circuler fesses à l'air, mais je me retiens. Aller vous cherchez chacune jaquette et on va tous manger, c’est beaucoup mieux que de se balader à poil les filles. Enfin, je peux me cacher. J’avais hâte qu’elle nous remette un vêtement, même si cette jaquette est très courte, à peine me cache-t-elle les fesse. Mais c’est beaucoup mieux qu’être fesses à l’air dans les corridors. Je regarde les autres filles autour de moi et pour, elles aussi, c’est à la limite des fesses. La jaquette arrête juste à la limite du haut des cuisses et des fesses et d’en avant ce n’est pas mieux, on a la chatte presque à l’air. Et du haut entre les seins ce n'est pas mieux, la jaquette est ouverte quasiment jusqu’au nombril. Je me sens les seins a l’air, à la vue de tout le monde autour de moi. Tant que l’on se tient bien droite ça va, mais il ne faut pas trop se pencher, sinon on laisse voir tout ce que l’on garde caché a l’habitude. Ce n'est pas long que tout le monde peut tout, voire. Mais nous sommes obligés de sortir pieds nus, pour ça elle est ferme, pas question de remettre nos chaussures. Le plancher est très froid. Elle ne veut pas nous remettre nos chaussures pour a, voire l'air encore plus ridicule. C'est comme ça qu'on doit la suivre pieds nus. Pendant le parcourt, on croise beaucoup de monde. Des étudiantes du personnel d’entretien et de la direction. Peu importe, ils ont tous le même reflex, c'est de nous regarder défiler devant eux quasiment, nue en essayant d’en voir le plus possible et c’est humiliant. Moi aussi quand je croisais des filles vêtues de cette jaquette, je ne pouvais pas m’empêcher de les regarder et de m'imaginer comment cela devait être gênant d’être presque nue en public. 
Maintenant, je le sais, c'est quoi que l’on ressent quand l’on porte seulement que cette jaquette en public. Dans la cantine, c'est la même chose, il y a beaucoup de monde présent même si c’est le soir est, c'est pareil, on est le point de mire de tout le monde ici. Assise sur une chaise, je sens la froideur du plastique de la chaise sur la peau de mes fesses et mon anus. J’ai la moitié du cul à l'air, la jaquette est trop courte et remonte quasiment au haut de ma craque de fesse. De retour, on nous enferme dans des cellules pour la nuit. J’ai un mal fou à dormir, juste a pensé à ma journée de demain m’angoisse.

Au matin, je n’ai pas trop faim. Le stresse me coupe l’appétit, mais on est toutes obligées de se rendre à la cantine pareille. — Celles d’entre vous qui ne veulent pas manger suivent quand même, et c’est un ordre, vous n'avez pas le choix de suivre. Ce matin, ont-vous envois faire une tournée devant vos camarades avant de passer devant le tribunal. Les gens aiment ça, voir les accusées circuler devant eux avant leur sentence. La seule chose pour laquelle, vous ne soyez pas obligées de faire, est de vous mettre à poil dans la cantine. Mais si l'envie vos prend, personne ne vous l'empêchera, tant qu’au reste, vous nous suivez sans dire un seul mot. La maudite, elle fait tout pour nous humilier au maximum. Dans la cantine, je rejoins Vicky et Barbara qui sont déjà installées pour manger. Le même problème qu'hier m'arrive. En m’assoyant le plastique est aussi froid et ce n'est pas plus agréable pour le cul. Trente minutes plus tard, il n'est que 7 h 45, notre gardienne nous rappelle pour que l’on retourne dans le local des convoqués. Tout le long du retour, c'est la même chose, les corridors sont bondés et je me sens regarder de tous les angles. Il y en a même qui nous relève la jaquette en nous tarpan les fesses.

En entrant au local, ce que l’on entend tous, c'est donner moi vos jaquettes et à la douche, c’est obligatoire pour tous. C’est tout de même gênant, il y a que quatre des pommes de bouches au mur et c’est en groupe qu’il faut se laver, comme une vraie prison. Après s’être toutes laver, on remet de nouvelles jaquettes et on attend l’heure pour se présenter devant le supposer juge toutes assises sur le même banc de bois presque aussi froid que les chaises de plastique. La septième fille arrive accompagnée de trois agentes.

C'est Clara, qu’elle se nomme, une fille que est dans mom cour de français avec moi. Elle traite le personnel de tous les noms imaginable et reçoit une forte gifle sur une joue. Ça la calme et elle se tranquillise et arrête de crier après les responsables. À, nous aussi, ça nous fait du bien de ne plus l'entendre parler fort, presque crier.

— Tu ne t’es pas présenté hier à l’heure prévue. Pourquoi tu as sûrement une bonne raison ma belle ? Lui demande une des agentes.

Elle lui répond que non et ce n’est pas de ses affaires. Elle avait autre chose à faire dans la soirée.

Clara, tu enlèves tous tes vêtements et les dépose dans le manier no 7 pendant que je rédige une note pour une punition supplémentaire. C’est moi qui décide de la punition supplémentaire et tu l'aimeras. Moi j'aime ça ce genre de punition-là, et tu vas aimer ça toi aussi j'en suis sûre de ce que je te réserve pour ne pas t'être présentée hier à l’heure prévue. Et accélère pour te mettre à poil, il faut que tu passes à la douche avant d’aller sur la scène.

Clara a la joue rouge et fine d’enlever ses bas en essuyant une larme. Aussitôt à poil, une agente la conduit à la douche et l’aide même à se laver pour aller plus vite. Ça ne fait pas l’affaire de Clara de se faire laver, mais avec quelques bonnes claques sur les fesses, elle comprend vite qu’elle n’a pas d’autre option que de se laisser faire. La femme qui la lave insiste beaucoup sur sa fente. Nous six qui sonnent assissent directement en face des douches, on regarde Clara se faire laver comme une petite gamine.
 La femme finie de laver l’entre jambe et la fente de Clara. Elle la retourne et entre le savon dans sa craque de fesses et a l’air de s’amuser à lui entrer très profond. Clara lui dit de cessé ses attouchements stupides, mais ce n’est pas trop long qu’elle reçoit une autre série de claques sur son cul. La douche fine et essuyer, Clara se voit refusé de porter une jaquette. Tu restes à poil, lui dit la femme qui l’a aidée à se laver, ça fait partie de ta punition. Elle vient donc nous rejoindre à poil en attendant que l’on soit obliger de sortir dans la salle.

L'une des agents nous fait signe de sortir, nous nous levons. Clara est désignée pour sortir la première, l'agente de sécurité veut la présenter la première, et ainsi l'humilier davantage. Mais Clara reste assise sans bouger, les bras croisés sur sa poitrine et les jambes croisées gênée d'être nue. Allez, Clara, sois courageuse, tu n'es pas la première fille à te montrer nue sur cette scène, on en voit défiler toutes les semaines des belles fesses comme les tiennes. La femme l’agrippe par un bras et la traîne de force avec elle en nous demandant de suivre. J’ai les jambes qui tremblent. J'ai à peine la force de mettre un pied devant l'autre tellement le stress me paralyse. On monte sur la scène par l’arrière et apparaissons tous le long des grands rideaux. C’est gênant et impressionnant d’être devant une salle d’une capacité de presque 700 personnes comme un artiste le fait quand il donne ses spectacles. Mais la grosse différence entre un artiste et nous, c’est que c'est nous qui sommes exposés en spectacle, nous sommes là pour autre chose de beaucoup plus humiliante. Je n’ose pas trop regarder dans la salle, gêner d’être traîné de force à moitié nue devant tout le monde qui s’y trouve, mais elle me paraît quasiment vide. Mais c’est du public pareil ou plutôt des voyeurs et c’est gênant. Mais je dois être comme eux moi aussi, j'aime venir assister à, c'est séances à l’occasion. Ils amènent Clara au centre où est installée une chaise, pendant qu'une fille qui doit être considérée comme juge, appelle l’une d’entre nous à s'installer à la place des accusés.
Clara qui est nue en avant-scène est contrainte de rester debout devant la salle, les mains sur sa tête. Il y a une caméra installée en avant-scène qui la filme. Limage capté par cette caméra est projetée sur l’un des trois écrans installés dans l’auditorium. Celle au fond sur le mur en arrière-scène. On peut apercevoir sur l’écran géant du fond Clara nue, de face et en gros plan et c’est bien détaillé. On ne peut rien manquer, la caméra nous la montre de la tête au pied en HD et je m’imagine être à sa place exposée ce ne doit pas être agréable. L’autre caméra est au fond de la scène et nous montre Clara de dos et c’est aussi bien détaillé, et est surtout braquée sur ses fesses. L'une des agents s’assoit sur la chaise et fait étendre Clara sur ses genoux. C’est humiliant pour une fille de cet âge de se faire punir comme un enfant devant plein de monde. Une autre explique au spectateur ce qui arrive à Clara, le pourquoi de la fessée qu’elle recevra. Et la fessée  commence, on entend les claques résonné dans tout l’auditorium, c’est vraiment écho ici et le son se propage facilement. La juge, elle, s’adresse à l’accusée pendant que la punition continue. Mlle, votre délit est mineur, j’ai étudié votre dossier et je vous condamne à 15 coups de linière, sans être dénudé. La chanceuse, elle s’en tire pas si pire. Même si c’est 15 coups qui font mal pareille ou moins, elle ne sera pas nue.

Les trois autres avant moi aussi, c'est 15 coups de brosses comme je l’appelle. Eux appelle cela la petite palette de bois. C’est la même apparence qu’une brosse à manche long, sauf qu’il n’y a pas de poil pour brosser juste le bois des deux côtés. Mais c’est très douloureux quand ça te claque les fesses. Les comparutions ne sont pas longues, les accusées ne sont même pas capables d’essayer d’argumenter, la seule chose est de réduire un peu la sentence, c'est tout. C’est déjà à mon tour de me présenter sur la chaise des accusés.

L'une de mes amies qui commence sa première année de droit vient me seconder pour essayer de plaider ma cause. Après quelque argument et essai de la part de mon amie, les juges ont décidé de réduire quelque peu ma punition. J’étais supposée, recevoir le maximum qui est 30 coups par jour de fouet selon eux. Ils en sont venus à une entente avec la poursuite qui plaidait pour cela le maximum. L’un des juges, avec l’accord du supposer jury, a réduit à 20 le nombre de coups et toujours avec le petit fouet à langue de serpent qu’ils appellent. Le bout de ce fouet se sépare en deux imitant une langue de serpent, c’est pour cela qu’il le surnomme langue de serpent, et paraît-il, il laisse des traces sur la peau et fait très mal. Mais pour moi cela reste un fouet qui fait mal quand il te claque la peau.

 Mais ils n’ont pas voulu plier pour la demande de ma représentante qui demandait à ce que je reste couverte de ma jaquette au lieu d’être nue. Il m’oblige à être nue pour recevoir ma punition, pas question que je garde la jaquette, ma faute selon eux est trop grave. Pour eux, manquer de respect à un profe est considéré comme dans les pires faute ici. Mais je serais punie debout attacher par les poignets et mes bras étirés vers le haut. Il m'exempte l'humiliation d'être attacher au chevalet les jambes écartées et chevilles attachées. 

Les juges ont décidé de m’éviter l’une de pire humiliation. Ils ont rejeté la suggestion de la poursuite et que mon frofe avait fait, d’être attachée au chevalet toute écartée et mon intimité exposés en public pour recevoir ma punition.

C’est ma première offense et il me laisse une petite chance, m'ont-ils, dit, si l’ont peu appelée cela une chance. Je vais quand même être attachée au centre de la scène et fouetter nue devant plusieurs dizaines de personnes malgré tout. Ce n’est pas si drôle que ça se faire humilier comme ça et la caméra braquer sur moi en gros plan. Eux, il pense que c’est une grosse chance qu’il me donne.

Les comparutions de Clara et les autres sont fines, c'était la dernière à passer. Pour elle ça sera la canne 25 coups et attacher au chevalet. Pas aussi chanceuse que moi, elle aura le cul tout grand ouvert à la caméra et sur écran géant en plus.

Enfin, nous pouvons entrer dans le local. J’avais hâte debout sur la scène, les mains croisées dans le dos, cela me gênait. Dans la salle ce matin, il n'y avait qu'entre 30 et 40 personnes qui assistaient à nos comparutions et cela me fatiguait de me sentir regarder. J’imagine que pour Clara cela devait être encore plus humiliant. Recevoir une fessée sur les genoux d’une femme et nue tout ce temps sur scène, elle aussi, doit avoir hâte d’entrée.

Il n’est que 10 h 15, le personnel nous fait tous signer une comparution pour cet après-midi avec les condamnations bien détaillées et nous libère.

 Allez retourner à vos classe respective pour finir votre matinée, on vous donne à chacune un papier justifiant votre retard a votre profe, bonne chance. Et ne soyez pas en retard à 1 h 00 vous devez toutes être présente ici.

La femme nous ouvrent la porte pour que l’on sorte rejoindre nos classes. Clara qui a pu remettre une jaquette et deux autres demandes de rester ici pour le reste de la matinée.

Non, personne ne reste, vos profs vous attendent tous, et présentez-vous à vos profs, c'est un ordre. Celle qui ne se présentera pas a son cours passera le reste de la semaine en punition jusqu’à jeudi prochain. Cela inclut le port de la jaquette toute la semaine. Si vous aimez cela, vous promenez presque à poil devant tout le monde alors faite en a votre tête et absentez-vous. Ce midi, allez à la cantine pour manger, les gens aiment ça, regarder les condamner.

Oui, je le sais très bien depuis une dizaine d’heures que je circule vêtu ridiculement et j’ai honte. J’ai toujours l’impression que j’ai les fesses a l’air, je n’arrête pas de tenir le bas de ma jaquette pour être sûr qu’elle me cache les fesses. Moi aussi quand il y avait des filles vêtues de cette jaquette qui circulaient autour de moi, j'aimais leur mater le cul espérant que la jaquette était remonté.

En cognant à la porte de ma classe, je ressens des palpitations dans ma poitrine, mon cœur bat très fort. J’entre et referme doucement la porte espérant que personne remarque mon entrée. J’avais pris soin de ramasser mes livres de math dans mon casier avant de me rendre ici. Je les tiens bien collés contre ma poitrine pour en cacher le plus possible. Ces jaquettes-là sont pas mal ouvertes du devant presque jusqu’au nombril et en laissent voir pas mal. Je me sens les seins a l’air et à la vue de tous quand je n’ai rien à me mettre, comme mes livres présentement pour cacher ma poitrine.

Bonjour ! me dit ma prof.

Quand on entre, c'est la politesse de saluer son monde, Amanda. Tes parents ne te l’ont jamais enseignée qu’il fallait saluer le monde en entrant. Va poser tes bouquins sur ton bureau et vient me rejoindre ici. Tu vas nous expliquer ta comparution de ce matin. Tes camarades ont toutes hâte de savoir la sentence qui t’a été donner. Dans ta jaquette, tu es superbe. Elle est parfaitement ajustée à ta taille, tu es mignonne dans cette jaquette et pieds nus en plus. Cela nous donne l’impression que tu t’es levée en retard ce matin et tu n’as pas eu le temps de t’habiller. Quand penser vous les filles. Elle lui va à ravir n’est-ce pas.

Toute la classe rire et commente sur ma nouvelle tenue et les commentaires de ma salope de profe.

Elle le fait exprès cette salope. Elle sait très bien que si je répliques cela lui donnera une raison pour me punir ici même dans la classe. Elle pourra aussi faire une plainte à la discipline. J’écoperai d’une autre punition qui durera toute la semaine prochaine. Ça ne m’intéresse pas de rester vêtue de cette jaquette-là encore plusieurs jours. Je dois me retenir et écouter ses idioties sans répliquer. Je pose mes bouquins et reviens vers elle avec mon billet d’absence. En circulant dans la rangée entre les autres bureaux, les filles qui sont assises à leur place ont tous les yeux à la hauteur de mes fesses. C'est extrêmement gênant de se sentir le cul regarder de cette façon-là et elles sont très désagréable avec leurs commentaires. Je ne prends pas de chance, je tiens le bas de ma jaquette de chaque côté de mes hanches pour garder mes fesses et le reste aussi caché.

J’entends Bélinda dire. Regarder les filles Amanda a peur de nous montrer son petit cul, elle tire sur sa jaquette, laisse-moi regarder tes jolies fesses, lève ta jaquette. Amanda cet après midi, tu ne pourras plus les cacher alors arrête d’être ridicule et laisse ta jaquette remonter. Je reçois même des claques sur les fesses durant mon court parcourt et je sens même une main me pognée une fesse durant mon court trajet jusqu’en avant de la classe. Je me revire vers la fille qui a osé. Tasse tes sales pattes cochonnes, lui dis-je. C’était plus fort que moi, j'ai perdus patience et je me suis échappée sans réfléchir aux conséquences de mes paroles. Mme Barber m’arrête juste avant que je me place à côté de son bureau devant elle.

J’entends petite effrontée, tu retournes t’excusées pour tes paroles inappropriées envers Nathalie et remonte ta jaquette jusqu’à tes épaules. Montre à Nathalie et aux autres tout ce qu’elles veulent voir.

Je le regrette infiniment Mme, je ne le redirais plus, ça a été plus fort qui moi, en me fessant toucher les fesses de cette manière-la. Cela ne lui donne pas le droit de me taponner le derrière. Qu’elle me regarde passer, je n’y peux rien, mais de me pognée les fesses, elle n’a pas le droit Mme. Je reçois une gifle en plein visage et ça fait mal. Je pense que c’est pire que de recevoir une claque sur les fesses.

Amanda, je te rappelle que tu es en punition jusqu’à la fin de la journée. Quand tu a signé ce matin ta sentence. As-tu lu tous les paragraphes qui concernent les obligations des punis ?.

  Eeeeuh oui ! Je lui réponds en hésitant. Mais en vitesse Mme. Trois fortes claques s’abattent sur mes fesses. Ne me  mens pas Amanda, me répond-elle.

Amanda, montre-moi ta sentence. Ils t'ont fait signer un formulaire qui décrivait la décision et la punition que tu recevras, mais il y a des règlements à suivre aussi.

Je ne l’ai pas Mme, le jugement est resté dans l’un de mes livres sur mon bureau. Je suis désolée, mais j’ai mon billet d’absence ici.

Bon bien, il aurait été mieux pour toi que tu le lises en détaille ce document avant de le signé ma belle. Dans l’un de ses règlements, c'est écrit que si la punie fait un délit pendant qu’elle est déjà en punition, toute personne responsable ou en autorité comme moi ici a le droit d’infliger une punition supplémentaire et a l’endroit de son choix. De la manière que tu viens de traiter Nathalie de salope peut te valoir une bonne fessée devant tes camarades si je le décide. Mais je te prends en pitié et te donne une chance Amanda, ce qui est très rare de ma part. Car cet après-midi, tu vas te faire rougir les fesses, et je crois bien que c'est assez.

Va immédiatement faire tes excuses à Nathalie en relevant ta jaquette aux épaules et j’oublie la fessée que tu mérites. Et en revenant, tu racontes à tes camarades ta punition qui te sera donner plus tard après le déjeuner.

J’essaie de retenir mes larmes, si je ne me retenais pas, je pleurerais comme une gamine. J’avance jusqu’à Nathalie qui est à quelques pas devant moi. Pardonne-moi Nathalie, je regrette de maître emporté ainsi.

Mais Mme, Amanda n’a pas remonté sa jaquette comme vous l’avez demandée. C’est excuse ne conte pas.

Nathalie prend ma jaquette par le bas et me la remonte. Elle essaie de me la passer par-dessus la tête en se levant devant moi.

Arrête Nathalie, demande Mme Barber. Laisse sa jaquette accrocher dans son cou, fais-lui un nœud pour qu’elle reste en place. Je défends à quiconque de sortir son mobile et de prendre des photos d’Amanda. Si l’une d’entre vous décide de le faire pareille, je l’envoie à la discipline, elle aussi va se balader fesses à l’air. C’est pour ça que les punis  se promène vêtu d'une jaquette dans ce campus et non nu en public dans les corridors, c'est pour la prise de photo. J’espère bien m'être faite comprise par tous ici.

Et toi Amanda, il t’est défendu de rabaisser ta jaquette tant et aussi longtemps que je ne l’autorise. Tu mets tes Mains sur ta tête pour que toutes tes camarades puissent t’admirer de plus près. Circule, promène toit d’une rangée à l’autre, et n’oublie surtout pas que tu es en punition. Nathalie va te suivre et si tu ne coopères pas, je lui donne la permission de te claquer les fesses pour que tu avances.

C’est dégueulasse ce qu’elle me demande de faire, mais je n’ai pas d’autre choix. Je ne veux surtout pas que cette idiote de Nathalie aie le plaisir de me donner une fessée. 

 Très bien Amanda pendant ta tournée exhibitionniste dans la classe. Pour accélérer les chose, on va demander à Bélinda de prendre dans ton livre ta condamnation que tu as signée ce matin et nous le lire. Toi, durant ce temps, continue sous la surveillance de Nathalie. Ça va être moins compliqué parce que le temps va nous manquer bientôt.

Je vois Bélinda qui fouille dans mes affaires et déplie le document. C’est choquant et ça me met mal à l’aise.

 Je l’ai Mme. C’est avec un entête du bureau de la discipline de l’université.

Il est écrit Mlle Amanda J. née à … en 2002 et étudiante à plein-temps ici au campus de St-David en restauration et sommellerie est condamnée par le tribunal administratif de l’université à 20 coups de fouet ce jeudi a 2 h 00 heure et (c’est marqué approximativement ). Ladite condamnation est suite à un manque de respect et une attaque personnel pour salir la réputation d’un professeur.

La condamner recevra sa punition sur la scène de l’auditorium nue et attacher au centre de la scène devant tous ceux qui désire y assister.

Dois-je continuer Mme ? il y a plusieurs lignes encore.

Non Bélinda, cela suffit, on a les détaille qui nous intéressait, merci et remet le document à sa place.

Donc les filles, à la demande générale, je vous accorde une permission pour vous rendre à l’auditorium en début d’après-midi, mais juste-là, pas ailleurs. Quand Amanda aura reçu sa punition, on revient tous ici au cours.

Toutes les filles applaudissent et félicitent Mme Barber. Je suis hors de moi, elle permet à ses chipies de venir me regarder me faire fouetter. Il me reste que quelques mètres pour finir ma promenade entre les bureaux. Je suis ensuite obligée d'aller rejoindre la prof en avant de la classe, et j’ai hâte que la cloche sonne. Mme barber s’approche de moi et Nathalie qui est très déçue de ne pas avoir été capable de me claquer les fesses.

Nathalie, c'est décevant pour toi, toi qui aurais tant aimer chauffer le derrière de ta camarade Amanda. Mais ne te gêne pas, je te permets de lui flatter ses jolies fesses. Je sais que tu en as envie. Je te t’autorise à la faire et replace ensuite sa jaquette pour qu'elle ait les fesses cachées. Elle ne peut pas sortir du local, fesses à l’air. Mais Nathalie attend qu’Amanda te le demande gentiment de lui donner une petite caresse d’encouragement sur ses fesses, elle en aura grandement besoin.

La salope, je suis obligée de demander à la stupide de me caresser le derrière.

Je ravale et prends le temps de penser à mes gestes et leur conséquence. C’est mieux pour moi et pour mes fesses aussi d’obéir à Mme barber. La voie tremblante, je m’exécute.

Nathalie, j'aimerais ça un geste d’encouragement de ta part. Je n’ai pas osé lui demander directement de me taponner les fesses, espérant qu’elle se retiendra. Nathalie qui est face à moi me regarde toute souriante en me retournant dos à la classe. Je sens sa main qui touche mes fesses et ses doigts qui entre assez profond dans ma raie.

 Nathalie

Je compatisse avec toi Amanda et c’est pour ça que je t’ai retournée dos à la classe. Ainsi tout le monde peut regarder ses jolies fesses se faire caresser. Tu as des fesses bien fermes et c’est plaisant à toucher Amanda.

« Je m’amuse a lui serré les fesses avec ma main et entrer mes doigts dans son entre fesses et j’adore ça la ridiculisée, c'est ma vengeance, elle aussi, aime me rendre ridicule devant les autres, c'est à mon tour maintenant ».

Mais Amanda d’après moi recevoir le fouet ne doit sûrement pas être agréable. Moi, je n’ai jamais reçu de fessée dans ma vie et cela doit être très douloureux et surtout humiliant en public à notre âge, on n'est pas supposé se montrer nue tout partout comme toi tu t'amuse à le faire.

Mais j’ai hâte d’être devant toi à te regarder souffrir Amanda. En remontant pour détacher sa jaquette, j'en profite pour lui toucher ses petits seins. Même si Ma prof ne me l’avait pas dit, je ne pouvais pas me retenir de lui pincer ses tétons. Tu as de jolis petits seins très fermes Amanda. J'aime les toucher. Les autres filles dans la salle me regardent taponner Amanda et sa réagi par de nombreux rires. Amanda, tu es sauvé par la cloche. Tes petites fesses sont maintenant cachées à l'abri de tous les regards, tu peux nous accompagner à la catine, suis-nous, on t’accompagne pour le déjeuner. Je la fais avancer en lui tapant tendrement les fesses en souriant.

Je ne m’occupe pas d’elle et ses complices et ramasse mes bouquins. Le trajet me semble très long pour me rendre à mon casier, et j’ai toujours de la misère à m'habituer au plancher froid, pieds nus, c'est très désagréable de marcher sur des carreaux de céramique froids. La fatigante de Nathalie essaie de me suivre, et lâche enfin prise. Enfin, elle décide de se rendre directement à la cantine et m’attendre avec sa petite gagne.

Je n’ai pas d’appétit ce midi et sachant que Nathalie m’attend là-bas pour me ridiculiser devant la salle, j'envoie un message à mes amies et m’assois sur un banc dans un coin tranquille et pas trop passant, à l’abri des regards.

Quelques instants plus tard, Vicky, Barbara et deux autres me rejoignent.

Je me mets à pleurer. Elles essaient de m’encourager, mais elles aussi le savent très bien que ce qui va m’arriver n’est pas plaisant et très humiliant.

Le temps file vite et je suis obligée de laisser mes amies pour me rendre au local de discipline. Je ne veux surtout pas être en retard et agarver mon cas. 

Mes amies ne tiennent pas à venir me regarder, c'est un gros soulagement pour moi. Mon après-midi va être très longue et humiliante.



 

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...