Ça fait déjà un mois que je vais à l’université ST-David qui est exclusivement pour filles. Une université qui est contrôlée par la justice ou le gouvernement et privé et réservé surtout aux filles entre vingt-ans et vingt-cinq ou vingt-six ans. Ce sont des juges qui envoient des jeunes adultes étudier ici ou travailler selon ce que la personne désire comme sentence de prison ou réhabilitation. Un genre de prison, mais où le monde est libre entre les jours de cours, avec des conditions assez strictes quand même qui vont jusqu’à la punition corporelle.
Mais ils prennent des inscriptions pour combler les trous ou les places vacantes comme on peut le dire. Moi, c'est ma patronne qui me paye mon très dispendieux cours pour devenir sommelière et c’est ici qu’il m’envoie. D'après elle, c'est l'une des meilleures universités privées du pays. Mes deux colocs, elles aussi, sont inscrites ici par l'entremise de notre patronne. C’est sévère et il utilise la punition corporelle comme punition qui me fait peur, même à des jeunes adultes, si leur comportement est jugé inadéa
Moi, je ne m’entends pas trop avec mon profe qui nous enseigne les maths et la chimie, les autres pas de problème, mais elle. Je ne sais pas trop pourquoi, mais entre nous deux ça ne marche pas trop bien. Pourtant, c'est une belle femme, mais je n’aime pas trop ses manières d’agir surtout avec moi. Ma coloc Vicky m’avait déjà avertis plusieurs fois d’arrêter d’écrire sur mon compte tweeter des mauvaises choses sur ma prof. Tu finiras par le regretter, me disait-elle.
Ce matin, en entrant dans le bâtiment, j'ai été accueilli par une agente de sécurité. Elle m’a remise une lettre et m’a signalée que j’étais convoquée pour 15 h 30 à la salle de discipline, local 43. Mes deux colocs Vicky et Barbara ont regardé toutes les deux ma convocation. Oui, c'est le mercredi qu’il convoque les accusés, réplique Barbara et on est mercredi. C’est deux là sont mes colocs et étudient en droit et elles m’ont toutes deux souhaité bonne chance. Et bon courage surtout.
Moi qui essayais de me comporter du mieux possible pour éviter ce passage très humiliant qu’on peut aller assister à tous les jeudis. Des étudiants qui se font punirent en public, je ne voulais pas me retrouver là un jeudi et me voilà convoquer pour ça la punition public. C'est sûrement pour cela sinon je n'aurais jamais été appelée pour me rendre à ce fameux local.
— Je
t’avais prévenue à plusieurs reprises Amanda me réplique Vicky. Tu
t’amusais à ridiculiser Mme Barber, ton prof de science. Ici dans cette université, on ne peut pas s'amuser à insulter au ridiculisé le
personnel. Maintenant, tu vas le payer très cher. Rends-toi à
l’heure prévu ce soir et ne soit pas en retard ou n’essaie
pas de te sauver. La sécurité ira te chercher et tu seras encore
plus pénalisé.
— Donc
on se revoit ce midi à la cantine Amanda et soit très sage, sinon
ton joli petit derrière va te chauffer longtemps. Barbara et moi
devons monter à notre local plus tôt ce matin. Je vais en glisser un
mot à ma prof pour ta convocation, mais je ne crois pas qu’elle
pourra faire changer quoi que ce soit sur ta convocation, bye Amanda, je
pense à toi et ta convocation.
Mes deux amies partent et moi, je file vers mon local en rejoignant
quelques camarades. Je n’ose même
pas leur montrer ma lettre morte de honte. J’essaie de garder cela
en secret pour aujourd’hui du moins.
En nous assoyant à nos places, les premiers mots que notre profe nous dit son gênant
pour moi.
— Mlles,
il y a une de vos camarades qui a reçu une nouvelle plus ou moins
agréable ce matin, nous dit Mme Barber, notre profe. Et je laisse le
plaisir à Amanda de vous l’annoncer elle-même. Lève-toi Amanda et met tes camarades de classe au courant de ta nouvelle.
Je suis devenue très
nerveuses, figer, ne sachant pas trop si je devrais me lever et
parler.
— Allez, lève-toi et annonce-nous ta nouvelle ou c’est moi qui vais leur
annoncer.
En prenant une grande respiration, je me lève et commence à expliquer
ce que j’ai reçu pour demain. Les autre filles autour de moi
commence tous à rire et donner plein de commentaires stupide et gênant.
Même que plusieurs demandes a notre profe si elle peut les libérer
pour aller assister à ma comparution demain. Mme ont aimeraient toutes
ça regarder Amanda se faire chauffer les fesses à poil devant nous
tous. Ses petites fesses devenir toutes rouge, ça doit être
inintéressant à voir.
— Peut-être les filles, je vais y réfléchir, c’est une bonne suggestion. Mais Amanda continue, explique pourquoi. Ce peut être pas toutes tes camardes qui savent ce que tu t'amusais à faire de si négatif sur les réseaux sociaux à propos de moi. Et qui ont provoqué cette convocation. Il faut que tu précises le pourquoi.
Après une brève explication de mes niaiseries sur internet, je me rassois.
— Profite de ta journée Amanda. Demain et pour quelques jours, tu vas avoir du mal à poser tes fesses sur une chaise.
Vendredi, je te garderai debout ici en avant avec moi, ce sera mieux
pour tes fesses que d’essayer de rester assise.
Ma très dure matinée à me faire regarder de toute part étant enfin terminé, je me dirige vers la cantine et mes camarades me
suivent en me bombardant de commentaires désobligeants. J’entends leurs
conneries tout au long du trajet entre la classe et la cantine.
À la cantine, je me ramasse un plateau et vais m’asseoir avec mes amies qui étaient déjà à une table. Je remarque que mon nom apparaît sur le tableau électronique. Comme à tous les mercredis, ce tableau indique le nom des personnes qui sont convoquées pour le jeudi. On est sept en tout à être convoqué. Vicky a parlé à son profe ce matin et il n’y a rien à faire. Je suis obligée de me rendre ce soir à ma convocation et de subir la sentence qui me sera attribuée. Plus tard Barbara et Vicky en quittant la salle m’embrassent et me souhaitent toutes les deux bonne chance pour cette nuit et demain. Je ne peux pas entrer chez moi ce soir avec elles. Les convoqués sont obligés de coucher au local de discipline dans les petites cellules aménagé spécialement pour les convoqués.
À la fin de mon après-midi, je me rends au local 43, c'est le numéro
du fameux local. En approchant de la porte dans le corridor, je me sens mal. Un
énorme mal de ventre et un stresse m’envahit. Je m’arrête
juste sur le bord de la porte, l’envie de retourné chez moi me
prends très fort. Je repense a ce que m’a dit Vicky et Barbara.
Je me rappelle très bien. « Si une personne ignore la convocation et s’enfuie, la sécurité ira la chercher et souvent la sentence est doublé pour les fuyards ».
J’aime mieux affronter mon destin que le fuir et de le regretter. J’ouvre la porte qui donne accès au local 43. Du côté droit, il y a une porte marquée pour artiste et le personnel et l’écrite au plafond ça indique les autres pour le local 43 avancer à la porte du fond.
J’avance à cette porte. Mettez votre convocation dans la fente au mur, sonnez et attendez patiemment, ont vous répondra.
Deux minutes plus tard, la porte ouvre. Mlle Vicky J. c’est vous. Euh oui Mme, alors entrée et suivez-moi.
À l’intérieur, je remarque trois filles complètement nues et adosser au mur à ma gauche, les bras croisé dans leur dos. Redus en face du bureau qui nous accueille, une femme me demande de rester face à elle bien droite et commence à me questionner.
--- Quel âge as-tu ? 21 ans Mme.
--- Sais-tu pourquoi tu es ici ? Bien oui se pense. C’est une plainte non-fonder de mon profe, je crois bien. Elle croit que je salis sa réputation sur les réseaux sociaux, et ce n'est pas vrai je vous le jure.
— Vous
avez tous la même réponse. Vous, nette jamais responsable de vos
actes. Mais regarde le dossier que je tiens dans mes mains. Si je me
mets à le regarder c’est plein de citation ou on peut lire ce que
tu as écrit que ton profe Mme Barber. Je la connais très bien et
c’est une très gentille femme. Je ne sais pas pourquoi tu
t’amusais à essayer de salir sa réputation. Mais demain, tu seras
punie pour tes gestes si disgracieux. Maintenant, tu déposes tous tes
vêtements dans le panier no-4 a ta droite.
Mais Mme, ici, je dois me
dévêtir ici devant vous. Il n'y a pas de pièce pour cela, et que vais-je mettre.
— Ne
t’occupe pas de ce que tu porteras et enlève tes vêtements. Si tu
ne veux pas te déshabiller, c’est nous qui te déshabillerons et je
pense que tu n’aimeras pas la façon que nous procéderons. Donc obéie et mets tous dans le panier et vite.
Je pensai en avoir fini avec ça, me mettre nue devant tout le monde.
Dans le passé ma sœur m'obligeait à me dévêtir devant son petit copain
et son stupide de gars. Elle s'amusait à me punir devant eux pour
satisfaire les désirs de son copain. Il aimait que ma sœur me fasse déshabiller devant lui et son fils qui a 3 ans de moins que moi. C'est pour ça que je m'étais sauvée de la maison familiale. Mais même ici, je suis toujours obligé de subir le même genre d'humiliations mais devant de pur étranger, et je n'ai pas plus le choix, je dois obéir.
J'enlève lentement ma veste et la dépose dans le panier. Je prends le temps de regarder autour de moi. Je commence à tenir mes boutons de chemisier sans les défaire. C'est très sérieux, elle veut absolument que je me mette à poil ici. Je n’ai pas d’autre choix,
une des gardiennes s’approche de moi et commence à défaire les
boutons de mon chemisier.
Non,
laissez-moi faire, je vais obéir à l'âge que j'ai, je suis capable de le faire. En reculant, je continue à les
détacher moi-même et j’enlève mon chemisier. Ce n’est pas plaisant,
tous les gens dans la pièce me regardent me mettre nue. Elles sont
cinq du personnel, et les trois filles déjà à poil derrière moi.
Pendant que j’enlève ma jupe, j'entends une sonnerie. La femme
qui m’a répondu regarde la feuille qui est tombée, c’est la
cinquième qui arrive, il va nous en rester deux autres à venir. Si elles
tardent trop, j’envoie la sécurité les cherchées.
--- Allez plus vite ton soutien et
ta culotte ça presse me dit la femme devant moi. J'ai autre chose
à faire, il faut vous installer pour la nuit et aller à la cantine
pour manger aussi.
Je finis de me mettre à poil, je t'ai pourtant dits tous tes vêtements, d'après moi les bas font partie des vêtements. Je m'étais essayée pour rester les pieds moins en contact avec le béton. après m'être mise entièrement nue cette fois-ci comme elle m'avait demandée, elle m’envoie
rejoindre les trois autres au mur. Le personnel nous regardent en
se moquant de nous quatre qui sommes à poil devant elles, et c’est
gênant. La nouvelle est entrée et pendant que je passais devant elle nue, elle me regarde de la tête aux pieds et comme moi, je l’ai fait en rentrant. Elle nous regarde toutes les quatre enligner au mur, nous exhiber devant elle. Mais ce sera son tour à
venir s’exhiber dans pas long.
Cela fait une bonne demi-heure que je suis debout nue et humilier par ces
stupides d’agentes de sécurité. La dernière à la sixième ajoutée
a notre groupe à une poitrine surprenante, même moi, je ne peux
m’empêcher de la regarder et ça m’impressionne. Une fille pas
plus grande que moi qui fait 1 m, 6 et avoir de si gros, seins, une poitrine si volumineuse ça m'impressionne.
L’une des agentes s’approche de nous en se tapant dans
une main avec une petite baquette de bois. Les autres s’amusent à défiler
devant nous et nous regardent de la tête aux pieds. Six salopes, il en manque
une bosse. La patronne de la place envoie des agents à sa recherche.
Mais elle n’est pas du tout respectueuse envers nous, elle nous a
traité de salope.
Pardon Mme, j’ai sûrement mal entendu. C’est la première fille qui est
à ma gauche qui commence à parlé. Brigitte une fille plus vielle que moi et que je vois pour la première fois. Elle lui demande des excuses. Brigitte lui dit ensuite qu’elle
n’a aucun droit de nous insulter qu'on n'est pas des salopes, mais des
filles très normales et obligé d’être dans cette tenue à cause de
vous :
— Qui t’a donnée la permission de parler salope ? lui demande la femme
Et
nous voyons la femme qui a la baguette prendre celle qui lui a répondu, Brigitte par une
oreille
et la faire avancer jusqu'aux barreaux des cellules. En lui mettant une main dans le dos et la poussant, elle lui
colle le nez sur ces barreaux. Ne bouge pas, je vais t’enlever
l’envie de répliqué. La gardienne commence à claquer les fesses
de Brigitte avec sa baguette en poussant Brigitte dans le dos pour
qu’elle reste plaquée contre les barreaux. On entend tous très
clairement le bruit des coups qui s’abatte sur ses fesses, et les cris de Brigitte aussi.
Brigitte
lui demande d’arrêter, je m’excuse Mme, lui dit-elle, arrêtez, ça fait mal. Je ne parlerai plus je vous le promets. Tout en continuant de claquer
les
fesses de sa victime, la femme l’avertie que les prochains
commentaires qu’elle entend, c'est le fouet.
Je t’attache au
centre sur le chevalet qui est là et c’est le fouet. Je vais te marquer les fesses au fouet si tu oses me répond une seconde fois, et elle
la relâche en arrêtant la fessée. Brigitte revient à sa place
dans le rang en se frottant les fesses.
— C’est l’heure de se rendre à la cantine mes jolies. J’avais une folle envie de vous faire sortir nue, tout le monde aime ça voir des filles circuler fesses à l'air, mais je me retiens. Aller vous cherchez chacune jaquette et on va tous manger, c’est beaucoup mieux que de se balader à poil les filles.
Enfin, je peux me cacher. J’avais hâte qu’elle nous remette un vêtement, même si cette jaquette est très courte, à peine me cache-t-elle les fesse. Mais c’est beaucoup mieux qu’être fesses à l’air dans les corridors. Je regarde les autres filles autour de moi et pour, elles aussi, c’est à la limite des fesses. La jaquette arrête juste à la limite du haut des cuisses et des fesses et d’en avant ce n’est pas mieux, on a la chatte presque à l’air. Et du haut entre les seins ce n'est pas mieux, la jaquette est ouverte quasiment jusqu’au nombril. Je me sens les seins a l’air, à la vue de tout le monde autour de moi. Tant que l’on se tient bien droite ça va, mais il ne faut pas trop se pencher, sinon on laisse voir tout ce que l’on garde caché a l’habitude. Ce n'est pas long que tout le monde peut tout, voire. Mais nous sommes obligés de sortir pieds nus, pour ça elle est ferme, pas question de remettre nos chaussures. Le plancher est très froid. Elle ne veut pas nous remettre nos chaussures pour a, voire l'air encore plus ridicule. C'est comme ça qu'on doit la suivre pieds nus.
Pendant le parcourt, on croise beaucoup de monde. Des étudiantes du personnel d’entretien et de la direction. Peu importe, ils ont tous le même reflex, c'est de nous regarder défiler devant eux quasiment, nue en essayant d’en voir le plus possible et c’est humiliant. Moi aussi quand je croisais des filles vêtues de cette jaquette, je ne pouvais pas m’empêcher de les regarder et de m'imaginer comment cela devait être gênant d’être presque nue en public.
Maintenant, je le sais, c'est quoi que l’on ressent quand l’on porte seulement que cette jaquette en public. Dans la cantine, c'est la même chose, il y a beaucoup de monde présent même si c’est le soir est, c'est pareil, on est le point de mire de tout le monde ici. Assise sur une chaise, je sens la froideur du plastique de la chaise sur la peau de mes fesses et mon anus. J’ai la moitié du cul à l'air, la jaquette est trop courte et remonte quasiment au haut de ma craque de fesse. De retour, on nous enferme dans des cellules pour la nuit. J’ai un mal fou à dormir, juste a pensé à ma journée de demain m’angoisse.
Au matin, je n’ai pas trop faim. Le stresse me coupe l’appétit, mais on est toutes obligées de se rendre à la cantine pareille.
— Celles d’entre vous qui ne veulent pas manger suivent quand même, et c’est un ordre, vous n'avez pas le choix de suivre. Ce matin, ont-vous envois faire une tournée devant vos camarades avant de passer devant le tribunal. Les gens aiment ça, voir les accusées circuler devant eux avant leur sentence. La seule chose pour laquelle, vous ne soyez pas obligées de faire, est de vous mettre à poil dans la cantine. Mais si l'envie vos prend, personne ne vous l'empêchera, tant qu’au reste, vous nous suivez sans dire un seul mot.
La maudite, elle fait tout pour nous humilier au maximum.
Dans la cantine, je rejoins Vicky et Barbara qui sont déjà installées pour manger. Le même problème qu'hier m'arrive. En m’assoyant le plastique est aussi froid et ce n'est pas plus agréable pour le cul.
Trente minutes plus tard, il n'est que 7 h 45, notre gardienne nous rappelle pour que l’on retourne dans le local des convoqués. Tout le long du retour, c'est la même chose, les corridors sont bondés et je me sens regarder de tous les angles. Il y en a même qui nous relève la jaquette en nous tarpan les fesses.
En entrant au local, ce que l’on entend tous, c'est donner moi vos jaquettes et
à la douche, c’est obligatoire pour tous. C’est tout de même gênant, il y a que quatre des pommes de bouches au mur et c’est en groupe
qu’il faut se laver, comme une vraie prison. Après s’être
toutes laver, on remet de nouvelles jaquettes et on attend l’heure pour se
présenter devant le supposer juge toutes assises sur le même banc
de bois presque aussi froid que les chaises de plastique. La septième
fille arrive accompagnée de trois agentes.
C'est Clara,
qu’elle se nomme, une fille que est dans mom cour de français avec moi. Elle
traite le personnel de tous les noms imaginable et reçoit une forte
gifle sur une joue. Ça la calme et elle se tranquillise et arrête de
crier après les responsables. À, nous aussi, ça nous fait du bien de ne
plus l'entendre parler fort, presque crier.
— Tu ne t’es pas présenté hier à l’heure prévue. Pourquoi tu as
sûrement une bonne raison ma belle ? Lui demande une des agentes.
Elle lui répond que non et ce n’est pas de ses affaires. Elle avait autre chose à faire dans la
soirée.
— Clara, tu enlèves tous tes vêtements et les dépose dans le manier no 7
pendant que je rédige une note pour une punition supplémentaire.
C’est moi qui décide de la punition supplémentaire et tu l'aimeras. Moi j'aime ça ce genre de punition-là, et tu vas aimer ça toi aussi j'en suis sûre de ce que je te réserve pour ne pas t'être présentée hier à l’heure prévue. Et accélère pour te mettre à poil, il faut
que tu passes à la douche avant d’aller sur la scène.
Clara a la joue rouge et fine d’enlever ses bas en essuyant une larme. Aussitôt à poil, une agente la conduit à la douche et l’aide même à se laver pour aller plus vite. Ça ne fait pas l’affaire de Clara de se faire laver, mais avec quelques bonnes claques sur les fesses, elle comprend vite qu’elle n’a pas d’autre option que de se laisser faire. La femme qui la lave insiste beaucoup sur sa fente. Nous six qui sonnent assissent directement en face des douches, on regarde Clara se faire laver comme une petite gamine.
La femme finie de laver l’entre jambe et la fente de Clara. Elle la retourne et entre le savon dans sa craque de fesses et a l’air de s’amuser à lui entrer très profond. Clara lui dit de cessé ses attouchements stupides, mais ce n’est pas trop long qu’elle reçoit une autre série de claques sur son cul. La douche fine et essuyer, Clara se voit refusé de porter une jaquette. Tu restes à poil, lui dit la femme qui l’a aidée à se laver, ça fait partie de ta punition. Elle vient donc nous rejoindre à poil en attendant que l’on soit obliger de sortir dans la salle.
L'une des agents nous fait signe de sortir, nous nous levons. Clara est désignée pour sortir la première, l'agente de sécurité veut la présenter la première, et ainsi l'humilier davantage. Mais Clara reste assise sans bouger, les bras croisés sur sa poitrine et les jambes croisées gênée d'être nue.
Allez, Clara, sois courageuse, tu n'es pas la première fille à te montrer nue sur cette scène, on en voit défiler toutes les semaines des belles fesses comme les tiennes. La femme l’agrippe par un bras et la traîne de force avec elle en nous demandant de suivre. J’ai les jambes qui tremblent. J'ai à peine la force de mettre un pied devant l'autre tellement le stress me paralyse.
On monte sur la scène par l’arrière et apparaissons tous le long des grands rideaux. C’est gênant et impressionnant d’être devant une salle d’une capacité de presque 700 personnes comme un artiste le fait quand il donne ses spectacles. Mais la grosse différence entre un artiste et nous, c’est que c'est nous qui sommes exposés en spectacle, nous sommes là pour autre chose de beaucoup plus humiliante. Je n’ose pas trop regarder dans la salle, gêner d’être traîné de force à moitié nue devant tout le monde qui s’y trouve, mais elle me paraît quasiment vide. Mais c’est du public pareil ou plutôt des voyeurs et c’est gênant. Mais je dois être comme eux moi aussi, j'aime venir assister à, c'est séances à l’occasion.
Ils amènent Clara au centre où est installée une chaise, pendant qu'une fille qui doit être considérée comme juge, appelle l’une d’entre nous à s'installer à la place des accusés.
Clara
qui est nue en avant-scène est contrainte de rester debout devant la salle, les mains sur sa tête. Il y a une caméra installée
en avant-scène qui
la filme. Limage capté par cette caméra est projetée sur l’un des trois écrans installés dans l’auditorium. Celle
au fond sur le mur en arrière-scène. On peut apercevoir sur l’écran géant du fond Clara nue, de
face et en gros plan et c’est bien détaillé. On ne peut rien manquer, la caméra nous la montre de la tête au pied en HD et je
m’imagine être à sa place exposée ce ne doit pas être agréable.
L’autre caméra est au fond de la scène et nous montre Clara de
dos et c’est aussi bien détaillé, et est surtout braquée sur ses fesses. L'une des agents s’assoit sur
la chaise et fait étendre Clara sur ses genoux. C’est humiliant
pour une fille de cet âge de se faire punir comme un enfant devant plein de
monde. Une autre explique au spectateur ce qui arrive à Clara, le
pourquoi de la
fessée qu’elle recevra. Et la fessée commence, on entend les claques résonné dans tout l’auditorium,
c’est vraiment écho ici et le son se propage facilement.
La
juge, elle, s’adresse à l’accusée pendant que la punition continue. Mlle, votre délit est mineur, j’ai étudié votre dossier et je vous
condamne à 15 coups de linière, sans être dénudé. La chanceuse, elle s’en tire pas si pire. Même si c’est 15 coups qui font mal
pareille ou moins, elle ne sera pas nue.
Les
trois autres avant moi aussi, c'est 15 coups de brosses comme je
l’appelle. Eux
appelle cela la petite palette de bois. C’est
la même apparence qu’une
brosse à manche long,
sauf qu’il n’y a pas de poil pour brosser juste le bois des deux côtés. Mais
c’est très douloureux quand ça te claque les fesses. Les
comparutions ne sont pas longues, les accusées ne sont même pas capables d’essayer d’argumenter, la seule chose est de réduire un
peu la sentence, c'est tout. C’est déjà à mon tour de me
présenter sur la chaise des accusés.
L'une
de mes amies qui commence sa première année de droit vient me
seconder pour essayer de plaider ma cause. Après quelque argument et
essai de
la part de mon amie, les
juges ont décidé de réduire quelque peu ma punition. J’étais supposée, recevoir le maximum qui
est
30 coups par jour de fouet selon eux. Ils
en sont venus à une entente avec la poursuite qui plaidait pour cela le
maximum.
L’un des juges, avec
l’accord du supposer jury, a
réduit à 20 le nombre de coups et
toujours avec le petit fouet à langue de serpent qu’ils appellent.
Le
bout de
ce fouet se
sépare en deux imitant
une langue de serpent, c’est pour cela qu’il le
surnomme langue de serpent, et
paraît-il, il laisse des traces sur la peau et
fait très mal.
Mais
pour moi cela reste un fouet qui fait mal quand il te claque la peau.
Mais ils n’ont pas voulu
plier
pour la demande de ma représentante qui demandait à ce que je reste
couverte de ma jaquette au lieu d’être nue. Il m’oblige à être
nue pour recevoir ma punition, pas
question que je garde la jaquette, ma
faute selon eux est trop grave. Pour eux, manquer de respect à un profe est considéré comme dans les pires faute
ici.
Mais
je
serais punie debout
attacher
par les poignets et mes bras étirés vers le haut. Il m'exempte l'humiliation d'être attacher au chevalet les jambes écartées et chevilles attachées.
Les
juges ont décidé de m’éviter l’une de pire humiliation. Ils
ont rejeté la suggestion de la poursuite et que mon frofe avait fait,
d’être attachée au chevalet toute écartée et mon intimité exposés en
public pour
recevoir ma punition.
C’est
ma première offense et il me laisse une petite chance, m'ont-ils,
dit, si
l’ont peu appelée cela une chance. Je vais quand même
être attachée
au centre de la scène et fouetter
nue devant plusieurs dizaines de personnes
malgré tout. Ce n’est pas si drôle que ça se faire humilier comme
ça et
la caméra braquer sur moi en gros plan. Eux, il pense que c’est une grosse chance qu’il me donne.
Les
comparutions de
Clara et
les autres sont fines, c'était la dernière à passer. Pour
elle ça sera la canne 25 coups et attacher au chevalet. Pas aussi
chanceuse que moi, elle aura le cul tout grand ouvert à la caméra et
sur écran géant en plus.
Enfin, nous pouvons entrer dans le local. J’avais hâte debout sur la scène, les mains croisées dans le dos, cela me gênait. Dans la salle ce matin, il n'y
avait qu'entre 30 et 40 personnes qui assistaient à nos comparutions et
cela me fatiguait de me sentir regarder. J’imagine que pour Clara
cela devait être encore plus humiliant. Recevoir une fessée sur les
genoux d’une femme et nue tout ce temps sur scène, elle aussi, doit avoir hâte
d’entrée.
Il
n’est que 10 h 15, le personnel nous fait tous signer une
comparution pour cet après-midi avec les condamnations bien détaillées et nous libère.
—
Allez retourner à vos classe respective pour finir votre matinée, on vous donne à chacune un papier justifiant
votre retard a votre profe, bonne chance. Et ne soyez pas
en retard à 1 h 00 vous devez toutes être présente ici.
La
femme nous ouvrent la porte pour que l’on sorte rejoindre nos
classes. Clara qui a pu remettre une jaquette et deux autres demandes
de rester ici pour le reste de la matinée.
— Non,
personne ne reste, vos profs vous attendent tous, et présentez-vous à vos profs, c'est un ordre. Celle qui ne se présentera pas a
son cours passera
le reste de la semaine en punition jusqu’à jeudi prochain. Cela inclut le port de la jaquette toute la semaine. Si
vous aimez cela, vous promenez presque à poil devant tout le monde
alors faite en a votre tête et absentez-vous.
Ce midi, allez à la cantine pour manger, les gens aiment ça, regarder
les condamner.
Oui, je le sais très bien depuis une dizaine d’heures que je circule
vêtu ridiculement et j’ai honte. J’ai toujours l’impression
que j’ai les fesses a l’air, je n’arrête pas de tenir le bas
de ma jaquette pour être sûr qu’elle me cache les fesses. Moi
aussi quand il y avait des filles vêtues de cette jaquette qui
circulaient autour de moi, j'aimais leur mater le cul espérant que
la jaquette était remonté.
En
cognant à la porte de ma classe, je ressens des palpitations dans ma
poitrine, mon cœur bat très fort. J’entre et referme doucement la
porte espérant que personne remarque mon entrée. J’avais
pris soin de ramasser mes livres de math dans mon casier avant de me
rendre ici. Je les tiens bien collés contre ma poitrine pour en
cacher le plus possible. Ces jaquettes-là sont pas mal ouvertes du
devant presque jusqu’au nombril et en laissent voir pas mal. Je me
sens les seins a l’air et à la vue de tous quand je n’ai rien à me mettre, comme mes livres présentement pour cacher ma poitrine.
Bonjour ! me dit ma prof.
— Quand
on entre, c'est la politesse de saluer son monde, Amanda. Tes
parents ne te l’ont jamais enseignée qu’il fallait saluer le monde
en entrant. Va poser
tes bouquins sur ton bureau et vient me rejoindre ici. Tu vas nous
expliquer ta comparution de ce matin. Tes camarades ont toutes hâte
de savoir la
sentence qui t’a été donner.
Dans
ta jaquette, tu
es superbe.
Elle
est parfaitement ajustée à ta taille, tu es mignonne dans cette
jaquette et
pieds nus en plus. Cela nous donne l’impression que tu t’es levée
en retard ce matin et tu n’as pas eu le temps de t’habiller.
Quand penser vous les filles. Elle lui va à ravir n’est-ce pas.
Toute
la classe rire
et commente sur ma nouvelle tenue et
les commentaires de ma salope de profe.
Elle
le fait exprès cette salope. Elle sait très bien que si je
répliques cela
lui donnera une raison pour me punir ici même dans la classe. Elle
pourra aussi faire une plainte à la discipline. J’écoperai
d’une autre punition qui durera toute la semaine prochaine. Ça
ne m’intéresse pas de rester vêtue de cette jaquette-là encore
plusieurs jours.
Je dois me retenir et écouter ses idioties sans répliquer. Je pose
mes bouquins et reviens vers elle avec mon billet d’absence. En
circulant dans la rangée entre les autres bureaux, les filles qui sont assises à leur place ont tous les
yeux à la hauteur de mes fesses. C'est extrêmement gênant de se sentir le cul regarder de cette façon-là et elles sont très désagréable avec leurs commentaires. Je
ne prends pas de chance, je tiens
le bas de ma jaquette de
chaque côté de mes hanches
pour garder mes fesses et
le reste aussi caché.
J’entends
Bélinda dire. Regarder les filles Amanda a peur de nous montrer son
petit cul, elle tire sur sa jaquette, laisse-moi regarder tes jolies fesses, lève
ta jaquette.
Amanda cet après midi, tu ne pourras plus les cacher alors arrête
d’être ridicule et laisse ta jaquette remonter. Je reçois même
des claques sur les fesses durant mon court parcourt et
je sens même une main me pognée une fesse durant mon court trajet
jusqu’en avant
de la classe. Je
me revire vers la fille qui a osé. Tasse
tes sales pattes cochonnes, lui dis-je. C’était plus fort que moi, j'ai perdus patience et je me suis échappée sans réfléchir aux conséquences de mes paroles. Mme Barber m’arrête juste avant que
je me place à côté de son bureau devant elle.
J’entends
petite effrontée, tu retournes t’excusées
pour tes paroles inappropriées envers Nathalie et remonte ta jaquette
jusqu’à tes épaules. Montre à Nathalie et aux autres tout ce
qu’elles veulent voir.
Je
le regrette infiniment Mme, je ne le redirais plus, ça a été plus fort
qui moi, en me fessant toucher les fesses de cette manière-la. Cela
ne lui donne pas le droit de me taponner le derrière. Qu’elle me
regarde passer, je n’y peux rien, mais de me pognée les fesses, elle
n’a pas le droit Mme. Je reçois une gifle en plein visage et ça
fait mal. Je
pense que c’est pire que de recevoir une claque sur les fesses.
— Amanda,
je te rappelle que tu es en punition jusqu’à la fin de la
journée. Quand tu a signé ce matin ta sentence. As-tu lu tous les
paragraphes qui concernent les obligations des punis ?.
Eeeeuh oui ! Je lui réponds en hésitant. Mais en vitesse Mme. Trois fortes claques s’abattent sur mes fesses. Ne me mens pas Amanda, me répond-elle.
— Amanda, montre-moi ta sentence. Ils t'ont fait signer un formulaire qui
décrivait la décision et la punition que tu recevras, mais
il y a des règlements à suivre aussi.
Je
ne l’ai pas Mme, le jugement est resté dans l’un de mes livres
sur mon bureau. Je suis désolée, mais j’ai mon billet d’absence
ici.
— Bon
bien, il aurait été mieux pour toi que tu le lises en détaille ce document avant
de le signé ma belle. Dans
l’un de ses règlements, c'est écrit que si la punie fait un
délit pendant qu’elle est déjà en punition, toute personne
responsable ou en autorité comme moi ici
a
le droit d’infliger une punition supplémentaire et
a l’endroit de son choix. De la manière que tu viens de traiter
Nathalie de salope peut te valoir une bonne fessée devant tes
camarades si je le décide. Mais je te prends en pitié et te donne une chance Amanda, ce
qui est très rare de ma part. Car
cet après-midi, tu vas te faire rougir les
fesses, et je crois bien que c'est assez.
Va
immédiatement faire tes excuses à Nathalie en relevant ta jaquette
aux épaules et j’oublie
la fessée que tu mérites.
Et
en revenant, tu racontes à tes camarades ta punition qui te sera donner plus tard après le
déjeuner.
J’essaie
de retenir mes larmes, si je ne me retenais pas, je pleurerais comme
une gamine. J’avance jusqu’à Nathalie qui est à quelques pas
devant moi. Pardonne-moi Nathalie, je regrette de maître emporté
ainsi.
— Mais
Mme, Amanda n’a pas remonté sa jaquette comme vous l’avez demandée. C’est excuse ne conte pas.
Nathalie
prend ma jaquette par le bas et me la remonte. Elle
essaie de me la passer par-dessus la tête en
se levant devant moi.
Arrête Nathalie, demande Mme Barber. Laisse sa jaquette accrocher dans son
cou, fais-lui un nœud pour qu’elle reste en place. Je
défends à quiconque de sortir son mobile et de prendre des photos d’Amanda. Si l’une d’entre vous décide de le faire pareille, je
l’envoie à la discipline, elle aussi va se balader fesses à l’air.
C’est pour ça que les punis se promène vêtu d'une jaquette dans ce campus et non nu
en public dans les corridors, c'est pour la prise de photo. J’espère bien m'être
faite comprise par tous ici.
Et
toi Amanda, il t’est défendu de rabaisser ta jaquette tant et aussi
longtemps que je ne l’autorise. Tu
mets tes Mains sur ta tête pour que toutes tes camarades puissent
t’admirer
de
plus près. Circule,
promène toit d’une rangée à l’autre, et n’oublie surtout pas
que tu es en punition. Nathalie va te suivre et si tu ne coopères
pas, je lui donne la permission de te claquer les fesses pour que tu avances.
C’est
dégueulasse ce qu’elle me demande de faire, mais je n’ai pas
d’autre choix. Je ne veux surtout pas que cette idiote de Nathalie
aie le plaisir de me donner une fessée.
— Très
bien Amanda pendant
ta tournée exhibitionniste dans la classe. Pour
accélérer les chose, on
va demander à Bélinda de prendre dans ton livre ta
condamnation que tu as signée ce matin
et nous le lire. Toi, durant ce temps, continue sous la surveillance de Nathalie. Ça
va être moins compliqué parce
que le temps va nous manquer bientôt.
Je
vois Bélinda qui fouille dans mes affaires et déplie le document.
C’est choquant et ça me met mal à l’aise.
— Je
l’ai Mme. C’est avec un entête du bureau de la discipline de l’université.
Il
est écrit Mlle Amanda J. née à … en 2002
et étudiante à plein-temps ici
au campus de St-David en
restauration et sommellerie est condamnée
par
le tribunal administratif
de l’université à 20 coups de fouet ce jeudi a 2 h 00 heure et
(c’est marqué approximativement
). Ladite condamnation est suite à un
manque de respect et une attaque personnel
pour
salir la réputation d’un professeur.
La
condamner recevra sa punition sur la scène de l’auditorium nue et
attacher au centre de la scène devant tous ceux qui désire y
assister.
Dois-je
continuer Mme ? il y a plusieurs lignes encore.
— Non Bélinda, cela suffit, on a les détaille qui nous intéressait, merci et remet le document à sa place.
Donc
les filles, à la demande générale, je vous accorde une permission
pour vous rendre à l’auditorium en début d’après-midi, mais juste-là, pas ailleurs.
Quand
Amanda aura reçu sa punition, on revient tous ici au cours.
Toutes
les filles applaudissent et félicitent Mme Barber. Je suis hors de moi,
elle permet à ses chipies de venir me regarder me faire fouetter. Il
me reste que quelques mètres pour finir ma promenade entre les bureaux. Je suis ensuite obligée d'aller rejoindre la prof en avant de la classe, et j’ai hâte que la
cloche sonne. Mme barber s’approche de moi et Nathalie qui est très
déçue de ne pas avoir été capable de me claquer les fesses.
— Nathalie, c'est décevant pour toi, toi qui aurais tant aimer chauffer le derrière
de ta camarade Amanda. Mais ne te gêne pas, je te permets de lui
flatter ses jolies fesses. Je sais que tu en as envie. Je te
t’autorise à la faire et replace ensuite sa jaquette pour qu'elle ait les fesses cachées. Elle
ne peut pas sortir du local, fesses à l’air. Mais
Nathalie attend qu’Amanda
te
le
demande gentiment de
lui
donner une petite caresse d’encouragement sur ses
fesses, elle
en aura grandement besoin.
La
salope, je suis obligée de demander à la stupide de me caresser le
derrière.
Je
ravale et prends le temps de penser à mes gestes et leur conséquence.
C’est mieux pour moi et pour mes fesses aussi d’obéir à Mme
barber. La voie tremblante, je m’exécute.
Nathalie, j'aimerais ça un geste d’encouragement
de ta part. Je
n’ai pas osé lui demander directement de me taponner les fesses,
espérant qu’elle se retiendra. Nathalie
qui est face à moi me regarde toute souriante en me retournant dos à
la classe. Je sens sa main qui touche mes fesses et ses doigts qui
entre assez profond dans ma raie.
Nathalie
— Je
compatisse avec toi Amanda
et
c’est pour ça que je t’ai retournée dos à la classe. Ainsi tout
le monde peut regarder ses jolies fesses se faire caresser.
Tu as des
fesses bien fermes et
c’est plaisant à toucher Amanda.
«
Je
m’amuse a lui serré les fesses avec ma main et entrer mes doigts
dans son entre fesses et j’adore ça la ridiculisée, c'est
ma vengeance, elle aussi, aime me rendre ridicule devant les autres, c'est à mon tour maintenant
».
Mais
Amanda
d’après moi recevoir
le fouet ne doit sûrement
pas
être agréable. Moi,
je n’ai jamais reçu de fessée dans ma vie et cela doit être très
douloureux et surtout humiliant en public à
notre âge, on n'est pas supposé se montrer nue tout partout comme toi tu t'amuse à le faire.
Mais
j’ai hâte d’être devant toi à te regarder souffrir Amanda. En
remontant pour détacher sa jaquette, j'en profite pour lui toucher
ses petits seins. Même
si Ma prof ne me l’avait pas dit, je ne pouvais pas me retenir de
lui pincer ses tétons. Tu as de jolis petits seins très fermes Amanda. J'aime les toucher. Les autres filles dans la salle me regardent taponner Amanda et sa réagi
par de nombreux rires. Amanda, tu es sauvé par la cloche. Tes petites fesses sont maintenant cachées à l'abri de tous les regards, tu peux nous accompagner à la catine, suis-nous, on t’accompagne
pour le déjeuner. Je la fais avancer en lui tapant tendrement les fesses en souriant.
Je
ne m’occupe pas d’elle et ses complices et ramasse mes bouquins.
Le trajet me semble très long pour me rendre à mon casier, et
j’ai toujours de la misère à m'habituer au plancher froid, pieds
nus, c'est très désagréable de marcher sur des carreaux de
céramique froids.
La fatigante de Nathalie essaie de me suivre, et lâche enfin prise.
Enfin, elle
décide de se rendre directement à la cantine et
m’attendre avec sa petite gagne.
Je
n’ai pas d’appétit ce midi et
sachant que Nathalie m’attend là-bas pour me ridiculiser devant la
salle, j'envoie un message à mes amies et m’assois sur un banc dans un coin tranquille et pas trop passant, à l’abri des regards.
Quelques instants plus tard, Vicky, Barbara et deux autres me rejoignent.
Je
me mets à pleurer. Elles essaient de m’encourager, mais elles aussi
le savent très bien que ce qui va m’arriver n’est pas plaisant et
très humiliant.
Le temps file vite et je suis obligée de laisser mes amies pour me
rendre au local de discipline. Je ne veux surtout pas être en retard et
agarver mon cas.
Mes amies ne tiennent pas à venir me regarder, c'est un gros soulagement pour moi. Mon après-midi va être très longue et humiliante.