dimanche 14 juin 2020

1- comment se mettre dans le trouble en adoptent des ados



                                         Moi et ma cousine ce lançon dans l’adoption
                                                          Pour aider trois ados

Je m’appelle Pierre, j’ai 32 ans et dirige une importante entreprise familiale d’importation d’antiquités, et de très importants ateliers de couture, à plusieurs places dans le monde avec ma sœur Claude. Nos entreprises se situent dans une petite ville du sud de l'Europe, en Italie et en Asie. Nous deux, on vient d’hériter de celles-ci qui ont une valeur de plusieurs millions d'euros. Et tout le reste des propriétés que nos parents possédaient un très grand terrain avec trois immenses maisons, une piscine et un court de tennis. Cela comprend aussi un très grand vignoble situé à l'arrière du domaine. Le domaine et le vignoble sont évalués, eux aussi, a plusieurs millions d'euros. Il y a deux ans, mes parents sont décédés dans un accident d’avion au Japon. Ma sœur Claude qui en réalité est ma cousine étant donné que mes parents ont légalement adopter leur nièce il y a plus de 27 ans après la mort tragique de ses parents, le frère ainé de mon père. 
 
Claude, ma sœur est âgée aussi de 31 ans. On a le même sang, on fait partie de la même famille et cela me désole. Je la trouve superbe et malheureusement, on doit se limiter à ce que l'on fait entre nous deux. C'est une belle brune qui se tient très en forme. Ella a un corps presque d'athlète, splendide et que je vois nu à tous les jours. Ici quand on utilise la piscine, on ne porte pas le maillot, que ce soit ma sœur ou moi et tous les invités aussi. Elle a une superbe poitrine et des fesses d’enfer. Mes parents nous ont sévèrement élevé tous les deux. La punition corporelle était très souvent utilisée quand ils décidaient de nous punir. Mes parents étaient extrêmement stricts. Moi et ma sœur avions des règlements à suivre dans la maison que mes parents avait déjà fixé et nous obligeait à les respecter.
 
 Si nous ne respections pas les règlements, ça finissant par une sévère punition. Très fréquemment par des fessées à la main et dans la salle de séjour et généralement nus. Ils ne se gênaient pas que c'était moi ou ma sœur, c'était nu dans la salle de séjour et devant tous ceux qui si trouvait. Et souvent, ils utilisaient la fameuse strap ou le martinet nu. Devant notre bonne ou autre invité ou la famille immédiate, oncle, tante, cousin, etc.… Pour mon père, il n'y avait pas de différence, on recevait notre punition pareille. Et souvent des mises au coin nu pendant un long moment,

Dans leur testament, mes parents nous ont fait hériter ma cousine ou plutôt sœur et moi de tous les biens, y compris les commerces et l’immense vignoble. C'est une immense fortune pour deux célibataires.

Mes parents étaient toujours en voyage partout dans le monde pour visiter les clients. Acheter, vendre de la marchandise pour les entreprises, ils brassaient de très grosses affaires. Des millions d'euros. Maintenant, c'est moi qui dois voyager si je veux que les entreprises continues. Il y a un mois, pour m'aider à être capable de fournir à toutes mes occupations que je n'arrivais plus à suffire, trop d'ouvrage. J’ai engagé une jeune fille pour m’aider dans la boutique d'antiquités Nadine 18 ans, très belle que je rêve comme bien des hommes de la voire nue avec ce corps à couper le souffre. Elle étudie au lycée privé, St-Thomas que je connais très bien. Elle est en plus très débrouillarde. mais elle va probablement être obligée d'abandonner ces études. Elle m'a dit qu'elle manquait d’argent, elle vivait pauvrement, étant orpheline depuis un très long elle aussi. C'était l'une de ses tantes qui lui payait son appartement et ses études. Sa tante à décider la semaine passée de ne plus y donner d'argent. Donc, je l'ai engagée, je me sentais mal à l'aise de la laisser dans la pauvreté quand moi, je peux réellement bien l'aidé sans me privé. Je lui donne un salaire un peu plus élevé aussi que le minimum dans ce genre d’emploi pour l’aider. Ma sœur doit s'absenter souvent, elle aussi, pour aller voir les fournisseurs à l’extérieur du pays. Je n’avais pas le choix de me trouver une aide pour la boutique surtout et pour elle Nadine ça lui procure un salaire pas si pire pour qu'elle soit capable de vivre un peu mieux.


Cette semaine, j'agrandis l’entreprise en achetant tout le bâtiment arrière de mon voisin qui est immense. En triplant les dimensions de l’entrepôt et de la boutique, je dois engager encore deux nouvelles employées. Deux autres jeunes filles qui se sont présentées ici et recommander par une bonne connaissance et surtout, elles ont toutes deux l'air très sérieuses. Les deux sont des imigrantes tout comme Nadine de l’extérieur du pays. Deux jeunes filles de 17 ans Marie et Maude qui sont de très bonnes amies de Nadine en plus et elles sont à la fin de leur visa de séjours ici dans notre pays. Elles devront retourner dans leur pays dans quelques semaines si elles ne réussissent pas à le renouveler ce fameux visa d'étude. Je leur demande pourquoi à l’âge qu’elles ont elles ne fréquentent plus l’école et pourquoi elles ont quitté leur pays. Elles me répondent très vaguement sur leur condition chez elles, dans leur pays. Ce que j’ai pu en déduire, c’est que leurs familles les ont rejetées toutes les deux, faute d’argent pour les nourris. Il y a des coutumes dans des familles que je trouve un peu bizarre abandonner ses enfants. Moi, avec mes très bonnes relations que j’ai avec des enquêteurs des services douaniers, et de très bons avocats en immigration et exportation, j’ai su pourquoi elles sont ici. Le lendemain, elles se présentent et commencent leur travail et tout se déroule bien. Au diner, l’une d’entre elles, Marie, demande à Nadine et moi si on connaît dans la ville un logement à louer pas trop chère parce qu’elles ont des problèmes dans leur chambre où elles habitent toutes les deux.

         

Moi, je réponds que non. Mais, si elles sont dans le besoin. Je leur offre de venir rester chez moi gratis toutes les trois. Je les prends en pitiés, ça me brise le cœur de voir de si jeunes filles dans le besoin. Je et désire leur donner une chance de se ramasser des économies. Moi et ma sœur, on possède chacune une très grande maison avec dix chambres libres dans chacune de nos maisons. Ce n'est pas l'espace qui nous manque. On est deux célibataires et un peu de présence nous ferait beaucoup de bien. Je sais très bien que Nadine aussi à un petit logement à peine vivable et très cher pour la grandeur. C'est pour cela que je veux l'offrir aux trois filles. Je leur donne des détails sur notre domaine qui possède un immense terrain autour de ces maisons-là. En leur offrant de venir visiter le domaine , je leur offre aussi de venir manger ce soir à mes frais bien sûr. On va se commander du resto, tout ce que vous aimez, je leur suggère, et c'est moi qui paye. Au lieu de louer un appartement et tirer leur argent dans le vide. je leur propose d'habiter avec nous deux Claude et moi. Vous seriez beaucoup plus confortable avec moi et ma sœur que dans vos petits appartements délabrés et presque insalubre, et en plus gratis.

Les trois se sont mises d'accord et me disent que si ça ne me dérange pas, elles vont venir voire ma maison. La fin de journée arrivée, je ferme la boutique à la même que d'habitude. Je demande aux filles si elles viennent toujours avec moi. Oui, me répond Marie et ouvre la portière de ma voiture, Maude aussi embarque à l'arrière. Je vois que Nadine, elle, veut partir de son côté. Que se passe-t-il lui demandais-je ? Nadine pourquoi elle ne vient pas avec nous. Nadine nous dit alors qu’elle doit aller voire deux amies qui doivent venir chez elle pour la nuit. Ce sont des filles mineures qui n'ont aucun endroit pour aller dormir ce soir. Nadine les héberge 2 à 3 soirs semaine pour qu’elles puisent se laver et dormir, comme un bon samaritain. Maude et Marie les connaissent aussi. Je la questionne sur ces filles-là qui elles sont et d'où viennent-elles pour trainer dans la rue. Nadine commence à m'expliquer que c’est deux musulmanes enfuit de leur pays et elles vivent ici illégalement sans visa depuis un an et demi environs. Si elles étaient restées dans leur pays, elles auraient été obligées de se marier à des hommes 20 ans plus vieux qu’elles. C'est une coutume dans leur pays. Quand une fille à ses règles, sa famille souvent la promet à un homme riche pour la vendre bien souvent. Leurs familles les avaient promises ou vendus à leurs pubertés. Mes deux amies ce sont sauver enfuit de leur pays. Même à cet âge, 14 ans, c'est très jeune pour se ramasser seul et essayer de survivre dans ce monde de fou. Elles sont ici depuis presque un an incognito.

Je n’en reviens pas d’entendre des histoires pareilles. Je lui demande quels âges elles ont et où elles vivent sans emploie, et elles ne doivent pas aller à l'école. Nadine me fait paniquer sur ce que j'entends à propos de ses jeunes filles. Je lui propose de mettre mes avocats sur leurs dossiers demain matin pour les sortir de cette mauvaise position.

Nadine –

Mes amies Sacha et Patricia, qu’elles se nomment, vont environs trois ou quatre jours à l’auberge de jeunesse qui est située trois rues plus hautes. La femme qui opère l’auberge est très gentille avec elles. Mme Girard lave même leurs vêtements pour les aider du mieux qu'elle le peut. Elle les prend en pitié et essaie de les aider du mieux qu’elle peut sans les faire repérer par la police. Mais sans visa et mineur en plus, elles ne peuvent pas travailler. Sans un sou, c'est impossible de se nourrir et de se loger. Donc moi aussi, je les héberge quelques jours par semaine pour faire ma part moi aussi, le peu d'argent que j'ai je le partage avec elles. Elles se sauvent des autorités. Si elles se font découvrir ici, elles seront retournées dans leur pays. Elles seront très mal accueillies dans leurs familles. C'est un déshonneur pour une famille qu'une fille s'enfuit au lieu de se plier au ordre de son père. Ça arrive souvent selon elles. C'est pour cela que j'aimerais mieux aller les voir ce soir. Pierre, je ne peux pas les abandonner à leur sort, c'est beaucoup trop cruel.

Pierre –

Après cette incroyable histoire que je viens d'entendre, je passe un appel à Claude, ma sœur qui est en route pour son bureau. Je prends le temps de tout lui expliquer, et ce que j’avais l’intention de faire avec les filles. Et toute l'histoire que Nadine vient de me conter. Elle change ses plans et vient ici. Je l’attends avec les autres, quelques minutes plus tard, Claude arriver à la boutique. Claude repart avec Nadine de son côté pour aider Nadine à régler cette affaire avec ses deux amies. Marie, Maude et moi nous partons pour la maison.

 

Rendus à la maison et resto ramassé, ont s’installent les trois sur une table dehors autour de la piscine pour manger. Je présente ma femme d'entretien à mes invitées Mme Faucher et lui donne congé pour le repas ce soir du repas et du reste, elle le mérite bien. Pendant que l’on mange, les filles regardent la cour arrière qu'elles trouvent superbe. Elles commentent, sûr, tout ce qu'elles voient. C'’est vrai qu’il y a beaucoup d’espace ici, c'est immense pour seulement deux seules personnes, me dit Marie. Maude me questionne sur l’autre maison au côté à quelque 150 mètres de la mienne. À qui sont-ce ces maisons-là, celle à côté et l'autre maison plus bas quand on franchit le portail, elle est aussi grande. Je leur réponds que la maison à côté, c'est ma sœur Claude qui est en fait ma cousine. C'est sa maison, c'est là qu'elle l'habite et en est la propriétaire avec moi et de tout le reste aussi. L'autre aussi plus bas en fait partie du domaine. C'était mon grand-père qui l'avait fait construire pour ses frères l'époque. Maintenant plus personne ne l'habite celle près de l'entrée et cela fait plusieurs années. Le repas terminé, je leur fais faire la visite de ma maison. En partant du premier étage, salon, cuisine, salle à manger et le reste du premier. Je les fais monter au deuxième, elles sont impressionnées par la grandeur des chambres. Autour de l’extérieur, terrain piscine et le reste les impressionne aussi. Je leur demande si ça leur plaît et si elles veulent venir s'installer ici. Elles me répondent que oui ça serait fantastique de rester dans une maison comme ça. Mais Pierre on pas les moyen de rester ici me disent-elles. Poi moi Pierre ici, le loyer que tu vas nous charger c,est en dehors de mes moyens. Et pour voyager en ville pour travailler sans véhicule, c'est impossible me dit Marie. Je vais te déranger en plus dans ta tranquillité. Je ne veuxsurtout pas t'incommoder par ma présence. Des célibataires comme vous deux avec des jeunes comme nous, ça va déranger votre tranquillité, c'est sûr.

 

Pour moi les filles, il n’y a pas de problème. je vous l'offre, c'est parce que j'y tient a votre bien-être. Je vous l'ai dit cette après midi, je ne vous chargerai rien en loyer. S'il vous manque quelque choses ou que la chambre que vous choisirait n'est pas à votre gout. Je vais acheter ce que vous voudriez pour que ce soi bien décorer pour des jeunes de votre âge. Ne vous cassez pas la tête pour notre tranquillité, ça va mettre de la vie ici, c'est rendu quasiment plate tellement c’est tranquille. Ça va juste mettre un peu de vie ici dans le domaine. C'est votre maison, vos affaires comme si vous seriez mes enfants, la même chose.

Mais par compte, en vivant ici avec nous deux, il y a des règlements à respecter et si vous vivez ici on y tien a que ce soit respecter. Nous sommes très sévères ici ma sœur et moi comme l'ont été mes parents envers nous. Elles prennent quelques minutes de réflexion en regardant les lieux. Marie a l'intention d'accepter, mais Marie et Maude veulent savoir les fameuses règles si sévères. Je leur explique pas mal en détail. Marie me dit si ce n'est que cela, moi, j'accepte. J'ai l'habitude de me tiens très tranquille, ne jamais déranger personne, je ne crains pas d'être punie. Claude et Nadine arrivent et vient nous voir, et elles nous expliquent que pour ce soir les amies de Nadine sont chez Maryse et Judith, deux autres de leurs amies. Claude est toute contente de savoir qu’elles acceptent de s’installer ici et propose de visiter sa maison. S'ils y en a parmi elles qui veulent choisir de vivre d’un côté au l’autre, il n'y a pas de problème. Il y a autant de chambre dans l’autre maison que celle-ci, mais pour les repas, on est toujours ici. Mme faucher fait seulement la cuisine ici dans la maison à Pierre pour nous deux. Ma maison me sert à être plus intime, mais pour les repas ça se passe ici.

Claude -

En étant dehors et près de la piscine. Les filles décident d'aller toucher l’eau de la piscine. Maude me dit que si j'aurais su, j'aurais amené mon maillot pour en profiter. Embarque Maude, ne te gêne surtout pas et vous deux aussi ne vous privez surtout pas de la piscine, moi et Pierre on va embarquer derrière vous. La piscine est pour vous aussi, embarquez en sous-vêtements, les voisins sont très loin d’ici, personne ne va voir avec la longueur de terrain qu’il y a ici, il n’y a pas de voyeur. Pierre, rajoute-moi et Claude jamais, on ne porte de maillot, c'est nu qu’on se baigne, il va falloir vous y habituer à nous voir nu autour de la piscine et sur la terrasse. Maude nous dit vous deux nus frère et sœur et a l’âge que vous avez, c'est un peu bizarre, frère et sœur nu un devant l’autre. On est habitué de se voir dans cette tenue-là. Depuis qu’on est tout petit, qu’on se voit nu, même pour les punitions corporelles qu’on a reçu, c'était nu devant l’autre que nos parents nous les donnait.
Pierre –
Nadine, elle, porte une robe. Je vois qu’elle l’enlève très doucement, elle s’essaie pour voir la réaction de ces deux amies. Elle se retrouve en sous-vêtements. Un string bleu qui laisse ressortir ses belles fesses et un soutien-gorge blanc qui met ses jolis petits seins en valeur que je souhaitais voir à l’air. Je dois dire qu’elle est encore plus jolie que je me l’imaginai presque nue.

Marie, elle n’ose pas trop, elle hésite et finit par retirer sa jupe qui me laisse voire sa culotte blanche qui cache juste la moitié de ses fesses qui a une allure de vêtement très usée. Je m’aperçois que c'était vrai quand elle disait qu’elle est pauvre. Il y a des trous dans le tissu de sa culotte. Elle garde son t-shirt, ne veut pas trop en montrer, et rentre dans l’eau. Quand son t-shirt devient mouillé, le tissu se colle à sa peau et ses tétons se dressent instantanément et paraissent au travers du tissu réaction chaud froid. On aperçoit ses beaux seins fermes sans soutien-gorge. Elle devient toute rouge de honte quand elle se rend compte de ce qu’elle me laisse voire et se croise les bras sur sa poitrine. Maude à son tour, elle aussi, enlève sa robe et elle aussi porte une culotte noire. Presque aussi usée que celle de Marie qui lui couvre entièrement les fesses et un soutien-gorge de la même couleur et aussi usé que sa culotte.

Je ne peux que contempler ses deux magnifiques corps que j’ai devant moi. Nadine et Maude qui sont sur le rebord à l'extérieur de la piscine. Les deux sont à un mètre à peine de moi et marchent côte à côte en regardant Claude enlever sa robe et son string devant les filles qui la regardent faire. Elles semblent toutes gêner de retrouver Claude nue devant elles. Regardez les filles ici, c'est comme ça qu’on embarque dans la piscine nue, gars ou fille, aucune pudeur n’existe ici. Je vais chercher des serviettes de plage et reviens les retrouver. Moi aussi, je me mets nu. Cela attirent les regards des filles qui sont toutes gêner, elles n'ose pas me regarder, et sont surprises de ne voir nu. J’embarque dans l’eau avec elles et fait quelques longueurs. Ressortis de l’eau je m’assois sans me vêtir toujours nu. Une vingtaine de minutes plus tard, elles décident de sortir toutes les quatre de la piscine. Elles s’approchent de moi pour prendre chacune une serviette ce qui me donne tout un spectacle, trois superbes filles à moitié nues et Claude que je ne lasse jamais de regarder entièrement nue et qui défile devant moi.

Nadine –

Ça ne vous gêne pas d’être nu devant nous trois. C'est plus moi qui suis gênée de vous regarder. Et en plus, moi qui suis gênée d’être en sous-vêtement devant vous, ça me met mal à l’aise. Je n’ai pas l’habitude de voir du monde dans cette tenue devant moi et ça me fait tellement bizarre, surtout un gars.

Claude –

Ma belle, il va falloir que tu t’habitues si tu acceptes de venir vivre ici. Ça fait partie de nos habitudes de vivre ainsi ici, avec les autres règlements qui existent aussi. Même nos amis qui viennent à l’occasion se baigne nu comme nous. Ce n'est pas à cause de la visite que je change de manière de vive. Ça ne nous empêche pas de circuler devant eux nus, ça fait des années que c’est comme ça ici. Depuis qu’on est tout petit qu’on se promène comme ça et même nos parents se promenaient dans cette tenue et ce n’est pas à notre âge qu’on va commencer à se cacher.

 Pierre – 

 Après s’être essuyées et enrouler dans leur serviette et moi dans mon short, Claude, elle comme toujours, reste nue. Claudes les invitent chez elle pour leur offre d'enlever leurs sous-vêtements humide, ce sera plus confortable, leur dit-elle. Elles reviennent vêtues que d'un paréo que Claude leur a fourni. Moi, Je les attendais sur la terrasse et elles m'apparaissent tous vêtus très légèrement. La noirceur commence et les lumières qui éclaires le contour de la terrasse sont allumées. À chaque fois que l'une d'entre elles croise une lumière, je vois au travers de son vêtement. J'aime ce que je vois apparaître devant moi trois filles légèrement vêtues et Claude comme toujours splendide en tenue d'Ève. Je les réinvite tous pour à l'intérieur de ma maison pour faire un autre visite plus approfondie de ma maison. Cette fois-ci, je leur remontre le premier étage, la cuisine, salon, la grande salle à manger, mon bureau qu’elles avaient déjà vu sauf Nadine. Les filles regardent Claude d’une manière étrange et une d’entre elles Marie lui demande. Tu n’es pas gêné du tout de rester à poil devant nous et ton frère, on se connait à peine Claude. Se baigner à poil, ce n'est pas si pire. Mais se promener nu dans la maison, moi, je serais morte de honte.
Il va falloir vous habituer les filles, Claude leur répond. Quand Julie notre grande amie seras ici avec ses employées ou plutôt ses amies, elles aussi, elles adorent être à poil et ne vous surprenez pas du tout de les voir nues.

 

Maude ouvre un petit local qui est juste à l’entrée du bureau dans le couloir. Une porte qui l'intriguait. Pierre, est-ce la descente du sou-sol ici ? me demande-t-elle. Marie ouvre la porte, regarde à l'intérieur et reste surprise de ce qui est accroché sur un mur. Mon Dieu ! regardez les filles, il y a des cannes, des palettes et même deux lanières de cuir. Elle décroche une des lanières la moins large en me demandant à quoi servent les fouets accrochés plus loin. Toutes ces cannes et ces straps de cuir dans ce placard, c'est pourquoi. Celle que je tiens est inscrite pour les mauvais enfants. Je commence à leur expliquer que si elles acceptent de rester ici, il y a des conditions qui doivent être respectée. Regardez ici au dos de la porte. Prenez le temps de les lire. Si ces règles et les conséquences vous conviennent, vous êtes chez vous, c'est votre maison. Si ces règles ne sont pas respectées, les personnes qui ne les respectent pas doivent subir des punitions corporelles. Nadine me demande avec ces instruments-là que se donnent les punitions, c'est quoi là fessée.
Oui Nadine, lui répondais-je. Tout dépendant de la gravité, c'est fesse à l’air que ça se donne les punitions. Même à votre âge et si ça vous convient les filles, ses conditions-là, vous êtes chez vous sinon. Et là voici la liste des règlements.

Pierre-

Elles lisent vite la liste. C’est toi Pierre ou Claude qui décide ou qui les donnes les punitions et à quel jour me demande Maude. Car c’est marqué une fois semaine dans le petit livre ici. Non, ce sera celui ou celle qui sera ici et ce livre-là ne compte plus. C'est un vieux livre à l'époque où vivaient ici mes oncles et tantes dans les deux autres maisons. Mais nous c'est peu importe la journée, c'est nous qui déciderons comme quand moi et Claude étions plus jeunes et que mon père nous punissaient moi ou Claude. Marie me dit, vous étiez punis ensemble et jusqu’à quel âge. Claude lui répond oui ensemble assez souvent quand c’était nécessaire et nu un après l’autre dans le salon à l’occasion. Et les filles, la dernière fois que j'ai été punie, j’ai reçu 25 coups de cette strap là-bas au hangar que vous avez par encore vu juste plus haut dans le domaine. En plus devant mes cousins et amis entièrement nue. J'avais 25 ans il y a six ans, j'avais manqué de respect envers ma mère, ce qui ne fallait surtout pas faire. Je m’en souviens conne si c’était hier comment ç'a fait mal. J'ai eu de la misère à m’asseoir pendant deux jours. Des marques sont restées sur mes fesses tout le reste de la semaine. Ma mère frappait très fort avec cette strap et Pierre aussi la reçue pour la dernière fois à environs 19 ans, il était plus sage que moi.

  Pierre-   

      Je m’aperçois que Claude pose ses mains sur la table à manger, se penche au-dessus de la table, toujours nue. Les fesses bien à la vue des autres, Claude me demande de lui donner quelques coups, cinq pour être précis, pour donner une petite démonstration, ce que moi, j'adore faire sur ses jolies fesses.

Après cinq coups, j'arrête et passe ma main sur ses fesses. Les filles me regardent frotter le derrière de Claude ou on aperçoit les marques rouges de la strap. Marie lui demande si c’est douloureux en me regardant toutes scandaliser de me, voire que je lui frotte les fesses de cette manière-là. Je m'amuse devant elles à lui descendre mes doigts entre ses cuisses pour me satisfaire un peu, et Marie demande à Claude si ça ne la dérange pas que je lui frotte ses fesses.

Si vous le voulez, je peux vous faire essayer la strap à votre tour, ça va vous donner un avant-goût si vous n’avez jamais reçu la fessée auparavant. Marie me dit qu’elle va tenter l’expérience de recevoir des coups sur les fesses. Mais pas trop fort les coups s'il vous plaît et je garde le paréo sur mes fesses qui couvre mon derrière. Et surtout, tu ne me frottes pas les fesses OK. Je lui dis si tu le veux, on y va pour trois coups par-dessus ton paréo, ce n'est pas un tissu épais, c'est comme si tu aurais les fesses à l'air. Et promis, je ne te frotte pas ton joli derrière après. Je lui montre le bord de la table à manger où Claude avait pris place avant elle et lui demande de mettre ses mains à plat sur le rebord et de s’étendre. Écrase tes seins sur la table comme Claude l’avait fait auparavant pour mettre tes jolies fesses en position. Marie bien installer les fesses bien exposées et moi la strap a la main.

Je lui donne un premier coup au centre des fesses assez fort, mais avec une certaine retenue. Je ne veux surtout pas qu'elle panique, mais Marie ne bouge pas et absorbe très bien le coup. J'en profite au deuxième pour frapper plus fort, et elle se met les mains instantanément sur les fesses en laissant échapper un petit cri. Ça fait mal, c'est terrible. Je lui fais signe de reprendre sa position, la position , le troisième la fait se redresser. Marie se frotte encore les fesses, je lui demande, veux-tu que je continue, reprend ta position sur la table. Marie se repositionne pour une autre, un quatrième. Cela me surprend et les autres aussi et le dernier s’abat sur ses belles fesses toujours recouvertes par paréo. Elle relâche un autre cri et dit aux autres filles, c'est horrible la douleur. Je lui dis, tu t’imagines fesses nues et vingt coups, ce que tu ressentirais. Les marques, tu as vu la couleur des fesses de Claude avec seulement cinq petits coups reçu, ce n'est rien à comparer a une trentaine et donné beaucoup plus fort. Marie me répond qu’elle ne sera jamais capable de le supporter.

 Autour a Maude

Pour ce soir les filles si vous voulez Claude peu vous prêter des vêtements pour la nuit. Même si Claude, elle, n’en porte jamais pour dormir, vous n'êtes pas obligées de faire pareille. Pour demain, je suis sûr qu’elle peut aussi vous dépanner avec ses robes et jupes. Vous me paraissez être pas mal tous dans les mêmes tailles comme je peux le remarquer. C'est si bien sûr si vous voulez coucher ici. Ou Claude vous laisse chez vous et on se reverra demain à l’entreprise. Si vous choisissez de rester ici demain matin, la bonne va nous préparer le petit déjeuner ou Claude vous reconduit a vous logement ce soir. Maude et Marie disent oui, on aimerait coucher ici et demande à Nadine de rester avec elles pour la nuit. Nadine accepte aussi de rester, on traverse tous a la maison de Claude pour la visite officiel. En passant devant le garage de la maison a Claude, j'ouvre une porte et leur montre l'intérieur. Le garage qui contient des voitures. Je leur explique que celle de fond qui est à mon père et est spécial et celle de ma mère qui se trouve dans la porte prête à sortir, mais ça fait deux ans qu'elle n'est pas ressortie d'ici. Les filles, demain je vous prête la voiture de ma mère. Nadine a son permis de conduire. Vous pourrez aller à la boutique avec la voiture ensemble. Cette voiture est une Peugeot neuve que ma mère avait acheté un mois avant de mourir et qui n’a jamais roulé depuis qu'elle est morte. Ça va vous dépanner pour voyager d’ici à la ville. Les filles demandent à Claude si elles peuvent visiter sa maison.

 Claude –

Bien sûr, et moi aussi, j'ai plusieurs chambres vides au second étage. On n'est pas monté tout à l'heure quand nous sommes venues nous changer. Si vous voulez vous pouvez coucher chez moi si ça vous gêne de coucher chez Pierre. La visite de ma maison terminée, les filles ont bien aimé. Nadine me dit qu’elle aimerait rester ici avec moi et demande si elle peut prendre la chambre rose qui est la plus grande. Elle me dit qu’elle est même prête à payer au lieu de rester seule dans son logement si je veux bien d’elle. Car son logement est insalubre et elle paye le gros prix pour ce taudis. Je lui réponds que si elle veut rester ici, elle est la bienvenue et c’est comme les deux autres gratis et que les règle sont les mêmes pour tous et les punitions aussi si nécessaire. Demain, on passera prendre le reste de tes affaires pour vider ton appartement si c’est ton choix. Elle me dit oui, elle adorerait vivre ici, elle a lu les règlements avec Maude et Marie et qu’elle accepte. Je vais peut-être mi-habitué un jour à genre de vie ici. Surtout sans maillot et les règles, moi et la discipline, on ne fait pas bon manage. Les deux autre me disent qu’elles vont de l’autre côté avec Pierre, elles ont repéré chacune une chambre avec grand lit qui leur plaisait. Tu vas voir Nadine, tu adoreras ça, ce n'est qu'une coutume, vivre nu, te baigner nue, c'est juste de s’habituer à la nudité et après, on adore.

Les filles partent s’installer dans les chambres qu’elles ont choisies et reviennent tous nous voir dehors. Elles nous demandent à Pierre et moi si elles peuvent prendre une bière dans le bar qu'elles ont vu à l'intérieur avant de s’asseoir avec nous. Je leur réponds qu’elles sont chez elles. Il ne faut surtout pas se gêner, servez-vous, il n’y a aucune permission à demander ici, vous faites ce que vous voulez et sans aucune gêne.

 

à suivre

 

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...