lundi 3 août 2020

Employée de l’institut humilié et puni en public avec ses deux complices 1



 

 M Lepetit responsable de la sécurité

Installer dans mon bureau pour remplir des dossiers. J'entends frapper à ma porte, vous pouvez entrer, c’est la prof d’informatique qui rentre, belle jeune femme de vingt-huit ans qui commence ça deuxième année en enseignement ici. Elle porte toujours des chemisiers ou robes avec des décotés qui mettent sa craque de sein en valeur. Sans compter ce cul superbe dans ses robes qui sont toujours très courtes, prête à lever au moindre coup de vent pour nous laisser paraitre ses fesses. Les cuisses sont d’une beauté à couper le souffle. Avez-vous un problème Mlle Proux, lui demandais-je. À cette heure de la journée, venir dans mon bureau, il y a sûrement un problème.
Oui, me répond-elle, il y a un gros problème. Elle commence par m’explique qu’elle vient de s’apercevoir en rentrant ce matin que dans le local d’informatique et photo et en ouvrant l’armoire qui était encore sous clef qu'il manquait deux portables et deux appareils photo. Le local était très bien barré ce matin, et l’armoire qui contient ces objets, elle aussi, était bien barré. Vendredi, en finissant le dernier cours en après-midi, elle est sûre d'avoir bien fermé les portes du local et de l’armoire et les a verrouillées. Et revérifier pour être sûr comme elle fait à toutes les fois qu’elle quitte la dernière me dit-elle.

D’après vous Mlle. il y aurait eu vol dans ce local en fin de semaine et sans aucune infraction. Ce que vous me dites, c'est qu’une personne aurait pu sortir des appareils en possédant probablement une clef du local et de l’armoire. Et cette personne aurait pris le temps de bien les refermées à clef avant d’en sortir avec la marchandise.
Elle me répond que oui et elle me dit qu’elle doit remonter au deuxième, ses étudiants sont seuls. Je vous remercie Mlle remonté à vos occupations, je m’en occupe. Je vais faire mon enquête et je vous en redonne des nouvelles plus tard. La première chose que je regarde sur les caméras, c'est celle dans le couloir de l’étage. La plus près du local d’informatique. Je m’aperçois que dans le début de la nuit de dimanche à lundi les lumières de sécurité qui normalement sont alunées ont été fermés. Sur la caméra extérieur ouest qui film en permanence l'entrée, on distingue une silhouette qui ouvre la porte et rentre. Cette même personne peu-être en ressort les mains vides quelque secondes plus tard. J'avance la vidéo plus loin dans l'enregistrement de la nuit, du système de caméras et découvre, avec d’autres caméras, d’autres lumières fermées dans les escaliers et le couloir du premier en bas. Et on distingue d’autres mouvements à la porte d’entrée, du côté ouest, mais de l'intérieur cette fois-ci. Je fais une sauvegarde des images des trois cameras que j’ai visionné et je garde cela en suspens pour l’instant pour pousser mon dossier plus loin.

Le lendemain après-midi vers les 14 h 30, un commerçant vient me voir avec une des deux appareils photo disparue et bien identifier au nom de l’institut. Le commerçant me compte que deux filles se sont présentées hier dans l’après-midi coiffées chacune d’une casquette et elles portaient des verres fumés pour vendre ces appareils-la. Il aurait décidé d'en acheté une des deux parce qu'il avait repéré l’identification de L’institut mal effacée, et qu'il voulait me la rapporter. Même si ses jeune-là l'avait grafigné, la marque de l'institut reste visible. En passant l’appareil à la lumière infrarouge, on distingue bien l’inscription, le commerçant me le rapportait pour signaler le vol.

 Le commerçant me donne une clef USB en me demandant de la lire avec mon portable. Il y a plusieurs images de ces deux filles-là, et beaucoup de ses images, on les distingue de dos. Mais sur sa caméra qui est positionnée à l'arrière de son comptoir, il a des images des deux filles de face. Mais on ne peut identifier ni l’une ni l’autre de ses filles. Elles portent toutes les deux des casquettes et garde la tête basse. Je lui demande, avez-vous un peu de temps à me consacré. J’ai l'une de mes collègues qui devrait être ici dans quelques minutes, avec une des deux employées qui travaillait en fin de semaine durant la nuit du vol. J'en soupçonne que peut-être l'une ou les deux en seraient l'auteur.
Il me dit qu’il est prêt à nous aider sans problème, c'est pour cela qu'il est venu nous rapporter l'appareille. Je me lève et lui demande s’il veut bien aller se cacher dans le bureau du directeur quelques instants. Le Bureau est juste à côté du mien ici. J'irai vous chercher quand les deux employées seront avec moi dans mon bureau. Ma stagiaire Mlle Letarte arrive avec Mlle Faucher, une des deux employées. Mlle Letarte frappe à ma porte et elles entrent toutes deux dans mon bureau. Furieuse de s’être fait réveiller parce qu’elle dormait vue son travail est nuit le jour, elle dort. Mlle Faucher me demande, l'urgence qui nécessite un si rapide déplacement. Calmer vous Mlle, j’ai quelque chose à vous montrer et à éclaircir avec vous. Je sors l’appareille photo de mon tiroir de bureau et lui demande si elle reconnait cet appareil-là. Sa réponse fut un non instantané. Il en existe des milliers dans le monde des appareils semblable, pourquoi moi je connaîtrais celle-ci me répond-elle. Je m’excuse et lui demande pardon de m’attend sans bouger un petit moment. Je dois aller dans le bureau juste à côté et que ça ne sera pas bien long.

Je reviens vingt secondes plus tard avec le commerçant. En le voyant, Natacha devient blanche comme du lait. Ma stagiaire Mlle Letarte Claude de son prénom, demande Natacha, es-tu malades ? tu es devenue bien pâle d'un coup sec.
On peut t'appeler l’infirmière si tu veux bien, elle dit non qu’elle va bien. C’est qui cet homme, nous demande-t-elle. Le commerçant lui répond, tu ne te souviens pas de moi hier. C'était toi et avec une autre fille un peu plus jeune que toi qui êtes venu dans ma boutique hier après-midi, avec l’appareil qui est sur la table en avant de vous. Natacha nous dit que c’est impossible qu’elle se soit rendu dans sa boutique, elle dormait dans l’après-midi hier.

Le commerçant sort une petite carte mémoire qu'il avait gardé dans sa poche et me demande si on peut la regarder, elle aussi, sur mon portable. M. le directeur, je crois que ces images-là seront davantage précisées. Je l’installe et des images apparaissent encore une fois des deux filles. Même si les filles gardaient la tête basse, il y a une autre caméra près de la sortie qui à capter le visage d'une des deux filles. Ce visage sur cette photo même un peu flou ressemble à celui de Natacha quand la fille ressortait de la boutique. Et sur la photo, sa couleur de cheveux correspond aux cheveux de Natacha. Et la tresse de cheveux qui ressort à l’arrière de la casquette et descende au milieu du dos, correspond à la même longueur de cheveux que ceux de Natacha. Sur l’image suivante, on distingue très mal une tache qui ressemble à un petit tatouage qui ressort sur l’épaule droite au-dessus du t-shirt de la fille de l’image.

Je demande à Natacha de se retourner et de nous montrer son épaule droite sous la petite robe qu'elle porte, pour vérifier. Elle refuse, je m’approche et descends le tissu qui recouvre l’épaule et on aperçoit bien un tatouage. Mais il semble légèrement plus gros que sur l'image. C’est toi qui as participé au vol ou ta collègue. Ou vous deux, dits nous la vérité. Natacha commence à me dire. Laurie, ma collègue, en possède un, elle aussi, un tatouage. C'est un petit soleil. M. moi, je n’ai rien à faire dans cette histoire. Mais lui demandais-je, dans les images de nos caméras, les deux à intérieure et l'autre dehors de l’institut et qui est dirigée vers la porte ouest, on voit très bien la porte ouvrir. Les cheveux de la personne qui a ouvert cette porte apparaisse sur le côté de la porte. La personne a fait entrer deux autres personnes à l’intérieur.

 
Si je me rappelle bien. Je crois que votre collègue Mlle Laprise a les cheveux aux épaules. Vous nous faites perdre notre temps avec cette histoire Natacha. Vous n'étiez que vous deux a travaillé cette nuit-là. Donc les deux sont responsables et vous connaissez très bien les règlements de cet institut. Alors, on va prendre les moyens pour le savoir. Le papier qui est au centre de mon bureau, est une copie de la plainte que je me prépare à signer et à faire parvenir à la police. Mais ma chère Natacha, pour l’instant, vous enlevez votre robe ici dans mon bureau. Je vais m’organiser pour vous délier la langue.

Natacha me demande de ne pas la congédiée, c'est Laurie la responsable, pas elle. C'est une grosse erreur de la punir en plus devant un étranger et des collègues de travail, c'est injuste. Je donne une forte claque sur le coin de mon bureau ce qui l’a fait sursauter en lui disant enlève cette robe. C’est moi qui me charge de décider qui sera puni au pas ici, au même moment Mlle Letarte ma stagiaire qui est derrière elle arrivent. Je décide moi-même de prendre sa fermeture éclair à l’arrière de sa robe et la descend jusqu’au bas de son dos. Natacha se croise les bras pour retenir sa petite robe toute mince. Elle me demande de ne pas lui faire enlever. Je ne veux pas enlever ma robe M. c’est le seul vêtement que je porte, quand je me suis fait réveiller par Claude, Claude m’a dit que ça pressait, on avait une réunion d’urgence cette après-midi. J'ai enfilé seulement que cette robe et laver mes dent et placer mes cheveux le mieux que j’ai pu pour venir ici plus vite possible.

Je m’approche d’elle et lui descends moi même ses petites bretelles, de sûr ses épaules qui se rendent à la hauteur ses coudes. Gardant ses bras croisés sur sa poitrine, la robe reste en place. Je lui recommande de l'enlever elle-même sa robe et lui claque les fesses par-dessus sa mince robe. Je me fous de ta pudeur, tu enlèves cette robe ici devant nous. Quand ont puni un étudiant ou le personnel ici, la pudeur ne compte pas et tu l'as déjà vue par toi-même. Les punitions qui sont infligées ici, on ne s'occupe pas qui y assiste.
Ok, ne me toucher pas, je suis assez grande pour l’enlever moi-même. Mais ôter vos sales pattes de sur moi. me dit-elle. Elle la retire, se cachant toujours la poitrine. Mademoiselle, vous nous aviez dit que vous aviez que cette robe sur le dos. Il vous reste toujours un string. C'est un peu moins gênant qu'être toute nue. Maintenant, placez-vous face au mur, mains sur la tête. Je vous rappelle plus tard Mlle. Je fais entrer l’autre fille, Laurie, dans mon bureau. Elle nous salue tous et elle s’aperçoit que Natacha sa collègue de travail est vêtu que d’un string et ses chaussures et les mains sur la tête. Elle se demande ce qui arrive ici et pourquoi Natacha est dans cette tenue et avec cet étranger qui la regarde.


  Mademoiselle Laprise, vous êtes convoquée ici pour une affaire de vol qui concerne vous deux. Le méfait, c'est produit sur votre période de travail et dans cette bâtisse cette nuit-là, vous n'étiez que vous deux a travaillée sur ces étages-là. Étant donné qu’on ne peut savoir avec certitude laquelle de vous deux est la coupable qui a fait entrer les deux autres complices pour commettre ce vol. Vous êtes toutes les deux accusées, jusqu'à preuve du contraire. Je vous demande d’enlever vos vêtements et de rejoindre votre collègue face au mur. Laurie proteste et dit qu’elle sait même pas, c'est quoi ce vol. Vous ne pouvez pas décider de me punir sans preuve, rajouta-t-elle. Elle ne veut surtout pas se dévêtir devant nous, ses collègues de travail et cet étranger, c'est une grave erreur de votre part, rajoute-t-elle.

Je monte alors le ton en lui disant qu’elles sont toutes les deux suspendus de l’horaire de travail pour le reste de la semaine. Et je lui conseille d’obéir sinon c’est la police qui viendra les chercher. Natacha nous à compter le même romance, il y a quelque instant. Il n’y avait que vous deux cette nuit-là et qui étiez responsable et pas d’autre. Ça me prend la coupable. Laquelle de vous deux qui fait rentrer les deux autres que l'on voit sur la vidéo.
Laurie argumente et dit qu’elle est innocente et qu’elle est toujours du côté este du bâtiment. C’est mon secteur depuis presque un an. Ce soir-là, comme à tous les autres soirs, c'est Natacha qui surveillait le côté ouest. Je lui redemande très poliment d’enlever ses vêtements et de la fermer, ici, c'est nous qui pausons les questions. Laurie enfin enlève son t-shirt, son short et garde sons soutien-gorge et sa culotte et va rejoindre Natacha toujours en rouspétant. Le commerçant contemple pour une dernière fois les deux superbes filles. Il est obligé de quitter qu’il a du travail à sa boutique. Si on a d’autre question, il reviendra. Je lui donne la main et le remercie. C'es à votre tour les filles, Mlles on se transfère tous dans la salle des profs, avancez on vous suit, redus dans la salle a la grande table. Je les fais placer toutes les deux face à cette table. Je leur demande de prendre appuis sur leurs coudes et mettre leurs mains à plat sur la table et de ne plus, bougez. Les deux sons maintenant en positions fesses bien, exposez. Je repose encore la question, qui d'entre vous deux a fait entrer ce soir-là les voleurs. Et je veux les noms, je vais chercher un paddle dans l’armoire et le dépose sur la table au côté de Laurie.

   
Elle se relève et me dit non pas ça je ne mérite pas cette punition-là. Je lui donne quatre claques avec ma main en travers des fesses, ta position et ça presse ensuite, je pose la main sur le postérieur de Natacha et lui demande si elle est prête. Je commence à lui claquer les fesses avec ma main sans enlever son string, ça ne changerait pas grand-chose, string aux chevilles ou pas, elle a les fesses à l'air pareil. Le directeur de l'institut rentre au même moment avec d’autres professeurs. Ils regardent le spectacle, moi je ne m'arrête pas même s'ils entrent. Je continue sans arrêter de lui claquer les fesses jusqu’à temps que Natacha commence à crier et à se mettre les mains sur les fesses pour éviter les coups. J’arrête pour qu’elle reprenne son souffle et déplace, voire Laurie. Je commence à frapper de la même force et la même cadence les fesses de Laurie. Sans la déculottée, mais en la maintenant par la taille avec mon autre main cette fois-ci pour la tenir stable sans qu'elle bouge.

    
Après presque une minute soutenue à lui claquer les fesses et plusieurs cris et débattements j’arrête. Laurie se redresse et se frotte les fesses. Je la fais reprendre sa position, appuyez sur ses coudes, mains à plat sur la table. Mais je baisse sa culotte, cette fois-ci Laurie proteste, mais son vêtement est à ses chevilles pareilles. Je lui enlève pour mettre sa culotte avec le reste de ses vêtements que mon assistante Claude avait transférés ici. Je fais la même chose avec le string de Natacha qui elle se ramasse nue.
Je saisis le paddle et demande à l’assistante de M Ponge Ginette qui est venu nous voir dans la salle de tenir fermement les poignets de Natacha. Je commence à lui frapper ses jolies fesses sans m’occuper de ses cris, au dixième coup j’arrête, elle commence à avoir les fesses très rouges et Natacha est en pleure. Des larmes coulent sur ses joues et sur la table, son nez coule, elle renifle. Laurie, c'est à ton tour de recevoir dix coups toi aussi. Si je n’ai pas mes réponses après les dix coups, je recommence la série de dix coups chacune à tour de rôle. Je vais continuer à vous rougir les fesses tan et aussi longtemps que je n’aurais pas ma réponse. Le nom la responsable du vol et les noms de ceux que vous avez fait rentrer ce soir-là.

Mme Desbiens l’assistante de M Ponge tien maintenant les poignets de Laurie. Je commence, lui frappe les fesses à son tour très rapidement jusqu’aux dixièmes coups. Les poignets libres, Laurie se redresse et se tient les fesses à deux mains, elle pleure, me regarde en disant qu’elle est innocente. C'est une grosse erreur, nous répète-t-elle encore une fois, c’est injuste de se faire, traitez de cette façon, qu’elle ne mérite pas cette punition-là. Je lui répète une autre fois en position ou je te frappe sur les mains directes, et je lui donne deux petits coups directs sur ses mains qui frotte ses fesses. Elle reprend vite sa position. Mme Desbiens se déplace vers Natacha et immobilise les poignets de Natacha. Je commence une autre série de dix coups, mais au troisième coup Natacha crie. Ça suffit arrêter. C’est moi qui ai fait rentrer les deux personnes et débarré le local, mais ça fait trop mal, arrêtez. Laurie se redresse et me dit. Je vous l’avais dit que je n’avais rien à voir dans cette affaire, la fessée et l'humiliation du déshabillage que je viens de subir c’est complètement gratuit. C’est à cause d'elle cette bitche-là. Laurie en furie et avec son soutien comme seul vêtement enguirlande Natacha et nous aussi. Je lui demande de remettre sa culotte et ses vêtements. Mais trop en colère au lieu de s'occupé de se rhabiller, elle commence à claquer les fesses de Natacha avec force sans reprendre son souffle en lui disant par ta faute ma bitche je me suis fait claquer les fesses tu vas le regretter et elle n’arrête pas elle frappe avec rage. C’est moi qui lui arrête le bras et lui demande de se calmer. Natacha, elle est en pleure, les fesses lui chauffent.

Le Directeur
Mademoiselle Laprise, remettez votre slip, on s’excuse. Ce n'est pas nous qui sommes en faute, il faillait qu’on éclaircisse ce mystère-là et on a pris les moyens qui s’imposaient pour se faire obéir. Toujours les fesses a l’air et encore bien rouge devant nous tous. Laurie est trop enragé et ne se rappelle plus trop qu'elle est pratiquement nue devant nous. Le sexe exposé et enragée de s’être fait rougir les fesse nous dit cette bitche-là qui m'a fait punir. J’espère qu’elle va être fouettée et humiliée en public devant tout l’institut. j'essaie de la calmer et lui répète de se rhabiller. C’est la troisième fois qu’on te le demande de te rhabiller. On n'a pas fini avec elle. C'est là que Laurie prend conscience de ce qu'elle nous montre.

Laurie remet son slip et va finir de s’habiller pendant ce temps, j'ordonne à Natacha de reprendre sa position. Laurie enfin rhabillé, elle revient et s’installe face à Natacha de l’autre côté de la table en tassant M Desbiens et a décide elle-même de maintenir les poignets de Natacha sans que personne ne lui ai demandé et lui dit ta pas assez soufferte à mon gout. j'espère que tu vas être humiliée nue en public. Si le directeur veut me faire plaisir, qu’il me donne le paddle, je te jure que tu ressors d’ici, les fesses en sang. Natacha, elle lâche un cri tellement que Laurie lui serre les poignets avec force.

Commencez M. dit Laurie et me la ménager surtout pas même si elle vous supplie d’arrêter, n’arrêtez pas. Je commence à lui frapper les fesses à une bonne vitesse au sixième coup sur ses fesses, Natacha crie, me supplie d’arrêter, elle fléchit les genoux et en pleure. Elle décide enfin de nous donner les noms de ceux qu’elle a fait rentrer cette nuit –là.
C’est Doris Marquis et un gars qui se fait appeler Phil que j’ai fait rentrer ce soir-là, nous dit-elle. Laurie lui dit, tu vois ce n’était pas dur si tu l’aurais dit dès le début. Je n’aurais pas été humilié cul nu à recevoir des claques sur les fesses qui me font encore très mal et toi aussi, tu n’aurais pas mal à ton petit cul. Laurie nous demande à nous deux moi le directeur et M. Lepetit d’allé dans mon bureau. Elle voulait, nous parlez en privé sans que Natacha ou d’autre entendre. Je demande aux autres sur place de surveiller et j'avertis Natacha qu’il lui est défendu de se rhabiller. Avant de partir dans mon bureau, je la fais placer Natacha près de l’entrée, debout et bras croisé dans le dos.

 M. Lepetit

Installer les trois dans le bureau. Laurie commence à nous dire que si c’est la Doris qu'elle pense, c’est la même qui fait un trafic de stupéfiant dans la cour de l’institut. Elle est en deuxième année et elle l’a aperçu à quelques reprises donnant des rendez-vous le soir autour de la résidence des filles. Laurie ma même conseiller d’aller reculer les caméras de surveillance de quelques jours vendredi soir vers 23:30 dans la cour aux alentours de la résidence. Je remercie Laurie et on s’excuse encore pour l’avoir dénudée et l’avoir punie ainsi . Pour cette nuit Mlle je vous ai fait remplacer, mais demain matin. Je veux qu’elle soit ici pour 7:00 et qu'elle va assister M Lepetit et Mme Letarte moi. Je vais libérer Natacha et lui redonnant ses vêtements pour ce soir et je lui donne rendez-vous à 7:00 demain matin pour la suite de sa punition.


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