samedi 10 octobre 2020

Professeur et étudiants punis pour tricherie La suite La demi-sœur de Gino qui en a gros sur le cœur

    

Laurie

      

       Mardi matin après avoir rencontré les parents des quatre étudiants qui ont agressé une de leur camarade samedi pour un échange de copie de contrôle qui est prévu pour lundi et compte pour la moitié de notre semestre, là demi-sœur de Gino un des quatre étudiants impliqué et en punition veut se confier à moi et à la fin de la réunion elle voulait me rencontrer pour se vider le cœur comme elle me la si bien dit. Mais moi n’ayant pas beaucoup de temps parce qu’à 11:00 la seconde partie de la punition de ces étudiants continue et je dois être présente sur la scène avec mes collègues j'aimais mieux la rencontrer plus tard donc on sait fixer un autre rencontre mais cette fois ci en dehors de l’institut elle m'a proposé d’aller chez elle vers les 7:00 ce soir pour manger une pizza ensemble et accompagné d’un bon vin en même temps elle aura tout notre temps pour me compter son histoire. J'étais bien d’accord avec elle.

       La journée fini et sorti de l’institut j’avise ma coloc Claude que je rentrerais beaucoup plus tard ce soir, Claude et moi habitons ensemble depuis presque un an maintenant. Je saute dans un taxi pour aller à mon rendez-vous avec Amanda la demi-sœur de Gino. Arrivé à sa demeure Amanda m’accueille me fait visiter sa maison en attendant la pizza et m’explique qu’en réalité la maison est à sa mère, mais sa mère depuis six ans maintenant habite en Afrique avec son conjoint et revient une fois par an pour nous, voire ma sœur et moi aux fêtes de noël. La pizza arrivée nous, nous sommes installés à table elle me dit je t’ai fait venir parce que je ne sais plus à qui me fier et me confier. J'en ai trop enduré et il faut que je compte ça à quelqu’un le genre de garçons sont Gino et Fabien. Je suis sur le bord de la dépression et j’espère que toi tu m’aideras, elle commence à compter ce que lui a fait endurer durant presque dix ans son demi-frère par alliance Gino et son père.

Amanda-

      J’avais treize ans quand Gino mon demi-frère par alliance qui a trois ans  de plus jeune que moi est apparu dans ma vie. Ma sœur a cinq ans de plus que moi et elle venait à l’époque d’avoir dix-huit ans quand elle est tombé en amour avec René et se René lui payait à ma sœur et ma mère aussi de très belle chose que toutes les filles de son âge rêve d'avoir des bijoux superbe belle robes même une voiture et bien d’autre chose. à ma mère aussi il lui a payer de nombreuses choses pour comme on peu dire l'acheté. tu peux t'imaginer pour une fille a peine majeur recevoir de si belle chose elle en était folle de son René. C’est un ingénieur maritime qui travaille à son compte qui fait beaucoup d'argent et a sa propre maison d’affaire ou plutôt édifice qui lui appartient. René  lui à l'époque avait quarante deux ans c'est vingt deux ans de plus que ma sœur et avait un enfant âgé d’un peu plus de douze ans. Donc je me suis ramassé avec un demi-frère et un beau-frère qui dès le début de leur relation a aménagé avec son gars ici avec moi et ma mère la maison étant très grande comme tu peux le constater. Ma mère lui a proposé de s'installé ici avec nous. Il venait de ce divorcé et n’avait pas d’autre maison ou il ne voulait pas en acheter d'autre et profiter de ma sœur et ma mère et rester gratis ici mais les bourrait de cadeaux. À l’époque ça a fait l’affaire de ma mère, car moi qui n’avais que treize ans ma mère n’osait pas me laisser seul. Elle était souvent partie pour de longue période deux souvent trois mois avec son nouveau copain à l’extérieur en Afrique parce qu'il travaillait là-bas et il a une demeure aussi là-bas, ma sœur elle aimait souvent sortir avec son nouveau copain René et ma mère avait un sérieux problème pour que je ne reste pas seul donc ma sœur et son nouveau copain en s’installant à la maison ma sœur pouvait agir comme Baby-sitter au plutôt comme deuxième mère et René comme un père gardien. Ma mère leur a confier la tâche de m’éduquer. Jasmine ma sœur à son âge elle pouvait, voire à mon éducation selon les dires de ma mère et René était là pour là coaché.

 

          Avant que René fasse construire la grosse maison qu’ils habitent maintenant depuis deux ans à quelques centaines de mètres d’ici on avait une femme de ménage, Penelope une latino qui maintenant travaille pour eux, et souvent ma sœur et René s’absentait pour une journée ou deux et encore plus longtemps de nos jours, et c’est elle qui avait la garde de la maison et nous deux pendant leurs absences.

       À l’époque Penelope nous gardait Gino et moi quand on devait rester seul à la maison et Penelope couchait ici quand c’était nécessaire dans la chambre d’ami, car moi je sortais souvent à l’âge que j’avais mais avec un couvre-feu à 8h30 le soir à l’époque que mon beau-père m’avait imposé, et crois-moi il n’était pas question de le passer de cinq minutes ce couvre-feu. Pendant un an ou un peu plus tout allait bien Gino se tenait plus au mois tranquille et a l’occasion quand il passait à côté de moi il me tapait les fesses surtout quand je portais une robe ou une jupe ou le soir si je me présentais en short très court a la place du pantalon de pyjama.

          Est arrivé le fameux  jour je venais tout juste d’avoir mes quinze ans et je voulais fêter cela avec mes amies, mais ma sœur ma obliger à rester ici ce soir-là un vendredi pour garder mon merveilleux demi-frère, car Penelope ce soir-là n’était pas disponible pour garder j’étais en colère contre elle et son René. Donc bien obligée je suis resté pour garder un gamin rendus à 12 ans et avec un tôt d’hormone très élevé et en plein développement corporel et sexuel. Dans le début de soirée tout c’est très bien dérouler Gino a décidé d’aller prendre un bain vers 9h seul sans que je ne lui demande et en est ressorti vêtu seulement de son pantalon pyjama est revenu me voir au salon moi j’étais debout a ramassé les bols de croustille et nos deux verres Gino s’approche de moi et se place juste en arrière de moi en me mettant ses deux main sur mes fesses sous ma jupe sur ma culotte et essayait de rentré ses doigts sous l’élastique de ma culotte entre le haut de mes  cuisses et le début de mes fesses en me disant bon soir et me demande si je pouvais aller me coucher avec lui le temps qu’il s’endorme en même temps qu’il  tentait de me pogné les fesses tu t’imagines un gamin de douze ans qui me tripote le derrière .

       Rester figer par son geste de me faire prendre les fesses par un gamin de son âge  ma réaction a été instantané je lui ai enlevé les main de sur mes fesses et je l’ai retourné pour lui taper les siennes ses fesses peut-être une dizaine de claques pas plus et pas trop forte sur le pyjama en le réprimandant lui disant que ça ne se fait pas de mettre ses mains sous les jupes ou les robes des filles et de pognée les fesses des filles comme ça, et  ça manquait de savoir-vivre je l’averti ensuite de ne plus refaire ça de me toucher les fesses sinon j’allais le coucher sur mes genoux pour le punir lui chauffer les fesses,  tu vas le regretté mon effronte lui ai-je dit, et je l’ai envoyé dans sa chambre au deuxième se coucher.         

       Ma sœur et René rentre vers les 11h30 moi j’étais encore debout avec ma chemise de nuit comme la plus par des soirs, ils me demandent alors si tout avait bien été. je leur dit que oui on avait écouté un film ensemble et que Gino avait bris un bain avant d’aller se coucher vers 9h45 et ensuite je suis  monté me couché les laissent seul au salon.

      Le lendemain encore dans mon lit il était assez tard et le samedi matin ça ne presse surtout pas de se lever tôt, j’entends discuter  au premier sa parle très fort en bas, car nos chambre sont tous au second étage et ma porte était entre ouverte c’était René qui parlait très fort avec ma sœur et son fils quelques instants plus tard il est rendu dans ma chambre et tire mes couvertes au sol. Je lui demande ce qu’il arrive est tu rendu fou en chemise de nuit qui est remonté presque au nombril et rien dessous je m’empresse de tirer mon vêtement le plus bas possible gêné d’être à moitié nue devant lui.

        Je le regarde en essayant de m’asseoir dans mon lit mais il est rouge de colère et me prend par un bras sous l’aisselle sans que je puisse avoir le temps d’essayer de m’asseoir et replacer ma chemise de nuit correctement et me tire du lit me traîne dans l’escalier je proteste lui dit de me lâcher je vais m'habillé et j’irais les voir après mais il ne disait rien en essayant tant bien que mal de tenir mon vêtement en bas de mes fesses je lui répète de me laisser et j’irais les voire après m'être habiller mais il ne lâchait pas prise il me faisait très mal au bras. J’étais seulement vêtue de ma chemise de nuit très courte et René me traînait dans les marche et jusqu'au  salon il me serrait le bras ne me lâchait pas ça me fait mal au bras mais il continuait à me traîner jusqu’au grand sofa au centre du salon devant ma sœur il ne voulait  pas me lâché.

       Ma sœur et Gino son assis chacun dans une causeuses en face de moi et moi je suis  debout au centre des meuble du salon toujours retenue par René, Gino lui n’est vêtu que d’un slip c'était la première fois qu'il se baladait seulement vêtu d'un slip. Jasmin ma sœur commence à me dire que j’aurais moi-même déshabiller Gino nu pour lui donner un bain et même que j’aimais tripoter son pénis et ses fesses et elle m'a dit que ce que j’ai  fait de taponné un gamin de 12 ans c’était immorale et impardonnable à mon âge une ado d’abuser d’un enfant et si je commençais à avoir les hormones dans le plafond et à avoir des désirs sexuel c’était normal pour une fille de quinze ans mais vouloir tripoter un petit gars de son âge qui ne connaît rien à la sexualité c’est inadmissible et tu mérites une bonne punition je serais mieux d’allée dans des pubs  le soir il y a un tas de gars qui ne demande que ça mais pas à un gamin de douze ans ce n’est pas pardonnable. Je lui demande de quoi elle parle c’est quoi cette folie. Elle se lève et me gifle sur la joue droite pendant que René me serre toujours le bras pour ne pas que je bouge et elle me claque les fesses de deux bon coups.

     Gino en rajoute que je l’aurais obligé à redescendre nu avec elle au salon après son bain et c’est ici dans le salon que en plus j’aurais obligé Gino a me déshabillé nue devant lui. Et je lui aurais dit qu’à son âge il est temps de découvrir comment était faite une fille. Dans le bain je l’aurais moi-même lavé en m’attardant à son pénis et ses fesses, et ensuite toujours dans le salon j’aurais  couché Gino sur mes genoux pour lui donner une grosse fessée et je l’aurais obligé à se coucher nu  pour la nuit et c’était pour ça qu’il était vêtu que d’un slip ce matin je lui avais défendu de mettre son pyjama sinon c’était un autre fessé qui l’attendait.

Laurie-

     Pendant qu’elle raconte son  histoire et des larmes coule sur ses joues on se lève de  table la pizza étant terminé et Amanda  sort par la porte qui donne sur la terrasse verre de vin dans une main et bouteille dans  l’autre main elle me dit suit moi à l’extérieur avec ton verre on les termine dans le jacuzzi. Elle pose son verre et la bouteille sur une petite table rouvre le jacuzzi et fait tranquillement descendre sa robe, sa robe  tombe à ses chevilles et elle est toute nue sans sous-vêtements. Je la regarde de la tête au pied entièrement nue elle a un splendide corps belle poitrine à L’aube de ses vingt-deux ans elle est superbe  je suis resté surprise qu’elle se mettre à poil devant moi ça fait tout juste 1 h qu’on se connaît et elle est à poil devant moi sans aucune pudeur sans essayer de se cacher elle vient derrière moi.

     Elle me dit fait comme moi en passant en arrière de moi elle commence à essayer de défaire les boutons qui sont à l’arrière de ma robe et je ne m’interpose pas je la laisse faire et elle me dit regarde ici il n’y a que du bois et à la hauteur que la terrasse est et le terrain  personne ne peut voire même s’il y aurait du monde dans la petite rivière en bas personne ne peut nous voir on est seulement que nous deux sur cette terrasse et il commence a faire noir dehors, il n’y a rien de gênant à être nue deux filles quasiment du même âge. J’hésite un peu mais Amanda continue de détacher mes boutons, ma robe ne tient plus à grand-chose et je ne là retiens pas. Moi aussi ma robe se ramasse à mes cheville,  il ne me  reste plus que mon soutien et ma culotte qui cache mes parties plus intime mais Amanda s’en occupe aussitôt et dégrafe mon soutien et me l’enlève sans que je le retienne je ne sais pas trop ce qui me prend mais je la laisse me mettre nue j'adore être nue mais pas partout surtout en visite mais je me laisse faire. Elle  pose mon soutien-gorge sur une chaise je n’essaie même pas de cacher ma poitrine j’adore ça je la regarde se penché pour tirer sur l’élastique de ma culotte qui se ramasse elle aussi sur mes cheville et Amanda s’occupe de mes chaussures et mes bas. elle ramasse tous les vêtements  au sol pour les déposer tous ensemble sur la chaise. Elle revient me voir et passe une de ses  mains sur mes fesses et l’autre sur mes seins en pinçant mes téton un après l’autre ce qui me fait frissonné et me dit on va être beaucoup plus alaise maintenant

       Nous embarquons dans le jacuzzi avec nos coupe de vin et on s’assoie l’une  à côté de l’autre dans ce grand jacuzzi et ça me fait relaxer j’adore être nue et je m’aperçois que je ne suis pas la seul à adorer ça.

Amanda-

      Bon maintenant qu’on est confortable je continue mon histoire dit Amanda, j’étais rendu à supposément laver Gino et lui donner une fessée. Alors j’ai protester disant qu’il c’était laver seul et jamais je n’ai rentrée dans la salle de bain pendant qu’il était nu à l’intérieur et que pour ce qui est de l’avoir obligé à me déshabillé ça devait être un de ses fantasmes de gamin qui commence à se demandé pourquoi  son engin grossi en voyant une fille en maillot ou peut-être de te voire toi Jasmine te promener nue dans la maison ça lui donne l’envie de se masturbé, et je lui ai redit que ça ne s'était jamais produit il ne m’a jamais vu nue et je ne l’ait jamais déshabiller ou vu nu je te le jure Laurie.

       Mais mon beau-frère et ma sœur ne croyait seulement que la version de Gino. René qui n’avait jamais lâché mon bras s’assoie et me tire sur ses genoux avec ma main libre je tenais  le bas de ma chemise de nuit pour ne pas qu’elle remonte et qu’elle reste le plus possible aux bas de mes fesses. René  dit à ma sœur sait tu ta garce de sœur mérite une bonne correction t’avait raison et c’est maintenant qu’elle va la recevoir a quinze ans mentir comme ça il faut la punir sévèrement, il commence à me trapper les fesses c’était la première fois que j’allais recevoir une fessée de ma vie j’avais honte et j’étais insulter de me faire punir devant ma sœur et ce gamin et par mon beau-frère en plus.  Je n’étais pas capable de me dégager j’essayais mais il me maintenait fermement par la taille avec son autre bras René mesure quand même 1m81 et moi je  fais que 1m 61 environs  je n’étais pas de taille a lutté avec lui. J’agitais mes jambes et le traitait de salop de stupide de me lâcher je l’ai traité d'espèce de voyeur car je sentais que j’avais le derrière a l’air devant son nez et surtout devant Gino. Je sentais sa main  qui s’abattait sur mes fesses nue et sa me chauffait de plus en plus. regarde ta jeune soeur elle est nu sous sa chemise de nuit Gino avait raison de ddrie qu'elle s'était mis nu hier. Je le traite de vieux cochon d'arrêter de me taponner les fesses. Ma sœur m'a dit de me la fermer et de rester polie que je n’étais pas en position de traiter personne de voyeur salop et a demandé à René de me mettre le cul complètement a l’air de me relever ma chemise par-dessus la tête de me mettre à poil comme je l’avais fait a Gino de toute façon elle n’a rien dessous lève sa chemise et rougi lui le cul encore plus ça va lui donner une bonne leçon de vouloir se mettre à poil devant un enfant disait ma sœur.

        Gino oui papa rajoute-t-il et fait lui comme elle m’a fait met la nue elle m’a humilié hier et c’est à son tour de se montrer la chatte, pour un enfant de douze ans c’était un drôle de langage. René m’a remonté la chemise au milieu du dos sans me la passer par-dessus le tête comme le demandait ma sœur. Par chance que ma chemise de nuit est reste coincé entre mon ventre et sa cuisse, mes seins on toujours reste couvert par ma chemise et j’essayais toujours  de redescendre mon vêtement je n’étais toujours pas capable de l’atteindre j’avais  un bras toujours immobilisé dans le dos et l’autre me servais à me tenir en équilibre entre le plancher et le vide, il recommence à me frapper les fesses. A un certain moment il arrête et me relâche je tombe au sol et me frotte les fesses ma chemise redescendue j’avais moins honte c’était la première fois que je recevais une véritable fessée. C’est ma propre sœur qui quelques secondes plus tard  m’a relèvé par un bras et m’a ordonné d’aller au coin main sur la tête et m’a relever elle-même ma chemise en haut de mes hanches pour que Gino puisse voir mes fesses ce maudit menteur de Gino c’est probablement ça qu’il voulait me voire nue et son père aussi mais pour une première fois il se contentait de me voir que mes fesses. J’avais resté une trentaine de minutes ou coin et René ensuite m’a donnée la permission d’aller m’habiller en me rappelant que la prochaine fois que je refais des saloperies a Gino j’allais me promener nue dans la maison.

    Deux jours plus tard et toujours avec des petites rougeur au fesses je me dirigeait à ma chambre et en passant devant la chambre à Gino,  Gino est à l’intérieur avec Fabien son ami de longue date et je regarde dans le cadre de porte ce qu’il font sans qu’ils le sachent. Il  sont en train de regardé sur l’écran de son portable un vidéo sur internet d’un prof d’école qui oblige deux filles à se dévêtir nue pendant qu’il donne une fessée a une autre qui a la jupe relevé sur le dos et sa culotte aux chevilles. Je rentre à l’intérieur et commence à leur parler, les deux sont gêner de me voir dans la chambre et ferme l’écran mais on entend le son de la fille pleurer sous les coups le vidéo continuait à jouer.

   Je réprimande Gino pour ses visionnements sur le web et lui demande si son père et Jasmine sont au courant qu’à son âge il visionne des contenus d’adulte. Gino me dit que je n’ai aucun droit sur lui et il peut regarder ce qu’il veut et d’arrêter de l’achaler sinon il va demander a mon père de me puniré. C’est mon père qui m'a donné ses adresse là et pour ton information me dit-il. D'après ses dire sa mère biologique qui les as abandonné a reçu un paquet de punitions nue dans le passé pour l’avoir achalé et que son père lui donnait la permission d’assister à ses punitions que ce n’était pas la première fois qu’il voit une fille se faire claqué le derrière il a continué en disant ma tante Gisèle (c’est la sœur cadette de René âgé de 30 ans) elle aussi mon père lui a claqué les fesses même ma cousine Nadia la fille de Gisèle. je l’ai vue elle aussi recevoir la fessée par mon père et son père aussi, Gino m'a dit qu'il l’avait même même menacé que prochainement ça va être mon tour de me faire chauffé les fesses devant elle sa cousine si il faisait trop de conneries et qu'il allait être obliger de s'exhiber nue devant eux. Gino  rajoute même ta sœur se fait claquer les fesses elle aussi et qu’elle est moins belle que toi et ta sœur a des nichons qui pende et des fesses plate comparé aux tienne et Fabien me là confirmé que c’était vrai que lui aussi avait vu na sœur nue. C’est là que j’ai compris que René aimait probablement punir des filles et son Gino assistait à ses fantasme probablement que lui aussi était rendu accroc avec Fabien de voir des filles se faire rougir le derrière.

   Le vendredi suivant quatre jours plus tard je suis encore obliger de garder mon demi-frère et cette fois ci Fabien passe la soirée avec nous et couche ici avec nous. Ils ont joué toute la soirée avec leur console de jeux sans aucun accroc et a 10 30 les deux monte dans la chambre de Gino et redescendre juste vêtu de leur slip pour me dire bonne nuit et ils allaient se couché. Encore une fois Gino s’est réessayez à ma taponner les fesses et encore sans succès mais il m'a défié en me rappelant que la dernière fois qu’il m’avait taponner le derrière, je lui avais promise une bonne fessé. J’ai réfléchi quelques secondes et je me suis retenue ce n’était pas l’envie qui manquait de lui baisser la culotte et de lui rougir les fesses mais je n’aie pas osé et Fabien ma traité chicken, mais avoir su ce qui m’attendait je lui aurais claqué les fesses je le regrette tellement maintenant de ne pas l’avoir fait.

            Le lendemain matin Gino raconte encore une fois à son père et cette fois ci  arranger avec Fabien. ils ont tous les deux raconter qu’encore une fois je l’ai aurais obligé tous les deux cette fois à se mettre nus au salon en les menaçant avec une ceinture que supposément je tenais dans ma main et je leur en aurais donner quelques coups sur les fesses, et ensuite je l’ai  aurais fait monté au deuxième nu à la salle de bain pour donner leurs bain,  Gino disait  que si ils avaient refusé de se mettre nu  qu'ils auraient reçu chacun une fessé avec la ceinture que je tenais ce qui était totalement faux, alors ils m’auraient obéi et se sont déshabillé devant moi dans le salon de peur de recevoir  la fessée avec la ceinture que je venais de poser sur la table là-bas et effectivement il y avait une ceinture sur une table dans le coin du salon ce matin-là et que moi j’aurais oublié d’aller remettre à sa place dans les affaires à René hier soir. C’est  probablement Gino qui l'avait mise sur la table plus tôt ce matin-là pour justifier leurs menteries.

          Toujours inventer de toute pièce pour que moi je sois punie par son père et ma sœur c’est gamin fantasmait de me voir nue il me l’avait dit quelques jours avant et il savait comment si prendre ils ont jusqu'a été dire à ma sœur qui écoutait attentivement que j’avais joué avec leurs pénis et je m’aurais moi-même mise à poil devant eux et leur aurait demandé de flatter ma chatte pour leur montrer comment c’était fait un sexe féminin encore une fois c’était complètement faux. René et ma sœur mon alors forcée à me mettre à poil quand je dis forcé c’est de m’arracher le short que je portais pour la nuit et ma camisole devant son gars et Fabien.

        Ensuite René ma coucher sur le sofa à plat ventre fesses bien exposer et a pris la ceinture que probablement Gino avait placé sur la table à café pendant que ma sœur me maintenait les bras et que je me suis rendus compte que ma sœur en dessous de sa jaquette elle était nue accroupie et les jambes écartés pour que les gars la voie j’en suis sûre. Enragé de ce qu’il croyait être la vérité René a commencé à me frapper les fesses avec sa ceinture j’ai crié hurler tellement que ça chauffait c’est son gras qui a dit à son père d’arrêté ma sœur elle l’encourageait à me frapper j’avais l’impression que ça la faisait jouir de le voir me frapper les fesses, Gino a dit à son père arrêt son cul est rouge écarlate a la place relève-là et met là au piquet  mains sur la tête dans le centre du salon ça va l’humilié d’être à poil devant nous.

             René a trouvé que son gars avait une bonne idée et il m’a obligé a me tenir debout au centre du salon nue devant son gars et Fabien  mains sur la tête. Mon beau-frère c’est assis dans le fauteuil au bout du salon en gardant la ceinture a la main pendant que moi je restais debout humilier et à pleurnicher sans être capable de me frotter les fesses. Un peu plus tard ma sœur  est venue me cherché et ma obliger à me mettre debout au piquet encore et mains sur la tête dos à René et face aux deux gars a quelques centimètres d’eux et les fesses a quelques centimètre de  René dans l’autre fauteuil et René m’a dit si tu bouges gare à tes fesses elles ne sont pas loin de ma ceinture.

        Tu t’imagines le honte  d’avoir le beau-frère a quelques centimètre de tes fesses entièrement nue et les deux gamins en face de toi eux aussi a quelque centimètre de ta chatte et qui te regarde te fixe sans arrêt j’ai dû rester 1h dans cette position humiliante et après ma sœur m’a interdit de me rhabiller pour le reste de la journée elle m'a dit tu te souviens de ce que je t'avait déjà promise que si tu refaisais des cochonneries tu allais te balader nue, maintenant je tien ma promesse. Rendu au soir après le repas j’ai eu le droit de portée seulement ma plus courte chemise de nuit celle qui arrête juste en haut des cuisses les fesses presque a l’air au moindre mouvement, et surtout il a fallu que se passe toute la journée avec eux au salon et les servir s'ils avaient besoin de quelque chose j’étais a leur service pour la journée, ou si Gino et Fabien sortaient sur la terrasse où ils se déplaçaient dans la maison dans sa chambre par exemple, j'étais obligé de suivre, tu t'imagines bien que les deux gars s'amusaient à sortir sur la terrasse pour m'humilier au maximum, moi aussi j'étais obliger d'aller dehors avec eux sinon ma sœur me menaçais avec la ceinture. Gino me l’avait dit que j’allais m’exhiber nue et il a eu raison.

        À la fin de cette soirée-là vers les 10h30 ma sœur ma obligé a enlevé à nouveau mon vêtement me remettre nue devant Gino et Fabien pour monter me coucher nue et ma sœur ma ordonner de revenir le lendemain matin pour le petit déjeuner nue à 7h elle  m'a obliger aussi à aller réveiller les deux gars toujours nue et de descends à la salle à manger accompagné des deux gars, elle a dit à René c’est de cette manière-là qu’on va la dompté en l’humiliant une bonne fessée et exposée nue par la suite,  elle va se souvenir longtemps de ces écoeuranterie


qu’elle a fait avec ton fils, bien entendue tous cela était inventer par Gino et Fabien pour me faire punir par son père sûrement qu’a cet âge-là ils venait de découvrir c’était quoi  bandé et avait hâte de me voir nue, ça les existaient encore plus de me voir, au lieu d’allée sur son site de fille fessée pour voir les millier de filles nues.

       Il y en a plusieurs autres journées que ma sœur m’a obligé de force à me mettre nue devant son fils adoptif et ma punie par la fessée ou rester à poil devant ce gamin même qu’a quelques reprise il n’y a pas si longtemps cette année il y a deux mois encore sur des menteries de son Gino ou une demande pour assouvir ses fantasmes et sûrement que René y a participé à ça, aussi ma sœur a voulu m’attirer chez elle, elle m’a fait venir à sa maison un vendredi en prétextant qu’elle voulait me parler de notre mère qui était supposément malade. Rendu à l’intérieur de sa demeure ma sœur, René et une nouvelle jeune stagiaire que René avait engagé à son bureau y était et c’était ma sœur qui avait invité la stagiaire pour mieux la connaître d'après elle. ils étaient tous dans le salon avec Gino et Fabien son ami,  eux jouaient à leur console de jeux ils m’attendaient tous.

     C’est à ce moment que je j’ai réalisé encore plus que ce n’était pas juste Gino qui fantasmait sur moi et mon corps parce qu’en mettant les pieds à l’intérieur Gino c’est lever et est venu à ma rencontre à verrouiller la porte derrière moi et ensuite m’a suivie derrière moi et de très près en me relevant  la robe à deux reprises le temps qu’on se rendent au salon la deuxième fois je me suis retourné en le giflant, ma sœur m’a demandé de rester debout au centre et que j’allais regrettée  mon geste d’avoir giflé Gino.  René c'est lever en me présentant à sa nouvelle secrétaire qui s'appelait Kim et il  dit à Kim, ma belle-sœur va regretter ce qu’elle vient de faire a Gino. Il va dans son bureau revient avec un petit couteau et m’ordonne d’enlever tous mes vêtements ou il me les coupes sur le dos.

       Je n’ai pas eu le choix Gino me tenais un bras dans le dos-pendant qu'il descendait la fermeture éclair de ma robe à l’arrière. Quelques secondes plus tard j’étais en sous- vêtement au beau milieu de tous, René demande a Kim sûrement que tu as déjà reçu une punition dans ta vie une fessée chez toi  pour des sottises que tu as fait, pendant que Kim hésitait a réponde moi je n’étais pas capable de faire  un geste j’ai bien essayé mais  Gino me tenait le bras dans le dos et Fabien s’était rapprocher pour me dégrafer mon soutien-gorge et  pour me l’enlever.

     Kim répond que oui son père l’avait déjà puni dans sa chambre, mais demande à René, que lui faite vous ? c’est humiliant de se faire mettre nue devant nous tous. René la regarde et lui dit une fille qui est impolie et frappe un autre sans raison surtout son demi-frère mérite d’être punie. Et toi aussi au bureau si tu fais des gaffes tu recevras une punition je ne me gênerais pas pour t’en donner une fessée. Fabien me retire mon soutien-gorge et le laisse tomber sur le plancher. Il ne me restait que ma culotte et Gino me retourne toujours en me tenant par un bras me penche et saisi mon autre bras qui rejoint l’autre dans mon dos et me met la tête entre ses jambes et il me maintient immobile les fesses face au autres.

           René s’approche de moi et me baisse ma culotte sous mes fesses et me l'enlève complètement en en profitant pour me flatter les fesses en passant et dit à ma sœur fait toi plaisir ces belles fesses sont à toi, ma sœur me montre la brosse à cheveux en bois qu’elle a dans sa main en me passant la brosse devant le visage parce que je regardais le sol et me dit, c'est la première fois qu’on se sert d’une brosse pour te punir mais tu vas te rendre compte que ça chauffe bien plus qu’avec une ceinture elle m’a donner vingt coups bien compter j’avais un mal de fou au fesses quand Gino m’a remise droite debout face aux autre ma sœur ma obligé à rester nue mains croisées dans le dos au centre du salon.

         Samedi, il y a huit jours, c'était le dix-huit anniversaires de Gino et ma sœur m'avais invitée. J’avais décidé d’aller faire un tour parce que pour une des rares fois en plein été ma mère était ici avec nous. Habillée seulement que de ma camisole sport et un leggins comme pantalon aucun sous-vêtement, mes sandales pas de maillot je n'avais surtout pas l'intention de me baigner. Je me rendis chez ma sœur, et dans l'idée de ne pas embarquer dans la piscine surtout avec les voyeurs en maillot deux pièces ça ne me tentait pas du tout que Gino et Fabien me déshabille du regard.

           Redus sur place ma sœur me présente a ses invités. Kim que j'ai connue dans une situation très humiliante me demande si mes fesses on rester longtemps sensible ca m'a gêner. La sœur de René a entendu la question et sa fille de 15 ans aussi. je change de place sans réponde et vais voir la sœur de René avec son mari et l'autre stagiaire de René.  Fabien bien entendu était présent à la fête. Jasmine ma sœur vient me voire et voulait m’obliger à servir ses invité et j’ai refusée en lui disant que c’était ses invité et de s’en occupé elle-même ce n’étais pas mon problème c'est à Penelope de faire le service et pas à moi. les invités on tous entendu ce que j'avais répondus a ma sœur. Ma sœur insulter de se faire dire non a regarder ma mère et lui a dit tu voie bien qu'elle est impolie ta fille.

                La sœur de René Danielle prend la parole en s’approchant de Jasmine et dit à son frère en me pointant du doigt, tu laisses cette petite grâce réponde à ta copine aussi bêtement que ça si ma fille m’aurait répondus de cette façon elle aurait le cul à l’air et se ferait rougir les fesses devant tout le monde ici. Nadia sa fille qui a quinze-ans réplique, dis, moi si j’avais osé réponde à ma mère de cette façon-là je pense plus tôt que se serais nue que je me ferais chauffer les fesses.

            Ma sœur insulter de se faire dire non et réponde sèchement comme je venais de le faire m’a dit tu vas le regretter et demande à  René de s’occuper de moi Met moi là prête à recevoir sa punition je reviens avec ses petits cadeaux qu’on lui a acheté cette semaine. René  m’a ramassé par les deux poignets et m’a  croisées les bras dans mon dos ensuite m’a penchée et mise la tête entre ses cuisses nues car il était en maillot, en revenant de la maison avec ce qu'elle m'a acheté comme cadeau Jasmine regarde ma mère et lui dit tu vois bien maman qu’Amanda est impolie avec nous et surtout Gino ce n'étaient pas des mensonges que je te comptais et maintenant je dois la punir  ici  je ne peu pas laisser passer un t’el affront  elle me manque trop souvent de respect.

                J’étais toujours penchée immobilisée la tête entre les jambes de René et essayant de me libérée, mais incapable, soudain je sens des mains dans mon dos qui me remonte ma camisole jusqu’aux épaules. il commence a crier regardez elle a les tetons a l'air sous sa camisole. René me lâche un bras pour que ma camisole passe pardessus mon épaule. Il reprend mon bras à nouveau et il fait la même chose avec l’autre bras. J’avais la camisole rendue dans le coup les seins a l’air pas de soutien-gorge en dessous et en une seconde ma camisole était au sol, c'est alors que René me retourne et me redresse face à tout le monde nu jusqu’à la taille mes seins exposer a tous ses invités et les bras immobilisés dans le dos je lui disais de me lâcher j’essayais même de lui donner des coups de pieds, mais je passais dans le vide et il me serrait encore plus les bras pour que j’arrête.

           C’était Gino qui avait remonté ma camisole et avait profité de ma posture pour me tâter les seins en même temps. Je traite Gino de maudit cochon de ne pas me toucher et j’essaie de lui donner des coups de pieds pour l’empêcher de m’approcher et je réussis à l’atteindre sur une jambe. René me repositionne il me penche la tête entre ses jambes encore une fois et il me dit tranquillises toi ménage tes forces de toute façon tu n'as pas le choix, tu vas recevoir une fessée et nue. Jasmine baisse mon leggins en évitant mes coups de pieds que j’essayais de lui donner pour les éloignés de moi et en même temps elle demande à Gino de lui donner le moins gros des deux cadeaux dans le sac qu’ils ont acheté spécialement pour moi et elle a réussi à envoyer mon leggins à mes chevilles. elle aussi c,est mise a crier regardez elle est nue elle n'as pas de culotte sous son leggings la petite cochonne. Rendus à mes chevilles ça me limitait pas mal pour les coups de pieds et pas de sous vêtement en dessous j'étais nue devant tout le monde ma mère comprise,et extrêmement humiliée. René me redresse debout et me tourne face au monde en me gardant les bras dans mon dos.

          Jasmine me regarde nue et se moque de moi en disant a notre mère tu voies maman c’est de cette manière-là qu’une gamine impolie dois être puni pour que sa punition lui reste en mémoire longtemps. Moi je supplie ma mère qu’elle les arrête qu’ils me laissent me rhabillé, mais ma mère me dit tu as ce que tu mérites assume ta punition. Gino sort les deux cadeaux du sac comme Jasmine lui avait demandé. Une brosse à cheveux en bois avec un manche pas mal long et une épaisse palette de bois plein de trous qu’il montre a tous les invités.  Jasmine prend  la palette et la montre a tout ses invités en se tapant dans une main avec la palette, le beau-frère de René la prend et dit j’aimerais ça taper les fesse de Daniellesa femme avec, ou de ma fille Nadia, il demande a ma sœur si il peut  essayer la palette, Jasmine lui répond que pour l’instant c’est un cadeau pour Amanda et c’est elle qui va être la première à la faire essayer a Amanda. Jasmine laisse la palette sur une table et me montre la brosse à cheveux et me dit j’ai pris la brosse qui avait le plus long manche pour avoir plus de force en te frappant les fesses et m’en donne quelques petit coup sur les cuisses ce qui m’a fait mal.

              Elle demande à René de me repositionner penché, c'est de cette façon, dit-elle qu’elle me veut pour que tous puisse voir mon intimité. J’essayais de résister à René pour qu’il ne puisse pas me pencher et que l'on voit toutes mes parties intimes, mais je n’étais pas assez forte je me suis ramassé les derrière bien à la vue.  J'essayais toujours de me libérée, je commençais à être épuisée et je me concentrais bien plus à tenir mes jambes croisées, j’entends Jasmine dire à tout le monde ma sœur a été impolie envers moi et elle va recevoir devant vous avec cette brosse acheter spécialement pour elle vingt coups sur ses belles fesses et ensuite avec cette palette neuve acheter spécialement pour elle aussi dix autres coups et ensuite elle devra faire ce que je lui ai demandé sans dire un mot sinon je vous donne la brosse et chacun d’entre vous lui donneras cinq coups sur les fesses.

        Je me tenais les jambes croisées  pour cacher le plus possible mon intimité, mais quand Jasmine à demander à Nadia la nièce de René de venir se placer à côté de moi et de compter les coups ma sœur, c'est rendu compte que je serrais les jambes elle a commencé à me donner les coups sur les fesses avec la brosse avant même que Nadia arrive, et m’a dit tan que tu ne te décroise pas les jambes pour les écartées je te frappe les fesses et Nadia tu ne les compte pas tant qu’elle n’écarte pas les jambes, on veut tous voire ce que tu essaies de cacher.

      À force de recevoir des coups j’ai obéi et écartées mes jambes. Laurie je ne sais pas si tu t’es déjà fait claquer les fesses avec une brosse de bois, mais crois-moi ça fait vraiment plus mal qu’avec une ceinture et la fameuse palette, c'est encore pire.

            Quand Jasmine a fini de me donner les vingt coups je me retenais pour ne pas crier et pleurer pour ne pas être plus humilié que je ne l’étais le nez me coulait à force de pleurer. René me relève me lâche les bras qui me tenait dans mon dos me les ramène en avant de moi. Il les reprends et me les croisent en avant et me garde face à lui en me disant que c’est debout pour que tout monde voie tes belles fesses que tu recevras la seconde partie de ta punition. Ma sœur a alors changé sa brosse pour la fameuse palette et regarde mes fesses, les frottes les pinces et dit à Nadine qui était juste a ma droite, trouves-tu qu’Amanda a de superbes fesses bien rondes et bien dodues, c'est plaisant de les rougir quand on les frappe ça rebondi tout pour m'humilier au maximum. Nadine commence à me pincée les fesses et dit Jasmine tu as bien raison, elles sont bien dodues et d’une belle couleur. En plus je me retenais pour ne pas pleurer et j’entends ma sœur dire Amanda pour tes coups de pieds que tu as donnés a Gino dans les jambes plus tôt je suis obligé de te donner les dix coups que je voulais t’éviter, mais elle changea  d’idée et elle demanda à Gino de me punir, car c’était ça fête après tout c’était à lui de finir de me rougir les fesses, tu t’imagines Laurie c'est ce gamin-là qui m’a claqué les fesses et je te le jure il m’a fait très mal j’ai crié à chaque coup tellement  il claquait fort.

              René avait de la misère à me retenir tellement ça me faisait mal à chaque coup que je recevais quand il m’a donné le dernier coup René m’a lâché les bras et j’ai tombé au sol à genoux les deux mains sur mes fesses et j’ai pleuré, c'était horrible la douleur, ils m’ont laissé là un certain temps à genoux à me frotter les fesses et pleuré. Environs une dizaine de minutes plus tard j’étais seul les autre jasaient ensemble à l’autre bout de la piscine et ne s’occupaient pas de moi, je me suis relevé et me suis empressé de remonté mon leggins pendant qu’ils étaient tous occupé et  j’essayais de retrouver ma camisole, Pénélope qui était dehors me dit qu’elle est sur la table à l’intérieur, c'est Gino qui la mise-là.  Je rentre alors à l’intérieur de la maison toujours à moitié nue pour finir de me rhabillé et fuir de là,  mais René et Jasmine m’ont vu rentrer et m’ont suivie, j’ai même pas eu le temps de me rendre à la salle à manger pour prendre ma camisole que René m’avais rejointe et ma retenue par un bras en me disant on ne t’a pas autorisé à te rhabiller et rentré ici tu reviens avec nous tous dehors tu es en punition et Jasmine n’en n’a pas fini avec toi. Jasmine me donne une gifle sur une joue qui m’a fait très mal en me disant t’as pas toujours fait ce que je t’ai demandé petite effrontée.  Ils m’ont ressortie dehors et m'on obligé à me remettre à nouveau nue .

      Et j’ai dû quand même servir ses invités mais nue avec l’accord de ma mère en plus qui approuvait ma sœur de me punir ainsi ma mère  m’avait trouvé insolente et impolie d’avoir refusé d’aider Jasmine, c'était la première fois que ma mère me punissait ou me faisait punir à vint-deux ans.  C’est pour ça que je voulais compter mon histoire a quelqu’un et ce matin j’aurais aimé voir Gino recevoir la fessée et se faire humilier j’aurais aimé mieux assister à sa mise à nu avec Fabien à l’auditorium ce midi, mais j’ai été très déçu de ne pas pouvoir y assister. Je tenais à te parler, car je crains quand Gino et Fabien vont finir leur punition et vont revenir à la maison  la semaine prochaine il va sûrement essayer de ce vengé, car j’ai assisté à sa punition ce matin et il n’a pas apprécié.

          Je travaille depuis un ans dans un grand vignoble dans la ville voisine le domaine Richard et J’ai demandé a ma patronne si je pouvais  louer sa maison qui n’est pas occupé sur son domaine avec deux de mes collègues de travail et très grande amies avec qui je m’entend bien et elle a accepté donc je quitte la maison de ma mère je crains Gino et Fabien après ce qu’ils ont fait a la pauvre fille Gina en fin de semaine dernière moi il ne m’ont jamais fait d’attouchement ni violer ça toujours été de me rougir les fesse mais maintenant je crains que ça peu en venir à vouloir me violer  ma sœur m’avait demandé d’aller voir ce qui c’était passer pour qu’ils soit convoquer René et elle car ils sont loin d’ici mais cette après-midi je lui ai parler et je lui ai dit que c’était banal la convocation mais à leurs arrivés j’ai peur pour moi et ma menterie

 

 

vendredi 9 octobre 2020

Professeur et étudiants punis pour tricherie 2 La suite Journée infernal pour 4 étudiants et une prof

 

  

    Laurie-

   Je suis une des deux assistantes pour la sécurité es la discipline de l’institut ST- Thomas. Ce matin, le directeur a fait venir quatre étudiants dans son bureau qui sont accusé de tricherie et d'agression envers une étudiante, et il m’a chargé de surveiller les étudiants dans la salle de conférence. Il a fait venir les parents des quatre étudiants pour s'expliquer avec eux. Présentement, il est avec eux dans son bureau pour leur expliquer en détail la gravité de l’agression qu’ils ont fait sur une de leur camarade samedi. D’avoir triché à deux tests de contrôle hier avec la complicité de deux professeurs, tous les six seront punis très sévèrement.

   Les explications terminées tout ce monde ce transfert ici dans la salle avec nous cinq qui étions en attente ici. Les deux profs, elles, elles restent en attente dans une autre salle. Les quatre étudiants, le directeur les fait installer au fond, debout face à la salle, en position de puni, bras croisé dans le dos comme l’avait exigé M Lepetit mon patron.

   M. le directeur demande à tous les parents de s'installer d’un côté de la salle face à nous, le personnel de L’institut. M Lepetit mon patron, Claude ma collègue, M Ponge le directeur de l’entretien et président du comité de discipline avec son assistante Ginette qui arrivent. Ils s'installent à l'autre bout de la grande table de conférence. Tant qu’au directeur, lui, il reste au centre, debout juste en avant des étudiants, en punition. Il remonte quatre boîtes qui sont sous les tables au sol pour les poser sur là table devant eux et ces boîtes sont identifiées à chacun des punis.

   M le directeur commence par parler aux quatre étudiants en leur demande s’ils savent pourquoi, on les a fait venir ici ce matin et leurs parents aussi sont ici. Aucun n’ose répondre et c’est le directeur qui leur explique le pourquoi et ensuite demande comment et pourquoi ils ont agressé et puni leur camarade samedi et avec quoi. Personne des quatre étudiants ne répond encore une fois. Le directeur perd patience et s’approche de Vicki qui est à sa droite et repose la question en tapant sur les fesses de Vicky par-dessus sa jupe. Vicky essaie de répondre en marmonnant quelques mots qui ressemblaient à, on lui a claqué le cul avec une ceinture pour la lui faire comprendre de ce la fermer sur ce qu’elle avait entendue et vue.
Et comment de coup ? Demande le directeur.
Elle a reçu 50 coups, répond Vicky.
Et avec quoi était donné ces coups ? Lui redemande-t-il.
Vicky répond une ceinture de cuir.
 
Très bien, répondit le directeur, et maintenant sais-tu ce qui arrive à des tricheurs ou tricheuses ?
Comment sont-ils punis ici ?
Vicky répond en recevant une punition sur le cul M.

   Très bien répondue ma belle et pour commencer votre punition, vous perdez le droit de porter notre uniforme que l’institut vous fournit. Je vous les confisque, vous les enlevez tout de suite, les plier et les déposer dans les boites identifier à vos noms en face de vous. C’est un ordre, vous n’avez aucun autre choix, vous êtes en punition pour les sept prochain jours et priver de sorti. Ça veut dire que même le soir vous rester ici, personne de vous quatre ne rentre à la maison pour la soirée et la nuit.

  Vous allez vivre ici jusqu’à mardi prochain inclusivement. Même pour les coucher, vous aurez chacun votre dortoir au sous-sol. Je me suis bien fait comprendre, j'espère. Pour ce matin, c'est 25 coups d'une de ses deux tawses qui sont ici devant vous sur la table que vous recevrez ici dans cette salle. Ça remplacera la ceinture que vous, vous avez utilisée samedi pour rougir les fesses de votre amie. Les étudiants commencent à enlever leur uniforme tranquillement et le directeur rajoutent. Pour le moment, vous gardez le privilège de garder vos sous-vêtements. J’ai bien dit pour le moment parce qu'à partir de 11 h 15 nous allons nous déplacer à l’auditorium. J'ai convoqué tous vos camarades et employés. Ils ont tous rendez-vous là-bas. Sur la scène, devant les gens qui seront présents dans la salle, vous devrez expliquer pourquoi vous êtes tous en punition. Et après vos explications, on passera à l'autre partie de votre punition, la plus humiliante.

   Le directeur me demande d’aller chercher les deux professeures qui sont en attente dans la salle des profs et de les ramener ici. Je me lève et part dans l’autre salle les cherchées Mlle Garcia, Maria la prof de langue étrangère et Mme Solange la prof de science qui sont en attentent dans la salle des profs. Quand j'entre, je les vois assises chacune dans leur coin. Elles me semblent extrêmement nerveuses. Je leur demande de me suivre. On rentre tous les trois à l’intérieur de la salle où se trouve les autres. Les deux profs aperçoivent les quatre étudiants Gino, Fabien, Vicky et Clara qui sont seulement vêtus que de leurs sous-vêtements. Les deux gars sont déjà courbés sur la table en face eux. Ils sont appuyés sur leurs mains et leurs avants bras et prêts pour recevoir les premiers coups. Le directeur invite Mlle Garcia et Mme Solange à s’ajouter au quatre autres au côté de Vicky.

   Mme Solange qui est la dernière de la ranger des punis, rouspète dit au directeur qu’elle ne sait pas pourquoi elle est suspendue de son poste.
Quelle est la raison pour qu’elle soit amenée ici ?
C'est bien clair, lui dit le directeur, vous deux vous avez vendu vos examens à des étudiants. Ceux-ci qui sont à votre gauche.
C’est passible de punition au même titre que les étudiants qui trichent. Aussi, je ne sais pas pour vous, mais ce qui en est de Mlle Garcia, elle a eu des liaisons. Elle a obtenu des faveurs sexuelles avec deux de ces étudiants, en guise de paiement. Les relations amoureuse sensuelle sont strictement interdites entre étudiant et personnelle ici ou prof et étudiants, et en plus deux mineurs. Et maintenant vous deux toujours en parlant ou deux profs. Je vous ordonne de se dévêtir complètement et j’ai bien précisé de tout enlever, robe, sous-vêtement, tout ce que vous portez, précise-t-il, même les bas doivent s’enlever aussi.

  Laurie 

     Je regarde la pauvre Mlle Garcia Maria qui est à l’aube de ses 27 ans et toute petite, 1 m 57 environs et environs 55 kg et des poussières. Moi, je fais 1 m, 61 et elle est un peu plus petite que moi. Mais ce que j'admire chez elle c'est qu'elle est en superforme. Je m’entraîne avec elle à l’occasion et je ne suis pas capable de la suivre. Maria commence doucement à enlever sa robe avec une gêne terrible, elle s’est retourné dos à la salle. C'est tout à fait normal, moi aussi si je serais à sa place et être obligée de me mettre à poil devant tout le monde ici, je réagirais de la même manière. Mme Solange, elle aussi, ses positionnés dos à la salle. Solange, tous ses élèves l’appel Mme Solange, elle, elle a 38 ans. 

   Elle à lune poitrine beaucoup plus volumineuse que Maria et même moi. Je parle de Maria avec ses petits seins, mais moi les miens ne sont pas beaucoup plus gros. Je ne voudrais surtout pas être à leurs places devant tous ces gens ici. Maria qui a quitté sa robe et n’a pas de soutien essaie de cacher le plus possible sa poitrine. Tout dépendant ou on est assis dans la salle, c'est impossible que personne ne voie ses petits seins. Maria porte rarement un soutien-gorge, c'est presque toujours une camisole sport qu'elle porte sauf aujourd'hui. Elle me dit souvent à la blague que ça ne vaut pas la peine, c'est comme si un gars voudrait en porter un. Mais moi, je n’ai pas beaucoup plus de poitrine à cacher qu’elle, mais j’en porte quasiment toujours un soutien. Maria a de tout petits seins, mais très dure-moi, je trouve ça minions. Elle a une superbe chevelure très épaisse noire aux épaules, un corps d’athlète superbe, très belles fesses fermes que j’ai l’occasion de voir de temps en temps quand on est à la douche après l'entraînement. Elle est très pudique, tout comme moi. Je la vois très rarement, ne se circuler nue dans le vestiaire contrairement à d’autres filles qui aiment se promener nues pour qu’on puisse les regarder.

   Maria est toujours dos à nous et n’ose pas enlever sa culotte. M le directeur lui claque les fesses et prend chaque côté de l’élastique de sa culotte et la baisse jusqu’à ses chevilles. Il lui dit là prochaine fois avant de poser un geste stupide comme vous avez fait Maria, vous allez vous souvenir de cette punition humiliante et il rajoute. Maria, tu poses ta culotte est tes bas dans la boite avec ta robe, et pour vous deux aussi, c'est jusqu’à mardi prochain que vous serez en punitions, comme vos étudiants la même punition s’applique.

   Pendant que Mme Solange fini d’enlever ses derniers vêtements et est nue, Maria veut parler. Solange aussi et très belle pour une femme de 38 ans. Elle ne parait pas du tout son âge. Si je ne connaissais pas son âge, je ne lui donnerais pas plus que 31, 32 ans max et peut-être moins. Maria qui est juste à côté de Solange et en pleure dit au directeur. M. j’ai quelque chose à vous dire M. Le directeur se revire et demande que veux-tu rajouter pour essayer de te sauver de l'humiliante punition que tu vas recevoir. Maria déclare que Solange n’a rien à voir dans cette histoire. Je suis désolée pour Solange de l'avoir fait humilier ainsi. 

   C'est moi qui aie photographié son examen et les corrigés avec mon mobile. J'ai fouillé dans sa case jeudi passé et j’ai trouvé les copies, c'est moi seule la coupable. M le directeur commence à changer de ton envers Maria en lui claquant encore une fois les fesses de plusieurs coups et là tourne face à nous et l’oblige à croiser ses bras dans son dos et lui interdit de bouger. Pendant que mes collègues Claude et Ginette, l’assistante de M Ponge a commencé à punir les deux filles Vicky et Clara. Le directeur dit à Mme Solange de remettre sa robe et d’aller finir de s’habiller dans son bureau, mais Solange remet seulement sa robe et sa culotte et reste avec lui.

   On entend les claquements des lanières frapper sur les fesses des deux filles et leurs cris qui doivent s’entendre dans le hall d'entrée. La porte est grande ouverte et c’est vraiment échos s'il y a des personnes qui circulent, ils entendent sûrement le bruit des coups de lanière que chaque fille reçoivent en même temps sur les fesses. Même si ce n'est pas sur les fesses nues, ça résonne beaucoup. Claude et Ginette sont pas mal synchronisées pour donner chaque coup. Les deux se regardent avant de frapper les fesses de chacune des filles. Maintenant rendues au vingtième coup, Clara qui cri et supplie d’arrêter se met à genoux les mains sur ses fesses. Clara supplie demande d’arrêter, elle à trop mal. M le directeur la saisie par un bras, la remet debout et la repositionne. Il lui conseille de ne plus bouger et de tenir sa position jusqu’à la fin pour ses cinq derniers coups.  

   Samedi quand tu t'es amuser à rougir les fesses de ton amie Gina, elle ne pouvait pas se débattre, vous l'aviez attaché, toi tu est chanceuse de ne pas être attacher au centre ici. Je vais te maintenir les bras pour t’empêcher de remuer. En la maintenant fermement immobile, le directeur demande à Claude de lui descendre sa culotte. Claude s’empresse de lui descendre sa culotte comme le directeur la demander même si Clara sert les cuisses pour empêcher que sa culotte descende. Claude réussie quand même à la descendre à ses chevilles et lui enlève. Claude pose la culotte sur la table. Maintenant Claude, tu la mets nue, demande le directeur à Claude. Claude dégrafer son soutien-gorge et lui descendre ses bretelles aux coudes. Claude obéi au ordre et son soutien est à plat sur la table. Clara est nue, elle aussi, devant nous tous. J'aperçois ses petits seins tous mignons, car moi, je suis juste à côté d’elle avec sa mère à ma gauche, ce qui nous donne une bonne vue sur l’action. Clara est une belle châtaine cheveux bouclée aux épaules. Elle est pas mal dans mes grandeurs et de ma taille. Clara a de superbes petites fesses bien rondes, et hanches bien taillé attire plusieurs regards donc le mien.

 

       Ses petits seins ne bougent pas, ne pendent pas du tout tellement qu’ils sont fermes quand ses épaules saute et bouge en pleurnichant et reniflant. M le directeur demande aux deux Claude et Ginette d’en finir, qu’on passe à Mlle Garcia. Toi, Clara, tu resteras dans cette tenue pour accompagner ta prof, et Claude occupe-toi que Clara soit entièrement nue comme sa prof. Qu'elle enlève ses bas aussi comme Maria après en avoir fini avec sa fessée. À deux dans la même tenue, cela devrait être moins humiliant.

  Pendant que Claude et Ginette recommence à claquer les fesses des deux filles, la mère de Clara me parle et me dit que Clara n’a jamais reçu une punition aussi dure à la maison. Quand elle devait punir sa fille, c'était rare qu’elle lui claquait les fesses. Les quelques rares fois que c’est arrivé, c'était pardessus ses vêtements quelques petites claques qui l’insultait bien plus que ça lui faisait malC'est pour ça qu’elle est inscrite ici pour l’éduquer, moi je n'ai jamais eu le courage de lui donner une vraie fessée. Ça me fessait mal au cœur de la voire pleurer. C'est dernière année, Clara était rendue très impolie, même envers moi, sa mère, me disait-elle. C’est incompréhensible et inacceptable ce qu’elle a fait à sa meilleure amie Gina ce week-end. Depuis qu’elles sont toutes petites, qu’elle se connaisse et son ensemble, Gina était pratiquement toujours à la maison avec Clara.

Pendant que la mère de Clara me parle en même temps, les deux fesseuses se synchronisent encore ensemble à chaque coup et le bruit des twases sur les fesses continuent de résonner dans la salle. Vicky, tant qu'à elle, commence à plier les genoux presque à chaque coup, mais revient toujours à sa position. Elle a peur de finir nue comme Clara. Vicky se tient le visage à deux mains pour essayer de contenir la douleur et pour ne pas trop regarder les gens dans la salle.

Au dernier coup, le directeur qui tenait toujours les bras de Clara lâche sa prise. Clara tombe à genoux sur le plancher se frottant les fesses et pleurant comme une petite gamine. Vicky elle toujours debout, a pris appuis sur le mur derrière elle et se tient elle, aussi les fesses à deux mains. Le directeur fait relever Clara et la repositionne face aux gens et fait la même chose avec Vicky. Il se tourne vers Maria qui elle est encore bras croisés dans son dos. Le directeur met ses mains sur chacune des épaules de Maria. Il la retourne pour qu’elle soit dos à nous. On la voit tous de dos et ses jolies fesses toute ronde et ferme attire mon regard. Maria ce tien les jambes bien collées et ses cuisses ne se touchent même pas. Le directeur dit à Maria pour toi Maria, j'ai un petit ajout avant de te donner la même punition qu’on reçut tes étudiants il y a quelques minutes.

  Pour commencer, il demande à Maria d’écarter les jambes et avec ses mains de tenir ses chevilles. Tu es en forme, lui dit-il, tu dois être capable d'atteindre tes chevilles. Maria s’oppose et ne bouge pas, elle sait trop bien ce qu’elle va laisser voir et elle est bien trop pudique pour se plier aux exigences du directeur. Je te le redemande pour une dernière fois, lui dit le directeur. Mais en rajoutant que si elle ne prend pas position, il va lui claque son joli petit derrière jusqu’à ce qu’elle obéisse. Maria n'a aucune réaction, même qu'elle se cache avec ses bras, gêner d'être ainsi exposée. C'est bien Maria, moi je vais te faire bouger. En finissant sa phrase au moment, le directeur commence à lui taper la fesse droite de cinq claque et change sur la gauche pour cinq autres coups. Maria a les fesses ferme très dure, c'est à peine si les doigts du directeur écrase les fesses de Maria quand sa main entre en contact avec ses fesses. Mais cela lui donne pareille, une belle coloration à mesure que ses fesses reçoivent des claques. Maria lâche un cri et demande d’arrêter. Le directeur arrête et lui fait signe de se pencher comme il lui avait demandé. Maria s'exécute, mais sans s’écarter les jambes. Une autre série de claques s'abattent sur les fesses de Maria.

Cette fois-ci les fesses de Maria rougissent encore plus, les coups sont encore plus fort, des traces de doigts restent visible sur sa peau. Maria décide de s’ouvrir les jambes. Le directeur claque son entre cuisse jusqu’à ce qu’il soit satisfait de l’ouverture de ses jambes. Toujours en s'adressant à Maria. Mlle, vous allez arrêter de vous moquer de moi maintenant, lui dit–t’-il est ne bouger plus, sinon c'est je double la punition, ça sera 50 coups. Je pense qu'après vos fesses resterons marquées pour un très long moment. Et surtout que dans à peine deux heures, vous en recevrez encore 25 autres avec les autres. Maria vous allez vous promener les fesses zébrées et bien endolories dans le lycée cette après-midi.

Satisfait de la position et davantage de l’humiliation qui fait subir à sa punie, il continue en demandant à sa collège Solange de lui donner la prochaine punition. Cela sera une vengeance pour vous avoir fait humilier gratuitement. Solange, je te donne la permission de lui appliquer une bonne fessée à la main pour commencer. Maria est très bien positionner pour cette première fessée, ce sera un petit réchauffement pour le petit extra que je lui ai promis. Solange accepte avec plaisir et s’approche des fesses bien offertes pour recevoir la punition avec son intimité bien visible.

Solange commence à frapper avec sa main droite et ne ménage pas les fesses de Maria. Elle claque avec force et très rapidement, comme si elle voulait en donner le plus possible. Maria lâche ses chevilles, se redresse et pose ses mains sur ses fesses et refermant ses jambes en suppliant qu’elle arrête. Le directeur prend Maria par la nuque et l’oblique à reprendre sa position en la forçant à se pencher et à retoucher ses chevilles et lui fait écarter à nouveau ses jambes. Maria, tu n'as pas encore eu la permission de quitter ta position. Solange, elle, se frotte la main qui a fessé. Sa main est aussi rouge que le derrière de Maria.

Solange, je pense qu’il est temps de passer à la deuxième punition, dit le directeur. Il invite Solange à choisir l’une des deux straps qui sont posées sur la table devant elle et de se préparer à donner la seconde punition. Le directeur donne la permission à Maria de se relever et de quitter son humiliante position. Le directeur demande à Maria de se retourner face au mur, dos à nous tous, te de mettre ses mains sur sa tête. On voit ses jolies fesses rondes et rouges, et sa raie profonde. C’est dans cette position debout que tu recevras ta fessée, dit-il.

 Le directeur  reste juste à ses côtés et lui défend de baisser ses mains. Solange lève son bras après avoir eu le signal du directeur et frappe en plein centre des fesses ce qui fait lever Maria sur le bout des pieds et en perd l’équilibre elle se repositionne droite puis le  deuxième suit aussitôt.

   Ça continue 3, 4, 5, 6, 7, 8 au 18ᵉ, Maria plie ses genoux plus capables, elle implore d’arrêter. Après quelque instant à reprendre ses esprits, Maria se repositionne et a de la peine à maintenir ses bras dans les airs, elle se retient de ne pas les descendre sur ses fesses. Je regarde les autres punis et je remarque Gino qui lui adore, voire sa prof nue ça l’excite à tel point qu’il est bandé dans son slip. On remarque une bosse énorme et il essaie de se cacher en enlevant ses bras qui était croisé derrière son dos et plaçant ses mains devant son pénis qui est en érection.

  Sa demi-sœur qui remplace son père et sa sœur ainée qui est absent est assise juste en face de lui à sa droite et elle aussi avait remarqué son bandage et souri de voir son demi-frère avec une érection en public. Le directeur le remarque lui aussi et demande à Gino de remettre ses bras dans son dos et lui demande de se retenir. Ça t’excite tant que ça de voir ton prof et ta camarade nue. Si tu es si excité que ça on peut toujours te faire enlever ton slip et montrer a toutes ses dames ici ton pénis en érection. Ça va peut-être te le faire ramollir, regarde ton compagnon Fabien lui tout est normal dans son slip. Tu as l’air d’un petit gars de 12, 13 ans qui n’a jamais vu une fille nue, et qui pour la première fois découvre que son pénis ne sert pas juste à pisser. Le monde dans la salle ont tous le regard sur le slip de Gino et éclatent de rire sur ce qu’a dit le directeur. Gino reprend aussitôt sa position bras dans le dos et devient la face rouge, presque autant que les fesses de sa prof.


  Solange, vous reprenez où vous avez arrêté, il reste sept coups à donner, qu’on en finisse et toi Maria les mains sur la tête. Solange reprend le dix-neuvième, les autres suivent toujours avec la même force. Quand Solange a terminé la punition, elle remet la strap à sa place sur la table et regarde les fesses de Maria. Pendant que Maria se frotte les fesses, le directeur place quatre chaises à la table devant les étudiants en punition. Il demande aux quatre étudiants de prendre chacune chaise placer en face d'eux. Le dirlo leur donne à chacun une feuille identifiée à leur non et qui contient 100 lignes de chaque côté pour qu’ils copient une phrase 200 fois jusqu’au 11 h à partir de 11:00, leur dit-il on se déplace à l’auditorium pour la suite. Maria toi tu restes debout, mains croisées dans le dos pour que tout le monde te regarde nue jusqu’à 11:00. La demi-sœur de Gino demande si les parents peuvent assister à l’auditorium pour la suite. Mais le directeur les invite à quitter, car le reste de ce qui va se dérouler, c’est privé. Juste aux étudiants et employés d’ici qui ont la permission d'y d’assister aux punitions qui se déroulent ici dans l’institut et pas au public de l’extérieur. Les parents quittent tous la salle avec mes collègues sauf Claude qui reste pour surveiller les punis, le directeur les accompagnent vers la sortie. La demi-sœur de Gino, que je ne connais pas du tout, vient me voir et me dit qu’elle aimerait me parler. Elle me demande si j’aurai du temps, une demi-heure ou moins de libre, pas plus. J'accepte et l’invite dans le bureau au 2ᵉ qui nous est attitré à Claude et moi et j’avertis M Lepetit mon chef et Claude que je suis occupé et que je dois rencontrer Amanda la soeur de Gino.

   


Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...