vendredi 8 octobre 2021

Deux nouvelles arrivées a St-Thomas, première fessée a vie

À 20 ans elles goûtent à leur première fessée

 M. Lepetit directeur de la sécurité et discipline à ST-Thomas

La police arrive avec deux filles âgée de 20 ans. C'est un juge qui nous les envoient pour purger deux ans de travaux ici. Ça leur évite la prison parce qu’elles sont jeunes, selon les dossiers que j’ai déjà reçus, et que j’ai étudié avant de les donner à mon assistante Claude. Diana a 20 ans et Gabrielle 21 ans et la juge essaie de donner une seconde chance aux deux jeunes. C'est très fréquent ici d’avoir des filles que la justice envoie pour des sentences à purger ici en travaux ou étude selon leur âge.

Ce sont mes assistantes Claude et Laurie qui les reçoivent. Je traverse dans leur bureau et entend Claude demander aux policiers des libérées de leur menotte et revois les deux policiers. Au même moment que les policiers quittent, une agente de sécurité arrête ici avec les deux nouvelles punies de la semaine, Béatrice et Marie, avant de les conduire à cafétéria pour leur punition de ce midi comme prévu. Les policiers en profitent pour admirer les deux filles nues qui circulent devant eux. Les nouvelles arrivées, Diana et Gabrielle, elles aussi, regarde de la tête au pied les deux étudiantes nues qui arrive. Elles prennent place à côté d'elles et sont surprises de les voir arriver du hall d’entrée nu. ce sont deux filles qui en sont à leur 2ᵉ journée de punition. Moi, je ne dis rien, je suis ici juste pour les observer. Je laisse mes assistantes gérer tout cela à leur manière, mais Claude me voie très bien dans la porte de leur bureau et s'aperçoit, elle aussi, que je ne m'en mêle pas, je la laisse faire. Gabrielle se met à dire, c’est donc vrai ce qui se dit sur les réseaux sociaux à propos d'ici. Ce n'est pas juste que des rumeurs. On torture réellement les étudiants ici et on les humilie nus devant public. J'en ai la preuve devant moi ici avec ces deux filles les fesses marquées au fouet.


Claude prend le temps de se présenter poliment et présente Laurie. Moi, ensuite son supérieur et directeur de la discipline et ensuite les deux étudiantes nues au côté d'elle. Ensuite Claude prend le temps de leurs expliquées le pourquoi de leur tenue et qu'elles n’ont pas été battues comme elle le dit, mais punies. Il y a une grosse différence entre battre une fille et la punir par une fessée pour ton information Gabrielle. Les deux jeunes Mlles à ta gauche sont dans cette tenue pour avoir eu un très mauvais comportement. Alors avant de te faire une fausse idée de ce que tu vois, renseigne-toi sur le pourquoi de leur tenue, ça va t'évite de partir de mauvaises rumeurs et de gros problèmes pour toi. Ensuite, pour changer de sujet, elle fait savoir toutes les conditions de leur séjour de deux ans ici et leur fait lire les règlements à chacune des filles qui viennent d’arriver. Elle leur demande de signer chacune une copie des règlements en vigueur ici. Ensuite Claude leur fait lire l’ordre de la juge. La juge ordonne aux responsables d'ici que dès leurs arrivées à l'institut, le responsable doit leurs administrés à chacune d'elles une punition corporelle. La juge n'a pas écrit n de vous torturer comme se le dit si bien Gabrielle, mais bien de vous punir. Ici, punir quelqu'un, c'est de lui donner une fessée comme un petit enfant, et de l'humilier comme les deux jeunes filles qui sont nues. Et lisez bien, la fin en arrivent ici ce matin, et la juge exige qu'on lui envoie un suivi de la punition. C'est assez grave ça les filles. Pour avoir manqué de respect à la cour fédérale et elle-même la juge ce matin avant de sortir de la salle pour venir ici. C’est très bien inscrit et signer de la main de la juge. Qu’on doive vous administrer à chacune 20 coups de lanière de cuir en public et de lui envoyer des preuves que son ordre, c'est bien exécuté dans la journée. Lisez et constatée que ce ne sont pas des rumeurs. Ce n'est pas moi qui l'invente, c'est signé de la juge. Ce n’est pas fréquent qu’un juge exige qu’on punisse un détenu à son arrivée ici, mais il y a toujours des exceptions.

  Claude me regarde sans me parler pour voir ma réaction. Elle demande à Laurie, sa collègue et l’agente de sécurité Madeline de s’occuper des deux punies Béatrice et Marie pour qu’elles prennent place à l’heure prévue dans leur salle attitrée pour leur punition prévue de ce midi. Les gens vont s’impatienter si elles ne sont pas en place, beaucoup d'entre eux vont se plaindre. Tout le monde savent bien que ce midi, il y a des punitions d'annoncé. Diana supplie et argumente avec Claude pour oublier ce qu’elle vienne de lire et que la juge est bien loin d’ici de bien laisser tomber cette note. Mais Claude les arrêtent et leur dit qu’elle n’a pas le choix, C'est un ordre de la juge et ça doit être accomplie ce midi et en public. Vous l'avez lue tous les deux. La juge s’attend à avoir les résultats de votre punition cette après-midi. Et si je vous fais un passe-droit, c’est moi qui serais puni avec vous deux. Cette juge, je commence à la connaître, elle tient ses dossiers à jour et mes patrons vont recevoir un mot d’elle dans les jours à venir pour me punir aussi pour ne pas avoir obéi à ses ordres.  
          
  Maintenant Diana et Gabriel suivez-moi 
 
 Moi, étant son supérieur, je trouve qu’elle a bien appris en un an ici et je la laisse gérer tout cela. Je trouve qu’elle se débrouille très bien, elle explique aux deux filles qu’elle va leur donner une chance. Ici, c'est nu qu’on aime donner la fessée à des grandes filles comme vous, leur explique-t-elle. Mais je vais vous faire une grande faveur et ne le dites pas, ça restera entre nous trois, Claude me regarde en souriant. Si vous êtes gentilles et coopéré, je vais vous administre vos punitions dans la salle des profs, leur dit-elle. Et sûrement pour les mettre un peu plus en confiance. Elle leur dit que dans la salle des profs le midi, il y a peu de gens, une dizaine de profs environs. Majoritairement tous féminins qui mangent ensemble. Ce sera moins humiliant entre fille que dans une des deux salles à manger public avec des centaines de personnes et c'est mixtes, il y a des gars. Les deux étudiantes se dirigent dans ces salles. C'est devant 300 personnes et plus que Béatrice et Marie vont subir leur punition, attacher nu au centre de la salle devant tous ces curieux et curieuses qui adore ça, voire une fille se faire fouetter les fesses.    
Moi aussi, je les suis, j’aime voir comment mon personnel se comporte et je la laisse faire Claude et Laurie, elles prennent vite de l’expérience pour leur âge et si quelque chose ne va pas, je leur dirai.

Avant d’entrer dans la salle, des profs Claude les amènent dans l'une des deux salles à manger et fait rentrer Diana et Gabrielle. Il y a foule de monde, plusieurs attendant dans la longue fille pour être servi. D’autre sont déjà installés aux tables avec leur repas et regardent vers le centre de la salle la fille que Laurie fini d'installer pour sa punition. Ils y en a plusieurs qui sont en route tenant leur cabaret pour aller s’asseoir pour manger. Mais tous ces gens ont le regard au même endroit, le centre auquel est exposée Maria nue. Malgré le bruit qu’occasionnent les déplacements et les commentaires des gens il y a un bruit qui enterre presque tout . 
On entend résonner dans la salle des coups de strap que Laurie a commencée a administré sur les fesses de Maire. Ses cris qu'elle ne peut s’empêcher de faire par la douleur qu'elle doit ressentir sur ses fesses qui étaient déjà bien rouge. Mais surtout ce qui retient l’attention de Diana et Gabrielle. C'est tous ces gens, leur regard qui se dirige vers le centre de la salle et regarde Marie attacher par les poignets et à chaque cheville, les jambes bien écartées, nu et recevant sa fessée avec son intimité bien à la vue. Maintenant les filles, dit Claude, regarder une des deux filles que vous avez aperçues nu dans mon bureau. C'est Marie, l’humiliation qu’elle est en train de subir. Attacher nue devant des centaines de personnes ces camarades de classe qu’elle côtoie tous les jours, ça pourrait être. Vous pourriez être, après elle si vous n'en faite qu'à votre tête. À présent, suivez-moi, on traverse dans l’autre salle, je vais vous montrer Béatrice. Elle aussi, doit être attaché au centre de la salle des 3ᵉ année et des finissants recevant sa punition. En prenant un raccourci, on traverse par le vestiaire des employées des cuisines, ce qui est interdit pour les étudiants et les employés qui ne font pas partie de la cuisine, mais Claude en profite. On ressort directement dans l'autre salle. C’est encore plus bruyant que dans cette salle ici. Il y a beaucoup plus de gars et plus vieux, aussi la majorité des étudiants ici gars ou filles ont 18 ans et plus.

Diana, Gabrielle, je vous ai montré jusqu’où on peut aller ici dans cet institut quand on parle de punition corporelle. Ce que vous voyez ici, c'est la pire sentence qu’un étudiant ou employer peut subir et cela est très fréquent d’avoir des punis ici dans ces salles. Même, regardez bien, juste au côté de Béatrice qui est en train de se faire chauffer les fesses, il y a une deuxième fille attaché nu et qui attend sa punition elle aussi. Vous allez vous y habituer, c’est presque à tous les jours ici qu’il y a quelqu’un nu en attente d’être puni et la nudité fait partie de sa punition. Les punis pour la plupart passent le reste de la journée nu. Si vous n’obéissez pas ou ne voulez pas coopérer pour votre punition, c'est ici ou de l'autre côté que je vous fais attacher. Je vous ferai déshabiller sur l’estrade devant tout ce beau monde avant. Après votre exposition nue sur l'estrade, je suis sûre que vous serez très populaires. Des nouvelles arrivées qui se mettent a poil. Vous allez être le sujet de conversation de tous. Après je vais vous faire déplacer, marcher entre ses gens, et attacher au centre de la salle. Pensez-y comment ça doit être humiliant et en plus puni une fessée entièrement nue et en public a votre âge, comment ça doit être humiliant, être à la place de Marie et Béatrice en ce moment. Ensuite, je vais vous allez circuler nu pour le reste de l’après-midi pour votre visite de l’institut et de votre petit appartement. Les deux filles restent figés de, voire une fille être punie de cette façon, les cris qu’elle laisse entendre et le monde tout autour qui ont l’air à aimer ça.


M Lepetit- 
Claude me surprend, c'est une bonne idée que de les apeurer pour qu’elles obéissent

Claude fait ressortir les filles, on retourne du côté administration qui est séparé des étudiants, et en route vers la salle des profs, Claude demande à Diana si elle a déjà reçu une punition corporelle ? (une fessée plus précisément, lui dit-elle) dans sa vie. Diana, un peu gêner, lui répond que non, jamais ses parents l’ont punie de cette manière-là par la fessée. Seulement des privations de sortie ou quelque engueulade, mais jamais de fessée. Gabrielle, elle lui répond que son père lui a déjà donné une fessée une seule fois il y a environ 5 ans, elle avait 15 ans à l’époque. C’était dans sa chambre, coucher sur son lit et sur la jupe avec une ceinture, ça avait fait très mal, nous dit-elle, les cinq coups qu’elle avait reçus.

Rendus à l’intérieur de la salle des profs, Claude salut les quelques profs qui mangent et sont tous rassemblés ensembles. près de l’entrée de la salle et à l’autre bout l’espace est vide. Moi, je m’appuie sur les casiers des profs. J'observe Claude qui fait placer les deux filles au centre des grandes tables qui font un rond autour de la salle et face aux profs qui mangent ensemble. Claude commence à expliquer aux gens présents pourquoi ces deux nouvelles filles sont ici et ce qui va se passer. Elle demande à deux des profs qui sont présentes , Mlle James prof en informatique et Mlle Garcia prof de langue étrangère de venir la seconder. J'entends ensuite Claude dire. Diana, je commence par toi. C'est ta première vraie fessée que tu vas recevoir ce midi. Claude lui d'enlevé tous tes vêtements soulier et bas compris comme je te le déjà dit.
Claude
C'est nu que tu recevras ta punition, une fessée ici se donne sur les fesses à l’air, pas autrement. Et la juge à ordonner que tu sois punie nue aussi, et tu n’as pas le choix. Alors obéi, sinon on retourne à la salle à manger pour ta punition et là aussi, ce sera nu aussi, mais avec beaucoup plus de spectateur. Moi, pendant que tu te déshabilles, je vais demander à Ginette en face de nous de venir prendre des photos de toi durant ta punition qui resteront exclusivement dans les archives et pour satisfaire Mme la juge.

 M. lepetit----

Mais je m’aperçois que Diana ne bouge pas et regarde son amie Gabrielle qui a l’air à vouloir obéir elle et à déboutonner son jeans à côté d’elle. Diana dit à Claude que la juge à spécifier qu’elle devait recevoir une punition corporelle comme une fessée. Pour ça, c'est vrai, mais qu’elle trouve déjà très humiliant a 20 ans, recevoir une fessée comme un enfant. Mais par conte la juge n’à pas exiger et spécifier que ce sois nu pour recevoir ma punition, donc moi, je reste avec mes vêtements. Je ne suis pas capable de me mettre nu devant toutes les personnes qui sont ici, c'est mon intimité et j’ai le droit de la conserver, et surtout devant les deux hommes qui sont ici.           

Je regarde Claude qui la gifle sur la joue droite et lui claque les fesses ensuite avec sa main. Elle se retourne vers Gabrielle et lui demande si elle, elle obéit. Claude lui demande de lui donne ses vêtements où elle veut suivre l’idée de son amie qui va le regretter. Gabrielle qui avait déjà détaché son jeans coopère et commence à enlever ses chaussures et ses bas ensuite. C'est autour du jeans à tomber sur ses chevilles et à être posé sur la table à l’arrière d’elle. Elle se sent probablement gêner de montrer son petit string rose, car elle place ses mains devant son sexe. Claude saisir le bas de son t-shirt et le remonte au-dessus de sa poitrine même si ses bras sont croisés et atteints ses épaules. Ensuite elle lui passe son t-shirt par-dessus la tête et lui ordonne de lever ses bras au-dessus de sa tête sans résister. Gabrielle s’exécute et lève ses bras et son t-shirt quitte sa tête et rejoint son jeans sur la table. On aperçoit, son soutien rose qui protège encore ses seins. Gabrielle redescend aussitôt ses bras et les croisent sur sa poitrine. 
 
Tu es une bonne fille lui dit Claude, ensuite Claude passe à l’arrière de Gabrielle ce qui nous laisse apercevoir son superbe corps à moitié nu. Claude ensuite défait l’attache de son soutien qui est dans son dos et fait descendre les bretelles de ses épaules jusqu’à ses coudes. Ses bras croisés sur ses seins, le soutien-gorge ne bouge pas. Claude se met à genoux et saisi alors le string de Gabrielle et le descend à ses chevilles même si Gabrielle sert les cuisses pour l’empêcher de descendre. Le petit vêtement se retrouve sur le sol et on a pu entrevoir brièvement son duvet châtain et sa fente parce que Gabrielle a redescendu ses mains presque instantanément sur son pubis pour cacher son intimité. Mais son soutien suit aussi jusqu’aux poignets. Elle se retourne très rapidement face à Claude qui elle se relève donc dos à nous tous, nous laissant, voire ses jolies fesses avec là trace de bronzage de son maillot, la moitié des fesses bronzées et l’autre moitié blanche. Gabrielle est nue dos à moi, jambes croisées. Elle est magnifique, belles fesses rondes, cheveux châtains au milieu du dos, Claude lui enlève son soutien et lui demande de placer ses bras sur sa tête, Gabriel Obéi et monte ses bras en se mettant à pleurnicher.

  Claude là laisse dans cette position dos à moi et se retourne vers Diana. Elle lui donne une dernière chance de se dévêtir seul ici en la menaçant de demander aux hommes qui sont ici (moi et Jean le prof d’éducation physique) de la dévêtir de force. Et sa punition se tiendra à la cafétéria en circulant nu dans les corridors si elle n’obéit pas. Diana se retourne et enlève son gilet noir. Elle le place à côté des vêtements de Gabrielle, elle aussi, porte un soutien qui est blanc. Diana retire ensuite ses chaussures, ses bas et son jeans descendent à ses chevilles. Elle reste dos à nous et retire son jeans de ses chevilles. tout en retirant son jeans Diana regarde Gabrielle qui est fesses à l’air au côté d’elle. Je regarde Diana en sous-vêtements et elle est aussi est superbe que Gabrielle. Un soutien blanc que son bras gauche recouvre maintenant et un string noir qui nous laisse voir ses jolies fesses. Une belle grande chevelure dorée et épaisse qui atteint le bas de son dos presque à sa raie de fesses, deux superbes filles de la même taille.

          

Claude demande à une des deux profs Maria de placer une chaise juste à côté de Gabrielle pendant qu’elle se dirige à l’armoire au fond. Claude revient avec une sangle de cuir, une strap un paddle de bois et des ciseaux qu’elle dépose ensuite sur la table à côté des vêtements des filles.

En se retournant, elle agrippe Diana par un bras et l’entraîne avec elle vers la chaise et s’assoit sur la chaise. elle fait coucher Diana sur ses genoux sans que Diana ait le temps de réagir. Diana est couchée sur les genoux de Claude, la tête qui touche quasiment le sol, ses long cheveux traine sur le sol. Diana essaie de se débattre et de se relever, mais Claude la l'emprisonne très solidement. Claude demande à Claudette, une prof, de lui maintenir les bras fermement pour l’immobiliser et de ne pas la lâcher avant qu’elle lui dise. Claudette se met à genoux et lui immobilise les bras entre ses jambes ce qui la limite dans ses débattements. Claude demande à Maria, l’autre prof qu'elle avait demandé de l’assister, de lui donner les ciseaux,

Les ciseaux en main Claude s’adresse à Diana. Ici à l’institut quand on donne un ordre, il faut obéir sinon on rajoute une punition et que sa pudeur, elle s’en foutait. Diana c’est tout ce que mérite recevoir une fessée supplémentaire comme une gamine qui en fait qu’à sa tête. En même temps que Claude lui parle, elle coupe son petit vêtement qui protégeait encore son intimité et le retire d'entre ses jambes. Pour l’instant ma belle, tu n’as plus besoin de ce petit vêtement. Ensuite Claude coupe les bretelles de son soutien laisse tomber les ciseaux au sol et détache l’attache de son soutien. Le soutien-gorge tombe au sol et Claude lui empoigne un sein avec sa main droite en lui disant. J'aime tes petits seins, ils entrent à merveille dans ma main, juste la bonne grosseur. Tu vois maintenant que tu es à poil tous les gens ici te regarde. Tu es le point de mire de tout ce beau monde, une douzaine de personnes. C'est moins humiliant qu’une salle avec plusieurs centaines de personnes, mais c'est gênant pareil. Et ça ne t’a pas tué, tu respires encore à ce que je peux, voire.

En retirant sa main de sur le sein de Diana Claude remonte sa main sur ses fesses en les flattant. Et littéralement descend sa main entre ses cuisses pour lui passer ses doigts sur sa fente. Diana proteste traite Claude de cochonne de salope d’enlever ses doigts de son sexe. Mais Claude avec sa main gauche lui claque les fesses et lui dit de se fermer, qu’elle n’est pas en position de donner des ordres et de rester polie. Diana, tu dois adorer ça te faire caresser la chatte puisque ça commence à être humide ici. Claude demande ensuite à Maria de prendre la strap qui est sur la table et de se préparer à donner les 20 coups de strap à Gabrielle dans la même position qu'elle se tient présentement. Debout dos à nous et avertie Gabrielle que si elle enlève ses mains de sur sa tête pour protéger ses fesses durant sa fessée. On recommence le compte à zéro, tu m’as bien comprise. Et tout le temps que Maria va te donner ta fessée jusqu’au dernier coup, moi, je vais claquer les jolies fesses de ton amie rebelle, coucher sur mes genoux, fesses à l’air pour sa première fessée. Elle va regretter d’avoir refusé d’obéir. Gabrielle, je te le répète, si tu bouges les mains de leur position, on recommence ta fessée à zéro. Tu allongeras aussi la punition de ta copine. Elle aussi sa fessée va continuer tan que la tienne n’es pas terminé, donc pense aux fesses de ta copine aussi avant de baisser les bras pour protéger tes fesses. Ginette, elle, s’approche des deux punies pour prendre quelques photos des deux filles recevant leur fessée comme exiger par la juge

   
Je vois Maria qui ajuste sa distance avec les fesses de Gabrielle en lui donnant deux petits coups avec la strap de cuir bien rigide. Maria lève ensuite son bras bien haut pour lui donner le premier coup en travers des fesses. Claude, elle commence à claquer les fesses de Diana avec force. Diana, elle, essaie de se déprendre de l’emprise que Claudette à sur ses bras et ses épaules, mais Claudette ne lâche pas prise et lui maintient les bras bien immobile entre ses jambes. Les fesses de Diana rougissent très rapidement et Diana la supplie d’arrêter, ça lui fait très mal, lui dit-elle. Mais Claude ne modère pas et frappe toujours au même rythme et force. D’après moi Diana va recevoir plus d’une centaine de claques sur les fesses à la vitesse que Claude claque les fesses. Gabrielle aussi cri à chaque coup que ses fesses reçoivent et a l’occasion ses mains quitte sa tête. Maria lui rappelle que si elle touche à ses fesses, sa copine et elles vont souffrir encore plus. Maria, elle aussi, frappe les fesses de Gabrielle avec force à chaque coup qu’elle donne. On distingue la marque que la strap laisse sur sa peau blanche et les cris que Gabrielle laisse entendre aussi le démontre que ça lui fait mal. 
 
Au même moment que Maria donne ses derniers coups sur les fesses de Gabrielle et que Claude arrête de claquer les fesses de Diana, Marie arrive de sa punition du midi, les fesses encore très rouge. Laurie la suit, quelques secondes plus tard, c'est Béatrice qui rentre dans la salle, elle aussi, les fesses rouges avec l’agente de sécurité qui l’accompagne. L’agente me dit pauvre, Béatrice et Marie. Je ne changerai pas ma place avec elles. Se montrer nu devant tous ces gens des journées entières et se faire punir en public plusieurs fois par jour. Ça doit finir par faire très mal et c’est surement très humiliant dans les couloirs. Il y en a qui leur disent des commentaires peu flatteurs et même plusieurs leur claque les fesses en passant près d’elles. Claude demande à Claudette de lâcher les bras de Diana et fait relever Diana debout. Plusieurs autres profs arrivent dans la salle pour ramasser leur livre et regardent tous les deux nouvelles et splendides filles nues au centre de la salle, les fesses rouges et me demande ce qui leur arrivent. On doit être rendu une trentaine dans la salle présentement et plus peut-être. 

  Revenu sur pied au centre de la salle, Diana est en pleure, les joues pleines de larmes. La première réaction que Diana a en étant sur pied, c'est de se mettre dos à nous et de se frotter les fesses a deux mains. On peut tous voire la belle couleur que ses fesses, on prise avec la fessée reçue, mais on n’a pas pu distinguer sa fente et ses petits seins, encore, elle ne sait jamais retourner directement face à nous encore. Gabrielle aussi, ses fesses ont une belle couleur et elle est toujours restée dos à nous. Claude exige que les deux filles croise leur bras dans leur dos et se retourne vers nous tous. Claude leur dit les gens ici ont assez vu vos fesses il est temps de leur montrer votre intimité. Mais ça semble difficile aux filles de montrer leur intimité, aucune des filles ne bouge et reste dos à nous.
 
 Claude demande à Laurie de prendre la palette de bois et de donner cinq coups a chacune. Aussitôt que Gabrielle entend dire cinq coups, elle se retourne face à nous et croise ses bras dans son dos. J'ai l’impression que ses fesses lui font encore mal et elle ne veut sûrement plus recevoir d’autre claque. C'est là qu’on aperçoit son intimité, ses beaux seins, sa fente et la repousse de son duvet, son petit triangle qu'elle devait avoir ne parait presque plus, ça fait quelque temps qu’elle ne s’est pas rasée. En prison, ce n'est pas trop faisable. Diana, elle n’a pas bougé, mais en regardant Laurie qui s’apprête à lui claquer les fesses avec la palette, elle aussi, se retourne et mets ses bras dans son dos, tout le monde ici les regardent, ses deux belles filles nues et exposer au centre, enfin, on peut tous voire Diana de face, elle aussi son poil à recommencer à pousser. Elle devait se garder une petite ligne en haut de sa fente ont là distingue encore au travers de la repousse.

Pendant que les profs retournent à leur salle de cours et que la salle ici se vide. Claude demande à Laurie de changer sa palette pour la strap, et de se mettre au côté de Diana. Donne-lui sa deuxième punition, lui demande-t-elle. Diana se met à genoux devant Claude. Elle lui demande de ne pas la punir encore, elle a compris sa leçon et elle sera obéissante à l’avenir ses fesses lui font trop mal encore. Mais Claude la relève en la prenant par une oreille et lui fait reprendre sa position. Cinq coups au lieu de 20 juste pour les photos que la juge exige et on arrête ensuite. 
 
Étant donné que tu es une gentille fille maintenant pour une première expérience de la fessée, je n’ai pas ménagé tes fesses et tu n'as pas aimé ça, tes petites fesses te font encore très mal. Je peux, voire qu’elles sont très rouges. Et en le touchant, je m’aperçois qu’elles sont encore très chaudes, dit Claude pour rire un peu de Diana. Avec les cinq prochains coups de palette, tu auras encore plus mal à tes fesses et pour quelques jours. Regarde les fesses à ton amie Gabrielle. les tiennes seront aussi rouges. Laurie recommande à Diana de ne pas bouger, de garder ses bras croisés sinon c’est deux coups supplémentaires qui se rajoute si ses mains descendent sur ses fesses. Elle lui claque les fesses, premier coup Diana lâche un cri, un deuxième sabbat Diane fait une grimace. Claude, elle photographie tout, Laurie lui applique le troisième Diane cri et résiste ne bouge pas, mais demande d’arrêter, elle a mal, Gabrielle est Juste à côté et regarde son amie se faire claquer les fesses et ferme les yeux à chaque fois que la palette claque les fesses de Diana. Laurie, elle continue le quatrième et le dernier suit. 
 
À la seconde suivante, Diana hurle et se frotte les fesses à deux mains et supplie Laurie d’arrêter. C'est fini, lui dit Claude maintenant, tu sais, c'est quoi recevoir une fessée à 20 ans, c'est humiliant. Gabrielle, elle, s’est retourné et ramasse son soutien pour le remettre. Claude lui enlève et ramasse tous les vêtements et les envoie dans une boite le long du mur. Gabrielle ici quand tu es en punition, tu attends les ordres pour bouger, lui dit-elle. Gabrielle lui dit qu’elle a hâte de se rhabiller, Claude sort deux sarraus de l’armoire et les donne aux filles pour qu'elles les mettent et seulement leur chaussure. Leurs vêtements vont au lavage et leur effet personnel arriverons en fin d’après-midi par transport. Diane lui demande si elles feront la visite que Claude leur avait dit avec uniquement un sarrau sur le dos. Claude lui répond que oui, ses vêtements ont l’air trop sale. Maintenant, on va tous manger et après, c'est la visite, Diane lui dit qu’elle ne sait pas si elle pourra s’asseoir pour manger, elle a trop mal aux fesses.

Moi, je laisse mes adjointes avec leurs nouvelles arrivées et je rejoins mon collègue Gilles, le directeur général de l’institut. On a un repas conférence dans un restaurant avec le ministère de la Justice et les autres directeurs des instituts comme le nôtre pour les nouvelles directives.

          


  


             

                 

                   

           

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    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...