À 20 ans elles goûtent à leur première fessée
M. Lepetit directeur de la sécurité et discipline à ST-Thomas
La
police arrive avec deux filles âgée de 20 ans. C'est un juge qui nous
les envoient pour purger deux ans de travaux ici. Ça leur évite la
prison parce qu’elles sont jeunes, selon les dossiers que j’ai déjà
reçus, et que j’ai étudié avant de les donner à mon assistante Claude.
Diana a 20 ans et Gabrielle 21 ans et la juge essaie de donner une
seconde chance aux deux jeunes. C'est très fréquent ici d’avoir des
filles que la justice envoie pour des sentences à purger ici en travaux
ou étude selon leur âge.
Ce sont mes assistantes Claude et Laurie
qui les reçoivent. Je traverse dans leur bureau et entend Claude
demander aux policiers des libérées de leur menotte et revois les deux
policiers. Au même moment que les policiers quittent, une agente de
sécurité arrête ici avec les deux nouvelles punies de la semaine,
Béatrice et Marie, avant de les conduire à cafétéria pour leur punition
de ce midi comme prévu. Les policiers en profitent pour admirer les
deux filles nues qui circulent devant eux. Les nouvelles arrivées, Diana
et Gabrielle, elles aussi, regarde de la tête au pied les deux
étudiantes nues qui arrive. Elles prennent place à côté d'elles et sont
surprises de les voir arriver du hall d’entrée nu. ce sont deux filles
qui en sont à leur 2ᵉ journée de punition. Moi, je ne dis rien, je suis
ici juste pour les observer. Je laisse mes assistantes gérer tout cela à
leur manière, mais Claude me voie très bien dans la porte de leur
bureau et s'aperçoit, elle aussi, que je ne m'en mêle pas, je la laisse
faire. Gabrielle se met à dire, c’est donc vrai ce qui se dit sur les
réseaux sociaux à propos d'ici. Ce n'est pas juste que des rumeurs. On
torture réellement les étudiants ici et on les humilie nus devant
public. J'en ai la preuve devant moi ici avec ces deux filles les
fesses marquées au fouet.
Claude prend le temps de se présenter
poliment et présente Laurie. Moi, ensuite son supérieur et directeur de
la discipline et ensuite les deux étudiantes nues au côté d'elle.
Ensuite Claude prend le temps de leurs expliquées le pourquoi de leur
tenue et qu'elles n’ont pas été battues comme elle le dit, mais punies.
Il y a une grosse différence entre battre une fille et la punir par une
fessée pour ton information Gabrielle. Les deux jeunes Mlles à ta gauche
sont dans cette tenue pour avoir eu un très mauvais comportement. Alors
avant de te faire une fausse idée de ce que tu vois, renseigne-toi sur
le pourquoi de leur tenue, ça va t'évite de partir de mauvaises rumeurs
et de gros problèmes pour toi. Ensuite, pour changer de sujet, elle
fait savoir toutes les conditions de leur séjour de deux ans ici et leur
fait lire les règlements à chacune des filles qui viennent d’arriver.
Elle leur demande de signer chacune une copie des règlements en vigueur
ici. Ensuite Claude leur fait lire l’ordre de la juge. La juge ordonne
aux responsables d'ici que dès leurs arrivées à l'institut, le
responsable doit leurs administrés à chacune d'elles une punition
corporelle. La juge n'a pas écrit n de vous torturer comme se le dit si
bien Gabrielle, mais bien de vous punir. Ici, punir quelqu'un, c'est de
lui donner une fessée comme un petit enfant, et de l'humilier comme les
deux jeunes filles qui sont nues. Et lisez bien, la fin en arrivent ici
ce matin, et la juge exige qu'on lui envoie un suivi de la punition.
C'est assez grave ça les filles. Pour avoir manqué de respect à la cour
fédérale et elle-même la juge ce matin avant de sortir de la salle pour
venir ici. C’est très bien inscrit et signer de la main de la juge.
Qu’on doive vous administrer à chacune 20 coups de lanière de cuir en
public et de lui envoyer des preuves que son ordre, c'est bien exécuté
dans la journée. Lisez et constatée que ce ne sont pas des rumeurs. Ce
n'est pas moi qui l'invente, c'est signé de la juge. Ce n’est pas
fréquent qu’un juge exige qu’on punisse un détenu à son arrivée ici,
mais il y a toujours des exceptions.
Moi aussi, je les suis, j’aime voir comment mon personnel se comporte et je la laisse faire Claude et Laurie, elles prennent vite de l’expérience pour leur âge et si quelque chose ne va pas, je leur dirai.
Avant d’entrer dans la salle, des profs Claude les amènent dans l'une des deux salles à manger et fait rentrer Diana et Gabrielle. Il y a foule de monde, plusieurs attendant dans la longue fille pour être servi. D’autre sont déjà installés aux tables avec leur repas et regardent vers le centre de la salle la fille que Laurie fini d'installer pour sa punition. Ils y en a plusieurs qui sont en route tenant leur cabaret pour aller s’asseoir pour manger. Mais tous ces gens ont le regard au même endroit, le centre auquel est exposée Maria nue. Malgré le bruit qu’occasionnent les déplacements et les commentaires des gens il y a un bruit qui enterre presque tout .
Diana, Gabrielle, je vous ai montré jusqu’où on peut aller ici dans cet institut quand on parle de punition corporelle. Ce que vous voyez ici, c'est la pire sentence qu’un étudiant ou employer peut subir et cela est très fréquent d’avoir des punis ici dans ces salles. Même, regardez bien, juste au côté de Béatrice qui est en train de se faire chauffer les fesses, il y a une deuxième fille attaché nu et qui attend sa punition elle aussi. Vous allez vous y habituer, c’est presque à tous les jours ici qu’il y a quelqu’un nu en attente d’être puni et la nudité fait partie de sa punition. Les punis pour la plupart passent le reste de la journée nu. Si vous n’obéissez pas ou ne voulez pas coopérer pour votre punition, c'est ici ou de l'autre côté que je vous fais attacher. Je vous ferai déshabiller sur l’estrade devant tout ce beau monde avant. Après votre exposition nue sur l'estrade, je suis sûre que vous serez très populaires. Des nouvelles arrivées qui se mettent a poil. Vous allez être le sujet de conversation de tous. Après je vais vous faire déplacer, marcher entre ses gens, et attacher au centre de la salle. Pensez-y comment ça doit être humiliant et en plus puni une fessée entièrement nue et en public a votre âge, comment ça doit être humiliant, être à la place de Marie et Béatrice en ce moment. Ensuite, je vais vous allez circuler nu pour le reste de l’après-midi pour votre visite de l’institut et de votre petit appartement. Les deux filles restent figés de, voire une fille être punie de cette façon, les cris qu’elle laisse entendre et le monde tout autour qui ont l’air à aimer ça.
M Lepetit-
Claude fait ressortir les filles, on retourne du côté administration qui est séparé des étudiants, et en route vers la salle des profs, Claude demande à Diana si elle a déjà reçu une punition corporelle ? (une fessée plus précisément, lui dit-elle) dans sa vie. Diana, un peu gêner, lui répond que non, jamais ses parents l’ont punie de cette manière-là par la fessée. Seulement des privations de sortie ou quelque engueulade, mais jamais de fessée. Gabrielle, elle lui répond que son père lui a déjà donné une fessée une seule fois il y a environ 5 ans, elle avait 15 ans à l’époque. C’était dans sa chambre, coucher sur son lit et sur la jupe avec une ceinture, ça avait fait très mal, nous dit-elle, les cinq coups qu’elle avait reçus.
M. lepetit----
Je regarde Claude qui la gifle sur la joue droite et lui claque les fesses ensuite avec sa main. Elle se retourne vers Gabrielle et lui demande si elle, elle obéit. Claude lui demande de lui donne ses vêtements où elle veut suivre l’idée de son amie qui va le regretter. Gabrielle qui avait déjà détaché son jeans coopère et commence à enlever ses chaussures et ses bas ensuite. C'est autour du jeans à tomber sur ses chevilles et à être posé sur la table à l’arrière d’elle. Elle se sent probablement gêner de montrer son petit string rose, car elle place ses mains devant son sexe. Claude saisir le bas de son t-shirt et le remonte au-dessus de sa poitrine même si ses bras sont croisés et atteints ses épaules. Ensuite elle lui passe son t-shirt par-dessus la tête et lui ordonne de lever ses bras au-dessus de sa tête sans résister. Gabrielle s’exécute et lève ses bras et son t-shirt quitte sa tête et rejoint son jeans sur la table. On aperçoit, son soutien rose qui protège encore ses seins. Gabrielle redescend aussitôt ses bras et les croisent sur sa poitrine.
Claude là laisse dans cette position dos à moi et se retourne
vers Diana. Elle lui donne une dernière chance de se dévêtir seul ici
en la menaçant de demander aux hommes qui sont ici (moi et Jean le prof
d’éducation physique) de la dévêtir de force. Et sa punition se tiendra à
la cafétéria en circulant nu dans les corridors si elle n’obéit pas.
Diana se retourne et enlève son gilet noir. Elle le place à côté des
vêtements de Gabrielle, elle aussi, porte un soutien qui est blanc.
Diana retire ensuite ses chaussures, ses bas et son jeans descendent à
ses chevilles. Elle reste dos à nous et retire son jeans de ses
chevilles. tout en retirant son jeans Diana regarde Gabrielle qui est
fesses à l’air au côté d’elle. Je regarde Diana en sous-vêtements et
elle est aussi est superbe que Gabrielle. Un soutien blanc que son bras
gauche recouvre maintenant et un string noir qui nous laisse voir ses
jolies fesses. Une belle grande chevelure dorée et épaisse qui atteint
le bas de son dos presque à sa raie de fesses, deux superbes filles de
la même taille.
Claude demande
à une des deux profs Maria de placer une chaise juste à côté de
Gabrielle pendant qu’elle se dirige à l’armoire au fond. Claude revient
avec une sangle de cuir, une strap un paddle de bois et des ciseaux
qu’elle dépose ensuite sur la table à côté des vêtements des filles.
En se retournant, elle agrippe Diana par un bras et
l’entraîne avec elle vers la chaise et s’assoit sur la chaise. elle fait
coucher Diana sur ses genoux sans que Diana ait le temps de réagir.
Diana est couchée sur les genoux de Claude, la tête qui touche quasiment
le sol, ses long cheveux traine sur le sol. Diana essaie de se débattre
et de se relever, mais Claude la l'emprisonne très solidement. Claude
demande à Claudette, une prof, de lui maintenir les bras fermement pour
l’immobiliser et de ne pas la lâcher avant qu’elle lui dise. Claudette
se met à genoux et lui immobilise les bras entre ses jambes ce qui la
limite dans ses débattements. Claude demande à Maria, l’autre prof
qu'elle avait demandé de l’assister, de lui donner les ciseaux,
En retirant sa main de sur le sein de Diana Claude remonte sa main sur ses fesses en les flattant. Et littéralement descend sa main entre ses cuisses pour lui passer ses doigts sur sa fente. Diana proteste traite Claude de cochonne de salope d’enlever ses doigts de son sexe. Mais Claude avec sa main gauche lui claque les fesses et lui dit de se fermer, qu’elle n’est pas en position de donner des ordres et de rester polie. Diana, tu dois adorer ça te faire caresser la chatte puisque ça commence à être humide ici. Claude demande ensuite à Maria de prendre la strap qui est sur la table et de se préparer à donner les 20 coups de strap à Gabrielle dans la même position qu'elle se tient présentement. Debout dos à nous et avertie Gabrielle que si elle enlève ses mains de sur sa tête pour protéger ses fesses durant sa fessée. On recommence le compte à zéro, tu m’as bien comprise. Et tout le temps que Maria va te donner ta fessée jusqu’au dernier coup, moi, je vais claquer les jolies fesses de ton amie rebelle, coucher sur mes genoux, fesses à l’air pour sa première fessée. Elle va regretter d’avoir refusé d’obéir. Gabrielle, je te le répète, si tu bouges les mains de leur position, on recommence ta fessée à zéro. Tu allongeras aussi la punition de ta copine. Elle aussi sa fessée va continuer tan que la tienne n’es pas terminé, donc pense aux fesses de ta copine aussi avant de baisser les bras pour protéger tes fesses. Ginette, elle, s’approche des deux punies pour prendre quelques photos des deux filles recevant leur fessée comme exiger par la juge
Revenu sur pied au centre de la salle, Diana est en pleure, les joues pleines de larmes. La première réaction que Diana a en étant sur pied, c'est de se mettre dos à nous et de se frotter les fesses a deux mains. On peut tous voire la belle couleur que ses fesses, on prise avec la fessée reçue, mais on n’a pas pu distinguer sa fente et ses petits seins, encore, elle ne sait jamais retourner directement face à nous encore. Gabrielle aussi, ses fesses ont une belle couleur et elle est toujours restée dos à nous. Claude exige que les deux filles croise leur bras dans leur dos et se retourne vers nous tous. Claude leur dit les gens ici ont assez vu vos fesses il est temps de leur montrer votre intimité. Mais ça semble difficile aux filles de montrer leur intimité, aucune des filles ne bouge et reste dos à nous.
Pendant que les profs retournent à leur salle de cours et que la salle ici se vide. Claude demande à Laurie de changer sa palette pour la strap, et de se mettre au côté de Diana. Donne-lui sa deuxième punition, lui demande-t-elle. Diana se met à genoux devant Claude. Elle lui demande de ne pas la punir encore, elle a compris sa leçon et elle sera obéissante à l’avenir ses fesses lui font trop mal encore. Mais Claude la relève en la prenant par une oreille et lui fait reprendre sa position. Cinq coups au lieu de 20 juste pour les photos que la juge exige et on arrête ensuite.
Moi, je laisse mes adjointes avec leurs nouvelles arrivées et je rejoins mon collègue Gilles, le directeur général de l’institut. On a un repas conférence dans un restaurant avec le ministère de la Justice et les autres directeurs des instituts comme le nôtre pour les nouvelles directives.