Marie après la punition de Sandra
-- Durand la pause du repas à la cafétéria, tous les
étudiants garçons et filles parlaient de Sandra. Les garçons plus de la
manière que leur sexe a réagi. Et que tous les mâles de l’institut
rêvaient de voir Sandra nue un jour. Quand ils la voyaient à la piscine
en maillot très moulant et distinguant ses parties les plus intimes.
Ils n'avait que sur son superbe corps disaient-ils entre eux. Ils le
voyaient nue au travers le tissu très moulant et encore plus provocant
étant mouillé. Je ne pouvais pas m'imaginer que des gars pouvait aller
si loin en pensée. Beaucoup fantasmaient sur ce qu'ils voyaient quand
elle portait son maillot à la piscine. Ça doit être probablement la même
chose pour chaque fille qu'ils voient à la piscine. Plusieurs
fabulaient sur ses supposés magnifiques seins que disaient les uns et
les pitons qui perçaient quasiment le tissu de son maillot, commentait
d’autre. En plus les cochons, ils parlaient de ses superbes fesses bien
rondes. L'entre jambe de Sandra qui s'imaginaient supposément voir une
belle bosse qui moulait la forme de la vulve que commentaient d’autres
gars aux tables plus au fond. Pratiquement tous les gars fantasmaient
sur ce superbe corps qu'ils ont tous l'air à dire qu'elle a. Moi qui
suis son amie, j'ai toujours trouvé qu'elle avait un beau corps. Mais
d'un point vue féminin et pour l'avoir vue pour la première fois nue
devant moi ce matin en onze ans d'amitié ensemble. Moi, je le dis aux
filles autour de moi, elle ne ma pas laisser indifférente. Ils ont
raisons les gars, Sandra est superbe nue. Les autres filles qui sont
avec moi et ont entendu comme moi les gars derrière nous ne sont pas
surprises, elles n'ont plus de ce que les gars s'imagine quand ils nous
regardent en nous déshabillant des yeux.
--- Mais Ils ont tous
vue leurs rêves et fantasme se réaliser quand Sandra leur est apparue
nue ce midi. D'après ce qu'on a entendu autour de nous et les
sifflements que plusieurs ont faits. Ils la trouvaient encore plus
mignonne qu’il se l’imaginait avec ses superbes petits seins bien ronds
et ferme dressés devant eux. Mais surtout de son entre jambe très bien
exposer sur le chevalet quand M Lepetit lui a attaché les chevilles de
chaque côté des pattes du chevalet, j'avais honte de regarder Sandra se
faire humilier ainsi. Ç'aurait pu être moi exposé nue sur ce chevalet à
la place de Sandra, c'est mieux ainsi. Tous étaient sous le choc de,
voire les marques provoquées par le fouet. La douleur que devait
provoquer ces coups frappant les fesses, et ses cuisses, et quelquefois
le bord de sa vulve. Pauvre Sandra, ça devait être terrible, je
l'entendais crier quand le fouet frappait ses fesses, et moi qui avais
des remords de l’avoir trahie, mais contente de ne pas avoir subi moi
aussi cette honte
--- Certains d’entre eux ont même dû aller
faire un tour à la salle de bain après la fessée terminé pour remettre
leur engin au repos. Les filles étaient pour la majorité de la même avis
sur l’apparition humiliante de Sandra. D’être entièrement nue sur
l’estrade extérieure devant des centaines d'étudiants et employées
réunis, peu importe l’âge des étudiants, tous étaient invités à assister
à la punition de Sandra. Mais ici a ST-Thomas, c’est régulier de voir
des étudiants être punis nus en public. Surtout a la salle à manger le
midi, être ainsi traité et de devoir mettre ses parties les plus intimes
à la vue de tous. On espère tous ne pas à avoir à subir la même
humiliation d’être mise nue et fessée en publique et sans aucun respect
pour sa pudeur, mais la majorité aime ça assister aux punitions des
autres.
--- Après ces discutions entre filles et mon repas terminé. Je
m’approche de la porte pour sortir et me rendre à mon casier pour
changer mes livres pour le prochain cours. Le directeur m’arrête et me
dit de le suivre dans son bureau, mais il n'est pas encore 1 h 15, lui
dis-je, M. je ne suis pas en retard. Mes camarades mon toutes regardées
en souriants un brin avec la trahison que Sandra avait subie de ma part.
Plusieurs d'entre elles se doutaient un peu que c'était moi la coupable
de cette dénonciation-là. Les rumeurs circulant beaucoup dans les
couloirs de ce fameux tag et que j'étais sûrement la complice de Sandra,
puisqu'on est toujours ensemble. Je demande au directeur pourquoi
dois-je le suivre avant l'heure fixé. Il ne me répond pas et me tire par
le bras en serrant assez fort. Lâchez-moi, lui dis-je, ce n'est pas
nécessaire de me serré si fort, vous me faites mal, je vais vous suivre
pareille mais lâchez-moi. Mes amies qui étaient autour de moi me
regardent partir avec le dirlo qui est vraiment de mauvaise humeur. Le
directeur reprend en disant que ce n’est rien cette petite douleur, car
dans quelques instants, ça sera bien pire et d’arrêter de te plaindre et
suit sans discuter.
--- Arriver à son bureau, il me fait
rentrer, à L’intérieur. J'aperçois Sandra pleurant encore une demi-heure
à près avoir reçu sa punition. Elle se tient debout, les deux mains
sur la tête, face au mur, toujours nue, les fesses et le haut des
cuisses rayé et bien rouge par les coups de fouet reçu dans la cour un
peu plus tôt. Elle se retourne et me regarde avec une envie de me tuer
tellement elle m’en veut de l’avoir trahie. Mais M Delvarenne me regarde
et regarde Sandra et dit, mademoiselle Lawson n’est pas la seule dans
cette histoire parce que, mademoiselle Esteban, vous étiez aussi
présente sur les lieux avec mademoiselle Lawson.
Donc
mademoiselle Esteban, vous êtes aussi responsable de ce tag que
mademoiselle Lawson. Je proteste et lui dis que je n’ai rien fait que
regarder et surveiller les lieux. Il m’interrompt et me dit de me taire,
et reprend en disant que d’être la complice, c’est aussi coupable que
celui qui fait le tag. Je suis obligé de sévir, me punir aussi
sévèrement que j,ai punis Sandra me dit-il. Dans un bagne comme vous
nous avez traité, le chef ou directeur a tous les droits sur les mutins.
C’est ce que le comité de discipline a décidé à l’unanimité aussi, et
je suis cent pour cent d’Accord avec cette décision. Je proteste autant
que je peux. Pas nue, j'espère et devant tout le monde comme Sandra ce
midi. Je suis trop gêné pour subir une telle humiliation M. en le supliant de ne pas me punir.
Mais le
directeur ne bronche pas et rajoute, Marie, tu as été chanceuse ce midi.
Quand la décision a été prise par le comité que tu subisses la même
punition que Sandra, il était trop tard, l'amie que tu venais te trahir
était déjà nue sur l'estrade et sa punition commençait. Même si Sandra à
essayer de me convaincre qu’elle était la seule à commettre ce graffiti
pour t’épargner une telle humiliation tu n'y échapera pas Marie. Les complices sont aussi
coupable que l’exécutant dans ces cas-là. Marie tu peux être fier du
courage de ton amie que tu as trahie. Ton amie Sandra a tout
essayé de te sauver les fesses du fouet, contrairenent à toi Marie qui a tout fait pour te protégée de la punition.
Le directeur me demande de lui dévoiler le nom du troisième complice. Je lui réponds que ce n’était pas exact, on n'était que nous deux. Probablement par vengeance, je suppose, Sandra dit au directeur que c’était Ludovic l'autre. Un gars qui commençait à m’intéresser par sa beauté athlétique, un corps quasi parfait selon mes goûts à moi et des fesses bien moulées. On c’était échanger quelques baisers, accolade et quelque caresse pas plus. Mais beaucoup de filles l’avaient dans leur mir aussi ce nouveau venu dans l’institut.
Le directeur
--- Je te remercie Sandra pour ta franchise et ta douce revanche. Mlle Esteban, vous subirez la même punition corporelle que Mlle Lawson, et Marie dit un gros merci à ton amie Sandra. Car si tu avais continué à me mentir de cette façon-là. Mon intention était de te rajouter des journées supplémentaires en punition la semaine prochaine. Tu vois Marie en quelques heures, Sandra te sauve les fesses encore une fois même avec ta trahison. M. Rachid aussi subira la même punition que vous deux car il vous accompagnait. Je fis appeler mon responsable de la discipline, M. Lepetit à mon bureau, par ma secrétaire. Marie se mit à genoux devant moi pour me supplier de ne pas le punir lui aussi. En pleurnichant, elle me dit, la seule chose qu’elle et Ludovic ont fait c'étais de surveiller les alentours pour guetter s'il venait quelqu'un pendant que Sandra s’exécutait. Mais je la repris en disant que c’est la même chose, vous êtes complices tous les trois et la décision est prise et sans appel, la punition s’applique aux trois. Vos parents ont été avisés aussitôt que la décision a été prise ce midi. Et ils ont tous répondus et approuvés de la décision prise. Mais ont demandé de ne pas appliquer la suspension qui était prévue après la punition corporelle pour avoir déshonoré l’institut.
Les parents de vous trois nous ont demandés d’être beaucoup plus sévère à la place. Et ils vous attendent tous ce soir. Je crois que ça va se continuer à vos maisons respectives cette punition en ayant entendu parler que vos parents étais sévère avec leurs enfants même à votre âge. Je prends Marie par un bras et lui montre la porte de mon bureau et lui dit de m’attendre dans le bureau de la secrétaire. M Lepetit arrive et je lui demande de nous suivre à la classe de Mme Petigrew leur prof de Maths ou les filles sont supposée être présentement. Sandra me demande ces vêtements pour se vêtir dans les couloirs. Elle espère que je lui donne au moins sa jupe et son chemisier et ses chaussures pour aller dans la classe. Non Sandra, je lui réponds, tu es en punition de niveau trois. C'est ta tenue pour le reste de la journée et jusqu’à ce que ta punition se termine. Je fait, un signe, à Marie de nous suivre et en traversant le bureau de la secrétaire je tire Sandra en dehors du secrétariat dans le couloir, Sandra ne voulait pas sortir nue de mon bureau, et je ne la blâme pas ça doit être humiliant de circuler nu en public.
Marie
Je laisse Sandra sortir en premier du secrétariat. Le directeur l'oblige
à tenir ces mains sur la tête, comme moi aussi. En sortant, elle
surveille chaque extrémité du couloir de peur qu’il y aille du monde.
Quelque prof circule et regarde en notre direction en nous sourient,
Je
regarde Sandra avancer devant moi nue. Quelle honte d'être nue dans le
couloir et en plus pieds nus, le plancher doit être froid. Même si je
n'arrête de fixer les fesses de Sandra devant moi, marquées des coups de
fouet, j’essayai de ne pas penser à cela, car j’étais épargnée pour le
moment. Je sauvais cette humiliation-là en espérant toujours de garder
mes vêtements sur moi.
Sandra quand elle est passée devant de nous.
J'en ai profité pour jeter un œil sur ses beaux petits seins bien rond
et j'ai regardé le reste de son corps que je trouvais magnifique. Je
commence à comprendre les gars qui parlaient ainsi ce midi d’elle. Je
suis une fille et moi-même, je la trouve très belle nue. Et tout comme
les gars, ses formes dans son maillot quand on était à la piscine
m'excitait. Je repense aux commentaires des gars qui fantasmaient sur
ses fesses bien rondes et sa raie qu'ils distinguaient dans son maillot.
Moi aussi ça attirait souvent mon regard. Quoique dans le vestiaire à
la piscine, j'avais l’occasion de voir ses fesses en partie. Sandra ne
s'expose quasiment jamais, elle se change devant les autres le plus
discrètement possible sans qu'on puisse trop, voire son corps. Moi, je
suis pareille, très pudique. Mais exposer comme Sandra l’est
présentement, c'est humiliant. On voit sa fente avec cette toison rousse
juste bien rasée, elle garde une petite ligne en haut de sa fente,
j'adore, elle ne m'avait jamais parlé de cela qu'elle se gardait un peu
de poil, je vien de le découvrir ce matin. Moi aussi, je ne lui ai jamais dévoilé que je me rasais
complètement. Mais ce qui m'impressionne surtout, ce sont ses fesses et
le haut de ses cuisses. Pleines de marques laissées par les 30 coups de
fouet. Je ne peux m'imaginer la douleur que ç'a due procurer de se
faire fouetter les fesses. Depuis que Sandra est en punition ce midi,
je ne peux m'arrêter de penser à ce que mes fesses aurait enduré si je
ne l’avais pas dénoncé.
Arriver à notre salle de cours, le directeur cogne et rouvre la porte,
dit à Mme Petigrew d’interrompre son cours et la remercie pour sa bonne
compréhension. Il fit rentrer Sandra la première entièrement nue, et les
mains sur la tête. Il lui ordonne de monter sur l'estrade et dans le
coin face aux élèves dans la salle sans bouger les mains parce que gare a
tes fesses, lui dit-il. Sandra obéi même si ça lui procurait une
horrible honte d'être exposée nue, Sandra n'a pas le choix. Elle obéit
au ordre du directeur pour ne pas aggraver son mal aux fesses. Sandra
avait encore des points rouges sur ses fesses quasi au sang tellement le
fouet avait fait des marques qui étaient encore bien rouges. Tout le
monde les voyaient ses marques. Il me fit monter aussi et mains sur la
tête en plein centre. Il me fait placer en avant du bureau et bord de
l’estrade la petite espace que les profs se garde pour punir les élèves
en avant. Je suis à la vue de tous mais habiller, c'est beaucoup mieux
que Sandra.
M le directeur se mit à expliquer aux étudiants dans la
salle ma participation et les conséquences. Au même moment que les
explications se déroule, M lepetit appelle Ludovic le fait lever et lui
ordonne de venir sur l'estrade avec moi en avant du bureau. Le directeur
dit à Ludovic. M. Rachid monté sur l’estrade au côté de la demoiselle
qui est encore habillée. Le directeur se retourne et me pointe avec son
doigt. Il continue ses explications sur le comportement, la gravité
d’être complice et les conséquences, c’est alors que Ludovic interrompt
le directeur.
Ludovic resta au côté de la porte sans bouger et dit au directeur qu’il
ne veut pas monter et il n’est pas question qu’il soit avec elles pour
être punis. Ça ne le concerne pas du tout. M Lepetit accroche alors
Ludovic par l’oreille gauche et le tire par l'oreille vers l’estrade,
provoquant sans doute une douleur intense. Car Ludovic se lamenta assez
fort que les étudiants au fond de la salle l'ont entendu. M. Lepetit le
fait placer ou le directeur lui avait demandé à côte de Marie et mains
sur la tête. Ce n’est pas un gamin de 17 ans qui décide ici. C'est nous
et tu obéis, c'est clair. Le directeur remercia M Lepetit et regarda
Ludovic en lui disant. M. Rachid, vous ne passerez pas à côte de votre
punition et vous aggravez votre cas en n’obéissant pas, mais pour
l’instant, c’est par Marie que je commence. En se retournant, il reprend
les explications, et finit par ce que qui se passera ici cette
après-midi et pour le reste de la semaine pour nous trois.