Le Directeur M Delavarenne
Vous savez tous que ce midi sur l'estrade dans la cour mademoiselle Lawson qui est encore en punition devant vous et nue ici présente a été condamner à une punition de niveaux trois la pire punition qui se donne ici et a reçu trente coups de fouet ce midi. C’est une première pour une fille et exceptionnel de recevoir autant de coup de fouet. Mais ça fait partie du type de punition et ça se répètera sûrement dans l’avenir. Punie nue, ce n’est pas rare ici, mais aujourd’hui, elle ne sera pas le seul et à être puni dans cette tenue et vous exposer tous ses charmes devant vous.
Gérald, un étudiant et spectateur
Plusieurs gars que je regarde autour de moi ont les mains qui commence à descendre en dessous de leur bureau et jouer dans leurs pantalons. En apercevant Marie sur l’estrade et surtout Sandra qui elle a ses mains sur la tête comme la majorité de ceux qui sont punis sont obligées de se tenir. Sandra nous expose ses plus belles parties. Mais pas juste les gars ici qui sont excités, il y a des filles aussi. Ma voisine de droite a les mains sous son bureau. Elle aussi joue sous sa jupe ce qui fait remonter sa jupe à la limite de son entre jambes et je peux distinguer sa culotte blanche qui entre, entre ses jambes et cache sa chatte. Ce qui m’excite le plus et ma voisine aussi, c'est Sandra au fond de l'estrade qui elle est toute nue. Je ne peux pas m’arrêter de la fixer, mon regard ne lâche pas ce beau corps nu. Et juste a pensé de probablement, voire une autre fille parmi les plus belles de l’institut se déshabiller devant nous m'excite, si le dirlo est ici, c'est pour quelque chose de spécial. Ma voisine aussi commence à mouiller sa culotte. Elle me laisse entrevoir son entrejambe pour m'exciter. Il y a un petit rond humide que j’aperçois. Beaucoup d'autre dans la salle aussi ont les mains sous leur bureau d'après ce que j'entrevoie.
Le directeur s’arrêta de parler et fit un long regard dans la
salle. Je m'empresse de remonté mes mains comme mes voisines de chaque
côté. Quelques autres filles que je peux voir aussi ont remontée leurs
mains sur leur bureau. Ludovic a peut-être aussi quelque chose à y voir.
Il y a plusieurs filles qui le trouvent beau. Après quelque secondes de
pause, le directeur recommence à parler. En ajoutant que si la tenue
des punis en excitent plusieurs au point de se tripoter, il va les
invités à venir sur l’estrade et se mettent nus, eux aussi, pour se
soulager les hormones. Sûrement, que nu en publique, ça en calma
plusieurs d’entre nous. Il rajouta, les deux qui sont ici devant vous
après la fessée qu’ils recevront ici cette après-midi. Leur punition va
continuer tout comme celle de mademoiselle, Lawson pour les trois pour
le reste de la semaine.
C’est pour ça que vos deux
camarades Marie et Ludovic ne sont pas à leur place, mais ont été
convoqués devant vous tous. Mademoiselle Lawson n’était pas seul ce
samedi soir au mur pour faire son graffiti, voici ces complices,
mademoiselle Marie Esteban et M. Ludovic Rachid, qui n'ont pas besoin
de présentation, vous les connaissez tous.
Et il se retourne vers eux et s’adresse à Sandra et lui dit pour aujourd’hui Mlle Lawson, je pense que vos fesses ont pas mal souffert. Laisser votre position au fond de l’estrade et venez ici juste à côté de votre amie Marie. Vous pouvez baisser vos bras et garder les de chaque côté de votre corps. Ce sera plus confortable pour vous. J'ai un petit travail pour vous. Mlle Lawson, vous allez aider votre amie à se préparer pour sa punition. En regardant ma voisine de gauche et celle de droite qui a la jupe rendue presque à son nombril, sa culotte baissé à ses cuisses, la chatte pratiquement à l’air tellement que ça l’excite.
Je lui demande ce que le dirlo veut faire, a-t-il l'intention de faire déshabiller Marie. Elle hausse les épaules, et me fait de drôle de regard, interrogatoire. J’ai l’impression que ma voisine se demande, elle aussi, a quoi veut en venir le dirlo, mais c'est sûr qu'elle est excitée de regarder Sandra nue. Aider Marie pour sa punition, mais sûrement que M Delavarenne a une idée en tête. Il s’adresse en suite à Marie et lui dit Mlle Esteban, vous ne pouvez pas garder cette uniforme qui porte les emblèmes de l’institut. Une étudiante qui écope de la plus sévère punition ici, soit le grade trois comme vous Mlle Esteban aujourd'hui et votre amie Mlle Lawson plus tôt. Ces étudiantes-là perdent instantanément le droit de porter l'uniforme de l'institut qu'elles viennent de déshonorer. L'uniforme vous est confisqué immédiatement. Tout comme Sandra a perdu le droit de le porter ce matin, vous aussi, il vous est interdit de le porter et jusqu’à la fin de votre punition. Car Marie, vous êtes en punition pour le reste de la semaine, tout comme votre amie. Mes voisines de chaque côté de moi me donnent un coup discret et me font un gros sourire.
Marie ce plain, supplie le directeur. Elle lui demande de ne pas
l’obliger à faire ça dans la classe. J'ai trop honte, lui dit-elle,
c’est trop pour moi de me déshabillée devant tout le monde si vous le
voulez dans votre bureau comme ce matin, mais pas ici, lui
demande-t-elle. Le directeur l’interrompt, vous avez traité cet
établissement de bagne. Alors dans un bagne il y a un chef qui est moi
et des mutins et les forte tête sont sévèrement punis. Donc que Mlle la
mutine quand vous avez suivi Sandra ce soir-là pour le tag. Votre amie
ne vous a sûrement pas imposée à devenir sa complice, par contre
assumer votre punition. Vous méritez d’être punie aussi sévèrement qui
votre amie là été ce midi et sans protester. Si vous insistez, la
sentence va s’aggraver, un mutin ça mérite le fouet ou la strap, Mlle.
Les règlements sont très clairs pour de tel geste ou c’est le renvoie où
vous subissez le châtiment corporel prévu. Comme l’on décide le comité
de discipline du bagne, mais vos parents à vous deux Marie et Ludovic
ont été prévenus et leurs réponses furent très claire, la punition
corporelle très sévère et évitez le renvoi.
Les spectateurs
dans la classe ont tous hâte pour la suite, surtout les quelques rares
garçons qu'on est dans cette classe. On s’agite tous a l’idée que deux
des plus belles filles de l’institut soit nue en même temps. En plus les
deux ensemble dans notre salle de cours exposé sur l'estrade. C'est
notre journée de chance qui ne se répétera pas de sitôt pour nous,
autant en profiter au max. Et moi je suis placé dans la deuxième ranger
à l’avant. Je suis privilégié, dans les salles de cours, on a déjà vu
des camarades féminin ou masculin recevoir des punitions. La jupe et
petite culotte, ou pantalon et slip aux genoux et a quelque rare fois
entièrement nu recevant une fessée et mis au coin. Mais jamais deux
belles files mises à nu comme aujourd’hui.
M. le directeur s’approche de l’estrade et des deux filles et demande
à Sandra de se virer dos à nous pour nous montrer ses fesses, comment
vous sentez vous nue devant vos camarades et les fesses marquées par le
fouet ? Lui demande le directeur. Sandra, la face presque aussi rouge
que ses fesses par la honte sûrement d’être nue et l’humiliation de la
fessée reçue a 17 ans, ne répond pas. C’est sûr que c’est humiliant
d’être punie de la sorte. Elle se retourne comme demander nous montre
son joli postérieur sans prononcer un seul mot.
M
Delavarenne se rend compte tout comme nous que Sandra ne veut pas
partager avec nous son état d’âme sur sa tenue, il demande alors à
Sandra de se placer face à Marie. Sandra reste encore dos à nous.
Maintenant Sandra, c'est votre amie Marie qui vous a mise dans cette
situation, dit le dirlo et c’est à vous de la préparer à être punie à
son tour.
Je vous donne l’opportunité de prendre une petite vengeance sur
elle. J'ai entendu ce midi que vous deux, vous n’étiez pas portée à vous
montrer nue l'une envers l'autre, même si vous êtes de très grande amie
de longue date. Vous êtes très pudique selon mes sources. Est-il vrai
que vous êtes toutes les deux très pudique ? Sandra, mettez-vous à
genoux devant Marie et enlevez ses chaussures et ses bas. Sandra
s’agenouille et pose péniblement ses fesses sur ses talons devant
Marie. Sandra exécute les ordres de M Delavarenne. Marie ayant les
pieds nus maintenant M Delavarenne demande à Sandra. C'est vous qui
allez continuer à enlever son uniforme de sûr son dos. je vous ordonne
de déshabillé votre amie Marie. Sandra ton amie aussi n’a plus la
permission de le porter, maintenant, c'est la jupe que vous enlevez.
Sandra toujours à genoux devant Marie. Elle étire ses bras et
défait les deux boutons à la hanche qui sont juste à la hauteur de ses
yeux, et qui tienne fermé la jupe. Elle laisse tomber sa jupe au sol,
dégage le vêtement des pieds de Marie et la pose sur le bureau du prof.
Autour du chemisier lui dit le dirlo. Sandra enlève ses fesses des sur
ses talons. On peut revoir ses belles fesses toute zébrée et rouge. Elle
est si mignonne à regarder à genoux face à Marie. Elle commence par
défaire les boutons avant du chemisier. Ensuite ceux qui sont aux
poignets se lève ensuite sur ses jambes et lui baisse le chemisier de
sur ses épaules. Elle lui retire et le pose sur la jupe. Sandra
maintenant le soutien et la culotte, tu ne seras plus seul nue, ta
traître d’amie va t’accompagner maintenant. Marie essaie de protester et
baisse ses bras sur sa poitrine pour retenir son soutien sur sa poitrine, et met une main sur son entrejambe,
cachant sa demi nudité qu’on ne voit pas d’ici, Sandra nous cache
encore étant debout face à Maire. M Delavarenne demande à Sandra, dit nous, qu’est-ce qui t’est
arrivé quand tu ne m’as pas obéi dans le bureau ce matin ?
Toujours face à Marie, Sandra répond. J'ai reçu une claque sur les
fesses Monsieur. Une claque, moi, je peux dire à tes camarades ici que
c’est une claque, oui, mais avec la palette de bois, en disant ça le
dirlo ouvre un tiroir du bureau et sort une strap. La palette n’est pas
disponible ici, voici avec quoi tu vas faire obéir Marie pour qu’elle
remette ses mains en place. Il donne la strap à Sandra et demande à
Sandra de claquer les fesses de son amie de la même force qu’elle a reçu
sa claque ce matin. Il l’avertit que si elle n’applique pas les coups
assez fort, ce sont ses fesses à elle qui vont lui chauffer encore si ce
n'est pas à son goût.
Sandra passe à l’arrière de
Marie et pose la strap sur le bureau pour se dégager les mains et
dégrafe son soutien de dans son dos. Sandra descend ensuite les bretelles sur ses
coudes. Elle prend ensuite les bras de Marie juste en haut des coudes
et demande qu’elle repositionne ses mains où elles étaient. De ma
position, je lui entends dire, Marie, ne m’oblige pas à te chauffer les
fesses. Ça me ferait trop plaisir obéi s'il te plaît en lui donnant
quelque bonne claque sur ses fesses avec sa main droite qui sont
protégées encore par sa culotte. On aperçoit des larmes coulées sur les
joues de Marie. Marie en bougant ses bras Sandra en profite pour y sortir les bretelles de ses bras. Marie remonte ses mains sur sa tête. Sandra lui retire
les bretelles de son soutien-gorge de ses bras. Marie a maintenant la
poitrine a l'air devant nous. On voit ses beaux petits seins bien fermes
pointés et ses deux petites tétines dans les mêmes grosseurs que ceux à
Sandra. Il ne reste que sa culotte qui l’habille encore ou cache-le
peu ce qui reste de son intimité.
M Delavarenne
arrête Sandra, et lui dit. Avant que tu mettes Marie entièrement nue, va
voir M. Rachid, il a l’air à avoir hâte que tu t’occupes de lui.
Sandra se déplace en passant par l’arrière de l’estrade, elle est moins à
la vue et se place à la droite de Ludovic. Ludovic, toujours les mains
sur sa tête, attend. Il avait l’air d’apprécier de voir Marie se faire
mettre à poil à côté de lui, et surtout Sandra qui rôdait autour de lui
nue. Sandra se place en face de Ludovic, ici dans a ma place où je suis
assis, on distingue bien la grosse bosse dans son pantalon. Ludovic est
comme moi, il bande lui aussi, et mes voisines l'on, elles aussi,
remarquer.
Sandra commence par le haut de M.Rachid. Tu commences par lui
retiré son veston, ensuite la cravate et la chemise. Sandra étant donné
que tu n'as pas l'habitude de déshabillé un gars. Je vais être obligé de
te coacher, je crois bien. Je pense que Sandra a peur de se faire
humilier encore plus devant nous, ses camarades, elle enlève très
rapidement les vêtements. Ludovic est torse nu. Lui aussi son uniforme
lui est confisquer nous le directeur. Et M. Rachid si vous bougez, c'est
la strap que vous recevrez. C'est bien dit le dirlo à Sandra je te
félicite tu as très obéi. Sandra n'a pas d’autre choix si elle ne veut
pas que ses fesses goûte encore à la strap. Ma voisine de droite met sa
main sur ma bosse et commence à sonder mon sexe et à le caresser sous
mon bureau. Sans que je m'y attende, et elle prend ma main droite et la
dirige directement sur sa culotte sous sa jupe. Je sens qu’elle est très
excitée, sa culotte est humide, probablement que voir Ludovic se faire
déshabiller devant nous ça l’excite autant que moi avec les filles nue.
Mlle Lawson je vous fais une grande faveur aujourd'hui. C'est
la première fois ici à l’institut qu’un étudiant dénude un autre
étudiant. Et toi Sandra, c'est deux que tu as le privilège de dénuder.
C’est une grande faveur aussi que je vous fais, à vous tous ici dans la
salle cette après-midi, de pouvoir assister à ce déshabillage-là, sur
l’estrade. Ce midi dehors dans la cour, Mlle Esteban et M. Rachid
auraient dû t'accompagner Sandra et être à tes côtés nus, eux aussi, et
être punis avec toi.
Maintenant Mlle Lawson,
agenouillez-vous devant Ludovic et vous lui enlevez, chaussures et
chaussettes. Sandra n’est pas trop sûre et regarde derrière elle notre
réaction. Et nous autre, on a le regard fixé sur elle et ses fesses
zébrées, ou sur Marie seins a l'air et sa petite culotte comme vêtement.
On la voit timidement s’agenouiller devant Ludovic. Sandra plies les
genoux sans poser ses fesses sur ses talons cette fois-ci. Elle fait
juste se pencher pour atteidre les pieds de Ludovic. Elle lui enlève les
chaussures et les chaussettes. M Delavarenne la félicite d'obéir si
rapidement. Maintenant, lui dit-il, tu continues, détache son pantalon
et enlève-lui aussi, tu lui retires.
Mais vous n’êtes
pas sérieux M. c’est un gars, ce n’est pas à moi à le faire. Si vous
voulez qu’il ne le porte plus, c’est à lui de le retirer.
Oups ! J’ai l’impression que le dirlo n’a pas aimé les paroles qu’il
vient d’entendre. Il s’approche de Sandra qui est à genoux devant
Ludovic, la tête à la hauteur de sa poitrine. Le directeur claque les
fesses de Sandra avec sa main. Sandra cris et lui demande d’arrêter, on
la voit se retournée de côté pour éviter les coups. M Delavarenne se
redresse, Sandra se frotte les fesses, ensuite essuie quelques larmes.
Sûrement que ses fesses sont très douloureuses avec le fouet de ce midi
et les claques qu'elle vient de recevoir à l’instant ont dû raviver la
douleur. Le directeur lui conseille de ne pas parler et d'obéir, car la
prochaine fois, c'est la strap qu'il va utiliser.
Toujours à genoux devant Ludovic, Sandra se replace et ses mains
trembles, elle parait très nerveuse. Elle réussit à détacher le pantalon
de Ludovic, et le baisse à ses chevilles, le libère de ses pieds et le
donne à Mme Petigrew qui est près de Ludovic. Ludovic a maintenant que
son caleçon, on voie tous qu’il a une érection, son caleçon à une bosse
énorme qu’il cache en descendant ses mains dessus. Mme Petigrew notre
profe lui claque les fesses sur son caleçon avec la strap pour qu’il
remette ses mains sur sa tête.
Ma voisine de droite gigote sur sa chaise. Ça l’excite, elle
mouille de plus en plus et on entend le dirlo dire à Sandra de baisser
le slip, lui retirer complètement. Sandra refuse, M Delavarenne lui dit,
c'est ton choix, tu es libre de mettre ton camarade nu au pas. Mais si
tu refuses, tu te relèves debout et Mme Petigrew te donne quinze coups
de strap pour ton refus. Choisie le slip ou tes fesses. Sandra dit au
directeur qu’elle va lui enlever, elle ne veut pas recevoir le strap ses
fesses lui font trop mal.
M Delavarenne demande à Sandra.
As-tu peur de te faire mordre par un pénis. Ce n’est pas la première
fois que tu voies le pénis d'un gars d'aussi près, j'espère. Il va
aussi falloir s’occuper de ton éducation sexuelle en plus de tes fesses.
À l’âge que tu es rendu, tu dois connaître ça, un pénis, pose tes
fesses sur tes talons et exécute-toi. Le temps passe et j’ai autre chose
de prévu pour vous trois. J'entends rire dans la salle, la plus par
d'entre nous ont trouvé ça drôle d'entendre le directeur dire ça si
Sandra avait peur de se faire mordre. J’entends rire mes camarades
derrière moi et ma voisine, elle ne lâche pas ma bosse. Elle est encore
très excitée et moi aussi de me faire caresser la queue et ma main en
plus placer directement sur sa chatte dans sa culotte toute humide, je
trouve ça très plaisant.
Sandra réussi a posé ses fesses
sur ses talons comme le directeur lui a demandé. Son visage arrive
juste à la hauteur du pénis à Ludovic. Elle attrape l’élastique de son
slip et le baisse à ses chevilles, sa queue sort raide comme une bar, il
est bandé et sa queue apparaît au visage de Sandra. Il y a beaucoup de
réaction dans la salle, Sandra ne sait plus où regarder, elle fixe le
sol, gêner d’avoir la queue de Ludovic si près de son nez. Sandra reste
penchée pour dégager le slip des pieds de Ludovic et pour éviter d'avoir
le pénis dans sa face.
M Delavarenne tutoie toujours Sandra maintenant. Et il change de ton avec elle, il lui dit prend le temps de regarder, d'admirer ce que tu as devant ton nez. Relève la tête et regarde M. Rachid est bandé à cause de toi Sandra. On l'entend provoquer Sandra et Ludovic. Il dit à Sandra pour l'humilier encore plus. Te, voire nue devant lui le fait bander c’est sûr, un beau corps comme le tien. Même dans la salle, les quelques gars qui y sont sûrement sont bandés eux aussi. En te regardant nue. Et en plus, Marie à côté, quasi nu, elle aussi. Ce jeune homme ne peut pas se retenir longtemps.
Sans que personne s'y attendre, il
rajoute. Et il n’y a assurément pas juste les gars ici qui ont des
réactions de l'excitation, en regardant dans la salle et dans ma
direction plus particulièrement. j'arrête de sonder la chatte de ma
voisine et j'enlève ma main de dans ls culotte, j'ai peur que le
directeur nous ai vu. Mais il continue a parler a Sandra, tu dois être
fier qu’un gras te montre sa queue bien raide a quelques centimètre de
ton nez rajoute-t-il. Sandra, c'est reculez la face toute gêner
d'entendre ce que vient de dire le directeur. Mais M. Delavarenne lui
met la main derrière sa tête, sur sa nuque et lui colle le nez sur la
queue de Ludovic. Il tient Sandra quelques secondes, la face collée sur
la queue de Ludovic, ce qui pour Sandra doit paraître très long. On a
presque l’impression qu’elle est en train de le sucer tellement sa
bouche est proche. Toujours en tenant Sandra derrière la tête, il la
relève sur ses pieds et l’envoie devant Marie qui lui reste seulement sa
culotte qui protège son intimité et oblige Sandra à s’agenouiller
devant Marie.
Avant que tu regardes la chatte de Marie, j’ai une question à vous poser à toutes les deux, dit M Delavarenne.
Dites-nous les filles depuis quand vous connaissez vous ?
D’après nos dossiers, vous ne restez pas loin d’ici et dans la même rue
si j’ai bien vu. Sûrement que M Delavarenne veut nous garder sur notre
appétit et humilier encore plus les deux filles en leur posant cette
question-là.
Sandra répond toujours agenouillé devant Marie. Depuis 11 ans,
répond Sandra. J'avais six ans Monsieur quand mes parents ont acheté la
maison juste à côte de celle des parents de Marie. On a la même âge et
on c'est toujours bien entendus toutes les deux jusqu'à aujourd'hui.
C’est bien jeune fille que le dirlo lui répond. Et depuis tout ce temps
que vous, vous connaissez, jamais vous, vous êtes amusé à vous mettre
nue une en face de l’autre comme de bonnes amies le font à la
préadolescence ou à 14, 15 ans. Souvent dans des moments intimes les
ados font souvent ça pour se découvrir, s’amuser, depuis 30 ans que je
travaille ici, j’en ai vue souvent de très bonnes amies, des ados qui se
montrait nue. Elles s'amusaient à comparer leur corps, beaucoup l'ont
fait ici dans les vestiaires. Moi, je trouve ça un peu bizarre, c'est
question-là, mes voisins aussi trouvent le directeur hors contexte.
En parlant toujours très fort pour que toute la salle
entendre, le directeur continu ces bizarres de question. Ce que j’ai su,
c'est que Marie ce matin vous à regarder très étrangement de la tête
aux pieds quand elle vous a croisé dans le couloir, c’était une première
pour elle de vous voir nue d'après sa réaction.
Sandra
qui hésite continue de répondre et on la voit qu’elle cache ses parties
intimes au même moment qu’elle répond toujours à genoux et assit sur ses
talons devant Marie. La question du directeur l'a mise mal à l'aise,
elle est gênée. M. oui, ça n'a jamais été dans nos habitudes de se
montrer à moitié nue, même si on était toujours ensemble. C'est la
première fois que je vois Marie presque nue et Marie aussi, pour elle
c’était la première fois ce matin quand je suis sorti de l’atelier et
qu’elle m’a croisé. J'étais nue devant elle, mains sur la tête, et très
gênée d'être devant elle. C’est pour ça qu’elle m’a regardé ainsi, ça
m’a terriblement humilié.
OK rajoute le dirlo Sandra, c'est le temps de t’occuper de la
culotte de Marie. Maintenant que tu es à genoux devant Marie assis toi,
pose tes fesses sont sur tes talons. Sandra s'installe. Le directeur lui
ordonne d'enlever la culotte que porte encore Marie. Tu auras ainsi une
belle vue sur sa chatte. Sandra, lui dites-vous, voulez que je lui
enlève sa culotte, je dois lui enlever sa culotte, la face presque
coller sur son sexe.
On entend le directeur lui dire.
Oui Sandra et souvenez-vous que vos fesses peuvent encore vous chauffer
si vous refusez. Ça va vous faire connaître Marie plus intimement et de
plus près
On regarde Sandra qui est agenouillée devant
Marie et ses fesses sur ses talons. Ça la rend encore plus sexy, sa raie
de fesses sort de ses talons, moi, j'aime ça. Elle passe ses doigts
sous l’élastique de la culotte blanche de Marie. On ne voit pas
grand-chose d'ici, étant face à Marie et très près, Sandra nous cache à
partir de son ventre. La tête de Sandra me coupe la vue, probablement
que les autres assis dans les bouts des rangées ont un meilleur angle
que moi. Mais je sais que la culotte est aux pieds de Marie, je vois que
Marie lève son pied gauche, ensuite le droit. Ma voisine a toujours sa
main sur mon érection et me fait signe de regarder Ludovic. Sa queue a
ramolli et est redevenue toute petite, ça doit être humiliant se faire
mettre le zizi à l’air par une fille devant un plus de 25 personnes et
ne pas être capable de se retenir de bander devant tout le monde.
C’est fait, Marie est nue, je vois Sandra se relever et elle pose la culotte sur le bureau. Je peux enfin voir Marie nue devant moi. Bien rasé, aucun poil pubien, on voit sa belle fente. Elle est mignonne exposée devant nous nue avec ses beaux petits seins. Sandra, elle se met debout au côté de Marie en cachant ses parties intimes avec ses bras et ses mains. Sandra garde un petit duvet châtain une ligne au-dessus de sa fente, . Pas plus de poitrine que Marie, mais aussi belle à regarder. Marie est superbe comme je l'avais imaginé dans mes fantasmes nue devant nous. Mon autre voisine, celle de gauche, se rend compte à son tour que j’ai une érection et que mon autre voisine de droite, son amie en plus, s’amuse à toucher ma bosse. Et elle regarde où est ma main. Elle s'aperçoit que ma main est placée entre les cuisses de ma voisine ce qui l’excite. C'est à son tour, elle aussi, de prendre mon autre main et l’amenée entre ses cuisses pour me faire toucher sa culotte, vis-à-vis sa vulve. Son sexe est aussi humide et mouillé que celui de ma voisine de droite, elle aussi, ça l’excite de voir les filles et Ludovic nus juste devant nous. Je surveille le directeur, M Lepetit, et ma prof, je ne veux pas qu’on se retrouve ma voisine et moi à l’avant et nus avec eux, mais ils sont tous concentrés sur leur étudiant en punition pour l’instant.
M Delavarenne demande à Sandra de reprendre la strap qu'elle avait déposé plus tôt sur le bureau et de se mettre en position à côte de Marie. Sandra ne comprend pas à quoi le directeur veut en venir, elle le questionne sur le pourquoi de prendre la strap. Mlle Lawson faite ce que je vous demande, lui dit le directeur. Sandra prend la strap et va à côté de Marie et attend. Sandra, ton amie Marie t'a trahi ce matin. Je te donne l'occasion de prendre ta revanche. Ce n’est pas moi qui vais punir Marie, mais toi Sandra. Ce midi Sandra, tu as reçu 30 coups de fouet sur les fesses attaché et exposer jambe écarte humilié par sa faute. Maintenant avant de d'utiliser cette strap, Sandra, tu vas lui administrer une première fessée à la main. La chaise qui est derrière toi place là-devant toi et assoie toi dessus. Après t'être installée, Marie va s'allonger sur tes genoux.
Sandra place ladite chaise à l’endroit demandé par le dirlo et réussi à poser ses fesses dessus. Mais le dirlo me regarde, moi et mes deux voisines, les mains sous nos bureaux. Il demande qu’on se lève tous les trois debout. On se lève tous les trois, mes voisines prennent bien soin avant de se lever d’abaisser leur jupe sur leurs cuisses pour dissimuler ce qu’elle fessait avec leurs mains.
Je l’entends dire Sandra, relevez-vous et allez voir M Duhamel qui est debout juste ici avec ses deux charmantes voisines. C'est moi ça la pression monte dans mes veines. Mes copines aussi deviennent nerveuses, il nous a très bien avertis que si un étudiant n’était pas capable de se retenir, s’il prenait plaisir à jouir sur ses camarades punis, il finirait nu lui aussi sur l’estrade.
Sandra vient nous voire. Étant juste à côté de ma voisine et nue, ça
m’excite encore plus. Le directeur dit à Sandra de venir en face de moi
entre mon bureau et moi, et de mettre sa main sur ma fermeture éclair
et de dire à tout le monde ce qu’elle ressent. Sandra met sa main sur ma
bosse et dit fort pour que toute la salle l'entendre. M. Je crois qu'il
est bandé comme Ludovic l’était plutôt, c'est aussi gros et dur. Je
suis gêné dans la salle, on entend rire. Silence, demande le dirlo. Il
demande à nouveau à Sandra de lever la jupe de Mlle Molette, c'est ma
voisine et de vérifier sa culotte. Sandra lève la jupe de Rebecca et
regarde, elle dit au dirlo, sa culotte est trempée, Rebecca est excitée
M. Elle a voulu rester polie pour ne pas dire, elle jouit. Le directeur
nous dit M. Duhamel, Mlle Molette et Mlle Grand, placez-vous dos au mur,
à votre droite, bras croisés dans votre dos, c'est un ordre. Je vous
interdis de bouger sinon c’est nus sur l’estrade pour les trois. Vous
devez sûrement savoir ce que j’ai dit à propos de ceux que la punition
de leur camarade les font jouir.
Oui M. je réponds, mes
deux copines aussi bien timidement disent oui aussi. Je vais vous
montrez, c'est quoi l'effet que ça fait que d'être exposé devant vos
camarades, et de fantasmer sur leur punition. Sandra, mets-toi à genoux
devant Mlle Molette et enlevé lui sa jupe. Sandra n’a pas le choix, elle
obéit ou ce sont ses fesses qui encaissent, elle le sait très bien.
Sandra se met à genoux devant Rebecca et lui enlève sa jupe, maintenant
Sandra sa culotte pleine de cyprine enlève-la aussi. Ma copine se trouve
à côté de moi, fesse a l’air, mais son chemisier est long et descend
jusqu'à son sexe. Elle est encore cachée, mais je suis sûre que l’on
peut voir sa fente pareille.
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