dimanche 31 mai 2020

Sandra reçoi une sévère fessée à L'institut le tag 3


Saint-Thomas - Le tag (3)



Marie

 Depuis ce matin, je n’ai pas les idées claires. Je repense à ma visite dans le bureau du directeur. À la honte d’avoir été obligé de me mettre nue devant un homme, le dirlo. À la peur qu’il m’a fait quand il m’a presque sorti de son bureau nu et de m’avoir menacé de m’attacher nue et me fouetter dans la cour ce midi. Mais je repense surtout à Sandra ce matin, ma meilleure amie que j’ai trahie. On avait notre période libre, on pouvait faire ce qu'on voulait. Notre prof étant absente. Mes amies et moi étions dans le couloir du sous-sol qui conduit au gymnase. C'est-la que nous avons tous vu Sandra entièrement nue, main sur la tête, marchant le couloir suivi du dirlo. Elle a passé devant nous, les fesses bien rouges. Et pendant quelques minutes, je l’ai regardée soigneusement en détail, de la tête au pied, nue, même pas de chaussure dans ses pieds. J'ai trouvé que Sandra fessait pitié. Elle est comme je me l’imaginais nue, beaux petits seins, pubis bien taillé que je venais de découvrir, c'est la première fois que je la voie nue de la tête au pied. Et ça fait onze ans qu'on est de grande amie. Elle se garde une petite ligne de duvet qui surplombe sa fente. Elle a de très belles fesses bien rondes que je voyais dans son maillot et cela me rendait un peu jalouses. Mais surtout, je voyais sa tristesse dans ses yeux, sa honte d’être nue devant nous, ses amies, et M Lepetit qui lui a claqué les fesses comme une petite fille pour qu'elle avance.

        C’était la première fois depuis plus de 10 ans qu’on se connaît, que je la voyais nue, on est très intime entre nous deux, on se comptait toutes nos joies, nos peines, nos plus grands secrets. Mais jamais à s’être misent nue une devant l’autre. Jamais on en était arrivé là. Sandra et moi, on est trop prude pour se mettre nue, même si on est les meilleures amies du monde. J’espère seulement l’être encore son amie, qu'elle me pardonne. J’ai honte, mais j’essaye de me rassurer en me disant que je n’avais pas le choix. De toute façon, le directeur m’aurait fait le même traitement qu’il a fait à Sandra. Moi aussi, il m'aurait fait circuler nue dans les couloirs et j'aurais fini par parler pareille en me fouettant. J'aurais juste eu un mal de fesses de plus, j'ai bien fait de parler. Je sais que je suis douillette. Les quelques coups de strappe que j’ai reçu sur les fesses, ce n’est rien à comparer à la punition que Sandra est supposée, recevoir et son intimité aussi va en prend un dur coup. Je me dis aussi qu’elle l’a bien cherché en écrivant ce mot sur le mur. Je l’avais bien prévenue de ne pas faire cette sottise-là.

 

La sonnerie de midi me tire de mes pensées. Les profs qu’on suivait dans le couloir pour aller à la café nous annonce que nous devons tous nous rassembler dans la cour arrière avant le repas, car le directeur veut nous parler. Je repense immédiatement à Sandra, la pauvre tout de même. Je ne voudrais pas être à sa place. Et à ce que le dirlo m’a dit quand je suis sorti de son bureau, qu’il me reparlerait après le repas, ça m’inquiète pas mal. Je n'ai pas osé en parler à mes amies pour ma visite ce matin chez le dirlo, c’est trop humiliant de leur conter ça d'avoir été obligé de me mettre à poil devant le dirlo.

 Dans la cour, tout le monde est là, garçons et filles, dans un léger brouhaha qui cesse dès que le directeur monte sur l’estrade. Comme tout le monde, j’ai remarqué que le chevalet de punition qui normalement est installé sur l’estrade de la salle à manger, a été sorti. Le directeur prend la parole, d’une voix ferme.

 — J’ai comme vous tout découvert ce matin le graffiti qui a été fait ce week-end sur le mur qui déshonorait notre établissement. Je vous ai dit que nous trouverions le coupable et qu’il aurait une punition exceptionnelle. Adaptée à son cas, pire que les autres punitions qui se donnent ici. Je vous ai réuni ce midi pour vous dire que la coupable a été identifiée. Cela ne me réjouit pas de devoir punir une jeune fille de 17 ans de cette manière-là. C’est sûrement humiliant de dévoiler son intimité pour la première fois devant ses camarades. Mais en public ça doit être horrible. Mais ce n’est pas la première fille de 17 ans qui est puni nue ici.

 Sur un signe du directeur, le surveillant M Lepetit est entré dans la cour par la porte de service, Sandra le suit, nue, les mains sur la tête. Aux traces sur son visage, on voit qu’elle a dû déjà pleurer. Un très léger murmure parcourt l’assemblée. C’est la première fois que cette fille-là est exhibé nue pour une punition publique et ça plaît beaucoup aux gars, ils la trouvent superbe à ce que je peux entendre.

Le gars à côté de moi dit à son ami, elle a des seins superbes et des fesses d’enfer, c’est la première fois qu’elle parade à poil. J’aurais aimé être dans la première ranger pour la voir de plus près, rajouta-t-il. Ils montent tous les deux les quatre marches qui donne accès sur l’estrade pour rejoindre le dirlo qui les attend. Lepetit se tient en retrait, à côté du chevalet. Je vois Sandra qui s’avance à petits pas et se tourne sur l'ordre du dirlo, elle nous fait face maintenant bien exposée au public devant elle. Tout le monde, les garçons surtout, parcourt son corps des yeux, ses deux petits seins bien ronds, bien ferme, son sexe, sa fente. Tout son corps est bien visible. Sa petite touffe de poils, ses hanches et ses cuisses qui sont aussi belles, je n'aime pas voir mon amie humiliée de la sorte. Elle frissonne, une larme coule sur sa joue. Je vois que mon voisin rajuste son pantalon, ce salaud, ça le fait bander de voir Sandra comme ça. Et j'avoue que moi aussi, elle m'excite, mon amie et celle de Sandra aussi qui est juste à côté de moi, elle aussi, ne la lâche pas des yeux. 

 — Mademoiselle Sandra Lawson, vous avez sans doute trouvé drôle de comparer l’institut Saint Thomas à un bagne. L’heure est à présent venue de payer pour cette provocation. La direction s’est réunie pour étudier votre cas. Nous avons décidé de faire un peu de pédagogie. Nous allons montrer à tout le monde ce qu’est la vie d’un bagnard ou d'une bagnarde qui se fait remarquer. Je suis sûr qu’après cela tout le monde comprendra que le régime de notre établissement ne plaisante pas avec ces gestes stupide là. Même si la punition corporelle se donne régulièrement ici, ce n’est pas une vie de prison ici. C'est un institut privé, un lycée très respecté dans le pays avec des règlements très sévères.

Le directeur se tait un instant pour laisser à chacun le temps de comprendre puis reprend.

 — Mademoiselle Lawson, en plus des trente coups de fouet que vous allez recevoir tout de suite. Vous êtes condamnée pour le reste de la semaine à rester nue, cela veut dire sans aucuns vêtements pour circuler dans l'institut pendant la durée de votre punition. Vous allez vous présenter à l’atelier de monsieur Pogne chaque matin à 7 h. Vous remettrez tous ce que vous porterez comme vêtements incluant chaussures et bas pour vous être rendus ici à l’assistante de M Ponge Ginette qui est à ma droite. M Ponge vous donnera dix coups de lanière sur les fesses puis vous donnera du travail jusqu’au début de vos cours à 8:30. Vous irez assister à vos cours nu bien entendu. Le midi, vous serez attendu à la salle à manger public pour recevoir une autre punition corporel devant tous vos camarades et vous retournez à vos cours d'après midi. À la fin de chaque journée, vous pourrez récupérer vos vêtements à l'atelier de M. Pogne pour pouvoir sortir et rentrez à la maison, Le lendemain, c'est pareil 7 h à l'atelier pour une autre journée de punition et soyez à l'heure. Vos heures de cours vous serviront de pause pour vos fesses, vos fesses dérougirons un peu si vous êtes capable de vous asseoir sinon vos professeurs vous installerons debout à côté de leur bureau. Je suis sûr que vous serez plus respectueuse ensuite. Un dernier mot : la moindre réticence à faire ce que l’on vous demande, c’est la fessée immédiate. Peu importe le lieu, salle de cours, couloir, gymnase. Tous nos prof ou employée on le droit de punir un étudiant ici, vous avez bien compris Mlle Sandra et votre sanction sera prolongée de cinq autres jours.


 --- Des larmes coulent sur les joues de Sandra. Je n’arrive pas à croire qu’elle écope d’une punition aussi humiliante. Elle n’a toujours pas triché ou voler. Elle a juste fait un petit graffiti. Je vois Lepetit se diriger vers elle et l’amener face au tréteau dos à nous. Superbes fesses, j'entends dire par des gars tout près de moi. Il la fait se pencher, le ventre, sur la barre rembourrée de cuir. Ensuite, il lui écarte les jambes et fixe chaque cheville à un des pieds du chevalet avec des cordes. Puis il fait le tour du chevalet et fait de même avec les poignets. Les fesses de Sandra font face à l’assemblée. Entre les pattes du chevalet, on aperçoit les seins de Sandra et son visage. Elle garde les yeux fermés, humiliés sûrement qu'elle ne veut pas nous regarder. On aperçoit aussi, bien sûr, tout ce qu’une fille doit cacher, les fesses aussi bien écartées nous laissent voir son petit trou et plus bas, son sexe entrouvert.

 Monsieur Lepetit se saisit du fouet. Il regarde le directeur et sur un signe de celui-ci, il l’abat en travers des deux fesses. Une trace rose apparaît instantanément et Sandra cherche à se cambrer, mais n'en est pas capable, trop bien attachée. Il attend un peu et frappe une seconde fois, un peu plus bas. Le troisième coup arrache un premier cri à Sandra. À partir du dixième, chaque coup est accompagné d’un hurlement. Les fesses sont maintenant rouges avec des traces plus sombres là où les coups se sont chevauchés. Sandra s’agite vainement, les cordes sont bien serrées et la maintiennent en position. Sandra ne peut rien faire pour essayer d'éviter les coups. Je ne peux m’empêcher de penser que si je n’avais rien dit, je serais à sa place. J’imagine sans peine la honte de sentir tous les regards sur mon sexe puis la douleur affreuse. J’ai déjà reçu quinze coups ce matin et mes fesses sont encore très sensibles.

Lepetit se met soudain à fouetter le haut de ses cuisses juste a la fin de ses fesses, une autre partie très sensible. On entend Sandra qui hurle à chaque fois que le fouet touche sa peau. Sandra demande pitié, mais n’en a aucune de la part du directeur qui regarde impassible. Je vois bien que le bout du fouet termine sa course en claquant sur l’intérieur si sensible des cuisses et même peut-être les lèvres de son sexe.

 Les derniers coups sont de nouveau pour ses fesses, les hurlements ont été remplacés par des sanglots que l’on entend bien dans le silence de mort qui s’est abattu dans la cour. Je sens une larme qui coule sur ma joue, je l’essuie d’un revers de main.

 Le directeur nous envoie manger, mais il dit devant toute l'assemblée, Mademoiselle Esteban, vous êtes convoquée dans mon bureau à 13 h 15 et soyer a l’heure sinon vous le regretterez. Beaucoup de plats retourne à la poubelle à moitié manger, tout le monde est sous le choc, une étudiante fouettée ici, c'est une première. Il y a beaucoup d'étudiant qui reçoive des punitions corporelles ici. Des coups de strappe, canne, paddle, mais le fouet et surtout 30 personnes ici dans les étudiants et personnels ne se souviennent de cela. Tout le monde est resté marqué de la sévérité de la punition de ce midi. Plusieurs de mes amies fantasment à l’idée d’être fesses nue devant une assistance libre à elles. Mais pas moi, je panique plus sur ce que vient de dire le dirlo devant tout le mode dans la cour ma convocation. 

 À suive...

vendredi 29 mai 2020

Sandra a peur a ses fesses à l'institut devant le directeur le tag 2




Saint-Thomas - Le tag (2)



Monsieur Delavarenne (directeur)

 

J’ai fait placer Marie face au mur, le nez coller sur ce mur avec l'interdiction de décoller son nez, montrant ses fesses rondes et bien rouges. Ma secrétaire vient me porter les dossiers de Marie et Sandra et en profite pour regarder les belles fesses rouges de Marie en passant. J’attends tranquillement l’arrivée de Sandra qu’un surveillant est allé chercher. Je répète à Marie qu’elle est une traître d’avoir balancé son amie pour sauver ses fesses, et je m’occuperai d'elle plus tard, pour l’instant, c'est Sandra à qui je veux parler. Celle-là, je ne vais lui faire payer cher son insolence.
                                                                
Un coup sur la porte je dis entrer, le surveillant entre avec Sandra.
— C’est bon, vous, pouvez-nous laisser, mais j’aurai besoin de vous plus tard, M Lepetit.
Le surveillant se retourne et sort, avec un grand sourire quand il a regardé les fesses de Marie.
 Moi, je regarde Sandra qui se tient devant mon bureau, visiblement inquiète d’être convoquée ici et de voir Marie, son amie face au mur nue et les fesses rouges. Physiquement, cette fille n’est pas mal. Un joli visage à la peau pâle et parsemée de quelques petites taches de rousseurs, encadré par des cheveux très roux, mi-longs et tombe sur ses seins. Une poitrine qui pointe un peu sous le chemisier, une taille fine qui met en valeur le galbe des hanches puis des cuisses superbes. Mais bon, ce n’est pas le sujet.

— Alors Sandra, vous n’avez rien à me dire ?, C'est pour cela que je vous ai fait venir pour me parler de ce que vous savez Mlle.
Comme le silence se prolonge, je reprends.
— Pas trop inquiète d’être convoquée dans le bureau du chef du bagne ?
Là, je remarque qu’elle a tressailli.
— Vous savez que dans les bagnes, les directeurs ont tous les pouvoirs ? Vous devez savoir aussi que le chef n’aiment pas les fortes têtes ?
 Sandra est de plus en plus pâle, mais ne sait que répondre.
— Vous savez comment les directeurs trouvent les responsables des désordres ? Je vais vous le dire moi… Dans un bagne, il y a toujours des faibles pour vendre les autres, en plus clair pour sauver ses fesses.
 Sandra a compris qu’elle a été dénoncée. Elle aurait dû rester discrète, mais quelque, fois, c'est si bon de se vanter de ses bêtises à ses amies. Je me doute que sa peur monte, elle connait ma réputation et j’ai promis devant tout le monde hier midi que je ne raterai pas le coupable.
 — Retournez-vous, Mlle. et dites-moi ce que vous voyez dans le coin.
Sandra se retourne et reconnait Marie même si celle-ci a le nez collé au mur et lui fait dos.
— C’est Marie, monsieur.
— Non, ce n’est pas Marie, c’est la froussarde qui vous a dénoncée pour sauver ses fesses. Regarde comme elles sont bien rouges ses jolies petites fesses. Elle a voulu me niaiser et elle a écopé d’une fessée, 15 coups de strappe ça délie des langues.

 Je crois que ton amie Marie n'a pas aimée se faire rougir les fesses et elle a tout avouer. Si elle ne veut pas coopérer la prochaine fois, je lui ai promis qu'elle va montrer ses jolies fesses en public et pour plusieurs jours. Ici la pudeur dans un Bagne ça n’existe pas. Vous pouvez vous rhabiller mademoiselle Esteban. On se revoit plus tard après le repas. Je n'en ai pas fini avec vous, mais compter vous chanceuse de sortir d’ici avec vos vêtements, ça m’a passé par l’idée de vous renvoyer nue à vos cours pour le reste de la journée.

Marie se retourne, le regard pointé vers le sol et vient chercher ses vêtements qui sont posés juste en face de Sandra. Elle n’ose pas regarder Sandra. Sous mon regard et celui de sa copine – mais est-ce encore une copine ?  Elle s’habille le plus vite possible avant que je ne change d’idée et elle sort rapidement.
— C’est bon, et merci encore pour votre aide, lui dis-je, juste avant qu’elle ferme là porte, et on se revoie plus tard, Marie.
Je fixe mon regard sur Sandra.
— Alors, vous reconnaissez être l’auteure du tag ?
— Oui monsieur, répond Sandra en baissant les yeux.

 — Comme vous semblez croire que cet institut est un bagne, nous allons vous donner raison. Dans un bagne, pour les fortes têtes, c'est la punition, le fouet, l’humiliation en public, mitard et travaux forcés. Le programme vous convient ?
Sandra me regarde avec de grands yeux… Je pense qu’elle ne comprend pas trop où je veux en venir et c’est bien mon but. La peur fait partie de la punition.


— Sandra, déshabillez-vous, donnez-moi votre uniforme de l'institut. Vous ne méritez pas de le porter. Des vêtements et surtout l’uniforme de l’institut pendant vos jours de mitard son interdit. Une forte tête dans u bagne se mérite la plus sévère punition qui existe, le niveau trois. Sandra ne s'oppose pas et enlève sa veste et son chemisier très rapidement. Le chemisier posé sur une chaise est rapidement rejoint par la jupe plissée. Sandra n’est plus couverte que par sa culotte et son soutien-gorge.

 Tu es une bonne fille Sandra. J'aime ça les filles qui obéissent sans rouspéter. Je prends plaisir à regarder sa poitrine pendant qu’elle la dévoile en retirant son soutien quels beaux petits seins. Deux jolis seins bien ronds avec de petites aréoles rose clair mettant en valeur une peau très blanche parsemée de quelques petites taches de rousseur. 

Elle essaie de se cacher la poitrine, mais avec ses mains sur ses seins enlever sa culotte est impossible. Donc elle est bien obligée malgré elle de me laisser voir ses petits seins tout mignons. Je suis ensuite du regard la culotte qui descend le long de ses fines jambes. Le sexe est rasé à l’exception d’une toute petite touffe de poils roux, formant comme une goutte au-dessus de la fente. 

Je lui demande de se tourner pour regarder ses belles fesses bien rondes. Elle s’empresse de cacher son sexe quand elle se rend compte que je la regarde de la tête au pied, et se tourne pour que j'admire ses fesses. Je t’ai dit de tout enlever ma belle il reste les bas et tes chaussures il faut tout enlevé. Je te veux complètement nue de la tête aux pieds. 

Sandra se penche pour enlever ses chaussures et ses bas. Ça me permet d’admirer ses petits seins pendant que ma secrétaire revient faire un tour surement pour admirer Sandra. Sandra s'aperçoit que ma secrétaire est derrière elle et en apercevant la secrétaire, Sandra qui est encore accroupie pour enlever ses bas se croise les bras autour d'elle pour se cacher, gêné d'être nue. Elle fait partie de ces filles dont la fente est bien fermée, les grandes lèvres cachant tous les trésors plus secrets. 

Relève-toi Sandra, c'est un ordre et laisse tes bras de chaque côté de ton corps. Ma secrétaire veut te regarder alors montre y ce qu'elle veut voire. On regarde Sandra se relever et elle étend ses bras de chaque côté de son corps. Ma secrétaire adore ça quand j'ai des étudiants nus ici. Elle prend le temps de regarder Sandra en virant autour d'elle.

 — Suivez-moi Mlle.

Je m’aperçois que le temps passe vite. Ma secrétaire retourne et moi je fait avancer Sandra derrière pour qu'on sorte nous aussi. je suis obliger de pousser Sandra et de lui claquer les fesses pour la faire avancer et traverser le secrétariat. La secrétaire en profite encore une fois pour regarder passer Sandra nue devant elle. J'ouvre la porte donnant sur le grand hall. Sandra me regarde, mais semble figée, cachant toujours son intimité le plus possible. 
 
Elle n’arrive pas à faire les quelques pas qui la feront sortir du bureau nue dans l’immense hall d'entrée. Je suis encore obligé de lui claquer les fesses quatre bonnes claque cette fois-ci deux sur chacune de ses fesses pour qu'elle sorte. Malheureusement le hall est vide, même pas une employée d'entretien, personne.
 
Elle a compris que j’ai l’intention de l’humilier en la faisant parader nue dans les couloirs. Elle s’en veut surement d’avoir écrit ce mot sur le mur. C’est beaucoup moins drôle maintenant qu’elle comprend qu’elle va payer très cher son action. Finalement, elle avance lentement, Sandra, si tu n'avances pas assez vite, je vais chercher la palette de bois dans le bureau et je te chauffe les fesses avec, tu vas bouger, non M. j'avance promis. 
 
---Mais le plancher est froid M. ce n'est pas agréable d'être pieds nus. 
 
----Deux autres claques atterrisse sur ses fesses. Ne t'occupe pas de ça et avance, tu restes dans cette tenue pour la journée en ne questionne plus pour tes vêtements, je te les ai confisqués. Ce n'est pas pour que tu sois confortable que je te puni c'est pour t'humilier, alors avance. Elle garde son regard droit devant elle, gêner d’être nue dans le hall. Et elle espère surtout de ne pas croiser personne.

 

Sandra

 

Le couloir est vide. Ça m'enlève un gros stresse pour l'instant, du moins, il n'y a personne. À tout moment quelqu’un peut passer et me voir. Je ne croyais jamais que d’être nue dans un lieu public et sachant que tout le monde peut me voir, c’est aussi gênant et humiliant. Ça me paralyse les jambes. Les dalles me paraissent froides sous mes pieds nus et le directeur me claque les fesses pour que j’avance plus vite. Il me fait descendre au sous-sol. Ça me parait une éternité d’être dans l'escalier et entrer dans ce couloir nue. En face de nous, ce sont les gymnases pleins d'étudiants qui jouent, j'espère que le directeur ne m'amène pas là. Je n’ose pas poser de question sur notre destination, je suis assez nerveuse comme ça j'aime mieux le suivre. Je suis beaucoup trop stressé à l’idée que je peux être vu nue, j'en tremble. je sais maintenant ce que ressentent les étudiants qui sont en punition et privé de leurs vêtements et qu’on aimait voir défilés nus autour de nous, Marie et moi. Marie fantasmait à l’idée de se faire punir nue devant des gens, à présent, je ne trouve pas ça pas agréable et confortable d'être nu dans un établissement public. j'ai ma réponse sur notre destination. Le directeur s'arrête et frappe à la porte du bureau de l'atelier de M. Ponge une autre humiliation, entrer nu dans cet atelier sans savoir qui si trouve.

Monsieur Ponge et M. Lepetit si trouvent avec Ginette, l'assistante de M.Ponge. Ils se lèvent tous les trois à l’entrée du directeur etils sont tous surpris en me regardant nue devant eux. Je fige de honte devant eux, nue. M. Lepetit me connait bien, car je suis déjà passée dans le bureau pour une petite réprimande qui m'a (valu) quelques coups de lanière sur mes fesses. Jupe et ma culotte enlevées et il m’a dit que j’avais été chanceuse de ne pas les avoir reçus dans ma classe et nue. Le directeur a pris la parole. M Lepetit lève les yeux vers lui, quittant enfin du regard mon corps. Le directeur demande M Ponge, j'ai amené Sandra ici pour que vous lui fassiez nettoyer sa cochonnerie qu'elle a faite dehors sur le mur. M Ponge lui demande. Dois-je la faire sortir nue M. ? ou c'est peut-être mieux de lui donner un sarrau et des chaussures pour nettoyer le mur, À mon gout à moi, je préfèrerai la garder nue. Mais c'est dans la rue apprêt tout. Non, pas de vêtements, M. Ponge réplique le dirlo. Vous la faites sortir nue dans la rue pour son nettoyage. Pour sa pudeur, je m'en fous totalement et les gens dans la rue vont aimer la regarder frotter sa cochonnerie qu'elle a faite, si elle ne veut pas obéir ne vous gênez surtout pas chauffer lui les fesses. Et le travail qui soit fini ou non, Sandra doit être de retour à 11 h 15 à mon bureau, elle retournera le finir plus tard si nécessaire. Son assistante Ginette qui est en face de moi et me regarde depuis que je suis entré commence à me dire. Belle fille, j'espère pour toi que la rue sera vide sinon tu seras populaire.


 Sandra

----- Ce n’est pas sérieux ce que vous, dite M. sortir sur le trottoir nu. Il y a du monde qui circule, jamais personne ne circule nu sur une voie public, je refuse d’aller dehors sur la rue, c'est déjà assez humiliant d’être nu ici, je ne vais pas dehors.
 

---- Très bien Sandra, si tu refuses, M Ponge va sortir la palette de bois et il va te chauffer les fesses jusqu'à temps que tu le supplies d'arrêter. Tu iras pareille nettoyer le mur, mais avec un sacré mal de fesses et bien rouges.


Sandra

 Je regarde M. Ponge qui par chercher la palette a fessé et s'approche de moi. Je me retourne et me colle les fesses sur le mur en arrière de moi, je lui demande de ne pas faire ça.
---C’est toi qui décides Sandra.
J'entends M.Ponge demander à M Lepetit, placez-moi Sandra au centre ici et tenez-la fermement, elle va regretter d'avoir refuser.

 Sandra

--- M Lepetit me serre les bras très fort, ça me fait mal et me déplace au centre sans que je puise rien faire d’autre que de suivre. Il est beaucoup plus fort que moi. M.Ponge me donne un coup avec cette palette qui me fait hurler la douleur, c’est terrible comment cette palette fait mal aux fesses. Je demande qu’il arrête dès le premier coup et j’accepte d’aller nettoyer mon graffiti même si je dois sortir nue dans la rue. M le directeur me dit, tu vois comment on oblige une fille à obéir.


 Sandra

--- Lepetit et le directeur sortent de l’atelier, me laissant face à face et nue avec M Ponge et son adjointe. Voyant le regard que ceux-ci posent sur mon corps, je commence à être humilié. Je cherche à me cacher le plus possible, posant une main sur mon sexe et l’autre bras en travers de ma poitrine. Un réflexe pour moi important protègent ma pudeur, mais idiot aux yeux de M.Ponge qui le fait sourire.

 M.Ponge

— Les mains sur la tête, Sandra. Tu fais moins la maline maintenant… Je te conseille de m’obéir sans la moindre hésitation si tu ne veux pas que ta situation s’aggrave encore plus, et que je me serve de la palette. Je m’aperçois que tu as déjà goutté à quelques claques, tes fesses ont une petite rougeur.

 

---Il me regarde rougir en posant mes mains sur ma tête, je les laisse voir ce qu’ils voulaient voir son assistante et lui. Je sais que je rougis facilement et qu’avec ma peau de rousse cela se voit bien, je n'aime pas cela, rougir si facilement, mais je n’y peux rien.

 M.Ponge

— Je vois que tu ne fais pas ta maline aujourd’hui, tu te tiens tranquille nue devant nous. Bonne fille, tu crains pour tes fesses. Je te promets que je vais y mettre tout mon cœur quand sera venu le moment de te punir si tu t’entêtes à ne pas obéir. Je suis sûr que tes fesses ne vont pas rester blanches toute la journée.
Je sais bien que c’est le surveillant général qui se charge des punitions, mais ici dans mon atelier, c'est moi.

 — Bon, c'est bien beau parler de tes fesses, mais le devoir nous appelle. Suis-moi et garde tes mains où elles sont. Je suis sûr que tu vas me trouver gentil. Je te donne notre meilleur produit et une très bonne brosse. Sinon avec un produit plus modeste, tu passeras un temps énorme à effacer ça et en plus, tu passeras plus de temps nue dehors, et plus il y aura de monde pour te regarder et te poser nue. Il va dans un coin de son antre et prend un seau, du produit et une grosse brosse. tu es chanceuse Sandra mes employées sont tous partie a leur poste à l'heure qu'il est l'atelier est vide. Juste Ginette et moi.

 Sandra

--- Je me dis que mon calvaire est sans fin. Ponge, le chef de l’entretien, a toujours des regards lubriques, il va se régaler…

 M.Ponge
— Suis-moi on sort sur le trottoir ensemble.
Il sort dans la cour et remplit le seau à un robinet et met du produit, il me tend les outils. Il ouvre la petite porte et sort dans la rue. Je sais que je dois le suivre, dehors, nue. Je tremble, je rougis encore, mais j’avance lentement.

Heureusement ce matin la rue est calme. Je frotte le plus fort et le plus vite possible. Ponge me regarde en ricanant. Il a tenu parole, son produit est efficace et le tag se diluent. Une voiture passe, ralentit et klaxonne. Je sursaute, mais je ne me retourne pas. Pogne ne peut s’empêcher de faire un commentaire.
— Tu es dure avec eux, tu aurais pu leur montrer tes petits seins, ils auraient apprécié de les regarder tout comme moi. Je suis sûr que cela t’aurait plu de te retourner face a lui et de lui montrer ta chatte.
 Sandra
C’est enfin fini. Il me laisse passer devant lui pour rentrer et me colle la main aux fesses pour me féliciter de mon travail bien fait et surtout vite fait.
Revenu à l’intérieur, M Lepetit revenait me voir si j'avais fini pour me ramener en haut au bureau. Il me félicite lui aussi pour mon nettoyage rapide sans me mettre la main aux fesses lui. On est juste dans les temps pour notre rendez-vous, il me demande de le suive, et de me remettre les mains sur la tête. Traversant la porte de l'atelier pour aller prendre les escaliers qui remontent à l’administration, j'aperçois des personnes dans le couloir, je n'ai pas de chance cette fois-ci.

  Il y a des personnes dans le couloir, quatre filles que je connais très bien, ce sont mes amies et Marie est parmi elles. Je fige et par pudeur, je descends mes mains et les places pour cacher mon intimité. M Lepetit n’aime pas du tout et ça me vaut cinq bonnes claques sur les fesses devant mes amies. Je replace mes mains rapidement sur ma tête pour éviter d’autres claques sur mes fesses devant elles. Marie est là-devant moi et me regarde de la tête au pied en tournant autour de moi pour regarder mes fesses aussi. Elle fait remarquer aux autres que mes fesses sont rouges. Elle a reçu une fessée, regardez les filles la couleur de ses fesses, les autre aussi virent autour de moi pour me regarder les fesses. J'ai honte nue devant Marie et mes autres amies. Et Marie qui s'amuse à me ridiculiser. C'est la première fois que je me montre nue devant Marie et mes autres amies.


jeudi 14 mai 2020

Marie a peur a ses fesses devant le directeur, elle trahie son amie le tag 1



 

Un tag décorait la façade de l’institut Saint Thomas. Un mot, un seul, s’étalait : Bagne. Le directeur était furieux et avait demandé à tout le personnel d’être aux aguets pour réussir à attraper le coupable, il leur a promis une récompense à celui ou celle qui trouve le coupable.

Il n'a fallu que quelques heures pour qu’une piste se dégage, une employée d’entretien avait entendu une conversation entre étudiantes, l'une d'elle a paru se venter de savoir qui était l'auteur. Mais ce n'était que qu'une autre rumeur parmi quelques autres qui circulait. Ce qui laissait penser que Marie Esteban savait peu-être des choses. Monsieur Delavarenne, notre cher directeur, décida de prendre les choses en main pour essayer d'éclaircir ce méfait. Le lendemain matin, à la première heure, il fit venir l'étudiante dans son bureau.
Marie
Depuis vingt minutes que j’attends assise dans le grand hall de l'entrée principal de l'institut. Sur un banc de bois peu confortable devant le secrétariat, à me poser des questions sur la raison de cette convocation. Je suis passé devant le bureau de M Lepetit le directeur de la discipline qui est juste à côté, et j’entendais des pleurs. Sandra, mon amie l'an passé, avait été convoquer à son bureau. Elle avait été obliger d'enlever sa jupe et sa culotte. M.Lepetit lui avait donné dix coups de strap sur les fesses, elle me l'avait racontée en me promettant de garder ça secret. C'est lui qui normalement convoque les étudiants pour les punir, c’est lui qui gère la discipline ici. Mais on m’a bien dit d’aller au bureau du directeur M Delavarenne. La secrétaire vient me voir et me regarde avec un petit sourire en coin qui ne me rassure pas, elle me dit pauvre fille, je n’aimerais pas être dans tes souliers.
Enfin, elle me demande de pénétrer dans le bureau. Le directeur m’interpelle sans que j'aille le temps lui dire un bonjour ou autre :

— Vous devez être fière de vous ! Silence, je ne veux rien entendre ! Les mains dans le dos et laissez-moi parler…

J'obéis sans insister. Le dirlo a l'air de très mauvaise humeur ce matin. Et quand il est ainsi, c'est beaucoup mieux lui obéir, cela évite d'être puni.

Je me mets à trembler, cet accueil agressif ne me rassure pas. Et la réputation qu'à le directeur et cette institution pour les traitements me font craindre le pire. L'an passé, j'ai vu plusieurs étudiants recevoir des fessées nues et devant nous tous. On est en début d'année et les règlements n'ont pas changes, ils ont même empiré cette année.

 — Vous savez ce qui arrive dans un bagne aux mutins ? Ils sont attachés, exposés et fouettés nus au milieu de la cour en public et on leur fait affronter les pires humiliations.

Mes tremblements augmentent, le mot bagne me fait comprendre le sujet de cette convocation. Mais je ne comprends pas trop pourquoi c’était moi qui suis ici et non ma copine Sandra qui pourtant est l’auteure du tag.

 — Marie, vous savez que couvrir le responsable d’un forfait ou d'avoir aidé l'auteur, c’est être son complice ?

Je regarde le directeur. Comment donc sait-il tout cela ? Il me coupe dans mes pensées.

 — Mlle, votre uniforme vous est confisqué, déshabillez-vous complètement, pendant que je réfléchis un instant à votre sanction.

 Je sais que ce n'est pas le moment de discuter avec lui, le dirlo est trop en furie et je dois laisser ma pudeur de côte et obéir si je ne veux pas empirer les choses. La peur se diffuse en moi, le directeur a la réputation d’être très sévère et ses punitions sont très humiliante quand un étudiant n’obéi pas à ses ordres. Cravate, chemisier, jupe, je retire lentement mon uniforme. Il ne me reste que ma culotte sage et réglementaire en coton blanc et mon soutien-gorge, blanc lui aussi. Le directeur lève les yeux.

—J'ai été très clair, Mlle, j'ai dit tout et ne me le faite pas répéter encore une fois. Le reste aussi chaussures et bas inclus puis mains sur la tête.

Il reste les yeux fixés sur moi pendant que je retire mes sous-vêtements et mes chaussures, je suis maintenant nue devant lui. La position de mes bras cache ma poitrine et laisse visible mon bas-ventre visible. le dirlo regarde mon bas ventre que je garde bien rasé.

— Vous avez envie d’être fouettée nue au milieu de la cour ? Et devant tous vos camarades.

 J’ai les yeux pleins d’eau et sens des larmes qui coulent sur mes joues. Mes pensées ne sont bien claires, humiliées de cette façon, j'en ai perdu mes idées. Je m’imagine nue, exposée à la vue de tous et le fouet s’abattant sur ma peau. La peur me fait de nouveau trembler. On voit souvent des étudiants circuler nus dans les couloirs en punition et recevoir la fessée à la cafétéria le midi. Je me disais en moi-même que ça devait être tellement humiliant d’être nue devant tous ces gens. J'espérais ne jamais avoir à être punie de cette manière-là, et c’est moi maintenant ce matin qui est nu devant le directeur et horrifier de l’être nue.  

— Pitié, monsieur, pitié… Je n’ai rien fait…

 Le directeur me regarde.

 — Je sais que ce n'est pas vous qui l,avez fait. Mais par conte, vous êtes complice. Votre seule chance d’éviter l’humiliation d’être nue et fouettée devant des centaines de personnes ce midi, c’est de coopérer. Mais libre à vous de choisir le fouet.

 — Coopérer ? Je cherche un espoir de m'éviter cette humiliation-là.

 --- Vos mains sur votre tête, je veux vous, voire nue de la tête aux pieds et non cacher comme vous le fait  présentement, c'est beaucoup plus humiliant d'exposer son corps au grand complet. 

Je vais vous sortir dans la cour et vous attachez nue pour que tous les gens vous regarde si vous ne me répondez pas Mlle.

 — Marie, si tu veux te sauver cette humiliation, parle. Il me faut le nom du coupable ou de la coupable et vous le connaissez.

— Mais je ne peux pas dénoncer ma copine, me dis-je, dans ma tête !

 — Après un moment d’attente, le dirlo me dit.

--- C’est ton choix. Ma belle, tu as le droit de préférer l’humiliation et le fouet en public.

 --- Je reste muette. Le directeur se lève.

 — Bon, j’ai assez perdu de temps avec toi, j’ai bien d’autre cas a réglé ce matin, lui dis-je.  Je la prends par un bras et je l'oblige à me suivre, on s’en va tous les deux dehors et je te fais attacher après le poteau au milieu de la cour. Ainsi, tu seras exhiber nue pour le reste de la matinée à toutes les salles de cours qui ont des fenêtres avec vue sur la cour. Ça va sûrement plaire aux étudiants de voir une belle fille comme toi nue, avec ce superbe corps, et tu vas être prête pour le fouet ce midi, il devrait y avoir une assistance monstre pour venir assister à ta punition. Je suis sûr que tes hurlements sous le fouet feront comprendre à tout le monde que je ne plaisante pas. Rendus devant la secrétaire de l’autre côté de mon bureau, Marie me dit, je vais vous dire qui a fait le graffiti. Mais s'il vous plaît ne m’amenez pas dehors s’il vous plaît. J'ai trop honte d’être nue et dehors en plus. Alors parle sinon il sera trop tard, un coup sortit d’ici, on ne revient plus en arrière.

 — C’est Sandra. C’est Sandra Lawson, pitié, surtout pas nue dehors et le fouet, pitié monsieur.

 J’ai craqué par ce que vous voulez m’infliger, je sais que ce n’est pas bien de dénoncer une copine, mais j’ai trop peur.

 ---- Bon, Marie, je vois que vous voulez sauver vos fesses, retournez dans mon bureau et reprenez votre position, main sur la tête au centre de la pièce. Pendant que Marie me dit que c’est Sandra ma secrétaire, elle suit Marie dans mon bureau  et regarde Marie se positionner. Marie est nue devant ma secrétaire qui l'examine de la tête au pied, et lui passe un petit commentaire, je suis sûre ma belle fille que vous auriez faite fureur nue dans les couloirs et exposé dans la cour.

      Dans mon bureau, Marie a repris sa position à centre. Je sors une strappe en cuir véritable et très souple de 4 cm de large et 50 cm de long qui est rangé dans mon armoire. Je m’approche de Marie qui debout au centre de la pièce et lui conseille de ne pas bouger. Je lui annonce qu’elle va recevoir 15 coups de strappe sur ses belles fesses toutes blanches pour m’avoir fait perdre mon temps, et si elle bouge, c’est dans la cour que je l’amène pour finir sa punition attacher au centre de l’estrade et elle restera attaché jusqu’à sa séance de fouet de ce midi. Marie en pleure me supplie de ne pas la sortir, elle va rester sans remuer.

         C’est bien alors tes mains reste sur ta tête. Je lui applique un solide coup en travers des fesses, elle crie, mais garde sa position, ma secrétaire vient jeter un œil pour, voire Marie se faire punir, elle aime ça voir une fille se faire rougir les fesses.

       Je continue à lui claquer les fesses et elle résiste tan bien que mal à demeurer immobile au quinzième, elle descend ses mains sur ses fesses pour soulager sa douleur. Des larmes coulent plein ses joues. Je la laisse reprendre sont respire pour qu’elle se calme. Quelques minutes plus tard, je l’envoie face au mur, mains sur la tête et lui défend de bouger sinon gare à ses fesses, la strappe n’est pas loin de son derrière.

   

         J’appelle M Lepetit qui est dans son bureau juste a côte du mien. Quelque seconde plus tard, il frappe à ma porte et entre en regardant Marie nue face contre le mur et les fesses bien rouge. Je lui demande d’aller chercher Mlle Lawson et de me la remmener ici, j'ai un besoin urgent de lui parler.

 

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...