Saint-Thomas - Le tag (3)
Marie
Depuis ce matin, je n’ai pas les idées claires. Je repense à ma visite dans le bureau du directeur. À la honte d’avoir été obligé de me mettre nue devant un homme, le dirlo. À la peur qu’il m’a fait quand il m’a presque sorti de son bureau nu et de m’avoir menacé de m’attacher nue et me fouetter dans la cour ce midi. Mais je repense surtout à Sandra ce matin, ma meilleure amie que j’ai trahie. On avait notre période libre, on pouvait faire ce qu'on voulait. Notre prof étant absente. Mes amies et moi étions dans le couloir du sous-sol qui conduit au gymnase. C'est-la que nous avons tous vu Sandra entièrement nue, main sur la tête, marchant le couloir suivi du dirlo. Elle a passé devant nous, les fesses bien rouges. Et pendant quelques minutes, je l’ai regardée soigneusement en détail, de la tête au pied, nue, même pas de chaussure dans ses pieds. J'ai trouvé que Sandra fessait pitié. Elle est comme je me l’imaginais nue, beaux petits seins, pubis bien taillé que je venais de découvrir, c'est la première fois que je la voie nue de la tête au pied. Et ça fait onze ans qu'on est de grande amie. Elle se garde une petite ligne de duvet qui surplombe sa fente. Elle a de très belles fesses bien rondes que je voyais dans son maillot et cela me rendait un peu jalouses. Mais surtout, je voyais sa tristesse dans ses yeux, sa honte d’être nue devant nous, ses amies, et M Lepetit qui lui a claqué les fesses comme une petite fille pour qu'elle avance.
C’était la première fois depuis plus de 10 ans qu’on se connaît, que je la voyais nue, on est très intime entre nous deux, on se comptait toutes nos joies, nos peines, nos plus grands secrets. Mais jamais à s’être misent nue une devant l’autre. Jamais on en était arrivé là. Sandra et moi, on est trop prude pour se mettre nue, même si on est les meilleures amies du monde. J’espère seulement l’être encore son amie, qu'elle me pardonne. J’ai honte, mais j’essaye de me rassurer en me disant que je n’avais pas le choix. De toute façon, le directeur m’aurait fait le même traitement qu’il a fait à Sandra. Moi aussi, il m'aurait fait circuler nue dans les couloirs et j'aurais fini par parler pareille en me fouettant. J'aurais juste eu un mal de fesses de plus, j'ai bien fait de parler. Je sais que je suis douillette. Les quelques coups de strappe que j’ai reçu sur les fesses, ce n’est rien à comparer à la punition que Sandra est supposée, recevoir et son intimité aussi va en prend un dur coup. Je me dis aussi qu’elle l’a bien cherché en écrivant ce mot sur le mur. Je l’avais bien prévenue de ne pas faire cette sottise-là.
La sonnerie de midi me tire de mes pensées. Les profs qu’on suivait dans le couloir pour aller à la café nous annonce que nous devons tous nous rassembler dans la cour arrière avant le repas, car le directeur veut nous parler. Je repense immédiatement à Sandra, la pauvre tout de même. Je ne voudrais pas être à sa place. Et à ce que le dirlo m’a dit quand je suis sorti de son bureau, qu’il me reparlerait après le repas, ça m’inquiète pas mal. Je n'ai pas osé en parler à mes amies pour ma visite ce matin chez le dirlo, c’est trop humiliant de leur conter ça d'avoir été obligé de me mettre à poil devant le dirlo.
Dans la cour, tout le monde est là, garçons et filles, dans un léger brouhaha qui cesse dès que le directeur monte sur l’estrade. Comme tout le monde, j’ai remarqué que le chevalet de punition qui normalement est installé sur l’estrade de la salle à manger, a été sorti. Le directeur prend la parole, d’une voix ferme.
— J’ai comme vous tout découvert ce matin le graffiti qui a été fait ce week-end sur le mur qui déshonorait notre établissement. Je vous ai dit que nous trouverions le coupable et qu’il aurait une punition exceptionnelle. Adaptée à son cas, pire que les autres punitions qui se donnent ici. Je vous ai réuni ce midi pour vous dire que la coupable a été identifiée. Cela ne me réjouit pas de devoir punir une jeune fille de 17 ans de cette manière-là. C’est sûrement humiliant de dévoiler son intimité pour la première fois devant ses camarades. Mais en public ça doit être horrible. Mais ce n’est pas la première fille de 17 ans qui est puni nue ici.
Sur un signe du directeur, le surveillant M Lepetit est entré dans la
cour par la porte de service, Sandra le suit, nue, les mains sur la
tête. Aux traces sur son visage, on voit qu’elle a dû déjà pleurer. Un
très léger murmure parcourt l’assemblée. C’est la première fois que
cette fille-là est exhibé nue pour une punition publique et ça plaît
beaucoup aux gars, ils la trouvent superbe à ce que je peux entendre.
Le gars à côté de moi dit à son ami, elle a des seins
superbes et des fesses d’enfer, c’est la première fois qu’elle parade à
poil. J’aurais aimé être dans la première ranger pour la voir de plus
près, rajouta-t-il. Ils montent tous les deux les quatre marches qui
donne accès sur l’estrade pour rejoindre le dirlo qui les attend.
Lepetit se tient en retrait, à côté du chevalet. Je vois Sandra qui
s’avance à petits pas et se tourne sur l'ordre du dirlo, elle nous fait
face maintenant bien exposée au public devant elle. Tout le monde, les
garçons surtout, parcourt son corps des yeux, ses deux petits seins bien
ronds, bien ferme, son sexe, sa fente. Tout son corps est bien visible.
Sa petite touffe de poils, ses hanches et ses cuisses qui sont aussi
belles, je n'aime pas voir mon amie humiliée de la sorte. Elle
frissonne, une larme coule sur sa joue. Je vois que mon voisin rajuste
son pantalon, ce salaud, ça le fait bander de voir Sandra comme ça. Et
j'avoue que moi aussi, elle m'excite, mon amie et celle de Sandra aussi
qui est juste à côté de moi, elle aussi, ne la lâche pas des yeux.
— Mademoiselle Sandra Lawson, vous avez sans doute trouvé drôle de
comparer l’institut Saint Thomas à un bagne. L’heure est à présent venue
de payer pour cette provocation. La direction s’est réunie pour étudier
votre cas. Nous avons décidé de faire un peu de pédagogie. Nous allons
montrer à tout le monde ce qu’est la vie d’un bagnard ou d'une bagnarde
qui se fait remarquer. Je suis sûr qu’après cela tout le monde
comprendra que le régime de notre établissement ne plaisante pas avec
ces gestes stupide là. Même si la punition corporelle se donne
régulièrement ici, ce n’est pas une vie de prison ici. C'est un institut
privé, un lycée très respecté dans le pays avec des règlements très
sévères.
Le directeur se tait un instant pour laisser à chacun le temps de comprendre puis reprend.
—
Mademoiselle Lawson, en plus des trente coups de fouet que vous allez
recevoir tout de suite. Vous êtes condamnée pour le reste de la semaine à
rester nue, cela veut dire sans aucuns vêtements pour circuler dans
l'institut pendant la durée de votre punition. Vous allez vous présenter
à l’atelier de monsieur Pogne chaque matin à 7 h. Vous remettrez tous
ce que vous porterez comme vêtements incluant chaussures et bas pour
vous être rendus ici à l’assistante de M Ponge Ginette qui est à ma
droite. M Ponge vous donnera dix coups de lanière sur les fesses puis
vous donnera du travail jusqu’au début de vos cours à 8:30. Vous irez
assister à vos cours nu bien entendu. Le midi, vous serez attendu à la
salle à manger public pour recevoir une autre punition corporel devant
tous vos camarades et vous retournez à vos cours d'après midi. À la fin
de chaque journée, vous pourrez récupérer vos vêtements à l'atelier de
M. Pogne pour pouvoir sortir et rentrez à la maison, Le lendemain, c'est
pareil 7 h à l'atelier pour une autre journée de punition et soyez à
l'heure. Vos heures de cours vous serviront de pause pour vos fesses,
vos fesses dérougirons un peu si vous êtes capable de vous asseoir sinon
vos professeurs vous installerons debout à côté de leur bureau. Je suis
sûr que vous serez plus respectueuse ensuite. Un dernier mot : la
moindre réticence à faire ce que l’on vous demande, c’est la fessée
immédiate. Peu importe le lieu, salle de cours, couloir, gymnase. Tous
nos prof ou employée on le droit de punir un étudiant ici, vous avez
bien compris Mlle Sandra et votre sanction sera prolongée de cinq autres
jours.
--- Des larmes coulent sur les joues de Sandra. Je n’arrive pas à
croire qu’elle écope d’une punition aussi humiliante. Elle n’a toujours
pas triché ou voler. Elle a juste fait un petit graffiti. Je vois
Lepetit se diriger vers elle et l’amener face au tréteau dos à nous.
Superbes fesses, j'entends dire par des gars tout près de moi. Il la
fait se pencher, le ventre, sur la barre rembourrée de cuir. Ensuite, il
lui écarte les jambes et fixe chaque cheville à un des pieds du
chevalet avec des cordes. Puis il fait le tour du chevalet et fait de
même avec les poignets. Les fesses de Sandra font face à l’assemblée.
Entre les pattes du chevalet, on aperçoit les seins de Sandra et son
visage. Elle garde les yeux fermés, humiliés sûrement qu'elle ne veut
pas nous regarder. On aperçoit aussi, bien sûr, tout ce qu’une fille
doit cacher, les fesses aussi bien écartées nous laissent voir son petit
trou et plus bas, son sexe entrouvert.
Monsieur Lepetit se
saisit du fouet. Il regarde le directeur et sur un signe de celui-ci, il
l’abat en travers des deux fesses. Une trace rose apparaît
instantanément et Sandra cherche à se cambrer, mais n'en est pas
capable, trop bien attachée. Il attend un peu et frappe une seconde
fois, un peu plus bas. Le troisième coup arrache un premier cri à
Sandra. À partir du dixième, chaque coup est accompagné d’un hurlement.
Les fesses sont maintenant rouges avec des traces plus sombres là où les
coups se sont chevauchés. Sandra s’agite vainement, les cordes sont
bien serrées et la maintiennent en position. Sandra ne peut rien faire
pour essayer d'éviter les coups. Je ne peux m’empêcher de penser que si
je n’avais rien dit, je serais à sa place. J’imagine sans peine la honte
de sentir tous les regards sur mon sexe puis la douleur affreuse. J’ai
déjà reçu quinze coups ce matin et mes fesses sont encore très
sensibles.
Lepetit se met soudain à fouetter le haut de ses cuisses
juste a la fin de ses fesses, une autre partie très sensible. On entend
Sandra qui hurle à chaque fois que le fouet touche sa peau. Sandra
demande pitié, mais n’en a aucune de la part du directeur qui regarde
impassible. Je vois bien que le bout du fouet termine sa course en
claquant sur l’intérieur si sensible des cuisses et même peut-être les
lèvres de son sexe.
Les derniers coups sont de nouveau pour ses
fesses, les hurlements ont été remplacés par des sanglots que l’on
entend bien dans le silence de mort qui s’est abattu dans la cour. Je
sens une larme qui coule sur ma joue, je l’essuie d’un revers de main.
Le
directeur nous envoie manger, mais il dit devant toute l'assemblée,
Mademoiselle Esteban, vous êtes convoquée dans mon bureau à 13 h 15 et
soyer a l’heure sinon vous le regretterez. Beaucoup de plats retourne à
la poubelle à moitié manger, tout le monde est sous le choc, une
étudiante fouettée ici, c'est une première. Il y a beaucoup d'étudiant
qui reçoive des punitions corporelles ici. Des coups de strappe, canne,
paddle, mais le fouet et surtout 30 personnes ici dans les étudiants et
personnels ne se souviennent de cela. Tout le monde est resté marqué de
la sévérité de la punition de ce midi. Plusieurs de mes amies fantasment
à l’idée d’être fesses nue devant une assistance libre à elles. Mais
pas moi, je panique plus sur ce que vient de dire le dirlo devant tout
le mode dans la cour ma convocation.
À suive...