À la veille de l’inauguration de notre nouvelle boutique de vêtement, nous sommes tous au dernier préparatif. L’installation des derniers présentoirs au mur tout autour et l’installation d’une petite scène au centre de la salle pour un petit défilé de mode pour le lancement de nouveaux vêtements de notre collection, en même temps que l’ouverture de la boutique dans la ville. On n'en avait jamais eu de boutique ici et c’est Francine, ma nouvelle amie et employée qui administra cette boutique. Ses deux filles Katie et Sandie travaillerons ici dans leurs moments libre d’étude et bien sûr avec quelques autres employées aussi.
Sandie, Katie sont avec nous, Francine leur mère étant partie avec Pierre mon frère et associer en Italie à un autre de nos ateliers. Maryse que je considère ma fille et qui est devenue la grande amie de Katie veulent apprendre le métier de mannequin et le devenir plus tard aussi. Ce sont trois superbes belles filles, Katie et Maryse ont dix-sept ans, un peu limite pour la grandeur de mannequin, mais elles sont très belles, et Sandie elle a vingt ans et un peu plus grande, plus élancer juste parfaite pour le métier de mannequin. Et elles ont tous un corps parfait pour ce genre de métier là. C’est la place idéale pour apprendre le métier, on a des mannequins professionnelles qui travaille pour nous toute l’année et l’une d’entre elles, Manon, s'est offerte à enseigner une partie du métier de mannequin aux filles. Manon a 24 ans, une superbe fille et depuis l’âge de 10 ans, qu’elle fait des défilés et est très bien connue partout sur la planète, donc elle en connaît assez pour leur en montrer et les faire connaître du public.
Mais depuis hier Manon réplique et est mécontente du comportement de Maryse et Katie et j’entends Maryse lui répliquer, vouloir mettre les vêtements qui sont destinés à Manon et cela choque la couturière qui travaille à ajuster les vêtements de Manon et les autres mannequins. Je suis tanné des entendent se chicaner et je décide de m’en mêler, d’aller voire ce qui se passe et au même moment que je m’apprêtais à aller les voire Manon et une couturière viennent me parler.
Claude, je sais que pour toi Maryse est comme ta véritable fille et que tu la protèges, mais tu m'as demandé de lui enseigner comment devenir une bonne mannequin, par-compte elle n’écoute rien en fait qu’à sa tête et veut seulement porter les vêtements que nous les professionnels devons porter pour commencer en tête de défiler Maryse et Katie ne désirent pas respecter les rangs et être dans les dernières du défilé avec les vêtements mois important comme doit être les débutantes. La couturière Danielle me dit que Maryse lui a demandé de réajuster deux robes qui sont aux mesures de Manon et de faire la même chose avec d’autres robes destiner à Linda l’autre mannequin vedette. Manon, Danielle ne vous en faite pas continuer votre travail et ne vous occupez pas d’elles, je l'ai ais aviser sérieusement hier d’arrêter d’essayer de gérer le défilé sinon elles le regretteraient. Je m’en occupe, c’est justement ce que j’allais faire, m’occuper de ses deux petites chipies, elles vont le regretter je vous le promets.
Arriver à l’espace qui sert de loge pour que les participantes se change, je remarque que Katie porte une des robes destiner à Linda je connais le déroulement du défilé par cœur et cette robe n’est pas pour Katie. Maryse qui est justement au côté de moi se préparait à enfiler une des robes à Manon. Maryse laisse cette robe sur son support, elle ne t’est pas destinée et vient ici me voir et toi Katie enlève cette robe et donne là à Danielle elle va la remettre sur son support, il faut que je vous parle toutes les deux et sa presse.
Katie et Maryse qui sont en sous-vêtements entre deux changements de tenu pour leur pratique de défilé sont venues me rejoindre au centre de la pièce pour savoir ce que je veux leur dirent, elles me questionnent sur ma venue ici à les déranger. Les autres filles mannequins et couturières nous regardent et elles aussi on toutes hâtes de savoir ce qui va se passer, quelques-unes d’entre elles me connaissent bien et se doutent de ce qui va leur arrivée à ces deux petites fatigantes-là, une des couturières Judith me dit une bonne fessée à chacune leur feraient un grand bien elles sont fatigantes elles n’écoutent rien. Je prends Maryse par un bras et l’oblige à me suivre et je fais signe à Katie de nous suivre elle aussi.
J’ai fait monter Maryse sur la scène en traversant le décor et Katie m’a suivie. Les deux sont seulement vêtue que de leur soutien et petite culotte. Elles se sont senti gêner, devant le reste des travailleurs dans la boutique, et où sont installées des chaises pour ce soir, tout autour de la scène il y a des travailleurs qui font les dernières retouches pour ce soir et d'autre sont à finaliser la décoration de la boutique, et c’est pratiquement que des hommes. Je tiens le bras de Maryse pour qu’elle ne bouge pas et demande à Manon qui m’avait suivie avec les autres et couverte d'un peignoir d’aller me chercher deux chaises sur le plancher et de me les installer sur la petite scène ronde où nous sommes et qui est installé temporairement dans la boutique pour le défilé de ce soir.
Manon ayant installé les chaises, Maryse commence à me supplier de la lâcher, elle sait très bien ce qui l’attend et me demande pardon, elle essaie de se déprendre. S’il te plaît ne me puni pas ici devant tout le monde, dans ton bureau, mais pas ici, mais il est trop tard pour Maryse ma patience à des limites et elle sont dépassée. Je distance les deux chaises un peu et m’assois sur l’une d’entre elles et fait basculer Maryse sur mes genoux. Le derrière en plein centre de mes genoux, sa tête qui touche pratiquement le plancher, elle est obligée de s’appuyer sur ses mains pour ne pas se cogner la tête, Maryse essaie de se débattre pour quitter cette très humiliante position. Une grande fille de 17 ans qui est traitée comme une gamine devant plusieurs personnes, qu’elle a insulté, ce n’est pas trop drôle pour elle, mais je la retiens très bien. Pendant que Maryse se débat, je me revire vers Katie et lui dit de se mettre les mains sur sa tête en position de puni et regarder ce qui va arriver à son insolente amie et ensuite, ça sera son tour de venir sur mes genoux. Lâche-moi, tu n'as pas le droit de me punir, ce n’est pas juste, se plaint Maryse.
Je n’en tiens pas compte et commence à lui claquer les fesses qui sont toujours protégées par une petite culotte style brésilienne qui en couvre que la moitié de ses belles petites fesses. Je m’arrête et prends chaque côté de sa culotte qui couvre la moitié de chacune de ses fesses et les ramène dans son entre fesses et tire le tissu qui lui ressert sur sa fente et entre dans son sexe. Aïe lâche ma culotte ça fait un mal de chien, très bien si tu ne veux pas que je te mette les fesses a l’air de cette manière-là je passe à autre chose. Je prends l’élastique de sa culotte au centre de ses fesses et tire vers le bas, je m’arrange pour que sa culotte descende à ses chevilles. Maintenant Maryse tu es plus confortable, la culotte aux chevilles, j’attrape l’attache de son soutien et le défait. Son soutient ne tient plus et tombe au plancher, Maryse étant en déséquilibre n’a pas pu le retenir et ses petits seins sont pendants a l’air libre.
Maryse qui est maintenant nue devant tous les employés ici, est furieuse, essaie de se déprendre de mon emprise, mais n’en n’est pas capable. Je lui flatte les fesses quelques secondes et reprends la fessée que j’avais interrompue plus tôt, mais cette fois-ci avec encore plus de vigueur, ses belles fesses banche deviennent très vite rose et vire au rouge. Maryse se débat les jambes de haut en bas et de gauche à droite, sa culotte quitte ses pieds et tombe sur le plancher. Les quelques employés qui sont derrière elle admire ce que Maryse leur laisse, voire, à chaque fois, qu’elle se débat les jambes pour essayer d’éviter les claques, sont intimité, sa jeune fente toute rose et son petit trou qui apparaît quand ses fesse s’écartent et leur laisse voir son entre fesses, et que normalement une jeune fille devrait laisser cacher, je vois des regards qui en disent long et surtout satisfait de ce qu’ils voient.
Ça fait presque une minute que je lui claque les fesses et elles sont devenues très rouge et chaude et ma main aussi, j'arrête, Maryse pleurniche et essaie de se frotter les fesses. Je la laisse faire et elle se calme un peu pendant que je la sermonne sur son comportement et le reste. Je la relève sur ses pieds, Maryse se tient les fesses à deux mains, debout nue sur la scène devant nous tous, elle est plus préoccupée à se frotter les fesses que de cacher son intimité, tout le monde la regarde chigner comme une gamine en se tenant les fesses à deux mains sans trop essayer de se cacher. Pendant c’elle se concentre à chasser la douleur à ses fesses, je l’amène sur le bord de la scène et l’oblige à lâcher ses fesses et de mettre ses mains sur sa tête et de ne plus bouger, cette fois-ci Maryse réalise, qu’elle est entièrement nue devant tous les hommes dans la boutique et commence à paniquer. Non Claude, je ne reste pas ici et nue devant tout le monde et dans la vitrine en plus, tous les gens à l’extérieur peuvent me voir aussi, me dit-elle. Oh oui ! Ma belle et je n’en ais pas fini avec toi en lui claquant encore les fesses, si tu bouges d’ici tu n’as pas fini de montrer ton joli corps nu, je te le promets gare à tes fesses ma belle aussi.
Maintenant Katie, c'est à ton tour, enlève ton soutien et ta culotte, ça va être déjà fait et allonge-toi sur mes genoux, toi aussi tu mérites une bonne fessée. Sandie, sa sœur qui est sur l’estrade avec les quatre autres mannequins et vêtue d’un peignoir, regarde sa sœur Katie finir de se mettre nue devant nous tous. Je t’avais averti Katie d’arrêter de narguer tout le monde, c’est toi la pire, maintenant tu vas être la risée de tous ici, à poil et punie comme une petite gamine.
Dépêche-toi et vient t’allonger sur mes genoux Katie, j’ai autre chose à faire que de t’attendre. Katie toute hésitante à se mettre nue sur la scène me remet son soutien et sa culotte et vient prendre place sur mes genoux et s'agrippe très fort à une de mes jambes avec une de ses mains et s’appuie au sol avec l’autre, elle croise aussi ses jambes pour en cacher le plus possible. Katie est une superbe fille ayant pas mal les mêmes mensurations que Maryse. Je lui flatte ses jolies fesses qui sont dans les mêmes grosseurs que celle de Maryse, tu es prête Katie et je commence à lui frapper les fesses toujours en alternant d’une fesse à l’autre avec autant force que j’avais employé avec Maryse. Katie n’est pas ma fille, mais mérite autant d’être punie que Maryse et elle va le regretter, elle aussi, de ne pas avoir obéi hier quand je les avais averties, les deux se moquait de mes avertissements. Elle va me prendre au sérieux maintenant quand je parle de punition.
Elle n’a jamais reçu de vraies fessées, sa mère Francine qui n’est pas bien sévère avec ses filles m’a dit qu’elle lui avait donné quelques petites claques et de cane qui lui ont à peine coloré les fesses, mais pas plus, on pouvait a peine les apercevoir les quelques coups que Francine lui avait donner l'autre après-midi chez moi quand elle était nue a la piscine. C’est probablement sa première vraie fessée qu'elle reçoit ce matin. Katie n’a pas gardé les jambes croisées très longtemps, après tout juste une dizaine de claques reçus sur son derrière elle a commencé à balancer ses jambes dans tous les sens et laisser voire à tous les gens derrière elle son intimité. Katie me supplie d'arrêter, elle a l’air à trouver cela très douloureux de se faire chauffer sérieusement les fesses pour une première fois. Je ne lui ménage pas ses fesses, elles sont devenues rouges très rapidement et elle essaie de se défaire de mon emprise.
J’arrête et prend une toute petite pause pour la repositionner sur mes genoux et je recommence sans trop lui laisser reprendre ses esprits, je continue la fessée. Katie commence à monte sa main avec laquelle elle me tenait ma jambe pour se protéger les fesses et essayer d'éviter mes claques et me supplie d’arrêter tout en pleurnichant. Ça fait mal et c’est humiliant, recevoir une fessée en public à ton âge, je lui maintiens son bras dans le dos et continue à lui chauffer les fesses jusqu’à ce que je sois satisfaite de la couleur de sa peau et j’arrête.
Tes fesses ma belle sont rouges et sont très chaude, j’espère que cette première partie de ta punition t’auras calmé les nerfs. Maintenant je n'en ai pas fini avec ton jolie derrière, tu vas te positionner ici à cette extrémité de la scène et je m’occupe de Maryse pour la suite. Maryse étant d’un côté de la petite scène ronde aménager temporairement, j’ai fait placer Katie de l’autre côté pour que les travailleurs profite du spectacle de tous les côtés. Pendant que je rejoins Maryse je demande à Manon d’aller me chercher une des brosses à cheveux qu’elles ont dans leur loge en arrière scène, la plus large et épaisse que tu trouves et en bois de préférence, ça va leur chauffé encore plus les fesses, une en bois à ces petites insolentes-là.
Je demande à Maryse si elle aime être exposée nue, trouves-tu que ton comportement est correct et ça ne justifie pas cette humiliante punition, tu n’as pas tiré de leçon de la fessée reçue par Lucia il y a quelques semaines au vignoble, il a fallu que je t’en donne une autre pour que tu réfléchisses à tes actes d’impolitesse, c'est toi la pire tu es humiliée nue devant plusieurs hommes en plus, et Katie aussi va s’en souvenir, on passe à la deuxième étape de votre punition. Maryse regarde Manon arriver avec la brosse, et Maryse demande pardon à Manon et s’excuse. Elle me supplie de ne pas utiliser la brosse. Manon n’a pas été longue à revenir avec la brosse que je lui avais demandée, maintenant que j’ai la brosse à cheveux en main et sans m’occuper des demandes de Maryse je place mes deux chaises au centre de la scène, les dossiers des chaises face à face. Katie, Maryse venez ici face aux chaises, les deux filles viennent et se positionne devant chacune des chaises.
Penchez-vous sur les chaises devant vous poser les mais sur le siège et ne bouger surtout plus, je n'en ai pas fini avec vous deux. Je saisis Maryse par la taille avec mon bras gauche et je la tien bien solidement collée sur moi pour l’immobiliser et commence à lui claquer une fesse avec ma brosse, trois coups et ensuite je changesur son autre fesse et alterne d’une fesse à l’autre. Maryse se tortille de douleur, essaie de se défaire de mon emprise, mais je la tiens bien et je m’arrête pas de lui claquer les fesses. Ses fesses sont rendues d’un rouge écarlate vif et Maryse laisse des larmes couler sur la chaise, elle plie les genoux, essaie de s’accroupir pour se sauver des coups qui pleuvent sur ses fesses, mais je la maintiens bien en place.
Quand je décide d’arrêter de lui chauffer les fesses, je la relâche tout le monde dans la salle admire le résultat. Ses fesses ont atteint une belle couleur foncée. Maryse pleurniche comme une petite gamine en se tenant les fesses à deux mains en se redressant. Katie, toujours en position pencher, appuyer sur la chaise, le derrière bien exposer à tous les curieux derrière elle, regarde Maryse qui sautille et se tient les fesses à deux mains, suppliant Claude de ne plus la punir et s’excusant envers Manon et les autres pour leur avoir manqué de respect.
Maintenant Maryse tu aurais voulu être la numéro un du défilé, pendant que je m’occupe des fesses de Katie tu vas défiler tout autour de la scène mains sur ta tête pour être la numéro un de ce midi, ça va être toi la vedette. Les hommes dans la boutique vont apprécier ton spectacle. La seule différence avec ce soir, c'est que tu es nue, une seule tenue à présenter, pas besoin d’aller te changer, et il n’y a pas de musique pour t’accompagner durant la présentation de ton beau corps, tant qu’au reste ça se ressemble beaucoup, tu vires en rond pour en montrer le plus possible.
J'accompagne Maryse jusqu’au bord de la scène et lui fait mettre ses mains sur sa tête. Allez ma belle, tu commences ta présentation, défile tout autour et Manon ta prof va t'évaluer, te donner un pointage pour savoir si tu as fait des progrès dans ton apprentissage de mannequin. Maryse commence à marcher autour de la scène très tranquillement, si tu n’avances pas je demande à Manon qu’elle te suive avec une brosse à cheveux et te chauffe les fesses pour que tu avances et fasse le tour. Manon, tu suis Maryse et si elle n’obéit pas, ne te gêne pas pour lui chauffer les fesses, je te donne la permission de lui claquer les fesses.
Je reviens à Katie qui m’attend toujours pencher à 90 degrés et les jambes croisées pour en cacher le plus possible aux curieux. Tu es très jolie toi aussi Katie et ta mère Francine vient juste d’appeler ta sœur et elle est très déçue de ne pas être ici pour assister à ta punition, elle arrivera d’Italie avec Pierre en fin de journée.
Je ramasse ma brosse et m’installe au côté de Katie, fait le tour de sa taille avec mon bras gauche et la serre contre moi. Je commence à lui claquer les fesses avec autant de force que j’avais utilisé pour Maryse, Katie se tortille et lève sa jambe droite jusqu’à ce qu’elle touche ses fesses avec son talon ce qui m’empêche de continuer à lui claquer ses fesses correctement. En lui rabaissant sa jambe, je lui calque les cuisses. Prochaine fois que tu remontes une de tes jambes Katie, je te fais écarter les jambes au maximum et tu vas te pencher et mettre tes mains sur tes chevilles, ainsi écarté tu en laisseras voir encore plus de ton intimité, cela sera encore plus humiliant pour toi, mais encore plus apprécier des spectateurs à toi de décidé.
Rapidement Katie se recolle les jambes ensemble et je reprends la fessée, d'une fesse à l’autre je frappe sans diminuer la cadence très rapidement. Les fesses de Katie sont devenue aussi rouge que celle de Maryse je suis satisfaite, j’arrête de lui claquer les fesses. Katie n’est plus capable te tenir sur ses jambes, c’est moi qui la retiens par la taille sinon elle serait à genoux. Je la laisse tranquillement et elle s’agenouille, s’assoit sur ses talons en se tenant les fesses et pleurnichant comme une petite fille, Maryse s’adonne à passer près d’elle en continuant sa tournée, son défilé toujours suivis par Manon et regarde Katie qui est au sol se tenant les fesses. Katie, relève-toi et Maryse vient ici ou côté de moi. Pour ce matin, je crois que vous devriez avoir compris le message, remettez vos sous vêtements, nous pouvons maintenant passer au lunch.
Katie et Maryse on toutes les deux essayer de s’asseoir à la grande table avec nous tous pour manger, mais ont toutes deux opté pour manger debout, ça en a fait ricaner plusieurs. Le reste de la journée, c'est bien déroulé, durant les changements de tenue on apercevait les rougeurs qui paraissait encore sur les parties non couvertes de leurs fesses par leur culotte style brésilienne des filles.
Francine, la mère de Katie, est arrivée d'Italie en fin de journée pour assister à la soirée d’ouverture et m’a questionnée sur sa fille Katie et sur son comportement et elle m’a félicitée pour avoir puni sa fille. Je crois bien qu’elles vont retenir la leçon de ce midi et réfléchir avant de vouloir en faire à leur petite tête dur à l’avenir. Je dit à Francine, moi à leur âge, j'en ai reçu des fessées du même genre et encore plus dure par mes parents ou a l'institut, et ça ne m'empêchait pas de refaire des bêtises souvent pire encore. Donc j'espère pour elles qu'elles ne serons pas comme moi, sinon elles n'ont pas fini d'avoir mal à leurs jolies fesses.