lundi 3 août 2020

Employée de l’institut humilié et puni en public avec ses deux complices 3




Claude


 
Je me réveille et me lève en ce samedi matin seul, car Laurie avait une soirée et vient me rejoindre plus tard. Je prends ma serviette et mon savon et me dirige vers les douches dans les vestiaires des filles du gyms. Dans la tenue que je suis, je trouve les douches pas mal loin de mon poste de garde pour être dans le couloir, complètement nue. Ça n'énerve un peu de circuler nu, mais j'aime les risques et la sensation d'être nu. Car moi, je dors presque à toutes les nuits dans cette tenue. À l’heure qu’il est 5 h du mat, l’institut est supposé être complétement vide. Je pensai être la seule à marcher dans ces couloirs. C'est plus fort que moi, j’adore ça la sensation d’être dans un lieu public nue et qu'à n'importe quel moment je pourrais croiser quelqu'un me faire voir nue. Comme le premier matin que j'ai commencé à circuler nu ici et j'en ai pris goût. En ressortant des douches, je suis supposée retourner vers mon poste de garde où j'ai laissé mes vêtements dans ces couloirs sombre. Mais il me passe une autre idée folle. Étant sûr d'être seul à ces petites heures du matin. Je décide qu'après ma douche, j'entrerai dans la salle de gym, un autre challenge pour n'énerver. Mais malheur pour moi, l’assistante de M Ponge, Ginette qui n'est jamais ici dans ces heures-là. Surtout un samedi, avait décidé de venir faire un tour pour voir si tout s'était bien passé durant la nuit. Elle savait que j'étais seul avec mes punis, et venait jeter un œil pour savoir si j'avais besoin d'aide. Elle m'a aperçu dans ce couloir et c'est rendu vite compte que j'étais nue. Et sans que je m'en aperçoive qu'elle me suivait, et dans cette tenue en plus. J'entre dans le vestiaire et me dirige aux douches. Ma douche finie et bien assécher avec ma petite serviette qui fait à peine le tour de ma taille et je ne pèse que 46 kilos et mesure 1,6 m ce qui fait que je n’ai pas une taille forte.
Je décide de faire ma petite folie que j'avais décidée avant d'entre dans le vestiaire. Mon nouveau challenge avant de retourner à mon poste de grade pour me rhabiller. Je vais jeter un œil à la salle de gyms, mais nue, une autre de mes folies. D'entrée là nue, ça m'excite et me trotte dans la tête depuis le début de la semaine. Je me décide et ouvre la porte. J'ose faire cette folie-là au lieu de me rediriger vers mon poste et me rhabillé. Je me risque et je rentre dans la salle juste pour le feeling de me promener nue dans une si grande salle qui le jour est bondée d'étudiants et beaucoup de gars. J'avance assez profond dans la salle vide et très sombre. Uniquement l’éclairage de sécurité qui fonctionne. Et je m'imagine en plein jour et plein de jeunes étudiants. Être attachée nue au centre et entourer de jeune qui me regarde de la tête au pied comme l'a été Natacha il y a quelques jours, ça m'excite, ma chatte devient tout humide par mon excitation.
Bon assez de folie et de fantasme, avant qu'il arrive quelqu'un et que je me fasse prendre nue, je ressors. Et surtout le temps passe et il faut que je réveille les cinq punis à l'heure. Maude, Clara, Natacha, Doris et Philippe. En sortant de la salle, rendus dans le couloir. J'entends la porte d'en face qui donne accès aux escaliers s’ouvrir, c'est très silencieux et le grincement de la porte à attirer mon attention. C'est la gardienne de sécurité de nuit qui est là. Elle voit une silhouette dans la noirceur, mais ne sait pas qui c'est, mais ça bouge au loin devant elle. Le couloir est par chance très large à cet endroit et avec très peu d'éclairage, j'espère qu'elle ne me voie pas. Une panique m'envahie. Je commence à marcher très vite vers la porte de mon poste. C'es réellement sombre, avec le peu d’éclairage qu’il a dans le couloir il y a des chances qu'elle ne se soit pas rendue compte que j'étais nue devant elle.
Je me dépêche à entrer dans le poste pour me rhabiller au plus vite, en espérant qu’elle ne remarque pas que je suis nue. Mais à l'intérieur du poste, j’entends. Claude, c'est toi qui marchais dans le couloir. J’ai très bien vu aussi que tu étais nue. Ça confirme mes soupçons, tu es revenu des douches et nue. Je continue sans répondre en étant presque redue dans la petite chambre où sont mes vêtements, le cœur me débat, j’ai des frissons, surtout le corps. Ginette me suit et là, elle peut me regarder, car il y a plus d'éclairage ici, oui, lui dis-je, je suis nue Ginette. Tu es nue Claude me dit Ginette, c’est une drôle de place pour se balader nue. Je m’empresse de me couvrir avec ce que j’ai ramassé dans la chambre. Un t-shirt que j’avais laissé trainer sur une chaise et je l’enfile et l’étire du mieux que je peux pour en couvrir le plus possible, mais il est court ce t-shirt. L'agente de sécurité entre a son tour. Je fige, gêné d'avoir été nue et si peu vêtue aussi devant Ginette et l'agente de sécurité. Je commence à tout expliquer à Paula l'agente, le pourquoi de ma présence ici et les deux employées qui sont en punition ici et les trois autres qui ont été pris à voler.
j'ouvre la porte qui donne aux cellules pour lui montrer à Paula où ils étaient tout installés pour la nuit, mes punis. Encore à moitié nue, juste mon court-shirt qui me couvre le haut du corps que j’ai réussi à enfiler à la hâte pour me cacher au moins mes seins, mais peu de reste. J'essaie de garder mon t-shirt étirer au maximum sans le déchirer. Clara et Maude sont déjà debout et dans le passage entre les petits dortoirs. Elles nous aperçoivent. Elles et se rendent compte très vite que je suis presque nue, le t-shirt bien étirer, mes seins paraissent dans le tissu qui moule mon corps et ma chatte reste visible même si c'est sombre ici. Elles le voient bien que je suis quasiment nue. Je deviens rouge en les apercevant et je me cache la poitrine avec mes bras et laisse le bas du t-shirt aller ce qui le fait remonter au-dessus de ma fente.
   Je m’empresse de traversé et me vêtir convenablement dans la petite chambre où étais le reste de mes vêtements, rapidement. J'enfile une robe pour me couvrir sans rien d'autre en dessous et revient voir Ginette et Paula. Maude me dit, c'est à ton tour de te mettre nue, tu es bien taillée, enlève ta robe et ne te cache pas, cette fois, tu es belle à regarder, sais-tu. Paula, l'agente de sécurité, réplique qu'elle aurait dû la prendre en photo, ce n’était pas laid à regarder. Ginette, elle rentre une de ses mains sous ma robe et me touche les fesses, elle rit en se rendant compte que je n'ai pas de culotte. Changeons de sujet s’il te plaît, laissons mon corps de côté et dite moi si vos douches, son pris et que vous êtes prête à montés mangers avant de se rendre au local de retenue.
Paula et Ginette, vu que vous êtes ici, accompagnées les deux employées à la cafétéria pour qu’elle prenne leur petit déjeuner et assurez-vous d’être à 8:00 au local de retenue. Moi, je m’occupe des trois autres. Je m’éloigne un peu plus loin vers le poste de garde de l'autre côté avec Paula. Je demande à Paula de garder cela secret entre nous de ce qu’elle a vu ce matin ici. Étant un peu comme sa supérieure, je ne vaudrais pas que ça se sache qu'elle ma vue nue. C’est très gênant d'être nu devant des collègues, et surtout pour les conséquences avec la direction que cela pourrait me causer. Ça peut aller jusqu’à une punition pour moi.
Elle me dit qu’il n’y a aucun problème, elle gardera ça entre nous, mais elle a bien apprécié le spectacle. Ginette tant qu'à elle, elle me dit qu'elle a adoré ma tenue, mais de ne pas trop en abusé, cela va rester entre nous deux. Cela me rassure.
Enfin partis, j'ouvre les portes aux trois derniers punis qui restent. Natacha, Doris et Philippe le gars, voulez-vous prendre une douche ce matin où on se dirige tous directement à la salle à manger. Si vous décidez de prendre une douche, les serviettes et les savons sont en place. Vous savez où tous se trouve, c’est le troisième nuit que vous couchez ici et il ne vous reste qu'à entrer dans les douches puisque vous êtes déjà nu. Et encore pour aujourd’hui c’est aussi nu que vous passerez la dernière journée de votre punition et c’est au local de retenue cette fois-ci qu’on a rendez-vous pour 8:00. Les deux filles embarquent sous la douche commune, mais pas Philippe. Les filles disent à Philippe, ne fait pas ta moumoune ça fait trois jours que tu es nu avec nous, ce n’est pas une douche de plus avec nous qui va te gêner, hier et avant-hier aussi, tu t’es lavé. As-tu peur qu’on te prenne le zizi quoi, Philippe n’osait pas réponde et c’est assis sur un banc en face des douches et a attendu qu’elle finisse avant de se laver à son tour.
 
Bon les douches terminées, on se met tous en route, on monte directement au local, il est trop tard maintenant, vous mangerez plus tard. Rendus au local en étant les premiers, l'autre qui est de garde ce samedi avec moi et l’assistante de M Ponge Ginette. Elles n'est pas encore arrivée au local avec ses deux employées punies. Mes trois punis tant qu'à eux, regarde l'inscription sur la porte de local de retenue. C'est inscrit toutes personne qui est convoqué pour la retenue ici dans ce local doit laisser ses vêtements dans les tablettes à l'entrée du local avant d'y pénétré. Je leur dis bon, vous êtes déjà nus donc, prenez place dans le local en attendant les autres. Ne vous occupez pas de l'inscription.
 Je les fais placer dos au mur, main sur la tête sans bouger jusqu’à nouvel ordre. Quelques autres étudiants arrivent comme à presque tous les samedis pour leur journée de punition. J’entends Ginette qui est dans l'autre local ordonner à Maude et Clara de se déshabillés complètement et ranger leurs vêtements dans l’étagère au côté de la porte. 
Le prof de langue Mlle Garcia, elle aussi, est obligé de se présenter ce matin. Elle devra recevoir 20 coups de canne, comme les ici étudiants nue, c'est le comité de discipline qui lui a donné cette punition. J'imagine que ça doit être très humiliant d'être puni nu devant ses étudiants et nous ses collègues.  
 
C'est moi qui reçois Maria la prof et je lui demande de se déshabiller, pas le choix. Elle obéit et se dévêtit avec une certaine gêne, moi aussi, je serais gêné de me dévêtir devant mes collègues. C'est une superbe fille, 25 ans, petits seins fermes, j'envie ses seins. Les miens ne sont pas beaucoup plus gros, mais moins ferme, plus flottant comme je m'amuse à dire. Jolies fesses rondes et fermes elles aussi. C'est une fille en forme qui s'entraine plusieurs fois semaine, et ça parait juste à la regarder nue, elle est en superforme. Elle me suit dans le local de retenu nu et doit se mettre en ligne avec les trois autres étudiants qui attendent toute gênée d'être nue a côté de ses étudiants.

 quatre autres étudiantes se sont rajoutées en tout. Don Maude et Clara qui doivent faire comme les autres et se mettent nus, mais pour elles ces deux tricheuses ont les a installées dans la salle des professeures. Nues comme les autres, mais pour leur tranquillité et pour qu’elles se concentrent mieux sur la reprise de leur examen de l’an passée, elles seront mieux à l’écart des autres dans la salle des profs. Maude et Clara sont bien averties que si elles ratent les examens, c'est une autre semaine de punitions qui les attendent. Ginette, elle qui surveille les punis dans la salle de retenu, montre à Natacha le nouvel instrument de punition.
Ginette--
 Il était dans le sous-sol encore cette semaine. M Ponge là tout restaurer et la installer ici hier. Natacha, tu seras la première à en faire l’essai, viens te coucher à plat ventre et étend tes bras de chaque côté de ta tête sur cette table à multiple fonction. Je vais t'attachée les poignets aux attaches prévus pour immobiliser.
 
Natacha s’avance vers moi et monte sur la table, s’allonge. Je lui immobilise les poignets à chaque coin de la table. Claude fait la même chose avec ses chevilles. Natacha est couchée sur le ventre, les pieds côté des punis derrière elles et la tête côté fenêtre, elle ne peut pas, voire personne dans la salle, mais tous les autres regarde son entre jambes très exposé. Les fesses bien exposées et les jambes bien écartées face à Philippe, Doris et les trois autres qui sont en retenu pour la journée. Ils tous les trois derrière Natacha, dos au mur, et ont tous le regard sur le sexe de Natacha quasi ouvert, prêt à être pénétré. Ses lèvres qui ont tendance à pendre demande presque à être caressé, et son petit trou a l'air bien offert à qui veut bien regarder. Natacha est très consciente de ce qu’elle laisse voire aux autres derrière elle, mais n'est pas capable de le dissimuler.

 Je sors un court fouet, il est justement parfait pour ses jolies fesses bien exposées. J'avise Natacha que ce matin pour sa dernière journée de punition, c'est trente coups de ce fouet qui a été décidée de te donner par le comité de discipline. Et je suis satisfaite de la décision. Et tes deux camarades ensuite à tour de rôle vont s’installer à ta place, mais pour eux c’est seulement vingt coups chacun. Les autres qui étaient debout en position de punis n’en revenais pas de voire la quantité de coups de fouet que ses fesses aurons à endurer. Laurie rentre au même moment et s’installe au côté de la table et regarde Natacha allonger nue, prête à recevoir sa dernière fessée. Elle lui flatte ses jolies fesses tendrement et lui dit, si ce n’était que de moi, ce serais cinquante coups sur tes belles fesses que tu recevrais. Tu ne serais pas capable de poser tes fesses sur une chaise pour un bon moment et ta punition continuerait pour encore une semaine.
 
Je commence la punition en lui donnant un premier coup de fouet en travers des fesses et un deuxième et je continue à mesure que ses fesses change de couleur et que les marque du fouet ressorte. Cela me fait un grand plaisir de la voire ainsi humilier nue et, voire ses jolies fesses devenir zébrés à mesure que le fouet les frappent et qu’elle me supplie d’arrêter à chaque coup que je lui donne. Au quinzième coup, je prends une petite pause en lui flattant ses jolies fesses et spécialement pour lui dire que j’adorais, voire la couleur de ses fesses et que j’en n’avais pas finies avec ses fesses, il en restait encore quinze autres à venir. Je reprends mon œuvre que j’avais commencé sans m’occuper de ses plaintes et ses larmes et applique les quinze autres. Au dernier coup, je caresse ses fesses qui sont d’une belle couleur rouge et vire presque ou violet, et que l’on peut presque compter les trente coups de fouet. J'en profite pour descendre mes doigts entre ses cuisses et faire une petite caresse sur sa chatte bien exposer pendant que Natacha est en pleure. Ginette et Laurie durant ce temps détache les poignets et les chevilles de Natacha et l’aide à se remettre sur pied. Je la fais s’installée en plein centre de la salle, debout et nue, main sur la tête au piquet sans quitter sa position. Regarder tes camarades recevoir leur punition à leur tour, lui dis-je. Je lui conseille de ne pas bouger, car sinon elle reprend place sur la table et je me ferais un plaisir de lui chauffer moi-même cette foi-ci ses jolies fesses.
Laurie –
La fessée a Natacha terminer. J’aide Natacha à descendre de la table. Elle me demande en larmes, les mains sur ses fesses qui sont très rouges avec de belles marques que le fouet a laissées et probablement très douloureuses, si elle peut se rhabiller, sa punition étant terminée. Je lui réponds qu’il n’est pas question seulement à la fin de la journée qu’elle va récupérer ses vêtements. Je la positionne juste à côté de Philippe au centre de la salle, main sur la tête face à la table en lui disant. C'est trop plaisant de te regarder nue et ainsi humiliée toi ta camarade Doris. Le plaisir que j'ai de vous attacher et de vous exposer jambes écartées et ce que vous nous laissez voire écarté le sexe complètement a l'air sur la table, c'est formidable. Bien sûr que j’ai fait attacher spécialement Doris dans la même position, les jambes écartées, son intimité exposé face à toi, Natacha et Philippe pour l’humilier, elle aussi. Dix minutes plus tard, Doris qui était sur la table exposée devant ses deux camarades, a reçu sa punition. Je la détache, et comme Natacha, elle se tient les fesses à deux mains en pleurnichant elle aussi.
 
 On passe aux autres qui sont ici en punition. c'est le tour de Maria la prof. Pendant que Claude et Ginette s'occupe de Maria et des autres, je laisse Natacha, Philippe et Doris au piquet dans le local, et moi, je vais voire le deux autres étudiantes dans la salle, Maude, son amie et la prof qui les surveillent. Elles refont les examens finals de l’an passé. Je veux m'assurée que l’autre année a été réussi, pas par la tricherie comme elles ont fait ici, mais normal en étudiant et en ne trichant pas. La prof qui supervise à commencer à corriger les premiers examens et ça ne va pas bien pour les deux filles, elles ont raté les math et l’histoire, il reste celui qu’elles sont en train de faire. Je leur dis lundi matin à la première heure, c'est dans la salle de conférence devant le comité de discipline que vous, vous présentez et il sera décidé de votre avenir. Les filles me demandent d’essayer de parler en leur faveur, mais la fin de la journée est arrivée. Pour aujourd'hui et je leur redonne leurs vêtements comme aux autres punis pour qu’ils se rhabillent tous et rentre chacun chez eux. J'informe Natacha que pour l’instant, elle n'a plus d'emploi, elle est renvoyée de l’institut. Maintenant que ta punition est finie Natacha, tu retournes chez toi. Le comité va rendre sa décision lundi soir pour ton avenir en tant qu'employée ici, et qu’on ne te revoie plus dans les alentour, car ça ira mal pour toi. Moi et Claude rentrons ensemble à notre appartement puisque désormais, nous restons ensemble.
       




Employée de l’institut humilié et puni en public avec ses deux complices 2




Employée de l’institut humilié
et puni en public avec ses deux complices 2

M Lepetit

À 7:00 du matin, j’arrive à mon bureau, je m’installe, rouvre mes dossiers du jour et Laurie, une employée âgée de 23 ans et qui a environ un an de service en sécurité ici avec nous et à qui j’ai demandé de venir nous aider, arrive frappe à ma porte. Elle ne dit bonjour M Lepetit. Je lui dis bonjour Laurie comment ça va ce matin ton mauvaise expérience d’hier ne t'a pas, empêchez de dormir cette nuit j’espère. Elle me dit que non mais a encore un peu mal aux fesses et pour le reste tout va bien. Elle est vêtue d’un beau petit chemisier rose pâle semi-transparent et avec le décoté assez bien prononcé. On s’aperçoit très bien qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Et en plus, elle porte une jupe plissée rose pas mal courte, elle aussi qui fait bien son âge. Je la complimente sur sa tenue vestimentaire et commence à lui montrée les images des caméras de la soirée du vol. Je lui explique ce qui arrivera avec Natacha et elle sera ici pour 7:30. Pour les deux autres suspects c'est à 8h00 qu'on devrait les recevoir quand les gardiens les intercepteront dans les couloirs.
Il est 7 h 30 et Natacha cogne et entre. Natacha nous salut. Je lui demande de ce, placez en face de mon bureau au côté de Laurie et commence à la questionnée. Natacha, tu dois avoir une bonne idée pour quoi tu es dans mon bureau ce matin ? et les actes qui te sont reprochée. D’avoir participé en aidant les voleurs a rentré et de débarré le local, c'est inadmissible. Tu seras très sévèrement puni et compte toit très chanceuse Natacha, de ne pas finir devant la cour. Pour protéger deux étudiants impliqués et on ne veut pas qu’ils soient accusés de vol, eux aussi, on ne portera pas plainte contre toit. Mais tu seras pour le reste de la semaine en punition avec eux. Pour commencer, tu enlèves tous tes vêtements et je dis tout même les bas. Natacha qui porte un jeans et un t-shirt commence à enlever ses baskets, déboutonne son jeans et en le descend à ses chevilles. En enlevant son jeans, Natacha me demande pardon, qu’elle regrette profondément les gestes qu’elle a commis, de lui pardonner et que la fessée d’hier la faite comprendre la gravité de ses actes.
Laurie lui dit ferme-là hier quand ils t’ont amené ici dans ce bureau, la seule chose que tu as essayé de faire c’était de protéger tes fesses en voulant me faire passer pour la coupable. j'ai été obligé de me déshabillée cul nu et humilier en recevant une fessée complètement gratuite devant des collègues de travail sans rien, méritez de cela. Arrête de parler et continue de te déshabillée, t-shirt et jeans enlevé, il lui reste que ses sous-vêtements. Regardez M. ce que porte Natacha ce matin, dit Laurie. Natacha porte un soutien-gorge, en continuant son commentaire, tu aurais dû faire comme hier et laissés tes petits seins a l’air pour le trouble que ça t’a donné de le mettre ce soutien pour quelque minute seulement. Si ça te gêne de l'enlever parce que tu vas passer la journée nue, moi, je vais te l’enlever, ça ne me gêne pas du tout de mettre une bitche comme toit à poil. Natacha fait signe à Laurie de pas la toucher, elle est assez vielle pour le faire elle-même. Natacha l'enlève avec son petit string. Natacha maintenant nue, Laurie s'amuse à tourner autour d’elle pour l'humilier, en lui demandant. Tes fesses te font-elles encore mal Natacha ? Il reste de belles marques d’hier sur ta peau planche. Et il me semble que tu as oublié quelque chose. Natacha ne répond pas à Laurie et regarde ses pieds. Natacha se penche pour enlever ses bas et les déposés avec le reste de ses vêtements.
le directeur-
Moi, je prends la parole pour que Laurie arrête de narguer Natacha. Natacha, tes vêtements ont les range dans un sac, tu n’es pas près des remette et prend la position de puni. Et lâche toit la vulve, tu es bien plus belle quand on te voie de la tête aux pieds que les bras tous croisés. Je lui explique sa journée qu’elle devra passer sans rentrée dans tous les détaille et on voie quelques larmes couler. Les deux autres arrivent en même temps accompagné des agents de sécurité, la fille.
Doris regarde Natacha qui est nue et lui dit pourquoi tu es nue dans ce bureau, ils n’ont pas le droit de te faire mettre nu, remet tes vêtements, sa presse. Doris essaie de prendre le jeans pour le donné à Natacha, mais Laurie l'arrête et lui conseille de ne pas toucher. Mêle toit de ce qui te regarde et écoute M Lepetit. il a des choses importantes à vous dire. Phillipe lui n’a rien entendu, il est trop concentré sur le corps de Natacha positionner en face d’elle. Il ne la lâche pas des yeux, Laurie lui claque le derrière de la tête et lui dit d’écouter M Lepetit, on n’est pas dans un cours d’anatomie ici. Je remercie Laurie et je les accueille. Bonjour à vous deux, je vois que vous avez remarqués la tenue de votre amie, mais je vous ai fait venir ici pour une raison bien simple, c'est pour le vol que vous avez commis dimanche soir avec son aide, c'est pour cela qu’elle est dans cette tenue humiliante
.

Laurie
M Lepetit dit. Vous deux, vous me suivez et toi Laurie, tu restes à surveiller Natacha, je vous rappelle dans quelques minutes et sois gentille avec. Rappelle-toi ce que l’on a discuté tous les deux un peu plus tôt. Seul avec Natacha, je m’appuie sur le bureau et je lui demande pourquoi Natacha, tu as pris un risque pareil ? de participer à un vol. Elle me répond que Doris lui avait offert de l’argent et au début, elle avait refusé. Mais en y repensant à sa proposition, elle a décidé d'accepter. Elle avait trop besoin de cet argent et que s’était vite fait . J'avais examiné les moyens de contourner les caméras avant de lui dire oui, me répond-elle. Elle rajoute qu'elle a contacté Doris quelque jour plus tard pour lui dire qu'elle acceptait. Elle avait pensé a toutes les possibilités pour entrée et prendre les objets sans faire de bris et que rien ne paraisse.
Je réplique en disant ma maudite, c'est pour ça que tu m’as fait traverser plusieurs fois dans ta section cette nuit-là, les caméras m'ont captée au lui de toi. Et s'il regardait les images, j'étais presque plus présente que toit sur les caméras. Je me souviens que tu m’avais demandé le trousseau de clef qui est toujours avec moi, car c’est moi qui en ai responsable.

Je lui dis les mains, tu les gardes sur la tête et je continue en disant, mais hier quand le commerçant t'a reconnu. Pourquoi tu n’as pas dit que s’était toit et que je n’avais rien à voir dans cette affaire-là au lieu de me faire humilier et me faire claquer les fesses pour rien. Elle me répond, je ne voulais pas être la seule à subir la punition qu’elle redoutait recevoir. J’aurais aimé que tu sois seul à te faire mettre nue et recevoir la punition, j'ai toujours été jalouse de toi, rajoute-t-elle. Je me retiens la main pour ne pas lui rougir les fesses, ça me démange, mais j’ai promis à M lepetit de me retenir Mlle laprise viens nous cherchez et dis les filles dans l’autre salle, vous êtes attendus.

Rendus dans l’autre salle, Doris et Philippe sont nus et les coude appuyiez sur la table. M le directeur dit à Natacha, pend place au côté de Doris dans la même position que les deux autres, toi Laurie, tu t’occupes de qui dans les trois ? me demande M le directeur, ma réponse a été claire et rapide. Natacha ce qui a fait rire M Lepetit M le directeur dit alors moi, c'est Doris, je veux qu’elle me dise ou sont les trois autres objets qu’elle a volés pendant que M Pogne fouille son casier et Mlle Letarte il vous reste Philippe. M Lepetit prend la parole, on commence tous ensemble à les punir et quand je jugerai que cela seras suffisant, on arrête ensemble. On décolle les trois ensemble, moi, je m’en donne à cœur joie en frappant d’une fesse à l’autre très rapidement pour qu’elle en reçoive le plus possible et que ses fesses prennent une belle couleur, M Lepetit nous arrête au bout d’un certain temps et on regarde les postérieurs des trois punis et le résultat est très satisfaisant pour l’instant d’après M Lepetit. Mais moi, j'aurais continué à y rougir encore son beau petit cul. Mademoiselle Letarte moi, je l’appelle mademoiselle parce que moi et elle n’avons qu’une année de différence, elle 24 ans et moi 23 donc ça m’insulte de me faire dire madame.
 
je dis à Claude, il est déjà 8 h 15. Il faut, allez nous installez avant le début des cours. Natacha Philippe, vous sortez et prenez l’escalier qui est en face, on descend au gym. Claude me donne des clefs pour que je puise circuler ou les portes reste barrée. Nous poussons dans le dos des deux punis pour descendre plus rapidement. Natacha me demande si elle peut mettre ses chaussures et Philippe réplique le plancher est froid dans le couloir ça marche mal. Claude répond que non et de continuer à descendre le gym à un plancher de bois c’est moins pire pour le froid. Rendu au gym, on rentre et c’est vide et on avance vers le milieu. Je donne un coup de coude à Claude (mademoiselle Letarte) et lui dit, regarde devant nous, il y a deux magnifiques paires de fesses bien rouges. Tu ne trouves pas que c’est beau a, voire. Claude rajoute c’es tu. tu commences à aimer ça pas mal trop de rougir des fesses. Je lui réponds en souriant, mais par conte pas de me les faire rougir. Je ne déteste pas ça du tout les rougir et les voir rougies aussi. Claude rit et me dit, profite en au max d’aujourd’hui. Demain, je pense que tu retournes sur ton poste. On arrive en positon, en dessous des anneaux qui sont accrochés au plafond. On les fait descendre à la hauteur que l’on désire. Claude rouvre un petit sac et me donne des menottes et la clef. Elle ajuste ensuite les anneaux juste au-dessus de la tête de Natacha et me demande de passé les menottes dans l'une des anneaux. Laurie passe les aux poignets de Natacha de chaque côté des anneaux, me demande-t-elle. Ainsi attachée main au-dessus de la tête, tout son corps sera bien exposé aux jeunes étudiants quand ils sortiront du vestiaire. Je fais ce qu’elle me dit et Natacha est attachée par les poignets nue debout dans le milieu du gym. On entend dans le vestiaire les étudiants jaser. On est du côté garçon et ils se changent pour leurs cours. Claude rajoute quand le cours commence le professeur M. Didier doit lui donner la fessée devant tous ses étudiants.

Aussi à chaque début de ses deux autres cours de l’avant midi. C'est environs une trentaine de claque à chaque fois. N'oublie pas à 11 h 15 tu viens la décrochée pour la remontée dans la cafétéria du troisième cycle. On passera le repas ensemble avec les trois punis. Claude traverse avec Philippe dans l’autre parti côté fille du gymnase pour s’occuper de l'installer dans la même position que Natacha, mais côté filles pour sa punition. Je lui dis, on se revoit plus tard et le professeur sort de son bureau et vient me voire. Un très beau garçon, beau corps, belles fesses aussi. Il me demande. C'est toi Laurie. Oui, lui, je lui réponds. Il m'informe qu’il est au courant de mon histoire et regrette que j'ai été puni injustement. Je ne m'y attendais pas, mais il me demande si ça me fait plaisir de punir moi-même Natacha. Il va me laisser lui donner la punition à sa place. Je n'hésite pas une seconde et réponds que c’est avec plaisir que j’accepte. J’ai encore des choses à lui faire payer. Il me répond qu’il s’en doutait, je reviens, me dit-il, et il va cherchez les étudiants qui sortent du vestiaire pour leur cours. Natacha me supplie de la détacher et que l’on sorte d’ici. C'est trop chien de me faire subir une t’elle humiliation. Je lui dis de se la fermée. Si je te détache et te fait sortir, c’est moi qui serai à ta place ou au côté de toi, et dans la même tenue que toi demain. Ça ne m’intéresse pas de me montrer en spectacle comme toi. 
 
C'est des jeunes du premier cycle et deuxième que je voie venir autour de nous entre quatorze ans et demi et dix-sept ans max. Ils aperçoivent Natacha attachée nue, les coude à la hauteur des yeux, mains juste au-dessus de la tête, elle n'y peut rien pour essayer de se cacher, la seule chose qu’elle fait, c'est de se croisées les jambes pour cache partiellement sa fente qui est bien rasée. Les garçons sont très excités de la manière que je voie et qu’ils agissent. Ils n’ont pas souvent vu une fille nue devant eux. M. Didier, leur professeur, explique en détaille pourquoi elle est dans cette position si humiliante et que cette année les règlement sont changées. Après environs cinq bonnes minutes d’explication, il me dit quand tu es prête, tu commences, les gars eux commencent à me poser des questions. Je les arrête, une chose à la fois, leur dis-je. On commence par la fessée et ensuite, ce sont les questions. pour les tenir occupés, je leur demande de compter les coups que je vais appliquez sur ses fesses. Après, nous discuterons tous ensemble. S’ils y en a qui ont des questions, j'y redonderai avec plaisir. Je commence par la fesse droite avec force pour que ça rougisse vite et que ça reste bien rouge tout le cours jusqu’au cinquième. Le sixième est sur la fesse gauche pour les cinq suivants. Au onzième, je retourne sur la fesse droite, ainsi de suite à vingt les fesses de Natacha sont devenues d’un beau rouge. Avec la fessée de ce matin, ça n'a pas été long pour que ses fesses redeviennent bien colorées.
 
J'arrête comme convenu à vingt. Moi aussi ma main commençait à être rouge. Un gars me demande pourquoi, avant que tu commences, les fesses de cette fille-là étaient déjà rouge. Je lui explique le pourquoi. Un autre, me dit ma sœur, a une vulve plus grosse, plus bombée et il y a de la peau qui pend. Est-ce normal ou non ?
Elle c'est très bien fermé toute lisse. Vous les filles, vous n’êtes pas toutes pareilles entre les jambes ? Je ne m'attendais pas à une question aussi directe et intime de la part d'un gars aussi jeunes. Cette drôle de question me fige un peu. Mais je prends le temps d'y réfléchir un peu. Je décide à lui répond à peu près comme ça. En me plaçant la main sur la vulve de Natacha et la caressant doucement. À ton âge mon garçon, tu n'as aucune expérience avec les filles, mis à part ta sœur, je suis sûr que tu n'en as pas probablement pas vu d'autre nue. Cela se voit et c'est très normal pour ton âge, et tu le découvriras en vieillissant. 
 
Le sexe ou la vulve des filles est un peu comme votre pénis les gras. Il y a une normalité, mais la taille peu changée et à l'occasion la longueur aussi peu changée d'une fille à l'autre. Un peu moins de différence peut-être que votre pénis les gars, mais d'une fille a l'autre la grosseur du sexe peu différencier. Il me dit alors la tienne est-elle plus grosse que celle-là, montre-nous ta vulve pour comparer. Non, lui répondis-je, c’est un peu trop intime, et devant des mineurs en plus. j’aime mieux changer de sujet. Je tourne la discutions d'un autre côté. Je lui demande pourquoi il sait cela que sa sœur à sexe avec les lèvres qui pende comme il nous a dit. Ma sœur est souvent punie devant moi par mon père. Et souvent à poil ou fesses à l'air. Moi, j'en profite pour la regarder, mon père ne me l'interdis pas, il l'envoie ou coin après sa punition nue. Toi aussi, je présume, ton père doit te punir, fesse à l'air devant ta sœur. Il hésite en regardant ses amis autour de lui, et répond. Oui Madame, cela arrive à l'occasion. Durant tout ce temps à répondre, je n'avais jamais arrêté de caresser la chatte de Natacha. Je sens que Natacha commencer à excité et ça commence à être humide dans sa région-là. Un autre me demande d’après ce qu’on entend s’est tu vrais que si on vous frotte les tétons les bouts deviennes bien pointer une autre question qui me fait hésiter une fois de plus. Je vois que le professeur a l’air à vouloir savoir comment je vais m’en tirée cette fois-ci.
 

En réfléchissant à ce que je vais dire aux jeunes pour ne pas trop tomber dans la porno ou être trop vulgaire. Je commence ma réponse en lui disant chez une fille, il y a deux places très sensibles pour l’exister. Rapidement, la première, c'est la caresse de ses seins. Et la majorité d'entre nous, on adore cela, se faire caresser tendrement les seins. Et la deuxième est les caresses sur le sexe, la pénétration, et les fesses, c'est aussi excitant, mais moins que les deux premières. Mais la poitrine, c'est très gagnant pour l'excitation. Je prends le sein droit de Natacha en le tâtant, le pincent gentiment. Je change ensuite pour le gauche, joue avec ses deux mamelons. Je m'amuse à tourner ses petits bouts entre mes doigts et Natacha aime cela, ses petits bouts durcissent. Je ne pensais jamais que Natacha pourrait devenir excitée en public malgré la gêne et l'humiliation, elle réussit a mouillé et ses seins pointent très dur vers les jeunes devant elle.

Je montre le résultat aux gars. Vous voyez, c'est ça une fille qui commence à être excité et vouloir jouir. J'entre deux doigts dans sa fente' je monte et descend dans sa fente et les ressorts. Regardez mes doigts, ils sont tous mouillés. Ce liquide-là qui sort du vagin d'une fille et que j'ai sur mes doigts, ont appel cela la cyprine. Un des gars dit ça veut dire que sa vulve devient trempé si le bout de ses seins sont pointé. C'est un peu plus compliqué à expliquer, mais plus ou moins vrai, cela dépend du contexte, lui répondais-je. Mais avec mes caresses que je viens de lui faire, elle a commencé à avoir des réactions, c'est pour ça que son sexe est trempé commença. J'entre encore une fois mes doigts dans sa fente, entre sur le bord de son vagin et les remontent jusqu’à son clito, je les expose encore une fois aux gars. Ils constatent que mes doigts sont encore bien trempé. Natacha, elle, est morte de honte et est impuissante, elle est obligée de me laisser faire et endurée. Attachée nue au milieu d’une gagne de gars qui la regardent sans arrêt. 

Le premier gars qui m’avait posé une question me dit ma sœur a de plus grosse boule qu’elle. Et toit, je lui demande, ta sœur la voies-tu souvent nue, tu as l'air de la connaître par-cœur de la tête au pied pour la décrire comme ça. Il répond à part mon père dans la journée d'hier, ma mère hier soir encore après le repas, elle là obliger à se dévêtir devant ma cousine et ma tante. Et elle lui a redonné une autre solide fessée dans le salon, entièrement nue. Je ne voulais pas rater cela. J’ai assisté à sa punition avec ma cousine et ma tante. 

Ma mère était en furie contre elle et c’est ma mère qui nous a reconduit ici ce matin. Elle voulait être sûre qu'on s'occupe de punir encore ma sœur pour ses agissements. Elle doit être en punition présentement, elle aussi, je crois que c’est à la cafétéria qu'elle recevra sa punition ce midi. Mais aussi à l’occasion quand elle sort de la douche, elle traverse le couloir pour aller dans sa chambre. Elle est souvent nue. Je lui demande quel âge a ta sœur ? il dit presque dix-neuf ans. Elle commence son troisième cycle et moi quatorze ans et huit mois. Moi, j'avais un frère aussi jeune que toi Jamais je ne me promènerais nue devant lui. d,après ce que tu nous raconte ici des fessées toi et ta sœur, vous en recevez fréquemment.

 Le jeune devient la face aussi rouge que les fesses de Natacha gêné que tous ses amis s,apperçoivent qu'il reçois le fessée chez lui a son âge. il me répond, moi ça fait longtemps quelques jours même quelques semaine que je n'en ai pas reçu. Mais ma sœur elle assez souvent, surtout depuis une semaine. Le professeur me dit que l’an dernier ici a l’institut a la salle de retenu sa soeur au jeune a reçu environs quatre et peut-être cinq punitions. Un autre gars me dit toi, tu n’as pas de soutien-gorge et ça se voie dans ton chemisier. et rajoute sous ta jupe aussi, tu ne dois pas avoir de culotte montre nous penche toi. Je lui demande comment il peut dire ça mon chemisier et si transparent que cela. Ce n'est pas rien que la transparence qui me fait dire cela. Mais quand tu frappais ses fesses, tu te penchais asser pour que l'on voie tes seins. aussi juste à la manière qu’ils branlaient dans ton chemisier, on voyait qu’ils étaient à l’aire. La gêne me gagne et le professeur pour changer la conversation nous dit. Je vous remercie mademoiselle pour votre cours d’anatomie, mais nous les gars, on commence notre cours. Je m’assois sur un banc qui est à côté des vestiaires et face à Natacha. Même si je lui en veux beaucoup, je la trouve très belle, entièrement nue, debout devant moi, exposée et impuissante à se cacher. Natacha, c'est retourné face au mur et moi pour essayer d'être moins exposée, aux jeunes qui jouent dans la salle. Les gars la voient que de dos. Moi, être dans sa tenue et attachée à sa place, j'en ferais autant, c'est la seule manière d'en caché le plus. Je m’aperçois que plusieurs gars ne suive pas le cours. Il cherche à aller voir Natacha se rapprocher d'elle. Surtout la regarder de face. Ce n'est pas juste que ses fesses qu'ils veulent contempler, mais le reste aussi. Le professeur les rappelle à l’ordre et vient en ma direction. je le trouve très beau, je ne sais plus où regarder, un peu gêner qu'il s'intéresse a moi. Il me demande si je peux sortir Natacha de la salle et la ramener avant le début de l’autre cour a la même place. D'accord M. je détache le poignet droit de Natacha et traverse la menotte de l'anneau. je referme ensuite la menotte sur son poignet. Suis moi Natacha on traverse toutes les deux de l’autre côté du mur qui sépare la grande salle en deux. De l'autre côté je voie que Claude avait déjà détaché Philippe de son anneau. Claude suggère d'aller passer la période dans un lieu secret pas loin d'ici avec nos deux punis. Pas grand monde le connaît encore cette place dans le sous-sol de l’institut. Mais probablement va servir souvent cette année. Je lui dis que ça m’intéresse et je la suis avec Natacha. Tous sortis du gymnase, on aperçoit au bout du couloir qu'il y a une porte en bois fermée. Claude a la clef et la débarre, nous rentrons tous. C'est un bureau, Natacha et Philippe nous disent que c'est froid, marché pied nu sur le ciment n'est pas du tout confortable. Claude commence à m’explique l’histoire de ce lieu. Il y a une porte qui est ouverte au fond du petit bureau, on y aperçoit plusieurs portes de chaque côté d'un étroit couloir. Claude nous fait traverser toutes les quatre. On se dirige au bout de ce couloir qui débouche sur une grande salle avec peu d'éclairage, c'est un peut sombre. c,est plein d'objets étranges accrochés au mur, des fouets, des photos et autre. Il y a aussi dans un coin des meubles qui ressemble étrangement à des choses de torture. Claude fait installer Natacha et Philippe sur un long banc de bois, les pieds montés sur ce banc pour réchauffer leurs pieds. Elle me fait visiter les cellules qui sont de chaque côté du couloir qu'on vient tout juste de traverser. C'est ici que toi Natacha et Philippe passerez les trois prochaines nuit, voici vos lits. Ils sont tous neuf, ces matelats-là. M. Pogne vient de les installer hier. On continue la visite. Il y a les douches et au bout de ce couloir que je n'avais pas vu encore dans l'obscurité. En allument les lumières, on les aperçoit ces douches. On distingue très bien aussi les instruments de torture au mur et dans le fond de la pièce. elle me raconte vite l'histoire de ce lieu. Que c'était autrefois un couvent, le deux punis eux se sont toujours assis sur un banc en face des douches et nous regarde et les murs. L’inventaire est impressionnant. Des fouets, il y en a de plusieurs longueurs, on a le choix. De très court à plus long, il y en a plusieurs. Des paddles aussi, il y en a de plusieurs largeur et épaisseur, des cannes et on trouve deux raquettes style tennis sur table très poussiéreuses elles aussi. Claude me regarde étrangement. Elle me dit à l’époque tous ces instruments devait servir ici dans cette salle, regarde les photos accrochées aux murs. Moi, je lui dis Claude, ça doit faire très mal, recevoir des coups de ces palette-là sur les fesses. Le seul moyen de le savoir c'est d'en faire l'essai. Claude en prend une et me demande de me retournée. tu pourras me le dire c'est toi va en faire l'essaie. je t’en donne quatre ou cinq pour essayer. Je me retourne et me penche. Claude essaie d'enlevé le maximum de poussière de la palette, mais il en reste. Elle me donne quatre coups sur la jupe assez fort. Ca m’a fait mal liu dis-je. c’est terrible, une fille qui en reçois une vingtaine et plus cul nu ça doit être horrible. Claude me donne la palette, c,est à mon tour maintenant, venge toi claque moi les fesses. Je veux essayer pour voire elle se revire et se penche. Claude tu portes une robe trés pâle. il va rester des marques sur ta robe. Elle n’est pas trop propre cette palette. Claude relève sa robe. Frappe-moi sur mon slip personne verra si sa marque et elle se repenche. Je lui en donne quatre sur le slip. Elle se frotte les fesses en disant la même chose elle aussi, que cul nu ça doit faire un mal atroce. Claude me demande, tu as vu la chambre dans le bureau. Je dis, plus ou mois, on est passés vite dans ce bureau. Elle me demande à nouveau. Il y a deux lits, un par-dessus l’autre superposé si tu aimes mieux dans cette chambre. Ce soir je couche ici pour surveiller. Il va avoir cinq étudiants qui vont couchez ici dans les petites chambres. Demain matin, deux d'entre eux doivent être en haut pour 8 h 00 et les trois autres pour 7 h 30. Donc j’aimerais que tu restes avec moi pour la nuit et pour les trois prochaines nuits avec moi, s'il te plaît. cela m'aiderait beaucoup pour les surveiller et ça sera beaucoup moin ennuyant pour moi que d'être seul toute la soirée. Demain matin tu te chargeras des trois pour 7h30 si tu veux. C'est bien et j'accepte de rester avec mais vendredi soir je ne peux pas j’ais quelque chose. Elle me dit que ça va et ne t'inquiette surtout pas pour les vêtements de vêtements elle a une valise pleine de robe et de jupe. j'en ai amané pour presque un mois. on est presque de la même taille en plus me dit Claude. mes vêtements devrait te faire. Même les sous vêtement. En poitrine s’est presque identique. Pour la douche j'ai pensé d'allé au vestiaire des filles au gym a l’heure qu’on se lèvera c’est désert. Il est l'heure, on doit retournez ou gym mais avant de repartir Claude vas donner des sandales de plage à nos punis pieds nus. C’est pas drôle ils vont avoir le dessous des pieds noir. Dans le couloir Claude me dit c’est tu que plus je regarde les deux en avant et plus je repense à ce que tu m’a dit un peu plus tôt sur les postérieurs qu’on a devant nous et moi aussi je commence a adorer ça en voir nu. je commence a y prendre goût d’admirez des belle fesses colorées.

Rentrée dans le gym, Claude se dirige vers les anneaux pour installer Philippe à nouveau et Natacha et moi, on traverse dans l’autre parti côté garçons du gym. J’attache Natacha après le même anneau. Mais la différence cette fois-ci c’est que je l’ai fait enlever ses sandales que Claude lui avait données et monter sur une chaise de bois qui était dans le bureau du Prof. Natacha étant plus haute, ses fesses sont juste à une bonne hauteur pour que je ne me penche pas. Mon chemisier n'ouvrera pas cette fois-ci pour laisser ma poitrine apparaitre aux jeunes gars. Le groupe rentre et comme les autres d’avant mais eux, ils sont un peu plus vieux, ils regardent dans notre direction. Sans surprise et comme une gagne de loup en rut, ils voient tous Natacha nue et s’attroupe tout autour de Natacha en la regardent de la tête aux pieds. Natacha étant plus haute, tout le monde peut l'admirée sans avoir la vue obstruée. Les gars me demandent ce que cette belle créature fait ici, mais le prof recommence son explication sur les faits et la cause de sa punition. Enfin, j'entends Laurie, quand tu es prête, tu commences. Je fais comme dans l’autre cours et demande aux gars de compter les coups pour les tenir tranquilles. Je commence la fessée en alternant d’une fesse à l’autre, aux vingtièmes, j'arrête et regarde le résultat et repose aussi ma main qui est aussi rouge que ses fesses. Un gars me demande, j'adorerai cela, moi aussi lui claquez les fesses, ça doit être le plaisant de rougir des belles fesses comme ça.

Je lui réponds que ce n'est pas un jeu. C'est que Natacha est en punition et c’est moi qui suis mandaté pour ça. On entend mademoiselle, c'est un étudiant qui me demande pourquoi on entend des commentaires par des gars plus vieux qui voie passer une fille sur la rue ou ailleurs et dise, elle, elle doit avoir le clito sensible. Existe-t-il une différence entre vous les filles sur la sensibilité de vos clitos. Je lui dis, ta question m’embête beaucoup. Je n’ose pas et ne sais pas trop quoi réponde et le prof me remet à l'ordre. Il me rappelle que c’est moi qui ai commencé ce petit jeu de question alors c'est à moi de me sortir seul de ce merdier, il me demande de lui répond. Je dis ok et commence en lui parlant que chez les filles le clitoris est une des parties la plus sensible de notre corps pour en arriver à la jouissance, comme pour vous les gars votre pénis et vos testicules. Je leur demande, savez-vous exactement qu'est-ce qu'un clitoris, et surtout où il se situe dans le sexe d'une fille. Plusieurs d’entre eux me disent qu’ils ont une petite idée mais ils ont l’air a ne pas trop le savoir. Bon commençons par le début. Je viens pour mettre ma main sur la vulve de Natacha, mais elle se croise, les jambes très serrées. Je demande alors aux deux gars qui sont de chaque côté de Natacha de lui prendre chacune une jambe et de lui distancées un peut les jambes. Mais vos mains pas plus haut que les genoux c'est un ordre,et sans que ses pieds débarque de la chaise et maintenez-les fermement. Les gars tout content de se rapprocher et touchée Natacha prennent chacun une jambe. Sans trop monter haut sur ses cuisses ils écartent ses jambes et on peu manitenant voire son sexe qu'elle tient bien rasé. Placé juste à la bonne hauteur tout le monde à l'alentour peuvent distinguer les moindres détails du spectacle qu'offre Natacha. Moi je rentre un doigt de chaque côté de sa fente et écarte ses lèvres pour que l'on voi l'intérieur de son sexe. Je dit aux gars ce que j’écarte présentement se nomme les petites lèvres. Je leur montre ça ressemble à quoi un clitoris pour ceux qui ne le savait pas. je leur explique en mes mots non scientifiques que c'est un genre de minipénis et extrêmement sensible au moindre touché pour une bonne majorité de fille mais pas tous et il se situe au haut de la vulve juste ici. Je leur montre le petit clito à Natacha, les gars veulent tous le voir et à tour de rôle il examine la vulve de Natacha. Je rajoute les gars ne lâchez pas ses jambes je n’ai pas fini de ma réponse. Je vais vous faire une petite démonstration que vous adorerez. Je me mouille un doigt et je commence doucement a lui caressé le clitoris en faisant des petites rotations sur son clito. La réaction de Natacha fut presque instantanée. Le visage lui a changé et les gars ont eu du mal à lui retenir les jambes écartées. Je dis aux spectateurs autour, vous venez de constater que Natacha a un clito sensible, elle aussi, et comme beaucoup d’autres filles. Mais le gars qui a questionner sur le clito en rajoute. Toit ton clito es-tu aussi sensible que celui-là. Le prof me regarde et rie de moi et de ma mauvaise posture. je n’ose pas parler, gêner de me faire demander une chose aussi gênante. Mais à mon tour je réplique et lui demande ton pénis présentement est-il au repos où tu es très sensible toit aussi et bandé. À regarder le sexe d’une fille de si près et en détaille, tu dois sûrement être bandé bien dur. Ses camarades se sont tous mis à rire. Il y en a même un qui lui a dit, je suis sûr que même bander ça reste tout petit son zizi et pas beaucoup plus gros que le clito à Natacha. Le prof rajoute bon assez pour le petit cours, on commence nos réchauffements. Il les fait bouger pour commencer son cours. Moi, je détache Natacha et traverse dans l’autre partie pour rejoindre Claude et Philippe qui nous attendent dans la porte de sortie. On retourne dans le bureau de gardiennage et nos deux punis ont été s’assoir du côté des cellules, moi, je compte à Claude ce que j’ai fait pour la punition de Natacha.
 
Claude
  Je n’en reviens pas de ce que tu lui as fait subir, c’est incroyable. Fait attention aux gestes que tu poses rendu à fouiller dans le sexe et montrer le clitoris à des mineurs. La fessée nue, c'est ce que la direction a établi comme règlement ici et accepté par les parents. Mais d'autre geste comme tu as fait, c'est peut-être à la limite de l'acceptable. Je ne suis pas sûr que la direction va être en accord avec cela. Si tu avais eu Philippe entre les mains à la place de Natacha, aurais-tu été jusqu’à le faire bander et de le masturber devant les jeunes filles. Oui, me répond-elle, c'est probablement cela que j'aurais fait si les étudiantes autour me l'aurait demandés. Je lui dis alors pour le dernier cours, on s’échange les punis. 
 
J’ai hâte de savoir si tu es assez folle pour te rendre jusqu’au point de le masturber. Elle me dit oui et qu'elle est prête. Même si les étudiantes sont curieuses et me parlent d'éjaculation, peut-être irai-je jusque-là, le faire éjaculer. Elles ont droit, elles aussi, de découvrir à leur âge. C'est quoi-ça un organe masculin et ça fait quoi. C’est peut-être la première fois de leur existence, pour la plus par d’entre elles, qu’elles vont voir le sexe d’un gars en action. La majorité d'entre elles ont dû, voire ça pendant entre les jambes des gars, maintenant, elles découvriront à quoi cela peu servir. Je lui dis que c’est la professeure Mme Beauchamp qui s’occupe de lui donner la punition, toi, tu ne fais que lui amenez Philippe.
Laurie
 

Je me dirige vers le bureau de Mme Beauchamp après avoir installé Philippe dans la salle. Je frappe à la porte du bureau et rentre . Elle me demande. Claude est occupé, ce n’est pas n'est plus elle qui accompagne Philippe. Elle regarde par sa fenêtre et voie Claude qui traverse avec une fille de l’autre côté. Oui Claude et moi on c'est échangé les punis. Mme Beauchamp est une superbe fille. Elle possède un body d’athlète, une poitrine imposante qui ressort de sa camisole sport très moulante, que bien des gars doivent fantasmer à la voir. Je finis par lui parlée au lieu de l'admirée, et lui propose un ajout sur la punition de Philippe. Elle me répond qui ce n’est pas si bête. Cela peut devenir intéressant pour les jeunes étudiantes, et peut-être les faire réfléchir avant de faire des bêtises sans se protéger. Fait comme tu le veux, me répond-elle. Mais elle ne veut pas s'en mêlé, et elle ne touche à aucune partie de son corps. Elle me propose la chaise de bois derrière elle si je le veux. J'amène la chaise avec moi, Mme Beauchamp me suis. Rendu en dessous des anneaux, Mme Beauchamp redescend les anneaux pour donnée du mou aux bras de Philippe. J'aide Philippe à monter sur la chaise, il n'est pas trop d'accord, mais il n'a pas le choix, il prend place sur cette chaise, et Mme Beauchamp ajuste la hauteur des anneaux. Je dis à Mme Beauchamp, on est prêt, elle se dirige vers le vestiaire et fait entre les étudiantes, qui sans surprise se dirigent tous vers nous pour voire. Le gars nu qui est attaché debout sur une chaise les intéresse tous. 

Mme Beauchamp commence à expliquer comme a chaque début de cours les pourquoi de cette punition et quand elle finit. Je demande aux filles de compter les coups comme j’avais fait dans les cours précédents pour les tenir occupées. Je commence à lui claquer les fesses avec une bonne vitesse et avec une bonne force. Pas jus à Philippe que ça chauffe à moi aussi les mains me chauffent et rougissent. Ses petites fesses sont plus fermes, et beaucoup plus dur que celles de Natacha. À la dernière calque, j'arrête en lui flattant les fesses. J’ai la main presque aussi rouge que son derrière. Les filles regardent les fesses de Philippe et quelque unes disent qu’il doit avoir mal aux fesses à la couleur qu’elles sont rendues même qu’il y en a une qui demande à Philippe si ça lui fait mal. Moi, je demande à cette fille, si tu me poses cette question-là sur sa douleur aux fesses, c’est que tu ne dois jamais recevoir de fessée. Elle me répond très rarement et la dernière, elle remonte à très loin, ce n’était pas cul nu. une qui est plus de biais avec Philippe me fait une remarque . Regarde son pénis il a grossi. Moi aussi cela me surprend que Philippe ai une réaction devant toutes ces jeunes filles, il doit sûrement être gêné d'être nu devant elles. Mais la fessée que je viens de lui donné l'a certainement excité. Je retourne Philippe face à ces jeunes filles pour l'exposé de face, et tout ramolli. Je questionne la jeune fille et les autres, savez-vous comment on peut faire facilement avoir une érection un gars sans trop d’effort et très rapidement, mais pas juste en lui claquant les fesses comme il avait réagi. Philippe aime ça, recevoir la fessée, ça le fait bander, même devant des filles. Il y en a une qui me répond oui, on lui taponne le pénis et ça fonctionne sans trop d’effort. D'autre répondent, on lui caresse les fesses comme tu viens tous justes de lui faire. Je leur réponds, c'est une réponse pas si pire, mais un gars a moins de partie sensible que nous les filles, la poitrine a beaucoup moins de sensibilité que la nôtre.

 Là, je voie Mme Beauchamp les bars croisés qui se demandent jusqu'où je vais me rendre dans mon petit cours pour humilier Philippe. Je continue en prenant les testicules de Philippe en disant les filles, la partie la plus sensible d'un gars est ici. Pas juste pour les coups quand vous voulez vous séparez de lui quand il est trop achalant ou entreprenant. Mais aussi pour lui faire avoir une érection très rapide, vous n'avez rien qu’à vous amuser avec les petites boules ici ou ses testicules que ça s'appelle dans votre main sans trop les serrer pour ne pas lui faire mal. Regardez, le résultat est presque instantané, ça lève comme présentement. Même il Philippe est très gêné de se retrouver nu devant de si jolies filles et que la gêne devrait lui tenir le pénis moue et sans vie, regardez le résultat. Son pénis est devenu extrêmement raide et a allongé aussi, prêt à éjaculer. Une étudiante me pose la question que j’attendais. Elle me demande le liquide appelé sperme qui sort de son machin est-il toujours dangereux pour nous mettre enceinte où il y a des périodes. Je lui dis que oui, qu’il est toujours actif et que a n’importe quelle éjaculation le sperme est faite pour féconder l’œuf. C'est pour ça qu’on n’arrête pas de répéter de vous protéger et d’exiger qu'il mette le condom pour éviter les grossesses non, désirez et les risque de maladies sexuelle .

 Je continue à lui caresses les testicules en leur parlant pour garder son érection. Maintenant les filles je vais vous montrez comment on fait éjaculer rapidement un gars. Je prends son pénis dans ma main en lui descendant la peau. Je monte aux filles ce que je suis en train de faire a son pénis. Je dit aux étudiantes la peau que je baisse présentement, c'est la peau qui recouvre son pénis, mais ça s’appelle aussi le prépuce.
Et le pénis se dit aussi la verge, en baissant la peau, on découvre sur le bout le gland qui lui est la partie la plus sensible de son engin. Si on se met à caresser seulement son gland comme je le fais présentement au lieu de saisir le pénis à pleine main et de le masturber d'un bout à l'autre, ça devient très rapide pour la plus par des garçons. Vous le voyez, Philippe commence à se tortiller sur sa chaise, mais ici il ne peut pas essayer de m'empêcher de le faire éjaculer devant vous tous. Il est attache et limité à la largeur de la chaise. Je m'aperçois qu’il se retient pour ne pas éjaculer devant les filles, mais c’est une question de seconde. Je continue de lui caressé le gland et il n'en peut plus, il éjacule devant les étudiantes. Elles sont toutes surprises de voir que je me suis rendue si loin et trouve ça déglace le liquide qui est sorti. J’en ai sur la main et sur le plancher aussi. Je rajoute, les gars sont toujours en train de penser au sexe. Ils voient, passez, une fille sur le trottoir, la jupe un peu courte et dans leur pensée, il se l'imagine nue et en train de la caresser. Juste a pensé de la voire nue, le zizi leur grossi instantanément dans le pantalon. Je termine en leur montrant que quand le plaisir est terminé, vous voyez ça, le zizi retombe aussitôt, mais une étudiante me demande si tu le caresses à nouveau, il bande aussitôt. Non pas instantanément, lui répondais-je,, la grosse majorité des gars ont besoin de plusieurs minutes en repos et ç'a des chances de relevé ensuite. Mais là, l’étudiante curieuse me demande de recommencer, on va voir s'il est prêt à nouveau, dit-elle. Je lui réponds à cette petite curieuse. Déjà à l’avoir fait bander et éjaculé devant vous, c'est un spécial qui ne se refera peut-être jamais, et pour ce matin, c'est assez. Votre professeure a hâte de commencer son cours. J'ai déjà pris beaucoup trop de son temps. Je dois décrocher Philippe pour le monter à la direction, M Lepetit l’attend. Une autre me demande pourquoi hier lundi, il y a eu trois étudiants mis nus devant nous et punis dans notre classe, donc un gars, Ludovic. Lui aussi, à chaque claque qu’il recevait sur les fesses, le zizi lui redisait. Je me suis mise à rire et M Beauchamp aussi se retenait pour ne pas que ses étudiantes la voie rire en entendant ça question. J'essaie d'être brève. Ton camarade Ludovic la prochaine fois que tu lui parleras. Demande-lui s’il adore recevoir la fessée même en public. Il y a des gars comme Philippe ici ou Ludovic, ou même de filles qui réagissent à se faire claquer les fesses. Ils aime ça, c'est un fantasme pour plusieurs de s’imaginer être fesses à l'air ou entièrement nu devant d'autre et de recevoir la fessée. Ils ne peuvent pas se retenir. Ça les fait jouir de pensé être nu exposé devant plusieurs personnes qui les regardent. Mme Beauchamp rappelle les étudiantes dans le centre de la salle. moi, je sors du gymnase avec Philippe.
Je remonte au premier face au bureau de M Lepetit et attends Claude qui est avec Natacha. Elles arrivent quelques secondes plus tard. On prend tous la direction de la cafétéria ou M lepetit nous a donnés rendez-vous pour le déjeuner ce midi.

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...