mercredi 29 septembre 2021

Elles aiment voir leurs camarades nus, maintenant, elles le paient cher


 

Claude la chef de la sécurité à l’institut St-Thomas

Je viens de convoquer une étudiante de deuxième à mon bureau, ma camarade Laurie est partie la chercher et je les attends d’une minute à l’autre. J'étudie son dossier qui est sans tache depuis son arrivée à l’institut l’an dernier. La mère de cette étudiante a découvert une carte mémoire dans ses affaires ce matin. En visionnant le contenu de la carte cela ne lui a pas plus, elle m’a fait parvenir quelques séquences vidéo du contenu de la carte par internet et moi aussi cela ne me plaît pas. Je dois éclaircir la provenance de ces vidéos d’ados filme dans les vestiaires du gym avec Béatrice en attendant que sa mère me fasse parvenir la carte mémoire et que je puisse analyser le reste de son contenu. Parce qu'à moi aussi ça ne me plaît pas ce que je viens de, voire.

Enfin arriver

Béatrice arrive avec Laurie. Bonjour, lui dis-je. Je m'appelle Claude. Et mon assistante s'appelle Laurie. Tu dois déjà la connaitre en l’accompagnant jusqu’à mon bureau. Laurie n’a sûrement plus besoin de présentation. Et toi, je crois que c'est Béatrice (une très belle jeune fille de 17 ans, pas très grande, 1,70 m et 45 kg environs avec une longue chevelure châtaine et un très beau visage). On ne se connaît pas, c'est la première fois que je te parle et qu’on te convoque à la direction, je crois. Je vais droit au but, finis les présentations. J’ai reçu des images et deux vidéos ce matin très troublant à regarder et s’ils sont mises en circulation sur internet ça va entacher la réputation de notre institut. C’est pour ça que tu es ici. J'ai déjà interrogé quelques-uns de tes camarades ce matin. 

Et tout comme eux, je t’ai fait venir parce que toi aussi, tu as eu accès au vestiaire la semaine dernière comme bien d’autre étudiants. Je veux savoir si tu as eu connaissance ou tu as vu ou entendu quelqu’un qui aurait pris des images ou vidéo du côté garçon ou fille dans les vestiaires. Je veux que tu sois honnête avec nous. C'est grave ses gestes là et il faut trouver le ou les coupables. Je me rends compte que plus, je lui parle et la questionne, Béatrice devient de plus en plus nerveuse et fixe un peu partout. Elle joue beaucoup dans sa longue chevelure et commence à être mal à l’aise. Mais pour l’instant, je n’ose pas lui dire comment j’ai obtenu les vidéos. Je retourne mon portable pour lui montrées les images prises dans le vestiaire des gars, ou on aperçoit plusieurs gars qui se déshabille et évidement il y en a quelque' un que l'on aperçoit nu.

Béatrice-
 

    En regardant cette vidéo, je vois bien que ce sont mes images et je me demande bien comment elle les a obtenues. Je lui demande, Mme Claude, je n’ai aucune idée de ce que vous me montrez là et je ne sais pas pourquoi vous me montrer ces images de mes camarades, au même moment deux employés rentre. 

C'est M.Lepetit le directeur de la discipline et M.Ponge le chef de l'entretien. Je vois bien qu’il a des caméras dans les mains et je les reconnais sans le dire à haute voix. Ce sont les caméras que Sébastien, Marie et moi avion installé, jeudi passé, en forçant une grille de ventilation dans un mur et passant dans le gros conduit d’aération à partir du couloir principal au sous-sol. Et ce petit passage donne accès à l’arrière des vestiaires du gymnase. Dans ce conduit de ventilation, il y a des petites grilles de ventilation pour les vestiaires des gars et des filles. En fixent les caméras dans les grilles, on avait une très belle vision des salles ou se déshabillait nos camarades. On pouvait contrôler les caméras par nos mobiles. Il s'agissait d'y retourner lendemain pour recharger les batteries et changer les cartes mémoires. On s’amusait à regarder le comportement des gars ou les filles, ceux ou celle qui aime se promener nu ou ceux qui sont gênés de se montrer nu. Samedi, j’ai téléchargé les enregistrements obtenus des caméras sur une autre carte mémoire avec mon amie Marie pour redonner de l’espace aux cartes mémoire des caméras. Mais pourquoi ces images-là sont-elles ici ? Qui a pu les faire parvenir ici ? Il y a juste Marie et moi qui détienne pour l'instant ces Photos et vidéos-là.


M Ponge le chef de l’entretien
Claude voici deux caméras qui étaient cachées dans les grilles qui sert de ventilation dans les deux vestiaires gars et fille. Elles étaient installées dans un entre mur assez large pour qu'on circule bien, et qui sert à faire passer toute la tuyauterie du bâtiment. L'accès est restreint, mais ça circule en marchant sur les gros tuyaux pour les eaux usés qui sont au sol.

 Et on a aussi remarqué qu’il y a sûrement deux personnes ou plus qui ont circulé la très récemment pour installer ces caméras. Parce qu’il y a deux sortes d’empreintes sur la saleté accumulée sur les tuyaux. Celle d’un soulier assez large, plus masculin et l’autre d’un soulier plus étroit comme celui d’un pied féminin. Les caméras étaient très bien installer. Il n’y avait aucune possibilité de les apercevoir de l’intérieur des vestiaires. Les caméras ont certainement donné de belles images des étudiants se promenant nu à leur insu. Car ce sont de très bonne petites caméras à haute définition. Moi et Martine, mon employée, on a bouché l’accès à cet endroit. Maintenant, personne n’y retournera. À présent, dois retrouver le directeur de l’institut M Lepetit et moi pour une réunion d’urgence à propos de ce cas-là. Le directeur et d'autre nous m’attendent dans le bureau de directeur.

 Claude-

Je vois que c’était bien organisé et je vous remercie M. Moi de mon côté, je m’occupe de trouver le ou les coupables et je vous rappelle. Un jeune homme se présente à ma porte ou même moment que M Ponge quitte. Il se présente, c'est le frère de Béatrice, David, 23 ans et me donne ce que la mère de Béatrice m’avait promise au téléphone, les fameuses cartes mémoire. Béatrice en voyant entrer son frère blêmie. Voyons Béatrice est tu malade, je peux faire venir l'infirmière si tu te sens pas bien. C'est correct Mme ça va passer et Béatrice regarde ses pied.

 Je retourne mon portable vers Béatrice et lui montre les images que j’étais en train de regarder sur mon portable. Le vestiaire des gars et on distingue deux gars à poil se changeant après leur cours. Je redemande encore une fois à Béatrice si elle connaît la provenance de ces images et de ces cartes mémoire que son frère vient de me donner. Qui sont sûrement elles aussi pleines d’images semblables.

 Béatrice commence par me dire qu’elle n’a rien à voir dans ces vidéos-là, et cette histoire de caméra cachée. David, son frère toujours présent avec nous me dit que lui et sa mère, ont regardé quelques séquences d’une carte mémoire. Dans une des vidéos, ils ont entendu et identifié la voie de Béatrice et une autre fille qui semblait être avec elle. David soupçonne que se serait Marie. Les filles qu'on entend paraissaient faire la mise au point des caméras. J’installe l'une des cartes dans mon lecteur et une des vidéos commence à jouer sur mon portable. Des images d’étudiants apparaissent. On distingue des gars en train de se déshabiller défilent sur l’écran devant nous. J’arrête la vidéo et demande à Béatrice avec qui elle a installé les caméras. Elle me nie encore tout sur l’installation et les cartes mémoires. Je commence à perdre patience et son frère aussi. Laurie qui était repartie pour fouiller le casier de Béatrice pour trouver le mobile de Béatrice revient. Elle me dit que son mobile n’était pas dans le casier. Son frère nous dit à Laurie et moi qu’il a entendu sa sœur dire dans une conversation avec une amie qu’elle traînait pratiquement toujours son mobile sur elle dans ses cours.

Je demande à Béatrice si elle connaît les règlements de l’école pour les mobiles et de me donner sa veste. Béatrice, je veux fouiller tes poches. Elle refuse en fouillant dans un de mes tiroirs. je sors une sangle de cuir de 3 cm de large et la pose sur le bureau devant elle. Pour l’instant ma belle, tu es en punition et tu dois m’obéir et me donner ta veste. Je te confisque aussi ton uniforme de l’institut au complet, le chemisier et ta jupe aussi, tu me les donnes sur le champ. Avec les graves accusations qui pèsent contre toi, tu es en punition. Je vais m’occuper de te faire parler, donne-moi ton chemisier et ta jupe aussi, et après, tu vas me dire qui sont tes complices, dépêche-toi de te dévêtir.

  Béatrice me donne sa veste et refuse de se déshabiller surtout devant son frère qui est dans mon bureau. Pendant que je cherche son mobile dans ses poches de veste, son frère nous dit à moi et Laurie ma collègue. Ma sœur est sûrement sans sous-vêtements parce que je l’ai entendu parler avec son amie Marie au téléphone ce matin dans sa chambre et elles ont parlé de prendre une gageure sur leur tenue vestimentaire. Elle parlait avec son amie de venir sans sous-vêtements pour défier les règles. Et je l'ai entendu dire qu'elle mettait Marie au défie de le faire elle aussi.

   Je trouve le mobile dans sa veste et je la réprimande pour cette infraction qui mérite une punition, car c’est interdit dans les cours. Laurie oblige Béatrice à me donner le reste de ses vêtements qu’elle ne veut pas enlever. Effectivement, elle confirme qu’elle ne porte rien sous son chemisier et sa jupe. Laurie lui dit donc ton frère à raison pour ta tenue. Pas le choix Béatrice, tu te mets à poil ici devant nous, tes vêtements sont confisqués pareille. Ton frère reste ici avec nous, il va peut-être aimer voir sa sœur nue. Ensuite, je vais te montrer quelles sont les conséquences de défier les règlements. Tu as sûrement vu des camarades se faire punir pour avoir porté des sous-vêtements non réglementaires, c'est très fréquent ici. Béatrice se retourne dos à nous pendant que j’examine le contenu de son mobile. Elle retire son chemisier et me le donne en se cachant tan bien que mal les seins avec une main et réussi à déboutonner sa jupe de l’autre main et laisse tomber sa jupe à ses chevilles. Elle est complètement nue. Dos à nous, son frère lui a les yeux grands ouverts et regarde sa sœur fesse à l’air devant lui. Il lui reste que ses bas blancs et chaussures comme vêtement. Béatrice commence à pleurnicher en nous disant que c’est très humiliant d’être nue et elle veut que son frère sorte d’ici.

   Mais sans m’occuper de ce que dit Béatrice. Je place une chaise dans le centre de la pièce et demande à Béatrice de me rejoindre et de se placer au dos de la chaise qui est face à son frère. Avec l'ordre de prendre appuis avec ses mains sur le siège de la chaise pour que son frère puisse admirer sa sœur fesses à l’air. Béatrice obéie et prend la position demandé sous les yeux de son frère qui a l’air malgré tout d'apprécier voir sa sœur nue. David, le frère de Béatrice nous dit à moi et Laurie qu’il n’a jamais vue sa sœur se faire punir de cette manière-là à la maison. Elle le mérite bien cette voyeuse à l’âge qu’elle a, c'est tout ce qu’elle mérite. Laurie ramasse la sangle de cuir que j’ai mise sur le bureau et demande à Béatrice si elle veut bien nous dire c’est qui la Marie à qui elle a parlé ce matin pour lui dire qu’elle venait à ses cours sans sous-vêtements. Marie si elle a relevée ton défi elle aussi sûrement qu'elle doit être sans sous-vêtements présentement dans sa classe. Parce que Laurie me dit que de mémoire, elle en connaît environs 7 à 8 Marie juste au deuxième niveau. Alors, tu nous dis, c'est laquelle que tu as mise au défi. Si tu refuses de nous le dire, je te rougis les fesses jusqu’à ce que tu parles ma belle rajoute Laurie choisie. Aussi on peut te faire coucher sur les genoux de David pour qu’il commence à te chauffer les fesses lui-même avec ses mains. Il adorerait assurément te rougir tes belles fesses blanches. On s’aperçoit qu’il aimerait ça te donné une fessée ton frère ainé.

Béatrice-

            Je n’ai rien a voir avec ça ces caméras-là et la Marie que tu parles  elle n’a pas accepté le défie je t’en supplie.

Claude-

Au même moment que Béatrice répond à Laurie, Laurie lui flanque un coup de sangle sur les fesses, ce qui fait pousser un cri de douleur à Béatrice. Tu nous mens lui dit Laurie et elle lui en donne quatre autres aussi fort. Béatrice pousse un autre cri encore plus fort cette fois ci et se retourne pour éviter le prochain et se frotte les fesses avec ses mains et nous dit que c’est Marie Richard qui j'ai installer les caméras. C’est bien lui dis-je tu vois bien que se faire rougir les fesses peut faire du bien pour dire la vérité. Maintenant, tu te repositionnes et Laurie va continuer ta punition pour ton manquement au règlement. Tu t'en souviendras pour les prochaines fois qu’il faut toujours porter des sous-vêtements ici à l’institut. Laurie donne lui encore 15 coups sur ses jolies fesses et cinq autres pour son mobile qu'elle traine avec elle toutes ses journées entière. Après, c'est 25 coups, je crois bien que ca suffira pour l'instant. Moi, je vais chercher Marie dans sa classe.

En sortant du bureau. Je laisse la porte ouverte et il y a un couple qui est ici pour inscrire leur fille et à cause des cris que Béatrice lâche en recevant d'autre coup de sangle le couple s’intéresse à ce qui se passe à l’intérieur du bureau. Le couple voit Béatrice pleurnicher et nu, et Laurie qui lui frappe les fesses et Dave qui regarde. Mais le couple ne sait pas que c'est son frère. Je leur explique en gros sans trop de détail pourquoi elle est punie. Les deux sont satisfaits de la discipline que nous lui administrons et c’est ce qu’ils veulent pour leur fille de 15 ans qui est supposément très indiscipliné et rebelle. Je quitte le couple et dans l’escalier. J’entends chaque coup de sangle que donne Laurie sur les fesses de Béatrice résonner dans le grand hall et ses cris.

 

  Quelque instant plus tard, j'entre à l’intérieur de la salle de cours ou est Marie R et interrompt la professeure. Discrètement, je demande à Mlle Garcia, la prof de faire une inspection vestimentaire pour les filles en lui expliquant vite le pourquoi. Mlle Garcia la prof demande a toutes les filles de se lever. Il y a que quatre garçons dans ce cours. Mlle Garcia et moi, on fait le tour des filles et demandons à chacune d’entre elles de nous montrer leur petite culotte pour une inspection. Moi je prends la range qui mène à Marie. Je me dirige vers elle en inspectant les autres filles jusqu’à Marie les fille sont en règle. Marie ne veut pas monter sa jupe.

 C’est moi qui suis obligée de mettre ma main sous sa jupe. Je m'aperçois vite qu'elle n'a pas de culotte. Ma main lui touche les fesses directement sur sa raie. Marie se retourne pour m'enlever la main de sur ses fesses. C'est David qui avait raison pour le défi entre fille. Elle aussi ne porte pas de culotte comme prévu. Je lui donne l’ordre d’enlever sa jupe et je tire son chemisier par le devant pour voir à l'intérieur. Elle ne porte pas de soutien-gorge non plus. Je lui ordonne donc de retirer sa jupe et son chemisier ici a son bureau au travers des autres. Elle argumente et ne veut pas obéir. Je lui donne quelques bonnes claques sur les fesses pour qu'elle obéisse, et ensuite défait moi-même les boutons qui tiennent sa jupe. Je tire sa jupe que Marie retenait pour qu'elle tombe à ses chevilles. Ensuite, c'est son chemisier que je commence à déboutonner, même si elle résiste, je lui enlève. Elle se retrouve nue au beau milieu de la classe, aucune pitié, c'est ce qu'elle mérite. Tu te rends compte ma belle que si tu porterais des sous-vêtements réglementaires, tu ne serais pas dans cette position humiliante maintenant avance sur l’estrade en lui claquant les fesses pour qu’elle avance. Je fouille dans sa veste et trouve son mobile, elle aussi, le traînait dans les cours comme Béatrice.

    De son côté Mlle Garcia a deux filles qui ne porte pas la culotte réglementaire donc Mlle Garcia leur fait enlever à elles aussi leur jupe et leur string . Ce n’est pas accepter le string ici et elles doivent les poser sur leur bureau. Ensuite, elles les envoient en avant sur l’estrade fesses à l’air devant leur camarade, ces deux là, on les fesses a l'air. C'est un petit peu moi humiliant que nue. Sur l’estrade, Marie est la seule nue et cache ses parties intimes du mieux qu’elle peut avec ses bras et ses mains. Les deux autre peuvent garder leur chemisier, leur soutien qu'elles portent sont légales. Moi, je fais placer Marie dos à la salle, mains sur la tête pour que tous ses camarades admirent ses belles fesses blanches. Je demande à Mlle Garcia de sortir sa grande règle de bois de son tiroir. La règle en main, j’explique au spectateur que Marie va recevoir devant eux 15 coups de règles, je commence à lui administrer les premiers coups sur ses fesses qui prennent vite une belle couleur rouge.         

. Marie commence à lâcher des cris au 10è coups et essaie de résister pour ne pas faire voire que se lui fait mal devant ses camarades au dernier coup Marie verse des larmes et essaie de se frotter les fesses. Je lui interdis et elle doit repositionner ses mains sur sa tête, je lui fait faire un demi-tour pour que tout le monde regarde ses charmes le sexe bien raser et ses beau seins une dernière fois avant qu’on parte à mon bureau. Mlle Garcia va  s’occupe de ses deux autres étudiantes. J’envoie Marie chercher ses vêtements pour qu’elle circule au travers de ses camarades, nu et pour l’humilier un peu plus. Marie me demande si elle peut s’habiller mais je lui interdis car elle est en punition et elle doit me suive nu, c'est moi qui va descendre ses vêtements. Au bureau on rentre et elle aperçoit Béatrice qui est nu elle aussi et face au mur fesses bien marquer par la sangle, mais c’est David qui la dérange et elle essaie de  cacher sa nudité le plus possible. J’ordonne à Marie de prendre position au centre de la pièce mains sur la tête alors que je la traîne par un bras jusqu’au centre de la salle bien à la vue de David pour qu’il puisse en profiter, au même moment M le directeur et M Lepetit arrive de leur réunion en mirant eux aussi Marie nu et les fesses encore un peu rouge de sa punition dans la salle de cours et je leur explique sa tenue vestimentaire de ce matin.  

 

    M le directeur-  Béatrice viens rejoindre  Marie au centre et dans la même position et écouter ce qu’on a décidé pour vous deux. Les deux filles en position humiliante de punies regardent tous les deux a terre humilier devant nous tous d’être nu.

M le directeur-  Les gestes qui vous avez commissent ici toutes les deux avec ces caméras sont inadmissible et mérite l’expulsion de notre institut en plus d’être signaler au criminel, mais étant donné que je connais bien tes parents Marie, Claude et Pierre Richard qui sont venue ici il y a quelques années je passe par-dessus la plainte à la police, mais pour la gravité de votre geste et le non-respect de la tenue vestimentaire obligatoire et que pour vous est  le je m’en fou des règlements d’ici comme on pourrait dire le comité de discipline a décidé de vous mettre en punition de catégorie 3 qui est la pire punition ce qui signifie la punition corporelle en public et nu.

 

    A partir de ce matin et pour les deux prochaine semaine vous serez interdit de sortir d’ici sauf pour le week-end prochain que vous pourrez rentrer à la maison. Lundi matin à 7h30 vous devez être ici dans ce bureau et remettre tous vos vêtements au responsable.

    Ce midi dans 35 minutes toi Marie dans la salle à manger des 2è et 1è année sur l’estrade devant tous tes camarades et le personnel présent tu vas expliquer pourquoi tu es puni et nu devant eux,  la pause de tes caméras pour espionner les gens nu dans les vestiaires  et la jouissance que ça te procurait de les voir nu je t’ai préparer un petit texte que je te donne que tu devras lire dans la salle et ensuite tu on va te mettre en position attacher aux mains et aux pieds a la poutre central, tu recevras 30 coups de la strap de cuir donner par Claude. A la fin de la pause du repas a 1h15 toujours nu, tu iras chercher tes livres pour suivre tes cour d’après-midi. A la fin tu reviens a la cafétéria  pour travailler avec le personnel de soir a nettoyer la salle et après on va te descendre dans ta petite chambre au sous-sol ou tu passeras la nuit avec Béatrice et pour toi aussi c’est la même chose Béatrice sauf que ce midi c’est dans la salle des 3è et finissant que tu devras expliquer ton geste et toi aussi tu seras punis avec 30 coups de strap sur les fesses. Demain matin a 7 h vous prendrai le petit déjeuner en attendant que les gens arrivent et a 7h30 vous recevrez chacune une autre fessée au centre de la salle qui vous seras attitrer parce que vous changerez de salle chaque jour étant donner que vous avez admirer toute les camarades peu importe leur âge donc eux aussi ont tous le droit de vous admirer à leur tour,  ensuite vous circulerez   au travers des tables toujours nu pour faire le ménage des tables qui se seront libérées jusqu’au début de vos cours. Pour vos cours c’est nu aussi toute le temps de votre punition Et si quelqu’un dans la salle vous parle ou vous donne une tape sur les fesses ce qui probablement va arriver vous rester très poli sinon l’employer sera attitrer pour vous suivre va vous chauffer les fesses à nouveau. Ensuite a tous les matins et midi  ca seras une fessée devant la salle, vos prof son tous avertis de ne rien tolérer durant la journée vous devrez avoir un comportement exemplaire sinon c’est la fessée qui vous attend.

     Ça va être votre tour de vous faire voire nu comme vous avez aimé regarder vous camarades  maintenant vous devez payer pour votre geste. Maintenant Béatrice, Laurie vous me suivez on se déplace a la cafétéria tous ensemble,  Marie tu sui Claude et M Lepetit.    

 

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...