vendredi 2 octobre 2020

Sévère punition pour Fanny la passeuse de drogue


 

Claude l’assistante a la discipline

         

                 Je suis l’assistante à l’institut ST-Thomas  une institution mixte qui est situé dans une petite ville ou nord de l’Europe d’environ 200 milles habitants qui a une discipline très sévères envers ses étudiants qui sont âgés entre 15 et 19 ans environs. La plus part des parents qui paye ici pour l’éducation de leur enfants ont beaucoup de difficulté avec eux et dans d’autre école du pays leur enfant ou ado plus que enfant ont été mis à la porte  de d’autre école ou pour beaucoup d’autre c’est la justice un juge les  oblige à venir ici pour leur sauvé la prison. Mais ici on a des règlements très strique qui si ils ne sont pas respectés c’est la punition corporel qui les attend et les parents signe à l’inscription un document sur les punitions donnée ici qui fait partie  de l’éducation de l’étudiant.

 

            Aujourd’hui en ce beau Lundi matin  d’octobre deux de nos étudiantes sont soupçonné de trafic de drogue et une troisième est sûrement impliqué et ont doit faire la lumière sur leur cas car des enquêteurs de la police qui sont arrivé ici vendredi tard en après-midi pour fouiller leur casier. Moi et mon assistante Mlle Laprise pour moi c’est Laurie nous sommes du même âge 23 ans et Laurie je dois l’avouer et une très belle fille cheveux brun assez long qui arrive aux milieux du dos très belle poitrine mais un peu petite mais qui est pas mal dans la grosseur de la mienne et de superbe fesses. Donc je reviens à mes deux étudiantes que la direction de L’institut,  on a demandé aux policier de nous laisser s’occuper de leur cas à l’interne et ils connaissent très bien notre institut pour envoyer eux même des ados en brouille avec la justice alors ils ont fait une pause à leur enquête. Enquêteur partis c’est moi qui m’occupe des deux filles Maryse et Nadine et elles sont en punitions elles ont perdu le droit de portée l’uniforme le règlement est très clair sur des punitions aussi grave,  je leur explique la suite de leur punition, elles se sont retrouvé nues dans le bureau et avec chacune bonne fessée a la main et ensuite elles ont dû se rendre dans leur classe nue devant tous leurs camarades pour recevoir une autre punition a la canne cette fois ci qui a laissé de très bonne marques sur leur beau  petit derrière, elles se sont faite humilier en public injustement par la faute d’une menteuse qui  a voulue sauver ses propre fesses et a fait punir deux innocentes filles a sa place mais c’est à son tour maintenait.

  Le directeur de l’institut

                   Quand on a réussi à éclaircir l’histoire c’est Fanny qui c’est retrouver nue au déjeuner pieds et mains attaché à un chevalet  et fouetté de trente coups  dans la cour arrière devant toutes les étudiants de l’institut qui on voulues y assisté. Après avoir reçu ses trente coups j’ai fait détache Fanny du chevalet et nous l’avons fait rentrer Fanny à l’intérieur dans mon bureau.

    Dans mon bureau je dis à  Fanny qui pleurai encore et se frottai le derrière de s’installer à genoux dans le coin mains sur la tête sur le bord de ma porte qui est rester ouverte pour qu’elle soit bien à la vue des passant dans le corridor pendant que j’allais mangé et de ne surtout pas bouger car Mme Ouellet la secrétaire suppléante restait à son bureau et ne la lâcherait pas des yeux et, à mon retour c’est au gym que tu finiras ta journée pour toi ton cour de natation à la piscine est suspendu car c’est un bâtiment municipal de l’autre côté de la rue et public  et la nudité est interdite donc tu dois  rester pour le reste de la journée  ici.

Fanny – mais M le directeur je peux au moins remettre mes sous-vêtements c’est plus descend s’il vous plaît et moins gênant. 

Le directeur –  Ma belle si tu es gêné habitue toi et vite car c’est une grosse partit de la semaine que tu vas te promener les fesses a l’air et en plus tu es privé de sortie ce soir tu couches ici dans une  des petites chambres qui sont au sous-sol réserver spécialement pour les punis te mère est avertie et elle va venir nous voir cette après-midi pour discuter de tes conneries elle va sûrement venir te rendre visite au gym pour voir comment ça se passe ta punition. En attendant reste en position.

     En sortant de mon bureau je donne un papier à Mme Ouellet qui est ma secrétaire Charlaine quand vous aurez fini votre pause poudriez-vous reconduire cette demoiselle à la salle de retenu et lui faire copier 100 fois la phrase qui est écrite sur le papier pour débuter son après-midi si il y a quelqu’un à l’intérieur elle rentre pareille et s’installe dans la salle de retenu et fait ça copie, et de remettre sur la table des profs  le communiqué que je vous ai demandé d’imprimer pour qu’ils puisse tous le lire au sujet de notre punie cette semaine. Mme Ouellet me demande si elle lui procure la nouvelle tenue noir  que souvent les punis porte  avant de la faire sortir de mon bureau. Non Giselle je lui réponds pour Fanny c’est nue quelle restera pour la journée et une bonne parti de la semaine pour elle c’est le stade de punition le plus élevé elle doit servir d’exemple pour tous les étudiants qui ont l’intention de se foutre des règlements.

 

 

Charlaine –

     C’est bien M.  Je  viens justement de terminé mon travail je la transfert avec moi dans l’autre salle  et j’ai mon repas qui m’attend dans le réfrigérateur,  j’avais prévue de manger là dans cette salle. Je dis à l’étudiante qui est à genoux lève-toi, debout devant moi. je la regarde de la tête au pied et lui fait signe de passé devant moi et lui montre la porte pour aller dans la salle de retenu qui communique avec la salle des profs et je la sui tout en regardant son jolie derrière portant les marques de fouet en lui demandant si c’était encore très douloureux car  on peut compter presque toutes les coups  de fouet  que tu as reçu, elle pleurniche plus qu’elle me répond sûrement par l’humiliation et la douleur aussi et je n’ai presque rien comprise de sa réponse, on s’arrête juste à l’entrée de la salle et Fanny me demande si elle peut retourner dans mon bureau pour faire sa copie car on entend plusieurs voie à l’intérieur. M le directeur étant encore au côté de nous lui répond que si elle veut changer de local c’est sur une table dans la salle de la cafétéria qui est pleine qu’il va l’installé.

      Fanny nous dit qu’elle va rentrer ici  et elle rentre sans regarder à l’intérieur prend la direction de l’autre salle  et essaie de s’asseoir tranquillement  sur la première chaise en face d’elle je viens d’avoir ma réponse pour la douleur car son postérieur à l’aire de lui faire très mal et toute les personne présente dans la salle la voie par la porte grande ouverte  elle est morte de honte. Sa prof qui devait l’avoir dans son cours à la piscine de l’après-midi la prend en pitié elle lui apporte un cousin et lui dit je crois que cette après-midi je ne te verrai pas c’est interdis dans l’édifice municipal la nudité et toi  tu n’as pas fini de te promener nue ma belle et ça devais faire parler beaucoup de mâle dans cette établissement qu’en pense tu Charlaine,  je  suis sûre que pour les jours à venir elle va être le point de mire la grande vedette ici et je suis sûre d’une chose qu’elle n’a pas fine d’avoir mal à ses jolie petites fesses, sa prof lui ordonne de se lever et de traversé dans l’autre salle pour que le monde puisse voire les résultats de ta punition tu as traversé trop vite et personne n’a pu contempler ton beau postérieur zébré. Les autres profs demande a Fanny de venir et de faire le tour de la salle pour l’humilier  mais Fanny ne veut pas elle refuse nous dit de lui foutre la paix. C’est alors que sa prof de natation lui prend un bras et l’oblige à se lever sans résister ou elle le regrettera, Fanny n’a pas trop le choix Mme Dugas sa prof qui et superbe moi je la voie à l’occasion dans le vestiaire quand on est à la piscine et je suis jalouse de sa poitrine Mme Dugas Jacqueline de son petit nom a fait lever Fannie de force en la tirant par le bras et Fanny ne la pas aimer elle se plaint que Jacqueline lui fait mal de la lâcher.

 

Jacqueline –

         Ma belle si tu coopère il y en aura pas de problème mais si tu veux faire la forte tête tu  voies sur le bord du tableau ou fond la strap et la palette de bois je vais en chercher une des deux et crois-moi que tu vas le faire ce tour de local et je ne me gênerais pas pour te chauffer tes fesses pour que tu obéisse. Tes fesses n’aurons pas seulement des marques de fouet mais aussi celle de la strap ou de la palette et tu commences toute de suite avec tes mains dans le dos pour qu’on puisse t’admirer. Fanny commence à avancer très doucement et je lui claque une fesse en lui rappelant que la strap n’est pas si loin de nous que si elle ne bouge pas assez vite je lui chauffe les fesses je te laisse faire le tour seul et avance car c’est moi qui va te faire avancer.

    On est 7 prof plus Charlaine  dans la salle moi je m’assoie à ma place et la regarde faire son tour de salle elle a enfin comprise que quand ils sont en punition ça doit obéir à nos ordre, elle revient à son point de départ et me demande si elle peut aller se rasseoir,  ça nous a tous surpris comment elle est devenue obéissante j’ai l’impression que la strap lui a fait peur. On la laisser faire sa copie de punition que M le directeur lui a demandé et en discutant tous ensemble de sa punition et autre chose la fin de notre période de repas et est arrivé le directeur avec Mlle Laprise une des assistantes a la discipline de M Lepetit pour venir chercher Fanny.

 

Le directeur –

        Fanny c’est Mlle Laprise qui s’occupe de te toi cette après-midi pour la continuité de ta punition tu lui obéi elle va te descendre au gym et te montrée comment ça va se dérouler pour toi  le  reste de ta journée moi je vous quitte je dois recevoir ta mère dans quelques instant elle va sûrement aller  voir comment se déroule ta punition et je vais me faire un plaisir de la faire rentrer dans la salle pour la contentée, et signe en bas de ta copie que je t’avais donner à faire comme punition et donne là moi je vais en faire d’autre copies et les affichés sur les babillards qui sont dans les couloirs.

 

 

Laurie - 

             J’entends Fanny sans se lever argumente supplie le directeur mais il ne l’écoute pas moi je lui dis regarde je te prends en pitié je t’ai ramené des sandales de plage pour  ménagé tes pauvres pieds le plancher doit être froid ça va être plus confortable d’avoir ses sandale que de marcher pied nu sur la céramique tu devrais me remercier de me soucier de ton confort.

Fannie - 

       Laurie a la place  t’aurais pu me rapporter des vêtements ça aurait été encore plus chaud et confortable que juste des sandales je l’apprécie quand même ton petit geste c’est toujours mieux que pieds nus, mais donne-moi quelque chose un des sarraus qui est accrochés ou mur  au minimum pour sortir dans le corridor et se rendre au gym s’il te plaît dans la salle au moins ça va être devant des filles ça sera un peu moins gênant quoi que nue en public même si  ça reste  toujours très humiliant. Toi tu ne dois pas savoir ce que c’est l’humiliation d’être nue en public à te réjouir de me voir nue j’en suis sûre. Elle me répond ma belle ce n’est pas à toi de décidé ou juger ce qu’on doit ou pas faire pour  te punir et tu l’a amplement méritée a si l’on compare Nadine et Maude qui ont été injustement et gratuitement punies nues  ce matin par ta faute et tes menteries, tu subie les conséquences des stupidités de tes actes et pour te mettre au courant   l’an dernier moi aussi j’ai été mise à nue et punie en public injustement par une idiote comme toi qui mentait pour sauver ses fesses elle aussi, et crois moi j’ai détesté ca être nue en public ici même dans cette salle et je n’oublierais jamais l’humiliation que ça fait.

Laurie - 

         Fannie qui est toujours assise sur la chaise et essayant toujours de caché ses partie intime le plus possible Je m’empresse de lui demander de se mettre debout et que je n’ai même pas le droit de lui permettre de prendre un vêtement pour se couvrir c’est le comité qui a décidé de ta punition et les conditions et que si je me permet de changer les règle je serais moi aussi punie et ça ne m’intéresse pas suis moi maintenant on descend au gym Jacqueline en passant au côté de nous rajoute Laurie ne l’écoute surtout pas elle a la punition qu’elle mérite et ne la ménage pas.

                En descendant derrière elle au sous-sol ou est situé le gym je lui dit qu’on va passer par le vestiaire des filles pour lui permette d’aller au toilette avant de prendre place dans la salle. Fanny arrête devant la porte et on entend du brui a l’intérieur les filles n’ont pas encore finis de se changer et elle ne veut pas rentrer elle me demande d’attendre que le vestiaire soi vide mais je rouvre la porte et la pousse à l’intérieur ce qui la fait figer de voire que toutes les filles de 1e année se retourner et la regarde.

    Allons ma belle Fannie tu ne vas pas me dire qu’entre fille et toutes plus jeunes que toi de presque 2 ans ça te gêne autant que ça de te montrer on est toutes faite pareille traverse à la salle de bain et fait vite, les étudiantes à l’intérieur du vestiaire la regarde tous et se moquent d’elle en la voyant nue et les fesses bien marquer des coups de fouet de ce midi et morte de honte de se balader ainsi.  

        Je t’attends à l’autre sortie et fait vite le temps passe, je voie Fanny les mains placer sur ses parties pour en cacher le plus possible les fesses et le haut des cuisses encore marquer par le fouet et que toutes les filles regarde aussi quand Fanny passe au travers d’elles. Les étudiantes enfin sorti pour leur période d’éducation physique je voie Fanny sortir de la toilette et je la regarde d’un œil de jalouse, j’adore sa poitrine la grosseur de ses seins ils sont juste d’une bonne grosseur et très ferme se tenant bien droit. J’aimerai que les miens soient dans ses grosseurs là ça me rend un peu jalouse moi qui trouve ma poitrine un peu trop petite, Fanny enfin me rejoint et nous pouvons passer à une autre étape de ta punition en lui disant ces mots je lui pause une main sur ses fesses et lui demande si c’était encore douloureux la fessée quelle a reçu ce midi mais Fannie recule et me dit d’enlever mes mains de là que je n’ai aucun droit de lui toucher.

           Je me ressaisie quelques secondes d’avoir entendue ca et lui réplique  que c’est à moi de décidée quoi faire et toucher qu’elle est en punition et en lui parlent je m’approche d’elle et lui remet ma main entre ses jambes cette fois ci et lui touche sa fente, elle m’enlève la main et me donne une gifle dans le visage ce qui m’a mise dans une colère extrême. En reprenant mes esprit je la prend par  dessous d’un bras et la tire en dehors du vestiaire dans la salle et la traîne devant le bureau de la prof  et lui dit tu vas le regretter ma belle et la prof me demande ce qui se passe, en lui expliquant les faits la prof Mme Damien me demande de l’attendre quelques minutes elle a quelque chose à me donner pour  calmer cette petite effronté, Mme Damien revenue de son loquer elle me donne une raquette de tennis sur table ou ping-pong comme d’autre dise   et me sourit en me disant de la manière que je te connaît je suis sûre que tu vas en faire bonne usage et que Fanny va regretter de t’avoir gifler. Fanny prend panic en voyant la palette et veut entrer dans le bureau  en demandant au prof de lui donner une grande serviette pour se couvrir que ce n’est plus du tout une punition mais c’est à la limite de la torture et de l’esclavage d’obliger une fille a se balader complètement nue et de la menacer de la battre à coup de palette vous êtes des bourreaux c’est tous ce que vous êtes. Mme Damien la trouve effronté et le lui laisse savoir en lui barrant la porte d’entrée de son bureau.

 

 

Mme Damien – 

          Ma petite impolie pour ton information on n’est pas des bourreaux et toi L’établissement tas mise en punition pour les gestes que tu as commise et deux pauvres filles ont été humiliées et punies très durement pour tes menteries et c’est à ton tour d’être punie et tu n’as pas le choix d’obéir sans résister et je vais te montrer a l’instant même qui est en autorité ici. je la prend par un bras et l’oblige a retourné au centre de la salle en la tirant par le bras au beau milieu de toutes les étudiantes je fais  arrêter l’exercice de réchauffement pour dire à toutes les filles que Fanny que tous ont vu ce midi sur la scène extérieur recevoir une punition va ici même devant vous tous en recevoir une autre pour son manque de respect envers ses supérieur

 

Laurie – je suis Mme Damien qui traîne Fanny et lui serre le bras assez fort pour entendre Fanny se plaindre qu’elle lui fait mal et de la lâché toute la salle entend ses lamentations.

La Prof Mme Damien -  Fanny tu prends la position des punis en mettant tes mains sur ta tête devant toutes tes camarades tu vas être bien exposé ainsi et tes mains reste là c’est clair je t’interdis de les enlever sinon tu vas le regretter on va voire qui qui donne des ordres ici, tu te tiens bien droite pendant que je te réchauffe ton jolie derrière.

Laurie -  même si Fanny essaie d’argumenter de la supplier de lui demander pardon Mme Damien ne l’écoute pas et commence à lui claquer les fesses avec la raquette en lui disant de se fermé et elle frappe avec force elle alterne d’une fesse à l’autre  à une cadence très rapide on entend les coups résonner dans la salle qui est silencieuse toute les étudiantes regarde le derrière de Fannie redevenir rouge et la regarde grimacer et surtout ses cris de douleurs qu’on entend.

Mme Damien – J’arrête en voyant ses fesses rendu rouge âcre et que des petites trace de sang veulent apparaître près de trace du fouet de ce midi et je dis a Laurie quelle peu aller faire autre chose pour cette après-midi je m’occupe de mademoiselle elle va adorée son après-midi ici avec les premières années  je te le promets viens la récupérer à la fin du dernier cours.  

Laurie -  Pendant que je regarde Fanny se frotter les fesses et pleurnicher je dis à Mme Damien que je vais retourner voire M Lepetit et Claude et je me dirige vers la porte pour sortir. A L’extérieur je vais faire un tour dans le bureau de garde et les dortoirs isoler pour les punis quand ils sont privée de sortie le soir, j’ai la clef maintenant et à l’ intérieur dans le bureau et la chambre à coucher du surveillant a l’arrière du bureau je voie que Claude a déjà apporter une valise et du vin je vais donc venir coucher ici avec Claude ce soir parce que Fanny est privé de sorti pour la semaine et elle doit venir coucher ici dans un isoloir pour la semaine et ça prend un surveillant. Je traverse du côté des isoloirs il  en a 8 au total mais je voie qu’il y en a qu’un qui a des couvertures, probablement que c’est juste Fanny qui seras ici il n’y a pas d’autre étudiants en punition ce soir je me dirige on fond dans la grande salle qui à l’époque quand c’était un couvent devait servir de place pour punir les pensionnaires avec des vielle photo de jeunes attaché sur des chevalets et que l’on voie se faire fessée a la canne et au fouet ou avec d’autre instrument. tout est presque rester en place après toutes ces années les vieux fouets quelques cannes des palettes qui ressemble étrangement à la raquettes de tennis sur table que la prof a utilisé sur Fannie il y a quelque instant ça me fige de voire toutes ces instrument pour la punition qui ont déjà servie je ne peux m’empêcher de me frotter les fesses en m’imaginent la douleur que ça procure me passant la main sous ma robe au même moment l’assistante de M Ponge Ginette arrive une superbe fille qui est à l’entretien des bâtiments et a 2 ans de plus que moi et elle aussi j’envie sa poitrine. Quand on est dans le vestiaire pour se changer avant nos petites parties de badminton entre fille je la regarde la poitrine a l’air et elle a de beaux siens juste la grosseur que j’aimerai et la fermeté le reste de son corps aussi est superbe, elle me voie la main sous ma jupe et ça me gêne je l’enlève et replace ma robe  car je n’ai pas mis de                sous-vêtement et je ne veux surtout pas qu’elle  voie que j’ai les fesses a l’aire sous ma robe c’est interdit  aux personnelles tout comme aux étudiantes.

Ginette- Allo  Laurie je t’ai vue passer j’étais à l’atelier et  j’ai vu que tu venais préparer la place pour ce soir je suis venu te dire un petit bonjour, et je suis toujours impressionner de venir ici voire ces photos et la pièce aussi en rentrant. Je t’ai vue te frotter les fesses  ça nous fait toujours un peu peur de s’imaginer les effets si s’était nous qui étions à leur place,

Laurie – Oui je m’imagine moi aussi attacher a une de ses chaînes nue et une sœur qui me fouette çà devait être horrible. Ginette me met une main sur mes fesses par-dessus ma robe et tout en parlent me frotte  le derrière et descend jusqu’au rebord de ma robe et la remonte pour essayer de voire en dessous mais je me recule et rabaisse ma robe aussi vite pour me pas qu’elle me touche ou me voie les fesses.

 

 

Ginette –  Depuis quand Laurie  tu aimes plus que je te touche c’est nouveau quoi. Pourtant juste hier dans le vestiaire après notre tennis tu te baladais nue pour aller à la douche et je t’aie flatter tes jolie petite fesses sans que tu ne réagisses, ou c’est peut-être parce que tu n’as pas de sous-vêtement en dessous tu te promènes les fesses a l’aire en dessous ici et tu sais très bien que c’est interdis et tu as punis des filles il-y a pas si longtemps pour ça et ne me ment pas j’ai vu ce matin que tu n’avais rien en dessous quand tu t’aie pencher dans la salle des prof fait attention quand tu te penches ta robe ne cache pas grand-chose elle est à la limite de te cacher les fesses quand tu es debout imagine quand tu as à te pencher. Si le directeur ou M Lepetit venait qu’à savoir cela je crois bien que tu nous donnerais un beau spectacle nue dans la salle des profs en recevant une superbe fessée moi j’aimerais voir ça et en plus tu connais très bien les règlements c’est pareille pour tous les filles étudiantes ou le personnelle de l’institution. La semaine dernière moi et Maria la prof de langue étrangère on montait l’escalier derrière toi et Claude et Maria ma fait remarquer qu’on voyait ta culotte sus ta robe tellement que ta robe était courte si tu n’aurais pas mis de sous-vêtement ce jour-là on t’aurait vue le derrière, les jeunes gars surtout quand ils te suivent dans les marches ils doivent adorer et pour une personne en autorité ce n’est pas un bonne exemple à donner.

 

 Laurie -  je ne veux pas te mentir regarde et en lui disant ça je remonte l’arrière de ma robe pour lui montrer le coté d’une fesses et  qu’elle a raison je suis désolée je retourne dans la chambre ou est la valise et Ginette me suis, dans la valise il y a plusieurs petite culotte et des robes de rechange, j’enlève ma robe devant Ginette ce qui me met nue et essai d’enfiler une culotte et Ginette me met une de ses mains sur un sein et me dit enfin tu me laisses te voir et te toucher j’adore tes petits seins ferme et bien pointu.

      Ginette arrête n’importe qui peut arriver et me voir nu ça provoquerait un scandale laisse-moi me rhabillé au plus vite et il faut que j’aille m’occuper de Fanny qui achève au gymnase et pour ma conduite avec ma tenue sous ma robe  tu as parfaitement raison ce n’est pas trop sérieux de ma part,  je puni des étudiantes qui ose le faire c’est juste moral que je doive respecter les règles et pour la robe tu trouves que celle-ci est encore trop courte.  Oh que non elle dit Ginette t’arrive presque a mi-cuisse et c’est beaucoup mieux pour ici me répond t-elle et rajoute je suis sûre qu’un jour ou l’autre tu vas passer au bureau de M Lepetit ton boss pour tes longueur de robe il nous en  a déjà parlé à M Ponge et moi de tes robes qui sont presque à la limite je crois que plusieurs se sont plain.  Elle aussi a du travail et en partant elle me dit que M le directeur et Claude ma collègue sont  avec deux nouvelle filles qui arrivent  ici pour résider, elles sont envoyées par un ordre de la justice pour quelques années.

 

      OK Ginette a plus tard je vais chercher ma punie et on monte les deux au bureau avant d’aller manger et redescende a son genre d’isoloir pour la nuit, au bureau je voie les deux nouvelle avec des uniforme de cuisine encore plier et neuf et M Lepetit me demande de nous présenter moi et Fanny qui est entièrement nue ce qui fait réagir les deux nouvelles sur sa tenue et qui pause des question a M Lepetit avant même que j’ai eu le temps de me présenter et elles insistent sur sa tenue  et pourquoi est-t ’elle obliger d’être nue. Je laisse M Lepetit et Claude expliquer aux nouvelles toutes les causes et je les laissent finir de  et moi je pars de mon côté avec Fanny pour manger et ensuite je l’installe dans sa petite chambre pour la nuit et je referme la porte qui sépare les isoloirs du bureau et débouche une bouteille de vin en m’installent dans le sofa, Claude viens me rejoindre environs 1h plus tard et traverse dans la chambre disant qu’elle est épuisée et se déshabille garde seulement sa petite culotte et  revient s’asseoir ou côté de moi et commence à déboutonner ma robe de haut en bas pour l’ouvrir ce qui met ma poitrine bien à sa vue puisque je ne porte pas de soutien. 

Claude – alors ma petite rebelle tu sais que tu mérites une bonne punition pour ton non-respect  au code vestimentaire, pour ta punition tu enlèves tout tes vêtement et tu viens t’installer sur mes genoux, mais Claude si il arrive quelqu’un et il nous trouve dans ces tenue là on passe au comité de discipline demain à la première heure et c’est la punition qui nous attend et nos job son en jeux. Au même moment Ginette le bras droit de M Ponge arrive nous voir moi à moitié nue robe grande ouverte et Claude avec seulement son slip j’essaie de remonter ma robe qui était rendu aux hanches et la refermer le plus vite possible mais elle a tout vue surtout Claude qui n’a même pas bouger comme si elle était vêtue normal,

Ginette -  Bonsoir les filles je voulais vous saluer avant de partir et je voie que vous êtes mise à votre aise, Claude m’offre de prendre un verre de vin avec elles et je ne refuse pas puisque je suis seul mon copain est partis pour quelques jours.

 

Claude – Reste avec nous alors on a le sofa ou un autre lit dans la chambre pour dormir cette nuit ça va être moins ennuyant pour toi et nous allons passer une très belle soirée  entre filles.

Ginette -  j’adorerai mais je vais être obligé demain de retourné à mon appart pareille pour me doucher et me changer je vois juste prendre un verre et y aller ensuite. Claude me dit ne t’occupe pas de ça ma valise est pleine de vêtements et sous-vêtements tu as un choix impressionnant au lieu de de casser la tête fait comme nous met toi a l’aise et relaxe toi. Je dois dire que ce ma plaie ta proposition je vous suis et j’enlève ma chemise ma jupe et mon soutien et je m’assoie avec elles.

 

 

Claude  plus tard dans la soirée –

             Les filles belle soirée mais demain à 5h30 c’est debout pas le choix je dois réveiller Fanny pour qu’elle se prépare et la faire monter pour le petit déjeuné vers les 6h30 max donc moi je vais me laver au vestiaire des filles et je me couche ensuite. J’entends Laurie qui elle aussi vient avec moi, c’est bien Laurie je te donne une serviette et un savon et toi Ginette suit tu aussi et elle voie que nous avons enlevé le seul vêtement qui nous restait et me dit quelle vient avec nous mais vous ne vous balader pas à poil j’espère. Oui Ginette et tente l’expérience et je suis sûr que tu vas adorer moi j’adore me rendre nu au vestiaire et on est seul  personne ne peut nous voir.

Ginette – je ne suis pas sûr ce n’est pas mon habitude de me montrer nue dans des lieux public  et ici dans les corridors même à mon appart le soir j’ai toujours un peignoir pas attacher mais je le porte ou au pire juste une culotte mon copain lui ce n’est pas pareil un gars ça n’a pas trop de pudeur il a toujours le zizi a l’air, mais les filles je prends le risque je vous suis à poil moi aussi il me reste la serviette si la gêne me gagne trop. Laurie me fait sortir la première du bureau en me donnant une tape sur les fesses et me sourient tu vas aimer ca j’en suis sûr me dit–elle et elle me suit. En marchant en direction des douches je commence à aimer ca être nu je dis aux filles savez-vous je ne déteste pas ça mais jute entre nous pas plus ce n’est pas moi qui me baladerais en plein jour les corridors plein de monde je serais paralysé je chercherais une place pour me cacher j’ai de la misère a m’imaginer les étudiants en punitions qui sont obliger de circuler nu en public ça doit être terrible conne humiliation.

 Claude –  c’est pour ça que ici à l’institut c’est les punitions qui sont imposer ça fait réfléchir les étudiants rebelle qui n’obéissent pas et en plus de la nudité imposé on rajoute a l’humiliation la fessée en public qui a leur âge est encore plus humiliante se faire rougir les fesses comme des gamins de 7 ou 8 ans devant leurs camarades c’est une punition que la majorité n’oublient pas.

 Laurie – Moi l’an passé j’ai été obligé de me dévêtir devant mes collègues dans la salle des profs à cause d’une menteuse et j’ai reçu des coups de paddle je n’ai pas aimé ça je te le jure c’est très humiliant a 22 ans recevoir une fessée cul nu devant une dizaine de collègues et plusieurs d’entre eux entaient masculins, bon assez parler de punition moi je rentre au douche.

             Les douches finies et revenu dans l’autre partie du vestiaire je voie Ginette sortir du côté du gymnase et je dis ce n’est pas par-là notre bureau elle me répond qu’elle commence a aimé ça se promener à poil et elle va faire un tour dans la salle pour le feeling d’être dans cette salle nu ça me donne le goût d’essayer d’aller faire une promenade ailleurs dans la bâtisse. Fait pas de folie Ginette tu sais très bien que c’est le seule endroit ici qu’il n’y a pas de cameras toute les autres étages et les cages d’escalier sont sur surveillance maintenant on retourne au bureau je ne veux pas qu’on se rende compte de ce que l’on fait ici le soir, alors ça te plaît Ginette d'être à poil, moi et Claude on va t’inviter à notre appart un soir et on va se faire une soirée de filles si ça te plaît autant.

 

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