2 Nadine et sa copine sévèrement punis
Au tour de Fanny
Laurie –
Claude m’a demandé d’aller chercher des vêtements pour
Nadine et Maryse qui sont en punition dans la salle de cours de math.
Presque revenus à la salle avec les vêtements pour qu'elles se
rhabillent, la cloche pour la pause sonne. Je laisse sortir les
étudiants du local et j'entre. Je voie les deux filles sur l’estrade
main sur la tête et Mme Petitgrew me dit qu’elles ont passé une bonne
partie du cours dans cette position. D'après le prof, elles bougeaient
constamment, assissent sur leur chaise. Elles étaient incapables de
rester calmes, leurs postérieurs faisaient trop mal. Tant qu’à
déconcentrer leurs compagnons, je les ai fait monter ici pour assister
au cours.
Je réponds à Mme Petigrew c’est parfait, mais on ne les
fait pas sortir dans cette tenue. Je leur donne des vêtements et elles
m’accompagnent à mon bureau. Il y a eu de gros changements et leurs
punitions sont suspendus temporairement, ne les attentez pas pour le
prochain cours.
Maryse –
Laurie, as-tu vu les shorts que tu nous as apportés, ils sont très
courts ces shorts-là, regarde Nadine, elle a la moité des fesses à
l'air. Tu n'aurais pas amené des sous-vêtements par hasard pour nous
cacher les fesses et les seins aussi. Ce short-là me couvre à peine les
fesses et la camisole, c'est pour les gars-ça. Regarde si je lève les
bras, on voit toutes mes seins. Nadine toi aussi, tu as les fesses
presque toutes à l’air, même si tu étires le tissu à son maximum, ce
n'est pas suffisant pour te couvrir le derrière.
Nadine –
Je me retourne vers Laurie et lui montre mon derrière. J'étire le tissu
du short à sa limite qui reste sur mes hanches pour essayer de
descendre les rebords du short pour descendre le tissu le plus possible
sur mes fesses. Mais la moitié de mes fesses restent à l'air et aussitôt
que je relâche le tissu, il remonte. Regarde-moi si je me lève les
bras. C'est comme si je n'avais rien, les côtés de mon corps sont à
l'air. Je ne bouge même pas et le bord de la camisole laisse voire mes
seins. C'est presque impossible de les cacher. Le seul moyen est de me
serrer les bras de chaque côté.
Laurie –
Bon les filles, ce sont les nouveaux
vêtements spécialement faits pour humilier les punis, c'est pour cela
qu’ils sont noirs et qu'un gros p. est brodé sur le devant et l’arrière
et qu’ils sont si courts. Si vous ne les aimez pas, redonnez-moi les et
revenez à poil, on n’a pas le temps de discuter, on est tous attendus.
Dépêchez-vous de vous habiller, on retourne et donnez-moi vos vêtements
si vous ne les aimez pas.
Nadine –
Non Laurie, j'aime mieux les garder, je vais tenir
mes bras baissés. J'aime mieux avoir ces vêtements sur le dos, c'est
beaucoup mieux qu'à poil. C’est pas mal moins humiliant. Dans le
corridor, j'entends les étudiants de notre cours de math et d'autres
aussi crier après nous en disant de rester que le cours va recommencer
bientôt, vos punitions ne sont pas finies. Mais Laurie, passez les
premières en restant tout près derrière nous, ne vous occupez pas des
autres, dépêcher d'avancer. Le corridor est plein, les étudiants sont
pratiquement tous sortis pour la pause, espèrent nous voir exposées nues
devant eux. Je suis gênée pareille de me promener si courtement vêtue.
Maryse en avant de moi garde une main sur ses fesses pour essayer de les
dissimuler le plus possible. En plus d’avoir une partie des fesses à
l’air, les marques de la cane qui ressortent et sont bien visibles. Je
présume que sur mes fesses aussi, il doit y paraître les marques de la
fessée à la cane qu’on a reçue, il n'y a pas si longtemps.
Claude –
Moi, je ramène Fanny en la trainant par un bras pour qu'elle me suive sans flâner. Elle n'arrête pas de me poser un tas de question en route. Je ne lui réponds pas trop choqué de ce que je savais. Elle n'a pas eu le choix d'entrée dans le bureau malgré qu'elle hésitait quand elle a aperçu Nadine et Maryse. Je la tenais par le bras et elle m'a suivi. A l’intérieur, moi, je la questionne sur les rumeurs qu’elle répand sur la punition de ce midi qui ne sont complètement fausses. Le comité est en réunion, il n'y a aucune décision de prise en ce qui concerne les filles et comment elles seront punies et où elles le seront ce midi.
Où as-tu pris tes renseignements ? si moi, je ne suis pas encore avisée.
Je t’avais pourtant demandé ce matin de ne jamais parler de Nadine et Maryse et de quoi, elles étaient accusées. Et Fanny moi, je te demande une fois encore pour une dernière fois si c'est toi qui as donné les deux boites à Nadine et Maryse vendredi. Et ne me ment pas, je déteste les menteuses.
C'étaient
sûrement les tiennent menteuses par ce que tu te sentais sûrement
suivie par la police. En les refilant aux deux filles, tes boites, si la
police débarquait, ce n’est pas toi qui étais accusé de posséder de la
drogue, mais Nadine et Maryse. Celles qui étaient en possession de tes
fameuses boites, soit honnête pour une fois.
Fanny –
Claude, je te l’ais dit et te le répète que je n’ai jamais vue,
c'est boîtes là. C'est quand j'étais avec Nadine, la semaine passée,
lundi ou mardi, je crois, j'étais devant son casier avec Nadine et que
celui-ci était ouvert, c'est là que je les aie entrevues ces petites
boîtes-là.
Claude –
Fanny, je déteste me faire mentir au
même moment Laurie et les deux filles commence à vouloir réagir. Nadine
commence à dire à Fanny pourquoi tu mens, dis donc la vérité sur tes
boîtes. Fanny lui coupe la parole en disant que Nadine raconte des
sottises. Claude, c'est la vérité, répète sans cesse Fanny, et ces
deux-là, la seule chose qu'elles essaient de faire, c’est de protéger
leurs fesses. Plus Fanny parle, plus je me rends compte qu'elle nous
ment par ses gestes et son comportement agressif. C'est à mon tour de
lui couper la parole en lui disant de se la fermer. Fanny ne bouge plus,
attends-moi. Je reviendrai dans quelques secondes avec une petite
surprise pour toi. Je sors traverse à l’infirmerie qui est en face et
reviens avec Ashley et Judith. Deux belles filles à qui j’avais demandé
de se cacher en attendant notre arrivée et qui connaissent à peine
Nadine, mais Judith est amie avec Maryse et cohabite toutes les deux
ensemble aussi. Les deux filles ont une bonne idée de ce qu'a fait
Fanny.
Revenue avec mes deux témoins, je présente Ashley et Judith
aux autres, Nadine a déjà parlé à Ashley, quelques fois. Maryse, elle
connaît déjà très bien Judith. Je demande à Ashley de conté tout ce
qu'elle a vu vendredi après-midi dans le vestiaire entre les casiers
avant qu'elle parte pour le week-end.
Ashley –
Vendredi en fin d’après-midi, Fanny, c'est approcher
de Nadine. Elle est passée à quelques centimètres de moi avec deux
petites boites qui sont sur le bureau derrière nous et à donner une
boite à Nadine, la noire. Je les ai vues, elles étaient à deux casiers
plus loin du mien. J'ai entendu Fanny demandé à Nadine si elle voulait
bien garder la boite noire. Supposément que son casier ne ferme pas à
clef, il était défectueux, lui a-t-elle dit. Ensuite, elle a été, voire
Maryse deux casiers encore plus loin et a fait la même chose avec une
boite rouge. Moi, en ressortant, j'ai passé en avant de son casier. Je
sais où il est, je connais bien le gars qui partage le casier avec elle.
Son casier est dans la section des casiers double donc ils sont deux
dans ces casiers-là. J’ai moi-même sondé la porte et elle était très
bien barrée. Je sais que dans le quartier dans lequel demeure Fanny, il
est réputé pour être capable de trouver facilement de la drogue et pas
chère. Ce sont des bonnes amies qui n’avaient déjà prévenu quand je leur
avais parlé que Fanny et moi étions ensemble dans quelques cours.
Fanny vient pour parler et Laurie lui dit de se la fermer et de finir
d'écouter leur histoire.
Laurie –
Fanny je suis équerré de me faire mentir en
pleine face et Claude aussi. On a devant toi quatre personne qui ont presque la même
version de cette histoire a quelque virgule près et toi tu les traites de
menteuses. Fanny tu nous niaises et nous ment.
Comment se nomme le gars qui est dans le casier avec elle ? demandais-je
aux filles autour de moi. J'envoie quelqu'un le chercher et on va
l’interroger. Lui aussi, il doit savoir ce qu’il y a dans son casier. Il
met ses livres à l’intérieur, il voit sûrement aussi ce qu'il y a à
l'intérieur. Judith me répond que c’est Dave, Dave Russell et
présentement, il est dans le cours de langue étrangère avec Mlle Garcia.
Merci Judith, je reviens dans quelque. Fanny m’arrête, me dit de ne pas
le faire venir, elle va tout expliquer.
Fanny –
Laurie ne va pas chercher Dave, il n’a pas d’affaire a
ça les boites que j’avais. Dave ne sait pas du tout ce qu’il y avait à
l’intérieur. C’est moi qui ai rentré ses boites dans l’institut jeudi et
vendredi. Durant mon parcours pour venir ici, je me suis rendu compte
que des policiers habiller en civil me suivait. Dans l’après-midi, à la
fin du dernier cours, je suis allée à mon casier pour mettre mes livres.
Sur mon mobile qui était dans mon casier, j'avais reçu un texto d’une
connaissance qui me prévenait qu’on était suivie de mettre la
marchandise en sécurité pour ne pas me faire prendre avec la marchandise
sur moi. Je ne savais pas où la cacher. Alors, j'ai pensé à Nadine et Maryse qui sont deux filles que la police ne soupçonne pas.
Laurie –
Fanny y commence à être temps que sa sorte la vérité ici dans ce
bureau. Ce matin il y a deux filles qui on subit une des pires
humiliations par ta faute. Et tu continues à nous mentir pour sauver tes
fesses. Tu nous dévoiles le nom de celui ou celle qui t'a envoyé ce
texto. C'est qui ta connaissance ou ce sont les policiers qui viennent
te ramasser et te rentrer en prison. Fanny se met à pleurer et s’excuse
envers Nadine et Maryse. Arrête de pleurnicher comme une gamine et
parle. On peut demander au directeur qui nous attend en bas d’appeler
les policiers si tu ne veux pas parler. Fanny me demande de ne pas
l’appeler et nous donne le nom de sa connaissance, c'est Natacha qu'elle
se nomme.
Je me revire vers Claude et on se regarde tous les deux.
Claude, réplique pas la fameuse Natacha Faucher qui travaillait ici
l’année dernière. Fanny nous répond que oui, elle lui avait déjà parlé
qu’elle avait travaillé à la sécurité ici, il y a environ un an.
Claude –
Judith et Ashley, vous deux, vous retournez à votre cours et
sans parler de ce qui s'est passé ici. C'est un ordre et si on a besoin
de vous plus tard on va vous chercher. Elles me répondent qu’elles sont
toujours disponibles et embrasse Nadine et Maryse avant de repartir et
je vois Laurie raccrocher le téléphone, je ne sais pas pourquoi. Laurie
nous avait mise sur écoute, car elle a parlé à une personne avant de
fermer le téléphone. Maintenant, nous cinq, c'est dans la salle de
réunion qu’on descend, à l’intérieur de la salle, M Lepetit, le
directeur de la discipline, le directeur de l’institut et M Ponge nous
attendent. Le directeur est dans son bureau en communication
téléphonique.
M Lepetit
–
Salut les filles, on vous attendait, nous sommes au courant de
toute l’histoire, félicitation Claude et Laurie d’avoir tout éclaircie
cette histoire. J'ai les meilleures assistantes de cette ville. Laurie,
c'est une très bonne idée que tu a eu de nous avoir mis sur
l’interphone, ont à tout entendu votre conversation et tout est
enregistré et pendant que vous descendiez ici, on a pris une décision à
trois.
Fanny toi tu nous rends l’uniforme de l’institut ici
même, ce n'est pas discutable. Le comité de l'institut rendra sa
décision en fin d’après-midi. Et Mlle, votre cas est pas mal lourd, ne
discute pas, tu enlèves tes vêtements et les plient, et tu les poses sur
la table en face de toi. Fanny n’ayant pas le choix, enlève sa veste,
son chemisier, sa jupe aussi en les plient tous. Fanny a obéi et est
maintenant vêtue que son soutien-gorge blanc, un string noir, ses bas
et ses talons haut comme chaussure. Elle se croise les bras, et nous
regarde toute gêner, c'est à son tour d'être humiliée. M lepetit regarde
Fanny et lui dit, dans ton livre de règlement que tu as reçu à
l’inscription il y a un règlement qui interdit de porter ce genre de
sous-vêtement pour les filles ici dans l’institut. La raison est bien
simple. Vous les filles quand vous montez des marches avec vos jupes
assez courtes, les personnes qui suivent plus bas, vous voient le cul et
ça provoque des situations et des commentaires très désagréables, je
m’aperçois que plusieurs d’entre vous s’en foutent et en font qu’à leur
tête.
Le directeur –
Mlle Fanny vue que vous ne portez pas le sous
vêtement réglementaire je vous le confisque vous l’enlever et le poser avec le
reste. Fanny, refuse, elle se sent regarder par tous et nous dit qu’elle est dans
sa mauvaise période du mois.
Laurie –
Encore un de tes maudits mensonge, écoute quand on est menstruée nous
les filles ce n’est pas avec un string aussi petit qu’on se protège.
Pose tes fesses sur le coin de la table et écarte les jambes. Moi, je
vais vérifier si ta chatte est correcte, tu nous as assez menti, c'est
fini, bouge et viens t’asseoir ici M Lepetit et le directeur ainsi que
Claude, Nadine et Maryse ont figé en m’entendant ordonner à Fanny de
s’asseoir sur le coin de la table.
Fanny –
La première des choses Laurie tu n’es pas
en droit de me fouiller ainsi, c'est de la compétence médicale et tu n’es pas
infirmière, je crois.
Laurie –
À,
c'est ton opinons à titre d'information je
suis ici comme l'assistante de Claude et M Lepetit et ma tâche est de m'occuper de là
sécurité et
la discipline et à ce que je sache je n'ai pas encore changé de sexe.
Je suis une fille donc j’ai les
mêmes problèmes que toi a chaque mois et je suis capable de juger si toi
tu es
dans ta mauvaise période du mois pour tes règles ou non pas besoin d’un cours
d’infirmière pour
ça, je lui frappe les fesses avec plusieurs claques et lui dis-tu
enlèves ton
string et tu t’assois sur le coin de la table en écartant tes jambes ou je peux changer de
méthode ma patience a des limites et elles sont atteintes, ou tu bouges tes fesses et tu t'assois ici
ou c’est avec le paddle que je vais te faire bouger.
Fanny
enlève son string et refuse que je lui regarde sa chatte. Je lui dis
encore un
mensonge de sa part je passe en arrière d’elle et lui dégrafe son
soutien-gorge
et lui baisse les bretelles ses mains se positionne sur ses seins
par-dessus ses bonnets et sans rien dire je luis frappes encore le cul
cette fois ci plus
fort et sans arrêt ce qui la fait crier et elle me demande d’arrêter ça fait mal.
Nadine
et Maryse son juste au côté de moi et regarde Fanny se plaindre que ses
fesses
lui font mal
Mme Lepetit
–
Fanny
obéie à Laurie et Donne-lui le reste, y compris tes chaussures à talon haut et
tes bas, Nadine et Maryse vous deux dans le bureau de l’autre côté et
rhabillez-vous avec votre uniforme et
revenez-nous voire le temps passe vite.
Le directeur
–
Moi
je dois vous quitter j’ai une petite annonce à faire pour ce midi pour
un petit changement a l’horaire des étudiants sur l’interphone de l’institut je
reviens ensuite pour m’occuper de Fanny avec vous trois.
Claude –
Laurie tu m’épates à tous les jours j’adore
travailler avec toi moi je n’aurai jamais osé aller voir dans ses parties
intimes pour vérifier son état toi tu aurais osé fouiller pour vérifier. Bien
sûre me répond Laurie et elle descend sa main entre les jambes de Fanny et
avec deux doigts lui touche la vulve Fanny lui dit d’enlever sa main et recule,
de manière que Laurie lui lâche la chatte et je voie qu’elle se retient pour ne pas lui
remettre une autre série de claques sur ses grosses fesses. Le directeur et M
Lepetit reviennent avec Nadine et Maryse qui remis leur uniforme et sont enfin habillées normal, M Lepetit lui dit a Fanny ce qui l’attend ce midi je
vais te le dire tout de suite a 11 h 45 toi
moi et Claude on se rend dans la cour extérieure sur l’estrade dans la cour
tous les étudiants ont été invités pour assister à ta punition. Fanny commence
à paniquer et veut sortir de la salle mais moi et Laurie la retienne par les
bras le directeur continu a lui
expliquer que sur la scène devant toutes les personnes présentes elle recevra
trente coups de fouet pour avoir rentré de la drogue dans cet établissement
et par la suite pour cette après-midi les cours à la piscine sont suspendus pour elle
et à la place, c'est ou gym qu’elle va passer une partie de l’après-midi mains
sur la tête au milieu des étudiants a exposé les marques reçues sur ses fesses
par le fouet.
Le directeur
Nadine,
Maryse vous deux si vous ne voulez
pas assister à la punition libre à vous d’aller manger pendant que là
cafétéria sera pratiquement vide, nous il faut que nous dehors dans là
cour pour s’occuper de là
punition de Fanny il est l’heure. Fanny est en larme elle pleure ne veux
pas
suivre Claude et Laurie son presque obliger de la traîner moi j’apporte
le
fouet et les suit jusqu’à la porte arrière dans le petit entrepôt à
l’arrière
des cuisines et je demande à Claude d’attendre mon signal pour la faire
sortir
et mains sur la tête et surtout ne ménagez pas ses fesses toi ou Laurie
si elle ne coopère
pas moi je vais retrouver M Lepetit qui est au bas de l’estrade.
Sur
l’estrade je m’adresse aux étudiants en leur disant, je suppose que vous
devez
tous savoirs que ce matin il a eu deux filles qui ont été sévèrement
punis
et injustement en plus et misent à nues dans leur classe devant leurs
camarades pour avoir supposé rentré de la drogue ici et auraient
probablement reçu le fouet ici
même sur cette estrade ce midi, mais maintenant leurs punitions sont
suspendu et ce midi, c'est la vraie coupable la responsable de la rentrée de
cette drogue que l’on se prépare à punir et une chance que cette responsable a
été intercepté à temps, je demande à Mlle Letarte de nous amener
cette coupable sur l’estrade pour sa
punition
Nadine –
J’assiste avec Maryse et avec les autres à
la punition de Fanny qui sort, dehors les mains sur la tête complètement nue suivie
de Claude et Laurie les trois montent les quelques marches pour se rendre en
haut on voit les yeux rougis de Fanny et ses fesses aussi sûrement que pour
la faire sortir Claude ou Laurie qui lui ont tapé le cul
le directeur –
Pour
ceux qui étaient ici l’an passé vous devez vous souvenir de Mademoiselle
Lawson Sandra Lawson qui ici même sur cette estrade un midi a reçu une punition
exemplaire de trente coups de fouet pour son graffiti quelle avait fait et
déshonoré l’institut, aujourd’hui pour avoir rentré de la drogue ici et enfreint
le règlement et l’honneur de notre institut, c'est trente coups que
Fanny recevra elle aussi.
M Lepetit ordonne que l'on installe Fanny en position sur le chevalet.
Claude rapproche Fanny jusqu’à ce que ses cuisses touche le chevalet dos a l’assistance et fait
pencher Fanny par l’avant M Lepetit attache les poignets à chaque patte du
chevalet et Claude les chevilles de Fanny. Dos au monde et les jambes écartés
Fanny nous fait, voire malgré elle son intimité, on distingue très bien sa vulve ses
lèvres. Le directeur arrive en arrière de Fanny et mesure sa distance avec le
fouet et les fesses de Fanny et commence à lui frapper les fesses Fanny crie on
entend les coups résonner entre les murs et les cris de lamentation de Fanny,
chaque coup qui frappe ses fesses laisse une marque très rouge sur sa peau les
derniers coups ont même fait saigner sa
peau on distingue quelques gouttes de sang qui coules sur ses fesses quand le
directeur arrête il regarde le postérieur de Fanny et nous dit que la prochaine
fois que quelqu’un a l’idée de rentrée quoi que ce soit d’interdit ici c’est la
même punition qui l’attend Claude et M Lepetit détache Fanny et l’aide a
marcher pour qu'elle puisse rentrée à l’intérieur.
Maryse –
Après la punition nous sommes
rentrées ensemble Nadine et moi dans là
file d’étudiants qui se dirigent à l’intérieur dans notre section parce que
tous les étudiants la 1 2 e
année et nous les 3e étaient présent dehors pour assister à la
punition en se rendant a la cafétéria et
en se suivant un en arrière de l’autre dans le corridor des gars de notre
classe-nous disent hé les filles, mettez-vous à poil ce matin vous étiez
beaucoup plus belles à poil et
je sens
une main sous ma jupe qui me prend une fesse je me vire et donne une
gifle au
gars qui m’a mis la main au cul un prof ma vue faire et me saisit par un
bras
et me demande de m’excuser sinon c’est le surveillant qui va s’occuper
de moi. Je lui dis pas question, c'est cette imbécile qui m’a mis la main
au cul sous ma
jupe. C’est moi qui se ramasse au bureau de Claude pour passer à la
discipline
quand Claude arrive la prof explique ce que j’ai fait et moi aussi je
donne ma version et
Claude renvoie la prof et me dit de
faire attention avec les gifles et que pour aujourd’hui je m'en tire et d’allée rejoindre Nadine
pour manger qu’elle ne veut plus nous revoir dans son bureau
En mangent nous avons parlé de Fanny et des coups de fouet beaucoup autour de nous disait
Fanny doit sûrement pas être capable de s’asseoir les fesses doivent lui brûler
avec la puissance que le directeur frappait les fesses avec le fouet et les cries
qu’elle lâchait ça devait être extrêmement douloureux
Un peu plus tard durant notre repas je dis à Nadine que je suis obligé
de me trouver du travail que je ne suis plus capable de payer mon loyer avec ma
coloc que tu connais, ma mère a de
la misère à arriver et l’argent se fait rare et les emploie aussi en ville
Nadine –
Maryse, c'est qui ta coloc que je
suis supposé connaître j’ai aucune
idée de qui il s’agit, elle me dit oui tu l’as vue ce matin, c'est Judith ma
coloc et elle aussi sa mère lui as demandé de se trouver du travail si elle
veut bien arriver avec le logement plutôt notre supposé logement.
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