vendredi 9 octobre 2020

Professeur et étudiants punis pour tricherie 2 La suite Journée infernal pour 4 étudiants et une prof

 

  

    Laurie-

   Je suis une des deux assistantes pour la sécurité es la discipline de l’institut ST- Thomas. Ce matin, le directeur a fait venir quatre étudiants dans son bureau qui sont accusé de tricherie et d'agression envers une étudiante, et il m’a chargé de surveiller les étudiants dans la salle de conférence. Il a fait venir les parents des quatre étudiants pour s'expliquer avec eux. Présentement, il est avec eux dans son bureau pour leur expliquer en détail la gravité de l’agression qu’ils ont fait sur une de leur camarade samedi. D’avoir triché à deux tests de contrôle hier avec la complicité de deux professeurs, tous les six seront punis très sévèrement.

   Les explications terminées tout ce monde ce transfert ici dans la salle avec nous cinq qui étions en attente ici. Les deux profs, elles, elles restent en attente dans une autre salle. Les quatre étudiants, le directeur les fait installer au fond, debout face à la salle, en position de puni, bras croisé dans le dos comme l’avait exigé M Lepetit mon patron.

   M. le directeur demande à tous les parents de s'installer d’un côté de la salle face à nous, le personnel de L’institut. M Lepetit mon patron, Claude ma collègue, M Ponge le directeur de l’entretien et président du comité de discipline avec son assistante Ginette qui arrivent. Ils s'installent à l'autre bout de la grande table de conférence. Tant qu’au directeur, lui, il reste au centre, debout juste en avant des étudiants, en punition. Il remonte quatre boîtes qui sont sous les tables au sol pour les poser sur là table devant eux et ces boîtes sont identifiées à chacun des punis.

   M le directeur commence par parler aux quatre étudiants en leur demande s’ils savent pourquoi, on les a fait venir ici ce matin et leurs parents aussi sont ici. Aucun n’ose répondre et c’est le directeur qui leur explique le pourquoi et ensuite demande comment et pourquoi ils ont agressé et puni leur camarade samedi et avec quoi. Personne des quatre étudiants ne répond encore une fois. Le directeur perd patience et s’approche de Vicki qui est à sa droite et repose la question en tapant sur les fesses de Vicky par-dessus sa jupe. Vicky essaie de répondre en marmonnant quelques mots qui ressemblaient à, on lui a claqué le cul avec une ceinture pour la lui faire comprendre de ce la fermer sur ce qu’elle avait entendue et vue.
Et comment de coup ? Demande le directeur.
Elle a reçu 50 coups, répond Vicky.
Et avec quoi était donné ces coups ? Lui redemande-t-il.
Vicky répond une ceinture de cuir.
 
Très bien, répondit le directeur, et maintenant sais-tu ce qui arrive à des tricheurs ou tricheuses ?
Comment sont-ils punis ici ?
Vicky répond en recevant une punition sur le cul M.

   Très bien répondue ma belle et pour commencer votre punition, vous perdez le droit de porter notre uniforme que l’institut vous fournit. Je vous les confisque, vous les enlevez tout de suite, les plier et les déposer dans les boites identifier à vos noms en face de vous. C’est un ordre, vous n’avez aucun autre choix, vous êtes en punition pour les sept prochain jours et priver de sorti. Ça veut dire que même le soir vous rester ici, personne de vous quatre ne rentre à la maison pour la soirée et la nuit.

  Vous allez vivre ici jusqu’à mardi prochain inclusivement. Même pour les coucher, vous aurez chacun votre dortoir au sous-sol. Je me suis bien fait comprendre, j'espère. Pour ce matin, c'est 25 coups d'une de ses deux tawses qui sont ici devant vous sur la table que vous recevrez ici dans cette salle. Ça remplacera la ceinture que vous, vous avez utilisée samedi pour rougir les fesses de votre amie. Les étudiants commencent à enlever leur uniforme tranquillement et le directeur rajoutent. Pour le moment, vous gardez le privilège de garder vos sous-vêtements. J’ai bien dit pour le moment parce qu'à partir de 11 h 15 nous allons nous déplacer à l’auditorium. J'ai convoqué tous vos camarades et employés. Ils ont tous rendez-vous là-bas. Sur la scène, devant les gens qui seront présents dans la salle, vous devrez expliquer pourquoi vous êtes tous en punition. Et après vos explications, on passera à l'autre partie de votre punition, la plus humiliante.

   Le directeur me demande d’aller chercher les deux professeures qui sont en attente dans la salle des profs et de les ramener ici. Je me lève et part dans l’autre salle les cherchées Mlle Garcia, Maria la prof de langue étrangère et Mme Solange la prof de science qui sont en attentent dans la salle des profs. Quand j'entre, je les vois assises chacune dans leur coin. Elles me semblent extrêmement nerveuses. Je leur demande de me suivre. On rentre tous les trois à l’intérieur de la salle où se trouve les autres. Les deux profs aperçoivent les quatre étudiants Gino, Fabien, Vicky et Clara qui sont seulement vêtus que de leurs sous-vêtements. Les deux gars sont déjà courbés sur la table en face eux. Ils sont appuyés sur leurs mains et leurs avants bras et prêts pour recevoir les premiers coups. Le directeur invite Mlle Garcia et Mme Solange à s’ajouter au quatre autres au côté de Vicky.

   Mme Solange qui est la dernière de la ranger des punis, rouspète dit au directeur qu’elle ne sait pas pourquoi elle est suspendue de son poste.
Quelle est la raison pour qu’elle soit amenée ici ?
C'est bien clair, lui dit le directeur, vous deux vous avez vendu vos examens à des étudiants. Ceux-ci qui sont à votre gauche.
C’est passible de punition au même titre que les étudiants qui trichent. Aussi, je ne sais pas pour vous, mais ce qui en est de Mlle Garcia, elle a eu des liaisons. Elle a obtenu des faveurs sexuelles avec deux de ces étudiants, en guise de paiement. Les relations amoureuse sensuelle sont strictement interdites entre étudiant et personnelle ici ou prof et étudiants, et en plus deux mineurs. Et maintenant vous deux toujours en parlant ou deux profs. Je vous ordonne de se dévêtir complètement et j’ai bien précisé de tout enlever, robe, sous-vêtement, tout ce que vous portez, précise-t-il, même les bas doivent s’enlever aussi.

  Laurie 

     Je regarde la pauvre Mlle Garcia Maria qui est à l’aube de ses 27 ans et toute petite, 1 m 57 environs et environs 55 kg et des poussières. Moi, je fais 1 m, 61 et elle est un peu plus petite que moi. Mais ce que j'admire chez elle c'est qu'elle est en superforme. Je m’entraîne avec elle à l’occasion et je ne suis pas capable de la suivre. Maria commence doucement à enlever sa robe avec une gêne terrible, elle s’est retourné dos à la salle. C'est tout à fait normal, moi aussi si je serais à sa place et être obligée de me mettre à poil devant tout le monde ici, je réagirais de la même manière. Mme Solange, elle aussi, ses positionnés dos à la salle. Solange, tous ses élèves l’appel Mme Solange, elle, elle a 38 ans. 

   Elle à lune poitrine beaucoup plus volumineuse que Maria et même moi. Je parle de Maria avec ses petits seins, mais moi les miens ne sont pas beaucoup plus gros. Je ne voudrais surtout pas être à leurs places devant tous ces gens ici. Maria qui a quitté sa robe et n’a pas de soutien essaie de cacher le plus possible sa poitrine. Tout dépendant ou on est assis dans la salle, c'est impossible que personne ne voie ses petits seins. Maria porte rarement un soutien-gorge, c'est presque toujours une camisole sport qu'elle porte sauf aujourd'hui. Elle me dit souvent à la blague que ça ne vaut pas la peine, c'est comme si un gars voudrait en porter un. Mais moi, je n’ai pas beaucoup plus de poitrine à cacher qu’elle, mais j’en porte quasiment toujours un soutien. Maria a de tout petits seins, mais très dure-moi, je trouve ça minions. Elle a une superbe chevelure très épaisse noire aux épaules, un corps d’athlète superbe, très belles fesses fermes que j’ai l’occasion de voir de temps en temps quand on est à la douche après l'entraînement. Elle est très pudique, tout comme moi. Je la vois très rarement, ne se circuler nue dans le vestiaire contrairement à d’autres filles qui aiment se promener nues pour qu’on puisse les regarder.

   Maria est toujours dos à nous et n’ose pas enlever sa culotte. M le directeur lui claque les fesses et prend chaque côté de l’élastique de sa culotte et la baisse jusqu’à ses chevilles. Il lui dit là prochaine fois avant de poser un geste stupide comme vous avez fait Maria, vous allez vous souvenir de cette punition humiliante et il rajoute. Maria, tu poses ta culotte est tes bas dans la boite avec ta robe, et pour vous deux aussi, c'est jusqu’à mardi prochain que vous serez en punitions, comme vos étudiants la même punition s’applique.

   Pendant que Mme Solange fini d’enlever ses derniers vêtements et est nue, Maria veut parler. Solange aussi et très belle pour une femme de 38 ans. Elle ne parait pas du tout son âge. Si je ne connaissais pas son âge, je ne lui donnerais pas plus que 31, 32 ans max et peut-être moins. Maria qui est juste à côté de Solange et en pleure dit au directeur. M. j’ai quelque chose à vous dire M. Le directeur se revire et demande que veux-tu rajouter pour essayer de te sauver de l'humiliante punition que tu vas recevoir. Maria déclare que Solange n’a rien à voir dans cette histoire. Je suis désolée pour Solange de l'avoir fait humilier ainsi. 

   C'est moi qui aie photographié son examen et les corrigés avec mon mobile. J'ai fouillé dans sa case jeudi passé et j’ai trouvé les copies, c'est moi seule la coupable. M le directeur commence à changer de ton envers Maria en lui claquant encore une fois les fesses de plusieurs coups et là tourne face à nous et l’oblige à croiser ses bras dans son dos et lui interdit de bouger. Pendant que mes collègues Claude et Ginette, l’assistante de M Ponge a commencé à punir les deux filles Vicky et Clara. Le directeur dit à Mme Solange de remettre sa robe et d’aller finir de s’habiller dans son bureau, mais Solange remet seulement sa robe et sa culotte et reste avec lui.

   On entend les claquements des lanières frapper sur les fesses des deux filles et leurs cris qui doivent s’entendre dans le hall d'entrée. La porte est grande ouverte et c’est vraiment échos s'il y a des personnes qui circulent, ils entendent sûrement le bruit des coups de lanière que chaque fille reçoivent en même temps sur les fesses. Même si ce n'est pas sur les fesses nues, ça résonne beaucoup. Claude et Ginette sont pas mal synchronisées pour donner chaque coup. Les deux se regardent avant de frapper les fesses de chacune des filles. Maintenant rendues au vingtième coup, Clara qui cri et supplie d’arrêter se met à genoux les mains sur ses fesses. Clara supplie demande d’arrêter, elle à trop mal. M le directeur la saisie par un bras, la remet debout et la repositionne. Il lui conseille de ne plus bouger et de tenir sa position jusqu’à la fin pour ses cinq derniers coups.  

   Samedi quand tu t'es amuser à rougir les fesses de ton amie Gina, elle ne pouvait pas se débattre, vous l'aviez attaché, toi tu est chanceuse de ne pas être attacher au centre ici. Je vais te maintenir les bras pour t’empêcher de remuer. En la maintenant fermement immobile, le directeur demande à Claude de lui descendre sa culotte. Claude s’empresse de lui descendre sa culotte comme le directeur la demander même si Clara sert les cuisses pour empêcher que sa culotte descende. Claude réussie quand même à la descendre à ses chevilles et lui enlève. Claude pose la culotte sur la table. Maintenant Claude, tu la mets nue, demande le directeur à Claude. Claude dégrafer son soutien-gorge et lui descendre ses bretelles aux coudes. Claude obéi au ordre et son soutien est à plat sur la table. Clara est nue, elle aussi, devant nous tous. J'aperçois ses petits seins tous mignons, car moi, je suis juste à côté d’elle avec sa mère à ma gauche, ce qui nous donne une bonne vue sur l’action. Clara est une belle châtaine cheveux bouclée aux épaules. Elle est pas mal dans mes grandeurs et de ma taille. Clara a de superbes petites fesses bien rondes, et hanches bien taillé attire plusieurs regards donc le mien.

 

       Ses petits seins ne bougent pas, ne pendent pas du tout tellement qu’ils sont fermes quand ses épaules saute et bouge en pleurnichant et reniflant. M le directeur demande aux deux Claude et Ginette d’en finir, qu’on passe à Mlle Garcia. Toi, Clara, tu resteras dans cette tenue pour accompagner ta prof, et Claude occupe-toi que Clara soit entièrement nue comme sa prof. Qu'elle enlève ses bas aussi comme Maria après en avoir fini avec sa fessée. À deux dans la même tenue, cela devrait être moins humiliant.

  Pendant que Claude et Ginette recommence à claquer les fesses des deux filles, la mère de Clara me parle et me dit que Clara n’a jamais reçu une punition aussi dure à la maison. Quand elle devait punir sa fille, c'était rare qu’elle lui claquait les fesses. Les quelques rares fois que c’est arrivé, c'était pardessus ses vêtements quelques petites claques qui l’insultait bien plus que ça lui faisait malC'est pour ça qu’elle est inscrite ici pour l’éduquer, moi je n'ai jamais eu le courage de lui donner une vraie fessée. Ça me fessait mal au cœur de la voire pleurer. C'est dernière année, Clara était rendue très impolie, même envers moi, sa mère, me disait-elle. C’est incompréhensible et inacceptable ce qu’elle a fait à sa meilleure amie Gina ce week-end. Depuis qu’elles sont toutes petites, qu’elle se connaisse et son ensemble, Gina était pratiquement toujours à la maison avec Clara.

Pendant que la mère de Clara me parle en même temps, les deux fesseuses se synchronisent encore ensemble à chaque coup et le bruit des twases sur les fesses continuent de résonner dans la salle. Vicky, tant qu'à elle, commence à plier les genoux presque à chaque coup, mais revient toujours à sa position. Elle a peur de finir nue comme Clara. Vicky se tient le visage à deux mains pour essayer de contenir la douleur et pour ne pas trop regarder les gens dans la salle.

Au dernier coup, le directeur qui tenait toujours les bras de Clara lâche sa prise. Clara tombe à genoux sur le plancher se frottant les fesses et pleurant comme une petite gamine. Vicky elle toujours debout, a pris appuis sur le mur derrière elle et se tient elle, aussi les fesses à deux mains. Le directeur fait relever Clara et la repositionne face aux gens et fait la même chose avec Vicky. Il se tourne vers Maria qui elle est encore bras croisés dans son dos. Le directeur met ses mains sur chacune des épaules de Maria. Il la retourne pour qu’elle soit dos à nous. On la voit tous de dos et ses jolies fesses toute ronde et ferme attire mon regard. Maria ce tien les jambes bien collées et ses cuisses ne se touchent même pas. Le directeur dit à Maria pour toi Maria, j'ai un petit ajout avant de te donner la même punition qu’on reçut tes étudiants il y a quelques minutes.

  Pour commencer, il demande à Maria d’écarter les jambes et avec ses mains de tenir ses chevilles. Tu es en forme, lui dit-il, tu dois être capable d'atteindre tes chevilles. Maria s’oppose et ne bouge pas, elle sait trop bien ce qu’elle va laisser voir et elle est bien trop pudique pour se plier aux exigences du directeur. Je te le redemande pour une dernière fois, lui dit le directeur. Mais en rajoutant que si elle ne prend pas position, il va lui claque son joli petit derrière jusqu’à ce qu’elle obéisse. Maria n'a aucune réaction, même qu'elle se cache avec ses bras, gêner d'être ainsi exposée. C'est bien Maria, moi je vais te faire bouger. En finissant sa phrase au moment, le directeur commence à lui taper la fesse droite de cinq claque et change sur la gauche pour cinq autres coups. Maria a les fesses ferme très dure, c'est à peine si les doigts du directeur écrase les fesses de Maria quand sa main entre en contact avec ses fesses. Mais cela lui donne pareille, une belle coloration à mesure que ses fesses reçoivent des claques. Maria lâche un cri et demande d’arrêter. Le directeur arrête et lui fait signe de se pencher comme il lui avait demandé. Maria s'exécute, mais sans s’écarter les jambes. Une autre série de claques s'abattent sur les fesses de Maria.

Cette fois-ci les fesses de Maria rougissent encore plus, les coups sont encore plus fort, des traces de doigts restent visible sur sa peau. Maria décide de s’ouvrir les jambes. Le directeur claque son entre cuisse jusqu’à ce qu’il soit satisfait de l’ouverture de ses jambes. Toujours en s'adressant à Maria. Mlle, vous allez arrêter de vous moquer de moi maintenant, lui dit–t’-il est ne bouger plus, sinon c'est je double la punition, ça sera 50 coups. Je pense qu'après vos fesses resterons marquées pour un très long moment. Et surtout que dans à peine deux heures, vous en recevrez encore 25 autres avec les autres. Maria vous allez vous promener les fesses zébrées et bien endolories dans le lycée cette après-midi.

Satisfait de la position et davantage de l’humiliation qui fait subir à sa punie, il continue en demandant à sa collège Solange de lui donner la prochaine punition. Cela sera une vengeance pour vous avoir fait humilier gratuitement. Solange, je te donne la permission de lui appliquer une bonne fessée à la main pour commencer. Maria est très bien positionner pour cette première fessée, ce sera un petit réchauffement pour le petit extra que je lui ai promis. Solange accepte avec plaisir et s’approche des fesses bien offertes pour recevoir la punition avec son intimité bien visible.

Solange commence à frapper avec sa main droite et ne ménage pas les fesses de Maria. Elle claque avec force et très rapidement, comme si elle voulait en donner le plus possible. Maria lâche ses chevilles, se redresse et pose ses mains sur ses fesses et refermant ses jambes en suppliant qu’elle arrête. Le directeur prend Maria par la nuque et l’oblique à reprendre sa position en la forçant à se pencher et à retoucher ses chevilles et lui fait écarter à nouveau ses jambes. Maria, tu n'as pas encore eu la permission de quitter ta position. Solange, elle, se frotte la main qui a fessé. Sa main est aussi rouge que le derrière de Maria.

Solange, je pense qu’il est temps de passer à la deuxième punition, dit le directeur. Il invite Solange à choisir l’une des deux straps qui sont posées sur la table devant elle et de se préparer à donner la seconde punition. Le directeur donne la permission à Maria de se relever et de quitter son humiliante position. Le directeur demande à Maria de se retourner face au mur, dos à nous tous, te de mettre ses mains sur sa tête. On voit ses jolies fesses rondes et rouges, et sa raie profonde. C’est dans cette position debout que tu recevras ta fessée, dit-il.

 Le directeur  reste juste à ses côtés et lui défend de baisser ses mains. Solange lève son bras après avoir eu le signal du directeur et frappe en plein centre des fesses ce qui fait lever Maria sur le bout des pieds et en perd l’équilibre elle se repositionne droite puis le  deuxième suit aussitôt.

   Ça continue 3, 4, 5, 6, 7, 8 au 18ᵉ, Maria plie ses genoux plus capables, elle implore d’arrêter. Après quelque instant à reprendre ses esprits, Maria se repositionne et a de la peine à maintenir ses bras dans les airs, elle se retient de ne pas les descendre sur ses fesses. Je regarde les autres punis et je remarque Gino qui lui adore, voire sa prof nue ça l’excite à tel point qu’il est bandé dans son slip. On remarque une bosse énorme et il essaie de se cacher en enlevant ses bras qui était croisé derrière son dos et plaçant ses mains devant son pénis qui est en érection.

  Sa demi-sœur qui remplace son père et sa sœur ainée qui est absent est assise juste en face de lui à sa droite et elle aussi avait remarqué son bandage et souri de voir son demi-frère avec une érection en public. Le directeur le remarque lui aussi et demande à Gino de remettre ses bras dans son dos et lui demande de se retenir. Ça t’excite tant que ça de voir ton prof et ta camarade nue. Si tu es si excité que ça on peut toujours te faire enlever ton slip et montrer a toutes ses dames ici ton pénis en érection. Ça va peut-être te le faire ramollir, regarde ton compagnon Fabien lui tout est normal dans son slip. Tu as l’air d’un petit gars de 12, 13 ans qui n’a jamais vu une fille nue, et qui pour la première fois découvre que son pénis ne sert pas juste à pisser. Le monde dans la salle ont tous le regard sur le slip de Gino et éclatent de rire sur ce qu’a dit le directeur. Gino reprend aussitôt sa position bras dans le dos et devient la face rouge, presque autant que les fesses de sa prof.


  Solange, vous reprenez où vous avez arrêté, il reste sept coups à donner, qu’on en finisse et toi Maria les mains sur la tête. Solange reprend le dix-neuvième, les autres suivent toujours avec la même force. Quand Solange a terminé la punition, elle remet la strap à sa place sur la table et regarde les fesses de Maria. Pendant que Maria se frotte les fesses, le directeur place quatre chaises à la table devant les étudiants en punition. Il demande aux quatre étudiants de prendre chacune chaise placer en face d'eux. Le dirlo leur donne à chacun une feuille identifiée à leur non et qui contient 100 lignes de chaque côté pour qu’ils copient une phrase 200 fois jusqu’au 11 h à partir de 11:00, leur dit-il on se déplace à l’auditorium pour la suite. Maria toi tu restes debout, mains croisées dans le dos pour que tout le monde te regarde nue jusqu’à 11:00. La demi-sœur de Gino demande si les parents peuvent assister à l’auditorium pour la suite. Mais le directeur les invite à quitter, car le reste de ce qui va se dérouler, c’est privé. Juste aux étudiants et employés d’ici qui ont la permission d'y d’assister aux punitions qui se déroulent ici dans l’institut et pas au public de l’extérieur. Les parents quittent tous la salle avec mes collègues sauf Claude qui reste pour surveiller les punis, le directeur les accompagnent vers la sortie. La demi-sœur de Gino, que je ne connais pas du tout, vient me voir et me dit qu’elle aimerait me parler. Elle me demande si j’aurai du temps, une demi-heure ou moins de libre, pas plus. J'accepte et l’invite dans le bureau au 2ᵉ qui nous est attitré à Claude et moi et j’avertis M Lepetit mon chef et Claude que je suis occupé et que je dois rencontrer Amanda la soeur de Gino.

   


Professeur et étudiants punis pour tricherie


 

 

 Laurie

Ce lundi Matin d’octobre, par un magnifique début de semaine ensoleillé et chaud, Claude, ma collègue et moi sommes concentré à mettre nos dossiers d’étudiants, punis à jour dans notre bureau. Car nous travaillons toutes les deux à la surveillance et la sécurité. On entend toc, toc, c'est une jolie jeune fille. Gina, une gentille fille toute tranquille et très jolie en plus qui n’a jamais reçu de punition depuis ses débuts ici il y a quelques mois. Moi, de mémoire, je ne me rappelle pas de l'avoir rencontrée depuis mes débuts ici.

Rentre ma belle, lui dis-je et que puis-je faire pour t’aider tout vas bien, j’espère pour toi pourquoi tu n’es pas à ton cours, tu es en retard d’environ 10 minutes. Gina, tout mal à l’aise, ne répond pas sur ma question, mais me demande si l’on peut parler en priver juste nous deux. Car elle a quelque chose à me dire de grave sur une prof et des étudiants. Il y a deux de ses amies qui vont tricher aujourd’hui au contrôle de mi-session par l'entremise de leur prof et que pour le retard elle va aller voir l’infirmière pour un billet.
Je l’invite à rentrer et pendant que je referme la porte du bureau derrière elle. Claude lui demande de prendre une chaise et nous conter son histoire de tricherie  sans avoir peur de parler, on est là pour ça vous protégez. Si ça peut te rassurer Laurie et moi, on sera t’écouter et ça restera entre nous.   Gina essaie de poser ses fesses sur la chaise mais cela nous parait très difficile. Elle commence à nous raconter qu'un professeur de l’institut a vendu deux examens et les réponses pour le contrôle de ce matin et cette après-midi a deux élèves de 2ᵉ année contre des faveurs sexuels en fin de semaine.

  Je regarde Claude tout embêter comme moi et lui demande si elle a des preuves de ses accusations contre un membre de l’institut et les étudiants en question.

Oui elle me répond et en rajoute elle affirme même qu’ils l’ont menacé et même agressé sexuellement pour être sûr qu’elle ne parle pas. En lui disant qu’elle fait maintenant partie de la gagne et que si ça tournait mal et qu’ils se font prendre pour la tricherie. Elle aussi sera punie avec eux. En plus, elle nous montre la copie des questions et les corrigés des deux examens. L'examen en langue étrangère de Mlle Garcia qui est sur l’anglais ce matin à 10 heures au 2ᵉ cours de la matinée et l’examen en science de Mme Solange en après-midi.

Je mets mon portable sur le mode enregistrement pour que son témoignage soit enregistré. Et je lui demande de recommencer à zéro pour enregistrer le début et Claude appel M Lepetit notre chef pour qu’il entende lui aussi ce qu’elle a à nous dire.

Laurie

M Lepetit installer Gina continu son histoire de samedi sur le rendez-vous que ses deux amies ou ex-amies Clara et Vicky qui sont étudiantes ici elles aussi. Je me suis donc rendu avec elles sans que je sois au courant de leurs manigances a la résidence de Gino ou M. Fitzgerald son père si vous aimez mieux. Un des deux gars que ses parents étaient absents pour la fin de semaine. Ils nous attendaient avec son ami Fabien Tomas. Ils étaient tous les deux seuls dans la grande résidence au bord de la rivière non loin d’ici, c’est là qu’ils ont proposé à mes deux amis Clara et Vicky d’échanger les copies contre faveur.
     M Lepetit lui demande quelle faveur en général c’est de l’argent qu’ils veulent ils n’ont sûrement pas demandé de vous mettes nues ou leurs faire une fellation pour des copies.

     Oui répond Gina et pour moi il n’était pas question d’embarquer dans leurs affaires, nous dit-elle. Jamais auparavant je m’étais mise nue devant un ou des gars et ça ne m’intéressait surtout pas de le faire devant des gars que je ne connaissais même pas. Mais pour Clara et Vicky elles c’étaient rendues là pour ça avoir les copies et elles étaient prête à tout pour avoir ses copies. Elles ont toutes les deux obéi aux demandes des garçons et se mirent nues dans la salle de séjour, toutes les deux espéraient obtenir les copies. Mais moi qui ne voulais pas embarquer dans leur demande j’étais devenue une menace un témoin gênant pour eux.
 
     C’est alors qu’ils m’ont tous obliger à embarquer dans leur complot en me déshabillant de force les quatre m’ont mise à poil même les bas y ont passé. Les quatre y ont participé Clara et Vicky elles m’ont maîtrisé et coucher sur un sofa dans la pièce en me disant. Tu es venue ici tu vas obéir à ce que l’on te demande pendant que les gars eux se mettaient à poil eux aussi. Les deux gars ont commencé à me faire des attouchements me violer en me rentrant leurs doigts dans mon vagin pendant que Clara me retenait les bras. Vicky elle me gardait les jambes bien ouvertes et disait aux gars de profiter de cette chatte bien offerte et elle me pinçait les seins. Gino et Fabien se sont défoulé en moi et sur moi à tour de rôle. Clara et Vicky ensuite m’ont même obliger à me mettre à genoux face à Gino et Fabien et leur faire des fellations ce qui est dégueulasse. Je n’avais jamais sucé un gars et manipuler un pénis de ma vie et surtout avoir été pénèté non plus. Clara et Vicky m’ont même obliger à pratiquer des actes sur elles comme leur léché leur sexe ou le contraire. Elles aussi mon léché mon sexe et fait autre chose d’aussi dégueulasse sur mon corps Clara et Vicky m’ont parue s’amusés comme de vraies folles mais pas moi.

     Et pour terminer l’après-midi Gino et Fabien m’ont fait monter à l’étage de force en me tenant par les bras pour que je monte au plus vite. Je ne voulais surtout pas monter là-haut nue. La seule chose que je voulais, c'était de me rhabiller et fuir. Clara et Vicky ont suivi, elles aussi nues et derrière en me claquent les fesses, rendu dans une chambre celle de ses parents, je crois les gars mon coucher à plat ventre sur le lit. Pendant que les trois autres me maintenait immobile Gino lui est parti chercher des cordes. Ils m’ont attaché sur le lit à plat ventre les pieds et les mains à chaque extrémité du lit pour m’immobiliser. Les jambes bien écartées ils se sont amusé à me rentrer leurs doigts dans mon intimité mon vagin toutes les quatre à tour de rôle. Ça m’a fait très mal de me faire rentrer les doigts surtout que Gino lui il prenait un pari avec les autres. Il c'est amuser à essayer de se rentrer trois mêmes quatre doigts a la fois et il a jusqu’à essayer sa main au complet. Et quand il s’est enfin équerré de jouer dans mon vagin. Vicky a proposé de me rougir les fesses me donner une bonne fessée celle qu’ils s'étaient promise de me donner plus tôt pour que je n’oublie pas de me taire me laissé un souvenir de ce qui m'attendait si je parlais.

       Ils m’ont donné une fessée magistrale comme je n’ai jamais reçu de ma vie, avec une large ceinture  de cuir sélectionné dans le walk-in du  père a Gino qui avait une grande collection de toutes les largeurs parce que j’entendais Vicky et Gino dire leurs commentaires sur chaque ceinture qu’il regardait. Fabien à proposer que chacun à tour de rôle me donne 12 coups chaque sauf Gino  qui lui gardait le dernier tour et lui laissait le privilège de me donner 14 pour en faire cinquante.

      Elle rajoute ensuite  je ne vous mens pas, j’ai bien reçu ces 50 coups avec cette ceinture et en voici la preuve. Gina se lève de sa chaise et gêner de nous montrer ses fesses surtout devant M Lepetit. Elle remonte sa jupe seulement à la moitié de ses fesses ce qui nous fait voir sa culotte blanche. Elle remonte ensuite un peu sa culotte à partir du haut de sa cuisse gauche pour nous montrer la moitié de sa fesse gauche. C’est là que l’on voie des marques des traces qui sont encore bien visibles deux jours après sur le haut de ses cuisses et de sa fesse a moitié découverte. Effectivement ce sont des traces de ceinture appliquée sur ses fesses la rougeur est très bien visible et les traces de la ceinture aussi sur le côté de sa hanche.  Je demande à Gina si l’on peut  traverser juste nous deux plus tard dans mon bureau pour que je puisse photographier les marques sur ses fesses comme preuve elle dit qu'elle veut bien, mais seulement que nous deux.

      Gina continue en disant que quand là fessée a été terminer, Clara et Vicki l’ont détaché et que Clara lui a parlé. Elle me disait que j'allais m'en remettre que ce n'était que des marques rouges sur mes fesses et demain mes fesses seront redevenues blanches, toute la rougeur auraient disparu. Et de me souvenir que si je parle la prochaine fois, ils vont m'attacher au sous-sol et c'est le fouet qui m'attend. Ils m’ont fait redescendre au premier avec eux, mais eux rendu au premier ils se sont tous rhabillés et les gars pour continuer à m’humilié  encore plus. Ils ont suggéré que je  reste nue pour le reste de la journée jusqu’à leur départ. Clara et Vicky elles ont approuvé l’idée et ils m’ont poussé dehors sur la terrasse au bord de la piscine m’obligeant à rester debout ou à genoux mains sur la tête devant eux. Gino me menaçant avec sa fameuse ceinture qui tenait dans sa main et si je n’obéissais pas il me chaufferait les fesses à nouveau.

       J’ai eu la permission de me rhabiller seulement à 6 h 00 du soir pour retourner chez moi. Même que Gino tenait à ce que je rentre nu chez moi. C’est Clara qui ’a réussi à ravoir seulement mon short et mon t-shirt et elle me les a donnés pour que je me rhabille enfin et que je puisse rentrer. Elle trouvait que ça n’avait aucun sens de me laisser aller nue dans la rue. J’ai dû marcher pied nu presque deux kilomètres avec Vicki qui n’arrêtait pas de me demander si j’avais aimé ma journée et si j'avais encore mal aux fesses. Je me plaignais comme une petite princesse qui se fait taper les fesses pour la première fois de sa vie ou elle me disait que c'aurait valu mieux que je m’en revienne les fesses à l’air pour les faire refroidir et dérougir.

        Quand Vicki nous a laissés Clara et moi pour rentrer chez elle  Clara m’a accompagné jusque chez moi en s’excusant me demandant pardon.

M Lepetit

      Avec ce que tu nous comptes maintenant c’est sûr que ces étudiants-là vont être gravement punis et les professeures aussi  Mlle Garcia et Mme Solange. Dans les conditions d’embauche pour tous les employés. Il est écrit qu'il est strictement interdit d’avoir des liaisons ou relations amoureuses ou sexuelles avec des étudiants et ça fait partie des punitions que s’attende à recevoir les employés s’ils sont pris en défaut.   Mais dit moi Gina à qui d’autre, en as-tu parler parce que c’est criminel et la police peut rentrer ici à tout moment pour arrêter les étudiants et les profs

 Gina-

       M j’en ai parlé à personne samedi en début de soirée quand j’ai réussis à rentrer chez moi ma mère était absente pour la fin de semaine. J’étais seul et j’ai pris une douche je me suis allongé sur mon lit, sur le ventre nue pour apaiser ma douleur. Je me suis endormi pour me réveiller le lendemain dimanche. Durant la journée j’ai réfléchi à ma mauvaise aventure de la veille. Et c'est après ça que  j’ai décidé d’attendre à aujourd’hui pour avoir votre version et ce que vous en pensée de mon cauchemar et pour une certaine vengeance pour qu’ils ne terminent pas en prison ma vengeance sera  beaucoup mieux  à savourer ainsi si c’est vous qui les punissez.

Claude-

      Les professeures impliquées dans cet échange sont-ils seulement les deux Mlle Garcia et Mme Solange parce que nous allons prendre des mesures disciplinaires contre, elles  aussi et elles vont s’en rappelées elles aussi crois-moi.  

  Gina-

      Mlle Claude je ne peux pas dire si ce sont les deux parce que d’après ce qu’on dit Gino et Fabien, c'est vendredi  soir qu’ils ont été rencontrées une des deux profs ou les deux je ne sais pas, mais ils ont passé la soirée et une partie de la nuit ensemble chez Mlle Garcia d’après ce que j’ai entendu

 M Lepetit-

     Merci Gina pour nous prévenir et c’est sûr que les fautifs vont être très sévèrement punis, pour le moment je t’envoie avec Laurie à l’infirmerie pour les photos et pour te faire un billet de retard et rentre à ton cours au plus vite il est 9 h 15. Toi aussi tu as l’examen de contrôle à 10 h avec Mlle Garcia et ne parle pas de ta fin de semaine à personne surtout ne dit pas à Clara et Vicki qu’on c’est parler ce matin ton regard est causé par un problème de santé que l’infirmière à régler, pas plus à ta prof je te promets que demain matin ta vengeance va se réaliser

    Laurie s’occupe de la pauvre Gina et nous deux Claude et moi on commence à discuter de ce cas qui est très sérieux à traiter car ça concerne aussi deux enseignants.

  À suivre….    

 

vendredi 2 octobre 2020

Sévère punition pour Fanny la passeuse de drogue


 

Claude l’assistante a la discipline

         

                 Je suis l’assistante à l’institut ST-Thomas  une institution mixte qui est situé dans une petite ville ou nord de l’Europe d’environ 200 milles habitants qui a une discipline très sévères envers ses étudiants qui sont âgés entre 15 et 19 ans environs. La plus part des parents qui paye ici pour l’éducation de leur enfants ont beaucoup de difficulté avec eux et dans d’autre école du pays leur enfant ou ado plus que enfant ont été mis à la porte  de d’autre école ou pour beaucoup d’autre c’est la justice un juge les  oblige à venir ici pour leur sauvé la prison. Mais ici on a des règlements très strique qui si ils ne sont pas respectés c’est la punition corporel qui les attend et les parents signe à l’inscription un document sur les punitions donnée ici qui fait partie  de l’éducation de l’étudiant.

 

            Aujourd’hui en ce beau Lundi matin  d’octobre deux de nos étudiantes sont soupçonné de trafic de drogue et une troisième est sûrement impliqué et ont doit faire la lumière sur leur cas car des enquêteurs de la police qui sont arrivé ici vendredi tard en après-midi pour fouiller leur casier. Moi et mon assistante Mlle Laprise pour moi c’est Laurie nous sommes du même âge 23 ans et Laurie je dois l’avouer et une très belle fille cheveux brun assez long qui arrive aux milieux du dos très belle poitrine mais un peu petite mais qui est pas mal dans la grosseur de la mienne et de superbe fesses. Donc je reviens à mes deux étudiantes que la direction de L’institut,  on a demandé aux policier de nous laisser s’occuper de leur cas à l’interne et ils connaissent très bien notre institut pour envoyer eux même des ados en brouille avec la justice alors ils ont fait une pause à leur enquête. Enquêteur partis c’est moi qui m’occupe des deux filles Maryse et Nadine et elles sont en punitions elles ont perdu le droit de portée l’uniforme le règlement est très clair sur des punitions aussi grave,  je leur explique la suite de leur punition, elles se sont retrouvé nues dans le bureau et avec chacune bonne fessée a la main et ensuite elles ont dû se rendre dans leur classe nue devant tous leurs camarades pour recevoir une autre punition a la canne cette fois ci qui a laissé de très bonne marques sur leur beau  petit derrière, elles se sont faite humilier en public injustement par la faute d’une menteuse qui  a voulue sauver ses propre fesses et a fait punir deux innocentes filles a sa place mais c’est à son tour maintenait.

  Le directeur de l’institut

                   Quand on a réussi à éclaircir l’histoire c’est Fanny qui c’est retrouver nue au déjeuner pieds et mains attaché à un chevalet  et fouetté de trente coups  dans la cour arrière devant toutes les étudiants de l’institut qui on voulues y assisté. Après avoir reçu ses trente coups j’ai fait détache Fanny du chevalet et nous l’avons fait rentrer Fanny à l’intérieur dans mon bureau.

    Dans mon bureau je dis à  Fanny qui pleurai encore et se frottai le derrière de s’installer à genoux dans le coin mains sur la tête sur le bord de ma porte qui est rester ouverte pour qu’elle soit bien à la vue des passant dans le corridor pendant que j’allais mangé et de ne surtout pas bouger car Mme Ouellet la secrétaire suppléante restait à son bureau et ne la lâcherait pas des yeux et, à mon retour c’est au gym que tu finiras ta journée pour toi ton cour de natation à la piscine est suspendu car c’est un bâtiment municipal de l’autre côté de la rue et public  et la nudité est interdite donc tu dois  rester pour le reste de la journée  ici.

Fanny – mais M le directeur je peux au moins remettre mes sous-vêtements c’est plus descend s’il vous plaît et moins gênant. 

Le directeur –  Ma belle si tu es gêné habitue toi et vite car c’est une grosse partit de la semaine que tu vas te promener les fesses a l’air et en plus tu es privé de sortie ce soir tu couches ici dans une  des petites chambres qui sont au sous-sol réserver spécialement pour les punis te mère est avertie et elle va venir nous voir cette après-midi pour discuter de tes conneries elle va sûrement venir te rendre visite au gym pour voir comment ça se passe ta punition. En attendant reste en position.

     En sortant de mon bureau je donne un papier à Mme Ouellet qui est ma secrétaire Charlaine quand vous aurez fini votre pause poudriez-vous reconduire cette demoiselle à la salle de retenu et lui faire copier 100 fois la phrase qui est écrite sur le papier pour débuter son après-midi si il y a quelqu’un à l’intérieur elle rentre pareille et s’installe dans la salle de retenu et fait ça copie, et de remettre sur la table des profs  le communiqué que je vous ai demandé d’imprimer pour qu’ils puisse tous le lire au sujet de notre punie cette semaine. Mme Ouellet me demande si elle lui procure la nouvelle tenue noir  que souvent les punis porte  avant de la faire sortir de mon bureau. Non Giselle je lui réponds pour Fanny c’est nue quelle restera pour la journée et une bonne parti de la semaine pour elle c’est le stade de punition le plus élevé elle doit servir d’exemple pour tous les étudiants qui ont l’intention de se foutre des règlements.

 

 

Charlaine –

     C’est bien M.  Je  viens justement de terminé mon travail je la transfert avec moi dans l’autre salle  et j’ai mon repas qui m’attend dans le réfrigérateur,  j’avais prévue de manger là dans cette salle. Je dis à l’étudiante qui est à genoux lève-toi, debout devant moi. je la regarde de la tête au pied et lui fait signe de passé devant moi et lui montre la porte pour aller dans la salle de retenu qui communique avec la salle des profs et je la sui tout en regardant son jolie derrière portant les marques de fouet en lui demandant si c’était encore très douloureux car  on peut compter presque toutes les coups  de fouet  que tu as reçu, elle pleurniche plus qu’elle me répond sûrement par l’humiliation et la douleur aussi et je n’ai presque rien comprise de sa réponse, on s’arrête juste à l’entrée de la salle et Fanny me demande si elle peut retourner dans mon bureau pour faire sa copie car on entend plusieurs voie à l’intérieur. M le directeur étant encore au côté de nous lui répond que si elle veut changer de local c’est sur une table dans la salle de la cafétéria qui est pleine qu’il va l’installé.

      Fanny nous dit qu’elle va rentrer ici  et elle rentre sans regarder à l’intérieur prend la direction de l’autre salle  et essaie de s’asseoir tranquillement  sur la première chaise en face d’elle je viens d’avoir ma réponse pour la douleur car son postérieur à l’aire de lui faire très mal et toute les personne présente dans la salle la voie par la porte grande ouverte  elle est morte de honte. Sa prof qui devait l’avoir dans son cours à la piscine de l’après-midi la prend en pitié elle lui apporte un cousin et lui dit je crois que cette après-midi je ne te verrai pas c’est interdis dans l’édifice municipal la nudité et toi  tu n’as pas fini de te promener nue ma belle et ça devais faire parler beaucoup de mâle dans cette établissement qu’en pense tu Charlaine,  je  suis sûre que pour les jours à venir elle va être le point de mire la grande vedette ici et je suis sûre d’une chose qu’elle n’a pas fine d’avoir mal à ses jolie petites fesses, sa prof lui ordonne de se lever et de traversé dans l’autre salle pour que le monde puisse voire les résultats de ta punition tu as traversé trop vite et personne n’a pu contempler ton beau postérieur zébré. Les autres profs demande a Fanny de venir et de faire le tour de la salle pour l’humilier  mais Fanny ne veut pas elle refuse nous dit de lui foutre la paix. C’est alors que sa prof de natation lui prend un bras et l’oblige à se lever sans résister ou elle le regrettera, Fanny n’a pas trop le choix Mme Dugas sa prof qui et superbe moi je la voie à l’occasion dans le vestiaire quand on est à la piscine et je suis jalouse de sa poitrine Mme Dugas Jacqueline de son petit nom a fait lever Fannie de force en la tirant par le bras et Fanny ne la pas aimer elle se plaint que Jacqueline lui fait mal de la lâcher.

 

Jacqueline –

         Ma belle si tu coopère il y en aura pas de problème mais si tu veux faire la forte tête tu  voies sur le bord du tableau ou fond la strap et la palette de bois je vais en chercher une des deux et crois-moi que tu vas le faire ce tour de local et je ne me gênerais pas pour te chauffer tes fesses pour que tu obéisse. Tes fesses n’aurons pas seulement des marques de fouet mais aussi celle de la strap ou de la palette et tu commences toute de suite avec tes mains dans le dos pour qu’on puisse t’admirer. Fanny commence à avancer très doucement et je lui claque une fesse en lui rappelant que la strap n’est pas si loin de nous que si elle ne bouge pas assez vite je lui chauffe les fesses je te laisse faire le tour seul et avance car c’est moi qui va te faire avancer.

    On est 7 prof plus Charlaine  dans la salle moi je m’assoie à ma place et la regarde faire son tour de salle elle a enfin comprise que quand ils sont en punition ça doit obéir à nos ordre, elle revient à son point de départ et me demande si elle peut aller se rasseoir,  ça nous a tous surpris comment elle est devenue obéissante j’ai l’impression que la strap lui a fait peur. On la laisser faire sa copie de punition que M le directeur lui a demandé et en discutant tous ensemble de sa punition et autre chose la fin de notre période de repas et est arrivé le directeur avec Mlle Laprise une des assistantes a la discipline de M Lepetit pour venir chercher Fanny.

 

Le directeur –

        Fanny c’est Mlle Laprise qui s’occupe de te toi cette après-midi pour la continuité de ta punition tu lui obéi elle va te descendre au gym et te montrée comment ça va se dérouler pour toi  le  reste de ta journée moi je vous quitte je dois recevoir ta mère dans quelques instant elle va sûrement aller  voir comment se déroule ta punition et je vais me faire un plaisir de la faire rentrer dans la salle pour la contentée, et signe en bas de ta copie que je t’avais donner à faire comme punition et donne là moi je vais en faire d’autre copies et les affichés sur les babillards qui sont dans les couloirs.

 

 

Laurie - 

             J’entends Fanny sans se lever argumente supplie le directeur mais il ne l’écoute pas moi je lui dis regarde je te prends en pitié je t’ai ramené des sandales de plage pour  ménagé tes pauvres pieds le plancher doit être froid ça va être plus confortable d’avoir ses sandale que de marcher pied nu sur la céramique tu devrais me remercier de me soucier de ton confort.

Fannie - 

       Laurie a la place  t’aurais pu me rapporter des vêtements ça aurait été encore plus chaud et confortable que juste des sandales je l’apprécie quand même ton petit geste c’est toujours mieux que pieds nus, mais donne-moi quelque chose un des sarraus qui est accrochés ou mur  au minimum pour sortir dans le corridor et se rendre au gym s’il te plaît dans la salle au moins ça va être devant des filles ça sera un peu moins gênant quoi que nue en public même si  ça reste  toujours très humiliant. Toi tu ne dois pas savoir ce que c’est l’humiliation d’être nue en public à te réjouir de me voir nue j’en suis sûre. Elle me répond ma belle ce n’est pas à toi de décidé ou juger ce qu’on doit ou pas faire pour  te punir et tu l’a amplement méritée a si l’on compare Nadine et Maude qui ont été injustement et gratuitement punies nues  ce matin par ta faute et tes menteries, tu subie les conséquences des stupidités de tes actes et pour te mettre au courant   l’an dernier moi aussi j’ai été mise à nue et punie en public injustement par une idiote comme toi qui mentait pour sauver ses fesses elle aussi, et crois moi j’ai détesté ca être nue en public ici même dans cette salle et je n’oublierais jamais l’humiliation que ça fait.

Laurie - 

         Fannie qui est toujours assise sur la chaise et essayant toujours de caché ses partie intime le plus possible Je m’empresse de lui demander de se mettre debout et que je n’ai même pas le droit de lui permettre de prendre un vêtement pour se couvrir c’est le comité qui a décidé de ta punition et les conditions et que si je me permet de changer les règle je serais moi aussi punie et ça ne m’intéresse pas suis moi maintenant on descend au gym Jacqueline en passant au côté de nous rajoute Laurie ne l’écoute surtout pas elle a la punition qu’elle mérite et ne la ménage pas.

                En descendant derrière elle au sous-sol ou est situé le gym je lui dit qu’on va passer par le vestiaire des filles pour lui permette d’aller au toilette avant de prendre place dans la salle. Fanny arrête devant la porte et on entend du brui a l’intérieur les filles n’ont pas encore finis de se changer et elle ne veut pas rentrer elle me demande d’attendre que le vestiaire soi vide mais je rouvre la porte et la pousse à l’intérieur ce qui la fait figer de voire que toutes les filles de 1e année se retourner et la regarde.

    Allons ma belle Fannie tu ne vas pas me dire qu’entre fille et toutes plus jeunes que toi de presque 2 ans ça te gêne autant que ça de te montrer on est toutes faite pareille traverse à la salle de bain et fait vite, les étudiantes à l’intérieur du vestiaire la regarde tous et se moquent d’elle en la voyant nue et les fesses bien marquer des coups de fouet de ce midi et morte de honte de se balader ainsi.  

        Je t’attends à l’autre sortie et fait vite le temps passe, je voie Fanny les mains placer sur ses parties pour en cacher le plus possible les fesses et le haut des cuisses encore marquer par le fouet et que toutes les filles regarde aussi quand Fanny passe au travers d’elles. Les étudiantes enfin sorti pour leur période d’éducation physique je voie Fanny sortir de la toilette et je la regarde d’un œil de jalouse, j’adore sa poitrine la grosseur de ses seins ils sont juste d’une bonne grosseur et très ferme se tenant bien droit. J’aimerai que les miens soient dans ses grosseurs là ça me rend un peu jalouse moi qui trouve ma poitrine un peu trop petite, Fanny enfin me rejoint et nous pouvons passer à une autre étape de ta punition en lui disant ces mots je lui pause une main sur ses fesses et lui demande si c’était encore douloureux la fessée quelle a reçu ce midi mais Fannie recule et me dit d’enlever mes mains de là que je n’ai aucun droit de lui toucher.

           Je me ressaisie quelques secondes d’avoir entendue ca et lui réplique  que c’est à moi de décidée quoi faire et toucher qu’elle est en punition et en lui parlent je m’approche d’elle et lui remet ma main entre ses jambes cette fois ci et lui touche sa fente, elle m’enlève la main et me donne une gifle dans le visage ce qui m’a mise dans une colère extrême. En reprenant mes esprit je la prend par  dessous d’un bras et la tire en dehors du vestiaire dans la salle et la traîne devant le bureau de la prof  et lui dit tu vas le regretter ma belle et la prof me demande ce qui se passe, en lui expliquant les faits la prof Mme Damien me demande de l’attendre quelques minutes elle a quelque chose à me donner pour  calmer cette petite effronté, Mme Damien revenue de son loquer elle me donne une raquette de tennis sur table ou ping-pong comme d’autre dise   et me sourit en me disant de la manière que je te connaît je suis sûre que tu vas en faire bonne usage et que Fanny va regretter de t’avoir gifler. Fanny prend panic en voyant la palette et veut entrer dans le bureau  en demandant au prof de lui donner une grande serviette pour se couvrir que ce n’est plus du tout une punition mais c’est à la limite de la torture et de l’esclavage d’obliger une fille a se balader complètement nue et de la menacer de la battre à coup de palette vous êtes des bourreaux c’est tous ce que vous êtes. Mme Damien la trouve effronté et le lui laisse savoir en lui barrant la porte d’entrée de son bureau.

 

 

Mme Damien – 

          Ma petite impolie pour ton information on n’est pas des bourreaux et toi L’établissement tas mise en punition pour les gestes que tu as commise et deux pauvres filles ont été humiliées et punies très durement pour tes menteries et c’est à ton tour d’être punie et tu n’as pas le choix d’obéir sans résister et je vais te montrer a l’instant même qui est en autorité ici. je la prend par un bras et l’oblige a retourné au centre de la salle en la tirant par le bras au beau milieu de toutes les étudiantes je fais  arrêter l’exercice de réchauffement pour dire à toutes les filles que Fanny que tous ont vu ce midi sur la scène extérieur recevoir une punition va ici même devant vous tous en recevoir une autre pour son manque de respect envers ses supérieur

 

Laurie – je suis Mme Damien qui traîne Fanny et lui serre le bras assez fort pour entendre Fanny se plaindre qu’elle lui fait mal et de la lâché toute la salle entend ses lamentations.

La Prof Mme Damien -  Fanny tu prends la position des punis en mettant tes mains sur ta tête devant toutes tes camarades tu vas être bien exposé ainsi et tes mains reste là c’est clair je t’interdis de les enlever sinon tu vas le regretter on va voire qui qui donne des ordres ici, tu te tiens bien droite pendant que je te réchauffe ton jolie derrière.

Laurie -  même si Fanny essaie d’argumenter de la supplier de lui demander pardon Mme Damien ne l’écoute pas et commence à lui claquer les fesses avec la raquette en lui disant de se fermé et elle frappe avec force elle alterne d’une fesse à l’autre  à une cadence très rapide on entend les coups résonner dans la salle qui est silencieuse toute les étudiantes regarde le derrière de Fannie redevenir rouge et la regarde grimacer et surtout ses cris de douleurs qu’on entend.

Mme Damien – J’arrête en voyant ses fesses rendu rouge âcre et que des petites trace de sang veulent apparaître près de trace du fouet de ce midi et je dis a Laurie quelle peu aller faire autre chose pour cette après-midi je m’occupe de mademoiselle elle va adorée son après-midi ici avec les premières années  je te le promets viens la récupérer à la fin du dernier cours.  

Laurie -  Pendant que je regarde Fanny se frotter les fesses et pleurnicher je dis à Mme Damien que je vais retourner voire M Lepetit et Claude et je me dirige vers la porte pour sortir. A L’extérieur je vais faire un tour dans le bureau de garde et les dortoirs isoler pour les punis quand ils sont privée de sortie le soir, j’ai la clef maintenant et à l’ intérieur dans le bureau et la chambre à coucher du surveillant a l’arrière du bureau je voie que Claude a déjà apporter une valise et du vin je vais donc venir coucher ici avec Claude ce soir parce que Fanny est privé de sorti pour la semaine et elle doit venir coucher ici dans un isoloir pour la semaine et ça prend un surveillant. Je traverse du côté des isoloirs il  en a 8 au total mais je voie qu’il y en a qu’un qui a des couvertures, probablement que c’est juste Fanny qui seras ici il n’y a pas d’autre étudiants en punition ce soir je me dirige on fond dans la grande salle qui à l’époque quand c’était un couvent devait servir de place pour punir les pensionnaires avec des vielle photo de jeunes attaché sur des chevalets et que l’on voie se faire fessée a la canne et au fouet ou avec d’autre instrument. tout est presque rester en place après toutes ces années les vieux fouets quelques cannes des palettes qui ressemble étrangement à la raquettes de tennis sur table que la prof a utilisé sur Fannie il y a quelque instant ça me fige de voire toutes ces instrument pour la punition qui ont déjà servie je ne peux m’empêcher de me frotter les fesses en m’imaginent la douleur que ça procure me passant la main sous ma robe au même moment l’assistante de M Ponge Ginette arrive une superbe fille qui est à l’entretien des bâtiments et a 2 ans de plus que moi et elle aussi j’envie sa poitrine. Quand on est dans le vestiaire pour se changer avant nos petites parties de badminton entre fille je la regarde la poitrine a l’air et elle a de beaux siens juste la grosseur que j’aimerai et la fermeté le reste de son corps aussi est superbe, elle me voie la main sous ma jupe et ça me gêne je l’enlève et replace ma robe  car je n’ai pas mis de                sous-vêtement et je ne veux surtout pas qu’elle  voie que j’ai les fesses a l’aire sous ma robe c’est interdit  aux personnelles tout comme aux étudiantes.

Ginette- Allo  Laurie je t’ai vue passer j’étais à l’atelier et  j’ai vu que tu venais préparer la place pour ce soir je suis venu te dire un petit bonjour, et je suis toujours impressionner de venir ici voire ces photos et la pièce aussi en rentrant. Je t’ai vue te frotter les fesses  ça nous fait toujours un peu peur de s’imaginer les effets si s’était nous qui étions à leur place,

Laurie – Oui je m’imagine moi aussi attacher a une de ses chaînes nue et une sœur qui me fouette çà devait être horrible. Ginette me met une main sur mes fesses par-dessus ma robe et tout en parlent me frotte  le derrière et descend jusqu’au rebord de ma robe et la remonte pour essayer de voire en dessous mais je me recule et rabaisse ma robe aussi vite pour me pas qu’elle me touche ou me voie les fesses.

 

 

Ginette –  Depuis quand Laurie  tu aimes plus que je te touche c’est nouveau quoi. Pourtant juste hier dans le vestiaire après notre tennis tu te baladais nue pour aller à la douche et je t’aie flatter tes jolie petite fesses sans que tu ne réagisses, ou c’est peut-être parce que tu n’as pas de sous-vêtement en dessous tu te promènes les fesses a l’aire en dessous ici et tu sais très bien que c’est interdis et tu as punis des filles il-y a pas si longtemps pour ça et ne me ment pas j’ai vu ce matin que tu n’avais rien en dessous quand tu t’aie pencher dans la salle des prof fait attention quand tu te penches ta robe ne cache pas grand-chose elle est à la limite de te cacher les fesses quand tu es debout imagine quand tu as à te pencher. Si le directeur ou M Lepetit venait qu’à savoir cela je crois bien que tu nous donnerais un beau spectacle nue dans la salle des profs en recevant une superbe fessée moi j’aimerais voir ça et en plus tu connais très bien les règlements c’est pareille pour tous les filles étudiantes ou le personnelle de l’institution. La semaine dernière moi et Maria la prof de langue étrangère on montait l’escalier derrière toi et Claude et Maria ma fait remarquer qu’on voyait ta culotte sus ta robe tellement que ta robe était courte si tu n’aurais pas mis de sous-vêtement ce jour-là on t’aurait vue le derrière, les jeunes gars surtout quand ils te suivent dans les marches ils doivent adorer et pour une personne en autorité ce n’est pas un bonne exemple à donner.

 

 Laurie -  je ne veux pas te mentir regarde et en lui disant ça je remonte l’arrière de ma robe pour lui montrer le coté d’une fesses et  qu’elle a raison je suis désolée je retourne dans la chambre ou est la valise et Ginette me suis, dans la valise il y a plusieurs petite culotte et des robes de rechange, j’enlève ma robe devant Ginette ce qui me met nue et essai d’enfiler une culotte et Ginette me met une de ses mains sur un sein et me dit enfin tu me laisses te voir et te toucher j’adore tes petits seins ferme et bien pointu.

      Ginette arrête n’importe qui peut arriver et me voir nu ça provoquerait un scandale laisse-moi me rhabillé au plus vite et il faut que j’aille m’occuper de Fanny qui achève au gymnase et pour ma conduite avec ma tenue sous ma robe  tu as parfaitement raison ce n’est pas trop sérieux de ma part,  je puni des étudiantes qui ose le faire c’est juste moral que je doive respecter les règles et pour la robe tu trouves que celle-ci est encore trop courte.  Oh que non elle dit Ginette t’arrive presque a mi-cuisse et c’est beaucoup mieux pour ici me répond t-elle et rajoute je suis sûre qu’un jour ou l’autre tu vas passer au bureau de M Lepetit ton boss pour tes longueur de robe il nous en  a déjà parlé à M Ponge et moi de tes robes qui sont presque à la limite je crois que plusieurs se sont plain.  Elle aussi a du travail et en partant elle me dit que M le directeur et Claude ma collègue sont  avec deux nouvelle filles qui arrivent  ici pour résider, elles sont envoyées par un ordre de la justice pour quelques années.

 

      OK Ginette a plus tard je vais chercher ma punie et on monte les deux au bureau avant d’aller manger et redescende a son genre d’isoloir pour la nuit, au bureau je voie les deux nouvelle avec des uniforme de cuisine encore plier et neuf et M Lepetit me demande de nous présenter moi et Fanny qui est entièrement nue ce qui fait réagir les deux nouvelles sur sa tenue et qui pause des question a M Lepetit avant même que j’ai eu le temps de me présenter et elles insistent sur sa tenue  et pourquoi est-t ’elle obliger d’être nue. Je laisse M Lepetit et Claude expliquer aux nouvelles toutes les causes et je les laissent finir de  et moi je pars de mon côté avec Fanny pour manger et ensuite je l’installe dans sa petite chambre pour la nuit et je referme la porte qui sépare les isoloirs du bureau et débouche une bouteille de vin en m’installent dans le sofa, Claude viens me rejoindre environs 1h plus tard et traverse dans la chambre disant qu’elle est épuisée et se déshabille garde seulement sa petite culotte et  revient s’asseoir ou côté de moi et commence à déboutonner ma robe de haut en bas pour l’ouvrir ce qui met ma poitrine bien à sa vue puisque je ne porte pas de soutien. 

Claude – alors ma petite rebelle tu sais que tu mérites une bonne punition pour ton non-respect  au code vestimentaire, pour ta punition tu enlèves tout tes vêtement et tu viens t’installer sur mes genoux, mais Claude si il arrive quelqu’un et il nous trouve dans ces tenue là on passe au comité de discipline demain à la première heure et c’est la punition qui nous attend et nos job son en jeux. Au même moment Ginette le bras droit de M Ponge arrive nous voir moi à moitié nue robe grande ouverte et Claude avec seulement son slip j’essaie de remonter ma robe qui était rendu aux hanches et la refermer le plus vite possible mais elle a tout vue surtout Claude qui n’a même pas bouger comme si elle était vêtue normal,

Ginette -  Bonsoir les filles je voulais vous saluer avant de partir et je voie que vous êtes mise à votre aise, Claude m’offre de prendre un verre de vin avec elles et je ne refuse pas puisque je suis seul mon copain est partis pour quelques jours.

 

Claude – Reste avec nous alors on a le sofa ou un autre lit dans la chambre pour dormir cette nuit ça va être moins ennuyant pour toi et nous allons passer une très belle soirée  entre filles.

Ginette -  j’adorerai mais je vais être obligé demain de retourné à mon appart pareille pour me doucher et me changer je vois juste prendre un verre et y aller ensuite. Claude me dit ne t’occupe pas de ça ma valise est pleine de vêtements et sous-vêtements tu as un choix impressionnant au lieu de de casser la tête fait comme nous met toi a l’aise et relaxe toi. Je dois dire que ce ma plaie ta proposition je vous suis et j’enlève ma chemise ma jupe et mon soutien et je m’assoie avec elles.

 

 

Claude  plus tard dans la soirée –

             Les filles belle soirée mais demain à 5h30 c’est debout pas le choix je dois réveiller Fanny pour qu’elle se prépare et la faire monter pour le petit déjeuné vers les 6h30 max donc moi je vais me laver au vestiaire des filles et je me couche ensuite. J’entends Laurie qui elle aussi vient avec moi, c’est bien Laurie je te donne une serviette et un savon et toi Ginette suit tu aussi et elle voie que nous avons enlevé le seul vêtement qui nous restait et me dit quelle vient avec nous mais vous ne vous balader pas à poil j’espère. Oui Ginette et tente l’expérience et je suis sûr que tu vas adorer moi j’adore me rendre nu au vestiaire et on est seul  personne ne peut nous voir.

Ginette – je ne suis pas sûr ce n’est pas mon habitude de me montrer nue dans des lieux public  et ici dans les corridors même à mon appart le soir j’ai toujours un peignoir pas attacher mais je le porte ou au pire juste une culotte mon copain lui ce n’est pas pareil un gars ça n’a pas trop de pudeur il a toujours le zizi a l’air, mais les filles je prends le risque je vous suis à poil moi aussi il me reste la serviette si la gêne me gagne trop. Laurie me fait sortir la première du bureau en me donnant une tape sur les fesses et me sourient tu vas aimer ca j’en suis sûr me dit–elle et elle me suit. En marchant en direction des douches je commence à aimer ca être nu je dis aux filles savez-vous je ne déteste pas ça mais jute entre nous pas plus ce n’est pas moi qui me baladerais en plein jour les corridors plein de monde je serais paralysé je chercherais une place pour me cacher j’ai de la misère a m’imaginer les étudiants en punitions qui sont obliger de circuler nu en public ça doit être terrible conne humiliation.

 Claude –  c’est pour ça que ici à l’institut c’est les punitions qui sont imposer ça fait réfléchir les étudiants rebelle qui n’obéissent pas et en plus de la nudité imposé on rajoute a l’humiliation la fessée en public qui a leur âge est encore plus humiliante se faire rougir les fesses comme des gamins de 7 ou 8 ans devant leurs camarades c’est une punition que la majorité n’oublient pas.

 Laurie – Moi l’an passé j’ai été obligé de me dévêtir devant mes collègues dans la salle des profs à cause d’une menteuse et j’ai reçu des coups de paddle je n’ai pas aimé ça je te le jure c’est très humiliant a 22 ans recevoir une fessée cul nu devant une dizaine de collègues et plusieurs d’entre eux entaient masculins, bon assez parler de punition moi je rentre au douche.

             Les douches finies et revenu dans l’autre partie du vestiaire je voie Ginette sortir du côté du gymnase et je dis ce n’est pas par-là notre bureau elle me répond qu’elle commence a aimé ça se promener à poil et elle va faire un tour dans la salle pour le feeling d’être dans cette salle nu ça me donne le goût d’essayer d’aller faire une promenade ailleurs dans la bâtisse. Fait pas de folie Ginette tu sais très bien que c’est le seule endroit ici qu’il n’y a pas de cameras toute les autres étages et les cages d’escalier sont sur surveillance maintenant on retourne au bureau je ne veux pas qu’on se rende compte de ce que l’on fait ici le soir, alors ça te plaît Ginette d'être à poil, moi et Claude on va t’inviter à notre appart un soir et on va se faire une soirée de filles si ça te plaît autant.

 

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...