vendredi 2 octobre 2020

L’arrivée de deux autres nouvelles au domaine Maryse et Judith




Nadine –
    Je n’ai presque pas dormi de la nuit même que Claude est venue me voir dans ma chambre. Comme toujours et on a discuté ensemble de Maryse et Judith . Si je pensais qu’elles allaient accepter notre style de vie souvent nu a la terrasse de la piscine et comme ce soir avant de se coucher. Claude me rapelle que Sacha et Patricia ne sont pas de la même culture et religion que nous et leurs coutumes aussi sont très différente que les nôtres. Même Maude et Marie de l’autre côté sont fréquemment nues dans la maison maintenant. C'est l'une des choses que j'espérais essayer de les convaincre, lui répondais-je. Claude me dit, as-tu pensée que si tes amies ne l’acceptent pas, ça va aller mal pour elles ici dans le pays. Parle avec sérieusement avec elles avant de les amener ici. Avec leurs réactions, tu verras ce qu’elles en pensent de ça. Claude pour la manière de vivre mes amies le savent déjà on s'en c’était déjà parler. Je n'ai pas encore eu la réponse exacte d'elles. Demain, je les revois, mais cela n'avait pas trop l'air de les déranger.
Au matin redu à l’institut toujours bien en avance avec Maude et Marie, moi j'entre de mon côté et les deux autres du leur . Maryse et Judith aussi sont toujours en avance, elles aussi. Je commence à leur parler avant le début des cours de mon idée et elles me disent qu’elles vont réfléchir à cela aujourd’hui. Elles ne savent pas trop du côté travaille, elle trouve ça bien, mais pour vive dans ma maison avec les règlements et pour les punitions possibles. La manière que l'ont vie autour de la piscine comme je leur avais expliqué aussi pas de maillot. Elles ne savent pas trop, surtout Maryse qui est pas mal pudique, la nudité n'est pas trop dans ses habitudes.
   Maryse –
  
    Je n’aime pas être nu même à l’appartement seul devant Judith. Jamais elle ma vue complètement nue. je tiens beaucoup trop à ma pudeur et je n’ai pas du tout l’habitude de me mettre nu même si je n’ai pas trop de secret avec Judith. On ne se cache pas grand-chose, Judith et moi a par mes parties les plus intimes. Mais Judith, elle, je la vois régulièrement nue. Cela ne la dérange pas trop de se promener nue quand elle sort de la douche. Judith, elle peut être, elle aimerait en faire l’expérience pour voir si elle aura le courage de se mettre nu devant d’autre, mais moi, je ne me sens pas trop prête. La cloche sonne, Maryse et moi nous allons dans le même cours, on dit à Judith, on se revoit plus trad ce midi pour le repas, et on en reparle. Le soir venu et la discussion du repas ensemble a tourné comme je l’espérais pour nous Maryse et moi, la journée a beaucoup mieux été quand Maryse a accepté de venir chez moi avec Judith. Notre journée, c'est beaucoup mieux terminer que celle d’hier quand on avait aperçu Fanny dans les corridors nue et au midi recevoir une autre magistrale fessée nue et attacher dans le milieu de la salle. Je ne voudrais pas changer de place avec elle. C'est elle qui l'a cherché et elle l'a méritée, ce qui lui arrive. Mes fesses me font encore mal et on aperçoit des lignes de la cane en travers de mes fesses 24 h plus tard. 
   Ce midi, dans notre discussion, Judith a réussi à convaincre Maryse de venir voir et connaitre ma maison, passer une soirée et en faire l'expérience. Judith lui a dit, de toute façon toutes les deux, on a plus d'argent de nos parents pour vivre décadent, même nos études sont compromises. Et ce logement-là où l'on demeure est presque insalubre, et le propriétaire me fait peur. Maryse, c'est laisser convaincre que ça ne devrait pas être si pire que ça entre filles, être nue un peu comme au vestiaire. Rendu à la maison avec mes invitées, je m'aperçois que Pierre est le seul arrivé. Il est avant son temps aujourd’hui et il est dans son fauteuil sur la terrasse, dos à nous avec son verre de whisky. Et comme je redoute, je suis sûre qu’il est nu comme il est habitué de le faire à chaque jour qu'il entre chez lui. Je demande aux filles qui sont encore avec moi dans le salon de m’attendre ici avec Maude et Marie avant de les faire avancer pour la présentation. Maude et marie savent très bien ce que je vais vérifier.
Nadine –  
     Arriver à Pierre en lui pour lui dire qu’on avait de la visite à lui présenter. J'espérais qu’il allait se cacher un peu, mettre un short ou autre pour une première rencontre. Mais au lieu d’essayer de se vêtir un peu, se cacher le zizi il se lève nu et va voir mes amies à l'intérieur. Elles se sont retournées, gêné de voir Pierre dans cette tenue et nous aussi, on est toutes mortes de honte que Pierre se présente ainsi. Pierre les salut, les embrasses et leur parle de moi. Il leur demande ce qu’elles pensent de l’idée que Nadine et moi ont eu. Et au premier coup d’œil de la maison. Maryse et Judith ne savent pas quoi dire, se faire accueillir par un homme nu qu'elles ne connaissent même pas, elles sont gênées et moi aussi. Pierre leur demande si elles veulent un verre. Je dis à Pierre qu’avant de prendre quelque chose, nous aimerions plus leur faire visiter le domaine et après, on s’assoira pour prendre quelque chose.
 Claude –
  J'arrive la dernière à ce que je peux constater tous les véhicules sont là. Allo Pierre, les filles sont là. Oui, il me répond avec leurs deux belles amies, elles sont probablement aux deuxièmes à montrer les chambres, tu devrais les voire redescendre bientôt. Je lui dis, les as-tu, accueillies dans cette tenue-là. Tu aurais dû te mettre un short ou au minimum une serviette a la taille, Sacha et Patricia sont restées dans le salon. Je l'ai ai fait patienter pour te, voire en premier, espérant que tu sois présentable. Je ne veux pas qu’elles te voient nu toute suite. Attend plus tard dans la soirée à la piscine. 
   Hier Nadine et moi, on a commencé tranquillement leur éducation sexuelle et plus tard à la piscine, on passera à l’étape masculine. Pour l’instant cache toi le zizi, remet au minimum ton slip que j’ai ramassé, il trainait sur la chaise près de la porte arrière. Il me répond que si elles veulent vivre ici. Il vaut mieux qu’elle sache ce qui les attend et à 15 ans, il commence à être temps qu’elles sachent à quoi ressemble un gars nu. Tu as parfaitement raison Pierre. Mais seulement dans quelques minutes, cela sera une autre étape de leur éducation et pour l’instant moi, je retourne les voire. Mais moi aussi, je reste habillé, fait comme moi Pierre. J'ai hâte de les connaitre mieux, je retourne, voire Sacha et Patricia et leur dit qu’on monte rejoindre les autres au deuxième. Elles vont être contente de vous revoir.
  Judith –
 Allo tout le monde je voie que vous êtes enfin caser vous deux ça me soulage de vous voir enfin en sécurité a place de courir dans les rue et de tomber dans la misère. 
     Nadine –
 Claude pour ce soir  peuvent- elles coucher ici après leur visite du domaine car si je dois les reconduire chez elles c’est plus d’une heure allez retour et nous avons toutes nos livres pour faire nos travaux ce soir ici.

Claude –
    Si sa vous plaie les filles restez mais vous n’avez pas de vêtement de rechange pour demain et en plus Pierre et moi nous voulons vous parler sur les conditions à respecter pour vivre ici avec nous et croyez moi pour les punitions nous sommes  très stricte et sévère si ça fait votre affaire  de vive comme nous vivons vous êtes les bienvenue avec nous mais si vous rester ce soir ce sera ce soir après le repas que nous tiendrons notre discussion tous ensemble à la terrasse pour mettre cela ou point. 
     Judith me répond qu’elles n’ont rien de rechange pour demain. Nous avons tous ce qui vous manque ici ma belle et arrangez-vous entre filles vous êtes pas mal toutes de le même taille il y a des vêtements surement de disponible et nous venons d’arriver les mains pleine de vêtements pour habiller nos deux nouvelles alors je suis sûre que quelque chose peut vous faire dans ces achats, et demain soir prenez le temps d’aller cherchez une bonne partie de vos chose après la journée en route pour venir ici si vous avez prise la décision de venir vous installer ici et le reste ira à samedi pour votre emploie au commerce on ira  faire la visite Vendredi soir, et en redescendent au premier et toujours à l’intérieur de la maison pour se diriger vers la piscine  avec les autres Nadine commence à me dire 


Nadine –
                 Judith est très douer pour la gestion et  Maryse elle est très débrouillarde et habille manuellement en couture elle est capable d’accomplir de petit miracle, et  pour les vêtements de rechange pas de problème moi j’ai des sous-vêtements neuf dans leur emballage dans ma chambre et on est sensiblement de la même taille toutes les cinq Maude et Marie je suis sure qu’elles aussi peuvent les dépanner et ici il y a quatre douches et dans l’autre maison aussi trois autres douches. Moi maintenant je profite de la piscine par cette chaleur étouffante et en leur parlant j’enlève mon uniforme et le reste pour ne mettre nue  Marie fait la même chose et Maude suit Maryse nous dit vous sortez dehors nue et pierre lui dans tout ça vous vous balader devant lui nue Claude répond que oui et elle commence elle aussi a se déshabillée et dit allez les filles si vous voulez rester ici vous suivez laisser votre pudeur de côté on est toutes faite pareille Sacha et Patricia aussi a poil.
Claude –
                A ma grande surprise et celle de Nadine, Marie et Maude je voie Judith enlever son uniforme et ses sous-vêtements ses bas elle les plie et les range sur une chaise dans le solarium qui donne accès à la terrasse elle est nue comme  nous et très belle avec ses cheveux châtain aux épaule beaux  seins qui pointe très droit devant comme ceux de Nadine des hanches et des fesses rondes justes bien proportionner une très belle chatte raser on voie sa fente qui ressort avec sa peau blanche  Nadine elle c’est les marques de sa fessée a la cane d’hier qui paraisse encore très bien Maryse elle j’ai l’impression que ses sous-vêtements son dure à enlever il lui reste que ça sur le dos mais avec un peu d’encouragement de nous tous elle devrais être capable de se dénudé. Je suis resté prêt de Sacha et Patricia pour ne pas les laisser seul dans cette autre étape de leur nouvelle vie et je détache les deux boutons dans le haut du dos de la robe à Sacha qui la tenait fermé   et lui dit enlève ta robe et le reste regarde-moi ce n’est pas plus dure qu’hier soir la seule différence c’est qu’il y a 4 personnes de plus qui sont toute a poil elles aussi  comme moi. Sa me surprend les deux déshabille complètement elles se sont mise  nu sans hésiter et s'approche de Nadine et les autres il reste Maryse qui ne bouge pas trop elle est hésitante je ne sais pas trop pourquoi elle m’examine  de la tête au pied me voyant nue et enlève tranquillement sa jupe.  


Maryse –
      Je n’ai pas trop l’habitude de me montrer demander a Judith on vie ensemble depuis plus d’un an et jamais elle ma vue nue même pas les seins ou les fesses avant hier matin a l'institut mais en prenant une grande respiration je tente ma chance d’essayer d’enlever le reste.
Claude –
     Maryse si ça te donne une chance on va tous te faire dos et sortir te laisser seul à l’intérieur tu sortiras quand tu te sentiras prête nous on t’attend dehors sur la terrasse ou dans la piscine regarde Sacha et Patricia elles n’ont pas hésité pour se dévêtir. Quelque instant après Maryse sort et  avance doucement les mains bien placé pour cacher son intimité elle a les seins plus volumineux que Judith et Nadine mais bien ronds et ils se tiennent très droit les cheveux blond presque châtain aux milieux du dos très belles à regarder elle aussi et  elle aussi elle porte les marques de sa fessée d’hier. Je lui dis-tu voies le pire est fait détend toi ici on est toutes des filles nues sauf Pierre mais dit toi que lui il est habituer de voire des filles nues et lui-même il est nu tu vas t’habituer vite et aimer ça  j’en suis sûre. A la piscine je regarde pierre toujours assis dans son fauteuil qui ne lâche pas des yeux les nouvelles filles qui sont sur le bord de la piscine et se lève debout et vient vers nous le zizi a l'air sans cherché a se cacher. Sacha et Patricia regarde Pierre qui est nu devant elles et elles se retournent toutes les deux vers moi comme si elles étaient gêné de voire un homme nu. Allez les filles c’est une autre découverte dans votre éducation qui selon moi aurait dû s’être fait il y a quelques années déjà mais habituer vous car ici a presque tous les jours vous allez voire Pierre nu
     Nadine regarde les fesses de Maryse en lui frottant et lui montre les siennes et lui demandes si elle a encore mal. La baignade terminer et tous bien séché au soleil Mme faucher viens nous voire sur la terrasse pour connaître les nouvelles filles qui très gêner d’être nues se présente en donnant une bise à Mme Faucher en se cachant la poitrine et le sexe. Mme faucher leur dit mes pauvre filles restez naturel ici c’est à tous les jours que je vais vous voire nus et entrez   je vous ai préparé un excellent repas pour votre première et prenez chacune une serviette pour vous l’enrouler a la taille ou plus haut car je vous répète c’est une question d’hygiène et la tradition est que ici à table personne ne mange nu c’est une tradition  qui tient toujours depuis des décennies et moi j’y tiens.
Nadine –
       Le repas terminer nous les filles pour nous mettre à l’étude et faire nos travaux on va traverser dans le bureau de Claude dans l’autre maison qui nous la gentiment prêter pour nos travaux on sera plus confortable, toujours avec notre serviette pour vêtement Maryse me demande si je reste seulement avec la serviette que je mise sur sa poitrine et qui ne cache pas mes fesses elle est courte. Oui je lui réponds et fait comme moi regarde je la porte à la taille et pour les travaux moi le soir je l’enlève quand je suis dans cette tenue et les jours que je ne me baigne pas souvent c’est en sous-vêtement que je fais mes travaux et Maude aussi se met en tenue plus légère. Elle demande à Marie si elle aussi fait son travail nu et Marie dit qu’elle aussi tout dépendant des soirs.
Claude –
       Sacha, Patricia nous on reste ici dehors je vais vous montrer le jardin et d’autre partie du domaine, Sacha me dit mais on est nu je vais remettre ma robe et je te suis si les voisin nous voie j’aurais honte, non pourquoi on est seule ici les seule voisin son a quelques kilomètres d’ici le toit de maison que tu aperçois là-bas c’est notre propriété et ça fait 15 ans que personne ne vie plus là alors ou tu voies d’autre maison proche. A la place profitez de la nature  toutes les deux et marcher avec moi nu vous allez adorer.  Tous en marchant les trois ensemble et en leur montrant le domaine Patricia me demande à propos d’hier soir quand Nadine m’a fait jouir en jouant sur mon sexe c’était merveilleux  elle avait adoré se faire caresser de cette manière elle n’avait jamais ressenti de pareille sensation et pour elle c’était la toute première fois qu’elle c’était fait toucher par une autre personne dans son intimité, elle rajoute toi  si je te demande de me refaire un autre massage  voudrait tu m’en refaire un s’il te plaît. Ça demande me fait figer je ne sais pas trop quoi   lui réponde j’hésite  réfléchi à sa demande. Ma belle Patricia ce que Nadine t’a fait vivre hier c’est un plaisir de la vie que toi-même tu peux te faire ou entre vous deux Sacha  et toi ou redemande a Nadine,c’est comme on dit un apprentissage de la vie et c’est à toi de l’expérimenter a ta manière moi j’ai treize ans de plus qui toi et suis considéré par la loi ta tutrice ou comme ta mère si tu veux, mais une mère ne caresse pas ses enfants de cette manière-là essaie de demander a Nadine si ça ne te gêne pas trop entre ados c’est mieux et moi ça ne me dérange pas que vous fassiez des caresses entre vous, vous n’êtes pas vraiment de vrais sœur de sang ce n’est pas de l’inceste mais des filles qui s’aiment aux sens légal de la loi comme plusieurs amie le font régulièrement dans la vie de toute les jours. Moi le seul rôle c’est de m’occuper de votre éducation et votre bien être toutes mais pas de te cette manière-là.
Patricia –
         Claude alors pourquoi hier quand tu as commencé a me masser a un moment donner tes doigts se sont glisser sur et dans mon sexe c’est toi qui m’a fait connaître ce plaisir et Nadine à continuer c’est comme si on tombait dans un autre univers il y a plus rien qui existe autour de toi et maintenant tu ne veux plus, et aussi moi j’aimerais essayer la sensation ou l’effet que ça fait de recevoir une fessée se faire taper les fesses moi je n’ai pas connue cela.

Claude –
    En entendant Patricia me demandé de faire l'essaie de fessée, elle s’arrête de marcher et je me tourne vers elle et sans l’avertir je commence à lui frapper les fesses une après l’autre jusqu’à dix coups elle lâche un aile! Ça fait mal ça. Puis se met les mains sur ses fesses pour les frotter et les protéger de peur que je recommence à la frapper, je lui dis c’est toi qui m’a demander de te donner une fessée alors tu as un aperçu de comment ça peut se donner et la douleur que tu ressens sur ton petit derrière mais Patricia me dis
Patricia –
     Ce n’est pas de cette manière-là  que je voulais en faire l’essai c’est d’être couché sur tes genoux comme quand tu à donner une fesses à Nadine hier pour nous en faire un exemple couché sur tes genoux  que je parlais, Claude on est rendus loin de la maison  et nues en plus si il y a du monde ou le garage là-bas ou de l’autre côté de la clôture plus loin on vas se faire voire ça ne te gêne pas toi  de te montrer nue devant des étranger je pense qu’on devrais retourné à la maison.
Claude –
      N’ai pas peur de l’autre côté de la clôture c’est notre vignoble et on est seul ici les employés du vignoble à cette heure-ci sont à l’atelier a l’autre bout loin là-bas et pour ton essaie de la fessée il fallait le préciser si c’est ça que tu voilait sur les genoux  plus tard je vais te le faire essayer et maintenant Sacha vire toi montre-moi tes fesses c’est à ton tour de recevoir une fessée allez tourner toi je veux voire tes fesses, Sacha me fuit reste face à moi les deux mains sur son postérieur pour se protéger je lui dis c’est bien je m’aperçois que tu ne veux pas en recevoir et Patricia dit à Sacha tu devrais en faire l’essai ça fait vraiment mal.
     Les filles  le hangar que Patricia voie et a peur qu’il y ait du monde sur notre droite on fond du chemin c’est un autre endroit que mon père nous amenait Pierre et moi pour nous punir quand il était furieux contre nous, dans ce hangar j’ai reçu plusieurs punitions au fouet ou le strap et Pierre aussi, je m’en souviens très bien de chacune d’elles ça te reste marquer dans ta mémoire pour très longtemps quand tu reçois la strap. 
Sacha –
  Dans cette bâtisse là il vous punissait et pourquoi ici loin de tout dans votre maison ce n’était pas assez  et pourquoi tu nous dit plusieurs ça veut dire que ton père t’a donner plusieurs punition ici sans compter les autres à la maison ces sûrement humiliant de recevoir une punition dans un hangar et dehors.
Claude –
   Rentré a l’intérieur les filles je vous montre tout, Je vous le dit ça fait  26 ans que mes parents naturel sont morts et je vie ici adopter par mon oncle qui est le père de Pierre et ici dans ce hangar où l’on rentre j’ai reçus 13 magistral punition et je me rappelle de chacune d’entre elles, ici au centre si vous regardez la poutre en haut vous voyez des cordes, quand le tracteur n’était pas ici à l’intérieur  mon père s’en servais quelques fois pour nous attacher par les poignets et il étirait la cordes et les attachaient au crochets à la poutre ici jusqu’à ce que nos bras soit tendus presque ou maximum  ce que nous obligeait à rester debout nu et avec son instrument soi une des straps qui sont accrocher là au mur au les autres au côté des straps. Il nous donnait des fois 20, ou 30 coups même j’ai reçu une punitions un jours j’avais 19 ans à 35 coup de la grosse strap j’ai eu mal à m’asseoir pendant 4 jours et la rougeur sur ma peau est rester presque 4 jours aussi j’étais morte de honte dans les vestiaires le lendemain matin parce que malheureusement ce matin-là j’étais à la piscine et  pour me changer mettre mon maillot j’avais pas trop le choix de me mettre les fesses à l’aire les autres étudiantes l’on remarquer que j’avais des marques et surtout la couleur de mes fesses et elles m’ont questionner sur la couleur de mes fesses et si j’avais encore mal elles savait bien que c’était à la maison que j’avais été punis et non à l’institut.
 Mais avant qu’on soit rendus ici pour subir notre punition ça commençait à la maison il y avait toujours une première partit de cette punition qui était de s’être ni nu et avoir reçu une fessée a la main sur les genoux et mon père qui avait de très grosse main ça faisait très mal recevoir une fessée de ses mains, quand  mon père jugeait que nos fesses était suffisamment rougies il arrêtait la fessée et il nous relevait debout en disant Claude tu vas au hangar et je veux que tu m’attende à genoux main sur la tête pour le reste de ta punition donc je me rendais ici nue en pleurant et me frottant les fesses pour soulager le plus possible  la douleur et rendu ici
J’ouvrais les grosses portes à l’avant qu’on vient d’ouvrir  parce qu’il exigeait que les grande portes sois toutes grande ouverte pour que si des employer du vignoble passe il voie ce qui ce passe à l’intérieur et je me mettais à genoux et attendais son arriver.
 Patricia –
     Mais ton père il était très dur 20 coups ou plus de cet épaisse strap de cuir sur les fesses ça doit sûrement faire mal et tu nous dis que ça commençais à la maison il fallait que tu te mettre nue et pour monter ici aussi mais il y avait des jours ou vous ne deviez pas être seul dans votre maison il devait y avoir de la visite a l’occasion sûrement, et la palette de bois ici à la grosseur qu’elle a j’espère qu’il ne s’en servait pas.  Tu t’es sûrement  trompé en disant que c’est à 19 ans ta dernière punition ça me parais un peu vieux  pour la fessée. Moi juste pour savoir ce que ça fait recevoir la strap sur les fesses j’aimerais essayer juste quelques petits coups 3 ou 4 pas plus avec la plus petite cette grosse-là me fait peur.


Claude –
    Je regarde Sacha qui elle se protège les fesses avec ses main en entendant les histoires de mes punitions et voyant le strap que Patricia tien dans ses mains et je dit à Patricia tu es sûre que tu aimerais ça essayer de recevoir des coups de strap. C’est bien alors Patricia si toi tu es prête à en faire l’essai place toit ici au centre en plus fesse a l’aire tu es déjà toute prête et donne-moi la petite strap  je vais te faire pencher par l’avant et mettre tes mains sur tes genoux. Maintenant pour prendre la position la plus utiliser tu écartes les jambes pour tenir un certain équilibre car les jambes collé ensemble c’est plus dure de rester stable quand tu reçois un coup sur les fesses  c’est une position très souvent utiliser pour punir.
        En position Patricia ce rend conte très vite que les jambes écartée elle laisse voire son intimité et me le laisse savoir, c’est justement pour cela que plusieurs punis sont obligés de prendre cette position c’est l’humiliation aussi qui s’ajoute a la punition a l’institut c’est une des positions souvent adopter pour punir mais ici présentement on est juste entre nous personne d’autre peut voir. Bon Sacha tu es prête toi aussi nu il te reste juste à prendre la même position au côté de Patricia, je ne croyais pas qu’elle allait s’installer mais elle est prête et me dit pas trop fort s’il te plaît les coups, c’est bien je ne frapperais pas trop fort et c’est 5 coups et comme dans une vraie punition je vous dit que si les mains quitte les genoux pour aller toucher vos fesses et les protéger j’en rajoute 2 autres c’est bien compris. Je commence par toi Patricia et ne quitte pas ta position, je donne le premier sur ses fesses et Patricia lâche un petit cri mais ne bouge pas le deuxième et un troisième ça vas toujours la position se maintient toujours le quatrième est plus difficile à prendre les mains quitte les genoux et je lui dit si tu mets tes mains sur tes fesses c’est 2 autres que je te donne de plus elle me dit que ça fait mal et reprend sa position enfin le dernier et elle se redresse pour frotter son derrière, je lui dit Patricia tant que je ne te le dis pas tu restes dans ta position  et en reprenant sa position pencher par en avant je passe ma main entre ses jambes et entre un doigt dans sa fente qui commence à être très humide ça la gêne et cherche a resserrer les cuisses et je lui dit ma belle je me rend compte que ça te plaît recevoir la fessée ta chatte est bien humide.
        Au tour a Sacha  je demande a Sacha si elle est prête mais elle a entendu ce que je viens de dire à Patricia et se redresse  regardant Patricia et surtout essayant de voir son postérieur et sa fente. Elle aussi trouve la position très humiliante et  reprend sa position et dit un petit oui très faible, j’ajuste ma distance entre elle en et moi en tenant la strap accoté sur ses fesses je relève mon bras et rabat la strap sur ses fesses mais pas fort juste pour qu’une petite couleur rose pâle commence à apparaître elle ne bouge pas du tout je continue les deux autres suive assez rapidement j’en profite elle se retient et ne bouge pas Patricia elle s’est positionner en arrière comme spectatrice et regarde comment ça peut être humiliant de montrer  ses parties intime  au quatrième elle essaie de remonter ses mains en disant ça fait mal et reprend sa position sans se rendre compte que Patricia elle regarde sa fente bien a lu vue je lui donne le dernier coup elle se redresse je lui frotte ses fesses pour la réconforter et lui dit que moi quand mon père me frappait avec cette petite strap mince et pas large a cinq coup j’avais les fesses zébré presque comme avec le fouet tellement qu’il frappait fort et les traces restait presque 24 heures.
Patricia –
     Sais-tu que penché comme ça si tu recevais ta punition devant d’autre personnes comme tu nous as dit que toi tu en as reçu c’est très humiliant tu montres tout, et ça  là-bas ça servais sûrement il y en a un est recouvert de cuir et a des corde aux pattes et l’autre c’est comme une petite table avec des ceintures qui pende.
    Claude –
       Oui mon père s’en servait et à L’institut aussi ils en ont aussi et quand les punitions sont donner plus sévèrement ou juger plus graves il s’en serve sa s’appelle  un chevalet, je déplace le petit chevalet au centre et dit Sacha viens ici me voir et colle toi les cuisses sur le dessus du chevalet en passant tes pieds de chaque coté des pattes, bien Sacha maintenant  penche toi par-dessus la barre et saisie chaque pattes avec tes mains.
      Sacha se penche et saisie les pattes, maintenant écarte bien tes jambes pour que tes pieds soit bien collé aux pattes et ne bouge plus reste dans cette position pas très confortable quelques secondes. Ta fente est maintenant bien exposée et pas Juste elle ton petit trou aussi on le voie Sacha referme immédiatement ses jambe et se redresse gêner humilier.  Très souvent le puni ou la punie qui est installer sur le chevalet dans cette position a les mains  et chevilles attacher pour être sûr qu’il ne bouge pas car c’est des punition très sévères qui se donne sur le chevalet  plusieurs coups de fouets ou la canne ou strap aussi le martinet  20 , au  souvent 30 coups et plus et imaginez-vous que  a chaque coup que tu reçois tu ne peux même pas bouger essayer de te protéger les fesses avec tes mains la seule chose qui te reste à faire est de saisir avec tes mains les montants le plus fort possible et crier à chaque coups que tu reçois et qui te brûle la peau,  et l’autre chevalet c’est un autre manière d’installer la personne  elle se met à genoux ici sur la marche et se penche s’étend le ventre sur le dessus la tête dans le vide et se fait attacher les bras de chaque côté des montants qui serve de pattes et une ceinture comme tu les vois est souvent passer dans le bas dos et dans le bas des cuisses et au cheville pour immobiliser le corps le plus possible, avec cette sorte de chevalet  a des époques pas si lointaines ou dans d’autre pays  ce n’est pas juste les fesses qu’il fouette c’est aussi le dos. Assez parler de mes fessées je vous en dirais plus un autre jour  la noirceur commence on retourne à la maison les autres doivent nous attendre.
Sacha –
   Mais a tu autant été punis dans ton adolescence tu nous compte quelques punitions que ton père t’as donné mais, tu parlais aussi de l’institut  qu’on est supposé aller pour étudier dans pas si longtemps et qu’on entend parler par plusieurs de sa réputation  pour les punitions corporel, a tu été puni là aussi ou juste ici?
Claude –
    Tout en fermant les grandes portes je prends des photo des filles avec ma petite appareille photo que je traînait dans mes mains nue on a pas de poche donc en les photographiant je leur dit les filles moi quand j’avais votre âges et en peut avant j’étais pas mal rebelle et m’opposait à toute autorité que ce soit  tout ce qui était règlement ou interdiction moi je m’entêtais a les défier et à l’institut j’en ai reçu des punitions dès la première année a 15 ans et demi environs, des punitions nu devant la classe j’en ai reçu plusieurs et j’ai passé des journées entière à assister à mes cours nu ça m’est arrivée souvent de passer des journées entière nue a l'institut.
                                                  
            Je n’étais pas domptable comme mon amie à l’époque et encore aujourd’hui aussi Rebecca qui travaille pour nous à la fabrique. A l’institut quand on commettait de grosse bêtises et qu’on se faisait prendre on écopait d’une pénalité de niveau 3 la plus grave notre uniforme était confisquer automatiquement devant le directeur et le surveillant qui venait de te sermonner car un étudiant puni n’a pas le droit de porter l’uniforme, c’est à dire tu enlèves ta veste directement dans la pièce ou tu te trouves peut importer qui est là, ensuite ta chemise la jupe que tu dois les remettre au personne présente il te reste que ton soutien-gorge, petite culotte et tes bas, mais a la pénalité de niveau 3 ce n’était pas juste d’enlever son uniforme, il y a toujours des punitions  corporel qui suive et des ajout de journée et d’emplacement ou les recevoir  qui suive encore de nos jours c’est pareille. Quand tu es à moitié nu devant le directeur et souvent les autres personnes du comité ça commence à être gênant et là  il t’explique le reste de ta punition.
     Une punition de niveau 3 ça veut dire que tu es privé de tes vêtements pour assister à tes cours toute la journée et souvent pour  les 3 ou 4  prochain jours ou le  reste de la semaine, et en plus pour la première journée de ta punition le directeur t’explique que c'est dans ta salle de cours que tu étais supposé être que tu recevras 10 coups de strap nu en avant de tous tes camarades filles et gars  et tu assisteras à tes cours nu. Et il rajoute au repas du midi à la cafétéria sur l’estrade tu recevras 10 autres coups de strap et souvent pour plusieurs jours d’affilées la punition se répète, donc il te demande d’enlever le reste ça veut dire tes sous-vêtements et quelques fois c’est aussi pied nu que tu dois te rendre a ta salle de cours et ton prof te fait rentré nu devant tes camarades mains sur la tête ça dépend de son humeur et ça sa sera ta tenue pour le reste de ta journée.
     Il rajoute ensuite à la fin de ta journée et à  la fin de ton dernier cours tu passe me voire ici dans mon bureau je te redonne tes vêtements pour rentrer chez toi et demain matin tu te présentes ici  dans mon bureau avant le début de ton premier cours habiller autrement qu’avec l’uniforme et je confisque tout tes vêtements ça sera encore nu pour la journée et tu recevras une première fessée pour te mettre les fesses bien rouges ici même pour que les autres voie que tu as été puni et au midi sur l’estrade une autres de 10 coups de strap pour redonner de la couleur à tes fesses pour le reste de l’après-midi et c’est à tous les jours la même chose  jusqu’à la fin de ta punitions. Tu assiste à tes cours nu et quand tu changes de salle de cours tu dois te promener nu dans le corridor au travers de tous les autres étudiants c’est à peu près ça qui se passe quand tu es en punitions de niveau 3.
     Quand la punition commence c’est presque toujours par une fessée directement sur place dans la pièce on tu te trouves, le directeur aime bien faire coucher les filles sur ses genoux le vieux cochon et nous donner une fessée avec ses mains environs une cinquantaine de claques ce qui te colores les fesses et fait très mal il fesse fort j’en sais quelque chose j’ai passer beaucoup du temps sur ses genoux. Après avoir fini de te rougir les fesses il te fait remettre debout et mains sur la tête  ou bras dans le dos dans son bureau quelque minutes c’est la position  pour les punis, toi  qui a extrêmement mal au derrière et les larmes qui coule tu n’as pas le droit de déplacer tes mains de la position qui t’as dit de prendre pour essayer de frotter tes fesses sinon tu écope d’encore de plus de claques. Après ta fessée qui t’as mis les fesses bien rouge il te dit que tu dois te rendre à ton casier pour aller porter ou chercher tes livres dans la salle réserver pour les casiers et qui est toujours pleine a cette heures là et mixte donc tu circule au travers de tous les étudiants et les espaces pour circuler sont très étroites il y a toujours quelques drôles qui te mette la main aux fesses des gars mais des filles aussi et ensuite c’est à ta salle de cours que tu dois te rendre en circulant toujours au travers de tout le monde qui s’en vont à leur cours eux aussi .
         C’est très humiliant d’être exposer ainsi nu circulant dans un corridor ou il y a  environ une centaine de personne et plus en même temps que toi tous habiller eux  et qui te regarde les fesses rougis et circuler nue, ce n’est pas rare que tu reçois des claques sur les fesses en marchant dans le corridor par un ou deux imbécile d’étudiants qui te suive et veulent s'amuser à vouloir t’humilier encore plus et que tu ne peux pas répliquer c'est strictement défendus si tu ose répliquer tes fesses y goûte encore plus, et dans ta salle de cours souvent ton professeur te garde en avant sur l’estrade debout ou à genoux face à tes camarades mains sur la tête.
 Claude –
     Presque rendu à la maison je continue mon histoire qui les intrigue énormément oui quand tu es a la plus sévère punition c’est nu pour t’humilier le plus possible et que pour que ça te reste en mémoire ça te fait réfléchir si a l’avenir tu veut commettre d’autre geste tu penses  au conséquences avant d’agir mais moi j’avais la tête dure j’en faisait qu’à ma tête et aimait défier les autorité donc je me suis souvent ramasser en punition et à chaque fois que j’étais puni a l’institut quand j’arrivais ici je recevais un autre punition ma mère me voyageais matin et soir et quand j’avais passé la journée punie à l’institut quand je que rentrais ici elle me faisait déshabillée nue dans le salon et j’étais obligée de me mettre à genoux en plein centre mains sur la tête pour attendre l’arrivé de mon père, quand il arrivait souvent il me demandait de le suivre à la salle à manger il m’ordonnait  de me positionner juste sur la coin de la table qui donne vue sur le salon et de me pencher ventre à plat sur le dessus de la table et jambe écarte, ma mère me tenait les main et mon père me claquais les fesses avec ses mains  ou d’autre fois c’était dehors si il y avait des invités cousins cousines oncles, tantes  c’était debout mains sur la tête en plein centre des meuble sur la terrasse pour que tous les invités me voie recevoir ma fesses, et là il sortait le martinet ou la strap pour me rougir les fesses  .
        Quand il arrêtait  mon père me demandait de faire le tour de la terrasse pour montrer mes fesses aux monde pour qu’ils voient tous le résultat et ensuite ma mère me reconduisait elle-même ou bout de la terrasse me demandait de me mettre à genoux face au monde pour les trente prochaine minutes sans bouger et mon père et elle s’asseyait de chaque côté de moi en buvant leur verre préféré avec les invités. Le trente minute écouler je devais allez faire mes devoir dans le salon et souvent mes cousins et cousines s’assoyaient dans le salon et me regardait surtout mes cousins car j’étais toujours nue et Mario surtout était vicieux je détestais quand il venait et j’étais en punition devant lui. Ensuite c’était la douche et à ma chambre dans l’autre maison ou Pierre et moi ou couchait même si il n’était pas tard j’étais privé de baignade. Le lendemain matin les fesses encore colorées  de la veille ma punition continuait et après le petit déjeuner  pour aller à l’institut ne mère me disait tas pas le droit de mettre l’uniforme et puisque tu vas passer la journée a poil tu vas seulement mettre une robe facile en enlever pas autre chose et des sandales pas de bas pour te rendre ça seras moins long pour te dévêtir là-bas et si on aurait le droit à la nudité sur la voie public sa serait aller-retour à poil que tu voyagerais et le matin quand je sortais avec elle pour qu’elle vienne me reconduire elle levait ma robe pour être sûr que je sois nue en dessous.
Assez parler de mes fesses on est arrivé à la maison les filles moi j’embarque dans la piscine avec les autres et ensuite il faut que je prenne soin de Pierre ça fait 2 semaines que je le néglige. Patricia me dit Claude si Pierre a besoin de quelque chose dis-nous quoi faire, non les filles ce que Pierre a de besoin c’est rien que moi qui a le droit de le satisfaire c’est une entente entre nous et on se doit de la respecter. A la fin de la soirée je dis aux filles pour ce soir  ne m’attendez pas pour allez-vous coucher traverser sans moi.
       
Nadine –
 La soirée fini je donne des sous- vêtements qui était ranger dans la lingerie chez Pierre a Maryse et Judith si elle veulent se couvrir les fesses mais elle ne les mette pas et reste nues et nous nous disons toutes bonne nuit Marie et Maude  elles couchent ici chez Pierre et nous cinq ont traversent se coucher  dans l’autre maison et en chemin pour ma maison je prends Patricia par la taille et descend ma main sur ses belles fesses et lui demande si je peux aller jaser avec elle dans sa chambre. Maryse et Judith elles montent avec Sacha dans leur chambres, au lieu de monter avec nous Patricia arrête  et à ma grande surprise Patricia me demande d’embarquer dans la  douche avec elle en plus elle me dit ce n’est pas complique on est déjà nue, et elle se dirige directement à la salle de bain du premier en me tirant par un poignet pour être sûr que je la suive.
         Patricia me fait rentrer la première  dans la salle de bain et ouvre l’eau de la douche et rentre la première moi je prends mon savon que je laisse ici j’en ai un dans presque toutes les salles de bain et je suis Patricia  dans la douche, à l’intérieur je commence à savonner Patricia doucement sur sa poitrine ensuite dans son dos et je descends sur ses fesses  et entre ses cuisses elle se retourne et commence à son tour à me caresses les seins et descend sur ma fente. Elle commence à m’embrasser et me demande si elle fait bien çà pour une débutante. Tu commences à y prendre goût pas mal vite que je lui chuchote à l’oreille et lui propose d’aller dans son lit pour le reste de la leçon de ce soir.       
Claude –
      Enfin seul Pierre et moi je m’assoie sur le bras du fauteuil ou Pierre est confortablement assis et nue lui aussi et je pause une main sur son pénis et ses bijoux  de famille comme il s’amuse à les appeler je propose à Pierre de me suivre et d’aller faire un tour sur le grand sofa de son bureau comme on a déjà fait dans le passé on sera a labri des regards indiscret si on va dans ta chambre Maude au Marie vont nous entende.  On se déplace jusqu’à l’intérieur et Pierre me tape les fesses tout le temps que l’on se déplace vers le bureau il sait que j’aime ça quand il me tape les fesses. Dans le bureau Pierre s’allonge sur le sofa et moi je m’agenouille en face du sofa par terre avec ma main je commence à jouer avec son engin et il réagit instantanément il bande, ensuite je commence à le sucer lui il  caresses mon sexe, nous deux plus entre cousin et cousine que frère et sœur adoptif  on se fait des petit plaisir de la vie comme je les appelle mais jamais on a fait l’amour seulement des caresses pour se faire plaisir entre célibataire endurcie,  moi   je laisse ça pour mes amies Julie ou Caroline quand il se rencontre quelques fois par mois.
             Nos petit plaisir fine moi je retourne dans ma maison et monte à ma chambre pour me coucher. Je fais un petit détour pour  voire à la chambre de Patricia si elle dort car ma chambre a moi est juste en face de escalier.  Je crois voire une autre personne coucher à côté de Patricia dans son lit et elles dorment c’est noir et il n’y a aucun bruit mais avec la noirceur je ne peux pas dire c’est qui, en continuant à la chambre de Nadine je vois qu’il y a une petite lumière sur sa table de nuit qui est allumer et qu’il n’y a personne dans le lit à Nadine cela veut dire que Nadine est avec Patricia , donc je ferme la lumière et retourne à ma chambre et regarde de loin les autres chambre et c’est noir ça dort moi aussi je vais me coucher.

Étudiantes punies a l'institut Nadine et sa copine 2 Au tour de Fanny


2  Nadine et sa copine sévèrement punis
Au tour de Fanny 
Laurie –
Claude m’a demandé d’aller chercher des vêtements pour Nadine et Maryse qui sont en punition dans la salle de cours de math. Presque revenus à la salle avec les vêtements pour qu'elles se rhabillent, la cloche pour la pause sonne. Je laisse sortir les étudiants du local et j'entre. Je voie les deux filles sur l’estrade main sur la tête et Mme Petitgrew me dit qu’elles ont passé une bonne partie du cours dans cette position. D'après le prof, elles bougeaient constamment, assissent sur leur chaise. Elles étaient incapables de rester calmes, leurs postérieurs faisaient trop mal. Tant qu’à déconcentrer leurs compagnons, je les ai fait monter ici pour assister au cours.
Je réponds à Mme Petigrew c’est parfait, mais on ne les fait pas sortir dans cette tenue. Je leur donne des vêtements et elles m’accompagnent à mon bureau. Il y a eu de gros changements et leurs punitions sont suspendus temporairement, ne les attentez pas pour le prochain cours.
Maryse –
Laurie, as-tu vu les shorts que tu nous as apportés, ils sont très courts ces shorts-là, regarde Nadine, elle a la moité des fesses à l'air. Tu n'aurais pas amené des sous-vêtements par hasard pour nous cacher les fesses et les seins aussi. Ce short-là me couvre à peine les fesses et la camisole, c'est pour les gars-ça. Regarde si je lève les bras, on voit toutes mes seins. Nadine toi aussi, tu as les fesses presque toutes à l’air, même si tu étires le tissu à son maximum, ce n'est pas suffisant pour te couvrir le derrière.
Nadine –
        Je me retourne vers Laurie et lui montre mon derrière. J'étire le tissu du short à sa limite qui reste sur mes hanches pour essayer de descendre les rebords du short pour descendre le tissu le plus possible sur mes fesses. Mais la moitié de mes fesses restent à l'air et aussitôt que je relâche le tissu, il remonte. Regarde-moi si je me lève les bras. C'est comme si je n'avais rien, les côtés de mon corps sont à l'air. Je ne bouge même pas et le bord de la camisole laisse voire mes seins. C'est presque impossible de les cacher. Le seul moyen est de me serrer les bras de chaque côté.
Laurie –
   Bon les filles, ce sont les nouveaux vêtements spécialement faits pour humilier les punis, c'est pour cela qu’ils sont noirs et qu'un gros p. est brodé sur le devant et l’arrière et qu’ils sont si courts. Si vous ne les aimez pas, redonnez-moi les et revenez à poil, on n’a pas le temps de discuter, on est tous attendus. Dépêchez-vous de vous habiller, on retourne et donnez-moi vos vêtements si vous ne les aimez pas.

Nadine –
    Non Laurie, j'aime mieux les garder, je vais tenir mes bras baissés. J'aime mieux avoir ces vêtements sur le dos, c'est beaucoup mieux qu'à poil. C’est pas mal moins humiliant. Dans le corridor, j'entends les étudiants de notre cours de math et d'autres aussi crier après nous en disant de rester que le cours va recommencer bientôt, vos punitions ne sont pas finies. Mais Laurie, passez les premières en restant tout près derrière nous, ne vous occupez pas des autres, dépêcher d'avancer. Le corridor est plein, les étudiants sont pratiquement tous sortis pour la pause, espèrent nous voir exposées nues devant eux. Je suis gênée pareille de me promener si courtement vêtue. Maryse en avant de moi garde une main sur ses fesses pour essayer de les dissimuler le plus possible. En plus d’avoir une partie des fesses à l’air, les marques de la cane qui ressortent et sont bien visibles. Je présume que sur mes fesses aussi, il doit y paraître les marques de la fessée à la cane qu’on a reçue, il n'y a pas si longtemps.

Claude –

Moi, je ramène Fanny en la trainant par un bras pour qu'elle me suive sans flâner. Elle n'arrête pas de me poser un tas de question en route. Je ne lui réponds pas trop choqué de ce que je savais. Elle n'a pas eu le choix d'entrée dans le bureau malgré qu'elle hésitait quand elle a aperçu Nadine et Maryse. Je la tenais par le bras et elle m'a suivi. A l’intérieur, moi, je la questionne sur les rumeurs qu’elle répand sur la punition de ce midi qui ne sont complètement fausses. Le comité est en réunion, il n'y a aucune décision de prise en ce qui concerne les filles et comment elles seront punies et où elles le seront ce midi.
Où as-tu pris tes renseignements ? si moi, je ne suis pas encore avisée.
Je t’avais pourtant demandé ce matin de ne jamais parler de Nadine et Maryse et de quoi, elles étaient accusées. Et Fanny moi, je te demande une fois encore pour une dernière fois si c'est toi qui as donné les deux boites à Nadine et Maryse vendredi. Et ne me ment pas, je déteste les menteuses.
C'étaient sûrement les tiennent menteuses par ce que tu te sentais sûrement suivie par la police. En les refilant aux deux filles, tes boites, si la police débarquait, ce n’est pas toi qui étais accusé de posséder de la drogue, mais Nadine et Maryse. Celles qui étaient en possession de tes fameuses boites, soit honnête pour une fois.

 Fanny –

Claude, je te l’ais dit et te le répète que je n’ai jamais vue, c'est boîtes là. C'est quand j'étais avec Nadine, la semaine passée, lundi ou mardi, je crois, j'étais devant son casier avec Nadine et que celui-ci était ouvert, c'est là que je les aie entrevues ces petites boîtes-là.
Claude –
Fanny, je déteste me faire mentir au même moment Laurie et les deux filles commence à vouloir réagir. Nadine commence à dire à Fanny pourquoi tu mens, dis donc la vérité sur tes boîtes. Fanny lui coupe la parole en disant que Nadine raconte des sottises. Claude, c'est la vérité, répète sans cesse Fanny, et ces deux-là, la seule chose qu'elles essaient de faire, c’est de protéger leurs fesses. Plus Fanny parle, plus je me rends compte qu'elle nous ment par ses gestes et son comportement agressif. C'est à mon tour de lui couper la parole en lui disant de se la fermer. Fanny ne bouge plus, attends-moi. Je reviendrai dans quelques secondes avec une petite surprise pour toi. Je sors traverse à l’infirmerie qui est en face et reviens avec Ashley et Judith. Deux belles filles à qui j’avais demandé de se cacher en attendant notre arrivée et qui connaissent à peine Nadine, mais Judith est amie avec Maryse et cohabite toutes les deux ensemble aussi. Les deux filles ont une bonne idée de ce qu'a fait Fanny.
Revenue avec mes deux témoins, je présente Ashley et Judith aux autres, Nadine a déjà parlé à Ashley, quelques fois. Maryse, elle connaît déjà très bien Judith. Je demande à Ashley de conté tout ce qu'elle a vu vendredi après-midi dans le vestiaire entre les casiers avant qu'elle parte pour le week-end.
Ashley –
Vendredi en fin d’après-midi, Fanny, c'est approcher de Nadine. Elle est passée à quelques centimètres de moi avec deux petites boites qui sont sur le bureau derrière nous et à donner une boite à Nadine, la noire. Je les ai vues, elles étaient à deux casiers plus loin du mien. J'ai entendu Fanny demandé à Nadine si elle voulait bien garder la boite noire. Supposément que son casier ne ferme pas à clef, il était défectueux, lui a-t-elle dit. Ensuite, elle a été, voire Maryse deux casiers encore plus loin et a fait la même chose avec une boite rouge. Moi, en ressortant, j'ai passé en avant de son casier. Je sais où il est, je connais bien le gars qui partage le casier avec elle. Son casier est dans la section des casiers double donc ils sont deux dans ces casiers-là. J’ai moi-même sondé la porte et elle était très bien barrée. Je sais que dans le quartier dans lequel demeure Fanny, il est réputé pour être capable de trouver facilement de la drogue et pas chère. Ce sont des bonnes amies qui n’avaient déjà prévenu quand je leur avais parlé que Fanny et moi étions ensemble dans quelques cours. Fanny vient pour parler et Laurie lui dit de se la fermer et de finir d'écouter leur histoire.
    Laurie –

         Fanny je suis équerré de me faire mentir en pleine face et Claude aussi. On a devant toi quatre personne qui ont presque la même version de cette histoire a quelque virgule près et toi tu les traites de menteuses. Fanny tu nous niaises et nous ment. 

Comment se nomme le gars qui est dans le casier avec elle ? demandais-je aux filles autour de moi. J'envoie quelqu'un le chercher et on va l’interroger. Lui aussi, il doit savoir ce qu’il y a dans son casier. Il met ses livres à l’intérieur, il voit sûrement aussi ce qu'il y a à l'intérieur. Judith me répond que c’est Dave, Dave Russell et présentement, il est dans le cours de langue étrangère avec Mlle Garcia. Merci Judith, je reviens dans quelque. Fanny m’arrête, me dit de ne pas le faire venir, elle va tout expliquer.

Fanny –
Laurie ne va pas chercher Dave, il n’a pas d’affaire a ça les boites que j’avais. Dave ne sait pas du tout ce qu’il y avait à l’intérieur. C’est moi qui ai rentré ses boites dans l’institut jeudi et vendredi. Durant mon parcours pour venir ici, je me suis rendu compte que des policiers habiller en civil me suivait. Dans l’après-midi, à la fin du dernier cours, je suis allée à mon casier pour mettre mes livres. Sur mon mobile qui était dans mon casier, j'avais reçu un texto d’une connaissance qui me prévenait qu’on était suivie de mettre la marchandise en sécurité pour ne pas me faire prendre avec la marchandise sur moi. Je ne savais pas où la cacher. Alors, j'ai pensé à Nadine et Maryse qui sont deux filles que la police ne soupçonne pas.
Laurie –
    Fanny y commence à être temps que sa sorte la vérité ici dans ce bureau. Ce matin il y a deux filles qui on subit une des pires humiliations par ta faute. Et tu continues à nous mentir pour sauver tes fesses. Tu nous dévoiles le nom de celui ou celle qui t'a envoyé ce texto. C'est qui ta connaissance ou ce sont les policiers qui viennent te ramasser et te rentrer en prison. Fanny se met à pleurer et s’excuse envers Nadine et Maryse. Arrête de pleurnicher comme une gamine et parle. On peut demander au directeur qui nous attend en bas d’appeler les policiers si tu ne veux pas parler. Fanny me demande de ne pas l’appeler et nous donne le nom de sa connaissance, c'est Natacha qu'elle se nomme.
Je me revire vers Claude et on se regarde tous les deux. Claude, réplique pas la fameuse Natacha Faucher qui travaillait ici l’année dernière. Fanny nous répond que oui, elle lui avait déjà parlé qu’elle avait travaillé à la sécurité ici, il y a environ un an.
Claude –
  Judith et Ashley, vous deux, vous retournez à votre cours et sans parler de ce qui s'est passé ici. C'est un ordre et si on a besoin de vous plus tard on va vous chercher. Elles me répondent qu’elles sont toujours disponibles et embrasse Nadine et Maryse avant de repartir et je vois Laurie raccrocher le téléphone, je ne sais pas pourquoi. Laurie nous avait mise sur écoute, car elle a parlé à une personne avant de fermer le téléphone. Maintenant, nous cinq, c'est dans la salle de réunion qu’on descend, à l’intérieur de la salle, M Lepetit, le directeur de la discipline, le directeur de l’institut et M Ponge nous attendent. Le directeur est dans son bureau en communication téléphonique.
M  Lepetit –
Salut les filles, on vous attendait, nous sommes au courant de toute l’histoire, félicitation Claude et Laurie d’avoir tout éclaircie cette histoire. J'ai les meilleures assistantes de cette ville. Laurie, c'est une très bonne idée que tu a eu de nous avoir mis sur l’interphone, ont à tout entendu votre conversation et tout est enregistré et pendant que vous descendiez ici, on a pris une décision à trois.
Fanny toi tu nous rends l’uniforme de l’institut ici même, ce n'est pas discutable. Le comité de l'institut rendra sa décision en fin d’après-midi. Et Mlle, votre cas est pas mal lourd, ne discute pas, tu enlèves tes vêtements et les plient, et tu les poses sur la table en face de toi. Fanny n’ayant pas le choix, enlève sa veste, son chemisier, sa jupe aussi en les plient tous. Fanny a obéi et est maintenant vêtue que son soutien-gorge blanc, un string noir, ses bas et ses talons haut comme chaussure. Elle se croise les bras, et nous regarde toute gêner, c'est à son tour d'être humiliée. M lepetit regarde Fanny et lui dit, dans ton livre de règlement que tu as reçu à l’inscription il y a un règlement qui interdit de porter ce genre de sous-vêtement pour les filles ici dans l’institut. La raison est bien simple. Vous les filles quand vous montez des marches avec vos jupes assez courtes, les personnes qui suivent plus bas, vous voient le cul et ça provoque des situations et des commentaires très désagréables, je m’aperçois que plusieurs d’entre vous s’en foutent et en font qu’à leur tête.
 Le directeur –
       Mlle  Fanny vue que vous ne portez pas le sous vêtement réglementaire je vous le confisque vous l’enlever et le poser avec le reste. Fanny, refuse, elle se sent regarder par tous et nous dit qu’elle est dans sa mauvaise période du mois.
Laurie –
  Encore un de tes maudits mensonge, écoute quand on est menstruée nous les filles ce n’est pas avec un string aussi petit qu’on se protège. Pose tes fesses sur le coin de la table et écarte les jambes. Moi, je vais vérifier si ta chatte est correcte, tu nous as assez menti, c'est fini, bouge et viens t’asseoir ici M Lepetit et le directeur ainsi que Claude, Nadine et Maryse ont figé en m’entendant ordonner à Fanny de s’asseoir sur le coin de la table.
Fanny –
     La première des choses Laurie tu n’es pas en droit de me fouiller ainsi, c'est de la compétence médicale et tu n’es pas infirmière, je crois.
Laurie –
    À, c'est ton opinons à titre d'information je suis ici comme l'assistante de Claude et M Lepetit et ma tâche est de m'occuper de là sécurité et la discipline et à ce que je sache je n'ai pas encore changé de sexe. Je suis une fille donc j’ai  les mêmes problèmes que toi a chaque mois et je suis capable de juger si toi tu es dans ta mauvaise période du mois pour tes règles ou non pas besoin d’un cours d’infirmière pour ça, je lui frappe les fesses avec plusieurs claques et lui dis-tu enlèves ton string et tu t’assois sur le coin de la table en écartant tes jambes ou je peux changer de méthode ma patience a des limites et elles sont atteintes, ou tu bouges tes fesses et tu t'assois ici ou c’est avec le paddle que je vais te faire bouger.
Fanny enlève son string et refuse que je lui regarde sa chatte. Je lui dis encore un mensonge de sa part je passe en arrière d’elle et lui dégrafe son soutien-gorge et lui baisse les bretelles ses mains se positionne sur ses seins par-dessus ses bonnets et sans rien dire je luis frappes encore le cul cette fois ci plus fort et sans arrêt ce qui la fait crier et elle me demande d’arrêter ça fait mal. Nadine et Maryse son juste au côté de moi et regarde Fanny se plaindre que ses fesses lui font mal


Mme Lepetit –
     Fanny obéie à Laurie et Donne-lui le reste, y compris tes chaussures à talon haut et tes bas, Nadine et Maryse vous deux dans le bureau de l’autre côté et rhabillez-vous avec votre uniforme  et revenez-nous voire le temps passe vite.
Le directeur –
       Moi  je dois vous quitter j’ai une petite annonce à faire pour ce midi pour un petit changement a l’horaire des étudiants sur l’interphone de l’institut je reviens ensuite pour m’occuper de Fanny avec vous trois.
Claude –
      Laurie tu m’épates à tous les jours j’adore travailler avec toi moi je n’aurai jamais osé aller voir dans ses parties intimes pour vérifier son état toi tu aurais osé fouiller pour vérifier. Bien sûre me répond Laurie et elle descend sa main entre les jambes de Fanny et avec deux doigts lui touche la vulve Fanny lui dit d’enlever sa main et recule, de  manière que Laurie lui lâche la chatte et je voie qu’elle se retient pour ne pas lui remettre une autre série de claques sur ses grosses fesses. Le directeur et M Lepetit reviennent avec Nadine et Maryse qui remis leur uniforme et sont enfin habillées normal, M Lepetit lui dit a Fanny ce qui l’attend ce midi je vais te le dire tout de suite a 11 h 45 toi  moi et Claude on se rend dans la cour extérieure sur l’estrade dans la cour tous les étudiants ont été invités pour assister à ta punition. Fanny commence à paniquer et veut sortir de la salle mais moi et Laurie la retienne par les bras  le directeur continu a lui expliquer que sur la scène devant toutes les personnes présentes elle recevra trente coups de fouet pour avoir rentré de la drogue dans cet établissement et par la suite pour cette après-midi les cours à la piscine sont suspendus pour elle et à la place, c'est ou gym qu’elle va passer une partie de l’après-midi mains sur la tête au milieu des étudiants a exposé les marques reçues sur ses fesses par le fouet.

Le directeur
     Nadine, Maryse vous deux si vous ne voulez pas assister à la punition libre à vous d’aller manger pendant que là cafétéria sera pratiquement vide, nous il faut que nous dehors dans là cour pour s’occuper de là punition de Fanny il est l’heure. Fanny est en larme elle pleure ne veux pas suivre Claude et Laurie son presque obliger de la traîner moi j’apporte le fouet et les suit jusqu’à la porte arrière dans le petit entrepôt à l’arrière des cuisines et je demande à Claude d’attendre mon signal pour la faire sortir et mains sur la tête et surtout ne ménagez pas ses fesses toi ou Laurie si elle ne coopère pas moi je vais retrouver M Lepetit qui est au bas de l’estrade.
Sur l’estrade je m’adresse aux étudiants en leur disant, je suppose que vous devez tous savoirs que ce matin il a eu deux filles qui ont été sévèrement punis et injustement en plus et misent à nues dans leur classe devant leurs camarades pour avoir supposé rentré de la drogue ici et auraient probablement reçu le fouet  ici  même sur cette estrade ce midi, mais maintenant leurs punitions sont suspendu et ce midi, c'est la vraie coupable la responsable de la rentrée de cette drogue que l’on se prépare à punir et une chance que cette responsable a été intercepté à temps, je demande à Mlle Letarte de nous amener cette coupable  sur l’estrade pour sa punition
  Nadine –
        J’assiste avec Maryse et avec les autres à la punition de Fanny qui sort, dehors les mains sur la tête complètement nue suivie de Claude et Laurie les trois montent les quelques marches pour se rendre en haut on voit les yeux rougis de Fanny et ses fesses aussi sûrement que pour la faire sortir Claude ou Laurie qui lui ont tapé le cul
 le directeur –
      
        Pour ceux qui étaient ici l’an passé vous devez vous souvenir de Mademoiselle Lawson Sandra Lawson qui ici même sur cette estrade un midi a reçu une punition exemplaire de trente coups de fouet pour son graffiti quelle avait fait et déshonoré l’institut, aujourd’hui pour avoir rentré de la drogue ici et enfreint le règlement et l’honneur de notre institut, c'est trente coups  que Fanny recevra elle aussi.
 
         M Lepetit ordonne que l'on installe Fanny en position sur le chevalet. Claude rapproche Fanny jusqu’à ce que ses cuisses touche le chevalet  dos a l’assistance   et fait pencher Fanny par l’avant  M  Lepetit attache les poignets à chaque patte du chevalet et Claude les chevilles de Fanny. Dos au monde et les jambes écartés Fanny nous fait, voire malgré elle son intimité, on distingue très bien sa vulve ses lèvres. Le directeur arrive en arrière de Fanny et mesure sa distance avec le fouet et les fesses de Fanny et commence à lui frapper les fesses Fanny crie on entend les coups résonner entre les murs et les cris de lamentation de Fanny, chaque coup qui frappe ses fesses laisse une marque très rouge sur sa peau les derniers coups ont  même fait saigner sa peau on distingue quelques gouttes de sang qui coules sur ses fesses quand le directeur arrête il regarde le postérieur de Fanny et nous dit que la prochaine fois que quelqu’un a l’idée de rentrée quoi que ce soit d’interdit ici c’est la même punition qui l’attend Claude et M Lepetit détache Fanny et l’aide a marcher pour qu'elle puisse rentrée à l’intérieur.

Maryse –
 Après la punition nous sommes rentrées ensemble Nadine et moi dans  là file d’étudiants qui se dirigent à l’intérieur dans notre section parce que tous les étudiants la 1  2 e année et nous les 3e étaient présent dehors pour assister à la punition  en se rendant a la cafétéria et en se suivant un en arrière de l’autre dans le corridor des gars de notre classe-nous disent hé les filles, mettez-vous à poil ce matin vous étiez beaucoup plus belles à poil  et je sens une main sous ma jupe qui me prend une fesse je me vire et donne une gifle au gars qui m’a mis la main au cul un prof ma vue faire et me saisit par un bras et me demande de m’excuser sinon c’est le surveillant qui va s’occuper de moi. Je lui dis pas question, c'est cette imbécile qui m’a mis la main au cul sous ma jupe. C’est moi qui se ramasse au bureau de Claude pour passer à la discipline quand Claude arrive la prof explique ce que j’ai fait et moi aussi je donne ma version et Claude renvoie la prof  et me dit de faire attention avec les gifles et que pour aujourd’hui je m'en tire et d’allée rejoindre Nadine pour manger qu’elle ne veut plus nous revoir dans son bureau 
En mangent nous avons parlé de Fanny et des  coups de fouet beaucoup autour de nous disait Fanny doit sûrement pas être capable de s’asseoir les fesses doivent lui brûler avec la puissance que le directeur frappait les fesses avec le fouet et les cries qu’elle lâchait ça devait être extrêmement douloureux 
Un peu plus tard durant notre repas je dis à Nadine que je suis obligé de me trouver du travail que je ne suis plus capable de payer mon loyer avec ma coloc que tu connais,  ma mère  a de la misère à arriver et l’argent se fait rare et les emploie aussi en ville
Nadine –
 Maryse, c'est qui ta coloc que je suis supposé connaître  j’ai aucune idée de qui il s’agit, elle me dit oui tu l’as vue ce matin, c'est Judith ma coloc et elle aussi sa mère lui as demandé de se trouver du travail si elle veut bien arriver avec le logement plutôt notre supposé logement.





Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...