dimanche 14 juin 2020

1- comment se mettre dans le trouble en adoptent des ados



                                         Moi et ma cousine ce lançon dans l’adoption
                                                          Pour aider trois ados

Je m’appelle Pierre, j’ai 32 ans et dirige une importante entreprise familiale d’importation d’antiquités, et de très importants ateliers de couture, à plusieurs places dans le monde avec ma sœur Claude. Nos entreprises se situent dans une petite ville du sud de l'Europe, en Italie et en Asie. Nous deux, on vient d’hériter de celles-ci qui ont une valeur de plusieurs millions d'euros. Et tout le reste des propriétés que nos parents possédaient un très grand terrain avec trois immenses maisons, une piscine et un court de tennis. Cela comprend aussi un très grand vignoble situé à l'arrière du domaine. Le domaine et le vignoble sont évalués, eux aussi, a plusieurs millions d'euros. Il y a deux ans, mes parents sont décédés dans un accident d’avion au Japon. Ma sœur Claude qui en réalité est ma cousine étant donné que mes parents ont légalement adopter leur nièce il y a plus de 27 ans après la mort tragique de ses parents, le frère ainé de mon père. 
 
Claude, ma sœur est âgée aussi de 31 ans. On a le même sang, on fait partie de la même famille et cela me désole. Je la trouve superbe et malheureusement, on doit se limiter à ce que l'on fait entre nous deux. C'est une belle brune qui se tient très en forme. Ella a un corps presque d'athlète, splendide et que je vois nu à tous les jours. Ici quand on utilise la piscine, on ne porte pas le maillot, que ce soit ma sœur ou moi et tous les invités aussi. Elle a une superbe poitrine et des fesses d’enfer. Mes parents nous ont sévèrement élevé tous les deux. La punition corporelle était très souvent utilisée quand ils décidaient de nous punir. Mes parents étaient extrêmement stricts. Moi et ma sœur avions des règlements à suivre dans la maison que mes parents avait déjà fixé et nous obligeait à les respecter.
 
 Si nous ne respections pas les règlements, ça finissant par une sévère punition. Très fréquemment par des fessées à la main et dans la salle de séjour et généralement nus. Ils ne se gênaient pas que c'était moi ou ma sœur, c'était nu dans la salle de séjour et devant tous ceux qui si trouvait. Et souvent, ils utilisaient la fameuse strap ou le martinet nu. Devant notre bonne ou autre invité ou la famille immédiate, oncle, tante, cousin, etc.… Pour mon père, il n'y avait pas de différence, on recevait notre punition pareille. Et souvent des mises au coin nu pendant un long moment,

Dans leur testament, mes parents nous ont fait hériter ma cousine ou plutôt sœur et moi de tous les biens, y compris les commerces et l’immense vignoble. C'est une immense fortune pour deux célibataires.

Mes parents étaient toujours en voyage partout dans le monde pour visiter les clients. Acheter, vendre de la marchandise pour les entreprises, ils brassaient de très grosses affaires. Des millions d'euros. Maintenant, c'est moi qui dois voyager si je veux que les entreprises continues. Il y a un mois, pour m'aider à être capable de fournir à toutes mes occupations que je n'arrivais plus à suffire, trop d'ouvrage. J’ai engagé une jeune fille pour m’aider dans la boutique d'antiquités Nadine 18 ans, très belle que je rêve comme bien des hommes de la voire nue avec ce corps à couper le souffre. Elle étudie au lycée privé, St-Thomas que je connais très bien. Elle est en plus très débrouillarde. mais elle va probablement être obligée d'abandonner ces études. Elle m'a dit qu'elle manquait d’argent, elle vivait pauvrement, étant orpheline depuis un très long elle aussi. C'était l'une de ses tantes qui lui payait son appartement et ses études. Sa tante à décider la semaine passée de ne plus y donner d'argent. Donc, je l'ai engagée, je me sentais mal à l'aise de la laisser dans la pauvreté quand moi, je peux réellement bien l'aidé sans me privé. Je lui donne un salaire un peu plus élevé aussi que le minimum dans ce genre d’emploi pour l’aider. Ma sœur doit s'absenter souvent, elle aussi, pour aller voir les fournisseurs à l’extérieur du pays. Je n’avais pas le choix de me trouver une aide pour la boutique surtout et pour elle Nadine ça lui procure un salaire pas si pire pour qu'elle soit capable de vivre un peu mieux.


Cette semaine, j'agrandis l’entreprise en achetant tout le bâtiment arrière de mon voisin qui est immense. En triplant les dimensions de l’entrepôt et de la boutique, je dois engager encore deux nouvelles employées. Deux autres jeunes filles qui se sont présentées ici et recommander par une bonne connaissance et surtout, elles ont toutes deux l'air très sérieuses. Les deux sont des imigrantes tout comme Nadine de l’extérieur du pays. Deux jeunes filles de 17 ans Marie et Maude qui sont de très bonnes amies de Nadine en plus et elles sont à la fin de leur visa de séjours ici dans notre pays. Elles devront retourner dans leur pays dans quelques semaines si elles ne réussissent pas à le renouveler ce fameux visa d'étude. Je leur demande pourquoi à l’âge qu’elles ont elles ne fréquentent plus l’école et pourquoi elles ont quitté leur pays. Elles me répondent très vaguement sur leur condition chez elles, dans leur pays. Ce que j’ai pu en déduire, c’est que leurs familles les ont rejetées toutes les deux, faute d’argent pour les nourris. Il y a des coutumes dans des familles que je trouve un peu bizarre abandonner ses enfants. Moi, avec mes très bonnes relations que j’ai avec des enquêteurs des services douaniers, et de très bons avocats en immigration et exportation, j’ai su pourquoi elles sont ici. Le lendemain, elles se présentent et commencent leur travail et tout se déroule bien. Au diner, l’une d’entre elles, Marie, demande à Nadine et moi si on connaît dans la ville un logement à louer pas trop chère parce qu’elles ont des problèmes dans leur chambre où elles habitent toutes les deux.

         

Moi, je réponds que non. Mais, si elles sont dans le besoin. Je leur offre de venir rester chez moi gratis toutes les trois. Je les prends en pitiés, ça me brise le cœur de voir de si jeunes filles dans le besoin. Je et désire leur donner une chance de se ramasser des économies. Moi et ma sœur, on possède chacune une très grande maison avec dix chambres libres dans chacune de nos maisons. Ce n'est pas l'espace qui nous manque. On est deux célibataires et un peu de présence nous ferait beaucoup de bien. Je sais très bien que Nadine aussi à un petit logement à peine vivable et très cher pour la grandeur. C'est pour cela que je veux l'offrir aux trois filles. Je leur donne des détails sur notre domaine qui possède un immense terrain autour de ces maisons-là. En leur offrant de venir visiter le domaine , je leur offre aussi de venir manger ce soir à mes frais bien sûr. On va se commander du resto, tout ce que vous aimez, je leur suggère, et c'est moi qui paye. Au lieu de louer un appartement et tirer leur argent dans le vide. je leur propose d'habiter avec nous deux Claude et moi. Vous seriez beaucoup plus confortable avec moi et ma sœur que dans vos petits appartements délabrés et presque insalubre, et en plus gratis.

Les trois se sont mises d'accord et me disent que si ça ne me dérange pas, elles vont venir voire ma maison. La fin de journée arrivée, je ferme la boutique à la même que d'habitude. Je demande aux filles si elles viennent toujours avec moi. Oui, me répond Marie et ouvre la portière de ma voiture, Maude aussi embarque à l'arrière. Je vois que Nadine, elle, veut partir de son côté. Que se passe-t-il lui demandais-je ? Nadine pourquoi elle ne vient pas avec nous. Nadine nous dit alors qu’elle doit aller voire deux amies qui doivent venir chez elle pour la nuit. Ce sont des filles mineures qui n'ont aucun endroit pour aller dormir ce soir. Nadine les héberge 2 à 3 soirs semaine pour qu’elles puisent se laver et dormir, comme un bon samaritain. Maude et Marie les connaissent aussi. Je la questionne sur ces filles-là qui elles sont et d'où viennent-elles pour trainer dans la rue. Nadine commence à m'expliquer que c’est deux musulmanes enfuit de leur pays et elles vivent ici illégalement sans visa depuis un an et demi environs. Si elles étaient restées dans leur pays, elles auraient été obligées de se marier à des hommes 20 ans plus vieux qu’elles. C'est une coutume dans leur pays. Quand une fille à ses règles, sa famille souvent la promet à un homme riche pour la vendre bien souvent. Leurs familles les avaient promises ou vendus à leurs pubertés. Mes deux amies ce sont sauver enfuit de leur pays. Même à cet âge, 14 ans, c'est très jeune pour se ramasser seul et essayer de survivre dans ce monde de fou. Elles sont ici depuis presque un an incognito.

Je n’en reviens pas d’entendre des histoires pareilles. Je lui demande quels âges elles ont et où elles vivent sans emploie, et elles ne doivent pas aller à l'école. Nadine me fait paniquer sur ce que j'entends à propos de ses jeunes filles. Je lui propose de mettre mes avocats sur leurs dossiers demain matin pour les sortir de cette mauvaise position.

Nadine –

Mes amies Sacha et Patricia, qu’elles se nomment, vont environs trois ou quatre jours à l’auberge de jeunesse qui est située trois rues plus hautes. La femme qui opère l’auberge est très gentille avec elles. Mme Girard lave même leurs vêtements pour les aider du mieux qu'elle le peut. Elle les prend en pitié et essaie de les aider du mieux qu’elle peut sans les faire repérer par la police. Mais sans visa et mineur en plus, elles ne peuvent pas travailler. Sans un sou, c'est impossible de se nourrir et de se loger. Donc moi aussi, je les héberge quelques jours par semaine pour faire ma part moi aussi, le peu d'argent que j'ai je le partage avec elles. Elles se sauvent des autorités. Si elles se font découvrir ici, elles seront retournées dans leur pays. Elles seront très mal accueillies dans leurs familles. C'est un déshonneur pour une famille qu'une fille s'enfuit au lieu de se plier au ordre de son père. Ça arrive souvent selon elles. C'est pour cela que j'aimerais mieux aller les voir ce soir. Pierre, je ne peux pas les abandonner à leur sort, c'est beaucoup trop cruel.

Pierre –

Après cette incroyable histoire que je viens d'entendre, je passe un appel à Claude, ma sœur qui est en route pour son bureau. Je prends le temps de tout lui expliquer, et ce que j’avais l’intention de faire avec les filles. Et toute l'histoire que Nadine vient de me conter. Elle change ses plans et vient ici. Je l’attends avec les autres, quelques minutes plus tard, Claude arriver à la boutique. Claude repart avec Nadine de son côté pour aider Nadine à régler cette affaire avec ses deux amies. Marie, Maude et moi nous partons pour la maison.

 

Rendus à la maison et resto ramassé, ont s’installent les trois sur une table dehors autour de la piscine pour manger. Je présente ma femme d'entretien à mes invitées Mme Faucher et lui donne congé pour le repas ce soir du repas et du reste, elle le mérite bien. Pendant que l’on mange, les filles regardent la cour arrière qu'elles trouvent superbe. Elles commentent, sûr, tout ce qu'elles voient. C'’est vrai qu’il y a beaucoup d’espace ici, c'est immense pour seulement deux seules personnes, me dit Marie. Maude me questionne sur l’autre maison au côté à quelque 150 mètres de la mienne. À qui sont-ce ces maisons-là, celle à côté et l'autre maison plus bas quand on franchit le portail, elle est aussi grande. Je leur réponds que la maison à côté, c'est ma sœur Claude qui est en fait ma cousine. C'est sa maison, c'est là qu'elle l'habite et en est la propriétaire avec moi et de tout le reste aussi. L'autre aussi plus bas en fait partie du domaine. C'était mon grand-père qui l'avait fait construire pour ses frères l'époque. Maintenant plus personne ne l'habite celle près de l'entrée et cela fait plusieurs années. Le repas terminé, je leur fais faire la visite de ma maison. En partant du premier étage, salon, cuisine, salle à manger et le reste du premier. Je les fais monter au deuxième, elles sont impressionnées par la grandeur des chambres. Autour de l’extérieur, terrain piscine et le reste les impressionne aussi. Je leur demande si ça leur plaît et si elles veulent venir s'installer ici. Elles me répondent que oui ça serait fantastique de rester dans une maison comme ça. Mais Pierre on pas les moyen de rester ici me disent-elles. Poi moi Pierre ici, le loyer que tu vas nous charger c,est en dehors de mes moyens. Et pour voyager en ville pour travailler sans véhicule, c'est impossible me dit Marie. Je vais te déranger en plus dans ta tranquillité. Je ne veuxsurtout pas t'incommoder par ma présence. Des célibataires comme vous deux avec des jeunes comme nous, ça va déranger votre tranquillité, c'est sûr.

 

Pour moi les filles, il n’y a pas de problème. je vous l'offre, c'est parce que j'y tient a votre bien-être. Je vous l'ai dit cette après midi, je ne vous chargerai rien en loyer. S'il vous manque quelque choses ou que la chambre que vous choisirait n'est pas à votre gout. Je vais acheter ce que vous voudriez pour que ce soi bien décorer pour des jeunes de votre âge. Ne vous cassez pas la tête pour notre tranquillité, ça va mettre de la vie ici, c'est rendu quasiment plate tellement c’est tranquille. Ça va juste mettre un peu de vie ici dans le domaine. C'est votre maison, vos affaires comme si vous seriez mes enfants, la même chose.

Mais par compte, en vivant ici avec nous deux, il y a des règlements à respecter et si vous vivez ici on y tien a que ce soit respecter. Nous sommes très sévères ici ma sœur et moi comme l'ont été mes parents envers nous. Elles prennent quelques minutes de réflexion en regardant les lieux. Marie a l'intention d'accepter, mais Marie et Maude veulent savoir les fameuses règles si sévères. Je leur explique pas mal en détail. Marie me dit si ce n'est que cela, moi, j'accepte. J'ai l'habitude de me tiens très tranquille, ne jamais déranger personne, je ne crains pas d'être punie. Claude et Nadine arrivent et vient nous voir, et elles nous expliquent que pour ce soir les amies de Nadine sont chez Maryse et Judith, deux autres de leurs amies. Claude est toute contente de savoir qu’elles acceptent de s’installer ici et propose de visiter sa maison. S'ils y en a parmi elles qui veulent choisir de vivre d’un côté au l’autre, il n'y a pas de problème. Il y a autant de chambre dans l’autre maison que celle-ci, mais pour les repas, on est toujours ici. Mme faucher fait seulement la cuisine ici dans la maison à Pierre pour nous deux. Ma maison me sert à être plus intime, mais pour les repas ça se passe ici.

Claude -

En étant dehors et près de la piscine. Les filles décident d'aller toucher l’eau de la piscine. Maude me dit que si j'aurais su, j'aurais amené mon maillot pour en profiter. Embarque Maude, ne te gêne surtout pas et vous deux aussi ne vous privez surtout pas de la piscine, moi et Pierre on va embarquer derrière vous. La piscine est pour vous aussi, embarquez en sous-vêtements, les voisins sont très loin d’ici, personne ne va voir avec la longueur de terrain qu’il y a ici, il n’y a pas de voyeur. Pierre, rajoute-moi et Claude jamais, on ne porte de maillot, c'est nu qu’on se baigne, il va falloir vous y habituer à nous voir nu autour de la piscine et sur la terrasse. Maude nous dit vous deux nus frère et sœur et a l’âge que vous avez, c'est un peu bizarre, frère et sœur nu un devant l’autre. On est habitué de se voir dans cette tenue-là. Depuis qu’on est tout petit, qu’on se voit nu, même pour les punitions corporelles qu’on a reçu, c'était nu devant l’autre que nos parents nous les donnait.
Pierre –
Nadine, elle, porte une robe. Je vois qu’elle l’enlève très doucement, elle s’essaie pour voir la réaction de ces deux amies. Elle se retrouve en sous-vêtements. Un string bleu qui laisse ressortir ses belles fesses et un soutien-gorge blanc qui met ses jolis petits seins en valeur que je souhaitais voir à l’air. Je dois dire qu’elle est encore plus jolie que je me l’imaginai presque nue.

Marie, elle n’ose pas trop, elle hésite et finit par retirer sa jupe qui me laisse voire sa culotte blanche qui cache juste la moitié de ses fesses qui a une allure de vêtement très usée. Je m’aperçois que c'était vrai quand elle disait qu’elle est pauvre. Il y a des trous dans le tissu de sa culotte. Elle garde son t-shirt, ne veut pas trop en montrer, et rentre dans l’eau. Quand son t-shirt devient mouillé, le tissu se colle à sa peau et ses tétons se dressent instantanément et paraissent au travers du tissu réaction chaud froid. On aperçoit ses beaux seins fermes sans soutien-gorge. Elle devient toute rouge de honte quand elle se rend compte de ce qu’elle me laisse voire et se croise les bras sur sa poitrine. Maude à son tour, elle aussi, enlève sa robe et elle aussi porte une culotte noire. Presque aussi usée que celle de Marie qui lui couvre entièrement les fesses et un soutien-gorge de la même couleur et aussi usé que sa culotte.

Je ne peux que contempler ses deux magnifiques corps que j’ai devant moi. Nadine et Maude qui sont sur le rebord à l'extérieur de la piscine. Les deux sont à un mètre à peine de moi et marchent côte à côte en regardant Claude enlever sa robe et son string devant les filles qui la regardent faire. Elles semblent toutes gêner de retrouver Claude nue devant elles. Regardez les filles ici, c'est comme ça qu’on embarque dans la piscine nue, gars ou fille, aucune pudeur n’existe ici. Je vais chercher des serviettes de plage et reviens les retrouver. Moi aussi, je me mets nu. Cela attirent les regards des filles qui sont toutes gêner, elles n'ose pas me regarder, et sont surprises de ne voir nu. J’embarque dans l’eau avec elles et fait quelques longueurs. Ressortis de l’eau je m’assois sans me vêtir toujours nu. Une vingtaine de minutes plus tard, elles décident de sortir toutes les quatre de la piscine. Elles s’approchent de moi pour prendre chacune une serviette ce qui me donne tout un spectacle, trois superbes filles à moitié nues et Claude que je ne lasse jamais de regarder entièrement nue et qui défile devant moi.

Nadine –

Ça ne vous gêne pas d’être nu devant nous trois. C'est plus moi qui suis gênée de vous regarder. Et en plus, moi qui suis gênée d’être en sous-vêtement devant vous, ça me met mal à l’aise. Je n’ai pas l’habitude de voir du monde dans cette tenue devant moi et ça me fait tellement bizarre, surtout un gars.

Claude –

Ma belle, il va falloir que tu t’habitues si tu acceptes de venir vivre ici. Ça fait partie de nos habitudes de vivre ainsi ici, avec les autres règlements qui existent aussi. Même nos amis qui viennent à l’occasion se baigne nu comme nous. Ce n'est pas à cause de la visite que je change de manière de vive. Ça ne nous empêche pas de circuler devant eux nus, ça fait des années que c’est comme ça ici. Depuis qu’on est tout petit qu’on se promène comme ça et même nos parents se promenaient dans cette tenue et ce n’est pas à notre âge qu’on va commencer à se cacher.

 Pierre – 

 Après s’être essuyées et enrouler dans leur serviette et moi dans mon short, Claude, elle comme toujours, reste nue. Claudes les invitent chez elle pour leur offre d'enlever leurs sous-vêtements humide, ce sera plus confortable, leur dit-elle. Elles reviennent vêtues que d'un paréo que Claude leur a fourni. Moi, Je les attendais sur la terrasse et elles m'apparaissent tous vêtus très légèrement. La noirceur commence et les lumières qui éclaires le contour de la terrasse sont allumées. À chaque fois que l'une d'entre elles croise une lumière, je vois au travers de son vêtement. J'aime ce que je vois apparaître devant moi trois filles légèrement vêtues et Claude comme toujours splendide en tenue d'Ève. Je les réinvite tous pour à l'intérieur de ma maison pour faire un autre visite plus approfondie de ma maison. Cette fois-ci, je leur remontre le premier étage, la cuisine, salon, la grande salle à manger, mon bureau qu’elles avaient déjà vu sauf Nadine. Les filles regardent Claude d’une manière étrange et une d’entre elles Marie lui demande. Tu n’es pas gêné du tout de rester à poil devant nous et ton frère, on se connait à peine Claude. Se baigner à poil, ce n'est pas si pire. Mais se promener nu dans la maison, moi, je serais morte de honte.
Il va falloir vous habituer les filles, Claude leur répond. Quand Julie notre grande amie seras ici avec ses employées ou plutôt ses amies, elles aussi, elles adorent être à poil et ne vous surprenez pas du tout de les voir nues.

 

Maude ouvre un petit local qui est juste à l’entrée du bureau dans le couloir. Une porte qui l'intriguait. Pierre, est-ce la descente du sou-sol ici ? me demande-t-elle. Marie ouvre la porte, regarde à l'intérieur et reste surprise de ce qui est accroché sur un mur. Mon Dieu ! regardez les filles, il y a des cannes, des palettes et même deux lanières de cuir. Elle décroche une des lanières la moins large en me demandant à quoi servent les fouets accrochés plus loin. Toutes ces cannes et ces straps de cuir dans ce placard, c'est pourquoi. Celle que je tiens est inscrite pour les mauvais enfants. Je commence à leur expliquer que si elles acceptent de rester ici, il y a des conditions qui doivent être respectée. Regardez ici au dos de la porte. Prenez le temps de les lire. Si ces règles et les conséquences vous conviennent, vous êtes chez vous, c'est votre maison. Si ces règles ne sont pas respectées, les personnes qui ne les respectent pas doivent subir des punitions corporelles. Nadine me demande avec ces instruments-là que se donnent les punitions, c'est quoi là fessée.
Oui Nadine, lui répondais-je. Tout dépendant de la gravité, c'est fesse à l’air que ça se donne les punitions. Même à votre âge et si ça vous convient les filles, ses conditions-là, vous êtes chez vous sinon. Et là voici la liste des règlements.

Pierre-

Elles lisent vite la liste. C’est toi Pierre ou Claude qui décide ou qui les donnes les punitions et à quel jour me demande Maude. Car c’est marqué une fois semaine dans le petit livre ici. Non, ce sera celui ou celle qui sera ici et ce livre-là ne compte plus. C'est un vieux livre à l'époque où vivaient ici mes oncles et tantes dans les deux autres maisons. Mais nous c'est peu importe la journée, c'est nous qui déciderons comme quand moi et Claude étions plus jeunes et que mon père nous punissaient moi ou Claude. Marie me dit, vous étiez punis ensemble et jusqu’à quel âge. Claude lui répond oui ensemble assez souvent quand c’était nécessaire et nu un après l’autre dans le salon à l’occasion. Et les filles, la dernière fois que j'ai été punie, j’ai reçu 25 coups de cette strap là-bas au hangar que vous avez par encore vu juste plus haut dans le domaine. En plus devant mes cousins et amis entièrement nue. J'avais 25 ans il y a six ans, j'avais manqué de respect envers ma mère, ce qui ne fallait surtout pas faire. Je m’en souviens conne si c’était hier comment ç'a fait mal. J'ai eu de la misère à m’asseoir pendant deux jours. Des marques sont restées sur mes fesses tout le reste de la semaine. Ma mère frappait très fort avec cette strap et Pierre aussi la reçue pour la dernière fois à environs 19 ans, il était plus sage que moi.

  Pierre-   

      Je m’aperçois que Claude pose ses mains sur la table à manger, se penche au-dessus de la table, toujours nue. Les fesses bien à la vue des autres, Claude me demande de lui donner quelques coups, cinq pour être précis, pour donner une petite démonstration, ce que moi, j'adore faire sur ses jolies fesses.

Après cinq coups, j'arrête et passe ma main sur ses fesses. Les filles me regardent frotter le derrière de Claude ou on aperçoit les marques rouges de la strap. Marie lui demande si c’est douloureux en me regardant toutes scandaliser de me, voire que je lui frotte les fesses de cette manière-là. Je m'amuse devant elles à lui descendre mes doigts entre ses cuisses pour me satisfaire un peu, et Marie demande à Claude si ça ne la dérange pas que je lui frotte ses fesses.

Si vous le voulez, je peux vous faire essayer la strap à votre tour, ça va vous donner un avant-goût si vous n’avez jamais reçu la fessée auparavant. Marie me dit qu’elle va tenter l’expérience de recevoir des coups sur les fesses. Mais pas trop fort les coups s'il vous plaît et je garde le paréo sur mes fesses qui couvre mon derrière. Et surtout, tu ne me frottes pas les fesses OK. Je lui dis si tu le veux, on y va pour trois coups par-dessus ton paréo, ce n'est pas un tissu épais, c'est comme si tu aurais les fesses à l'air. Et promis, je ne te frotte pas ton joli derrière après. Je lui montre le bord de la table à manger où Claude avait pris place avant elle et lui demande de mettre ses mains à plat sur le rebord et de s’étendre. Écrase tes seins sur la table comme Claude l’avait fait auparavant pour mettre tes jolies fesses en position. Marie bien installer les fesses bien exposées et moi la strap a la main.

Je lui donne un premier coup au centre des fesses assez fort, mais avec une certaine retenue. Je ne veux surtout pas qu'elle panique, mais Marie ne bouge pas et absorbe très bien le coup. J'en profite au deuxième pour frapper plus fort, et elle se met les mains instantanément sur les fesses en laissant échapper un petit cri. Ça fait mal, c'est terrible. Je lui fais signe de reprendre sa position, la position , le troisième la fait se redresser. Marie se frotte encore les fesses, je lui demande, veux-tu que je continue, reprend ta position sur la table. Marie se repositionne pour une autre, un quatrième. Cela me surprend et les autres aussi et le dernier s’abat sur ses belles fesses toujours recouvertes par paréo. Elle relâche un autre cri et dit aux autres filles, c'est horrible la douleur. Je lui dis, tu t’imagines fesses nues et vingt coups, ce que tu ressentirais. Les marques, tu as vu la couleur des fesses de Claude avec seulement cinq petits coups reçu, ce n'est rien à comparer a une trentaine et donné beaucoup plus fort. Marie me répond qu’elle ne sera jamais capable de le supporter.

 Autour a Maude

Pour ce soir les filles si vous voulez Claude peu vous prêter des vêtements pour la nuit. Même si Claude, elle, n’en porte jamais pour dormir, vous n'êtes pas obligées de faire pareille. Pour demain, je suis sûr qu’elle peut aussi vous dépanner avec ses robes et jupes. Vous me paraissez être pas mal tous dans les mêmes tailles comme je peux le remarquer. C'est si bien sûr si vous voulez coucher ici. Ou Claude vous laisse chez vous et on se reverra demain à l’entreprise. Si vous choisissez de rester ici demain matin, la bonne va nous préparer le petit déjeuner ou Claude vous reconduit a vous logement ce soir. Maude et Marie disent oui, on aimerait coucher ici et demande à Nadine de rester avec elles pour la nuit. Nadine accepte aussi de rester, on traverse tous a la maison de Claude pour la visite officiel. En passant devant le garage de la maison a Claude, j'ouvre une porte et leur montre l'intérieur. Le garage qui contient des voitures. Je leur explique que celle de fond qui est à mon père et est spécial et celle de ma mère qui se trouve dans la porte prête à sortir, mais ça fait deux ans qu'elle n'est pas ressortie d'ici. Les filles, demain je vous prête la voiture de ma mère. Nadine a son permis de conduire. Vous pourrez aller à la boutique avec la voiture ensemble. Cette voiture est une Peugeot neuve que ma mère avait acheté un mois avant de mourir et qui n’a jamais roulé depuis qu'elle est morte. Ça va vous dépanner pour voyager d’ici à la ville. Les filles demandent à Claude si elles peuvent visiter sa maison.

 Claude –

Bien sûr, et moi aussi, j'ai plusieurs chambres vides au second étage. On n'est pas monté tout à l'heure quand nous sommes venues nous changer. Si vous voulez vous pouvez coucher chez moi si ça vous gêne de coucher chez Pierre. La visite de ma maison terminée, les filles ont bien aimé. Nadine me dit qu’elle aimerait rester ici avec moi et demande si elle peut prendre la chambre rose qui est la plus grande. Elle me dit qu’elle est même prête à payer au lieu de rester seule dans son logement si je veux bien d’elle. Car son logement est insalubre et elle paye le gros prix pour ce taudis. Je lui réponds que si elle veut rester ici, elle est la bienvenue et c’est comme les deux autres gratis et que les règle sont les mêmes pour tous et les punitions aussi si nécessaire. Demain, on passera prendre le reste de tes affaires pour vider ton appartement si c’est ton choix. Elle me dit oui, elle adorerait vivre ici, elle a lu les règlements avec Maude et Marie et qu’elle accepte. Je vais peut-être mi-habitué un jour à genre de vie ici. Surtout sans maillot et les règles, moi et la discipline, on ne fait pas bon manage. Les deux autre me disent qu’elles vont de l’autre côté avec Pierre, elles ont repéré chacune une chambre avec grand lit qui leur plaisait. Tu vas voir Nadine, tu adoreras ça, ce n'est qu'une coutume, vivre nu, te baigner nue, c'est juste de s’habituer à la nudité et après, on adore.

Les filles partent s’installer dans les chambres qu’elles ont choisies et reviennent tous nous voir dehors. Elles nous demandent à Pierre et moi si elles peuvent prendre une bière dans le bar qu'elles ont vu à l'intérieur avant de s’asseoir avec nous. Je leur réponds qu’elles sont chez elles. Il ne faut surtout pas se gêner, servez-vous, il n’y a aucune permission à demander ici, vous faites ce que vous voulez et sans aucune gêne.

 

à suivre

 

jeudi 11 juin 2020

Jeune Fille mérite une sévère fessée a l'institut le tag 7




   Gérard

Je suis resté à l'intérieur de ma classe pendant là pause. Au lieu de suivre les filles à la toilette pour rester un peu à l'abri des voyeurs dans le couloir qui essaient de nous regarder à l'intérieur par là porte qui est grande ouverte. À part quelques filles de ma classe qui reste dans la porte à nous regarder Ludovic et moi qui sommes nus. Ludovic lui est bien bandé, le pénis dresser bien droit que plusieurs filles s'excite à le regarder. Moi nue de la taille aux chevilles et en plein début d'érection moi aussi. Ma honte est que les filles mire mon pénis qui commence à grossir et raidir, c'est gênant. J'ai hâte que les filles sorte et me laisse enfin seule ici, ce sera moins humiliant. Je vois le dirlo qui s'approche de Ludovic en me regardant.

— M. Delavarenne me fait signe et je le regarde. Il me dit M. Duhamel, vous aussi, votre chemise, vous l’enlever, vos souliers et vos bas aussi et vous nous accompagner dans le couloir. Je n’ai pas trop le choix avec lui, il faut lui obéir sinon on s’en souvient longtemps. Pendant que les étudiants de ma classe sortent, je finis de me déshabiller devant quelques curieuses que me regarde encore bander. À mon tour moi aussi, je suis entièrement nu, on n'a pas le choix, c'est plus prudent d'obéir quand le dirlo donne des ordres. J'approche de la porte presque obstruer par des filles qui nous regard Ludovic et moi s'approcher d'elles, main sur mon intimité qui a rétréci très rapidement par la gêne. Le dirlo m’attend, Ludovic est déjà sorti dans le couloir au travers des étudiants.

 Je fige dans la porte, humiliée d’être nu devant plusieurs dizaines de personnes. Jamais je pensais que c’était si humiliant d’être seul à être nu devant autant de gens en public. Tous les autres sont déjà plus loin dans le corridor et je suis le seul à rester dans la porte de la classe et être le sujet de conversation de toutes ces filles-là alentour de moi. Par instinct, je cache mon intimité avec mes mains, mon pénis est redevenu normal, c'est beaucoup moins difficile de le cacher. Pour le reste, c'est gênant pareil d'être nu devant tout le monde, mais j'essaie de dissimuler le principal. Les filles aiment me mater le derrière aussi, mais je ne peux pas tout cacher.


  J’entends M Lepetit qui est dans le corridor me dire. Tes bras croisent les dans ton dos comme les autres, au même moment les fesses me brûlent. Je viens de recevoir un coup de canne en travers des fesses, une canne qui était accrochée près du tableau et que M. Lepetit avait ramassé avant de sortir. 

 Vas rejoindre M Rachid au centre du couloir, me dit-il, ou je te fais avancer à coup de canne, c'est toi qui décides. J’enlève mes mains de mon intimité et croise mes bras comme demander. Sur un sol en céramique, c'est froid pied nu. J'avance devant tous ces gars et filles qui sont devant moi à me regarder dans le couloir qui sont eux aussi en pause c'est plein je suis obligé de me frayer un chemin pour rejoundre les autres au centre. Sur cet étage, on est plus ou moins 300 étudiants en deuxième année et on n'est environs qu'une soixantaine de gars. L'institut n’accueille plus que des filles, à partir de cette année plus aucun gars n’est admis ici en première.

J'avance tranquillement, très humilié d’être nu devant tant de filles donc plusieurs d'entre elles sont de mes amies. M. Lepetit qui me suit demande aux étudiants de nous laisser avancer, c'est plein devant nous. Les étudiantes pour la plupart s’écartent pour me laisser avancer et s'amusent à commenter sur ce qu'il regarde pendre, et à rire de ma nudité. Je réussis à rejoindre Ludovic pas très loin en face de moi. M. le directeur qui était déjà avec Ludovic me fait signe de me placer à la gauche de Ludovic et ne plus bouger. beaucoup s'amuse a comperer la longeur de nos queue et c'est humiliant. Les quatre filles arrivent des toilettes en se frayant un chemin, elles aussi, au travers des autres personnes dans le couloir très achalandé.

 Mme Petigrew les a obligées à elles aussi de croiser leurs bras derrière elle dans leur dos. Rebecca me regarde de la tête au pied, maintenant, on a plus de secret l'un envers l’autre, me dit-elle. Elle se place à ma gauche suivie de Nancy. Le dirlo fait placer Marie à la droite de Ludovic. Pour Sandra, il lui demande de se placer juste derrière Marie avec les autres curieux qui nous regardent. Sandra lâche des commentaires. Lâchez-moi sale cochon, ça dérange le directeur qui est devant Sandra. Qui y a-t-il Mlle Lawson pourquoi êtes-vous si impolis Mlle envers vos camarades. Sandra dit au dirlo, il y en a qui me taponnent les fesses M. Je n’aime pas ça du tout me faire pogner les fesses, c'est très désagréable M. Le directeur lui demande d’arrêter de se plaindre. Une belle fille comme toi et à poil au travers de tout ce monde-là, c'est normal qu’il y en ait qui ont envie de toucher tes jolies fesses, c'est humain.

La secrétaire du dirlo arrive en se frayant un passage au travers des étudiants dans le couloir avec une magnifique fille 1,58 m environs, cheveux châtains aux épaules. Superbe silhouette que sa robe bleue très courte et très moulante nous fait voir. De petits seins qu'on devine dans son décolleté plongeant, belles courbe de fesses que tous regarde. Personnes ne la connaît, Mme Sénégal commence à nous la présenter. Mlle Claude Letarte la nouvelle stagiaire de M. Lepetit qui commence aujourd'hui nous annonce-t-elle. Claude la petite nouvelle se place juste en face de moi, je suis mort de honte à poil devant une si belle fille. Et obliger de garder mes mains dans mon dos. Ne pouvant même pas cacher mon intimité devant cette belle fille d'environs 23, 24 ans. Elle me regarde de la tête au pied et fait le tour de mes camarades qui sont elles aussi a poil de chaque côté de moi et qui donne quelques petites tapes sur les fesses de Nancy. Très jolie ce que je vois, commente-t-elle en me regardant les fesses à moi aussi

Le dirlo nous la présente comme la nouvelle stagiaire de M Lepetit qui va devenir son assistante après son stage. Moi et M. Lepetit rajoute-t-il, nous avons trop d’ouvrage, on est de plus en plus obliger de sévir. Les règlements sont de plus en plus bafouer et on va devenir beaucoup plus sévère dans l'avenir Alors, vous en êtes tous avertis. Mlle Letarte va être celle qui appliquera la majorité des punitions ici à l'avenir, c'est pour cela qu'on vous a engager Mlle pour faire respecter les règlements. Moi et M Lepetit devons être de plus en plus présent à l’institut universitaire St-David qui fonctionne avec la nôtre et qui est à quelques kilomètres d’ici. Vous tous les étudiants ici, vous allez finir par la connaître et la respecter elle aussi.

Tous ceux qui sont ici dans le couloir présentement ont sûrement vu ou entendu parler de la punition ce midi qu'a reçu Mlle Lawson derrière moi. Mais Mlle Esteban et M. Rachid sont ses complices, ils ont tous deux participer à ce vandalisme parce que, c'est du vandalisme dessiné sur des murs avec de la peinture. Et ils sont aussi coupables que Sandra. Je me prépare donc à les punir à leur tour, eux aussi, comme j'ai puni Sandra ce midi ici même devant vous tous. Ils méritent la même punition que Mlle Lawson. Une fille qui est derrière moi demande au dirlo pourquoi les trois autres sont-ils là et à poil au côté de Marie et Ludovic. Ce n’est pas compliquer Mlle, ces trois jeunes sont devenus incontrôlables devant leurs camarades à poil devant eux, et se sont tripotés sous leur bureau. Malgré tous les avertissements reçus, ils ne se sont pas calmés les hormones, et voici ce qui arrive quand on n’écoute pas les consignes.

 

On entend Le dirlo demandé à Marie qui est la dernière à ma droite de se pencher, et lui claque les cuisses avec sa canne. Mlle Esteban, écartez vos jambes. Je veux voire vos mains sur vos chevilles et vos jambes bien écartées pour que vous restiez plus stable. Je veux aussi que vous montriez vos parties intimes à vos camarades, pour que vos camarades soient satisfait de ce qu’ils voient. Vous allez recevoir 15 coups de cette canne que je tiens. Ça laissera de belles marques sur vos fesses semblables à celle du fouet sur les fesses de Sandra ce midi, et vous aurez du mal à poser vos fesses sur une chaise pour quelques heures. Si vos mains quittent vos chevilles et vont toucher vos fesses, je vous rajoute trois coups supplémentaires. Et chacun de vos camarades a votre gauche par votre faute en recevrons chacun trois coups supplémentaires, eux aussi. C'est M. Lepetit qui se tient derrière eux qui va les appliquer. Vous m’avez bien comprise, j'espère. Si vous quittez votre position, vous ferez punir les quatre autres aussi de trois coups supplémentaires, sauf pour Mlle Lawson. Pour elle, ses fesses en ont reçu assez pour aujourd'hui.

Je regarde Marie à ma droite qui hésite à se pencher et à écarter ses jambes. Je me dis qu'elle devrait obéir, elle va le regretter. Elle sait très bien ce qu'elle va exposer à tous ceux qui sont en arrière d’elle en prenant cette position. Surtout Sandra à qui elle ne veut pas s'exposer.
Marie avait ri d'elle un peu plus tôt dans la journée pour sa nudité dans les couloirs, maintenant, c'est à son tour d'être humiliée devant son amie Sandra. Marie se courbe en tenant se cheville comme le directeur lui avait demandé. Marie garde ses jambes bien collées l'une sur l'autre, pour que son intimité reste cachée. Le directeur regarde le derrière de Marie. Et cela ne lui plait pas. Le directeur commence à lui donner des coups de canne sur ces cuisses.
Marie écarte ses jambes en se repositionnant debout, les coups que le dirlo lui donne sur une place si sensible lui font mal et elle écarte ses jambes jusqu’à temps que le dirlo soit satisfait. Marie qui est toujours debout, les jambes bien écartées cette fois-ci, mais ne veut pas reprendre sa position penchée et tenir ses chevilles. Le dirlo qui n'apprécie pas du tout met sa main derrière la tête de Marie, sur sa nuque plus précisément. En la poussant, il l’oblige à se pencher comme il lui exige, et de mettre ses mains sur le bas de ses jambes comme il lui avait demandé. Tu vois Marie, je sais toujours me faire obéir, dans cette position, tu offres toute ton intimité à Sandra et ses voisins qui sont juste derrière toi, et tes fesses son juste bien positionner pour ma canne aussi.
 
Le dirlo fait siffler sa canne en la fouettant en l’air trois fois. Il s'enligne sur le derrière de Marie, et frappe ses fesses très durement. Marie cri, elle lâche ses jambes et remonte ses mains, les redescend aussi vite. C'est mieux pour nous, car M. Lepetit est juste à côté de Nancy et prêt à lui frapper les fesses. Un deuxième, un troisième, ainsi de suite. Marie résiste se retient pour ne pas aller toucher ses fesses. Le dirlo ne la ménage pas, des marques de la canne apparaissent sur la peau de ses fesses. Tout comme il avait fait pour Sandra avec le fouet ce midi, M.Lepetit le directeur frappe très durement ses fesses. Il frappe avec force, on entend la canne siffler avant de frapper les fesses. Au onzième coup Marie ne peut plus se retenir, ses fesses doivent lui brûlées. Elle se redresse et ses mains vont directement sur ses fesses, les yeux pleins d’eau et hurlant de douleur, suppliant le dirlo d’arrêter, elle ne veut plus se pencher.

Le dirlo fait signe à M. Lepetit de punir Nancy et demande à Marie de regarder. Ce que tes amies vont recevoir est ta faute. Nancy reçoit ces trois coups en restant debout et fait une grimace, ça lui a fait mal. Rebecca, elle aussi, fait un petit cri à chaque coup. Au tour de Ludovic pendant ce temps le dirlo a fait reprendre la position que Marie avait quittée. Il reprend ses coups, le douzième, et les trois autres ont suivi sans que Marie bouge, mais on l'entend crier à chaque coup. C’est à mon tour maintenant. M. Lepetit me donne le premier, ça me chauffe les fesses, m’engourdisse, j’essaie de ne pas trop laisser paraître que ça fait mal, le deuxième fait encore plus mal, le dernier est pire. Je n’ai jamais reçu de coup de canne ou autre instrument. Mis à part ma mère qui m’a déjà donné quelques bonnes fessées méritées, je l'avoue avec ses mains cul nu ça me rougissait les fesses, mais jamais cela procurait autant de brulure que la canne. Ça me procurait une bonne douleur pendant quelques minutes, mais jamais ça n’avait autant chauffer et brûlé que ces coups que je viens de recevoir. Et rien que 3, ça doit être terrible les étudiants que l’on voie recevoir 15, 20 coups de lanière ou plus comme Sandra a reçu ce midi. Je sais pourquoi Marie cri à chaque coup maintenant.

  Le dirlo doit redescendre au premier pour affaire, maintenant qu’il en a fini avec Marie, il donne la canne à la nouvelle Mlle Letarte et lui demande de punir Ludovic 15 coups comme a reçu Mlle Esteban. M Lepetit va vous superviser Mlle pour votre première punition que vous administrerez. Mlle Letarte nous fait faire un pas par en avant à moi et Marie pour être mieux positionnée au côté de Ludovic. Elle commence à frapper sont derrière elle frappe presque aussi fort que le dirlo. D'après les sifflements et le bruit que fait la canne sur les fesses de Ludovic et ses lamentations aussi. Pendant que Ludovic reçoit ses coups, je regarde les fesses de Marie qui sont zébrées pratiquement comme celles de Sandra. Marie a les fesses et sa hanche droite marquée par la canne et elle a encore les yeux tout mouiller et rouges. Aux onzièmes coups de canne, Mlle Letarte prend une petite pause et frotte les fesses de Ludovic. Elle prend le temps de regardée son engin qui cherche à grossir. La stagiaire prend même le pénis de Ludovic dans sa main droite et dit. Regardez tous ça l’excite de recevoir une fessée par une fille, il bande même en public devant toutes nous autres les filles. 


La pause finie, Mlle Letarte fini de donner ses quatre derniers coups à Ludovic. M Lepetit demande à tous les étudiants dans le couloir de regagner leur salle de cours. Nous les six punis, il nous fait rentrer dans la nôtre en même temps que nos camarades en nous envoyant mes deux amies et moi le long du mur extérieur où sont était resté nos vêtements. Les bras toujours croisé dans le dos face à tous, à la différence cette fois-ci, on est entièrement nu. Et c'est ainsi que l'on devra assister à notre prochain cours. M Lepetit en avise Mme Petigrew que pour le prochain cours tous les trois, on reste nu, aussi. À la fin de la journée, nous pourrons nous rhabiller pour retourner à la maison, pas avant, lui dit-il. Mlle Letarte, ramassez les vêtements de Marie et Ludovic qui sont encore sur le bureau. Descends les vêtements à mon bureau, lui demande M. Lepetit. Mlle Lawson Mlle Esteban et M. Rachid, vous trois, c'est dans mon bureau que vous viendrez vous habiller ce soir. Donc qu'on doit tous les six finir notre journée nus d’après ce qu’il vient de dire, c'était donc sérieux ce que venait de dire le dirlo.

Mlle Letarte qui est revenue nous voir avant de ramasser les vêtements regarde à nouveau Ludovic qui recommence encore à bander.

--- C'es-tu jeune garçon, c'est indécent toujours être bandé devant des filles. Calme-toi les hormones, tu as des filles à poil à côté de toi et ça t'excite. Ou peut-être voudrais-tu que moi, je me déshabille devant toi. Mme Petigrew, j'ai probablement trouvé la raison pourquoi il est toujours bandé. Il vaudrait me voire toute nue moi aussi. Il tripe sur mon corps à son regard, j'en suis sûre.

Je regarde la stagiaire qui reprend dans ses mains la bite bien raide de Ludovic. Elle lui demande s'il aimerait ça, que devant toutes ses copines, elle le masturbe, ça te ferait un grand plaisir que je te masturbe ?, lui demande-t-elle.

--- Dis-le à haute voix, sois franc pour que tout le monde l'entende que tu aimerais qu'ont je me mette à poil devant toi, dis-le allez. Cela te plaît de bander, tu essaies d’impressionner tes amies avec ton petit engin en érection. Mais c’est raté, regarde toutes ses filles ici dans la salle. Elles rient toutes de toi et ton bandage.
Cela ne me plaît pas. La stagiaire laisse la queue de Ludovic et me regarde. On entend la cloche sonnée pour le début du cours, j'espère seulement qu'elle ne me ramasse pas le pénis, comme elle a fait avec Ludovic, c'est très gênant. Elle regarde mon pénis pendant, redevenu tout petit à sa forme normale au repos. Cela me stresse de voire qu'elle descend une main sur mon pénis en le prenant entre le bout de ses doigts. Ça me gêne, je suis sûr que j'ai la face rouge, tellement je suis gêné de me faire taponner le pénis devant tous les autres dans la classe. Toi, tu gardes ça mou, c'est plus raisonnable et décent, me dit-elle, et le relâche. Rebecca qui est ma voisine demande à la stagiaire d'arrêter de me taponner. Tu n'es qu'une cochonne et arrête de nous taponner, on n'est pas tes esclaves, lui dit-elle. Claude, la stagiaire qui vient de lâcher mon pénis, et j'avais hâte, dit de quoi tu te mêles, petite insolente. En se retournant la tête vers Rebecca, elle lui met une main sur l'un de ses petits seins, que je trouve très mignons. Mlle, lui dit-elle, j’adore vos petits seins très fermes, et toi, tu es en punition. Donc que j'ai tous les droits sur un puni, te touché tes petits nichons où te pognée tes belles fesses ne m'importe peu. Relisez bien votre carnet de règlements. Ensuite, elle se déplace au côté de Nancy à ma gauche. Je me tourne la tête pour regarder Nancy comment elle réagit. Mlle Letarte lui tien une fesse et pose son autre main sur sa poitrine. Nancy n'aime pas ça se faire poignée et flatté les fesses. Même que je vois qu'elle va jusqu'à entrer sa main profondément entre ses fesses, et elle la descend entre les cuisses. Nancy lui dit d’enlever sa main de là qu’elle n’a aucun droit de la toucher dans ses parties.


Mlle Letarte réplique avec une claque sur un de ses seins avec son autre main. Sachez, vous aussi, Mlle, que quand un élève est en punition, on a tous les droits sur cet étudiant. Alors, je suis sûre que ça commence à t’exciter mes petites caresses, c'est pour cela que tu me demandes de l'enlever. Ça te gêne que devant tes amies, je te caresse, ça doit t'excitée, je sens que ça devient humide. Ton sexe s'humidifie. La stagiaire s'adresse aux autres étudiants dans la salle qui regardent tous en notre direction. Votre amie Nancy est toute trempe, elle aime se faire jouer dans sa chatte. Elle rajoute pour l'humilier encore plus. Pour Nancy, c'est peut-être une première dans sa vie, qu'elle se fait caresser à cette endroit-là par un autre et une fille en plus, aimes-tu ça Nancy ? Sûrement, Claude ressort ses doigts. Regardez tous mes doigts sont mouillés, et elle expose ses doigts. Toute la salle regarde Nancy qui se fait explorer son intimité et est humiliée.

Rebecca qui est tous près de moi me chuchote pour ne pas que Mlle Letarte l’entendre. Tu parles d’une cochonne celle-là, une maudite chipie, nous humilier et taponnés ainsi. Mlle Letarte qui avait remis sa main entre les fesses de Nancy l'enlève et vient voire Rebecca. Répète à haute voix ce que tu viens de dire à ton ami. Rebecca n’ose pas trop et cherche ces mots. Je t’ai entendu dire que j’étais une chipie. Je vais te montrer que je suis une vraie chipie, demain matin à 7:00 avec tes trois amies Sandra, Marie et Ludovic, toi aussi, tu vas te présenter à l’atelier de M. Pogne. Je serai présente pour vous accueillir et tu subiras la même punition que les trois autres, toi aussi, tu n'as finie de te promener fesses a l'air en public. Maintenant, je vous quitte pour laisser Mme Petigrew faire son cours et n'oublie pas Rebecca pour demain matin, sinon j'irai moi-même te chercher dans ta classe. Et je te déshabillerai moi-même devant tes camarades, tu feras le trajet a poil. Je vous reverrai demain matin tous les quatre et soyez tous à l’heure. Rebecca regrette ses paroles et lui demande pardon. Elle s’excuse, mais Mlle Letarte ramasse les vêtements de Marie et Ludovic et lui dit a Rebecca. C'est trop tard Rebecca, je t'attends demain. J'ai vraiment hâte de te chauffer moi-même les fesses ma belle, et elle sort de la salle en fermant le porte derrière elle.

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...