jeudi 11 juin 2020

Jeune Fille mérite une sévère fessée a l'institut le tag 7




   Gérard

Je suis resté à l'intérieur de ma classe pendant là pause. Au lieu de suivre les filles à la toilette pour rester un peu à l'abri des voyeurs dans le couloir qui essaient de nous regarder à l'intérieur par là porte qui est grande ouverte. À part quelques filles de ma classe qui reste dans la porte à nous regarder Ludovic et moi qui sommes nus. Ludovic lui est bien bandé, le pénis dresser bien droit que plusieurs filles s'excite à le regarder. Moi nue de la taille aux chevilles et en plein début d'érection moi aussi. Ma honte est que les filles mire mon pénis qui commence à grossir et raidir, c'est gênant. J'ai hâte que les filles sorte et me laisse enfin seule ici, ce sera moins humiliant. Je vois le dirlo qui s'approche de Ludovic en me regardant.

— M. Delavarenne me fait signe et je le regarde. Il me dit M. Duhamel, vous aussi, votre chemise, vous l’enlever, vos souliers et vos bas aussi et vous nous accompagner dans le couloir. Je n’ai pas trop le choix avec lui, il faut lui obéir sinon on s’en souvient longtemps. Pendant que les étudiants de ma classe sortent, je finis de me déshabiller devant quelques curieuses que me regarde encore bander. À mon tour moi aussi, je suis entièrement nu, on n'a pas le choix, c'est plus prudent d'obéir quand le dirlo donne des ordres. J'approche de la porte presque obstruer par des filles qui nous regard Ludovic et moi s'approcher d'elles, main sur mon intimité qui a rétréci très rapidement par la gêne. Le dirlo m’attend, Ludovic est déjà sorti dans le couloir au travers des étudiants.

 Je fige dans la porte, humiliée d’être nu devant plusieurs dizaines de personnes. Jamais je pensais que c’était si humiliant d’être seul à être nu devant autant de gens en public. Tous les autres sont déjà plus loin dans le corridor et je suis le seul à rester dans la porte de la classe et être le sujet de conversation de toutes ces filles-là alentour de moi. Par instinct, je cache mon intimité avec mes mains, mon pénis est redevenu normal, c'est beaucoup moins difficile de le cacher. Pour le reste, c'est gênant pareil d'être nu devant tout le monde, mais j'essaie de dissimuler le principal. Les filles aiment me mater le derrière aussi, mais je ne peux pas tout cacher.


  J’entends M Lepetit qui est dans le corridor me dire. Tes bras croisent les dans ton dos comme les autres, au même moment les fesses me brûlent. Je viens de recevoir un coup de canne en travers des fesses, une canne qui était accrochée près du tableau et que M. Lepetit avait ramassé avant de sortir. 

 Vas rejoindre M Rachid au centre du couloir, me dit-il, ou je te fais avancer à coup de canne, c'est toi qui décides. J’enlève mes mains de mon intimité et croise mes bras comme demander. Sur un sol en céramique, c'est froid pied nu. J'avance devant tous ces gars et filles qui sont devant moi à me regarder dans le couloir qui sont eux aussi en pause c'est plein je suis obligé de me frayer un chemin pour rejoundre les autres au centre. Sur cet étage, on est plus ou moins 300 étudiants en deuxième année et on n'est environs qu'une soixantaine de gars. L'institut n’accueille plus que des filles, à partir de cette année plus aucun gars n’est admis ici en première.

J'avance tranquillement, très humilié d’être nu devant tant de filles donc plusieurs d'entre elles sont de mes amies. M. Lepetit qui me suit demande aux étudiants de nous laisser avancer, c'est plein devant nous. Les étudiantes pour la plupart s’écartent pour me laisser avancer et s'amusent à commenter sur ce qu'il regarde pendre, et à rire de ma nudité. Je réussis à rejoindre Ludovic pas très loin en face de moi. M. le directeur qui était déjà avec Ludovic me fait signe de me placer à la gauche de Ludovic et ne plus bouger. beaucoup s'amuse a comperer la longeur de nos queue et c'est humiliant. Les quatre filles arrivent des toilettes en se frayant un chemin, elles aussi, au travers des autres personnes dans le couloir très achalandé.

 Mme Petigrew les a obligées à elles aussi de croiser leurs bras derrière elle dans leur dos. Rebecca me regarde de la tête au pied, maintenant, on a plus de secret l'un envers l’autre, me dit-elle. Elle se place à ma gauche suivie de Nancy. Le dirlo fait placer Marie à la droite de Ludovic. Pour Sandra, il lui demande de se placer juste derrière Marie avec les autres curieux qui nous regardent. Sandra lâche des commentaires. Lâchez-moi sale cochon, ça dérange le directeur qui est devant Sandra. Qui y a-t-il Mlle Lawson pourquoi êtes-vous si impolis Mlle envers vos camarades. Sandra dit au dirlo, il y en a qui me taponnent les fesses M. Je n’aime pas ça du tout me faire pogner les fesses, c'est très désagréable M. Le directeur lui demande d’arrêter de se plaindre. Une belle fille comme toi et à poil au travers de tout ce monde-là, c'est normal qu’il y en ait qui ont envie de toucher tes jolies fesses, c'est humain.

La secrétaire du dirlo arrive en se frayant un passage au travers des étudiants dans le couloir avec une magnifique fille 1,58 m environs, cheveux châtains aux épaules. Superbe silhouette que sa robe bleue très courte et très moulante nous fait voir. De petits seins qu'on devine dans son décolleté plongeant, belles courbe de fesses que tous regarde. Personnes ne la connaît, Mme Sénégal commence à nous la présenter. Mlle Claude Letarte la nouvelle stagiaire de M. Lepetit qui commence aujourd'hui nous annonce-t-elle. Claude la petite nouvelle se place juste en face de moi, je suis mort de honte à poil devant une si belle fille. Et obliger de garder mes mains dans mon dos. Ne pouvant même pas cacher mon intimité devant cette belle fille d'environs 23, 24 ans. Elle me regarde de la tête au pied et fait le tour de mes camarades qui sont elles aussi a poil de chaque côté de moi et qui donne quelques petites tapes sur les fesses de Nancy. Très jolie ce que je vois, commente-t-elle en me regardant les fesses à moi aussi

Le dirlo nous la présente comme la nouvelle stagiaire de M Lepetit qui va devenir son assistante après son stage. Moi et M. Lepetit rajoute-t-il, nous avons trop d’ouvrage, on est de plus en plus obliger de sévir. Les règlements sont de plus en plus bafouer et on va devenir beaucoup plus sévère dans l'avenir Alors, vous en êtes tous avertis. Mlle Letarte va être celle qui appliquera la majorité des punitions ici à l'avenir, c'est pour cela qu'on vous a engager Mlle pour faire respecter les règlements. Moi et M Lepetit devons être de plus en plus présent à l’institut universitaire St-David qui fonctionne avec la nôtre et qui est à quelques kilomètres d’ici. Vous tous les étudiants ici, vous allez finir par la connaître et la respecter elle aussi.

Tous ceux qui sont ici dans le couloir présentement ont sûrement vu ou entendu parler de la punition ce midi qu'a reçu Mlle Lawson derrière moi. Mais Mlle Esteban et M. Rachid sont ses complices, ils ont tous deux participer à ce vandalisme parce que, c'est du vandalisme dessiné sur des murs avec de la peinture. Et ils sont aussi coupables que Sandra. Je me prépare donc à les punir à leur tour, eux aussi, comme j'ai puni Sandra ce midi ici même devant vous tous. Ils méritent la même punition que Mlle Lawson. Une fille qui est derrière moi demande au dirlo pourquoi les trois autres sont-ils là et à poil au côté de Marie et Ludovic. Ce n’est pas compliquer Mlle, ces trois jeunes sont devenus incontrôlables devant leurs camarades à poil devant eux, et se sont tripotés sous leur bureau. Malgré tous les avertissements reçus, ils ne se sont pas calmés les hormones, et voici ce qui arrive quand on n’écoute pas les consignes.

 

On entend Le dirlo demandé à Marie qui est la dernière à ma droite de se pencher, et lui claque les cuisses avec sa canne. Mlle Esteban, écartez vos jambes. Je veux voire vos mains sur vos chevilles et vos jambes bien écartées pour que vous restiez plus stable. Je veux aussi que vous montriez vos parties intimes à vos camarades, pour que vos camarades soient satisfait de ce qu’ils voient. Vous allez recevoir 15 coups de cette canne que je tiens. Ça laissera de belles marques sur vos fesses semblables à celle du fouet sur les fesses de Sandra ce midi, et vous aurez du mal à poser vos fesses sur une chaise pour quelques heures. Si vos mains quittent vos chevilles et vont toucher vos fesses, je vous rajoute trois coups supplémentaires. Et chacun de vos camarades a votre gauche par votre faute en recevrons chacun trois coups supplémentaires, eux aussi. C'est M. Lepetit qui se tient derrière eux qui va les appliquer. Vous m’avez bien comprise, j'espère. Si vous quittez votre position, vous ferez punir les quatre autres aussi de trois coups supplémentaires, sauf pour Mlle Lawson. Pour elle, ses fesses en ont reçu assez pour aujourd'hui.

Je regarde Marie à ma droite qui hésite à se pencher et à écarter ses jambes. Je me dis qu'elle devrait obéir, elle va le regretter. Elle sait très bien ce qu'elle va exposer à tous ceux qui sont en arrière d’elle en prenant cette position. Surtout Sandra à qui elle ne veut pas s'exposer.
Marie avait ri d'elle un peu plus tôt dans la journée pour sa nudité dans les couloirs, maintenant, c'est à son tour d'être humiliée devant son amie Sandra. Marie se courbe en tenant se cheville comme le directeur lui avait demandé. Marie garde ses jambes bien collées l'une sur l'autre, pour que son intimité reste cachée. Le directeur regarde le derrière de Marie. Et cela ne lui plait pas. Le directeur commence à lui donner des coups de canne sur ces cuisses.
Marie écarte ses jambes en se repositionnant debout, les coups que le dirlo lui donne sur une place si sensible lui font mal et elle écarte ses jambes jusqu’à temps que le dirlo soit satisfait. Marie qui est toujours debout, les jambes bien écartées cette fois-ci, mais ne veut pas reprendre sa position penchée et tenir ses chevilles. Le dirlo qui n'apprécie pas du tout met sa main derrière la tête de Marie, sur sa nuque plus précisément. En la poussant, il l’oblige à se pencher comme il lui exige, et de mettre ses mains sur le bas de ses jambes comme il lui avait demandé. Tu vois Marie, je sais toujours me faire obéir, dans cette position, tu offres toute ton intimité à Sandra et ses voisins qui sont juste derrière toi, et tes fesses son juste bien positionner pour ma canne aussi.
 
Le dirlo fait siffler sa canne en la fouettant en l’air trois fois. Il s'enligne sur le derrière de Marie, et frappe ses fesses très durement. Marie cri, elle lâche ses jambes et remonte ses mains, les redescend aussi vite. C'est mieux pour nous, car M. Lepetit est juste à côté de Nancy et prêt à lui frapper les fesses. Un deuxième, un troisième, ainsi de suite. Marie résiste se retient pour ne pas aller toucher ses fesses. Le dirlo ne la ménage pas, des marques de la canne apparaissent sur la peau de ses fesses. Tout comme il avait fait pour Sandra avec le fouet ce midi, M.Lepetit le directeur frappe très durement ses fesses. Il frappe avec force, on entend la canne siffler avant de frapper les fesses. Au onzième coup Marie ne peut plus se retenir, ses fesses doivent lui brûlées. Elle se redresse et ses mains vont directement sur ses fesses, les yeux pleins d’eau et hurlant de douleur, suppliant le dirlo d’arrêter, elle ne veut plus se pencher.

Le dirlo fait signe à M. Lepetit de punir Nancy et demande à Marie de regarder. Ce que tes amies vont recevoir est ta faute. Nancy reçoit ces trois coups en restant debout et fait une grimace, ça lui a fait mal. Rebecca, elle aussi, fait un petit cri à chaque coup. Au tour de Ludovic pendant ce temps le dirlo a fait reprendre la position que Marie avait quittée. Il reprend ses coups, le douzième, et les trois autres ont suivi sans que Marie bouge, mais on l'entend crier à chaque coup. C’est à mon tour maintenant. M. Lepetit me donne le premier, ça me chauffe les fesses, m’engourdisse, j’essaie de ne pas trop laisser paraître que ça fait mal, le deuxième fait encore plus mal, le dernier est pire. Je n’ai jamais reçu de coup de canne ou autre instrument. Mis à part ma mère qui m’a déjà donné quelques bonnes fessées méritées, je l'avoue avec ses mains cul nu ça me rougissait les fesses, mais jamais cela procurait autant de brulure que la canne. Ça me procurait une bonne douleur pendant quelques minutes, mais jamais ça n’avait autant chauffer et brûlé que ces coups que je viens de recevoir. Et rien que 3, ça doit être terrible les étudiants que l’on voie recevoir 15, 20 coups de lanière ou plus comme Sandra a reçu ce midi. Je sais pourquoi Marie cri à chaque coup maintenant.

  Le dirlo doit redescendre au premier pour affaire, maintenant qu’il en a fini avec Marie, il donne la canne à la nouvelle Mlle Letarte et lui demande de punir Ludovic 15 coups comme a reçu Mlle Esteban. M Lepetit va vous superviser Mlle pour votre première punition que vous administrerez. Mlle Letarte nous fait faire un pas par en avant à moi et Marie pour être mieux positionnée au côté de Ludovic. Elle commence à frapper sont derrière elle frappe presque aussi fort que le dirlo. D'après les sifflements et le bruit que fait la canne sur les fesses de Ludovic et ses lamentations aussi. Pendant que Ludovic reçoit ses coups, je regarde les fesses de Marie qui sont zébrées pratiquement comme celles de Sandra. Marie a les fesses et sa hanche droite marquée par la canne et elle a encore les yeux tout mouiller et rouges. Aux onzièmes coups de canne, Mlle Letarte prend une petite pause et frotte les fesses de Ludovic. Elle prend le temps de regardée son engin qui cherche à grossir. La stagiaire prend même le pénis de Ludovic dans sa main droite et dit. Regardez tous ça l’excite de recevoir une fessée par une fille, il bande même en public devant toutes nous autres les filles. 


La pause finie, Mlle Letarte fini de donner ses quatre derniers coups à Ludovic. M Lepetit demande à tous les étudiants dans le couloir de regagner leur salle de cours. Nous les six punis, il nous fait rentrer dans la nôtre en même temps que nos camarades en nous envoyant mes deux amies et moi le long du mur extérieur où sont était resté nos vêtements. Les bras toujours croisé dans le dos face à tous, à la différence cette fois-ci, on est entièrement nu. Et c'est ainsi que l'on devra assister à notre prochain cours. M Lepetit en avise Mme Petigrew que pour le prochain cours tous les trois, on reste nu, aussi. À la fin de la journée, nous pourrons nous rhabiller pour retourner à la maison, pas avant, lui dit-il. Mlle Letarte, ramassez les vêtements de Marie et Ludovic qui sont encore sur le bureau. Descends les vêtements à mon bureau, lui demande M. Lepetit. Mlle Lawson Mlle Esteban et M. Rachid, vous trois, c'est dans mon bureau que vous viendrez vous habiller ce soir. Donc qu'on doit tous les six finir notre journée nus d’après ce qu’il vient de dire, c'était donc sérieux ce que venait de dire le dirlo.

Mlle Letarte qui est revenue nous voir avant de ramasser les vêtements regarde à nouveau Ludovic qui recommence encore à bander.

--- C'es-tu jeune garçon, c'est indécent toujours être bandé devant des filles. Calme-toi les hormones, tu as des filles à poil à côté de toi et ça t'excite. Ou peut-être voudrais-tu que moi, je me déshabille devant toi. Mme Petigrew, j'ai probablement trouvé la raison pourquoi il est toujours bandé. Il vaudrait me voire toute nue moi aussi. Il tripe sur mon corps à son regard, j'en suis sûre.

Je regarde la stagiaire qui reprend dans ses mains la bite bien raide de Ludovic. Elle lui demande s'il aimerait ça, que devant toutes ses copines, elle le masturbe, ça te ferait un grand plaisir que je te masturbe ?, lui demande-t-elle.

--- Dis-le à haute voix, sois franc pour que tout le monde l'entende que tu aimerais qu'ont je me mette à poil devant toi, dis-le allez. Cela te plaît de bander, tu essaies d’impressionner tes amies avec ton petit engin en érection. Mais c’est raté, regarde toutes ses filles ici dans la salle. Elles rient toutes de toi et ton bandage.
Cela ne me plaît pas. La stagiaire laisse la queue de Ludovic et me regarde. On entend la cloche sonnée pour le début du cours, j'espère seulement qu'elle ne me ramasse pas le pénis, comme elle a fait avec Ludovic, c'est très gênant. Elle regarde mon pénis pendant, redevenu tout petit à sa forme normale au repos. Cela me stresse de voire qu'elle descend une main sur mon pénis en le prenant entre le bout de ses doigts. Ça me gêne, je suis sûr que j'ai la face rouge, tellement je suis gêné de me faire taponner le pénis devant tous les autres dans la classe. Toi, tu gardes ça mou, c'est plus raisonnable et décent, me dit-elle, et le relâche. Rebecca qui est ma voisine demande à la stagiaire d'arrêter de me taponner. Tu n'es qu'une cochonne et arrête de nous taponner, on n'est pas tes esclaves, lui dit-elle. Claude, la stagiaire qui vient de lâcher mon pénis, et j'avais hâte, dit de quoi tu te mêles, petite insolente. En se retournant la tête vers Rebecca, elle lui met une main sur l'un de ses petits seins, que je trouve très mignons. Mlle, lui dit-elle, j’adore vos petits seins très fermes, et toi, tu es en punition. Donc que j'ai tous les droits sur un puni, te touché tes petits nichons où te pognée tes belles fesses ne m'importe peu. Relisez bien votre carnet de règlements. Ensuite, elle se déplace au côté de Nancy à ma gauche. Je me tourne la tête pour regarder Nancy comment elle réagit. Mlle Letarte lui tien une fesse et pose son autre main sur sa poitrine. Nancy n'aime pas ça se faire poignée et flatté les fesses. Même que je vois qu'elle va jusqu'à entrer sa main profondément entre ses fesses, et elle la descend entre les cuisses. Nancy lui dit d’enlever sa main de là qu’elle n’a aucun droit de la toucher dans ses parties.


Mlle Letarte réplique avec une claque sur un de ses seins avec son autre main. Sachez, vous aussi, Mlle, que quand un élève est en punition, on a tous les droits sur cet étudiant. Alors, je suis sûre que ça commence à t’exciter mes petites caresses, c'est pour cela que tu me demandes de l'enlever. Ça te gêne que devant tes amies, je te caresse, ça doit t'excitée, je sens que ça devient humide. Ton sexe s'humidifie. La stagiaire s'adresse aux autres étudiants dans la salle qui regardent tous en notre direction. Votre amie Nancy est toute trempe, elle aime se faire jouer dans sa chatte. Elle rajoute pour l'humilier encore plus. Pour Nancy, c'est peut-être une première dans sa vie, qu'elle se fait caresser à cette endroit-là par un autre et une fille en plus, aimes-tu ça Nancy ? Sûrement, Claude ressort ses doigts. Regardez tous mes doigts sont mouillés, et elle expose ses doigts. Toute la salle regarde Nancy qui se fait explorer son intimité et est humiliée.

Rebecca qui est tous près de moi me chuchote pour ne pas que Mlle Letarte l’entendre. Tu parles d’une cochonne celle-là, une maudite chipie, nous humilier et taponnés ainsi. Mlle Letarte qui avait remis sa main entre les fesses de Nancy l'enlève et vient voire Rebecca. Répète à haute voix ce que tu viens de dire à ton ami. Rebecca n’ose pas trop et cherche ces mots. Je t’ai entendu dire que j’étais une chipie. Je vais te montrer que je suis une vraie chipie, demain matin à 7:00 avec tes trois amies Sandra, Marie et Ludovic, toi aussi, tu vas te présenter à l’atelier de M. Pogne. Je serai présente pour vous accueillir et tu subiras la même punition que les trois autres, toi aussi, tu n'as finie de te promener fesses a l'air en public. Maintenant, je vous quitte pour laisser Mme Petigrew faire son cours et n'oublie pas Rebecca pour demain matin, sinon j'irai moi-même te chercher dans ta classe. Et je te déshabillerai moi-même devant tes camarades, tu feras le trajet a poil. Je vous reverrai demain matin tous les quatre et soyez tous à l’heure. Rebecca regrette ses paroles et lui demande pardon. Elle s’excuse, mais Mlle Letarte ramasse les vêtements de Marie et Ludovic et lui dit a Rebecca. C'est trop tard Rebecca, je t'attends demain. J'ai vraiment hâte de te chauffer moi-même les fesses ma belle, et elle sort de la salle en fermant le porte derrière elle.

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