mercredi 16 novembre 2022

Clara et Carmen se font encore rougir les fesses deux jours plus tard.

 

Lundi matin, peu après l’ouverture de la boutique de mode, deux clientes, des jeunes ados, entre dans la boutique. Les deux employées qui sont sur le plancher trouve cela très louche, deux jeunes ados un mardi matin devraient être au lycée à cet heure-là. L’une des deux se tient dans les sous-vêtements et l’autre paraît très nerveuses et elle reste près de la sortie, elle regarde par la fenêtre comme si quelqu'un la suivait.

L’une des deux employées va voire les ados.

Avez-vous besoin d’aide les filles ?

Non, non merci, répond Carmen, celle qui fait semblant de regarder dans la section des sous-vêtements.

Oui Mlle, j'ai changé d’idée et je voudrais essayer un des maillots deux pièces dans la section ici.

L'ados Carmen décroche un maillot du support et le prend dans ses mains et le montre à l'employée. Celui-ci Mlle ce rose pâle. Je pense qu'il est à ma taille et j'aimerais en faire l'essaie.

Parfait, suivez-moi à la cabine d’essayage Mlle.

Carmen entre dans la cabine d'essayage. Pendant ce temps, l’employée, elle, va voir une nouvelle Cliente qui entre au même moment dans la boutique et se dirige vers les robes dans une section à l'autre bout de la boutique.

Durant que l’employée n’est plus là, son amie Clara ramène deux autres maillots à Carmen qui elle c’était déshabiller dans la cabine. Ce que fait Carmen avec les nouveaux maillots, elle en enfile tous les deux sur elle. Elle remet ensuite ses sous-vêtements par-dessus et sa jupe et son pull, et garde le maillot rose pour le remettre à l’employée. Mais elle est occupée et n'est plus avec Carmen et Clara. Le système classique de plusieurs débutants pour essayer de voler quoi ! Utiliser régulièrement par des milliers de voleuses. Carmen voyant que l'employée est parti, elle pose le maillot rose qu'elle ne veut pas acheter sur un banc en face d'elle et se dirige vers la sortie. Elle regarde l'autre employée à la caisse et lui dit, il n'est pas à ma taille ce maillot.

Mais l’autre employée. Une jolie fille de 23 ans, cheveux bruns aux milieux du dos et qui est occupé à la caisse à faire de l’étiquetage, c'est rendu compte que Carmen paraissait plus grosse ou large, surtout de la poitrine en ressortant de la cabine. Elle l'intercepte juste avant qu'elle ne sorte, mais Clara, elle est déjà dehors.
Mlle, suivez-moi à notre bureau, demande l’employée à Carmen. Je vais vous faire rencontrer notre gérante et copropriétaire. On doit se parler dans le bureau de ma patronne.

Carmen panique. Je n’ai pas besoin de voir personne, je ne cherche pas un emploi. Je vous remets seulement le maillot que j’ai essayé et je sors, il ne me plaît pas. Ma mère m’attend dehors dans le supermarché en face, et on est pressées.

Non Mlle, vous n’avez pas le choix, vous venez avec moi. L’employée tient Carmen par un bras et l’entraîne avec elle au deuxième étage pour qu’elle rencontre sa patronne. Clara, qui est déjà sortie de la boutique, reste devant la vitrine sans trop que faire, son amie Carmen passe par de mauvais moments un peu à cause d’elle

En arrivant au bureau, l’employée fait entrer Carmen à l’intérieur et explique à Francine, la propriétaire, le pourquoi de sa visite et de celle de Carmen.

Francine se présente tout en tournant autour de Carmen. Rendu en arrière de Carmen, elle essaie de relever la jupe de jeans de celle-ci, mais Carmen la retient et lui enlève sa main de sa jupe.

Ne me touchez pas Mme, lui dit Carmen. Que faite vous-là ? Je vous interdis de relever ma jupe, ça ne se fait pas de fouiller sous les vêtements de quelqu'un, voyons Mme, cela manque de civisme et d’éducation.

Francine, la propriétaire, enlève sa main. Très bien Mlle, c'est vrai que je manque d'éducation. Comment t’appelles-tu ma belle ? Tu dois surement avoir un nom, si toi, tu es si bien éduquer que cela, il faut que tu te présentes.

Je m’appelle Carmen. Lui répond-elle.

Très bien et si tu es devant moi présentement Carmen ce n’est sûrement pas pour le plaisir de me connaître. On t’accuse d’avoir essayé de nous voler deux ensembles de maillots et peut-être plus. Mon employée est justement en train de sortir des images des caméras et on voit ton amie te rammener deux maillots pendant que tu es à l’intérieur. Un maillot bleu pâle quasi bleu poudre et un blanc. Selon mon employée, quand tu es ressortie de cette cabine, tu lui en as remis qu’un seul maillot deux pièces, le rose, avec celui que tu es entrée pour en faire supposément l’essaie. Il en manque donc deux qui ne sont pas dans la cabine, mon autre employée est dans la cabine présentement et elle est vide.

Moi, quand je me trouve devant une petite menteuse comme toi, je la punis sévèrement pour son manque de franchise et son comportement, son geste si tu aimes mieux de voleuse. 

Mais Mme, je n’ai rien fait que d’essayer un maillot, je vous le jure. Je n’ai rien à me reprocher. Et Carmen se recule au fond du bureau, s’éloigne de Francine en tenant le bas de sa courte jupe.

Très bien ma belle dit moi quel âge as-tu ?

Quinze, seize ans, tu es encore mineur ?

J’ai presque dix-huit ans, Mme.

 

Et pourquoi au beau milieu de la semaine à 10 h du matin, une belle fille de presque dix-huit ans et son amie, ne son pas au lycée avec les autres filles de leur âge.

J’ai décidé de sécher mes cours, les matières de ce matin étaient ennuyante Mme.

Moi, ma belle, si une de mes deux filles qui ont sensiblement ton âge qui toi, sècherait l'un de ses cours, elle le regretterait, elle serait en punition pour une partie de la semaine.

Maintenant, prouve-moi que tu ne m’as pas volée ce matin. Et que tu n’es pas une petite menteuse. Enlève ta jupe et ton pull. Je veux vérifier si tu ne me mens pas. Parce que a ce que je voie ici en regardant l’encolure de ton pull, (et Francine mets ses doigts dessus l’une de ses épaules) il y a un cordon bleues qui parait sur une de tes épaules. Ton pull est un peu trop large d’encolure, il en laisse voire un peu trop.

J'en vois un autre blanc ici sur la même épaule, qui monte et croise à l'arrière de ton cou. Sur ton épaule gauche et à côté une noire. Claude tasse en peu l'encolure de son pull, de son autre épaule. Sur ton épaule droite, à côté du cordon bleu, il y a une bretelle noire qui passe aussi par-dessus les cordons. Les bretelles noires, je suppose que ce sont celles de ton soutien-gorge et les autres ce sont les cordons des maillots, non. Carmen, tu nous prends réellement pour des niaiseuses. Si moi, j'aurais essayé de dissimuler des haut de maillots pour les volées, je n'aurais pas attaché les cordons des maillots. Je les aurais laissé pendre sous mon pull, cela aurait été beaucoup moins visible que des attachés dans mon coup. Dis-moi la vérité. Moi, je déteste les petites menteuses, et je l'ai puni très sévèrement.

Jamais je vais me déshabiller devant vous. Vous n’avez aucun droit de m’obliger à me déshabiller ici. Vous n’êtes pas de la police pour m’exiger à me dévêtir devant vous et même la police ne peu m'obliger à le faire. Ce que je porte comme sous-vêtement sous mon pull, cela s'appelle mon intimité et ne vous concerne pas. Pas plus que ce que vous portez en sous-vêtement me concerne. Les dessous que l'on porte, c'est personnel à chaque personne.

Je suis un peu d'accord avec toi pour l'intimité des sous-vêtements, tu n'as pas tout à fait tort pour l'intimité. Mais quand cela concerne des vêtements que tu me voles ma belle, cela me concerne. Donc enlève ton pull et ton short que je vérifie, petite effrontée.

Je ne suis pas policière, mais je peux porter plainte et les faire venir. Tu vas être accusée de vol et finir devant un juge. C'est ça que tu cherches petite menteuse. Et tes parents eux, qu’est-ce qu'ils vont en dire.

Je te donne deux choix ma belle.

Tu m’obéis et tu enlèves ta jupe et ton pull. Ou j’appelle et porte plainte, et cela, peu mal virée pour toi, choisie.

C’est bon, je vous obéis, je l’enlève ma jupe, mais seul avec vous. Faite sortir votre employée. 

Elle aussi est une fille. Devant moi ou elle ça change quoi, tu es gênée. Et ce n'est pas à toi de décider qui va assister à cette fouille. 

 Allez enlève tes vêtements tus me fait perdre un temps précieux. Et c'est Martine qu’elle s’appelle mon employée. Martine vient de me dire que tu connaissais une Jessica. Martine t’a déjà vue en ville avec elle, Jessica, l'une de nos employées. Jessica travaille souvent à notre atelier de couture qui est derrière nous.

Eh oui, j'en connais une mais ça change quoi pour ici présentement.

Rien, mais Martine, reste et dépêche-toi donne-moi ta jupe, ce n’est pas toi qui décides.

Carmen déboutonne sa jupe et la retient pour qu’elle reste en place, gêner, honteuse de se dévêtir et surtout de prouver qu’elle avait menti à Francine.

Tu m’enlèves immédiatement tout ce que tu portes, redonne-moi les maillots. C’est un ordre obéi. Francine fouille dans le tiroir de sa bibliothèque juste à côté d’elle. Elle en ressort une palette de bois et une lanière de cuir relié à un manche. La palette fait 2 cm de largeur et 1/2 cm d’épaisseur, Francine poses les deux instruments sur l'un des deux fauteuils dans son bureau.

C’est quoi ça, c'est instrument-là ? Demande Carmen

Je suis encore avec des folles comme samedi, déclare Carmen.

Comment nous as-tu traités ? Répète demande Claude.
Tu as bien entendu à répliquer Carmen, je t'interdis de me toucher avec ces choses-là.
 
Francine se rapproche de Carmen par derrière pendant que Carmen est concentrée à répondre à Claude et Claude tire sur sa jupe. Même si Carmen retenait sa jupe à la hauteur de ses hanches, la jupe a descendu à ses pieds en une fraction de seconde. Carmen se croise les bras en plaçant ses mains entre ses jambes.
 
Je le savais que tu me mentais Carmen. Regarde Martine les culottes des maillots, elle les porte dessous son slip noir, on les distingue très bien. Tu avais vu juste. Francine saisie le pull de Carmen par les côtés, remonte son pull le long de son corps, ce qui oblige Carmen a relevé ses bras en haut de sa tête. Claude continue de remonté son pull au niveau de sa tête, et lui fait passe par-dessus sa tête et l’envoi parterre.
Tu regretteras tes paroles ma belle, prépare-toi à avoir mal aux fesses. Moi, j'adore claquer les belles fesses rondes d'une petite effrontée comme toi. Francine encore derrière Carmen s’agenouille saisie toutes les élastiques en même temps et baisse les trois culottes, son slip et les deux culottes de maillot se retrouve auz chevilles de Carmen. Francine lui enlève ensuite ses chaussures et dégage les morceaux de tissu de ses chevilles pour les donner à Martine.

Francine en se relevant lui claque les fesses, trois bonnes claques.

Tu m’as fait mal, je t'interdis de me toucher läche moi les fesses espèce de cochonne, et redonne-moi mes vêtements que je me rhabille. Maintenant que tu as ce que tu veux. Espèce de cochonne, tu es comme la folle de samedi. Tu aime ça les filles à poil toi aussi stupide de lesbienne. dépêche-toi de me redonner mes vêtements, et arrêté de me regardé, virez-vous toutes les deux pendant que je me rhabille.

Quatre autres claques aboutissent sur ses fesses.

Tu oses me traiter de folle, de lesbienne et de cochonne quand c’est toi qui voles et ment. Tu es une petite gamine très mal éduquer. En plus tu aime ça le poil, regardez ça Martine comme elle est poilu ! lance Francine à voix haute en tirant sur son poil pubien pour se moquer de Carmen.
Aïe ! tu me fais mal. Je t'interdis de me toucher me taponné vielle cochonne, lui répète encore une fois Carmen. Si tu aimes jouer avec des chattes, Martine est là, mais pas moi.

Francine en colère après Carmen, indique à Carmen de se coller face au mur à côté de la porte, bras dans croisé son dos sans bouger et lui demande de gardé ses fesses bien dégager. Je veux quels restes bien visibles et deux autres claques résonnent sur ses fesses. Ne remue plus, je n’en ai pas fini avec toi, tu vas t’en souvenir pour longtemps de tes bêtises.

En même temps que Carmen se colle au mur, la propriétaire de la boutique de bijoux voisine arrive avec l’amie de Carmen, Clara. Bonjour Francine lui dit Laura. J’ai attrapé une des deux filles qui m’avait volé ce matin, elle attendait devant ta boutique. Je constate que tu as sa complice et bien punie. J’adore en plus sa tenue.

Clara regarde son amie Carmen qui est nue face collée au mur et les fesses quelque peu rougies.

Figure-toi donc Francine que c’est deux gamines là m’ont dérobé deux bagues et deux petites chaînes avec pendentif. Les deux chaines sont estimées à 500 €, et mes bagues valeur approbative de 700 € chacune. Francine pense a quelque chose en écoutant Laura. Attend un peu Laura. Francine se penche derrière Carmen et lui redonne deux autres claques sur chacune de ses fesses, en lui ordonnant de ne pas bouger, Carmen Lâche un cri, ses fesses commencent à lui chauffée. Elle lui enlève ses bas, les deux seuls morceaux de vêtements qui lui restent et montre à Laura ce que porte Carmen à chaque cheville

Oui, ce sont mes chaînes qui me manquent. Laura se penche, elle aussi, derrière Carmen. Elle lui enlève les petites chaines et en se relevant, elle aussi, claque les fesses de Carmen.

Carmen, dit moi depuis comment de jour, tu ne t’es pas lavé et changé ? Lui demande Francine en tenant les bas de Carmen dans ses mains. Regarde la couleur de tes bas, ils ne sont plus blancs, mais gris et les dessous sont presque noir.


Francine se retourne et regarde Clara qui est au centre du bureau. Clara est consentrée à regarder son amie recevoir des claques sur les fesses. Francine lui demande d’enlever ses vêtements et de lui donner. Tu n’as pas le choix. Toi aussi, tu as surement une cachette pour les bagues qui manque. Il faut vérifier où tu as caché ces bijoux. Martine, elle, revient avec la palette de bois qui était resté sur le fauteuil et la donne à Francine.

Instantanément, Clara se met les mains sur ses fesses par-dessus son short pour protéger ses fesses par précaution.
Tu as peur de te faire chauffer les fesses ma belle alors fait ce que l'on te demande

Allez ma belle donne nous ton pull et ton short qu’on examine. Ou bien, donne-nous ce que l’on cherche tout de suite, ça t'évitera de te faire chauffer les fesses avec cette palette-là. Mais tu iras rejoindre ton amie pareille et dans la même tenue qu’elle, ça ne changera rien pour toi. La seule chose ça va t’évitée de te faire claquer les fesses avec cette palette si tu obéis et tu te déshabilles sans qu’on t’oblige à le faire.

Clara détache son short et l’enlève et le donne à Francine. Laura lui fait signe d’enlever son pull. Clara obéi et lui donne. Elle craint de se faire chauffer les fesses elle aussi. Après inspection, elles n’ont tien trouver. Le reste ma belle donne, nous ton soutien et ta culotte, tu n’as pas d’autre choix. 

Pendant que Clara finie de se déshabiller, le mobile de Francine sonne.

C’est Claude dit Francine à Laura. Francine lui compte ce qui se passe dans la boutique. Claude lui demande de lui décrire les deux filles. Francine prend une photo de chacune des deux filles séparément qui sont nues devant elle et les envoie à Claude. Francine raccroche et dit à Martine, je sais maintenant pourquoi Carmen connaît Jessica et m’a traitée de folle. Samedi, elle est venue au domaine avec Jessica. Et Claude l’a punie. Elle l’a fait déshabiller et lui a donné une fessée devant toutes les filles à la maison. Moi, j'étais en voyage avec Pierre et Katie, c'est pour ça que je ne l’avais pas vue.

Vous n’avez pas de chance les filles, dit Francine, mon associé ici, c'est Claude, celle qui vous a chauffé les fesses samedi chez Jessica. Moi aussi, je demeure là chez Jessica. Alors, vous n’avez pas de chance, cette semaine. Claude ma fortement demander de vous rougir les fesses une autre fois. C'étais aussi mon intention de le faire aussi sans que Claude me l'est demandé. Claude sera ici demain et elle exige que vous soyez ici après vos cours, sinon c’est elle qui ira vous chercher dans vos maisons. Je crois bien que vous aurez droit à une autre punition demain.

Rien n’est trouvé dans les sous-vêtements de Clara. Laura se penche devant Clara et tâte la cheville de Clara. Elle s’aperçoit qu’il y a une bosse dans son bas sur sa cheville droite.

Lève ta jambe droite ma belle. Laura lui enlève son bas et fait de même avec l’autre pied. Elles sont là mes bagues ! regardez dans ses bas. 

Iil est grand temps de punir c'est petites voleuses, dit Francine, maintenant que vous êtes fesses a l'air, je vais vous montré comment moi je puni des petites voleuses.

Francine s'approche de Carmen qui est face au mur et commence a lui claquer la fesse gauche cinq bon coup qui fait tourné Carmen face a Francine pour esquivé les coups qu'elle vient de recevoir.

Farcine l'oblige a se retourné mais fait le tour de sa taille avec son bras gauche et avec sa main droite lui donne cinq nouvelles claque sur sa fesse droite cette fois ci.

 Une employée qui était au secrétariat dans l'autre pièce arrive. Francine arrête de claquer les fesses de carmen.

Viens, tu regardez ce qui se passe Linda ? Demande Francine. Ne te gêne pas, regarde mes petites voleuses comme elles sont belles nues. Elles ont l'air intelligentes maintenant nues et c'est le moment que j'adore le plus leur rougir les fesses. Regarde, les fesses de Carmen Linda, ne te gêne pas, entre et regarde, elles commencent à avoir une belle couleur. Quand j'en aurai fini avec ses fesses, elles seront bien rouges, et très sensibles.

Oui Francine, c'est ce que je venais voire, j’adore. Elles sont si jolies, fesses a l’air.  A leur âge elle ne se rase pas le poil elle aime resté poilu en plus, elles aiment cela du poil, ça doit ête rare maintenant que des jeunes garde ça pas rasé.

 laisson leur chatte pas rasé de côté. Francine je change de sujet, j'ai un message de Berta, la chef de l’atelier de couture. Elle veut savoir si tu traverses dans l’atelier pour voir les deux employés qui sont en punition. Surtout savoir si c’est toi qui te charges de les punir ou si elle le fait elle-même.

Je traverse avec les deux miennes et Martine va sûrement vouloir me suivre elle aussi. Dans cinq minutes, on est avec elle, dit lui.

Carmen, Clara, suivez nous, Martine et moi, on traverse dans l’atelier.

Carmen proteste Clara aussi. Redonne-nous nos vêtements et laissez-nous allez maintenant que vous avez vos choses. Il n’est pas question que je sorte d’ici sans mes vêtements. Je ne bouge pas d’ici, dit Carmen et elle se retourne, s’accote dos au mur pour cacher ses fesses et croise ses bras sur ses parties intimes. Vous n’avez aucun droit de m’obliger à rester nu.

Oh si ma belle et tu nous suis même nu. Claude saisi Clara par un bras et la tire avec elle dans le petit couloir pour descendre au premier. Martine fait de même avec Carmen. Au premier dans la boutique, Carmen crie après Francine de la laisser, elle veut se rhabiller et sortir. Ses cris attirent l’attention des quelques clients qui sont sur place. Les personnes présentes regardent vers Francine à cause des lamentations des filles, Clara et Carmen, deux belles jeunes filles qui circulent nues dans la boutique, attire leur attention. Les gens les regardent tous intriguer du spectacle qui arrive devant eux, et les filles se sente humilier, mais les clientes ont l’air à apprécier et profite de ce court moment.

Traverser de l’autre côté dans l’atelier. C’est dans une grande salle qu’elles arrivent bonder de couturières qui regardent presque tous en direction de Carmen et Clara et remarque tous les deux filles entièrement nue qui traversent la salle devant elles.

Elles entrent dans le bureau qui est tout vitré. Les stores sont tous grands ouverts. Les employées dehors peuvent voire tout ce qui se passe à l’intérieur et Francine place ses deux punies adossées dans les fenêtres pour qu’elles aient les fesses bien  à la vue des autres dehors. 

Il y a déjà deux personnes d’installer debout et nus, eux aussi, sur le mur d’en face, plus loin des fenêtres et un peu moins exposé. Un gras de 25 ans, un employé et une fille qui a 24 ans et elle aussi est une employée en punition.

Carmen et Clara aussi se mire sur le pénis du gars qui commence à raidir à la vue de ses deux jolies filles qui se rajoute. Pendant ce temps, Francine, elle, écoute les explications de sa chef d’équipe, la raison pourquoi ses deux employés sont punis. Et ce qu’elle propose pour leur punition. Laura, elle, reste autour de Carmen et Clara et les obligent à se retournées face aux vitres du bureau qui donne vue sur la salle des couturières.

Laura veut les exposer de face pour les humiliées un peu plus. Carmen et Clara positionner de cette manière sont exposées à toutes ces personnes de l'autre côté des vitres et protestent en regardant dans la salle. Les employées de l’autre côté du bureau regardent tous les nouvelles filles que quelque unes d'entre elles reconnaissent, ce sont deux filles de leur quartier. Francine a bien l’intention de les punir avec les deux autres employés de l’atelier, devant toute cette salle.

Francine et sa chef du département s’approche de Carmen et Clara en même temps, elle demande aux deux employés de venir les rejoindre.le gars est bander devant tous c'est filles dans le bureau

Placez-vous tous les quatre l’un au côté de l’autre et mains sur votre tête. Les quatre alignés face vers la salle, Francine donne une canne à Laura et sa chef de département et Martine son assistante, pour elle c'est une palette de bois. Chacun de vous recevras, 20 coups de canne pour débuter dit Francine. 

Francine s’approche du seul gars présent. Je vais te faire débander mon gars. Tu n'es même pas gêné de te promener le pénis raide comme ça devant nous. Claude, l'associé de Francine, arrive dans le bureau à l'improviste.

Encore elles! elle commence a aimer la fessée, elles en redemande, dit Claude.

En fin de semaine, vous avez aimé ça, recevoir la punition que je vous ai donnée. Vous êtes revenus ce matin pour en recevoir encore. Et nue vous y prenez goût aussi. Et toi Éric les filles t’excite même devant nous, tu bandes. Je peux demander à l’une d’entre elles de te soulager si tu le désires, c’est sûr que tu seras plus confortable que raide comme ça.

L’employé entièrement nu devant sa patronne ne sait plus que dire et surtout ou regarder, devenu la face rouge de honte à entendre sa patronne se moquer de lui.

Pour vous quatre mon personnel de confiance a décidé de votre punition. Mais moi je rajoute a mes deux employés une journée de punition.et aux deux petites voleuses la semaine. et vous n'avez pas d'autre choix que de revenir ici demain matin. 

Éric et toi Olivia, vous nous avez volé en trichant sur vos cartes de poinçons. Je suis très déçu de vous deux. Mais je ne vous congédie pas. Je vous donne une autre chance. Demain, je vous oblige à rentrer une heure avant votre quart de travail. C’est Francine et moi qui allons vous attendre. La condition pour ne pas être congédié est que vous travaillerez dans la même tenue que présentement, et passerez le reste de la journée aussi. Vous recevrez une punition dans mon bureau demain matin, et une autre au déjeuner devant tous vos collègues.

Si cela ne vous convient pas alors je vous congédie et porte plainte a la police pour vol de temps envers son employeur. Votre sort est entre vos mains, c’est à vous de décidé. La punition que je vous propose où le congédient et la justice.

Et vous deux Carmen et Clara, le directeur du lycée m’a écrit. Il m’a dit qu’il vous avait mis à la porte du lycée toutes les deux la semaine dernière pour avoir menacé d’autre étudiant et sans posibilitée de retour cette année.
Demain matin, j'exige que vous soyez ici dans ce bureau a 8 h. je vais m’occuper de vous deux personnellement. Je vais m’occuper de vos cas, vous ne traînerez pas dans les rues et à voler dans les commerces à votre âge.

 





jeudi 20 octobre 2022

Amanda en visite adore assister à la punition que d'autres filles reçoivent

 

    Journée de congé pour moi et mes colocs. J’en ai profilé ce matin pour me mettre à jour dans mes travaux scolaire. Mes deux colocs Vicky et Barbara ont fait la même chose que moi. Juste avant d’embarquer dans la douche, je demande à mes deux copines s’ils veulent regarder un film, d’accord, me répondent-elles. Donc j’embarque dans la douche, elles en font de même elles aussi. En ressortant de la douche, je décide de ne rien me mettre sur le dos, allez regarder le film nue. Étant que nous trois à la maison je prends une chance et vais les rejoindre, mais entièrement nue.

Ça fait quatre mois que nous vivons ensemble et depuis l’incident avec ma stupide  sœur et son copain, ç'a réveillé en nous un désir qu’auparavant, on n’avait pas. Avant, c'était une grande amitié, mais maintenant, c'est beaucoup plus.

Je suis mal à l’aise, ma chambre etant au deuxième, je descends pareille nue à la salle de notre cinéma maison, et je vais les rejoindre sans savoir comment elles, elles se sont habillées. Souvent, c'est seulement une nuisette qu’on a l’habitude de portée pour se détendre entre nous., mais aujourd’hui, je passe à autre chose.

Les filles me regardent entrer dans la pièce toute surprise de me, voire apparaître devant elles nue.

Barbara

Amanda, tu nous surprends de jour en jour, descendre nue en au beau milieu de la journée, c’est vrai qu’on est seul dans la maison et il fait vraiment chaud. Je regarde Amanda qui passe devant moi et Vicky. Elle est superbe à regarder nue, elle n’embrasse et ambrasse Vicky. Amanda s’allonge ensuite sur le sofa à notre gauche. Je pense, ça vire dans ma tête, j’ai le goût d’enlever ma nuisette. Bon, je me décide et l’enlève, je fais comme Amanda et tire ma nuisette dans le coin de la pièce et va la rejoindre. Amanda se relève, s’assoit pour me laisser une place. Vicky son tour se met nue et on se regarde tous les trois.

Bon les filles, je commence le film. Le film commence et on se colle les trois, l'une sur l'autre. J'ajuste le son assez fort, et on essaie de se concentrer sur le film qui commence. J'ai un peu de misère avec ça, ma concentration. D'avoir Barbara nue et bien collée sur moi à ma droite et Vicky à ma gauche et elle aussi nue me fait perdre le fil du film comme on dit.

Dix minutes plus tard, sans que l’ont sen aperçoivent, notre propriétaire et patronne arrive avec deux de ses filles.

Bonjour les filles ! Je vois que tout va bien ici, qu’on entend au travers du son de notre film.

Je me retourne et dans la noirceur, j'aperçois Claude et deux autres personnes avec elle qui sont juste à mes côtés.

Je m’empresse de me cacher du mieux que je peux, gêner d’être nue devant ma patronne. Claude et ses deux filles se tiennent juste entre moi et la salle de bain, j’airais aimer aller me chercher une serviette, mais le chemin est bloqué, donc je suis debout devant elles. Vicky et Amanda aussi essaie de rester le plus possible dos à elles, elles sont aussi mal à l’aise que moi.

N’ayez pas honte les filles, c'est moi qui aurais dû appeler avant de venir. Mais je ne le regrette pas, trois jolies filles nues, j’adore ça. Je vous présente deux de mes filles Marie à ma droite et Patricia à ma gauche. Patricia, Marie, je vous présente Amanda, Vicky et Barbara. Les trois travaillent avec nous en plus d’aller à l’institut universitaire St-David.

Amanda

Je suis gênée de donner la main à des étrangers nue, même si on c'était et déjà croisées à quelques reprises, jamais, on ne s'était présentées officiellement. C’est une drôle de manière et surtout humiliante de se faire présenter nue, mais je leur donne la main, pas le choix la politesse oblige, tout en leur donnant un petit bisou. Je m’empresse ensuite d’aller chercher une serviette et que j’enroule autour de moi pour me cacher. Mes deux amies ont réussi à atteindre leur nuisette et les enfilent. Là, je suis un peu plus décente, même si la serviette en cache le minimum, c’est mieux qu’entièrement nue.

Claude

Ne vous en faite pas les filles ne soyez surtout pas gêner, on a l’habitude chez moi de se, voire nue. À la maison, on est souvent nue davantage autour de la piscine. Nous trois, on a même pensé venir vous inviter nu, mais j’ai décidé d’enfiler un paréo. Je trouvais ça plus décent pour venir ici, c’est la première fois que vous voyez Marie et Patricia donc on a mi chacun un paréo pour la présentation.

Les filles excusées-moi de vous déranger dans votre relaxation, mais je suis ici pour vous inviter à passer la journée avec nos tous. Vous aurez l’occasion de connaître toutes mes filles et ma demeure aussi. Vous n’avez jamais eu l’occasion de venir la visiter et de connaître tout le monde aussi.

Vicky

Bon Claude, moi, j'accepte ton invitation. Donne-moi trente minutes pour m’habiller et je monte chez toi. Barbara et Amanda me suivent, elle accepte l’invitation, elles aussi.

Bon, suivez nous les filles, vous êtes déjà bien comme ça nous dit Claude, laisser faire pour l’habillage. Nous aussi, on n'a pas plus de vêtement qu’un paréo, c’est suffisant.

En quittant la pièce. Je suis Claude et ses filles, quand elles sortent de la pièce qui est sombre et elles passe dans la lumière du jour et que cette lumière traverse leurs vêtements, je me rends compte qu'elles sont nues sous leur paréo.

C’est bien Claude, dans quelques instants, je serais chez toi le temps d’enfilé une robe. Amanda, elle aussi, veut se couvrir un peu mieux qu’une simple serviette.

J’enfile une culotte, fesse à l’air, ce n'est pas mon habitude et avec ma petite robe rose que je trouve très courte pour être en public, ça nécessite une culotte. Mais pour ma visite chez Claude, ma petite robe fera l’affaire même si elle est courte. Je redescends au salon pour attendre les deux autres. En me regardant dans le grand miroir, je me penche jus un peu et ma culotte apparaît, j’ai bien fait de mettre cette culotte sous ma robe, me dis-je. C'est ma soeur qui me l'a donnée et elle est courte pour moi.

Barbara et Amanda me rejoignent et elles aussi ont de très courtes robes. Barbara lève sa robe pour me montrer qu’elle a mi une culotte elle aussi. Ne vous inquiétez pas les filles, nous dit-elle. Ma robe est courte, mais je n’ai pas pris de chance, j'ai une culotte sous ma robe pour me cacher les fesses au cas où.

Tous les trois rendus à la maison de Claude, on rentre, c'était la consigne de rentrée sans sonner ou cogné.

Marie est dans le salon et est en train de lire portant toujours son paréo. Deux autres filles arrivent d’une pièce un peu plus loin. Marie nous les présente. Sacha et Maryse, deux autres parmi les 10 filles qui restent dans ces immenses maisons.

Marie nous montre le chemin pour se rendre à la terrasse ou Claude nous attend.

Quand nous sortons sur la terrasse, on aperçoit Claude. Elle est assise sur un fauteuil presque dos à nous et regarde son mobile. Mais en s’approchant d’elle, Amanda me dit Claude me semble nue ou c'est moi qui voie mal. Moi et Barbara, on la regarde se lever pour nous accueillir et on constate aussi qu’elle est nue.

Bonjour les filles, nous dit Claude. Je suis contente que vous soyez enfin arrivées. J’avais hâte de vous recevoir, pouvoir passer une journée ensemble. Depuis que vous avez aménagé ici, on n'avait jamais réussi à se voir autrement que par le travail.

Claude nous regarde et lève ma robe par en arrière.

Je vous avais pourtant dit que vous étiez correcte avec vos nuisettes, ce n’était pas nécessaire de vous changer, vous donner le trouble de vous mettre chic. Regarde-moi comment je suis vêtue. Ici, quand on profite de la piscine, on n'a pas besoin de vêtement. Et cela existe depuis des décennies. Du temps de mes parents, c'était comme ça et c’est encore comme ça.

Ça me gêne qu’elle me remonte la robe et regarde ma culotte, mais Claude est nue devant moi et sans gêne elle. Et je la touve suberbe.

Au même moment que Claude nous dit ça, quatre autres filles arrivent de l’autre maison un peu plus loin. Et elles aussi sont nues. Des filles que nous connaissons déjà, on travaille avec elles au vignoble.

Vous connaissez sûrement mes filles nous dit elle. Elles aussi travaillent au vignoble avec vous.

Un autre moment embarrassant. Rencontrer des collègues de travail et filles de notre patronne qui sont nues chez elles, cela me mets mal à laise de les regarder, et surtout de voire qu'elles n'ont aucune pudeur, aucune gêne. C’est comme si c’était naturel pour elles de se promener nue devant nous trois qui sont en visite cic chez elles.

Vous voyez, personne ici ne se cache, c'est tout à fait normal autour de la piscine de se promener nus. Faite comme nous et enlevez-moi ses robes. Allez-vous serez plus confortable pour profiter de la piscine, après je vous fais visiter notre domaine.

Je regarde Amanda et Barbara et elles enlèvent leur robe. Je me résigne à faire comme elles pour ne pas être à part, et moi aussi, je fais descendre ma robe à mes pieds, il me reste que ma culotte tout comme Amanda et Barbara. Le pire pour moi, c'est ma culotte. J’hésite en gardant un de mes bras croisé sur ma poitrine. Amanda, elle aussi, n’ose pas Claude, vient vite autour de moi et s’occupe de me la baisser ma culotte. Et Judith, une des filles de Claude s’occupe d'Amanda.

Pas le choix, nous disent-elles, c’est comme ça ici. Je pile sur ma pudeur et ramasse mes vêtements et les envoie sur une des tables qui sont là-derrière nous. Amanda fait de même. Ça m'a fait un effet bizarre d’être nue devant d’autre, mais je ne suis pas la seule à nue, je m'y habituerais sans doute comme elles.

Barbara regarde Véronique plus que les autres, surtout ses fesses. Moi aussi, je remarque qu’elle a les fesses avec des marques rouges, des marques qui ressemblent à des lignes des marques qu'une canne peu laisser sur la peau. Véronique essaie de se cacher les fesses du mieux qu’elle peu, mais quand elle se retourne on s'en rend compte, c'est bien visible.

Claude

 

Je m’aperçois que vous regardez Véronique, davantage ses jolies fesses, vient ici Véro.

Véronique s’approche tranquillement.

Tourne-toi et montre-nous ton derrière, nos invitées veulent le voire. Je pense plutôt qu'elles veulent  savoirs, pourquoi tes fesses ont des traces rouges.

Hier après-midi a l’institut Véro a voulu défier les autorités de l’institut. Elle, Jessica et deux autres ont décidées de sortir de l’institut et manquer leur dernier cours de l’après-midi pour aller fumer dans le parc municipal a quelques coins de rue de l’établissement. La direction de l’institut m’a contacté et m’a avisé qu’elle est convoquée au bureau de Mlle Letarte lundi matin à 8 h. C’est la directrice de la disciple a ST-Thomas. Elle sera en punition pour une partie de la semaine.

C’est la deuxième infraction qu’elle commet ce mois-ci, et cela lui vaut une punition public a ST-Thomas. Et moi quand une de mes filles est en punition à l’institut, elle reçoit la même chose ici, c'est la règle de la maison.

Quand elle est rentrée hier, je l’attendais. Elle a passé sur mes genoux et c’est fait rougir les fesses a nouveau même si dans la journée à l'institut il l'avait puni moi aussi je lui ai redonner une solide punition. Après la fessée a la main que je lui ai donner, je lui ai fait goûter à ma canne.

Amanda-

Je n’ai jamais fréquenté cet institut, mais mon demi-frère est là à ST-Thomas. Et je connais bien leur méthode pour punir les étudiants indisciplinés.

Marie qui vient nous rejoindre avec Sacha et Maryse me demande comment s’appelle mon demi-frère.

Gino, il s’appelle Gino et il en deuxième année a ST-Thomas.

Oui on le connaît me répondent-elles plusieurs des filles présente, tous en même temps.

Marie

Il a été puni pendant une semaine le printemps dernier avec Fabien, son inséparable ami et une de nos professeures. Il a été pris à tricher lui et Fabien, c'est notre professeure qui leur avait fourni des réponses à un examen de contrôle. Lui, Gino la profe et Fabien ont été punis dans la salle à manger. Fabien et son ami et ont passé la semaine fesses à l’air et à nous montrer leur zizi

Amanda

oui, je le sais, mais je ne l’avais jamais revue depuis la semaine dernière.

Il a été sévèrement puni d’après ce que vous me dites les filles ?

Oui Amanda lui Fabien et Mlle Garcia notre Prof de langue. A tous les matins, ils étaient tous les trois Gino, Fabien et notre prof à la salle à manger et recevait leur punition nue au centre de la salle.

C’était assez sévère leur punition ? Leur demandais-je.

Ho oui ! À tous les matins, chacun leur tour, il devait monter sur un banc installé au centre de la salle et se tenait les mains sur la tête et recevait chacun 20 coups de lanière un après l’autre. Ensuite, ils étaient obligés de débarrasser les tables à mesure que les occupants le demandaient. Ça les forçait à se déplacer nus dans la salle. Ils allaient assister a leur cours nus. Moi et bien d’autres aussi, on aimaient ça les voir circuler dans les couloirs. Mlle Garcia aussi était obligée de donner ses cours nue et les fesses bien rougies pendant toute la semaine. elle etait jolie a regarder notre profe. C'est une très belle fille.

Bon Amanda assez parler de ton demi-frère, suivez-moi je vais vous montrer le jardin et les alentour de nos maisons à Pierre mon frère et moi.

Mais nous n’allons pas, allez visiter ton terrain nu, dit Vicky. Je mets ma robe avant de partir, c’est plus normal qu'aller faire la visite nue Claude.

Non Amanda, on reste comme on n'est, pas de problème, regarde autour, il n’y a personne à mois d’un kilomètre et le voisin que tu vois est notre bâtisse, notre atelier au domaine.

Les filles si Jessica rentre avant que je sois revenue de notre promenade, je te charge toi, Marie ou une de vous de dire à Jessica quand elle rentrera, de se mettre à genoux ici au centre de la terrasse, mains sur la tête, et de m’attendre sans bouger. J’ai une très grosse discussion à avoir avec elle.

Amanda

Au retour de notre visite du domaine, Claude demande où est Jessica. Elle est entrée, nous l’avons vues toutes les quatre entrée dans l'autre maison avec deux autres filles quand nou étions plus loin, dit Claude. Pourquoi n’est-elle pas ici et en position ? Comme je l’avais demandé.

Je ne le sais pas, répond Marie, nous ne l’avons pas vue ici, probablement qu'elle s'est dirigé directement à la maison et ne voulait pas passer par ici. J’ai été l’avertir, les trois étaient dans le bureau à parler. Jessica m’a dit qu’elle viendrait te voire plus tard. Présentement, elle doit être encore dans le bureau avec deux amies à elle que j'ai déjà vues en ville. Deux filles qui vont à l'école publique. Et elles jouent sur leur mobile. Et elle m'a dit qu'elle ne voilait pas amener ses amies ici a la piscine, ça la gênait de venir nous voire dehors.

Je regarde Claude qui me paraît furieuse. je vais lui montrer qui de nous va être la plus gêner. Sans même se vêtir, elle traverse à l’autre maison et quelques instants plus tard ont la voie tous revenir avec Jessica qui suplie Claude de la lâcher. Claude la tire par une oreille, ses deux amies la suivent. Les trois filles sont vêtues d’une jupe jeans et deux portent une camisole. Jessica elle porte un tee-shirt. On entend, lâche-la, tu lui fais mal, ce n’est pas une manière de traiter quelqu’un. Ce sont ses amies qui demandent à Claude de la lâcher.

Jessica ce plain que ça lui fait mal de lui lâcher l’oreille. Ce n’est pas nécessaire de me l’arracher, lui dit-elle, je vais te suivre pareille.

Arrivé sur la terrasse, Claude oblige Jessica à se mettre à genoux devant nous tous. Ses amies nous regarde d'un air bizarre. Elles trouvent cela étrange qu’on est toutes nues ensemble et dehors surtout, autour de la piscine.

Vous êtes drôle. Dit Clara, une des deux amies à Jessica. C’est la première fois de ma vie que je voie ça une famille qui se balade à poil, en plus devant des invitées.

Où est Murielle les filles ? Demande Claude. Elle n'est pas encore rentrée de la boutique ? Maryse lui dit qu’elle vient de lui parlée et elle sera ici dans une heure environs.

Claude s’assoit sur le sofa qui face à elle et regarde Jessica.

Elle dit en parlant à Jessica, Jessica, tu es convoquée avec Véronique lundi matin au bureau de Mlle Letarte. Mlle Letarte m'a appelée hier. Ton mauvais comportement et ton absence injustifiée de vendredi m’a-t-elle dit te mérite une punition de grade trois tout comme Véronique.


 Je sais que c’est la plus haute punition à ST-Thomas et que les deux filles vont être très sévèrement punies lundi.

Tu connais très bien ce qui t’attend ici même, lui demande Claude. Et explique-moi pourquoi tu n’es pas venue coucher hier ? Lui demande Claude. Je t’attendais ici avec la ferme intention de te punir, comme je l’ai fait avec Véronique, mais, tu n’as jamais répondu à mes appels. En plus tu empestes la boisson, je suis stricte avec la boisson et ça aussi, tu le sais. Je ne tolère pas que vous conduisiez quand vous avez prises de la boisson alcoolisée, et ça t’inclue dans le vous. Tu viens juste d'arrivée avec la voiture.

Je regarde Jessica à genoux devant nous qui regarde le sol. Elle n’ose pas, répond à Claude. Jessica saie très bien ce qui l’attend. Ça me donne l’impression qu’on va assister à une bonne fessée, et c’est Jessica qui va en être la victime.

Claude —

Jessica, tu ne veux pas me répond, c’est bien regarde Véronique surtout ses fesses. Je fais signe à Véronique de venir au côté de Jessica. Véronique debout à côté de Jessica et Jessica a genoux, elle a la chatte bien rasée de Véronique jus à la hauteur de ses yeux. 

Tourne lentement et montre-lui tes fesses Véronique, lui dis-je. 

Véronique tourne sur elle-même et tout le monde regarde en même temps Jessica et ses fesses qui portent encore des plaques rouges de la punition que je lui aie donné hier.

Clara me coupe la paroleet les idées

Vous n’allez toujours pas lui donner une fessée. Elle a presque 19 ans, c'est pour des petits gamine ce traitement-là, par pour des ados. Ma petite nièce de sept ans en reçoit encore, mais c’est une petite garce, elle, pas Jessica qui est presque une adulte.

Allez Jessica, lève-toi, elle n’a aucun droit de te punir ainsi et devant nous tous à ton âge c'est humiliant.

Claude —

je me lève debout et j'arrête Clara qui s’était approché de Jessica. Toi, ma belle, tu regardes comme tous les autres ici. Et ne dit plus un mot sinon tu t’agenouilles à côté de ton amie, c’est sérieux ce que je viens de te dire, recule rejoindre les autres et ferme-toi. Même si tu es une amie de Jessica et en visite, je ne me gênerais pas pour te rougir les fesses petite impolie.

Clara recule et me regarde sans trop savoir quoi réponde. elle me regarde de la tête au pieds, trouvant ça étrange que je sois nue devant elle. Et c’est beaucoup mieux pour elle qu'elle se tranquilise.

Jessica, tu n’as pas voulu me répond alors viens sur mes genoux, je vais montrer à Clara qu’il faut toujours me respecter ici, et surtout se mêlé de ses affaires.

Jessica se lève et s’installe en travers dès mes genoux, sur mes cuisses nues. Depuis quand tu portes une jupe jeans et très usée, je dirais même finie. Je ne t'ai jamais vue porter cette jupe-là. Elle ne t'appartient pas, c'est qui, qui t'a prêté cette jupe Jessica ?

C’est mes amies qui me l’on prêter me répond elle.je me suis changer pour enlever mon uniforme de l'institut hier soir a l'appartement de Carmen, et c'est Carmen qui ma fourni des vêtements.

Amanda —

on regarde tous Jessica qui est allongée sur les genoux de Claude. Je ne voudrais surtout pas être a sa place. Déjà qu’être nue me mets mal a l’aise, être obliger de me coucher sur ses genoux comme une petite gamine serais une humiliation terrible pour moi. Mais je ressend un sensation bizzare en moi comme un genre de fantasme de me retrouver nue sur les genoux de Claude qui est nue elle aussi, c'est étrange de fantasmer sur des filles nues devant moi, ça commence a m'excitée. je n'ai jamais resenti cela avant cette semaine de regarder des filles nues et devenir excité.

Claude immobilise un bras à Jessica dans son dos. Jessica essayait de se protéger les fesses avec l'autre main et surtout, je pense, pour empêcher sa courte jupe de remontée. Mais n'est pas capable de l'atteindre. Claude commence à frapper les fesse de Jessica avec sa main droite. Une énorme quantité de claque sabbat sur le derrière de Jessica en très peu de temps. Les claques qu’elle reçoit sur ses fesses font que sa jupe remonte un peu. Les jambes de Jessica branlent de gauche à droite et de haut en bas tellement les fesses commencent à lui faire mal. On commence aussi à apercevoir la petite culotte rose qui recouvre la moitié de ses fesses et son sexe. Claude arrête et tire sur le tissu rose qui entre ses fesses.

Cette culotte que tu portes Jessica, c'est encore un vêtement que tu as emprunté. Où est ton uniforme de l’institut que tu portais hier ? et ta culotte. En relevant sa jupe sur son dos pour regarder sa culotte style brésilienne qui couvre la moitié de ses fesses.

Dans mon sac à dos, dans mon sac répond Jessica. Je l’ai rapporté dans mon sac qui est dans le living-room.

Marie ou Judith, allez chercher son uniforme et envoyer le au lavage, demande Claude. Il ne sera plus portable. Il doit être tout froissé. Et l'autre, reportez-moi la palette de bois troué et une canne de rotin, on passe à la deuxième partie de la punition.

Claude fait relever Jessica sur ses pieds. Jessica se frotte les fesses à deux mains et pleurniche.

Pas la palette s'il te plaît Claude supplie Jessica

J’entends Claude ordonné à Jessica de se déshabiller. Enlève tous tes vêtements Jessica lui dit Claude, et pose-les sur la table en arrière de toi. Remets-toi à genoux ensuite pour le reste. Attend Marie avant de traversée de l'autre côté, tu ramèneras ses bas pour les mettre au lavage eux aussi.

Judith elle est déjà revenue avec la palette et la canne.

Clara réplique. Et Carmen suit et en rajoute, elle aussi,

Tu n’es pas sérieuse avec ta palette, Jessica n’a rien fait de mal. La seule chose qu’elle ait faite, c'est de coucher chez moi et prendre une bière ce midi avec nous deux Carmen et moi. Je t'interdis de la punir plus. Clara s’approche de Jessica qui c'etait penché pour enlevé ses bas et pour l’empêcher de se déshabiller plus, mais Claude la prend par un bras et la traîne jusqu’à son fauteuil et la bascule sur ses genoux.

Clara se débat et essaie de se relever en lui interdisant de la toucher. Claude la maintient très fermement et lui donne de très forte claques sur les fesses par-dessus sa jupe en jeans. Ferme là, lui dit Claude, je vais te montrer comment on tranquillise une petite effrontée ici et Claude continue a claquer les fesses de Clara, pendant que Jessica finie de se déshabiller et s'agenouille au centre.

Arrête, ne me touche pas, tu n’as pas le droit, lâche-moi, tu me fais mal, lui dit Clara.

Je vois Carmen qui se rapproche de Claude et lui interdis de toucher son amie

Carmen essaie de s’interposer pour arrêter Claude de claquer les fesses de son amie Clara. Claude la regarde et lui dit de se mêler de ces affaires. Mais Carmen insiste.

Claude arrête la fessée qu’elle donne à Clara. Ça suffit pour l’instant ma belle. Lève-toi maintenant et a genoux à côté de Jessica. c'est un ordre, et mets tes mains sur ta tête comme Jessica, et ça presse en lui rajoutant quatre autres claques en travers des fesses. Clara obéi et s’agenouille.

Pendant que Carmen est occupée à parler à Clara, Claude saisie Carmen par un bras et l’entraîne avec elle. Claude lui fait prendre la même position qu’avait Clara sur ses genoux. À ton tour maintenant ma petite insolente. Elle lui remonte sa jupe en haut de ses fesses et saisit l’élastique de sa culotte bleu et la descend jusqu’à ses chevilles. Tu parles pas mal moins maintenant que tu as le derrière a l’air et prête à te faire rougir les fesses.

Claude commence à lui claquer les fesses, même si Carmen proteste et essaie de se protéger les fesses avec une de ses mains.

Après une cinquantaine de claque donnée sur les fesses de Carmen, ses fesses sont rendues rosées même tirant sur le rouge, Claude s'arrête. Elle frotte les fesses de sa victime qui cherche à reprendre son souffle et surtout Carmen cherche à rabattre sa jupe sur ses fesses pour les cacher même si elles lui font très mal. C'est plutôt son intimité, quel essai de nous cachée.

Claude la laisse descendre sa jupe et se frotter elle-même ses fesses. Pendant que Carmen se frotte les fesses. Claude la laisse, s'occuper elle-même de ses fesses, elle prend le bas de la camisole autour du ventre de Carmen sans que Carmen ait le temps de réagir ou de réalisée, ce que Claude fait. Claude lui remonte sa camisole jusqu’aux épaules et lui passe par-dessus la tête. Carmen n’a pas de soutien et ont lui voient ses tout petits seins.

Barbara me dit essayant de rester discrète, je ne pensais pas, voire de plus petits seins que les miens, mais ça existe. Véronique et Marie qui sont tout près de nous l’ont entendu et ont trouvé cela drôle le commentaire de Barbara. Claude aussi là entendu. Vous trouvez ça drôle les filles que Carmen la pudique se ramasse les seins à l’air, dit Claude. Elle va nous en montrer plus encore, elle va nous accompagner. C’est nu que je la veux comme nous.

C’est Judith qui est encore à côté de Claude et Carmen qui finie de lui enlever sa camisole. Perdant que Judith s’occupe de finir d'enlever la comisole, Claude défait le bouton de la jupe jean de Carmen et la fait détendre à ses pieds. Carmen proteste et essaie de retenir son seul vêtement qui est sa jupe, mais n’en est pas capable, elle est désormais nue.

Tu n'es pas ma mère ! s'exclame Carmen, tu n'as aucun droit de me punir de cette manière-là. Même ma mère ne m'a jamais punie de la sorte. Lâche-moi et enlève tes mains de sûr moi.

Claude lui redonne trois claques sur ses fesses déjà rougies. Lève-toi dit Claude. Carmen se relève en cachant ses parties qu’elle ne veut pas que l’on voie et crie à nouveau après Claude. Tu n’as pas le droit de me toucher, redonne-moi mes vêtements. Je ne suis pas ta fille et je t'interdis de me touche à nouveau, lui lance Carmen.

Tu n’as rien apprise de ta punition que tu viens de recevoir, ma belle, lui dit Claude, tes fesses ne te fon pas asser mal. je m'en occupe cette fois ci je vais te les chauffer encore plus. Les mains sur ta tête, et tu la fermes. C’est de la tête aux pieds qu’on veut tous te voir, pas a moitié. Claude lui rajoute cinq autres forte claques sur ses fesses déjà très endolories par sa fessée qu’elle vient de recevoir. Carmen obéi et place ses mains sur sa tête.

Elle ne se rase pas et Claude en fait la remarque. Tu ne te rases pas du tout, c’est très poilu pour une fille de 17 ans, c'est spécial à voir.

J’ai 18 ans réplique Carmen et si moi, j'aime ça, ce n’est certainement pas à toi de décidé comment je dois être. Normalement, c'est une partie intime que je ne montre jamais, c'est toi qui m'as forcé à me mettre à poil pour m'humilier.

Claude s’adresse à moi. Amanda, s'il te plaît, donne-moi la palette qui est à côté de toi.

Je me penche et prends la palette.

Ça me fait peur de regarder cette si épaisse palette et de m’imaginer que Claude va s’en servir pour claquer les fesses nues de Carmen. Ça doit être terrible !

Je lui donne la palette. Marie qui est à côté de moi tien encore la canne dans ses mains que lui avait demandé de ramener Claude.

Claude lui donne deux choix à Carmen en tenant la palette de bois dans ses mains en lui regardant les fesses rougis. Pauvre petite fesses ! S’exclame-t-elle en riant. Tu dois avoir encore mal à tes jolies petites fesses. Alors étant donné que tu as mal comprise le pourquoi de ta fessée que tu viens de recevoir je suppose que ça n,a pas été si douloureux. lors je peux encore en rajouté si tes fesses ne te font pas mal j'ai été trop gentille avec elles.

Je te demande de choisir pour la suite la deuxième partie de ta punition qui elle devrait être plus efficace j'espère. Cinq coups de cette palette a fessé ou dix coups de cette redoutable canne que tien Marie présentement et qui laisse de belles marques sur les fesses pour quelques jours. Demande à mes filles qui lui ont déjà gouté ici autour de toi, elle en garde tous un très mauvais souvenir.

C’est toi qui décides et fais vite, sinon ce sont les filles autour de toi qui vont décider pour toi. Et le nombre de coups pourrait augmenter aussi.

Claude fait relever Clara qui est à genoux à côté de Jessica et avec encore ses vêtements sur le dos. Claude lui demande de se déshabiller elle aussi. Enlève tous tes vêtements, y compris tes bas et vient ici debout à côté de ton amie Carmen. Toi aussi Clara, tu vas recevoir une deuxième punition et c’est nu cette fois-ci. Et ne discute surtout pas avec moi, obéi sinon ça feras encore plus mal.

Clara se décide et enlève sa camisole, elle porte un soutien-gorge rose, allez Clara j’ai dit à poil comme Carmen ton soutien et ta jupe. Clara continue et se met nue devant nous tous et elle aussi se cache avec ses mains. Pourquoi Clara es-tu si gêner ? Il y a 11 filles tout autour de toi et nues en plus. tu n'as pas a avoir honte de te montrer nue.

C’est si gênant de nous montrer ton joli body ? tes jolies fesses et tes petits seins. Clara ne répond pas

Mains sur la tête, Clara lui dit Claude en brandissant la palette vers ses fesses. Clara obéi et va rejoindre Carmen. 

Elle aussi ne se rase pas. C’est quoi ce poil ? Dit Claude. Toi aussi, tu garde ça long et Claude lui tire sur le poil pubien. Clara crie de douleur et baisse ses mais pour protéger son poil et son intimité. Trois claques retentissent sur ses fesses. Clara remet ses mains sur sa tête. Je ne t’ai pas dit de bouger donc ne bouge pas, c'est clair Clara.

Jessica vient rejoindre tes deux amies. On regarde Jessica se placer debout, main sur la tête, à côté de Clara.

Carmen, tu ne m’as jamais répondu sur ton choix, alors c’est moi qui décide, dit Claude.

J’ai décidé d’utiliser la palette et c’est cinq coups que vous recevrez chacune sauf Jessica toi, ce sera dix pour ton comportement à l’institut et tes mensonges. Et si l’une de vous trois bougent ou quitte sa position pour se protéger, je vous rajoute à chacune un coup.

Si l'une de vous trois bouges, vous pénalisez vos amies aussi. J’adore ça cette formule-là cela tranquillisent les personnes qui se font punir en pensant à son amie qui peu la mettre dans le trouble aussi si elle bouge.

Claude commence par Carmen. C'est trois premier coups qu’elle reçoit. Au troisième, Carmen se frotte les fesses et s’accroupie. Debout lui dit Claude, tu as bougé sans que je te l'autorise. Alors ton amie Clara et toi Carmen, vous recevrez six coups, un de plus. Toi, Jessica, ça sera onze coups. Carmen ce tien les fesses a deux mains, se relève en sautant d’une jambe à l’autre et verse quelques larmes. je t'avais promise que je te chaufferais les fesses solidement.

Avec la force que Claude a appliqué les coups et la grosseur de palette que Claude utilise, Carmen doit avoir très mal. J’aurais probablement fait la même chose et peut-être pire pour me protéger des coups.

Claude s’approche de Clara. C’est ton tour ma belle. Claude s’ajuste en frottant les fesses de Clara avec la palette. Bon, c'est parti, lui dit elle. Le premier coup arrive et on entend le claquement de la palette sur les fesses de Clara.

Clara grimace en se levant sur le bout de ses pieds et laisse aller un petit ouch !

Un deuxième arrive aussi fort que le premier quelques secondes après sans que Clara ait le temps de se remettre du premier.

Aïe ! Ça fait mal et Clara lève les bras en serrant les poings.

S’il te plaît arrête, lui demande Clara en regardant Claude. Elle lui fait des excuses. Elle remet ses mains sur sa tête et lui dit qu’elle regrette. Claude ne lui répond pas et lui en donne un troisième aussi fort que les deux premiers.

Les fesses de Clara deviennent aussitôt rosées et virent au rouge pâle et même foncé. On voit Clara qui verse quelques larmes.

Claude regarde Jessica.

Toi, je te réserve pour la fin, ne bouge pas, descend tes bras et croisent les dans ton dos, ça sera plus confortable et attends-moi.

Je t’ai promis six coups Carmen, il t’en reste trois à recevoir. Les prochains coups, j'ai choisi la canne. J'aime les jolies marques que ça laisse sur les fesses. Garde ta positon en fessant sifflé la canne dans les airs entre Carmen et Clara. Tu es prête, lui demande Claude, mais Carmen ne répond pas et fixe le mur devant elle. Je la trouve superbe avec ses cheveux châtain et bouclée, nue et entièrement exposée face à moi qui attends la suite de sa punition.

Claude ajuste sa distance avec les fesses de Carmen et lui applique le premier coup. Une marque se forme presque instantanément sur ses fesses et Carmen grimace en avançant d’un pas.

Recule à ta place, lui ordonne Claude.

Je me passe la main sur mes fesses en m’imaginant comment cela doit être terrible. J’ai vu la canne plier en frappant ses fesses. Je me souviens quand ma sœur me donnait des coups de brosse dans le passer et je m’imagine un peu la canne, ce petit bout de bois qui frappe violemment ta peau. Vicky qui est tout près de moi me frotte les fesses, elle aussi, en me regardant.

Deux autres coups, on suivit très rapidement. Carmen crie au dernier et se frotte les fesses à deux mains.

À genoux devant Clara et Jessica et tes bras croisés dans ton dos pendant que je m’occupe de Clara lui ordonne Claude.

On entend Clara qui supplie Claude et se protège les fesses avec ses mains.

Clara---

je m’excuse je t’en supplie pas d’autres coups.

Il est trop tard pour le s’excuser, lui réplique Claude, toi aussi, tu l’as mérité autant que Carmen. Silence maintenant et replace tes mains sur ta tête, tu n’y échapperas pas, je t’en ai promis six et c’est six que tu recevras toi aussi.

Amanda

Tout cela commence à m’excite de regarder des filles se faire chauffer les fesses. Cette semaine à l’institut en regardant les filles se faire punir nues devant nous a l'amphithéâtre ça m’a tellement excitée que ma culotte en devenue trempe. Mais aujourd’hui, ma chatte commence à être très humide et je suis nue, je garde mes jambes le plus serrées possible en espérant que personne ne s’en aperçoive, ça me gêne de réagir ainsi devant les autres filles. Vicky me chuchote à l’oreille, toi aussi ma cochonne ça t’excite de regarder ses fesses rougir. Ça me rassure de ne pas être la seule à être excitée.

Je fantasme sur Carmen et Clara qui se font rougir les fesses. C’est nouveau pour moi de fantasmer sur des filles qui se font punir. Pourtant, avec ma sœur qui m’obligeait à me mettre nue devant mon beau-frère et son gars, ça ne m'a jamais fait fantasmer. Au contraire, cela m’humiliait bien plus que de m'excitée. J’ai l’impression d’aimer ça, regarder quelqu'un se faire chauffer les fesses, ou moi-même qui pourrait être à sa place à se faire rougir les fesses. J’ai presque envie de demander à Claude de me faire coucher sur ses genoux et me claquer les fesses.

Vicky et Marie me ramènent à la réalité quand elle me demande si je veux les suivent et rejoindre les quatre autres filles dans la piscine. Mais je vais un jour réaliser mon fantasme de me coucher sur les genoux d’une de mes amies et lui demander de me punir sévèrement.

 






Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...