vendredi 3 mars 2023

Des vacances bien spéciales en France

Moi Benoît

Je suis un gars de quatorze ans et je commence à visionner beaucoup de site pour adulte sans que ma mère le sache, ce sont mes potes qui m’ont initié à ce genre de visionnement et j’adore. Depuis environs cinq ans, a tous les étés, durant les vacances, ma mère m’envoie passer un peu plus d’un mois chez ma tante qui est sa sœur cadette en France pour que je pratique mon français. Nous, on demeure à Londres dans un milieu anglophone. Ma mère veut que moi et ma sœur cadette parlions français comme elle. Et c'est la manière, me dit-elle, de l'apprendre, faire des séjours chez sa sœur en France avec mes cousines. Avec les années, je me suis lié d’amitié avec Louis un voisin de mes cousines qui a mon âge, et lui aussi, je l’ai initié à ce genre de vidéo que je regarde. C’est le voisin de mes cousines, mais c'est surtout plus avec sa demi-sœur Miranda qui aura 15 ans cette année que j'essai de me raprocher le plus. Miranda a six mois de plus vielle que moi et je la trouve très jolie. Elle a de beaux cheveux châtains bouclés aux épaules, de belles petites joues rondes. D’après mes dernières communications avec elle par FaceTime hier soir quelque minutes avant d’aller se coucher, j'ai pu l’apercevoir presque en entier au lieu de juste son visage. Je m’aperçois qu’elle commence à avoir une jolie poitrine. Dans les dernières image que j’ai vu d’elle, elle portait une petite camisole rose sans soutien. Je voyais ses mamelons qui voulaient percer sa camisole. C'est là que j’ai commencé à fantasmer pour cet été a ce qui m’apparaissait dans mon écran. À mon âge, je commence à avoir pas mal de réaction à regarder les filles, surtout sur internet avec mes potes de l'école. J’ai vraiment hâte d’être près d’elle dans quelques jours. Ma tante habite dans un petit village qui longe la manche. Tout l’hiver, j'ai communiqué avec Louis et depuis deux semaines Miranda, elle aussi, essaie de me rejoindre par FaceTime et me dit-elle à hâte de me revoir elle aussi.

Quand j’en ai eu terminé avec Miranda et j’ai fermé mon portable, j’entendais ma mère qui était en train de se doucher. Presque à tous les soirs, elle prend sa douche dans, c'est heures-là avant d’aller se coucher. Elle est sûre qu’on dort moi et ma sœur. J’ai décidé d’aller jeter un œil devant la porte de la salle de bain. À l’heure qui est minuit 15, ma petite peste de sœur doit sûrement dormir. Comme à son habitude, ma mère quand elle se douche a cette heure tardive, elle ne ferme pas complètement la porte, elle fait juste l’accoté sans la fermer complètement. Je m’agenouille et regarde par la fente qui reste et aperçois ma mère qui sort de la douche. Elle est nue et je la trouve très belle.

Du haut de mes quatorze ans, c'est la première fille que je vois devant moi nue et c’est ma mère. Elle a des nichons superbes, des mamelons (une des parties du corps féminin que j’ai appris un mamelon, c'était quoi sur internet) que j’aime regarder, et une toute petite ligne de poil au-dessus de la chatte (un autre mot). Même si c’est ma mère, je la trouve superbe à regarder, quand elle se retourne, j'aperçois son joli petit cul tout rond avec une raie qui me paraît assez profonde. Quand je la voyais dans un maillot deux pièces à la plage, je trouvais que ma mère était une superbe femme. À mon âge, je commençais souvent à avoir des réactions dans mon pantalon que je venais de découvrir quand j'admirais les filles en maillot, et surtout que ne pouvait pas contrôler quand ça partait. J’essayais de dissimuler mon grossissement le plus possible devant elle et les autres aussi. Mais maintenant que le la voie nue devant moi, c'est encore mieux. Elle se dirige vers une serviette donc je l’aperçois de tous les angles, elle lève sa jambe droite et pose son pied sur le couvert de la toilette pour commencer à s'essuyer les cuisses. Ma mère est bien écartée et juste dans ma vision pour que j’entrevoie encore plus sa fente. C’est comme sur les vidéos dans l'internet, mais en plus beau encore. J’ai un début d’érection dans mon pantalon de pyjama qui est le seul vêtement que je porte. Même si c’est ma mère, elle me fait bander d’être nue devant moi.

Sans que je l’entende venir, ma peste de sœur arrive derrière moi et pousse dans la porte de la salle de bain. La porte ouvre, et je me retrouve à genoux dans le couloir face à ma mère qui elle est nue devant nous deux. Ma sœur tout en panique commence à dire à ma mère que je l’observais depuis un certain moment déjà. Et fait remarquer à ma mère que mon pantalon est très gonflé comme elle dit.

Ma réaction a été instantanée, je me suis relevé mort de honte d’être devant ma mère qui est nue. Je suis entré dans ma chambre en fermant la porte en espérant que ma mère ne me suive pas. Quelque instant après ma mère a suivi entourer dans sa serviette et ma sœur aussi.

 Maman, dit ma sœur, Benoît m’a déjà demandé de mettre son pénis gonfler dans ma bouche la semaine passer. Pourquoi son pénis devient-il si gros ? Demande-t-elle à notre mère. C'est ça sa grosse bosse comme l’autre fois.(ma sœur n'a que dix ans et demi et est très indiscrète)

Jamais je pensais qu’elle irait à dire cela à ma mère, je lui avais pourtant dit que cela restait entre nous deux.

Ma mère, choquée de mon comportement de voyeur et de ce que ma sœur vient de lui révéler, s’assoie sur mon lit. Sa serviette qui descend à peine sous ses fesses remonte et laisse une grosse patrie de ses fesses a l’air. Elle me prend par un bras et me tire pour que je m’étende sur ses genoux. En n'ayant pas le choix, je m’étends et remarque que sa chatte est exposée, rien pour soulager mon érection. Étendu sur les cuisses nue de ma mère et mon pénis dans mon pantalon de pyjama qui frotte sur ses cuisses, ça m’excite encore plus.

Je ne sais plus que faire avec toi Benoît, me dit-elle. Tu exagères, commencer à demander à ta sœur de faire des cochonneries pareille, elle n’a que 10 ans, ce n'est qu'une fillette et ta sœur en plus. 

Et toi ou as-tu appris ça ? a ton âge ce n'est pas un comportement normal de penser à, c'est cochonneries là . Je n’ai jamais fait ça avec toi au paravent, mais tu mérites une bonne correction, une fessée comme mon père me donnait quand j'étais de ton âge et j’agissais sans réfléchir.

Et ma mère commence à me claquer les fesses. Ça me fait une drôle de sensation, me faire claquer les fesses, j'aime ça. Ça chauffe un peu, mais mon tissu de pantalon amorti la main de ma mère. J’imagine que fesse a l’air, les claques doivent être plus mordantes et plus humiliantes aussi.

Ma mère arrête après peu être une trentaine de claques ou plus, elle s’aperçoit que plus, elle me claque les fesses, plus je reste bandé. Elle me fait relever.

Ma mère demande à Sofia, ma sœur, si je lui avais montré mon pénis.

Quand ton frère t’a demandée de mettre son pénis dans ta bouche, était-il nu ? Questionne ma mère

Non maman, je lui ai seulement demandé, c'était quoi la bosse dans son pyjama. C’est là qui m'a demandé si je voulais essayer de goûter à sa queue, il disait que j’aimerais ça. Pourquoi un gars a une queue comme un chat maman ? Demande-t-elle naïvement.

Ma mère se retourne vers moi en disant Benoît, tu as été trop loin cette fois-ci. Tu baisses ton pantalon pour montrer à ta sœur, c'est quoi que tu appelles une queue.  Et si tu ne le baisses pas ton pantalon toit même c’est moi qui le ferais et je vais te chauffer les fesses avec autre chose que mes mains cette fois-ci. J’ai protesté, disant que cela n’avait pas de sens me mettre à poil devant elle et ma sœur, mais ma mère était sérieuse et m'a obligé à baisser mon pantalon et montrer mon pénis encore en érection devant elles. C’est gênant humiliant.

Benoît, je pense que je vais changer d’idée pour ton séjour chez ta tante, me dit elle. Avec ce qui se passe ici chez ta tante avec tes cousines, j’ai peur de ton comportement. Pour ce soir rhabille-toi et on va tous ce coucher, demain matin, je vais parler à ma sœur et on verra après.


Ma mère et ma tante, après une longue discutions, ont décidé que je pouvais aller comme à l’habitude passer une partie de l’été chez mes cousines, mais avec quelques bons avertissements sur mon comportement.
Quelques jours plus tard, arriver chez ma tante en Normandie, même si j’aime voir mes cousines, j’ai trop hâte, je m’empresse de traverser chez la voisine et d’aller voir Louis et surtout Miranda. Ma tante et mes cousines me suivent, ce sont de très grands amis.

Arrivé tous les quatre chez le voisin de ma tante, mes cousines entrent sans frapper, elles ont l’habitude d'entrer sans frapper chez leurs amies. Miranda et sa mère, nous accueil, mais Louis n’est pas là. Miranda commence à m'expliquer que mon ami Louis est en punition dans le salon.

Benoît vient voir ton ami Louis me dit Miranda. Ma mère lui a donné une fessée comme un petit gamin et il est à genoux dans le coin, fesses à l’air.

Je suis Miranda et sa mère avertie sa fille de ne pas s’en mêler, car elle aussi ira le rejoindre dans la même position si elle le dérange. 

Dans le salon, je m’assois sur le sofa à côté de Miranda et regarde mon ami Louis, à genoux dans le coin mains sur la tête, fesse à l’air, vêtu que d’un pull qui lui cache la moitié des fesses. Miranda commence à m'expliquer à moi et mes cousines que Louis avait imitées la signature de son père sur deux contrôles à l’école pour cacher ses mauvaises notes. Le directeur avait appelé sa mère pour la mettre au courant de son stratagème. Pauline sa mère rajoute oui il pensait nous cacher ses mauvais résultats de fin d’année. Mais il va le regretter, son père est sur le point d’arriver d’une réunion avec le directeur de son école et je pense que Louis va s’en souvenir pour longtemps de sa gaffe. Ma tante regarde Danielle sa fille et nous dit moi aussi j'ai quelque chose a régler plus tard, cela laisse une drôle d'impression dans le salon.

Roland, le père de Louis entre presque au même moment que sa mère, nous expliquait les niaiseries de Louis. On entend Louis, lève-toi et vient ici me voir au centre du salon.

Et quand le père de Louis parle sur ce ton, c'est mieux de lui obéir. Dans les années passe je me m’étais rendu compte que c’était mieux de lui obéir, quand il s’adresse a ses enfants sûrs ce ton-là.

Louis se lève en se cachant avec ses mains et tirant sur son pull pour en montrer le moins possible. Il est gêné d’être pratiquement nu devant nous. Il passe devant nous et s’approche en demandant a son père s'il peut monter dans sa chambre pour le punir parce qu’il sait très bien ce qui va lui arriver. Mais son père ne l’écoute pas et enlève sa ceinture et demande à Louis de rester au centre du salon et d’enlever son pull. Louis obéi à son père et passe son pull par-dessus sa tête et le donne à sa mère. Louis est nu devant mes cousines, sa sœur, ma tante et moi aussi. Louis remet ses mains entre ses jambes pour cacher son intimité.

 Son père lui pose une question.

Dit moi la vérité Louis.

Dans le passé as-tu déjà imité ma signature pour d’autre contrôle ?

Louis ne répond pas et regarde ses pieds

Sans prévenir, son père lui donne un violent coup de ceinture en travers de ses fesses. Louis laisse paraître une petite grimace, mais se retient pour cacher le plus possible sa douleur. Une ligne rosée commence à apparaître sur ses fesses.

Son père lui en rajoute plusieurs autres, cinq, six aussi fort en travers de ses fesses. Tu ne veux pas répondre, je vais te faire parler, dit son père, dit nous comment de fois, tu as imité ma signature. Louis nous laisse voir ce que mes cousines avait hâte de regarder et se frotte les fesses en demandant à son père d’arrêter.

C’est la première fois que j’assiste à une punition en direct sous mes yeux, et je m’imagine la douleur que ça doit procurer, recevoir des coups de ceinture aussi fort sur les fesses. Ma mère l’autre soir m'a donné quelques petits coups avec sa main et sur mon pantalon, je n’avais presque rien senti, mais de la force que Louis se fait claquer les fesses cela doit brûler. Ses fesses tournent au rouge et mes cousines ont les yeux rivés sur son engin qui branle devant leurs yeux, cela doit être humiliant.

Ma tante, c'est plus la ceinture qu’elle aime voir s’abattre sur les fesses de Louis.

Ça fait quatre ou cinq fois papa, mais arrête, ça fait mal, dit Louis.

Je le savais, dit son père, je voulais que tu nous l'affirmes. Il oblige Louis à se pencher et à poser ses mains sur la table basse au centre en face de lui. Louis se penche et il a les fesses bien exposer et le reste aussi.

Son père recommence à lui claquer les fesses. En l’espace de quelques secondes, c'est environs une vingtaine de coup de ceinture qui se sont abattu sur ses fesses jusqu’à ce que Louis fléchisse les genoux et éclate en sanglot en se protégeant les fesses avec ses mains.

Le père de Louis lui ordonne de se relever. Pour l’instant Louis lui dit son père, tu vas au coin debout, main sur la tête et tu restes nu pour un bon moment encore. Je vais revenir plus tard pour la suite. Et cette fois-ci, ce sera la cane, prépare tes fesses, je n’en ai pas fini. Mes cousines regardent Louis qui traverser devant elles en se tenant les fesses le zizi à l’air et s’installer dans le coin.  Moi, c'est surtout la couleur de ses fesses qui impressionne, la douleur que Louis doit avoir n’intrigue.

Ma tante décide de rentrer et je suis aussi laissant Louis avec sa douleur et nu dans son coin.

Je demande à mes cousines si elles avaient déjà reçu une punition aussi sévère. je savais que ma tante punissait souvent ses filles par la fessée. L’été passé, j'avais eu connaissance que la plus jeune Jacinthe qui avait 10 ans avait reçu une bonne fessée dans sa chambre et fesse a l’air. Car le bruit était clairement une main qui claquait la peau et le soir Jacinthe, toujours en punition et ne portant qu’une nuisette, avait du mal à s'asseoir.

Gêner Danielle la plus vieille finie par me répond. Oui Benoît à l’occasion notre mère nous punie en nous donnant la fessée même à mon âge. J'ai quinze ans et ça arrive encore que ma mère me chauffe les fesses. Je ne pensais jamais que ma cousine me dirait qu’elle recevait la fessée, c'est un peu gênant de parler de cela à quelqu’un que l’on reçoit une telle punition a son âge.

Ma tante apparaît dans le salon dans lequel nous sommes installés Danielle et moi, elle tient une petite palette de bois dans ses mains. Danielle blêmie et je la vois devenir très mal à l’aise. 

Pourquoi Danielle, tu m'as menti à propos de ton contrôle de la semaine dernière ? Demande ma tante à sa fille Danielle.

Qu’as-tu fait avec le contrôle ?

As-tu utilisé la méthode de Louis imité ma signature ? Répond Danielle. Si oui, tu mérites d’être punie aussi sévèrement que Louis.

Danielle commence à jouer dans ses cheveux, tourner une couette en signe de nervosité.

Ma cousine Danielle est une très belle fille châtaine, même si c’est ma cousine, je la trouve très belle. Elle commence à avoir une belle petite poitrine qui prend forme dans son pull, j’ai remarqué qu’elle ne portait pas de soutien, ses tétons pointent dans son pull. Elle a un beau petit cul dans son short très court.

Danielle commence à bégayer, ne sait pas quoi dire et répond n’importe quoi sans rapport à la vraie question que sa mère lui a posé.

Debout lui ordonne sa mère, tu sais très bien de quoi je parle. Ce matin, j'ai été convoquer au bureau de ton directeur et il m’a montré toutes les tricheries que tu as faites pour essayer de me tromper sur tes mauvaises notes. Danielle se lève et s’approche de sa mère.

Maman dit Danielle, s’il te plaît allons dans ton bureau ou demande à Benoît de sortir du salon d’aller dehors.

Je pense que je vais assister encore une fois à une autre fessée et cette fois-ci c’est ma cousine qui va la recevoir. J’espère juste que ma tante ne me fera pas sortir.

Non Danielle, Benoît reste ici pour ta punition. Il commence à être assez vieux pour aimer regarder une grande fille comme toi se faire punir, et pour toi, cela sera plus humiliant. Et ne discute surtout pas avec moi, je ne suis pas d'humeur pour cela. Enlève ton pull et ton short, je m’occupe de tes fesses. Et toi Benoît vient t’asseoir ici dans le fauteuil à ma droite, tu seras mieux placer. Sa sœur cadette descend de sa chambre et elle aussi vient assister à la punition que va recevoir sa sœur.

Allez Danielle, enlève ton short, si c’est moi qui te le retire, je double ta punition. Je vais te montrer à quoi cela mène de tricher et de frauder.

Je regarde ma cousine qui enlève son pull juste devant moi, pas de soutien, elle a la poitrine à l’air. Ses jolies petits nichons apparaissent dans ma face. Ma cousine se retourne pour se cacher de moi, les nichons ont l’air cela la met mal à l’aise et en se retournant, elle reste un peu plus intime devant moi. Ma tante se lève et claque les fesses de Danielle.

Non ma belle, lui dit sa mère, tu te retournes et montre à ton cousin ce que tu lui caches, ce n’est pas ton dos qui l’intéresse. C’est pour ça que je le garde ici devant toi, pour t’humilier le pus possible. Alors Danielle, tourne-toi face à lui et ta sœur et enlève tes bras, de sûr ta poitrine. Maintenant donne-moi ton short en lui redonnant quatre claques sur ses fesses encore protéger par son petit short en jeans.

Je vois ma cousine se retournée face à moi, un bras croisé sur sa petite poitrine et avec son autre main, elle défait le bouton qui tien son short encore en place. C’est seulement ce qui lui reste sur le dos, son short et probablement un sous-vêtement, j’aperçois un bout d’élastique rose qui excède son short. Je commence à avoir un gonflement dans mon pantalon, ma cousine m’excite, une si jolie fille qui se dénude devant moi, je ne peux pas faire autrement. Danielle est belle à regarder à moitié nue. En quelque jour, c'est la deuxième fille que je voie nue. Ma mère il y a quelques jours et qui a des nichons un peu plus gros que ceux de Danielle. Et Danielle, ma cousine, que je vais voire nue dans quelques instants, j’espère devant moi. Si ma tante ne change pas d’idée. Mon plus gros fantasme serait de pouvoir voire Miranda nue durant l’été.

Danielle réussie a détaché son short d’une seule main et le laisser descendre à ses chevilles.

Par conte, sa main reste entre ses cuisses pour cacher ce qu’elle ne veut pas me montrer.

Sa mère lui claque à nouveau les fesses pour l’obliger à mettre ses mains sur sa tête.

Allez ma fille, montre à Benoît ce qu'il espère voir depuis longtemps ton corps nu.

Je ne sais plus où regarder ma tante me gêne, je suis sûr que j’ai la face rouge de honte.

Danielle obéie et me monte son petit string rose qui garde son intimité encore hors de ma vue. Mais cette fois-ci, je peux regarder ses jolies petits nichons tous blancs comme neige qu’elle me laisse enfin voir. De superbe gros tétons pointe vers moi, je suis surpris de voir de si gros pitons sûrs de si petits seins. C’est vrai que je n’ai pas l’habitude de voir une fille nue de si près, ce n’est que la deuxième fois. Mais cela me surprend de la grosseur de ses tétons, de la manière qu'ils pointaient dans son pull.

Amuse-toi Benoît, fait toi plaisir me dit ma tante, tu as le privilège de lui enlever son string et la mettre nue, profites-en. Et prend le temps de la regarder de la tête au pied. Je n’en reviens pas ma tante qui me laisse mettre sa fille nue, cela me rend nerveux et mal à l’aise de finir de déshabiller ma cousine. Je sais très bien qu'elle-même va être très humilié de se faire mettre nue par son cousin, mais les mains me démange, j’attends ce moment-là depuis longtemps de pouvoir regarder ma cousine en tenue d’Ève.

Non maman, je lui interdis de me toucher, il n’a pas le droit, dit Danielle. C’est un garçon et mon cousin, je ne veux pas qu’il me déshabille et qu'il me voit nue, déjà, il en a déjà beaucoup trop vu, fait le sortir. Danielle redescend ses mains entre ses jambes et tien ses bras sur sa poitrine en même temps qu’elle avertit sa mère de me faire sortir du salon. Danielle recule tranquillement vers la porte de la cuisine pour essayer de se sauver de ma vision.

Jacinthe mon autre cousine s’approche de moi et regardant sa sœur presque nue et reculant pour se sauver et elle me dit. Ma sœur ne devrait surtout pas tenir tête à notre mère, ça ne donne rien, ça fait juste empirer sa punition. Elle n’y échappera pas à sa fessée devant nous, ma mère est bien décidée à lui en donner une ici devant toi et lui faire honte, et Danielle n’a pas le choix. Quand ma mère décide de nous punir, on s’en souvient longtemps.

Jacinthe remarque que mon legging que je porte à une grosse bosse qui ressort. Maman regarde Benoît entre ses jambes, il a une grosse bosse. Ma petite cousine est comme ma sœur et de la même âge. Elles sont très curieuses et sans retenue, elle disent tout ce qu’elles voient de bizarre selon elles.

Je m’empresse d’essayer de dissimuler le plus possible mon érection, ma tante me regarde sans parler, ça me soulage un peu.

En s’approchant de Danielle, sa mère lui claque les fesses et la fait revenir au centre. Elle l’oblige à enlever son seul vêtement qui lui reste, son petit string rose. Cela me déçoit que ce ne soit pas moi qui lui enlève comme elle me l'avait dit plus tôt. Mais j’adore ce que je vois devant moi, ma belle cousine qui est nue et se tient les mains sur sa tête, je la regarde de la tête au pied. Je suis mal à l’aise, je pense que je suis encore plus gêné de regarder ma cousine nue devant moi, le sexe bien rasé, qu’elle-même est gênée d’être nue dans le salon devant nous trois. C’est ma première expérience d’avoir une fille nue et aussi près de ma face et je ne sais plus où regarder, ma tante et Jacinthe mon autre cousine me regarde et cela me gêne bien plus. Je fais semblant de regarder ailleurs que devant moi, mais ma tante s’en rend compte.

J’entends ma tante dire aller Benoît, profite de ce que tu as a quelque centimètre de ton visage, regarde comme ta cousine est belle nue, c’est ce que tu veux voire depuis que tu es arrivé ce matin.

Ma tante se lève et me tire par un bras pour que je me lève moi aussi. Je suis debout en face de Danielle qui a les mains sur sa tête et son intimité n’a plus de secret pour moi. Je suis concentré sur son magnifique corps et ne suis plus trop conscient de ce qui se passe autour de moi.

Ma tante, elle est derrière moi et pendant que je suis concentré à regarder Danielle, elle baisse mon legging jusqu’à mes chevilles. Je n’ai aucun slip dessous, je me retrouve fesses à l’air et le pénis en érection a la vue de Danielle et Jacinthe sans que j’aie le temps de trop réagir. Je n'ai jamais été aussi humilié de toute ma courte vie. Fesses à l'air devant trois filles même si ce sont mes cousines c'est très gênant.

Benoît, ce n’est pas juste toi qui as droit à une éducation sexuelle cet après-midi. Tes cousines aussi ont droit de découvrir c’est quoi l’anatomie d’un gars en érection, en entendant ces paroles, je reçois cinq claques sur mes fesses. Aïe ça chauffe.

Lâche ton machin ! petit impoli. Laisse nous regarder ton excitation que te procure la vision d'une fille nue devant toi, me demande ma tante. C'est très impoli de cacher ce que l'on veut tous voire. Danielle aussi a le droit de te regarder. Je suis mort de honte, je tire sur mon tee-shirt, l’étire du mieux que je peux pour cacher mon érection et mes fesses, mais il ne se rend pas bien bas. Jacinthe qui est assise à côté s’amuse à se mirer sur mon derrière et mon érection que j’essaie de cacher avec mes mains.

L’ache toi le pénis Benoît et garde tes mains de chaque côté de toi sinon je t’oblige à te masturber ici devant nous. Ça te plairait peut-être de t’amuser avec ton engin devant nous et montrer à tes cousines à quoi ça serre un pénis qui devient gros. Tu pourrais donner une démonstration à tes cousines de ce qu’un gars peut faire avec son pénis.

Je n’ai pas l’intention de me masturber devant elles, j’obéis à ma tante et place mes bras de chaque côté de mon corps. Ça laisse le champ libre à mes cousines de regarder à leur tour mon intimité, et mon érection commence à tomber par la honte d’être exposé ainsi.

Enlève ton tee-shirt Benoît et assieds-toi au bout du sofa, et laisse ton engin à la vue pour que l’on puisse le regarder. Je retire mon tee-shirt, je suis maintenant nu comme Danielle devant mes cousines et ma tante et extrêmement gêner de l'être. Je m’assois à l’endroit indiqué, sur le grand sofa en gardant mes mains sur mes genoux. Jacinthe, même à son jeune âge, s’amuse à me regarder, pas dans les yeux, mais surtout entre mes cuisses, mon intimité. La grosseur que mon pénis est redevenu, tout petit, cela l’intrigue et elle trouve cela drôle, elle en rie.

Danielle est obligée de faire le tour de sa mère en gardant ses mains sur sa tête, et se mettre debout entre moi et ma tante. Moi, étant assis, j'ai ses jolies fesses blanches à quelque centimètre de mes yeux sans être capable de les caresser. J'ai les mains qui me démangent, je me retiens de ne pas lui toucher les fesses, mais je ne m'en plains pas. 

J'entends Benoît, prend le temps de regarder ta cousine nue, me dit ma tante. Elle se rend bien conte que j'ai le fixe sur ses fesses, c'est ta journée de chance aujourd'hui. A mon âge, je n'ai pas l'habitude de voir de si jolies fesses de si près. Elle fait retourner Danielle face à moi et la rapproche de moi pour que je puisse la regarder de face aussi, je vois son sexe bien rasé en détaille. J'ai le nez presque collé dessus, je ne peux rien manquer, c'est beaucoup mieux que sur un écran de portable. J'ai quasiment sa chatte dans mon nez, et ses beaux petits seins que j'aimerais toucher sont juste au-dessus de ma tête. Je recommence à avoir une nouvelle érection, j'essaie de me cacher le pénis gêner de bander devant mes cousines et ma tante. 

Non Benoît, lâche ta queue et laisse nous voir ton excitation, m'ordonne ma tante. Sinon, tu viens au centre du salon et tu t'amuseras avec ton pénis pour montrer à tes cousines ce que tu aimes faire avec. Ma tante fait tout pour m'humilier le plus possible et cela me met très à l'aise.

Je ne m'oppose pas à ma tante et j'enlève mes mains de sur mon érection, Jacinthe a encore les yeux river sur moi ou plus tôt plus bas au niveau de mes cuisses.

 Danielle se retourne et sa mère l'oblige à s'étendre sur ses genoux. J'ai ses pieds qui touchent mes jambes. Danielle garde ses jambes serrées l'une contre l'autre, ça me cache ce que j'aimerais regarder le plus, mais ses fesses sont si belles que je me contente de ce que je vois.

En lui immobilisant un bras dans son dos, Ma tante commence à lui claquer les fesses. Toujours en la sermonnant sur son comportement, elle claque avec force et très rapidement. C'est comme sur les sites que je regarde et les filles crient pour que cela arrête, c'est la même chose. Les jambes de Danielle commencent à se balancer par la douleur qu'elle commence à ressentir et je peux entrevoir son petit trésor qu'elle ne voulait pas me montrer. Sa mère arrête et je constate que ses fesses ne sont plus blanches, mais rosées, presque rouges, et Danielle pleurniche et essaie de se déprendre, mais est toujours tenue immobile par sa mère.

Benoît, donne-moi la palette que j'ai posée sur la table dans le coin là-bas, me demande ma tante. Je n'en n'ai pas fini avec ta cousine, elle mérite encore plus que quelques petites claques. La vraie fessée commence, dit sa mère, les fesses vont lui chauffer encore plus. 

Non, non maman, je t'en supplie pas la palette et devant Benoît en plus s'il te plaît pas ça. Danielle, encore étendue sur les genoux de sa mère, essaie de se protéger les fesses avec son autre main libre, mais n'en est pas capable. Quasiment en équilibre, sa tête est dans le vide et ses jambes aussi, elle est à la merci de sa fesseuse.

Moi, gêner de me lever nue devant ma jeune cousine Jacinthe et ma tante avec une érection raide comme une barre. J'essaie de rester dos à elles et je me rends à la table qui est à l'autre bout du salon en prenant soin de ne pas cacher mon érection . Je me souviens très bien de ce que m'a dit ma tante. Je reviens vers elles en dévoilant tout de mon anatomie et c'est humiliant, c'est ce que veut ma tante, me faire honte et elle a réussi. Merci Benoît, maintenant reste debout, j'aime ça, te regarder la queue raide, c'est mignon, me dit-elle, et en même temps qu'elle dit ces paroles-là, elle regarde Jacinthe qui, elle aussi, est surprise par ce qu'elle voie. Benoît, tu vois ta petite cousine, elle est toute contente de te regarder, elle aussi, fait son éducation.  À dix ans, elle a le droit et est en âge de commencer à découvrir de belles choses. Danielle aussi me regarde même si elle a la tête dans le vide et les fesses en feu, elle prend le temps de me regarder. Je suis debout juste à côté d'elle et je commence à redevenir plus à la normale, je me sens gêner d'être regardé ainsi. 

Assois-toi ou tu étais Benoît me demande ma tante. J'obéis et retourne n'asseoir.

  J'entends ma tante dire Danielle, tu la mérites cette humiliante punition, tricher et frauder ce n'est pas la manière que je vous aie éduquées. Ma tante commence à claquer les fesses de sa fille avec la palette de bois. Ça doit faire un mal de chien, j'entends le bruit qui résonne dans tout le salon et ses fesses virent encore plus au rouge. Danielle se débat, ses jambes bougent dans toutes les directions, la douleur est trop intense. Danielle ne s'occupe plus de sa pudeur et me laisse voir tout ce que j'espérais voir. J'aperçois très bien sa belle fente rosée quand Danielle ouvre les jambes en essayant de fuir les coups de palette qu'elle reçoit sur ses belles fesses.

Danielle qui crie, pleur, essaie d'éviter les coups, supplie sa mère d'arrêter. Mais ma tante est bien décidée à lui donner une solide correction et ne modère pas, elle change la palette de main, son bras commence à être fatigué. De son autre main, elle continue à frapper le derrière de sa fille aussi fort. Ma tante fine par arrêter la fessée et me donne la palette de bois, je constate que les fesses de Danielle sont rouges, elle doit avoir un mal de chien. Ma cousine pleure comme une petite fille et sa mère lui frotte ses fesses en la laissant reprendre son souffle et se calmer.

Lève-toi maintenant Danielle et mets-toi à genoux au centre, mains sur ta tête. Danielle se relève péniblement en se tenant les fesses à deux mains et pleurnichant, j'aime la regarder nue. À quinze ans, ma cousine est devenue une très belle fille et j'en profite pour la regarder. C'est la première fois que je la voie nue et c'est la première fille aussi que j'ai le plaisir de regarder nue à quelque centimètre de moi.

Ma tante me sort de mon fantasme en me claquant sur une cuisse. Debout toi aussi Benoît et mains dans le dos. Je veux que tes cousines te regarde nu toi aussi, ce n'est pas juste a toi de te rincer l'œil. J'ai promis à ma sœur que je t'enlèverais l'envie de demander à faire des cochonneries à des filles, je vais assez t'humilier durant tes vacances ici avec nous que l'envie va te passer. Au même moment que je me lève, Miranda et sa mère entre par la cuisine pour nous rendre visite. 

C'est vrai Linda (C'es le prénom de ma tante) tu m'avais déjà parlé de ce qu'avait demandé Benoît a sa sœur et c'était dégueulasse surtout à sa petite sœur de 10 ans en plus. Si c'était mon fils qui aurait demandé une cochonnerie pareille à Miranda, il se serait fait chauffer les fesses à la ceinture et nu devant sa demi-sœur. On arrive juste au bon moment, je vois, tu es en train de punir Benoît aussi, Miranda et moi, on va regarder ce beau jeune homme, s'il veut bien enlever ses mains et nous laisser le regarder.

Ma tante me claque les fesses et m'ordonne de retirer mes mains de mon entre jambe. Laisse voir à Miranda ton intimité Benoît. Je veux te montrer ce que c'est être humilier nu. j'avais eu le réflex de cacher mon intimité devant Miranda et sa mère qui sont apparues à l'improviste. Je n'ai jamais été aussi gêné qu'aujourd'hui. Je n'airais jamais penser que d'être nu devant un paquet de filles est si humiliant

Après quelques minutes à être exposé nu, ma tante me redonne mon legging et mon tee-shirt, enfin je peux me rhabiller. je reste gêner pareille mais je suis plus à l'aise habillé. Ma tante oblige à sa fille d'aller chercher les travaux spéciaux  dans sa chambre que le directeur lui a donné à faire pour ce soir. Deux copies de 200 lignes et de revenir ici pour qu'elles les fassent devant sa mère. 

Mais maman, dit Danielle, je vais les faire dans ma chambre. Je reviendrai te les montrés plus tard quand j'aurai fine de les faire. 

Non, répond ma tante, tu montes les cherchés et revient ici et tu restes nue. Tu es en punition pour le reste de la journée. À ton retour tu t'assoie ici a la table et tu fait ces devoirs.

Pour ma première journée de vacances chez ma tante, cela commence bien, ma cousine que je vais voir nue toute la soirée. J'espère juste que ma tante ne me fera pas enlever mes vêtements comme plus tôt cette après-midi, j'ai déjà été assez humilier pour aujourd'hui.

lundi 19 décembre 2022

Trois ados immatures et harceleuses se font humilier. Le lendemain au lycée

Le lendemain a la salle de réunion du lycée

M. le directeur se présente avec ses adjoints à la direction.

M. et Mme Michel, vous êtes ici avec votre fille Gabrielle qui est accusée d’avoir entré des substances illégales dans l’établissement. Tout comme vous deux M et Mme Jonças, votre fille Bianca, elle aussi, est complice. Mme Renier, Marie-Line elle aussi, à participer à cette histoire de drogue dissimulée dans de la nourriture. Et le harcèlement que font ses trois fille-là à un prof et une étudiante. Cela leur mérite déjà une suspension.

M. Jonças, vous m’avez écrit hier soir sur mon courriel pour me suggérer de ne pas renvoyer votre fille et proposé autre chose. C’est pour cela que mes adjoints sont ici et on a étudié votre proposition. Les deux autres familles, je suppose que vous êtes du même avis que M. Jonças pour la proposition de punir vos filles publiquement en replacement du renvoi, et pour le reste de la semaine aussi. C’est de punition corporelle qu'on parle. Une fessée en public pour ces trois ados que vous nous proposez et nue, on s’entend bien. Et de les humilier publiquement aussi.

 
Oui M. répond la mère de Marie-Line, c’est cela qu’on vous propose tous de ne pas renvoyer nos filles, mais d'être très sévère envers elles. Les punir publiquement comme dans le passé. Quand j’avais son âge, j'en ai reçu couramment des punitions corporelles. Ces méthodes-là dans nos écoles s'utilisaient et c'était efficace. Si on n’était pas gentil et poli à cette époque, on était cul nu en public, les fesses marquées par la ceinture en public. personnellement, je me suis fait rougir les fesses très souvent par mes parents et mes profs et en public, cela me calmait et me rappelait à l'ordre. Pour moi ça me convient. Ça va faire réfléchir ma fille de se faire punir publiquement et humilier, son harcèlement qu’elle faisait lui coûtera très cher, et ce sera une vengeance pour la victime de voir sa harceleuse être humiliée à son tour. Moi aussi je vous demande d’adhérer à notre demande, M. réplique, le père de Gabrielle. Les trois familles, on en a discuté hier et c’est notre choix. Et j’espère que ce sera accepté de votre part… Des filles de cet âge ne peuvent pas quitter l’école et traîner dans les rues.

    Les trois filles étaient restées à l’extérieur de la salle. Le directeur demande à ce qu’elles entre.

    Prenez une chaise mesdemoiselles, dit le directeur en leur montrant trois chaises installé spécialement pour elles au centre de la pièce.

    Le directeur remarque que les trois filles, on peine à s'asseoir sur les chaises, même que Gabrielle a grimacé et le directeur passe une remarque sur la manière qu’elle s’assoie.

   Hier soir M. j’ai donné a ma fille une bonne correction fesses a l’air avec ma ceinture réplique Jean-Luc le père de Gabrielle, c’est pour ça qu’elle a le derrière encore pas mal endolori.

    Bon, je vois, mais ici, c'est extrêmement rare qu’on a puni un étudiant en public. Cela arrive quelques fois par an. Ici dans ce lycée public dans de très grave cas ont puni des étudiants par une punition corporelle. Mais en privé dans la salle des profs ou ici dans mon bureau, et sur le vêtement pas cul nu ou entièremnet nu. Mais jamais devant les autres étudiants comme vous nous demandez de le faire avec vos filles. 

  Un lycée comme l’institut St-Thomas qui est l’unique lycée pour fille au pays à être mandaté par l’état pour ça la punition corporelle. Eux se le permettent avec l'accord de l'état. De nos jours, c'est plus envisageable, mais faisable pour de rare exception. Nos experts nous donne le droit de procéder à notre guise, c'est légal de punir des étudiants. St-Thomas, eux, utilisent ces méthode-là depuis des années, et ils ont un très bon succès, il faut bien l'avouer. Je connais le directeur, c'est un bon ami. 

   Mais je pense que l’idée est très bonne, et selon les lois dans le pays, il est toujours possible d’utiliser cette méthode de punition corporelle, et public à l’occasion, sans en abuser. Cela sera une première pour ici, et un bon exemple. Ce midi, durant le déjeuner au préau. Je vais les punir devant la salle toutes les trois. Vous pouvez Mrs. Dames vous fier à nous. Je vous promets que vos filles ne seront pas renvoyer. Signez-moi cette permission pour les punir selon vos demandes et on s’occupe du reste.

    Les filles protestent, vous ne pouvez pas nous faire ça M. on n’est plus des enfants pour nous claquer les fesses. Moi, j'ai presque quinze-ans bientôt et c’est gênant de recevoir une fessée à mon âge, lui réplique Gabrielle.

    Vous n’avez pas le choix Mlles, vous auriez dû y réfléchir avant de faire vos bêtises, maintenant, il est trop tard. À partir de à présent, vous êtes en retenue pour le reste de la semaine. La réunion est terminée Mrs. Dames. Je vous redonne des nouvelles de notre entretien plus tard. Tout le monde repart satisfait de la décision prise par la direction.

    Le directeur demande a son responsable de la sécurité d’aller chercher les deux personnes qui lui a demandé. À sa secrétaire aussi, il lui demande de faire venir Valérie. Il amène ensuite les trois filles dans son bureau.

Entré tous les quatre dans le bureau, le directeur est direct avec les filles.

    Votre punition commence ici. Premièrement, je vous demande à vous deux de me donner vos vestes et toi ton jacket Gabrielle. Les filles obéissent et enlèvent leur vêtement comme demandé. Vos parents m'ont donné carte blanche pour vous punir sévèrement. Je vous confisque vos vêtements Jeans, pull, t-shirt, legging, enlevez-moi ça, c'est confisquer pour la journée. Pour l’instant, vous êtes chanceuses, je ne vous confisque pas vos sous-vêtements.

Mais M. on ne va pas à nos cours ? Vous avez dit à mon père qu’on n'était pas suspendu, mais en punition. Demande Bianca.

    C’est justement ce que je fais, c'est le début de votre punition, vous irez à vos cours, ne paniquez pas. Allez bouger pour ne pas être en retard à vos cours. Le directeur s’approche de Bianca et lui donne deux claques sur les fesses pour qu’elle enlève son jeans et son t-shirt.cela lui fait très mal, elle a les fesses encore endolories de sa punition reçu par son père hier soir et les claques qu'elle vient de recevoir lui ont pas plus.

OK M. j’enlève mon jeans, mais ne me frappé plus.

    Marie-Line et Gabrielle sont déjà en sous-vêtements et Bianca a baissé son jeans à ses chevilles et retire ses chaussures.

    Bon c’est ce que vous vouliez nous humilier, vous rincer l’œil, vous avez réussi, maintenant regardez nous après on se rhabille rèplique Bianca.

    Oh non ma belle ! Tu n’as très mal compris, répond le directeur à Bianca. Vous n’avez plus besoin de vos vêtements pour le reste de la journée. Il prend Bianca par la nuque et la pousse vers son bureau. Lâchez-moi, vous me faites mal, ça me fait mal au coup.

    Et à présent penche-toi, pose tes mains sur le coin de mon bureau et ne bouge plus, c’est un ordre. Bianca porte un string et un soutien noir. C’est parfait que tu aies choisi de mettre un string ce matin. Je pourrais voir tes fesses changer de couleur, elles ont pas mal blanchies depuis que ton père te les aient rougis hier soir. Le directeur fait le tour de la taille de Bianca avec son bras gauche et la serre très fort sur lui. En même temps, il commence à lui claquer les fesses.


Il lui claque les fesses avec force. Bianca essaie de l’arrêter ou de se séparer de l’emprise du directeur, mais n’est pas capable de bouger. Le directeur est trop fort pour elle, elle est obligée d’endurer la rafale de claques qui s’ablatent sur ses fesses. Ses deux amies regardent le directeur claquer les fesses de Bianca et en grimacent de peur. Soudain la porte du bureau ouvre. C’est le chef de la sécurité qui entre avec deux gars. Les étudiantes regardent la fille qui se fait chauffer les fesses, ils s'aperçoivent que c'est Bianca à moitié nue. Ils ont l’air d’aimer ce qu’ils voient devant eux.

    Une belle fille brune qui connaisse bien, en string et soutien-gorge qui a les fesses bien rouges, et dans l’autre coin deux autres connaissances et en sous-vêtements elles aussi. ce sont deux étudiants du même niveau que Bianca qui sont entrés. Le directeur arrête, C’est justement vous deux que j’attendais. Je vous ai demandé de venir ici pour me dire la vérité sur ce que vous avez vu l’autre semaine dans le local de repos des employés au deuxième étage.

    Le plus petit des deux commence. M. le directeur, moi et mon ami, on circulait dans le couloir tout près du local quand deux filles en sont sorties et ont refermé la porte. Elle tenait une bonne quantité de feuille dans leurs mains. Laquelle de ces filles as-tu vue ? Demande le dirlo. Celle que vous venez de punir, M. Bianca, s'est-elle qui tenait des feuilles dans ses mains, et elle m’a dit de me taire que je n’avais rien vu. Les deux sont repartis dans l’escalier en descendant très rapidement.

Et l’autre fille est-elle ici ? Redemande le directeur.

Oui M. répond l’autre gars. C’est Gabrielle, celle au mur à moitié nue, M…

    Merci les gars, retournez vers vos classes. J’ai ma réponse, la secrétaire entre au même moment avec une étudiante. Elles aussi regarde les filles à moitié nues dans le bureau et sont aussi surprises que les gars de trouvé trois filles aussi peu vêtues dans son bureau.

    Le directeur replace Bianca au mur et oblige les deux autres à se repositionner bien droite et les bras croisés dans leur dos. Elles s’étaient toutes deux accroupies, les bras croisés autour de leur corps pour se cacher des trois gars qui étaient entrés dans le bureau.

    Vous Mlle, je vous demande de me confirmer si c’est bien ces filles-là qui vous harcèle et vous rend la vie si compliquée.

Oui, répond-elle sans hésiter, c’est bien elles M.

    Depuis une semaine qu’elle me menace de me faire du mal si je ne dénonce pas    mon oncle. Elles veulent que je porte plainte contre mon prof de Math qui est mon oncle aussi. Que je l’accuse d’être un pédophile, un abuseur. Il ne m’a rein fait mon oncle, elles l'ont vue me faire une accolade dans sa salle de cours pendant la pause il y a 8 jours environs. On n'était que tous les deux, mon oncle et moi, et mon oncle me félicitait pour mon succès dans le club de basket du lycée.

    Et la semaine dernière mon oncle me tenait pas une épaule en me raccompagnant à la sortie de l’école.

    Le directeur demande aux trois filles si elles s'avaient que Valérie était la nièce de leur prof de math M. V . Euh non M.! Elle ment, c'est sûr. Un oncle n’embrasse pas sa nièce sur la bouche, M. réplique Bianca.

 

Elle ne vous a pas dit qu’il l’embrassait en la baisant comme des amoureux, mais qu’il lui avait fait une accolade. L’embrassade, un baiser d'amitié, peut être aussi bien bouche-à-bouche ou sur une joue sans être tragique, dois-je refaire votre éducation, quel âge as-tu pour répondre des niaiseries pareilles Bianca ? Vous trois je vous promets que votre semaine sera pénible, préparez-vous.

Très bien Mlle, retournez à vos cours et merci pour votre éclaircissement.

Le directeur sort une affiche de son tiroir. C’est pour cela que vous avez fabriqué ces affiches-là et en avez collées sur les murs, pour une accolade. Il est écrit, si je lis bien, dénoncer le pédophile qu’est M. Vincent. Il n’a plus le droit de travailler ici dans notre école, etc.
 
C’est de fausse rumeur qui entache la vie professionnelle et privée de M. Vincent. Et vous allez lui faire des excuses les filles. Et il y a l’histoire des galettes illégale aussi. C’est aussi grave que de partir de fausse rumeur. Le directeur ramasse les vêtements confisqués et les donne à sa secrétaire pour qu’elle les dépose dans une des armoires au secrétariat. Maintenant, vous trois remettez vos chaussures, ont et suivez-moi, on monte dans la salle de cours de M. Vincent. la secrétaire sort de la salle avec les vêtements. Mais Mme, redonnez-moi mes vêtements si on retourne dans notre salle. Non Mlle je vous ai dit de me suivre et c’est dans cette tenue que vous venez, le directeur claques les fesses de Bianca pour qu’elle avance plus vite, et en fait de même avec les deux autres. Les trois filles sont sorties du bureau et le directeur les suit en les menaçant de leur claquer les fesses pour qu’elle aille plus vite. Dans le couloir, c'est plein d’étudiants qui, eux aussi, se rendent à leur salle. Ils remarquent presque tous les trois filles qui circulent en sous-vêtements autour d’eux et une qui ne porte qu'un léger string en plus. Elles se sentent observer comme des bêtes de scène. C'est un événement très spécial dans cette école que des filles circulent aussi peu vêtues. M. le dirlo les dirigent à l’escalier pour montée au deuxième, elles espéraient que le directeur prenne l'assesseur réserver aux personnels, mais le directeur aime mieux les garder dans la circulation, c'est plus humiliant. Dans l'escalier, c'est aussi achalandé que dans le couloir sauf que c’est beaucoup plus étroit et les filles sentent qu’il y a des mains qui leur poigne les fesses, le directeur derrière elles s’en rend compte et ferme les yeux.

Approchant du local encore dans le couloir, M. Vincent, leur prof regarde ses trois étudiantes qui doivent assister à son cours à la deuxième période, arrivées avec le directeur. Pourquoi sont-elles ici et si peu vêtues ? Demande le prof. Tous les étudiants qui entraient dans la salle arrêtent de parler et regardent les filles qui ne sont pas de leur groupe, et se demandent tous pourquoi des filles presque à poil entrent dans leur salle. Continuez d'entrer, prenez tous vos places, demande le directeur. Il fait entrer les filles et les garde avec lui en avant de la classe.
Le Directeur explique à M. Vincent tout ce qu’il doit savoir pour l’histoire des rumeurs et des affiches. M. Vincent, dit le directeur, ces trois fille-là passerons toute la matinée ici avec vous, même si présentement, elles ne sont pas dans leur groupe, elles restent avec vous. Je vous promets qu'elles vont être punies très sévèrement ce midi, M. rajoute le dirlo. Le directeur rajoute avant que quitter, si elles n’obéissent pas ne vous gêner pas, une bonne fessée devant tous ici les tranquillisera. Vous me les retournées 30 minutes avant la fin de votre dernier cours, et le directeur retourne à son bureau. M. V le prof demande aux trois filles de se placer debout face à la classe. M. V prend sa règle de bois qui est sur son bureau. Il s'adresse aux filles. C’est vous trois les auteurs de ces affiches. En s’approchant de Gabrielle, il lui donne un coup sur les fesses avec ça règle. Cela en a fait rire plusieurs dans la salle, un des étudiants suggère à son prof. Une bonne fessée nue M. c’est ce qu’elles mériteraient toutes M. Le prof se retourne, vous aimeriez tous cela surtout vous les gars, mais gardez vos fantasmes pour vous, patienter ce midi, vous serez sûrement satisfait. Pour l’instant, elles sont tranquilles. Si ça devient nécessaire, on passera a un autre étape, mais pour l’instant, je commence mon cours. Les filles à genoux si vous ne voulez pas que je fasse ce que beaucoup souhaiteraient voir. Gabrielle, Bianca et Marie-Line obéissent et s’agenouillent sur la petite estrade devant tout le monde. Je vois Mlles que vous tenez à garder les quelques vêtements qu’ils vous reste, c’est beaucoup plus sage d’obéir, la majorité dans la salle sont déçus que le prof n’aille pas plus loin et les garde habillé ou plutôt à moitié habillé.


Elles ont passé toute la durée du cours à genoux. À la pause, le prof leur donne la permission de se relever. Sortez dans le couloir pour vous dégourdir Mlles attendez dans le couloir que je vous dise quand entrée, les filles n’ont pas trop d’autre option. La menace de perdre ce qui leur reste de vêtements leur reste en mémoire. Pour aller aux toilettes, elles n’ont pas les choix que de circuler à moitiés nues entre plein d’autres étudiants. Elles détestent le comportement de plusieurs. Les commentaires sur la couleur de leur fesses ssurtout Bianca, et les attouchements, les claques surs les fesses que plusieurs s’amuse leur faire les humilient. Il y a un gars qui est allé jusqu'à baisser la culotte de Marie-Line et lui claquer les fesses nues. Plusieurs de leurs amies questionnent les trois filles sur leur tenue inhabituelle dans le lycée. Le deuxième cours, c'est leur groupe. M. V. les gardent en avant avec lui. Il explique encore une fois aux nouveaux qui viennent d’arriver les raisons de leu tenues, pourquoi elles sont si peu vêtues et les explications fines, il retourne les trois filles à leur place habituelle pour assister au cours. Le dernier cours aussi se déroule un peu comme le premier. À genoux devant la classe. Trente minutes avant la fin, M. V. renvoi Bianca, Marie-Line et Gabrielle au bureau du directeur comme prévu. La secrétaire les attendait au bas de l’escalier. Les filles, j'ai l’ordre de vous conduire à la salle à manger, suivez-moi. Pourquoi la grande salle Mme ?. À moitié nue, c'est ridicule. On passe à votre bureau pour se rhabiller avant de s’y rendre, demande Marie-Line. Non, vous n’avez pas le choix de me suivre sans discuter, c’est un ordre, si vous ne me suivrez pas, je demande à la sécurité de vous escorter jusqu'à la salle.
À l’heure qu’il est dans la salle, il n’y a que les cuisiniers et le personnel qui travaille dans la cuisine pour préparer le déjeuner. Le personnel en place regarde tous les trois filles qui entre vêtue que de sous-vêtements. C’est la première fois qu’ils voient cela. Ce n’est pas coutume de voir de si jolies étudiantes à moitié nue circuler dans l’édifice.
 
 Les trois filles se dirigent avec la secrétaire au comptoir pour prendre leur cabaret. Suivez-moi les filles, la secrétaire leur dit. Ce midi, vous avez une table réservée spécialement pour vous trois, sur l’estrade avec la direction et les profs. En montant sur l'estrade, les filles pose leur cabaret sur la table qui leur est réservée. Le responsable de la discipline vient leur parler. Avant de vous installer, les filles, vous me donnez vos chaussures et vos bas. C’est pied nu sur l’estrade que le directeur à ordonner que vous soyez pour manger. 
Mais pourquoi c’est aussi ridicule que de nous obliger à être vêtu ainsi devant tout le monde, réplique Marie-Line. Bianca se penche et enlève ses chaussures et ses bas et les donne au responsable, Marie-Line et Gabrielle font de même. C’est très bien que vous obéissiez. Cela vous évite de nouveaux problèmes. Assoyez-vous et manger. Le directeur sera bientôt ici avec nous pour la suite Mlles. Le responsable retourne à sa table en plaçant les chaussures confisquées sous sa table. Les filles essaient de manger, mais n’ont pas trop d’appétit. Bianca regarde davantage autour de l’estrade où elle est assise. Elle fait remarquer aux deux autres que le personnel d’entretien du lycée commence à entrer et ça devient de plus en plus gênant. Le directeur qui est au comptoir pour ramasser son cabaret regarde en direction de l’estrade. Quelque instant plus tard le directeur arrive sur l’estrade près des filles, il pose son cabaret sur la table. Je vois Mlles que vous avez terminé, suivez-moi maintenant, dépèchez-vous qu'on commence pendant qu'il est tôt avant qu'il y ait trop de circulation ici. Gabrielle se lève la première et les deux autres font de même. Pour aller où cette fois-ci M. ? C’est ridicule, la salle est sur le point de se remplir ou voulez-vous qu’on n'aille pas plus habiller que ça. À quelques pas de leur table, le directeur leur ordonne d’enlever leurs sous-vêtements et de lui donner.

   Quoi, vous êtes devenu cinglé ! M... Jamais je vais m’abaisser à me mettre à poil devant vous dans cette salle, lui dit Gabrielle. Très bien, mais tu vas le regretter. Le directeur retourne Gabrielle en le tenant par un bras, et commence à lui claquer les fesses. C’est ce que l’on va voir petite effrontée. Tant que tu ne te mets pas à poil, je te claque les fesses. Quand tu auras assez mal à tes fesses, tu finiras par me supplier d’arrêter et tu obéiras à ce que je t’ordonne de faire. Et vous deux aussi, si vous ne m’obéissez pas, vous aussi, je ne vous ménagerai pas les fesses. Regardez votre amie comment elle a mal et je ne fais que commencer. Le bruit de claques sur les fesses de Gabrielle attire l'attention de ceux qui sont dans la salle. plusieurs se rapproche de l'estrade pour regarder de plus près la fille qui se fait rougir les fesses.

   Très bien, arrêter, arrêter, cri Gabrielle, j'obéis. Le directeur arrête et lui lâche le bras. Gabrielle se frotte les fesses. Obéi où je recommence, Gabrielle lui conseille le directeur.

   Gabrielle enlève ce qui lui restait et est entièrement nue devant tout le monde, et le paquet de curieux qui sont autour de l'estrade. Elle donne au directeur ses sous-vêtements. Dois-je prendre la même méthode pour vous deux Mlles ça me ferait un grand plaisir de vous chauffer les fesses à votre tour. Non M. et en quelques instants, Bianca et Marie-Line elles aussi se retrouvent nue. 

 

Le directeur demande a son responsable de la sécurité d’indiquer à Bianca la table qui lui est réservée et de la faire installer comme prévu. À un autre de la direction d’amener Marie-Line à la table prévu pour elle. Lui le directeur s’occupe de faire descendre Gabriel dans la salle. En se dirigeant vers l'entrée ou tous les gens passe pour venir manger, le directeur traine Gabrielle par un bras et l'amène a une table réservée pour elle, sans chaise autour et directement dans l'entrée. Vient, j'ai une belle place pour toi juste ici dans la porte d'entrée. Tu seras le sujet de beaucoup conversation ce midi, ta popularité va monter en flèche.

   Il l’oblige a monté sur la table devant elle en l’aidant. C’est ta place pour les prochains 25 minutes ma belle. Reste a genoux et tu te croises les bras dans le dos tient tes coude pour garder tes fesses bien dégager. Regarde dans la salle Gabrielle, tes deux copines plus loin pendant qu'il n'y a pas beaucoup de monde elle aussi sont installer comme toi. Elles aussi sont exposée et deviendrons aussi populaire que toi. Gabrielle constate qu’effectivement elle voie Bianca au centre de la salle a genoux sur une table, et Marie-Line près de la sortie et installé elle aussi nue et a genoux sur une table. Le directeur rappelle a Gabrielle que montée sur une table comme elles le sont présentement, elles sont à la vue de tout le monde.

   Tout le monde ici qui circule et sont assis pour manger autour de toi pourront te regarder, et de tous les côté. Ne cache surtout pas tes jolies fesses avec tes mains. C’est pour ça que je t’ai faite mettre a poil sur cette table pour que tu sois vu de partout et de tout le monde dans cette salle. L’humiliation fait partie de ta punition comme vous avez fait a votre prof de math l’humilier. Je te préviens si tu change de position sur cette table sans mon accord, je double ta punition de ce midi. Pense y avant de bouger. Je reviens dans 20 minutes pour la suite de ta punition. Ce sera une fessée en public ici devant tous ces gens pour la prochaine étape. Et Gabrielle tu n’as pas finie de nous montrée tes jolies petites fesses. Vous serez le sujet de conversation et les plus populaire de ce lycée pour un bon moment.

    La cloche vient de sonner et beaucoup d’étudiants commence à entrer dans la salle. Ils font tous un détour gars ou fille pour regarder Gabrielle à genoux et nue sur la table a l’entrée de la salle à manger. C'est spécial, j'aimais dans ce lycée, il y a eu quelqu'un exposé nu, c'est une première pour tout le monde, ici même les vieux employés n'ont jamais vue cela. Gabrielle est une jolie fille blonde, les cheveux bouclés aux épaules. Beaucoup admire et commente sur ses jolies petits seins aussi sur ses mamelons. Ses amies s’amusent à la regarder nue et bien rasé, aucun poil qui entrave la vue de sa fente, un petit grain de beauté sur sa hanche gauche lui donne un certain charme. Beaucoup aime ses petites fesses toutes rondes et colorées un peu rosées par les claques qu’elle vient de recevoir du directeur, ses belles cuisses aussi attire les regards. Une des amies de Gabrielle s‘aperçoit qu’il y a d’autres filles nues comme Gabrielle. Regardez la-bas, c’est Bianca, commente-t-elle, et elle aussi est à poil, allons lui rendre visite. Ses amies partent en lui souhaitant bonne chance. Gabrielle essaie de fixer le mur au fond sans s’occuper de ce que le monde lui dise et les questions que ses amies lui avait posées aussi. Le directeur heureux de constater que ses punies sont très populaire, retourne sur l’estrade. Il fait un arrêt pour voir Bianca qui est installée en face de l’estrade. Il lui glisse quelques mots un peu du même genre qu’il a dit à Gabrielle et monte sur l’estrade, prend un micro. Il commence à expliquer aux gens la raison inhabituelle de la présence de ces filles nues aujourd’hui et ce que subiront les filles en punition devant eux dans quelques instants. Il rejoint les autres de l’administration pour manger.

    Plus tard, trois personnes, donc le directeur, se lèvent et descendent de l’estrade. Ils se dirigent chacun vers une des filles, pendant que le dirlo les attend debout sur l’estrade. Gabrielle, Bianca et Marie-Line essaient de circuler dans le peu d’espace disponible entre les tables et nues, ce n'est pas facile d’éviter les mains qui essaient de les toucher.


   Sur l’estrade, le directeur donne deux fortes claques sur les fesses à Bianca et lui ordonne d’aller se placer au bout de l’estrade dans un coin et face aux gens les mains sur sa tête. Au tour de Marie-Line de recevoir, elle aussi, deux bonnes claques sur ses fesses, va dans l’autre coin face aux gens, répartie de chaque côté on veut vous voire de partout dans la salle. Et toi Gabrielle, tu restes au centre avec moi et mets tes mains sur ta tête pour que tout le monde regardes ton joli corps. Gabrielle obéie au directeur et verse quelques larmes. Le directeur la laisse quelques instants seul au centre et revient. Retourne-toi Gabrielle, dos à tes spectateurs. Le personnelle qui est assis aux tables sur l’estrade regarde Gabrielle qui est face à eux, et beaucoup de ses profs la trouve très belle leur étudiante


Gabrielle toujours debout, ses mains sur sa tête, obéi et se retourne, les gens dans la salle ont tous le regard sur les jolies fesses exposées devant eux. Le directeur passe son bras droit sur le ventre de Gabrielle et fait le tour de sa taille pour empêcher que Gabrielle ne bouge. Il commence à lui claquer les fesses avec son autre main. Une rafale de claques s’abat très rapidement sur ses fesses. Gabrielle grimace, lâche des cris, descend ses mains sur ses fesses pour que ça arrête. Le directeur lui enlève et lui ordonne de ne plus remettre ses mains et recommencent la fessée où il l’avait arrêtée. Les gens, donc la grosse majorité, sont des camarades de son âge dans la salle, aime ce qu’ils voient. C’est très rare de pouvoir regarder une si jolie fille de cette âge-là recevoir une fessée devant eux, et nue. Le directeur arrête de claquer les fesses de Gabrielle, il regarde la couleur et en passant sa main, il teste la chaleur qu’on atteint les fesses de Gabrielle pendant qu’elle essaie de se distancer de lui. Bon, lui dit-il, retourne-toi face à tes spectateurs, Gabrielle et les bras croisés dans ton dos. Je vais m’occuper de chauffer les fesses de ta copine Marie-Line. Le directeur demande à M. Vincent de prendre la lanière de cuir sur la table et de donner cinq coups de lanière à Gabrielle pendant qu’il va s’occuper de chauffer les fesses de Marie-Line

.

     Le directeur s’y prend de la même façon avec Marie-Line en l’immobilisant avec un bras et il lui claque les fesses avec son autre main. M. Vincent lui s’approche de Gabrielle qui fait face à la salle, il la regarde et constate qu’elle a encore des larmes sur ses joues.

    Retourne toi, je veux que tous tes spectateurs voient tes fesses se faire claquer avec ma lanière, lui demande-t-il. Les gens vont plus apprécier s’il voit tes fesses, et regarder apparaître les trace que va laisser la lanière à mesure que je vais te claquer les fesses, c’est beaucoup plus intéressant de voire tes fesses se faire rougir que de te, voire faire des grimaces. Il se recule un peu d’elle pour se mettre à la bonne distance. Il demande à Gabrielle de montée ses mains sur sa tête et garder sa position. Le prof questionne tous ceux qui regardent Gabrielle dans la salle s’il aime le petit spectacle que leurs camarades leur offre ce midi. C’est rare d’assister à un si beau spectacle dans ce lycée, s’exprime-t-il, profiter de ce que vous offrent ces filles. Beaucoup se mette à siffler où applaudir pendant qu’on entend résonner les claques que reçois Marie-Line par le directeur sur ses fesses.


     Le prof s’élance et claque les fesses de Gabrielle avec la lanière. Gabrielle grimace de douleur, lève sa jambe gauche pour essayer de soulager un peu la douleur, mais se retient pour ne pas lâcher de cri devant a toutes ces amies et camarades qui la regardent. Les profs qui sont encore assis sur l'estrade à leur table, eux, admirent Gabrielle qui est face à eux et verse quelques larmes. Une belle ligne rouge commence à apparaître presque instantanément.

    Le prof s’élance une deuxième fois et un autre coup résonne dans la salle même si c’est déjà bruyant par l’excitation de voire les filles nues le bruit de la lanière qui a frappé les fesses de Gabrielle a été entendue d’un bout à l’autre de la grande salle. Une deuxième ligne aussi rouge apparaît sur ses fesses, juste au-dessus de la première. Le troisième coup est atterri dans le plus gras des fesses, a la limite de ses cuisses, une autre belle ligne rouge se forme. Gabrielle est montée sur le bout de ses pieds et à avancer d’un pas. Cette fois-ci, Gabrielle a lâché un cri que toute la salle a entendu, c’était plus fort qu’elle, la douleur était trop forte.

 

    Le directeur à fine avec Marie-Line et revient regarder le résultat. Il félicite son prof. Le directeur prend le temps de frotter les fesses de Gabrielle et tâter la chaleur de sa peau. Continuer M. lui dit-il. Gabrielle va rester avec de belles marques sur ses fesses pour le reste de sa journée. Tout le monde vont aimer regarder ses jolies fesses bien colorées quand elle va circuler dans les corridors. Terminer avec Gabrielle et allez vous occuper des fesses de Marie-Line. Elle vous attend et a hâte de goûter à votre lanière elle aussi, moi, je vais réchauffer les fesses de Bianca ma petite rebelle. M. Vincent applique les deux derniers coups, ses fesses son juste devenues encore plus foncées et plus endolories aussi. Les coups ont été appliquer à la même endroit que les deux premiers.au tour de Mari-Line de recevoir ses cinq coups de lanière dit M.V.

  

M. V fait mettre Gabrielle à genoux cette fois-ci et face à la salle, bras croisés dans son dos. Marie-Line aussi a eu droit au même traitement dos à la salle pour que tout le monde regarde ses fesses qui ont changé de couleur. Bianca n’y a pas échappé, elle aussi, mais ce sont dix coups de lanière que le directeur lui a réservés. Bianca a le derrière zébré par les coups de lanière et ne peut plus se retenir, elle se frotte les fesses devant tout le monde devant elle, en se retenant le plus possible pour ne pas crier de douleur.

    

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 Le directeur juste avant que la cloche ne sonne libère les trois filles. Je crois leur dit il que votre prochain cours est à la piscine. Cela ne peut pas adonner mieux pour vous trois. Il ne vous reste plus qu’à vous rendre à la piscine, vous êtes déjà prête pour la baignade. Je vous accompagne pour vous aider à vous rendre. Je pense que la circulation dans le lycée sera difficile avec vous trois dans les corridors. Ce soir, vous reviendrez dans mon bureau pour récupérer vos vêtements et chaussures. Je ne suis pas si dure que ça avec vous. Je ne vous laisserai pas sortir dans la rue nue et pieds nus en plus. Je ne suis pas si sans cœur que ça. Et pour tous ceux qui veulent le savoir ici dans cette salle, nos trois filles ici en ont pour trois autres jours à être en punition. Alors, profitez en tous, elles vous donnent rendez-vous demain midi ici.

jeudi 24 novembre 2022

Trois ados immatures et harceleuses se font humilier.




En fin d’après midi, une mère de famille reçoit un appel de la direction de l’école concernant sa fille.

Mme Smith, mon appel est pour vous informée que votre fille Bianca et deux de ses amies sont suspendues pour une période d'un mois et peut-être plus. Cette suspension a été décidée cette après midi et prend effet à partir de demain. Je vous demande à vous, votre conjoint et Bianca de venir me rencontrer demain matin. Les parents des deux autres filles, eux aussi, sont convoqués.

Mais pourquoi ma fille est-elle suspendue ?

Et de quelles autres filles s’agit-il avec qui Bianca est suspendue ?. Demande Myriana la mère

Mme les deux autres sont Mary-Lyne et Gabrielle, deux filles que Bianca a l’habitude de fréquentée à tous les jours.

Et la raison est que ses trois filles là ont distribué ou vendu des galettes qu’elles auraient faites elles-mêmes avec une substance illégale. Plus précisément de l’herbe, du haschich. Plusieurs appels aussi ces gâteau-là, gâteau space cake. Tout dépendant des régions en Europe.

Avant d’aller plus loin en procédure avec les enquêteurs, je veux qu’on se rencontre tous demain, après notre rencontre le comité du lycée rendra sa décision sur les trois filles.

Je vous promets M. que nous serons là demain, répond la mère, et elle raccroche.

Myriana appelle la mère des deux autres qu’elle connaît très bien pour essayer d'en savoir plus. Ses appels finis, elle monte aussitôt à la chambre de sa fille.

Myriana la mère entre sans frapper dans la chambre de sa fille rouge de colère. Bianca est assise devant son portable, écouteur sur la tête pour la discrétion et la main sur son sexe a l’air et elle se caresse. Elle est nue, la seule chose qu’elle porte est une culotte à moitié baissée sur le devant de ses cuisses et regarde son portable. Myriana regarde l’écran du portable que sa fille, regardait. Elle constate que sa fille de quatorze ans se masturbait pendant qu’elle était en train de regarder des vidéos de filles qui se font punir. Les filles dans la vidéo reçoivent une fessée donnée probablement par un supposé prof dans un décor de classe quelconque devant d’autres étudiantes qui ont, elles aussi, les fesses à l’air.

 Qu'est-ce que c'est que ces manières d’entrée sans frapper, dit Bianca à sa mère en enlevant ses écouteurs et s’empressant de remonté sa culotte, toute surprise que sa mère la surprenne en train de se caresser.

 Ma porte est très bien fermée, tu dois respecter mon intimité maman. Bianca s’empresse d’ajusté sa culotte et de revêtir sa robe qu’elle avait laissée juste à côté d’elle, son soutien étant plus loin sur son lit, elle ne s’en occupe pas. Trop pressé de se vêtir pour se cacher, étant quasiment nue devant sa mère et gêné de l'être.

Pendant que sa fille, c'est retourné et remet sa robe à la hâte, Myriana examine la vidéo qui joue encore. Et elle aperçoit que Bianca est en contact avec Mary-Line en même temps qu’elle s’amusait avec son corps. Elle aussi semble nue chez elle devant son portable. C’est l’une de ses deux amies accusées avec sa fille. Marie-Line aussi est surprise et gênée d'apercevoir la mère de Bianca s'empresse de se cacher et ferme sa caméra.

Ce sont ces cochonneries-là que tu regardes avec tes amies. Tu serais beaucoup mieux d’étudier à la place de te caresser devant un écran avec des stupidités pareil. Tu améliorerais tes résultats scolaire.

Ton directeur vient de m’appeler et ma mise au courant de tes ventes que tu fais à ton lycée. Savais-tu que toi et tes amies, vous êtes suspendu mise à la porte du lycée. 

Et quand nous l'aurions su que, tu étais suspendu ? Si le directeur ne m'aurait pas appelée, tu ne t'en aurais pas venté, réponds-moi.

 Qu'aurais-tu fait ?. Faire semblant d'aller au lycée et trainer dans les rues je suppose.
 

Tu mériterais que je t’en donne une bonne correction. Ça te ferait un grand bien que je te chauffe les fesses comme dans tes vidéos que tu perds ton temps a regarder. J’aurais dû être beaucoup plus sévère avec toi. À quatorze ans, je crois qu'il commence à être temps que ton père et moi soyons plus sévère avec toi.

 Le frère de Bianca qui a onze entre dans la chambre pour savoir pourquoi sa sœur et sa mère parlent si fort. Sort d'ici petit écornifleur, mêle-toi de ce qui te regarde, crie Bianca à son frère. 
Elle pousse son frère en dehors de sa chambre en claquant la porte. Bianca reçoit une gifle sur la joue droite. Ça lui fait mal et la surprend. Jamais sa mère ne l'avait frappée auparavant.
Reste polie Bianca, même avec ton frère, lui conseille sa mère. Et ne refait surtout plus claquer la porte de ta chambre, ce n'est pas une manière de fermer une porte en la claquant aussi fort. La prochaine fois que tu cries après ton frère, ce sont les fesses que je te rougis et non ta joue, et devant ton frère.


Maintenant Bianca, tu viens avec moi chez Gabrielle, nous allons avoir une sérieuse discussion avec les parents de Gabrielle. 
Et ne me prends pas pour une idiote parce que tu vas le regretter, si tu me mens gare à toi. Le directeur m'a dit qu'il t'avait remis une lettre qui expliquait ta suspension et que tu devais nous la remettre pour qu'on la lise et la signe. Montre-là-moi cette lettre que tu me caches.
Bianca ouvre son sac à dos et donne la lettre.


Bianca fait semblant de ne rien savoir de son histoire de vente. Maman la direction du lycée est en erreur. Ils se trompent en m'accusant. C'est d'autres filles qui font cela et ça passe sur notre dos à nous trois. Tu sort cela d'où maman, je n’ai jamais fait de vente de quoi que ce soit.

 Le père de Bianca entre dans la chambre. La forte conversation entre sa fille et sa mère et le claquage de porte l'ont fait monter voir ce qui se passait là-haut.

 La mère de Bianca commence à expliquer à son mari les déboire de sa fille, lui montre la lettre que Bianca cachait. Elle continue en lui montrant le portable de Bianca qui est encore en ligne avec le site que Bianca regardait. Myriana fait jouer une vidéo que sa fille aime regarder. Myriana explique à son marie comment sa fille était vêtue pour regarder ses vidéos de filles qui se font chauffée les fesses quand elle est entré dans sa chambre pour lui parlé.

On doit rencontrer le directeur demain tous ensemble, mais pour ce soir, tu viens avec Bianca et moi chez les Michel. Jacinthe nous attend pour qu’on éclaircisse l’histoire de ces fameuses galettes qu’elles ont faites et vendues ensemble.

David le père averti Bianca

Je te préviens Bianca, je suis furieux contre toi et tiens-toi tranquille. Je ne t'ai jamais punie sévèrement auparavant. Mais aujourd’hui, tien toi tranquille, ce sera mieux pour tes fesses. Je me retiens de ne pas te flanqué une donne fessée ici même. C’est tout ce que tu mérites une fessée comme dans tes vidéos que tu regardes.
Suis-nous, on va tous chez les Michel avant que je ne change d’idée et que je sorte ma ceinture pour te rougie les fesses comme une gamine trop gâtée avant d’aller chez les Michel.

Henri, le jeune frère de Bianca, regarde le cul de sa sœur et aimerait que son père passe à l’acte et lui chauffe les fesses.

 Sortez que je m'habille demande Bianca. 

Arrivé à la maison des Michel, la mère de Gabrielle et sa sœur ainsi que Marie-Line, l'autre accusée et sa mère sont dans le salon assises et attendaient qu’ils arrivent.

Myriana raconte l’appel qu’elle a reçu, les deux autres mères aussi avaient été contactés par le directeur pour la même chose. Gabrielle aussi avait l'intention de me cacher cette lettre, par chance que le directeur m'a appelé sinon Gabrielle nous aurait tous cachée elle aussi.

La mère de Marie-Line aussi a l'impression que sa fille n'aurait pas osée dire qu'elle était suspendue.

Le père de Gabrielle Jean-Luc arrive au salon. Gabrielle, tu aime ça les sites internet qui montre des filles se faire rougies les fesses à ce que j'ai pu voir dans ton protable. Je vais te montrer ce que ça fait recevoir une vraie fessée. Il demande à sa fille de leur dire la vérité sur cette affaire. Samedi passé, vous êtes venue ici toutes les trois et avez fait des galettes, je me rappelle très bien, pour soi-disant donner a une de vos amies, c'etait son anniversaire. Éclaircissez-moi, sinon c’est moi qui vais te faire parler Gabrielle. Gabrielle regarde son père encore debout près d'elle qui enlève la ceinture de son pantalon.

 

Gabrielle regarde son père qui plie la ceinture en deux et garde sa ceinture dans ses mains. Elle panique et dit à son père, je t’explique papa. Gabrielle commence à dire que c’était exact pour les galettes, c'était pour le lycée comme le directeur là dit, mais pas pour un anniversaire. Elle, Bianca et Marie-Line avaient aussi mis du haschich qu’un gras leur avait vendu dans le parc, nous avoue-t-elle. C’était seulement pour s’amuser papa lui dit elle, rien de plus. Un simple paris entre filles, un défi, pas plus.

Jacinthe, la mère de Gabrielle, regarde son mari qui est debout à la droite de Gabrielle et elle se rend compte qu’il a la face rouge, enrager d'entendre ce que lui raconte sa fille.

Jean-Luc s’adresse à sa fille, Gabrielle et aux deux autres en regardant à sa droite son grand ami, le père de Bianca et la mère de Marie-Line qui elle est à sa gauche. Vous méritez chacune une bonne correction les filles, agir sans réfléchir peu amené des conséquences très grave qui peu affecter votre avenir pour longtemps. Les filles, vous méritez chacune une punition exemplaire.

Jean-Luc s’assoit sur le tabouret qui est tout près de lui et prend la main de sa fille Gabrielle. En à peine quelques secondes, elle se fait tirer et basculé sur les genoux de son père sans qu’elle ait le temps de réagir et d'essayer de s’éloigné de son père. Je ne sais pas ce que tu en penses toi David, mais pour moi Gabrielle mérite une bonne punition, une fessée, comme dans les vidéos qu’elle aime regarder. Et c’est ici que je lui donne devant vous tous.

Non papa pas ça lâche-moi, crie Gabrielle. Mais Gabrielle est immobilisée, plus capable de se relevé pour se dégager de son humiliante position. Ses jambes sont coincées par l’une des jambes de son père et elle a un de ses bras qui est retenu dans son dos. 

Arrête de bouger, ça t’est inutile, tu es dû pour une bonne correction ma fille. Et j’aurais dû te corriger bien avant aujourd’hui ma fille.

Jean-Luc commence à lui claquer les fesses sans l’avoir déculotté. Elle porte un legging rose très moulant comme les ados ont l’habitude d’en porter. La forme de ses fesses est très apparente dans son legging moulant. Les claques s’ablatent très rapidement et avec force. Environs une trentaine de secondes plus tard, Gabrielle supplie son père d’arrêté. Elle essaie de se libérer les jambes, mais son père ne lâche pas sa prise. Bianca et Mary-Line regarde Gabrielle essayé de se déprendre de sa position et évité les coups et de l'ententde crier. Les deux semble apeuré de ce qu’elles voient Gabrielle qui commence a pleurnicher. Le frère de Bianca lui fixe le derrière de Gabrielle et espère juste que son père lui baissera son legging pour lui mette les fesses à l’air.

Gabrielle cri pleure comme une petite gamine, des larmes coulent sur le tapis blanc du salon. Elle supplie son père d’arrêter, mais il ne l’écoute pas et continu de lui claqué les fesses.

Je t’avais promis que tu aurais une punition exemplaire, c'est ce que tu reçois devant toutes tes amies et la famille.

Ça fait presque trois minutes que Gabrielle se fait claquer les fesses et son père décide que pour l’instant, c'est suffisant et arrête la relâche. Gabrielle tombe à genoux au plancher, les fesses accotées sur ses talons en pleur et se frottent les fesses à deux mains.

Debout lui ordonne son père en la relevant lui-même par le dessous des bras. Assez pleurnicher, tu es très chanceuse malgré ta punition après-midi. Ma première idée était de te faire déshabiller nu ici dans le salon comme les filles dans tes vidéos que tu regardes, et de te fouetté les fesses avec ma ceinture. J’ai été gentil malgré tout, tu es restée habillée et je ne t’ai pas claquée les fesses avec ma ceinture. C’est moins humiliant que de l’avoir reçu nu ta fessée devant tous nos amis. Mets-toi à genoux, main sur la tête au bout de la table à café et ne bouge plus, c’est un ordre. Gabrielle se met à genoux et regarde Bianca qui est entraînée par son père sur le tabouret à son tour.

David prend la main de Bianca qui ne s’attendait pas du tout à ce que son père la tire pour l'entraîné avec lui au centre du salon sur le tabouret.

Non papa s'il te plaît pas ça. Je suis en robe courte, s’il te plaît rentrons à la maison.

Son père ne parle pas, mais l’oblige à se coucher sur ses genoux. Il l’emprisonne de la même manière que Jean-Luc avait fait avec Gabrielle. J'espère que tu portes une culotte sous ta robe. Ce sera moins gênant de nous montrer ta culotte que, tes fesses. Comme toi aussi, tu aimes regarder les vidéos des filles fesses à l’air, je peux te mettre les fesses à l'air si tu le désires. 

Le père de Bianca lui remonte la robe jusqu’au milieu du dos, tu as mis ta culotte noire,mais pas de soutine-gorge. Que dirais tu si je t'enlevais ta robe et ta culotte ici devant nous tous, ça ressemblerait encore plus a une vrais fessée comme dans tes vidéos que tu regardes. Bianca proteste, essais d’empêcher son père de remonté sa robe encore plus haute, mais sans en être capable. Elle essaie de cacher son intimité en se mettant sa main droite qui est libre sur ses fesses essayant de se cacher le derrière et surtout que son père ne baisse pas sa culotte. Non papa ne me baisse pas ma culotte s’il te plaît. Ce n’est pas l’envie qui me manque de te mettre nue. Les fesse à l’air serai encore plus gênant, lui réplique son père. Arrête de gigoter sinon se t’enlève ta culotte et ta robe aussi. Tu recevras ta fessée fesses à l’air devant tout le monde, obéie Bianca. Bianca se calme, ne voulant pas que son père lui enlève sa culotte. Tout le monde regarde sa culotte noire qui couvre encore ses fesses et pour encore comment de temps son frère se demande-t-il.

Myriana dit a son mari, ne lui enlève pas sa culotte David. Elle est déjà assez humiliée comme ça tu ne trouves pas. 

Très bien, répond le père. Bianca, ta mère te sauve de la déculotter. Il commence a lui claqué les fesses sans lui baissé sur sa culotte.

Ta mère t’a sauvée d’une fessée encore plus humiliante, compte-toi chanceuse ma fille, mon intention était de te punir fesses à l’air, c'est tout ce que tu mérites, être punie fesses à l’air devant nous tous. Son jeune frère, lui, aurait aimé que son père n’écoute pas et que sa sœur soit déculottée, mais il se contente de ce qu’il voit. Après presque trois minutes à recevoir des claques sur ses fesses et de nombreux cris et supplices qui s’en découlent, David arrête. Bianca pleure. Elle a une respiration très rapide, essoufflé de se débattre et d'essayer de se protégé les fesses sans en être capable. David la relâche et l’aide à se remettre debout. Les mains sur ses fesses pour essayer de soulager la douleur à ses fesses et sa robe redescendue. Le père de Bianca l’oblige à rejoindre Gabrielle à genoux dans la même position, ses mains sur sa tête sans bouger et lui redonnent deux claques sur ses fesses déjà pas mal endolories.

La mère de Marie- Line, elle aussi, décide de punir sa fille en place devant tout le monde. Avance au centre et penche-toi, ordonne sa mère à Marie-Line. Penche-toi et pose tes mains sur le tabouret, lui impose-t-elle a nouveau. Non maman, je t’en pris, je ne veux pas. Mais David, le père de Bianca lui donne quatre fortes claques sur les fesses. Marie-Line obéi et se penche, sa jupe qu'elle porte remonte à la limite de ses fesses, on aperçoit sa culotte rose avec un contour blanc qui couvre le bas de ses fesses et son intimité. Sa mère ramasse la ceinture que Jean-Luc avait laissée sur la table et lui frappe les fesses avec trois coups très rapides. Marie-Line se redresse et se protège les fesses et lâchant un très fort cris de douleur. Reprends ta position Marie-Line ou je te fais mettre fesses à l’air.

Marie-Line se replace, pas trop fort maman, ça fait horriblement mal.

C’est le but de la punition chérie, il faut que tu t’en rappelle et si tu places d’autre commentaire, je te fais enlever ta robe et ta culotte, ça chauffera encore plus, ferme-là et ne bouge plus.

Mary-Line a reçu 10 autres coups de ceinture et a résisté tant bien que mal pour ne pas trop faire voire que ça lui fessait un mal de chien à chaque coup qu’elle recevait.

Les trois filles à genoux l’une à côté de l’autre en position de punis. Le père de Gabrielle, Jean-Luc, commence à proposer à David et la mère de Marie-Line de demander au directeur demain de ne pas renvoyer leurs filles, mais de les punir.

Une punition qu’elles se souviendront très longtemps et très humiliante.

Quelle est ta suggestion pour leur punition, demande la mère de Marie-Line.

Ça fait presque une heure que j’y pense, je veux demander au directeur et son comité de punir ma fille et ses deux complices en public devant tout le lycée. Et que leur punition dure tout le reste de la semaine, jusqu’à vendredi soir, et que leur punition soit exemplaire pour tout le lycée.

C’est quoi que tu as pensé comme punition en public, les faire mettre à genoux durant le repas ou au coin main sur la tête dans la salle public comme dans notre temps. Ou aller jusqu'à une punition corporelle comme la fessée qui s’appliquait fréquemment aussi dans notre temps. Et devant les autres étudiants, demande David.

Jean-Luc raconte à David pour le convaincre. Pas très loin d'ici, à L'institut St-Thomas qui est privé, il utilise cette méthode-là de punir les étudiants en leur chauffant les fesses et très souvent nu. Et elle est très efficace leur méthode, j'en connais qui envoie leur ados là et cela donne d’excellent résultat. Moi, je songeais un peu à cela, mais si de ton côté ça t’ennuie de savoir que ta fille peur recevoir une fessée devant les autres de son âge, bien libre à toi. C'est sûr qu'à leur âge ce ne sont plus des gamines, mais leur comportement ressemble beaucoup à des gamines ou des ados immatures. Mais moi, j'ai bien l’intention de le proposé a la direction demain.

Papa, tu n’es pas sérieux, dit Gabrielle. J’espère que ce n’est pas sérieux ce que tu dis là. Je n’ai pas l’intention d’allée à cette réunion demain. Tu voudrais que je reçoive une punition devant tout le lycée et en plus nue. Jamais je vais obéir et allez me faire humilier de la sorte. Maman réagit s'il te plaît. Tu ne l’appuieras pas, j'espère, dans ses conneries d’idées.

 Jacinthe dit à sa fille qu'elle va y réfléchir. C’est sûr que demander à une fille de quatorze ans de se dévêtir en public et de recevoir une punition aussi humiliante, c'est un pensé y bien. Mais avec ton comportement de ces derniers jours et la menace que tu en soi accusée devant la justice en plus, c’est une solution envisageable pour éviter le pire. Et le directeur m'a conté autre chose sur tes agissements. Il paraîtrait que tu harcèles une fille avec l’aide de Bianca et Marie-Line. Vos cas étaient déjà à l’étude à la direction pour vous suspendre. Mais avec l’histoire de ces galettes, ça empire beaucoup les choses.

Je ne savais pas que ma fille fessait du harcèlement en plus, réplique Jean-Luc. Ma femme et moi allons en discuté ce soir demain matin David, je te contacte à la première heure avant qu’on se rende voir le directeur. Je te donnerai notre décision. Mais moi, je penche encore plus pour mon idée qu’elles reçoivent une punition très humiliante, repense à ma suggestion David. Bianca aussi proteste, ne veut surtout pas entendre parler de punition de la sorte.

Dans ta chambre Gabrielle et prépare-toi, lui ordonne son père pendant que les autres retourne chez eux. Je veux que tu m’attendes à genoux et nu, mains sur la tête et face à ton lit. Je n’en n’ai pas fini de te chauffé les fesses. Je regrette de ne pas avoir été sévère dans le passé avec toi. Mais papa, tu veux que je me mette nue et devant toi, c'est humiliant d'être obligé de me mettre nu devant toi papa. Allez va te préparer sans discuter sinon c'est ici que tu te déshabilles et je suis très sérieux, tu vas le regretter.

Gabrielle quitte le salon et ce tien les fesses. Elle connaît très bien son père et sait qu’elle doit y obéir.

Toi aussi Bianca, en arrivant à la maison, je veux que tu te déshabilles et que tu m’attendes à genoux devant ton lit. Moi aussi, je te promets de te rougir encore une fois les fesses.

La mère de marie-Line approuve l’idée de punition pour demain et promet à sa fille en rentrant à la maison qu’elle aussi recevra une autre bonne fessée.

À suivre au lycée le lendemain…

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...