Francine rend visite à la famille de Maryse et elle adore se dénuder

Maryse--

Arriver chez moi avec Katie, Sandie et Francine leur mère. Claude, ma logeuse qui est plutôt ma deuxième mère comme je l’appelle, sort et vient à notre rencontre pour nous accueillir. Sans Claude, je serai dans la rue, sans logis ni de quoi pour vivre à 17 ans, je ne sais pas ce que je ferais sans elle. La dernière fois que ma mère biologique m’a contacté, c'était pour me dire de m’organiser seul. Elle n’avait plus les moyens de me payer l’école et ma petite chambre où je vivais. Il y a de cela huit mois, ma mère partait vivre à l’autre bout de la planète et se foutait complètement de moi, sa fille, et ne m’a jamais laissé d’adresse ou de lien pour la rejoindre. C’est Claude qui m’a hébergée, mais elle, elle dit qu’elle m’a adoptée. C’est pour cela que je considère Claude comme ma véritable mère et pour elle, je suis sa propre fille comme les huit autres qu’elle héberge ici, c’est un miracle pour moi.

 Descendu de la voiture, il est encore très tôt 11 h 30, Claude vient nous accueillir. Claude me dit qu’elle s’occupe de faire visiter notre domaine à Francine. Moi, elle me charge de m’occuper de mes invitées. Je présente à Sandie, Katie et Francine, à mes quatre autres pratiquement "demi-sœurs" qui sont à la maison présentement, Sacha, Patricia, Marie et Jessica que Katie connaît déjà. On se parle à tous les jours à l’institut, elles sont presque mes sœurs et surtout mes grandes amies. Moi, je vais leur faire visiter à ma manière notre domaine à Sandie et Katie en commencent par ma maison. Il y a trois immenses maisons sur le domaine qui appartiennent toutes les trois à Claude et à Pierre. Deux de ses manoirs sont à 60 mètres l’un de l’autre et relié de l’extérieur par une grande terrasse et une piscine central. Le manoir le plus gros appartient à Pierre, le frère de Claude que je considère aussi comme mon père. Il vit avec quatre de mes sœurs adoptives. Et à 60 mètres plus à l’este, disons où se trouve l’autre manoir, celui de Claude et ma maison dans laquelle je vis plutôt, je couche avec cinq autres de mes sœurs adoptives. Nous vivons dans les deux maisons, le jour, c'est presque toujours chez chez Pierre. Les repas se prennent quasiment toujours chez Pierre aussi. Le soir, pour avoir une certaine tranquillité, faire mes travaux scolaire, je vais chez moi ou comme on s'amuse à dire entre nous, dans la maison d'accoté, ou ma chambre s'y trouve, la maison de Claude.

Après avoir fait le tour extérieur du jardin et des autres petits détails, terrain de tennis, la vue tout autour etc…

C’est l’intérieur de ma maison que je fais visiter à Katie et Sandie en passant par l'entrée arrière. Le premier avec ses immenses pièces. La cuisine qui ne sert pas souvent, on mange quasiment à tous les jours chez Pierre, la salle à manger, le solarium qui contient une salle d'entraînement, le bureau de Claude, le grand hall et salon. La salle de séjour où je me détends habituellement en écoutant de la musique sur la chaîne stéréo. Katie et Sandie sont émerveillées par cette immense demeure et pas juste elles, moi aussi, je trouve cette demeure immense pour seulement six personnes. J'avais vu cela à la télé dans des feuilletons des maisons de ce genre, mais dans en réalité. Jamais je me m'étais imaginée en habiter une un jour où plutôt deux car je suis aussi autant chez Pierre qu’ici. Le grand garage aussi impressionne Katie et Sandie, trois voitures y sont à l'intérieur présentement et il y a encore de l’espace. Autour du deuxième étage où sont les dix chambres à coucher avec chacune leur propre salle de bain privé.

Après avoir monté le grand escalier et visiter les chambres, celle de Claude étant la plus impressionnante et on regarde en parties les autres donc cinq ne sont pas occupées. Je les amène dans la mienne qui impressionne aussi Katie et Sandie par sa dimension. Sacha, Patricia et Marie nous rejoignent et nous demandent si on va se baigner. Il fait très chaud, nous disent-elles et elles ont décidé d’aller se rafraîchir. Katie me regarde et me demande si c’est vrai pour la baignade, elle a apporté son maillot, il est dans la voiture, mais doit-elle aller le chercher ? Nous demande-t'elle. Sacha et Marie partent à rire. Non Katie, ici, on ne se tracasse pas pour le maillot, tu t’habitueras à ça la nudité, tout le monde qui embarque dans cette piscine ici sont privés de maillot, rien sur le dos, c’est à poil et c’est plaisant. Mais il y a Pierre, c'est un gars et Claude sa sœur aussi se met nu devant lui ? Demande Sandie. Oui les filles tout le monde y compris Pierre, je lui réponds, lui aussi est nu, le zizi a l’air devant nous quand je te le dis tout le monde, ce sont tous les invités aussi.

 Notre femme d’entretien et cuisinière Diane passe avec sa fille Élodie pour placer des choses dans ma salle de bain et je les présente. Élodie et Sandie se regarde et ce salut aimablement. Diane les saluts et dit à Katie et Sandie, c’est la vérité ce qu’elle vous dit. Ici, à tous les jours ou presque, je les vois nus à la piscine. C’est normal ici que tout le monde profitent de la piscine nue, ne paniquez pas avec cela. Depuis des générations que c’est ainsi. Diane rajoute, pour les punitions, aussi, j’ai l’habitude d’en, voire régulièrement, des filles indisciplinées qui se font chauffer les fesses, ce n'est pas rare ici, et Diane me regarde en souriant. Il y a deux jours, j’ai reçu une bonne fessée nue dans le salon et devant Diane, c’est pour ça Katie que Diane vous a dit cela et a souri pour me gêner un peu, elle aime ça me taquiner. La punition fait partie des conditions pour rester ici. Claude est très sévère, mais on ne peut pas tout avoir gratis. Il faut bien avoir des règlements, un peu comme Francine veut vous imposer à toi et à ta sœur.

Très bien Sacha, nous aussi, on se prépare puis on va vous rejoindre en bas à la piscine. Sacha retourne dans sa chambre, Patricia et marie aussi retourne se préparer. Moi, j’enlève ma robe que Katie m’avait prêtée et le reste ma culotte et mon soutien-gorge que Francine m’avait donné. Sandie me regarde entièrement nue devant elle et Élodie qui est au côté d’elle. Sa sœur Katie qui, elle aussi, c’est déshabillé et vient me rejoindre. Sandie regarde sa sœur sans trop savoir comment réagir. Sandie détourne son regard sur Élodie qui est encore habillée à côté d'elle. J’ai bien l’impression que ses deux là, Sandie et Élodie se plaisent ensemble, elles n’arrêtent pas de se parler et de se regarder. Je m'aperçois que Katie se cache les fesses, elle est gênée et elle ne veut pas que l’on voie les petites marques restantes sur ses fesses de la cane qu’elle a reçu plus tôt par sa mère.

 Sandie--

Maryse, tu n’es pas plus gêné que ça être nu devant nous ici, c’est vrai qu’hier soir tu t’es promené nue chez moi aussi et ça n’avait pas l’air de te déranger plus que ça. Au même moment, Sacha et Patricia arrivent nues toutes les deux aussi. Mais les filles en devenant mal à laise pour elles. je ne suis pas capable de faire comme vous, c’est plus fort que moi, me dévêtir partout, comme ça. C’est moi qui suis gêné, juste de vous regarder nues, ça me rend mal à l’aise de vous, voire nues. Je ne sais plus où regarder. Au lieu de fixer ses superbes corps nus, je détourne mon regard vers ma sœur Katie qui, elle aussi, est nue comme les autres. Marie revient de la chambre nue elle aussi. Je me ressaisis et décide d’enlever mon short et mon t-shirt. J'ai encore mes sous-vêtements et je ne suis gêner, je ne sui pas si sûre que ça d'aller plus loin et d'être cabable de me mettre nue. Mais j’ai quatre filles devant moi à poil, donc ma sœur en plus. J'entends Élodie à ma gauche qui m’encourage et les autres, allez Sandie, il reste le plus dur à faire, tu es bien partie, continu, ferme les yeux et vas-y sans réfléchir.

Élodie, qui a enlevé ses sandales et est sur le point de quitter son jean qui est déjà rendu à ses chevilles. Élodie me dit qu’elle aussi nous suit et continue de se déshabiller pendant que sa mère Diane sort de la salle de bain et nous regarde tous. Sa fille aussi est nue, ça me donne l’impression que ça ne dérange pas du tout Élodie d'être nue devant sa mère. Profitez-en les filles nous dit Diane, il fait si chaud dehors, ça va vous faire un grand bien de vous rafraîchir. Moi aussi, j’ai suivi en prenant mon courage à deux mains et laissent ma pudeur de côté. Je suis rendu nue à mon tour, j’ai réussi à surmonter ma nervosité, mais très mal à l'aise, quelle folie ai-je faite. Même si je ne suis pas la seule dans cette tenue, je suis extrêmement gêné, je cherche juste à cacher mon intimité et elles le remarquent toutes. Les filles, je vais vous préparer des serviettes de l’autre côté nous dit Diane et les sortirai sur la terrasse, vous n’aurez pas besoin d’en traîner et lassez là chez Pierre après vous en être servie. Je regarde Élodie nue juste au côté de moi, une belle fille un peu plus vielle que moi d’environ 2 ans. Mais très jolie et de ma grandeur 1,69 m et qui a une magnifique chevelure châtaine qui lui descend sur ses jolis seins. J’adore la regarder nue devant moi. Je la trouve mignonne avec un petit duvet châtain bien tailler en triangle qui pointe sur sa fente et elle le sait que j’aime la regarder, elle le fait exprès pour se virer face à moi sans se cacher.

Sandie --

C’est ça qu’elle veut que je la regarde, j’en suis sûre, et elle, elle ne me lâche pas des yeux, son regard est fixé sur mon corps, ça me gêne et je cherche juste à cacher mon intimité. Elle le remarque et me murmure à l’oreille, ne soit pas si gêner, laisse-moi voire ta chatte, tu es magnifique. C’est à croire que c’est normal ici de se mettre à poil et de circuler partout nu, sortir de cette pièce nue et dehors. Sans trop réfléchir et en laissant ma pudeur de côté (je ne suis pas pire que les autres me dije) j'ai décidé de les suivent. Je suis à poil comme elles, mais vraiment gêner de l’être. Je ne suis pas trop à l’aise avec ça la nudité, mais j’adore regarder les autres filles nues devant moi. Cela m'excite, elles ont tous de magnifique corps. 

Depuis le temps que j’en fantasmais sur ça, être exposé nue en public, je le suis nue maintenant et je m’apprête à circuler partout dans une maison que je ne connais même pas et devant des étrangers, morte de honte. Mais je suis bien décidée à tenter l'expérience. Contrairement aux autres à qui ça leur semble très normal, c'est comme si elles étaient habillées, aucune réaction pour se cacher un peu, même ma sœur a l’air d’aimer cela, être à poil.

Maryse --
Allez les filles, on descend et j’avance vers l’escalier, j’entends Sandie dire, je ne suis pas capable, c’est plus fort que moi. Juste sortir de la chambre me paralyse, je suis trop gênée. Je me rhabille, allez y, moi, je ne vous suis pas et je n’embarque pas nu dans cette piscine, c'est contre mes principes. Élodie la prend par la main et lui parle, quelques secondes plus tard, elle lui donne quelques petites claques d’encouragement sur ses fesses pour la faire avancer et elles descendent dans l’escalier ensemble. Étant tous rendu au pied de l’escalier, je regarde les fesses de Katie. Ses fesses ont de petites marques rouges. Je fais exprès pour compter à voix haut, pointé et touché ses fesses avec mon doigt les lignes encore un peu rouge qui reste sur les fesses de Katie pour que les autres les remarquent elles aussi. Élodie l’avait déjà remarquée, mais ne voulait pas stresser encore plus Katie. As-tu reçu une fessée ce matin Katie ? Réplique Marie. Ça gêne Katie et elle se cache les fesses avec ses mains. On se retrouve tous devant le bureau de Claude et la porte est grande ouverte, Francine et Claude sont installées à jaser. Nous sommes tous dans la porte d'entrée du bureau, Francine nous regarde et remarque qu’on est toutes nue, même ses filles. J'entre à l'intérieur pour leur dire qu’on va à la piscine.

Francine nous dit oui, je l’ai remarquer que vous alliez toutes-là a la tenue que vous porter vous ne devez sûrement pas allez au restaurant. Mes filles sont nues elles aussi ça me fait une drôle d’impression de les regarder nus ce n’est pas du tout dans leurs habitudes de se montrer nu, depuis qu’elle on laisser les couche qu’elle ne se sont pas balader nus devant moi, il faut être dans une maison étrangère pour qu’elle me fasse honte, voyons Francine il n’y a rien de honteux a montrer son jolie corps dit Claude . Alors bonne baignade les filles nous dit-elles Francine et Claude. Katie, qui se cache encore les fesses, est impressionné par les quatre palettes en bois et la strap de cuir qui sont accrocher sur le mur du bureau en entrant. Ça doit faire un mal de chien de se faire claquer les fesses avec ça ? Lâche-t’elle en les regardant. Claude lui répond en sourrillant, tu est justement dans la bonne tenue pour cela, demande a Maryse de prendre la plus petite des palettes accrocher et de t’en donner quelques bon coups cela devrai suffire pour te rougir assez les fesses pour un essaie. Katie se sauve dans le hall d’entrée en se tenant les fesses et en me demandant de ne pas écouter ce que Claude dit ses fesses lui font encore mal elle ne veut plus recevoir d’autre claques.

Francine --
Claude est tu aussi sévère que ça avec tes filles ? À l’institut, je sais qu’ils sont très sévères avec les étudiants, ils n’ont pas trop de passe-droits avec les règlements, mais ici à la maison est tu si sévère comme Maryse nous là dit hier. Il y a deux semaines moi et Sandie avons été au vignoble plus haut qui est à vous deux ton frère et toi, et dans la boutique, on entendait des coups des claquements quelqu’un qui recevait des coups et j’ai regardé par la fenêtre arrière de la boutique. Par cette fenêtre, j’ai aperçu une fille qui était dos à nous et nue a la terrasse arrière et les fesses marquer par une ceinture qu’une autre fille tenait dans ses mains et il y avait quatre autres personnes autour d’elle. Hier, Maryse m’a dit que c’était elle qu’on avait probablement vu et elle venait de se faire punir, je ne pensais pas que vous punissiez vos filles devant des employés de cette manière-là et publiquement. À ce que je peux voir ici, tu dois leur chauffer les fesses souvent à tes filles, il y a plusieurs instruments tout ou tour dans ton bureau et un chevalet dans la bibliothèque chez Pierre en plus.
Claude –
Oui, je suis pas mal sévère et dur à l’occasion avec elles. Maryse t’a compté sa punition qu’elle a reçue, c’est Lucia la gérante de la boutique et la nièce de Julio le grand patron du Vignoble qui l’a punie avec mon accord. Regarde cette feuille de règlement que j’ai ici, c’est tout ce que doivent respecter les filles dans cette demeure. Il y en a deux d’afficher ici et deux autres chez Pierre et je suis exigeante, elles doivent les respecter sinon elles savent très bien ce qui les attend les fesses vont leur chauffer. Mes parents étaient très sévères eux aussi. Moi aussi, j’ai eu droit à plusieurs bonnes punitions. J’étais comme on peut dire une entêtée une tête dure une rebelle comme on m’a déjà dit durant mon adolescence et ça m’a valu plusieurs bonnes fessées, ici et a ST-Thomas. Francine est très impressionnée par ma liste et les conséquences que mes filles doivent subir au manquement a ses règles même les notes scolaires sont passibles de punition me dit-elle. Une note de passage a 12 sur 20 est fixé par l’institut, mais toi ses 14 tu n’en demande pas trop a tes filles? Me demande Francine. Non Francine ça les obligent à être plus sérieuses dans leurs études elle doivent redoubler d’efforts si elles ne veulent pas se faire chauffer les fesses, et si une d’entre elles arrive avec un 13 à son contrôle elle sait très bien qu’à son arrivée ici elle va se faire chauffer les fesses donc elles s’organise pour maintenir ses notes plus hautes.

Je me lève et suggère à Francine d’aller rejoindre les filles à la piscine. Sais-tu Claude moi, je n’embarquerais pas dans la piscine, je vais vous regarder en m'asseyant à la terrasse ? Je ne me sens pas du tout à l’aise de me montrer nue devant toutes tes filles, surtout les miennes me relance-t-elle, jamais mes filles m’ont vue nue. J’enlève ma robe devant Francine et la dépose sur le dossier de ma chaise et mes chaussures suivent aussi, je les laisse sous mon bureau. Je suis complètement nu dos à Francine, en me retournant, je m’aperçois que Francine ne me regarde pas elle fixe le plancher « Claude rhabille-toi pourquoi tu te mets nue devant moi tu ne porte rien en plus sous ta robe, c’est de là que vient l’habitude de Maryse de ne rien porter sous ses vêtements » me dit Francine toute gêner de me voir nue. Fait comme moi Francine, enlève cette robe longue, tu dois suer à porter ce genre de robe par cette chaleur allé suit moi, tu es une très jolie femme. Je m’approche d’elle et la fait mettre debout. Je porte ma main droite sur un de ses genoux sous sa robe rose qui est boutonné par en-avant ou débute la robe sur son genoux droit je commence à remonte doucement sa cuisse jusqu’à sa hanche et continue sur sa fesse droite. Elle porte un string se sens sa fesse sans protection et elle a une peau très douce. Francine si tu viens travailler avec moi et mon associé Julie ou Pierre, il va falloir que tu t’habitues à nous voir nue Julie et moi en venant ici.

Relaxe-toi détend toi, tu es raide comme une barre, fait-moi confiance, je la sens extrêmement stresser nerveuse, je sais très bien qu’elle n’oserait pas se dévêtir d’elle-même, mais elle ne m’enlève pas ma main qui est encore sur sa fesse c’est bon signe. Je prends la main droite de Francine et la dirige sur le haut de ma fente qui est rasé, pas un poil. Elle essaie de l’enlever, mais je la maintiens en position espérant qu’elle essaie de toucher mon Clio. Elle n’ose pas bouger ses doigts, c’est moi qui lui fais descendre sa main entre mes cuisses pour qu'elle sente bien mon sexe. Je déplace ensuite sa main sur mes fesses, et je prends son autre main et la pose sur ma poitrine. Elle a la face rouge comme une tomate gênée de toucher mes parties et de me voir nue, relaxe Francine laisse, toi faire fait moi confiance lui répétai-je et tu aimeras ça.

Ensuite, je m’agenouille devant elle et je commence à défaire les boutons de sa robe l’un après l’autre en partant du bas. Je remonte tout au long de ses jambes en prenant soit de bien écarter sa robe à chaque bouton que je détache pour qu’elle commence à sentir que je veux qu’elle se dénude et elle ne réagit pas elle me laisse la dévêtir tranquillement à chaque bouton que je défais elle m’en laisse voir toujours un peu plus, son petit string rose son joli ventre. Rendu au bouton sur son ventre sous sa poitrine, je me relève, il ne reste plus que deux boutons qui tiennent sa robe fermée sur sa poitrine et je les défais un après l’autre et écarte sa robe la fait descendre de ses épaules et la laisse tomber au sol, je prends quelques secondes pour regarder son magnifique corps et ça la gêne d’être devant moi en sous-vêtement. Tu vois Francine que ce n’est pas si compliquer que ça, et laisse-moi continuer, je te promets que tu aimeras ça.

Je mets mes mains sur ses épaules et descends les bretelles de son soutien-gorge jusqu’à ce qu’ils pendent sur ses avant-bras elle ne bouge pas plus et me laisse faire, ses bras pendent de chaque côté de son corps, et elle est un peu tremblotante par la gêne et la nervosité. Ensuite, je passe mes bras au tour de son corps ce qui fait que je colle mes petits seins sur les siens plus volumineux qui sont encore cachés. Je détache l’agrafe de son soutien et lui retire sans qu’elle si oppose et elle me laissent dénudé sa belle poitrine. J’étais sûr qu’elle résisterait, mais non elle ne bouge pas et me regarde de la tête aux pieds sans bouger me laissant la dénuder ça me surprend qu’elle se laisse faire ainsi elle qui m’a dit qu’elle était très pudique. Il ne lui reste plus qu’un petit string qui cache encore son sexe et elle va être nue comme moi. Je passe ensuite mes doigts sous l’élastique de son petit string rose et lui baisse, il est rendu à ses chevilles tout comme sa robe, je m’agenouille à nouveau pour enlever ses sandales et ramasser ses vêtements rendus au sol et j’en profite pour caresser sa fente et jouer dans son duvet roux. Je me relève et pose ses vêtements sur une des chaises devant mon bureau et lui flatte les fesses et son dos sa jolie poitrine que j’envie. Elle a de superbes seins plus volumineux que mes petits seins et qui se tiennent très bien. Je commence à les caresser tranquillement et à prendre ses tétons dans mes doigts. Tu vois Francine, le pire est fait maintenant, tu vas aimer. Viens avec moi, on sort retrouver les autres.

Francine –
Non Claude, je ne peux pas, je suis figé par la honte, c’est au-dessus de mes forces, je vais me rhabiller, je ne sais pas comment tu fais pour rester à poil, mais moi, je ne suis pas capable. Je suis ici dans ton bureau nu devant toi et c’est une folie que je t’ai laissé faire de me déshabiller. Je vois Diane la bonne qui arrive pour nous donner des serviettes de plage et instinctivement, je prends ma robe et la mets devant moi pour me cacher. Allez, Francine me dit elle ne soit pas gêner, tu n’es pas la seule à être nue, j’en ai l’habitude regarde Claude, elle ne fait même pas attention à ça que je la regarde nu.
 

Claude –
Bon Francine laisse ta pudeur de côté et suis-moi. Si ça te gêne de circuler nu, prend la serviette et entour toi dedans jusqu’à la piscine, ça va te donner une chance pour surmonter la gêne. Rendus à la piscine et Francine envelopper dans sa serviette qui là cache de ses tétons au haut de ses cuisses pour ne pas que personne ne la regarde. Elle à quand même réussi à se rendre dehors sur la terrasse. Je fais signe aux filles qui sont dans l’eau de ne pas regarder Francine ça lui enlèvera du stress et je lui demande si elle embarque et tire sur sa serviette. Elle s’aperçoit que personne ne la regarde et me la donne. Je la félicite, Francine, regarde autour de toi, personne n’en fait attention à nous, on est tous dans la même tenue donc embarquons dans l’eau et elle me suis. Sandie regarde sa mère qui embarque dans l’eau et lui dit maman, tu es superbe, j’adore te voir nue, Katie aussi regarde sa mère et l’observe. Francine se dépêche en embarquer et se caler jusqu’aux épaules. Je t’avais dit Claude que c’était une folie de venir à poil ici, je le regrette tellement.

Après un certain temps passé dans l’eau, je décide de sortir Francine me suis et s’empresse de reprendre sa serviette. Moi, je me sèche et remets ma serviette sur une table et m’assois. Francine décide de faire la même chose et reste nue elle aussi les filles sortent à leur tour et se promène nue sur la terrasse. Soudainement, Pierre sort de la maison et vient nous voir, il est à poil lui aussi pour profiter de la piscine. Je m’empresse de présenter Katie et sa sœur et Francine. Pierre et Francine ont presque le même âge, je suis sûre que Francine plaira à Pierre.

Francine, toute gênée d’être nue devant Pierre, sa cache du mieux qu'elle peut pour la présentation. C’est la première fois de ma vie que je fais la connaissance d’un homme entièrement nue, c’est gênent. Pierre-lui dit, ne t’en fais pas, Claude m’a appelée pour me dire qu’elle venait de t’engager ce matin pour gérer nos nouvelle boutique.

Si tu viens ici souvent, tu t’habituas, c’est normal ici de voire du monde à poil. Claude m’a dit que tu travailles pour nous maintenant et tu devras venir ici fréquemment donc bienvenue au domaine. J’espère que ma sœur t’a fait visiter la place. Katie et Sandie, je les vois qui ne lâche Pierre des yeux, elles n’ont sûrement pas vu un gars à poil devant elles très souvent.

Apprêt un certains temps, je m’aperçois que Francine a l’air de se dégainer elle ne fait même plus de cas de sa nudité et parle avec Pierre comme si de rien n’était. Sais-tu Pierre, lui dit-elle avec la grosseur et l’épaisseur de mains que tu as, quand tu claques les fesses d’une de tes filles, ça doit faire mal, elle doit avoir mal aux fesses pendant plusieurs heures ? Pierre se met à rire et lui dit, c’est à elles à se tenir tranquilles pour ne pas se faire chauffer les fesses, moi, j’applique la punition à la force qu’il faut pour qu’elles s’en souviennent longtemps. Oui, réponds Marie, quand tu as passé sur ses genoux, tu te le rappelles longtemps, le derrière te chauffe.

Pierre se lève et invite Francine à aller visiter le jardin et l’extrémité du terrain jusqu’au vignoble. Moi, je les suis avec Maryse et Katie, Sandie et Élodie, elles décident de rester allongé au soleil. Nu demande Francine, c’est une folie déjà que j’ai faite ça ma demander un grand effort aujourd’hui de rester ainsi autour de la maison, mais aller me promener nue là, c’est en demander un peu trop. Viens suit nous, il n’y a personne, les jardiniers sont partis et les premier voisin son à 2 kilomètres d’ici et c’est Julio et Diane qui reste dans la demeure que tu entrevoies au bout du vignoble et en face, c’est la maison d’Élodie donc personne d’autre que nous peut voire tes jolies fesses, et ça fait un moment que tu nous les as déjà montrées tes jolies fesses.

On est à la limite de notre jardin et du vignoble à 500 mètres de la maison et juste en face du fameux hangar qui intrigue Francine et Katie. C’est ici Maryse que tu m’as dite que Claude se fesait punir ? Demande Francine. Je ne sais pas quoi dire devant elles, ça m’a gêné d’entendre ça, c'est, supposé rester privé dans la famille ces histoires-là, mais je m’aperçois qu’il y en a qui bavasse en regardant Maryse.

Claude –
Maryse compte, tu tout ce qui se passe ici, c’est notre vie privée, c’est Maryse qui t’a dit ça. Elle a raison pour ça les punitions et je ne m’en cache pas, j’ai été punie assez souvent ici. Entre Francine, je vais tout te montrer maintenant que tu commence à en savoir pas mal sur notre vie familiale. À l’intérieur, c’est vide, le gros équipement est à l’atelier du vignoble, mais Francine remarque les cordes au fond attacher après des poutres et enrouler à des crochets pour ne pas nuire, et plusieurs fouets et palettes de bois accrocher sur le mur, Maryse leur a sûrement décrit l’intérieur du hangar en détail puisqu’elles l’ont remarqué tout de suite en entrant. Katie décroche un fouet le plus court et s'amuse, le fait siffler dans les airs et fait semblent de frapper les fesses de sa mère. Maman lui dit Katie, ça m’amuserais de te fouetter les fesses comme tu m’as fait ce matin, ça serais une petite vengeance pour moi. Francine décroche une des cordes et enroule la corde autour de ses poignets pour faire semblant d’être attaché par les poignets et lève ses bras pour imiter la position de quelqu'un qui est attaché. C’est de cette minière-là que vous étiez attaché ? C’est humiliant si tu est attacher dans une place qui est pleine de monde qui te regarde. Pendant que Francine s’amuse à faire semblant d’être à la place d’une punie, Katie qui tient toujours le fouet décide de donner un coup de fouet, mais un vrai et assez fort sur les fesses de Francine et un deuxième.

Francine se défait instantanément de la corde et enlève le fouet des mains de Katie.Veux tu que je te les fouettent pour vraie les fesses cette fois-ci tu vas avoir de la misère à t'asseoir pour quelques jours penche toi, sur le chevalet ici tu vas le regretter je te le promet. Katie se réfugie en arrière de Maryse en se tenant les fesses pour se les protéger. Elle lui demande pardon, je m'excuse, lui dit-elle, ça a été plus fort que moi la tentation de te frapper les fesses. Pierre à trouver ça très amusant de voir Francine recevoir quelques coups de fouet, il s'approche de Francine et lui frotte les fesses en lui demandant si elle a besoin d’une pommade pour soulager la douleur. Ça l’a fait rigoler puis nous sommes tous retourner à la piscine.

Pendant notre petite promenade, Élodie et Sandie, elles, se sont rhabilles et Sandie demande à sa mère si elle peut aller chez Élodie pour visiter sa demeure et passer la soirée avec elle. J’en étais sûrs dès qu’elles se sont vues, c'est deux là elle ne se sont jamais laissées de la journée ensuite. Élodie m’a demandée d’aller les reconduire chez elle a 2 kilomètres à peine d’ici sa mère Diane étant repartit elle n’a plus de transport. Mais je lui prête une des voitures qu’ils y a ici. Élodie reste seule dans une grande maison depuis quatre mois maintenant. Son copain l’a laissé pour une autre seulement un mois après qu’ils ait décidé d’aller rester ensemble dans cette grande maison et le verger qu’Élodie venait acheter pour son nouveau projet. Elle s’ennuie seul et cherche toujours de la compagnie Sandie elle n’a pas beaucoup d'amie, d’après ce que Francine m’a raconté sur Sandie, elle est solitaire, ça va juste lui faire du bien d’être avec Élodie.

À la fin de la journée, au couché du soleil après avoir passé la journée nu, je décide d'aller me revêtir et les autres aussi décide de faire comme moi, la baignade étant fini. Mes vêtements plutôt ma robe étant rester dans mon bureau et celle de Francine aussi on c’est diriger Francine et moi dans le bureau pour se rhabiller. Francine m’a parue déçu de remettre sa robe, elle n’a attaché que deux boutons un qui tien sa robe fermé a la hauteur de sa chatte et l'autre entre ses seins et sans ses sous-vêtements elle les as laissé dans mon bureau. ça grade tout juste son intimité cachée et laisse de grande surface de son corps a l'air, Katie le lui fait remarquer.

À ma grande surprise et même les autres aussi, Francine nous a dit qu’elle a aimé ça journée passée ici, son expérience de nudiste comme elle s’amuse à dire lui a plue. Elle nous a tous surprise d’avoir pris goût à la nudité et est prête à recommencer à n’importe quelle occasion. Je ne savais pas non plus que Pierre avait invité Francine à passer la nuit ici. Francine décide de dire oui à l’invitation de Pierre de rester à coucher ici, c'est là que je me suis rendue compte que, eux aussi, c’était parti pour le grand amour. Ils ont l’air de bien s’entendre ces deux là, ils ont parlé toute la journée de boulot, Francine a questionné beaucoup Pierre sur les punitions qu’il donnait à ses filles, la manière des donnés. Il manquai juste la démonstration que pierre n'a pas donné avec une de nous-autres, ça l'intrigue, elle est bien décidée à commencer à punir ses filles et elle se renseigne. Francine couchera dans la maison de Pierre en plus, mon frère est en amour cela ne lui est jamais arrivé a l'âge qu'il est rendu je le croyais un célibataire endurci.

Une deuxième punition humiliante pour fille arrogante le lendemain

 

 

Maryse

  Le lendemain matin après avoir couché avec Katie et passer une superbe nuit et lui avoir fait découvrir la jouissance. L’amour pratiqué avec une autre personne, en partie du moins le peu de connaissance et d'expérience que j’ai dans ce domaine. J’ai essayé de lui transmettre, on a la même âge, Katie et moi. Mais j’ai eu la chance d’en apprendre un peu sur comment faire l’amour et je lui ai partagé et je crois qu’elle a bien apprécié son expérience. Katie dort encore et moi, je me suis réveillé avant elle. J’entends parler Francine et la sœur de Katie. J’enfile une jaquette pour me couvrir et je sors de la chambre pour aller les voir. J’entends Francine dire à Sandie qu’à partir d’aujourd’hui les règles vont changer dans la maison. Francine leur mère dit a Sandie qu’elles devront ramasser leurs linges sales qu’elles laissent toujours traîner partout et arranger leur chambre tous les matins et auront d’autres tâches à accomplir dans cette maison. Elle ne remplace plus la femme de ménage que Katie et Sandie, on fait démissionner il y a quelques jours en la harcelant.

Si vous n’obéissez pas, j’irai jusqu’à vous punir comme des petites gamines avec la fessée si vous ne montrez pas assez de maturité, ça fait très longtemps que j’aurais dû utiliser cette méthode de punition-là. À votre âge, vous manquez énormément de maturité, hier, j’ai puni Katie par la fessée et toi aussi, tu n’y échapperas pas, même a presque 20 ans, tu n'y échapperas pas, ça va peut-être te faire réfléchir au lieu de faire des sottises. Gare à tes fesses si tu ne te plies pas aux quelques petites règles que je vous impose. j’entends Sandie qui s’oppose à être punie et aux nouvelles règles que Francine a écrites sur une feuille et afficher sur le mur dans la cuisine, mais Francine lui réplique. Si ça ne fait pas ton affaire, je ne me gênerai pas pour te chauffer les fesses et si tu n’aimes pas cela, tu peux aller vivre ailleurs si tu penses que ça va être mieux. Francine me regarde et m’offre le petit-déjeuner qu’elle a préparé. Œuf brouillé et petites patates rôties. Ç'a l'air vraiment délicieux.

Pendant que je mange avec Francine, Sandie elle, elle va dans la douche. Francine me repose encore des questions sur la manière que Claude, la propriétaire où je demeure et qui m’héberge généreusement, nous punis si nous ne respectons pas les règles à la maison. Au même moment, c’est justement Claude, ma deuxième mère comme je l’appelle et que j’adore qui m’appelle pour m’offrir de venir me prendre chez Katie et me ramener à la maison. Mon lui-dije Francine va venir visiter la nouvelle boutique que l’on veut ouvrir et on se rejoint tous là-bas dans une heure, Sandie, elle ne vient pas.


Je vais rejoindre Katie dans sa chambre et enfile une robe assez bien ajuster du haut, mais ample du bas et presque a mi-cuisses juste assez pour cacher mes fesses et rien dessous. Katie me regarde, elle commençait à peine a s’habiller. Maryse, si tu te penches un peu, tu as le derrière à l’air et regarde pendant que je me penche. Elle enlève l'unique chose qu’elle porte sa culotte et décide d’enfiler avec difficulté son legging très moulant mais rien dessous, ce qui nous laisse bien, voire ses formes. Le legging entre dans sa raie de fesses et épouse la rondeur de ses fesses, mis à part la couleur du legging, c'est comme si elle ne portait rien fesse a l’air. D’en-avant entre ses jambes ça prend la forme de sa vulve, on distingue sa fente tellement c’est serré. Ce legging est quasiment trop petit pour elle. Ensuite elle enfile un top sans soutient aussi serrer qui laisse pointé ses petits tétons dans le tissu. Je lui dis, tu es sûre que ta mère va te laisser sortir habiller comme ça, elle me répond pas de problème Maryse, je m’en occupe. En arrivant devant sa mère ça ne passe pas. Francine trouve qu’elle est beaucoup trop provocante pour se promener en public et l’envoie se changer. Tu n’es pas une traînée ma fille, lui dit-elle, vas t’habiller convenablement, c’est des vêtements que tu peux mettre ici à l’intérieur, mais pas en public. Mais Katie refuse, elle me prend par la main et on sort pour embarquer dans la voiture. Francine, très fâchée envers Katie, ne dit pas un mot et démarre la voiture pour aller à la boutique.

À la boutique, la visite faite, Claude doit régler autre chose en ville et nous donne tous rendez-vous à la maison, car Claude et moi habitons dans la ville voisine, à peine dix kilomètres d’ici. Francine nous fait signe de la suivre et on traverse dans la boutique voisine de vêtements pour femme et ados que Claude a achetés aussi pour tout fusionner ensemble plus tard.

Dans la boutique Francine, regarde des robes pour en acheter une à Katie, Francine veut que Katie se change qu’elle enlève sont leggins et sont top qu’elle trouve indécent et provocant. La propriétaire que Francine connaît très bien approche de nous trois, elle regarde Katie et Francine. Tu cherches une robe pour Katie ou toi ? Lui demande-t-elle et qui est cette jolie fille ? En parlant de moi. Oui, Béatrice regarde comment elle est habillée, c’est indécent. Je ne veux pas qu’elle se montre ainsi en public, et la jolie fille qui est avec nous, c’est Maryse la fille de Claude Richard et amie de Katie. Tu as parfaitement raison, a répliqué Béatrice pour son habillement, nos jeunes aujourd’hui, ils se promènent presque à poil sur nos rues. Katie regarde Béatrice et me dit assez fort, de quoi elle se mêle cette vielle folle là, elle ne connaît rien à la mode. Francine regarde sa fille et lui demande de s’excuser, tu traites Béatrice de vielle folle, elle a le même âge que moi pour ton information. Cela veut dire que tu penses la même chose de moi, elle ramasse la robe lilas qu’elle avait sortie du présentoir et prend Katie par une oreille et se dirige vers le bureau de Béatrice. Je vais te faire ravaler tes paroles petites, insolentes, tu vas le regretter.
 
Maryse, tu nous suis et elle demande à Béatrice de lui monter un soutien et une culotte pour Katie et moi aussi. Elle se doute sûrement que je ne porte rien sous ma robe et pense sûrement que c’est la raison de la tenue vestimentaire de Katie. Aie ! Tu me fais mal maman, lâche-moi se plaint Katie qui n’a pas le choix, elle doit suivre. Dans le bureau, on passe devant la téléphoniste qui nous regarde entrer dans le bureau de Béatrice avec un grand sourire. À l’entrée, il y a un sofa et Francine fait placer Katie face à l’appui-bras et l’oblige à se pencher et elle me dit, reste debout ici et regarde sans bouger. Katie se ramasse la face collée sur le siège du sofa et le derrière sur l'appui-bras bien. Exposer et sans qu’elle ait le temps de réagir, une pluie de claques sabbat sur ses fesses qui sont protégées par son mince legging.

Béatrice arrive avec les sous-vêtements demandés et regarde la pluie de claques qui s’abattent sur les fesses de Katie. Elle va chercher une cane qui est accrochée sur le mur et l’amène à Francine pendant que Francine claque toujours les fesses de Katie par-dessus son legging. Katie essaie de quitter sa position, se débat, mais n’est pas capable d'éviter la fessée qu’elle est en train de recevoir. Même avec ses mains, elle ne peut se protéger les fesses, et ce devant moi et la téléphoniste qui elle est juste en face de la porte et qui regarde Katie se faire chauffer les fesses. Francine arrête de claquer le derrière de Katie et demande à Béatrice de la garder coucher dans cette position gênante sur l’appui-bras du sofa. Francine passe ensuite derrière Katie et baisse jusqu’aux chevilles le legging de Katie qui se ramasse les fesses à l’air.

 
Francine essaie de lui enlever son legging, mais il reste pris dans ses sandales. On voit que ses fesses ont commencé à prendre un peu de couleur avec la série de claques reçue même si ses fesses étaient protégées par son legging. Maintenant, ma fille, lui dit Francine, je vais t’apprendre les bonnes manières, j’aurais dû être plus sévère avec toi et ta sœur dans la passée, mais il n’est jamais trop tard pour sévir. La fessée d’hier ne t’as pas suffi aujourd’hui, je vais te punir encore une fois, mais cette fois ci-devant des étrangers et fesses a l’air, peut-être que ça va t’humilier assez pour te calmer. Béatrice lui tend la cane et Francine la fait siffler quelques fois et frappe les fesses de Katie en plein centre, une ligne rouge sur sa peau apparaît presque instantanément et un cri aussi retenti aussi vite.
Maintenant, tu vas recevoir ta première vraie fessée de ta vie hier, tu n’as pas compris le message avec les quelques claques que je t’ai donnés, mais ce matin avec l’humiliation que tu vas subir, j’espère que ça va finir par rentrer dans ta petite tête qu’il faut être polie dans la vie.

Un deuxième coup sabbat et trois autres puis Francine s’arrête et fait relever Katie qui est sur le bord des larmes et se frotte les fesses. Tu enlèves ton top et se foutu legging ici dans ce bureau devant nous, tu me les donnes et tu colles ton nez au mur devant toi les mains sur ta tête sinon je te claque encore les fesses avec la cane jusqu’à ce que tu obéisses. Katie me regarde, s’assied sur le sofa en grimacent un peu. Les coups de canne reste douloureux et elle enlève son top et ses sandales, ensuite son legging les donne à sa mère de peur de recevoir une autre fessée et prend position face au mur entièrement nu.
Francine me tend ensuite une culotte et un soutien-gorge et me dit, tu enfiles ça ici devant nous et compte-toi chanceuse que tu ne sois pas ma fille Maryse, tu sauves tes fesses. Je me retiens, ce n’est pas l’envie qui me maque de te faire enlever cette robe et te rougir les fesses toi aussi. Je sais très bien que tu n’as aucun sous-vêtement dessous, au même moment qu’elle dit ça, elle tire sur le haut de ma robe et regarde mes seins. C’est un peu ta faute si Katie agit ainsi, tu mériterais juste une bonne fessée toi aussi.

Je n’ose pas contredire Francine et j’enfile la culotte sous le bas de ma robe, pas trop gênent malgré tout. Mais je suis obligé de baisser le haut de ma robe sous ma poitrine pour libérer mes épaules et mettre ce foutu soutien-gorge, en me tournant dos à eux. Je réussis à le mettre, il me va très bien, Béatrice a vu juste et je remontre ma robe sur mes épaules. Deux jeunes de mon âge arrivent, Katie se croise les bras sur ses seins pour protéger son intimité, mais Francine lui donne quatre bonnes claques sur ses fesses en l’obligeant à remettre ses mains sur sa tête. Mais maman ce garçon me regarde sans cesse, je suis nue devant lui. Je connais la fille, on se voit à l’institut, Béatrice les présente Marco et Linda des jumeaux et ses enfants 17 ans comme moi et Katie. Francine les connaissait déjà, mais moi Marco, c’est la première fois que je le voie et Katie aussi, mais dans de drôle de circonstance, nue pour une première, elle ne se manque pas la Katie.


 Marco s’approche très près de Katie presque pour lui mettre sa main aux fesses tellement il est près et la regarde essaie de mirer ses seins qui touchent le mur Katie s’écrase la poitrine sur le mur devant elle pour se cacher du mieux qu’elle peut et Linda aussi s’approche d’elle en comptant les rayures sur les fesses de Katie et dit à sa mère une autre voleuse ce matin tu l’as ménagé seulement que cinq coups, il y a d'autre voleur qui en mérite pas mal plus de coups qu'elle. Je la connais elle est dans un de mes cours a l’institut et très gentille. Béatrice me dit que quand elle surprend un jeune voleur dans sa boutique, elle lui donne le choix la punition par la fessée ou la police, et presque à chaque fois le jeune choisi la punition.

Non Linda réplique Francine c’est ma fille qui a manquer de politesse et de savoir vivre ce matin et comme tu peux le constater elle est en punition pas pour vol mais pour impolitesse. Linda me regarde et demande a Francine elle aussi va recevoir une fessée, déshabille toi Maryse me dit-elle j’ai hâte de te voire a poil ici, et voire rougir tes petites fesses a ton tour, Katie n’a pas reçu grand-chose seulement cinq coups j’espère que ta mère va être plus sévère avec toi, parce qu’on ce connaît très bien Maryse et moi et ce n'est pas a tout les jours que je peux assister a ça Maryse qui va se faire rougir les fesses, frérot vient d’asseoir près de moi on va assister a la fessés de Maryse ça devrais te plaire de voire Maryse a poil.

Béatrice dit a sa fille de ne pas se mêler de ça, que moi, je ne suis pas en punition Linda et Marco on l ‘air très déçu, mais Béatrice rajoute, Francine moi et elle aussi Béatrice nous sortons environ une trentaine de minutes et Katie restera ici en punition face au mur et nue pour l’humilier un peu. Mais maman dit Katie, je ne peux pas rester ainsi devant eux et je dois aller aux toilettes. 

 Tu as envie dit Francine descend va à la toilette nue pas question que tu te rhabilles, et tu reprendras ta position, je t’attends. Katie ne bouge pas et reste le nez coller au mur, je le savais dit Francine, c’était une défaite pour essayer de se rhabiller, mais elle restera toute nue même en présence de Marco et Linda ici si c’est cela qu’elle veut s’exposer elle en a l’opportunité ce matin à l’avenir elle va s’habiller plus convenablement j'espère. Je la prends en pitié malgré tout rajoute sa mère, je m’imagine la honte l’humiliation d’être nue devant des amies fesses rougies a son âge. Je pourrais l’obliger à se tenir au centre de la pièce ça serai encore plus humiliant, mais c’est suffisant, elle est chanceuse malgré tout de montrer seulement ses fesses.

Francine veut nous amener à une boutique qui est plus basse sur la même rue pour s’acheter une cane. Francine se sent mal à l’aise d’aller seul dans une boutique un sex-shop, c’est pour ça que Béatrice l’accompagne et elle me dit de la suivre. Elle est bien décider a discipliner ses filles à l’avenir et a trouver la cane très efficace, elle est satisfaite du résultat pour punir ses filles la brosse a cheveux et la cane ça devrait être efficace d’après ce qu’elle nous raconte. En sortant du bureau Francine dit à Katie si tu bouges de ta position et cherches à te rhabiller pendant notre absence, je demande à Marco ou à Linda d’appeler Béatrice et on reviendra ici et tu vas le regretter. Je vais te chauffer les fesses dans la boutique même nue devant les clients présent si tu bouges. Tu es en punition tant et aussi longtemps qu’on n'est pas revenue. 

Béatrice elle aussi averti ses deux ados de ne pas achaler Katie elle est en punition et si elle entend parler qu'un ou l’autre l’achale, il va l’accompagner nu au mur lui aussi donc tenez vous tranquille, une autre employée arrive au même moment que l’on quitte une fille d’environ 25 ans et elle regarde Katie nue face au mur avec cinq belles lignes rouge sur ses fesses et souri.

 Francine a choisi une can très rigide même Claude ne se sert pas d’une si grosse cane quand elle nous punit cette cane doit laisser d’imposantes marques sur la peau et doit être très douloureuse pour les fesses si elle est donné avec force comme Claude nous la donne. Elle ne plie même pas quand elle la fouette dans les airs. Revenue dans le bureau Francine, montre son achat à Katie et Linda s’empresse de dire à sa mère que Marco n'a pas cessé embêter Katie pendant notre absence il lui a tripotter le derrière. Béatrice rappelle à Marco ce qu’elle avait dit avant de partir et demande a Marco de se dévêtir, Marco traite sa soeur de rapporteuse et c'est-elle qui devrait se mettre nu. Tu mérites une bonne punition Marco comme Katie alors donne moi tout tes vêtements pour accompagner Katie et appui tes mains sur le siège du sofa, tu vas être le premier à en faire laissai de la nouvelle cane de Francine. Je m’imagine que Marco est obligé d’obéir à sa mère, car il ne rouspète pas et se déshabille entièrement. Son slip est plus dur à enlever plus gênent devant 5 filles qui le regardent s’exhiber.

Marco qui est nu devant nous en cachant son intimité, mais Béatrice l’oblige à enlever ses mains et à nous laisser voir son petit zizi et ses petites fesses toutes plates. Allez, lui dit-elle enlève tes mains de sur ton zizi, c’est pour ça que je te fais mettre à poil pour que tu aies honte de nous montrer ton petit zizi. Pour moi, c’est la première fois que j’ai un gars à poil devant moi a quelques centimètres de moi, et j’aime le regarder face à moi, le zizi a l’air. Pour une fois, ce n’est pas moi qui suis le centre d’attraction dans la pièce, c’est toujours moi qui suis exhibé d’habitude pour me faire punir. Au bout de quelques secondes d’exhibition Béatrice fait pencher Marco, ses mains appuyer sur le sofa et il écarte ses jambes, je distingue très bien ses bijoux de famille qui pendent entre ses cuisses et Béatrice commence à lui claques les fesses avec sa main gauche. Elle dit à Francine, jamais je commence avec un instrument comme la cane ou une ceinture au autre, je leur réchauffe toujours les fesses de plusieurs claques et quand je trouve la couleur de leurs fesses à mon goût-là, je passe à la deuxième étape qui laisse plus de marques et de douleur. Béatrice prend la cane que Francine vient tout juste d’acheter et la fait siffler elle enlève même le prix qui est encore accroché dessus.

 Francine lui dit Béatrice, tu as bien choisi cette cane me plaît bien très rigide je vais aller m'en cherché une moi aussi, et elle s’élance sur les fesse de Marco avec force. Marco lâche instantanément un cri de douleur et se tortille le derrière une belle ligne rouge apparaît sur ses fesses. Quatre autres suivent, sur les fesses de Marco on distingue cinq belles marques rouges laisser par la cane, Marco se redresse et sa mère l’oblige a rester debout au centre du bureau bras croiser dans son dos moi je ne demande pas mieux il est face à moi la face aussi rouge que ses fesses et en grimace par la douleur d’être exposé devant moi .

Katie a la permission de se rhabiller, mais avec ce que Francine lui a préparer en vêtement et doit passer devant Linda et Marco qui la regarde circuler nu pour traverser presque toute la pièce pour aller chercher ses nouveaux vêtements qui sont juste au côté de moi et Marco sur le bureau. Une culotte blanche comme la mienne que Katie s’empresse de mettre humilier d’être nue le soutient et la robe lilas souve très rapidement. Enfin me dit-elle en me murmurant je suis habillé c’est moin gênent. Il reste que ses sandales a mettre dans ses pieds. Katie en profite pour regarder Marco avant de mettre ses sandalles, elle ose même toucher son pénis. j’ai bien le droit, nous dit-elle, il m'a pogné les fesses et le sexe plus tôt en essayant de rentrer ses doigts dans ma fente. C'est Linda qui lui a dit d'enlever sa main d'entre mes cuisses et mon sexe, moi aussi j’en profite et elle tient le pénis de Marco dans sa main. C’est bien mou, nous dit-elle et tout petit et fait le tour pour lui flatter les fesses avec son autre main. Elle aussi trouve qu’il a des fesses plates et laides aucune rondeur. Soudainement, Katie se revire vers moi et me dit Maryse vient toucher son pénis a grossi dans ma main il est devenu dure. Francine dit a Katie de le lâcher d'arrêté de le taponner lâche lui les couilles et les fesses.

 Laisse Katie s’amuser découvrir à l’âge qu’elle est rendue, c’est plutôt normal de connaître un sexe masculin et d’aimer le caresser dit Béatrice à Francine. C’est juste normal qu’un garçon réagisse comme ça. Tout comme toi Katie si on te caresse le sexe, tu vas finir par réagir et ton sexe va devenir mouiller un gars, c’est de bander sa réaction et la majorité des gars, ça ne prend pas grand-chose pour bander une paire de seins a l’air et ça bande. Linda trouve ça très drôle. Katie, lui dit-elle quand ma mère me punit nue devant mon frère parce que ça m’arrive souvent d’être punie devant lui ou les deux ensemble à recevoir une punition et c’est toujours nu que notre mère nous punis. Mon frère bande juste à me regarder et je suis sa sœur il fantasme pareille même avec sa soeur et quand c’est lui qui est puni nu ce n’est pas rare qu’il bande juste à se faire claquer les fesses, ma mère le traite de cochon bander devant sa sœur. Ça m'a beaucoup surprise qu’il n’a pas bandé plus tôt durant sa fessée, c’est la gêne de se retrouver nu devant vous probablement.

Lâche-lui le pénis Katie, on continuera ton éducation sexuelle plus tard nous, on doit aller chez Maryse Claude sa mère adoptive comme elle l’appelle nous attend, j’ai plusieurs affaires à discuter avec elle. Et il faut passer chercher ta sœur, j’ai l’impression qu’elle aussi aimerait passer la nuit chez toi Maryse connaître tes sœurs et s’amuser avec vous deux. Sandie me l’avait déjà demandé ce matin et Claude est tout à fait d’accord pour qu’elle vienne elle aussi passer le reste du week-end chez moi, mais s’il te plaît, Francine n’apporte pas ta cane, je n’ai pas du tout envie d’en faire l’essai avec Claude, on ne sait jamais à quoi s'attendre. En regardant Katie suive elle a l'air très déçue de quiter Marco et surtout son sexe qu'elle avait bien l'air d'aimer tenir dans sa main

Une punition humiliante pour fille arrogante

 

 

 

         

          À la fin de la matinée, quatre employées sont assissent dans le couloir et attendent que le directeur à la discipline M. Lepetit finisse sa réunion avec leur responsable. Elles entendent des cris et des bruits des sons de claquement qui provienne de la a salle juste à côté à leur gauche elle se doute bien qu’il y a une ou des personnes à l’intérieur qui se font punir le son ressemble beaucoup a des claques qui se donnent sur la peau nue juste un peu avant c'est claquement ç’a parlait fort à l,intérieur. Les bruits arrêtent et il y a des pleurs et elles entendent dire la première partie de votre punition est fini maintenant vous sortez dans cette tenue et allez patienter dehors au centre du hall d’entrée près des bancs et main sur la tête jusqu’à ce que je vienne vous chercher pour la seconde partie de votre punition et c’est un ordre. Quelques instants plus tard, les quatre filles aperçoivent deux étudiantes sortir de la salle nue les fesses rouges de la fessée qu’elles viennent de recevoir main sur leur tête suivie de la responsable qui les suit et leurs indique ou se placer pour attendre. Elle les fait placer au milieu du grand hall d’entrée côte à côte ou circule plusieurs personnes en leur donnant d’autres claques sur les fesses et les avisent de ne pas bouger et elles doivent rester debout nues a la vue des passants. La responsable revient vers les quatre employées se présente a elles et les invite à rentrer dans la même salle et les fait placer en position de punies bras croisés dans leur dos.

Au même moment le directeur, M. Lepetit et la responsable des quatre filles sortent du bureau et traverse dans la salle ou sont rendu les quatre filles. M. Lepetit s’adresse aux filles. Mlles, c’est défendu de se bagarrer de se frapper de manquer de respect envers un autre résident ici ou compagnon de travail, je sais que dans votre lieu de vie, vous êtes des grandes rivales, mais ici vous n’avez pas d’autres choix que de vivre en paix ensemble sans ce chamailler ou se provoquer, vous êtes ici pour des crimes graves, vol vandalisme menace méfait et j'en oubli. Dites vous bien qu'ici ce n’est pas la première fois que l’on a des têtes dures et on a toujours finie par les cassés, des gamines comme vous quatre parce que ces ça votre comportement vous agissez comme des gamines ça se punies comme des petites gamines doivent être punies. Si vous n’êtes pas capable de comprendre par votre jugeote votre intelligence, on va vous le faire comprendre par l’humiliation et la punition corporelle comme des gamines.
 

Ici c’est les mêmes règlements pour tout étudiant ou employés et les mêmes niveaux de punition qui s’applique a tous. Le niveau 1 qui est pour des offense plus mineur ça peut aller d’avertissement a une punition corporel sans déculottage le 2 pour offense un peut plus grave ou récidive qui souvent est une punition corporel mais avec déculottage et soit en privé ou semi public et le 3é le plus élevé pour les forte tête est la punition corporel a nu et en public qui peu duré jusqu’à plusieurs jour ou le revoie et ça s’applique a tous les employés ici et étudiants. Je vous donne à chacune un carnet qui détaille les réglementes qui existe ici. Et pour vous quatre vous nette pas tout à fait employer ici, il ne peut pas avoir de renvoi. C’est la justice qui vous a condamné pour les trois prochaines années a travaillé ici comme beaucoup d’autre ici, donc vous êtes soumise aux mêmes règlements que nos employés, mais ne pouvez pas être renvoyé.

Vous deux Mlle Diana et Gabrielle ça fait trois semaines que vous êtes ici et a votre arrivé vous avez été punies en entrant, sous l’ordre de la juge. Durant, c’est trois semaines que vous avez passé ici votre responsable vous à donner plusieurs chances en ne vous punissant pas plus sévèrement mais vous avertissant. Ne vous donnant seulement que des avertissement ou vous mettant ou piquet bras croisés dans votre dos pour quelques minutes devant vos collègues de travail, et vous n’avez pas su profiter de votre chance. À la place, vous avez continué à vous disputer avec vos deux rivales et aujourd’hui vous allez le regretter. Les deux autres filles rigolent en entendant les derniers mots du directeur, mais le directeur les regarde et leur conseille de ne pas trop se réjouir, c’est à leur tour maintenant.
 

Mlle Jasmine et Mlle Maude ne riez pas de vos copines vous deux ça fait deux semaines que vous nous êtes arrivé ici et en deux semaines votre chef vous a sévèrement averti trois fois en vous obligeant à prendre la position de puni devant le reste de vos compagnes de travail vous aussi, et même il y a quelques jours elle a punis chacune de vous deux de quatre coups de sangle dans son bureau en privé en espérant que vous compreniez que vos gestes entaient déplacer ici et surtout pas permis. Mais ce matin avec ce que vous venez de refaire s’en est trop. Se disputer se traiter de toute sorte de nom avec Diana et Gabrielle ce n’est pas logique, mais en venir au coup, se frapper entre employés ici, on ne tolère pas ça, et on va sévir encore plus durement. Mesdemoiselles, vous êtes toutes les quatre en punition de niveau trois, et pour les deux prochains jours plus précisément jusqu’à mercredi après-midi 5 h 00 après votre quart de travail. Le niveau 3 cela veut dire que vous devez nous remettre votre uniforme de travail pantalon et chemisier ici même. Les personnes qui sont a ce niveau de punition comme vous quatre le niveau 3 le droit de porter des vêtements à l’intérieur de l’établissement est interdit. Leurs vêtements vous sont donc confisqués et pour la durée de la punition, c’est pour rendre la punition plus humiliante et difficile à subir. Donc vous êtes privé de vêtement.

 Et pour ce midi, vous recevrez devant public une punition corporelle. Une des filles demande à M Lepetit, c’est quoi la punition et combien de coups ?
Je vais vous le dire, c’est votre droit de le savoir dit le directeur, il en a été décidé que chacune de vous recevra 20 coups de strap entièrement nu dans la salle à manger de la cafétéria ce midi à 12 h 15 précis et devant toutes les personnes présente dans cette salle, les deux autres étudiantes qui sont nues dehors elles aussi seront punis ce midi en même temps que vous quatre. Je vous laisse le droit de porter vos sous-vêtements pour rentrer dans la salle et à l’heure de votre punition, vous allez les retirer devant tout le monde.
Ensuite après votre fessée public vous resterez nu pour les prochains jours de votre punition demain et mercredi ici a l’intérieur à faire les tâche qui vous serons donnée.
Les filles contestent disant qu’elles ne sont pas du tout d’accord et à leur âge, ils n’ont pas le droit de les toucher même les punir devant tout l’établissement. M. Lepetit, leur coupe la parole les faisant fermée il leur dit qui se foutait de leur protestations ce n'est pas à elles de décidé et leur rappel qu’elles sont ici sous l’ordre de la cour et n’ont aucun autre choix que d’obéir.
Diana et Gabrielle se souviennent très bien de leur arrivée ici, la douleur a leurs fesses qu’elles ont dû endurer. elles commence par détacher leur pantalon puis le baisse a leurs chevilles. Elle se penche ensuite toutes les deux pour enlever leurs chaussures pour ensuite faire passer leur pantalon de travail le remette a Claude l’assistante de M. Lepetit,. Elles sont aux côtés des deux autres qui les regardent en culotte de coton le seul vêtement qui cache encore leurs fesses et intimité, et elles sont sur le point d’enlever leur chemisier. Êtes-vous folle ? Dit Jasmine, Diana réplique tout en enlevant son chemisier se retrouvant qu’en sous-vêtements et le donnant à Claude et elle leur conseille à elle Jasmine et Maude d’obéir et de faire la même chose à place de les traiter de folle sinon elles pourrait aggraver encore plus leur cas.

 Mais Jasmine refuse jamais, dit-elle, je vais me déshabiller et me plier a leur fantasme ce n’est que des voyeurs regarde dehors les deux pauvres filles à poil, c’est pour leur fantasme, ils aiment ça regarder des filles à poil et ils profitent de leur autorité pour parvenir a leur fantasme et pouvoir nous taponner le cul. Au même moment Laurie, la deuxième assistante rentre dans la salle et a tout compris de ce que Jasmine vient de dire et regarde M. Lepetit son patron qui est bouillant de rage et s’approche de Jasmine et lui demande d’obéir et d’enlever ses vêtements sinon les fesses vont lui chauffer. Jasmine lui conseille de ne pas la frapper, elle déteste se faire claquer les fesses et de s’éloigner d’elle sinon elle va le ruer de coup de pied et de coups-de-poing.

M. Lepetit regarde Jasmine dans les yeux et la prends par la taille avec son bras  gauche sans qu'elle aie le temps de réagir et l’oblige à se pencher. Il l'emprisonne en la tenant bien serrée contre lui et commence a lui claquer les fesses sur son pantalon avec puissance et avec un rythme très rapide. Il alterne d’une fesse à l’autre en la maintenant très serré par la taille pour ne pas qu’elle se libère et lui dit, ce que je suis en train de te faire ça s’appelle te claquer le cul, il arrête Il pose sa main  en plein centre des fesses de Jasmine et serre fort et descend entre ses cuisses pour palper son sexe. Maintenant Jasmine ce que je suis en train de te faire ça s’appelle te pogné le cul. D’après toi sens-tu une différence entre les deux ? Ça doit faire moins mal se faire pogne le cul que se le faire fessé mais ici c'est de te fessé le cul qu'on parle pas d'attouchement sexuel, et le dirlo recommence à lui claquer le cul. Jasmine cris le supplie d’arrêter, elle hurle presque, M. Lepetit arrête.
 Après environ une trentaine de secondes, il demande à Jasmine, si elle veut qu’il continue à lui claquer le cul ou elle en a assez reçu de claque sur son cul, et si c’est elle qui se déshabille ou c’est lui M. Lepetit qui le fait tout en saisissant le haut de son pantalon et le tirant vers le bas ce qui nous fait voir son élastique de string sans lâcher sa prise qui la maintient pencher et coller sur lui.

Jasmine presque sur le bord des larmes lui demande de la lâcher et d’arrêter de la fessée, elle va obéir et se déshabiller comme demander, avant de lâcher sa prise M. Lepetit remet sa main juste au bas des fesses de Jasmine et descend ses doigts entre ses cuisses. Tu sais maintenant ma belle, c’est quoi la différence entre te pogner le cul ce qu'on ne fait jamais ici et te claquer le cul maintenant réfléchi avant de dire n’importe quoi. Tu te déshabilles et je veux que tu te mettre à genoux devant tout le monde ici et tu t’excuse pour nous avoir traité de voyeur et pervers, je te réserve une petite surprise juste pour toi plus tard. Il lâche l’emprise qu’il avait sur Jasmine et Jasmine se redresse en se frottant les fesses. Maintenant, Jasmine, donne nous tes vêtements et fait vite, il s’approche de Maude qui recule et baisse son pantalon et enlève ses chaussures, Maude a peur de subir le même traitement et c’est déshabiller très rapidement. Les deux filles portent chacune un string et ont voie que Jasmine a les fesses un peu colorées malgré qu’avec la protection de son pantalon ses fesses ont changé de couleur.
 

Maude demande pour aller aux toilettes Laurie lui montre la salle de bain en face proche de la sortie principal et lui dit qu’elle doit y aller en sous-vêtement malgré la circulation qu’il y a dans le hall et elle laisse ici ses bas c’est pied nus c’est pas pire que les deux étudiantes au centre du hall au piquet et entièrement nu toi pour l’instant tu portes toujours tes sous-vêtements il y a un côté moins humiliant que être nue. Maude enlève ses bas et les trois autres demandent si elles peuvent elles aussi y aller avec Maude, oui bien sûr, mais en revenant vous prenez place au côté des deux étudiantes bras croisé dans votre dos, on ira vous chercher pour la suite de votre punition et je vous attends près des étudiantes. Les quatre filles traversent dans le hall toutes humilier se cachant tant bien que mal leur partis intimes même si elles porte toujours leurs sous-vêtements pour aller aux toilettes deux en string fesses à l’air et les deux autre sont moins indécentes fesse cachée avec leur culotte de coton il y a plusieurs personne malgré tout qui circule et regarde les filles traverser en petite tenue et les deux autre nues.

  Laurie une des deux assistantes attend les quatre filles au centre du hall en jetant un œille sur les deux étudiantes qui sont debout nues en punitions. Après quelques instants, les quatre filles reviennent de la salle de bain et c’est autour des autres d’aller se soulager. M Lepetit arrive entre-temps avec Claude et la secrétaire de l’administration, ils vienne les voir et repartent avec Jasmine, Diana et une des deux étudiantes pour les faire se déplacer à la salle à manger des 3è années, l’heure de la deuxième partie de leur punition arrive, on entend dans l’édifice le bruit des étudiants qui sortent de leur salle de cours et prennent toute la direction de la salle à manger pour le repas du midi.
Venez avec moi, Diana, Jasmine et l’étudiante Tania qui est déjà nue et garder vos bras croisés dans votre dos et que vos bras restent bien en place sinon gare a vos fesses. Nous on traverse du côté des 3è année, c’est là que va se donner votre punition ce midi Laurie aussi, tu me suis. Jasmine demande si elle peut récupérer ses chaussures elle dit que le plancher est froid mais Claude ne veut pas ses pieds nus que vous nous suivez lui dis elle. Toi Claude, c’est avec les trois autres que tu vas à la salle des 2è et 1è année Gille le directeur général et d’autre de la direction t’attende avec les trois filles.

M. Lepetit, Laurie et les trois filles sont a la porte de la salle dans la fille de monde qui veule rentré dans la salle et les curieux autour d’eux regarde les filles une nue et les deux autre en sous-vêtement et elles se font questionner et surtout pogner le cul comme dit si bien Jasmine qui est toujours en train de ce protéger les fesses en baissant ses mains pour essayer d’empêcher de se faire taponner le cul par les mains baladeuses dans la file qui est a l’entré Laurie qui suit Jasmine trouve ça drôle ne peut s’empêcher de rire en voyant Jasmine se faire taponner les fesses.

  Jasmine dit qu’elle n’a pas faim elle est trop nerveuse et ne veut pas manger. Laurie la reconduit alors sur l’estrade ou son placer les autres profs la fait mettre en avant plan sur l'estrade face à la salle bras croisé dans son dos les deux autres arrivent avec leur cabaret et s’installent à une table pour manger. Diana et Tania on fine de manger et Laurie les amènent aux côtés de Jasmine et elles prennent la même position que Jasmine, mais pour Tania c’est encore beaucoup plus humiliant elle est la seule à être nue et on entend siffler dans la salle il y a encore tout près de la moitié des étudiants qui sont des gars en 3è année presque des jeune adulte à 18 19 ans, et ils ont tous l’air à apprécier le spectacle qui est offert à eux une étudiante de tout juste 17ans nue et bien rase, et les deux autre quasiment nues elles aussi.

Bien qu’à presque tous les midis, il y en a une ou deux personnes qui se font punir ici et nu  ils ont tous l’habitude de voir des filles nues, mais c’est plus fort qu’eux, il en vienne fou à chaque midi et pas juste les gars beaucoup de filles aussi aiment ça encore plus les midis qu’il y a des gars qui sont nus. Le directeur et Laurie approche les filles exposées sur l’estrade et M. Lepetit s'adresse a elles.

  Je vous avais promis qu’à 12 h 15 la deuxième partie de votre punition commencerait et il est l’heure, tout le monde attend ici la suite et ils s’impatientent tous. Jasmine, Diana donnez-moi vos sous-vêtements dits M. Lepetit, les deux filles ne bougent pas trop et rouspètent et demande à M. Lepetit de rester comme elles sont vêtues. Diana dit ça ne change rien pour notre fessée que vous voulez nous donner M. ça nous fera aussi mal, on a déjà les fesses a l’air si je remonte ma culotte dans ma raie j'ai les fesses à l'air, je vous supplie, je suis déjà si gêné. M Lepetit se place derrière Jasmine et lui claque les fesses et les avise que si elles n’obéissent pas elles vont descendre sur le plancher et se choisir un gars dans la salle pour lui demander de les mettre à poil pour reprendre les mots de Jasmine et en prime, ils auront le droit de garder les sous-vêtements qu’ils auront enlevés comme souvenir.

Diana dégrafe l’attache de son soutien-gorge et l’enlève le pose sur la table qui est derrière elle et cache ses seins avec ses bras, elle a de beaux seins pas trop volumineux, mais ils sont très fermes, ils se dressent bien droit ne cherchent pas à descendre et on entend dans la salle des personnes crier laisse nous voir tes nichons ce ne sont pas tes mains que l’on veut voir, ce sont tes nichons. Quelle enlève sa culotte sa chatte aussi, on veut la voir mets toi à poil et vient nous voir.

  Tania elle n’en revient pas des commentaires déplacés elle vient juste d’avoir 17 ans et est en 1ᵉ année, ce n’est pas son côté de l’institut elle, elle est du côté des débutants du côté est de la bâtisse et elle s’aperçoit que les plus vieux sont très agressifs envers les filles peu vêtues, et n’ose pas savoir ce qu’ils pensent d’elle qui est nue sur l’estrade depuis sont arrivée, mais elle voit que beaucoup font un détour spécialement pour passé au pied de l’estrade et font une petite halte pour la regarder. M. Lepetit dit à Jasmine et Diana regarder les filles, vos collègues de travail de la buanderie sont ici à votre gauche, ils se sont déplacé exprès pour vous deux, c’est rare que ce département-là vient manger ici le midi, vous pouvez les saluer, c’est vous deux qu’elles viennent voir. Les filles sont gênées, ne regarde même pas, elles font semblant de ne pas avoir entendu le directeur et continuent de fixer le mur en avant d’elles. Jasmine, elle, n’a pas encore enlevé son soutien-gorge ni son string, donc M. Lepetit fait un appel dans la salle. Levé la main tous ceux ou celles qui sont intéressées à venir finir de mettre ces deux jolies filles à poil parce qu’elles ne veulent pas le faire par elle-même, il m’en faut deux, et après les avoir mises nues, les deux volontaires qui viendront ici auront le privilège de les faire allonger sur leurs genoux pour leur chauffer les fesses, ça sera la récompense pour le déplacement. En à peine une fraction de seconde, plusieurs dizaines de mains se sont levées.

 
  Jasmine prise de panique en regardant tous, c’est volontaire, se retourne dos a la salle et s'empresse d’enlever le reste de ce qui couvrait encore ses parties intimes et à les poser sur la table, elle essaie de dissimuler le plus possible son intimité et de rester dos à la salle, mais le directeur la retourne face au spectateur et cette fois-ci lui place les mains sur sa tête ça attire tous les regards et beaucoup d'autres commentaires s'ensuivre. Jasmine est enfin nue de la tête au pied, elle a de très beaux cheveux Châtains au milieu du dos, une poitrine généreuse et ferme un petit duvet très pâle raser en triangle qui pointe sur sa fente. La peau un peu foncée par un petit bronzage, on distingue les marques de son petit haut de bikini, les triangles blancs que sa laisse autour de ses siens qu’elle porte sûrement pour se faire chauffer au soleil, 1 m 70 pas beaucoup plus que 50 kilos, elle est superbe à entendre les réactions dans la salle il y en a beaucoup qui apprécie la voire nue.
Diana elle un peu plus petite et la poitrine moins volumineuse, mais ses tétons sont bien pointés vers l'avant, rien ne bouge quand elle se penche pour enlever sa culotte. On distingue bien sa fente, le pubis bien raser toute lisse, elle a des fesses bien rondes, juste bien proportionner pour son corps et sa grandeur. Jasmine est sur le point de pleurer tellement, elle a honte d’être vue ainsi, pour une fille qui cherche à intimider les autres, faire sa dure et bossé partout ou elle passe, elle est sur le bord de fondre en larmes comme une petite gamine. Diana finis d’enlever sa culotte et se redresse et regarde sa rivale son ennemie qui là toujours fait suer et provoquer. Elle est au côté d’elle et la regarde pleurnicher comme une petite fille. M. Lepetit ramasse deux palettes en bois, une pour Laurie et l’autre pour lui, et oblige Jasmine et Diana a repositionné leurs bras dans leur dos et à descendre de l’estrade, très nerveuses et surtout figées par la honte d’être nue devant tant de gens, elles descendent les deux marches pour atteindre le plancher de la salle les jambes tremblantes par la nervosité. Laurie son assistante fait suivre Tania, c’est elle qui va s’occuper de la punir. Rendu dans la section de la salle ou les filles recevrons leur punition, les collègues de travail des deux filles, ont libéré des tables à la demande de M. Lepetit pour qu'il puisse s'installer avec les filles, au même moment presque tous les autres gens dans la salle se déplace vers la section où seront punies les filles.

 Les trois filles nues sont placées une au côté de l’autre face à une longue table, à une distance d’environ deux pas de cette table. Elles sont debout face à tous ses curieux, exposées nues, les bras croisés dans leur dos en attendant la suite. M. Lepetit, leur demande d’expliquer pourquoi elles sont dans cette position humiliante. Jasmine, c’est à toi de commencer les explications. Elle reste figer, la gêne la paralyse pas capable de dire un mot pendant que tout le monde attend. Allons les filles, quand il est temps de se chamailler, se provoquer ou de tricher, vous n’hésitez pas, maintenant tout le monde ici attendent vos explications et il se promène derrière elles en balançant sa palette de bois.
Il s’arrête derrière Jasmine sans lui dire un mot ou la prévenir il claque les fesses de Jasmine à quatre reprises deux fortes claques sur la fesse droite et deux autres sur la fesse gauche avec sa main libre, Jasmine lâche un cri et ça la fait avancer d’un pas tellement les claques étaient violente et elle se frotte les fesses, je vous aie demandé quelque chose Mlle, répondez la première chose qu’on apprend à une gamine, c'est la politesse et je ne t’ai jamais donné la permission de te décroiser les bras et te frotter les fesses, lâche tes fesses et mets tes mains sur ta tête à la place. Jasmine ne parle toujours pas, très bien Mlle, vous allez le regrettez M. Lepetit regarde dans la salle et choisi un gars au hasard dans la salle et un deuxième et les fait venir derrière Jasmine et Diana.

Vos noms Mr. s’il vous plaît, un se présente comme Pierre et L’autre Rodrigue. Bon M., vous êtes les chanceux qui feront la première partie de leur punition. Diana se décide à vouloir parler, je vais expliquer pourquoi on est ici en punition, M. je ne veux pas qu'un de ces gars me touche. Il est trop tard, Mlle, lui répond-il. Pierre, tu t’occupes des fesses de Diana et Rodrigue celles de Jasmine et prenez le temps de regarder vos victimes, admirez les de la tête aux pieds, vous ne devez pas avoir souvent la chance de contempler de si près de si jolis corps nus.

Les deux gars regardent leurs victimes de la tête aux pieds en s’attardant beaucoup sur les seins et leurs chattes et trouve que Jasmine a un joli duvet même que Rodrigue prote sa main dessus et le tire légèrement, Jasmine lui dit d'enlever ses pattes de là et le traite d’imbécile. M Lepetit prend Jasmine par la nuque et l’oblige à se pencher en lui disant qu’elle est en punition et de rester polie avec Rodrigue sinon il aura la permission d’aller plus loin, et mets tes mains sur le rebord de la table et ne lâche pas le rebord, serre fort parce que tes fesses vont te chauffer, il fait prendre la même position à Diana.
Les gars, penchez-vous et regardez tout ce qu’une fille vous cache est disponible pour regarder, ses belles fesses vous sont offertes juste sous votre nez, profitez en. C’est probablement la première fois que vous avez l’occasion de rougir de si belles fesses, alors commencer par une fesse et alterner à l’autre, mais pas en plein centre, c’est plus efficace et douloureux et plus plaisant pour le fesseur d’alterner d’une fesse à l’autre. Les deux gars commencent à s’amuser si on peut le dire ainsi.
Mais M, le directeur, les arrête, vous n’y allez pas avec assez de force les gras, ce ne sont pas des caresses que je vous ai dit de leur faire, mais de les punir sévèrement, alors claquer plus fort. Il y a un silence presque total dans la salle et les gars reprennent avec plus de vigueur, le son de leur fessée résonne dans toute la salle, un surtout les claques que Rodrigue donne, il possède de grosses mains ce Rodrigue et Jasmine grimace se tord de douleur et essaie d’esquiver les claques sur ses fesses. Il les arrête au bout d’une trentaine de claques, les fesses des filles sont bien rosées, la couleur lui plaît et pour la première étape, il a jugé que c’était suffisant, il passe donc à la partie plus douloureuse avec la palette.

OK les gars pour votre partie, c’est suffisant, maintenant regarder le résultat de votre effort, ça donne une belle couleur à, c'est magnifique petits derrières. Les filles se tiennent les fesses, elles essaient de chasser la douleur, mais le dirlo leur fait enlever leurs mains pour que tous regardent le résultat. Tournez-vous lui dit- elles pour que toute la salle regarde vos fesses qui commencent à rougir.

Maintenant les gars passés en avant et tenez-leur les mains solidement, le M. Lepetit lui s’installe à l’arrière de Jasmine pour la deuxième partie avec la palette a fessé. En montrant la palette de bois, il dit à tout le monde autour d’eux. Elles vont recevoir chacune 20 coups de palette de bois que je tiens ici et ça va être très douloureux, mais cela fait partie de la punition qu’elles méritent. Je ne veux pas qu’elles bougent, alors Rodrigue, Pierre, je vous demande d’immobiliser leurs bras. Les deux gars traversent de l’autre côté et obligent Jasmine et Diana a avancé et s’écraser la poitrine sur la table, ça met les fesses des deux filles bien exposées pour la suite. Line, la chef de Jasmine et Diana s’équipe, elle aussi, d'une palette et elle va s’occuper de punir Diana. Le directeur demande à Laurie de s’occuper de Tania, pour elle, ce sont 15 coups. Elle restera debout pour sa punition, ça excite autant les gens qu'une fille nue reçoive une fessée debout ou pencher et c’est peut-être encore plus humiliant pour la personne qui la reçoit. 

Laurie se prépare et prend sa palette à fesser dans sa main et reçois le signal de M. Lepetit. La première claque arrive sur les fesses de Jasmine et les deux autres filles aussi dans la salle, le son des cris et des palettes frappant, c’est jolis, derrières résonne jusqu'à l'autre bout. La punition continue coup après coup, les filles résiste du mieux qu’elles peuvent en grimaçant, vessant quelques larmes et toujours en lâchant de bons cris de douleur presque à chaque coup que leurs fesses endure, ne pouvant pas bouger pour éviter le suivant. Les gars ne lâchent pas leur prise et retiennent fermement les bras de Jasmine et Diana. Laurie, elle est obligée de replacer Tania en position, à la réception du douzième coups sur ses fesses la douleur est rendu insupportable, Tania, c’est retourné pour éloigner ses fesses de sa fesseuse et a descendu ses mains sur son derrière pour protéger ses fesses en suppliant d’arrêter. Allons Tania, tu reprends ta position et vite il ne reste que trois coups lui dit Laurie, Tania reste tournée face à sa fesseuse et se frottent les fesses pour essayer d’apaiser la douleur. Ils y a deux personnes derrière Tania, des filles qui assistent à ce spectacle comme on peut le nommer et Laurie demande à ses deux filles de prendre Tania par les bras et la tenir les bras écartés de chaque côté pour l’immobiliser, les filles coopèrent et immobilisent Tania. Revenue en place et maintenue immobile, Tania reçois ses trois derniers coups en hurlant. Mlles lâchée Tania, s’il vous plaît.

La première chose que fait Tania, c’est de porter ses mains sur ses fesses et de s’accroupir en pleurant. Mlles, je ne vous ai jamais croisées ici auparavant ? Demande Laurie au deux filles qui ont maitrisé Tania. Avez-vous déjà reçu une punition de ce genre ici ? Demande Laurie. Non madame, jamais depuis trois ans que je suis dans cet institut. Jamais je n’ai reçu la moindre punition et l’autre, elle aussi, répond à Laurie qu’elle a toujours tout fait pour éviter d’être humiliée ainsi. Je vous félicite et vos noms puis-je le connaître ? Oui moi la plus près de Laurie, c’est Julie et l’autre, c’est Michelle. Bon aider Tania à se relever sur ses jambes, je vous remercie toutes les deux. En parlant à voix haute pour que tous entendre, elle dit, je vais reconduire Tania a sa salle de cours, elle va assister à son cours dans cette tenue et demain, ça sera trois autres filles qui seront devant vous tous, présentement elles sont dans l’autre salle à manger et reçoivent la même punition que les filles ont reçu ici ce midi. M. Lepetit reprend la parole et pendant que Jasmine et Diana se soulage les fesses, il dit à Jasmine Mlle, c'est deux charmants garçons vont vous accompagner toute l’après-midi dans votre tournée. Vous Mlle Jasmine, vous allez faire le tour de tous les départements et classe dans le bâtiment et entièrement nue et les bras croisés dans votre dos sans les enlever pour essayer de vous cacher, ça signifie toutes les classes d’étudiants côté 1é et 2é année, les employés qui sont partout à l'ouvrage, vous allez inviter tous ceux qui veulent venir ce soir. Commencer par ce côté-ci, les finissants aussi ont le droit de venir en vous promenant dans la salle ce midi au travers des tables, invitez-les à l'auditorium pour 16 h. Mlle, vous allez les inviter à assister à votre punition en extra que je vous avait promise ce soir pour votre manque de politesse ce matin envers nous la direction.

Elle vous sera donnée cette punition supplémentaire  à 16 h 15 dans le gymnase, donc commencer tout de suite ici avant que les gens partent, ensuite les cuisinières qui sont encore dans la cuisine, Pierre et Rodrigue vont gentiment t’accompagner pour ta tournée, ils ont leur après-midi de libre donc ils sont tous les deux heureux de t'accompagner dans ta tournée et admirer tes jolies fessses. Et Jasmine soit sûre de bien faire le tour de tous les locaux sinon les gars ont le droit de te punir s'ils le jugent nécessaire. Je leur fournis même une sangle pour te chauffer les fesses si tu fais mal ta tournée d’invitation. Pour ce soir, c’est nu que vous retournerez à vos appartements qui sont dans l'édifice dans la cour arrière alors vous pouvez rester nue, vous n'avez pas à aller dans le public en ville vous rester sur le trerrain de l'institut. Demain matin, toutes les quatre, vous sortez nue de vos appartements et vous, vous présentez nu au bureau de la direction pour 7 h30, vous passerez une autre journée nue à l’intérieur de l’institut, je vous permets de porter que des chaussures, pas plus. Si j’entends parler que l’une de vous à traverser avec un vêtement sur le dos pour rentrer ici demain matin, elle va le regretter. Toi, Diana, suis-moi, je t’amène au département de l’entretient, ils vont de donner des tâches à accomplir pour le reste de la journée et tu assisteras à la punition de Jasmine ce soir et tu y participeras aussi.

Des vacances à oublier pour Claude te Laurie qui font mal aux fesses

   Deux belles filles dans le début vingtaine Claude et Laurie qui travaillent, vivent, habitent  ensemble ont décidé de prendre des vacances bien méritées. Cela fait plus d’un an qu’elles se connaissent par l’entremise de leur emploi et se sont liée d’amitiés et cette semaine ont toutes deux demandé quelques jours de congés. Elles ont décidées de se louer un véhicule et partir quelques jours en vacances dans le sud-ouest et longer la méditerranée par de petite route et s’arrêter dans un tout petit village à environs 3h00 de route de chez elles, sur le web  elles ont réservé dans une petite auberge pour quatre nuits jusqu’à dimanche, le lendemain lundi elles reprennent le travail.

              Arriver à destination elles s’enregistrent à l’auberge place leurs bagages dans la chambre profite du paysage la plage et comme l’après-midi passe et sur les recommandations du personnel elles décident d’aller manger a un petit pub qu’elles ont aperçu sur la route à l’autre extrémité du village. Dans la soirée un musicien s’installe et les filles continue à boire en ce relaxent et écouter le musicien, deux nouvelles et belle nanas dans la place dans un si petit village elles ne passent pas inaperçu. Un des clients commence a payé un verre puis une autre a Laurie qui ne les boit pas, ne s’occupe même pas du gars qui la flirte et qui commence à lui faire des propositions à mesure que la soirée avance.

           À la fin de la soirée Claude et Laurie décide de quitter un peu amoché, mais le gars lui retient Laurie et lui dit que c’est avec lui qu’elle va passer la nuit. Laurie lui demande de la lâcher qu’elle n’est pas du tout intéressé à lui, mais le gars la traine dehors. Laurie se défend et lui assène un coup de genoux dans l’entrejambe et le frappe au visage et s’enfuit avec Claude dans leur voiture. Réchauffer par les quelques vers pris dans la soirée Claude décide de prendre la route il n’y a que quelques kilomètres entre le pub et l’auberge elle se dit que ce n’est pas si pire que ça, mais le policier du village l’intercepte, vous avez bu Mademoiselle vos papier lui demande le policier.  

          Après quelques minutes l’agent revient et mets les deux filles en arrestation fait remorquer la voiture et amène Claude et Laurie au poste de police du village. Claude et accuser de conduite en état d’ébriété et Laurie pour avoir frappé et blesser un homme, il y a eu une plainte contre Laurie pour coup et blessure de porter par son achalant contre elle. L’agent informe Claude et Laurie qu’elles devront passer la nuit au poste en cellule et demain elles seront convoqué par un juge. La nuit a paru interminable pour les filles seul dans la cellule en passant à ce qu’il va arriver, au matin une agente de police avec de la nourriture arrive, suivit d’un homme. L’homme se présente comme avocat mandaté pour les défendre, il leur explique les grandes lignes de ce qui ce passeras pour elles.

        

 

 

 

La juge

    A 8 h 30 la même agente vient chercher les deux filles menotte les deux et les amènent dans la salle de cour, elle les fait assoir dans le banc des accusés, bien sûre il y a le gars qui a harcelé Laurie et trois autres personnes qui l’accompagnent quelques autres citoyens sont dans la salle aussi, deux autres agents de police et une femme qui doit être la sténographe sont aussi dans cette salle. La juge se présente commence par Claude, Mademoiselle Letarte vous êtes accusé de conduite avec un taux d’alcoolémie élevé, donc c’est un mois de prison  1000 € d’amande et une suspension du permis de conduire pour cette infraction, est la sentence qui s’applique fréquemment pour ce genre de crime. Dans quel domaine travaillé vous Mlle ? Lui demande la juge, Claude lui répond qu’elle travaille à l’institut ST- Thomas en discipline, elle est l’assistante du directeur. Mme la juge lui dit qu’elle connaît un peu cet institut de réputation, le ministère de la Justice nous conseille d’envoyer les jeunes qui sont condamné à faire un séjour là-bas, cela permet à ces jeunes de terminer leur étude, c’est mieux que la prison.

 

        La juge dit qu’elle va étudier son dossier avant de prononcer la sentence définitive et pour l’instant, elle retourne en cellule. L’agente retourne avec Claude et la juge s’adresse à Laurie. Elle lui repose la même question et Laurie lui répond qu’elle aussi fait le même travail, la juge dit que pour une accusation de voie de fait causant des blessures, c'est deux semaines minimum de prison et 500 € d’amande. Elle rajoute je vais communiquer avec votre employeur et je vous ferais part de ma décision final très bien tôt sur vos cas, et elle retourne aussi Laurie en cellule. Une heure plus tard, l’avocat revient voir les filles et leur montre les trois options que la juge à décider.

          La première :    pour Claude, c'est 1000 € d’amande et un mois de prison suspension du permis et un casier judiciaire.

          La deuxième :     c’est que lundi prochain une voiture de police vous monte à l’institut ST- Thomas et c’est une punition de niveau trois qui est la plus haute dans cet institut que vous serez condamné Mlle. Cela veut dire que c’est une semaine de punition complète que Mme la juge suggère devant vos collègues et étudiants comme vous-même les administrer aux étudiants punis. Et avec une amande réduite à 500 € sans suspension du permis et casier.

           Claude lui demande la troisième, c'est quoi, l’avocat lui dit j’y arrive

           La troisième :   c’est une première ici dans le village et dans le pays surement depuis de nombreuses décennies, mais c’est Mme la juge qui l’assume, d’après elle les dispositions de la loi lui permette de vous l’imposer.

         C’est d’appliqué le même genre de punition que l’institut vous administrerait lundi de niveau trois mais ici même dans la salle de cour, une punition corporelle la même que vous auriez a l’institut, c’est 20 coups de lanière de cuir ce matin même, et pendant les 48 prochaines heures vous seriez au service de la mairie, à l’entretien ménager si tu aimes mieux du bâtiment, jumelé avec un des employés, cet entretient ménagé comprend le poste de police celui des pompiers et la mairie tout est regroupé en un seul bâtiment sur deux étages et les employés en font l’entretient, le plus important il n’y aura aucun dossier criminel et aucune suspension de permis, seulement 200 € d’amande  

       --- Mais M. si je me réfère à mon institut ou que je travaille, les punitions de troisième niveau, c'est nu que ça se donne, c'est bien ce que je comprends avec ces ridicules choix qu’elle me donne réplique Claude.

       Laissez-moi finir Mlle pour Laurie ta collègue, c'est 15 coups ici ce matin pour toi aussi, et 24 heures de punition en travaux comme Claude, mais pas de cassier criminel pour vous aussi et 100 € d’amande en suivrons, ou

         Lundi matin à St-Thomas toi aussi pour 4 jours de punition ou la dernière option

      15 jours de prison et 500 € d’amande et un cassier criminel selon ta décision

Et pour vous donner plus de détails, c'est nu au moment que vous choisirez l’option d’être punis ici et pour toute la durée de votre condamnation si vous choisissez bien sûr l’option d’être punies ici, et c’est tout petit ici il y à peine une vingtaine d’employés dans tout l’édifice et quelque citoyen à l’occasion qui vienne pour affaire, votre temps est écoulé il vous faut décider et vite, la policière vient vous chercher pour aller voir Mme. La juge.

 

   Le grand moment 

              Réinstallées au banc des accusés  et menotté  devant une douzaine de curieux dans la salle. Il y a eu un changement devant le bureau de la juge, une table en bois massif est installée celle qui était derrière la sténographe et un policier est debout au côté de cette table, et au centre de cette table il y a une lanière de caoutchouc noir assez large d’environ  quatre cm, et d’une trentaine de centimètres de long et d’une bonne épaisseur que Claude et Laurie ont toutes deux remarquer. La juge s’adresse à Claude ne premier, Mlle Letarte veillez-vous lever Claude se lève très nerveusement mains toujours menotter dans son dos, et regarde la juge. Ma décision est prise pour vous Mlle Letarte, et je ne vous demande même pas votre choix comme je l’avais proposé à votre avocat, votre employeur m’a écrit et vous considère comme une excellente employée et m’a envoyé tous les détails sur le type de punition qui est administré à l’institut. Je vous donne une chance de ne pas perdre votre emploi.  J’ai donc décidé tout en donnant son coup de marteau de vous condamner à recevoir la même punition que vous auriez reçu en vous envoyant à St-Thomas lundi, mais ici, de cette manière vous conserverez votre emploi.

          Pour les 48 prochaines heures Mlle Letarte vous êtes condamné à être en punition ici même, cela vous évitera la prison pour un mois, vous recevrez une punition corporelle ce matin et dans cette salle, et j’ai décidé que pour votre punition corporelle  sera de vingt coups de strap sur votre derrière et entièrement nue vos vêtements sont confisqué pour les quarante-huit prochaines heures comme à St-Thomas quand vous punissez quelqu’un.  La strap  qui servira pour vous punir, c’est celle qui est sur la table devant vous et notre chef de police M. Bernatchez  est mandaté pour vous administrer cette punition avec cette strap. Ensuite M. Muller qui est à votre gauche notre responsable de l’entretient pour l’édifice va vous conduire à votre affectation et vous présentera à l’employé avec qui vous serez jumelé pour les deux jours à venir ce sont des travaux à l’intérieur du bâtiment qui vous serons donner et superviser. L’employé, avec qui vous serez jumelé de jour vous surveillera, et au quart de soir un autre employé vous supervisera et vous devrez leurs obéir sinon ils ont tous les deux la permission de vous punir.

         A 3 h 00 cet après-midi, on va vous ramener ici dans cette salle devant moi et une autre punition corporelle vous serras administrer encore vingt coups. Ce soir pour la pause repas, vous en recevrez une autre punition, et demain matin à 8 h 30 vous serez convoquer ici avant de retourner à vous travaux forcés comme on peut les appelés. Je serai présente et la journée sera la répétition de celle d’aujourd’hui. Samedi je vais faire un spécial pour venir ici et assister à votre dernière punition et après je signerais votre libération.

 

                   Mme l’agent enlevé lui ses menottes pour qu’elle puisse se déshabiller demande la juge. Les quelques citoyens dans la salle et employés présents regarde toute la jolie jeune fille de 24 ans aux cheveux brun et vêtu que d’un short et une camisole ce faire enlever ses menottes. Mme la juge dit à la petite assistance présente. Ce que je viens de décider, c’est une première dans cette province et dans ce pays depuis près de cent ans utiliser le fouet comme sentence et la nudité, mais dans la loi rien ne l’interdit tout comme à votre institut Mlle Letarte.  J’ai le droit de choisir les sanctions a appliqué, et Mlle dépêcher vous a enlevé tous vos vêtements et les poser dans le panier qui est à côté de vous sauf les chaussures poser les près du panier.

         Claude regarde la salle et la juge et sait très bien qu’elle n’a pas le choix, c'est comme à l’institut quand elle oblige un étudiant à se dévêtir, elle se penche enlève ses chaussures les mets de côté et ses bas dans le panier, elle porte une camisole sans soutien, c'était très visible ses tétons pointe dans la camisole.  Tous les regards sont sur elle, même qu’il y a quelques personnes supplémentaires qui entrent dans la salle pour regarder surement que la rumeur circule à l’intérieur de l’édifice.  Elle rentre un bras sous sa camisole et nerveusement Claude lève sa camisole avec son autre main et la passe par-dessus sa tête et très maladroitement son seul vêtement qui cache sa poitrine essayant de garder un bras sur sa poitrine pour dissimuler ses petits seins tout en regardant Laurie assise à l’arrière d’elle qui est toujours menotté bras dans le dos.

              Il lui reste que sont très court short qui cache son intimité. Allez Mlle dépêcher vous a finir de vous dévêtir si vous ne le faite pas, c'est l’agent au côté de vous qui le fera et je rajoute cinq coups supplémentaires, Claude baisse son short d’une seule main et l’enlève le lance dans le panier sans enlever son autre bras de sur sa poitrine, Claude est entièrement nue, elle ne portait même pas de sous vêtement sous son short elle s’est empressée de cacher sa chatte que plusieurs plus près ont entrevu.

 

            Mlle Letarte avancer à la table devant vous et présenter vos mains à l’agent pour qui vous passent les menottes ça vous gardera immobile pendant votre punition, Claude se met face au policier qui lui fait dos à l’assistance et allonge les bras l’assistance ne la voie pas très bien le policier les cachent. Le policier lui passe les menottes en profite pour jeter un œil sur sa chatte bien raser et en faisant un pas de côté il demande à Claude de faire face à la salle pour que tout le monde la voie ça n’arrive pas souvent qu’une si jolie fille soit nue dans cette salle dit le policier, il faut en faire profiter tous les spectateurs. Claude peu toujours cacher son intimité avec ses mains, c'est un peu mois humiliant. Ensuite il la fait retourner de dos pour que tout le monde admire ses fesses bien rondes et blanche la juge se lève en même temps et s’approche de Claude qui est face à elle. Maintenant, penchez-vous  sur la table Mlle et ne bouger plus lui demande le chef de police qui tient la strap dans une de ses mains, Claude se penche écrase ses seins sur la table les bras de chaque côté de sa tête et tient ses jambes bien serrées, elle tourne sa tête vers le mur et fait face à la sténographe pour ne pas regarder les gens dans la salle et ferme ses yeux.      

       Mme la juge se place face au policier a un demi mètre des fesses de Claude pour ne rien manquer de la fessée. Elle fait signe au bourreau de commencer, le policier un homme d’un mètre 80 et d’un peu plus de 100 kilos s’élance et frappe en plein centre des fesses Claude lève la tête et grimace, il continue rapidement en tenant toujours le même rythme les fesses rougisse très vite et Claude se retient pour ne pas lâcher de cris de douleur.  Ça, c'est fait rapidement en à peine 30 secondes les vingt coups sont donnés. Le bourreau aide Claude pour qu’elle se relève debout et Mme la juge lui dit de lui enlever ses menottes. Claude essuie les quelques larmes qui ont coulée sur ses joues pendant que Mme la juge donne la permission à Claude de remettre ses chaussures. Mlle Letarte maintenant vous allez suivre M. Muller il va vous expliquer la deuxième partie de votre sentence et je vous revois ici à 3 h 00 cet après-midi. M. Muller ouvre la porte derrière le bureau qui donne accès aux cellules et fait signe à Claude d’entré, c’est ici que je vais vous présenter à l’employée elle nous attend tout près d’ici.

                    Mlle Letarte je vous présente Kate celle qui va vous coacher pour la journée vous devez y obéir sinon elle a tous les droits de vous punir. Kate regarde de la tête au pied Claude qui est complètement nue devant elle. Ça fait blizzard de regarder une fille nue ici au beau milieu du corridor et surtout de devoir travailler avec ce n’est pas trop habituel. Tu t’habitueras Kate moi je retourne pour m’occuper de son amie et ne te gêne pas pour la punir si elle ne coopère pas comme je vous l’ais dit dans notre petite réunion de ce matin.  M Muller reparti Kate ne lâche pas Claude des yeux et commence à lui poser toute sorte de questions sur sa nudité si c’est dur si humiliant… Elle fait le tour de Claude pour regarder ses fesses encore bien colorée va même jusqu’à les frotter et lui donne deux toutes petites claques et se rend compte qu’elles sont encore bien chaude, ça a dû être très douloureux j’aimerais ça pouvoir te claquer les fesses je n’ai jamais essayé cela ça doit être amusant, c'est ça ton travaille je crois. Elle lui compte qu'il y a  8 ans de cela, la seule fois que son père là punie avec sa ceinture elle avait 11 ans et portait une jupe ça lui avait fait mal, mais jamais ses fesses ont rougi comme ça et elle là encore en mémoire cette fessée-là, et en plus cet après-midi tu devras en recevoir une autre fessée je n’aimerais pas ça être à ta place ma belle rajoute elle. Claude ne répond pas reste muette le bras gauche sur sa poitrine et sa main droite sur sa chatte la honte d’être nue devant Kate qui a l’air bien gentille, mais Kate n’arrête pas de la bombarder d’un tas de question embarrassante humiliante sur sa tenue.

 

            Enlève tes mains de là tien toi comme une personne normale lui dit-elle, prend ce balai et fini de balayer le couloir il ne reste que ça à finir ça t’occupera les mains pendant que j’admire ton beau corps. Après nous traversons dans la partie bureau du poste je vais te présenter aux employés ils ont tous hâte de te voir ils sont tous très gentils. Claude fini la petite partie du plancher, il n’y avait rien, c'était probablement pour pouvoir admirer plus le corps nu devant elle pendant qu’elles étaient seule.

 

                Kate rouvre la porte toute grande juste devant et ça communique avec l’intérieur du poste, il y a deux policières assissent à des postes et un autre homme debout qui regarde tous vers la porte qui vient d’ouvrir. Kate oblige Claude à franchir la porte et entré dans la salle. Kate présente Claude aux quelques personnes qui sont devant Claude et d’autre sorte des deux bureaux pour regarder une des deux jolies filles en punition qu’ils avaient entendu parler plus tôt ce matin. Un des deux hommes présent dit on nous avait dit qu’elles étaient belles, mais je ne croyais pas qu’on les verrait se promener nue dans nos bureaux l’autre est-elle aussi belle. 

 

 

             Claude est devenue la face aussi rouge que ses fesses et a remis ses mains pour ce caché. Je ne le sais pas répond Kate je ne l’ai jamais vue encore, mais regarder son jolie postérieur tout rouge au même moment elle fait faire un demi-tour à Claude pour qu’elle montre ses fesses a tout ce beau monde. Au même instant un livreur arrive du restaurant d’accoté avec deux repas. Un des policiers dit au livreur d’aller, voire la demoiselle nue et lui remettre c’est pour elle le livreur s’empresse d’aller voir Claude tout content d’apercevoir la belle fille toute nue et lui tend le sac. Claude n’a pas le choix et prend le sac avec une main ça dégage sa poitrine et laisse, voire ses petits seins mignons a tous ces voyeurs. 

           Kate regarde Charlie le jeune livreur qui vient tout juste d’avoir dix-huit ans figé comme une statue la bouche et les yeux grande ouvert il regarde Claude ou plus sur son magnifique corps nu et ne bouge pas, il ne répond même pas à Kate qui lui demande de partir continué ses livraisons. Quelques instantes plus tard il répond à Kate en bégayant, c’est qui cette belle fille là ? Est-ce ton amie Kate ? Et Charlie part en regardant en arrière ne lâchant pas Claude des yeux. 

        Il est l’heure d’allé manger, Claude suit moi on se déplace à la salle a mangé on vous a fait venir à chacune un repas comme c’est la règle pour les détenus ici au deuxième. Rendue a cette salle bien sûre que d’autres employés sont sur place et la plupart de ceux du poste de police ont suivi aussi pour manger sur place ce qui est très rare la quasi-majorité sorte manger au restaurant le midi. Laurie arrive les fesses brulante rouge de sa punition qu’elle vient juste de recevoir et elle est accompagné de M. Muller au même moment que Claude et Kate rentre dans la salle à manger. 

         M. Muller fait placer Laurie au fond de la salle dos a tous ceux qui sont là et ordonne à Claude de la rejoindre.  Les gens regardent les deux filles et commente sur les fesses de Laurie très colorées et celles de Claude qui ont perdues beaucoup de couleur elles sont redevenues pratiquement blanche il reste quelques petites plaques rouges. Les bras croisés dans le dos leur ordonnent M. Muller et retourner vous on veut vous, voire, les filles obéissent et se retourne. C’est humiliant exposé nu maintenant Claude et Laurie savent ce qu’elles font vivre aux étudiants qu’elles obligent à circuler nu dans l’institut et les fessées qu’elles leur infligent.