vendredi 8 octobre 2021

Deux nouvelles arrivées a St-Thomas, première fessée a vie

À 20 ans elles goûtent à leur première fessée

 M. Lepetit directeur de la sécurité et discipline à ST-Thomas

La police arrive avec deux filles âgée de 20 ans. C'est un juge qui nous les envoient pour purger deux ans de travaux ici. Ça leur évite la prison parce qu’elles sont jeunes, selon les dossiers que j’ai déjà reçus, et que j’ai étudié avant de les donner à mon assistante Claude. Diana a 20 ans et Gabrielle 21 ans et la juge essaie de donner une seconde chance aux deux jeunes. C'est très fréquent ici d’avoir des filles que la justice envoie pour des sentences à purger ici en travaux ou étude selon leur âge.

Ce sont mes assistantes Claude et Laurie qui les reçoivent. Je traverse dans leur bureau et entend Claude demander aux policiers des libérées de leur menotte et revois les deux policiers. Au même moment que les policiers quittent, une agente de sécurité arrête ici avec les deux nouvelles punies de la semaine, Béatrice et Marie, avant de les conduire à cafétéria pour leur punition de ce midi comme prévu. Les policiers en profitent pour admirer les deux filles nues qui circulent devant eux. Les nouvelles arrivées, Diana et Gabrielle, elles aussi, regarde de la tête au pied les deux étudiantes nues qui arrive. Elles prennent place à côté d'elles et sont surprises de les voir arriver du hall d’entrée nu. ce sont deux filles qui en sont à leur 2ᵉ journée de punition. Moi, je ne dis rien, je suis ici juste pour les observer. Je laisse mes assistantes gérer tout cela à leur manière, mais Claude me voie très bien dans la porte de leur bureau et s'aperçoit, elle aussi, que je ne m'en mêle pas, je la laisse faire. Gabrielle se met à dire, c’est donc vrai ce qui se dit sur les réseaux sociaux à propos d'ici. Ce n'est pas juste que des rumeurs. On torture réellement les étudiants ici et on les humilie nus devant public. J'en ai la preuve devant moi ici avec ces deux filles les fesses marquées au fouet.


Claude prend le temps de se présenter poliment et présente Laurie. Moi, ensuite son supérieur et directeur de la discipline et ensuite les deux étudiantes nues au côté d'elle. Ensuite Claude prend le temps de leurs expliquées le pourquoi de leur tenue et qu'elles n’ont pas été battues comme elle le dit, mais punies. Il y a une grosse différence entre battre une fille et la punir par une fessée pour ton information Gabrielle. Les deux jeunes Mlles à ta gauche sont dans cette tenue pour avoir eu un très mauvais comportement. Alors avant de te faire une fausse idée de ce que tu vois, renseigne-toi sur le pourquoi de leur tenue, ça va t'évite de partir de mauvaises rumeurs et de gros problèmes pour toi. Ensuite, pour changer de sujet, elle fait savoir toutes les conditions de leur séjour de deux ans ici et leur fait lire les règlements à chacune des filles qui viennent d’arriver. Elle leur demande de signer chacune une copie des règlements en vigueur ici. Ensuite Claude leur fait lire l’ordre de la juge. La juge ordonne aux responsables d'ici que dès leurs arrivées à l'institut, le responsable doit leurs administrés à chacune d'elles une punition corporelle. La juge n'a pas écrit n de vous torturer comme se le dit si bien Gabrielle, mais bien de vous punir. Ici, punir quelqu'un, c'est de lui donner une fessée comme un petit enfant, et de l'humilier comme les deux jeunes filles qui sont nues. Et lisez bien, la fin en arrivent ici ce matin, et la juge exige qu'on lui envoie un suivi de la punition. C'est assez grave ça les filles. Pour avoir manqué de respect à la cour fédérale et elle-même la juge ce matin avant de sortir de la salle pour venir ici. C’est très bien inscrit et signer de la main de la juge. Qu’on doive vous administrer à chacune 20 coups de lanière de cuir en public et de lui envoyer des preuves que son ordre, c'est bien exécuté dans la journée. Lisez et constatée que ce ne sont pas des rumeurs. Ce n'est pas moi qui l'invente, c'est signé de la juge. Ce n’est pas fréquent qu’un juge exige qu’on punisse un détenu à son arrivée ici, mais il y a toujours des exceptions.

  Claude me regarde sans me parler pour voir ma réaction. Elle demande à Laurie, sa collègue et l’agente de sécurité Madeline de s’occuper des deux punies Béatrice et Marie pour qu’elles prennent place à l’heure prévue dans leur salle attitrée pour leur punition prévue de ce midi. Les gens vont s’impatienter si elles ne sont pas en place, beaucoup d'entre eux vont se plaindre. Tout le monde savent bien que ce midi, il y a des punitions d'annoncé. Diana supplie et argumente avec Claude pour oublier ce qu’elle vienne de lire et que la juge est bien loin d’ici de bien laisser tomber cette note. Mais Claude les arrêtent et leur dit qu’elle n’a pas le choix, C'est un ordre de la juge et ça doit être accomplie ce midi et en public. Vous l'avez lue tous les deux. La juge s’attend à avoir les résultats de votre punition cette après-midi. Et si je vous fais un passe-droit, c’est moi qui serais puni avec vous deux. Cette juge, je commence à la connaître, elle tient ses dossiers à jour et mes patrons vont recevoir un mot d’elle dans les jours à venir pour me punir aussi pour ne pas avoir obéi à ses ordres.  
          
  Maintenant Diana et Gabriel suivez-moi 
 
 Moi, étant son supérieur, je trouve qu’elle a bien appris en un an ici et je la laisse gérer tout cela. Je trouve qu’elle se débrouille très bien, elle explique aux deux filles qu’elle va leur donner une chance. Ici, c'est nu qu’on aime donner la fessée à des grandes filles comme vous, leur explique-t-elle. Mais je vais vous faire une grande faveur et ne le dites pas, ça restera entre nous trois, Claude me regarde en souriant. Si vous êtes gentilles et coopéré, je vais vous administre vos punitions dans la salle des profs, leur dit-elle. Et sûrement pour les mettre un peu plus en confiance. Elle leur dit que dans la salle des profs le midi, il y a peu de gens, une dizaine de profs environs. Majoritairement tous féminins qui mangent ensemble. Ce sera moins humiliant entre fille que dans une des deux salles à manger public avec des centaines de personnes et c'est mixtes, il y a des gars. Les deux étudiantes se dirigent dans ces salles. C'est devant 300 personnes et plus que Béatrice et Marie vont subir leur punition, attacher nu au centre de la salle devant tous ces curieux et curieuses qui adore ça, voire une fille se faire fouetter les fesses.    
Moi aussi, je les suis, j’aime voir comment mon personnel se comporte et je la laisse faire Claude et Laurie, elles prennent vite de l’expérience pour leur âge et si quelque chose ne va pas, je leur dirai.

Avant d’entrer dans la salle, des profs Claude les amènent dans l'une des deux salles à manger et fait rentrer Diana et Gabrielle. Il y a foule de monde, plusieurs attendant dans la longue fille pour être servi. D’autre sont déjà installés aux tables avec leur repas et regardent vers le centre de la salle la fille que Laurie fini d'installer pour sa punition. Ils y en a plusieurs qui sont en route tenant leur cabaret pour aller s’asseoir pour manger. Mais tous ces gens ont le regard au même endroit, le centre auquel est exposée Maria nue. Malgré le bruit qu’occasionnent les déplacements et les commentaires des gens il y a un bruit qui enterre presque tout . 
On entend résonner dans la salle des coups de strap que Laurie a commencée a administré sur les fesses de Maire. Ses cris qu'elle ne peut s’empêcher de faire par la douleur qu'elle doit ressentir sur ses fesses qui étaient déjà bien rouge. Mais surtout ce qui retient l’attention de Diana et Gabrielle. C'est tous ces gens, leur regard qui se dirige vers le centre de la salle et regarde Marie attacher par les poignets et à chaque cheville, les jambes bien écartées, nu et recevant sa fessée avec son intimité bien à la vue. Maintenant les filles, dit Claude, regarder une des deux filles que vous avez aperçues nu dans mon bureau. C'est Marie, l’humiliation qu’elle est en train de subir. Attacher nue devant des centaines de personnes ces camarades de classe qu’elle côtoie tous les jours, ça pourrait être. Vous pourriez être, après elle si vous n'en faite qu'à votre tête. À présent, suivez-moi, on traverse dans l’autre salle, je vais vous montrer Béatrice. Elle aussi, doit être attaché au centre de la salle des 3ᵉ année et des finissants recevant sa punition. En prenant un raccourci, on traverse par le vestiaire des employées des cuisines, ce qui est interdit pour les étudiants et les employés qui ne font pas partie de la cuisine, mais Claude en profite. On ressort directement dans l'autre salle. C’est encore plus bruyant que dans cette salle ici. Il y a beaucoup plus de gars et plus vieux, aussi la majorité des étudiants ici gars ou filles ont 18 ans et plus.

Diana, Gabrielle, je vous ai montré jusqu’où on peut aller ici dans cet institut quand on parle de punition corporelle. Ce que vous voyez ici, c'est la pire sentence qu’un étudiant ou employer peut subir et cela est très fréquent d’avoir des punis ici dans ces salles. Même, regardez bien, juste au côté de Béatrice qui est en train de se faire chauffer les fesses, il y a une deuxième fille attaché nu et qui attend sa punition elle aussi. Vous allez vous y habituer, c’est presque à tous les jours ici qu’il y a quelqu’un nu en attente d’être puni et la nudité fait partie de sa punition. Les punis pour la plupart passent le reste de la journée nu. Si vous n’obéissez pas ou ne voulez pas coopérer pour votre punition, c'est ici ou de l'autre côté que je vous fais attacher. Je vous ferai déshabiller sur l’estrade devant tout ce beau monde avant. Après votre exposition nue sur l'estrade, je suis sûre que vous serez très populaires. Des nouvelles arrivées qui se mettent a poil. Vous allez être le sujet de conversation de tous. Après je vais vous faire déplacer, marcher entre ses gens, et attacher au centre de la salle. Pensez-y comment ça doit être humiliant et en plus puni une fessée entièrement nue et en public a votre âge, comment ça doit être humiliant, être à la place de Marie et Béatrice en ce moment. Ensuite, je vais vous allez circuler nu pour le reste de l’après-midi pour votre visite de l’institut et de votre petit appartement. Les deux filles restent figés de, voire une fille être punie de cette façon, les cris qu’elle laisse entendre et le monde tout autour qui ont l’air à aimer ça.


M Lepetit- 
Claude me surprend, c'est une bonne idée que de les apeurer pour qu’elles obéissent

Claude fait ressortir les filles, on retourne du côté administration qui est séparé des étudiants, et en route vers la salle des profs, Claude demande à Diana si elle a déjà reçu une punition corporelle ? (une fessée plus précisément, lui dit-elle) dans sa vie. Diana, un peu gêner, lui répond que non, jamais ses parents l’ont punie de cette manière-là par la fessée. Seulement des privations de sortie ou quelque engueulade, mais jamais de fessée. Gabrielle, elle lui répond que son père lui a déjà donné une fessée une seule fois il y a environ 5 ans, elle avait 15 ans à l’époque. C’était dans sa chambre, coucher sur son lit et sur la jupe avec une ceinture, ça avait fait très mal, nous dit-elle, les cinq coups qu’elle avait reçus.

Rendus à l’intérieur de la salle des profs, Claude salut les quelques profs qui mangent et sont tous rassemblés ensembles. près de l’entrée de la salle et à l’autre bout l’espace est vide. Moi, je m’appuie sur les casiers des profs. J'observe Claude qui fait placer les deux filles au centre des grandes tables qui font un rond autour de la salle et face aux profs qui mangent ensemble. Claude commence à expliquer aux gens présents pourquoi ces deux nouvelles filles sont ici et ce qui va se passer. Elle demande à deux des profs qui sont présentes , Mlle James prof en informatique et Mlle Garcia prof de langue étrangère de venir la seconder. J'entends ensuite Claude dire. Diana, je commence par toi. C'est ta première vraie fessée que tu vas recevoir ce midi. Claude lui d'enlevé tous tes vêtements soulier et bas compris comme je te le déjà dit.
Claude
C'est nu que tu recevras ta punition, une fessée ici se donne sur les fesses à l’air, pas autrement. Et la juge à ordonner que tu sois punie nue aussi, et tu n’as pas le choix. Alors obéi, sinon on retourne à la salle à manger pour ta punition et là aussi, ce sera nu aussi, mais avec beaucoup plus de spectateur. Moi, pendant que tu te déshabilles, je vais demander à Ginette en face de nous de venir prendre des photos de toi durant ta punition qui resteront exclusivement dans les archives et pour satisfaire Mme la juge.

 M. lepetit----

Mais je m’aperçois que Diana ne bouge pas et regarde son amie Gabrielle qui a l’air à vouloir obéir elle et à déboutonner son jeans à côté d’elle. Diana dit à Claude que la juge à spécifier qu’elle devait recevoir une punition corporelle comme une fessée. Pour ça, c'est vrai, mais qu’elle trouve déjà très humiliant a 20 ans, recevoir une fessée comme un enfant. Mais par conte la juge n’à pas exiger et spécifier que ce sois nu pour recevoir ma punition, donc moi, je reste avec mes vêtements. Je ne suis pas capable de me mettre nu devant toutes les personnes qui sont ici, c'est mon intimité et j’ai le droit de la conserver, et surtout devant les deux hommes qui sont ici.           

Je regarde Claude qui la gifle sur la joue droite et lui claque les fesses ensuite avec sa main. Elle se retourne vers Gabrielle et lui demande si elle, elle obéit. Claude lui demande de lui donne ses vêtements où elle veut suivre l’idée de son amie qui va le regretter. Gabrielle qui avait déjà détaché son jeans coopère et commence à enlever ses chaussures et ses bas ensuite. C'est autour du jeans à tomber sur ses chevilles et à être posé sur la table à l’arrière d’elle. Elle se sent probablement gêner de montrer son petit string rose, car elle place ses mains devant son sexe. Claude saisir le bas de son t-shirt et le remonte au-dessus de sa poitrine même si ses bras sont croisés et atteints ses épaules. Ensuite elle lui passe son t-shirt par-dessus la tête et lui ordonne de lever ses bras au-dessus de sa tête sans résister. Gabrielle s’exécute et lève ses bras et son t-shirt quitte sa tête et rejoint son jeans sur la table. On aperçoit, son soutien rose qui protège encore ses seins. Gabrielle redescend aussitôt ses bras et les croisent sur sa poitrine. 
 
Tu es une bonne fille lui dit Claude, ensuite Claude passe à l’arrière de Gabrielle ce qui nous laisse apercevoir son superbe corps à moitié nu. Claude ensuite défait l’attache de son soutien qui est dans son dos et fait descendre les bretelles de ses épaules jusqu’à ses coudes. Ses bras croisés sur ses seins, le soutien-gorge ne bouge pas. Claude se met à genoux et saisi alors le string de Gabrielle et le descend à ses chevilles même si Gabrielle sert les cuisses pour l’empêcher de descendre. Le petit vêtement se retrouve sur le sol et on a pu entrevoir brièvement son duvet châtain et sa fente parce que Gabrielle a redescendu ses mains presque instantanément sur son pubis pour cacher son intimité. Mais son soutien suit aussi jusqu’aux poignets. Elle se retourne très rapidement face à Claude qui elle se relève donc dos à nous tous, nous laissant, voire ses jolies fesses avec là trace de bronzage de son maillot, la moitié des fesses bronzées et l’autre moitié blanche. Gabrielle est nue dos à moi, jambes croisées. Elle est magnifique, belles fesses rondes, cheveux châtains au milieu du dos, Claude lui enlève son soutien et lui demande de placer ses bras sur sa tête, Gabriel Obéi et monte ses bras en se mettant à pleurnicher.

  Claude là laisse dans cette position dos à moi et se retourne vers Diana. Elle lui donne une dernière chance de se dévêtir seul ici en la menaçant de demander aux hommes qui sont ici (moi et Jean le prof d’éducation physique) de la dévêtir de force. Et sa punition se tiendra à la cafétéria en circulant nu dans les corridors si elle n’obéit pas. Diana se retourne et enlève son gilet noir. Elle le place à côté des vêtements de Gabrielle, elle aussi, porte un soutien qui est blanc. Diana retire ensuite ses chaussures, ses bas et son jeans descendent à ses chevilles. Elle reste dos à nous et retire son jeans de ses chevilles. tout en retirant son jeans Diana regarde Gabrielle qui est fesses à l’air au côté d’elle. Je regarde Diana en sous-vêtements et elle est aussi est superbe que Gabrielle. Un soutien blanc que son bras gauche recouvre maintenant et un string noir qui nous laisse voir ses jolies fesses. Une belle grande chevelure dorée et épaisse qui atteint le bas de son dos presque à sa raie de fesses, deux superbes filles de la même taille.

          

Claude demande à une des deux profs Maria de placer une chaise juste à côté de Gabrielle pendant qu’elle se dirige à l’armoire au fond. Claude revient avec une sangle de cuir, une strap un paddle de bois et des ciseaux qu’elle dépose ensuite sur la table à côté des vêtements des filles.

En se retournant, elle agrippe Diana par un bras et l’entraîne avec elle vers la chaise et s’assoit sur la chaise. elle fait coucher Diana sur ses genoux sans que Diana ait le temps de réagir. Diana est couchée sur les genoux de Claude, la tête qui touche quasiment le sol, ses long cheveux traine sur le sol. Diana essaie de se débattre et de se relever, mais Claude la l'emprisonne très solidement. Claude demande à Claudette, une prof, de lui maintenir les bras fermement pour l’immobiliser et de ne pas la lâcher avant qu’elle lui dise. Claudette se met à genoux et lui immobilise les bras entre ses jambes ce qui la limite dans ses débattements. Claude demande à Maria, l’autre prof qu'elle avait demandé de l’assister, de lui donner les ciseaux,

Les ciseaux en main Claude s’adresse à Diana. Ici à l’institut quand on donne un ordre, il faut obéir sinon on rajoute une punition et que sa pudeur, elle s’en foutait. Diana c’est tout ce que mérite recevoir une fessée supplémentaire comme une gamine qui en fait qu’à sa tête. En même temps que Claude lui parle, elle coupe son petit vêtement qui protégeait encore son intimité et le retire d'entre ses jambes. Pour l’instant ma belle, tu n’as plus besoin de ce petit vêtement. Ensuite Claude coupe les bretelles de son soutien laisse tomber les ciseaux au sol et détache l’attache de son soutien. Le soutien-gorge tombe au sol et Claude lui empoigne un sein avec sa main droite en lui disant. J'aime tes petits seins, ils entrent à merveille dans ma main, juste la bonne grosseur. Tu vois maintenant que tu es à poil tous les gens ici te regarde. Tu es le point de mire de tout ce beau monde, une douzaine de personnes. C'est moins humiliant qu’une salle avec plusieurs centaines de personnes, mais c'est gênant pareil. Et ça ne t’a pas tué, tu respires encore à ce que je peux, voire.

En retirant sa main de sur le sein de Diana Claude remonte sa main sur ses fesses en les flattant. Et littéralement descend sa main entre ses cuisses pour lui passer ses doigts sur sa fente. Diana proteste traite Claude de cochonne de salope d’enlever ses doigts de son sexe. Mais Claude avec sa main gauche lui claque les fesses et lui dit de se fermer, qu’elle n’est pas en position de donner des ordres et de rester polie. Diana, tu dois adorer ça te faire caresser la chatte puisque ça commence à être humide ici. Claude demande ensuite à Maria de prendre la strap qui est sur la table et de se préparer à donner les 20 coups de strap à Gabrielle dans la même position qu'elle se tient présentement. Debout dos à nous et avertie Gabrielle que si elle enlève ses mains de sur sa tête pour protéger ses fesses durant sa fessée. On recommence le compte à zéro, tu m’as bien comprise. Et tout le temps que Maria va te donner ta fessée jusqu’au dernier coup, moi, je vais claquer les jolies fesses de ton amie rebelle, coucher sur mes genoux, fesses à l’air pour sa première fessée. Elle va regretter d’avoir refusé d’obéir. Gabrielle, je te le répète, si tu bouges les mains de leur position, on recommence ta fessée à zéro. Tu allongeras aussi la punition de ta copine. Elle aussi sa fessée va continuer tan que la tienne n’es pas terminé, donc pense aux fesses de ta copine aussi avant de baisser les bras pour protéger tes fesses. Ginette, elle, s’approche des deux punies pour prendre quelques photos des deux filles recevant leur fessée comme exiger par la juge

   
Je vois Maria qui ajuste sa distance avec les fesses de Gabrielle en lui donnant deux petits coups avec la strap de cuir bien rigide. Maria lève ensuite son bras bien haut pour lui donner le premier coup en travers des fesses. Claude, elle commence à claquer les fesses de Diana avec force. Diana, elle, essaie de se déprendre de l’emprise que Claudette à sur ses bras et ses épaules, mais Claudette ne lâche pas prise et lui maintient les bras bien immobile entre ses jambes. Les fesses de Diana rougissent très rapidement et Diana la supplie d’arrêter, ça lui fait très mal, lui dit-elle. Mais Claude ne modère pas et frappe toujours au même rythme et force. D’après moi Diana va recevoir plus d’une centaine de claques sur les fesses à la vitesse que Claude claque les fesses. Gabrielle aussi cri à chaque coup que ses fesses reçoivent et a l’occasion ses mains quitte sa tête. Maria lui rappelle que si elle touche à ses fesses, sa copine et elles vont souffrir encore plus. Maria, elle aussi, frappe les fesses de Gabrielle avec force à chaque coup qu’elle donne. On distingue la marque que la strap laisse sur sa peau blanche et les cris que Gabrielle laisse entendre aussi le démontre que ça lui fait mal. 
 
Au même moment que Maria donne ses derniers coups sur les fesses de Gabrielle et que Claude arrête de claquer les fesses de Diana, Marie arrive de sa punition du midi, les fesses encore très rouge. Laurie la suit, quelques secondes plus tard, c'est Béatrice qui rentre dans la salle, elle aussi, les fesses rouges avec l’agente de sécurité qui l’accompagne. L’agente me dit pauvre, Béatrice et Marie. Je ne changerai pas ma place avec elles. Se montrer nu devant tous ces gens des journées entières et se faire punir en public plusieurs fois par jour. Ça doit finir par faire très mal et c’est surement très humiliant dans les couloirs. Il y en a qui leur disent des commentaires peu flatteurs et même plusieurs leur claque les fesses en passant près d’elles. Claude demande à Claudette de lâcher les bras de Diana et fait relever Diana debout. Plusieurs autres profs arrivent dans la salle pour ramasser leur livre et regardent tous les deux nouvelles et splendides filles nues au centre de la salle, les fesses rouges et me demande ce qui leur arrivent. On doit être rendu une trentaine dans la salle présentement et plus peut-être. 

  Revenu sur pied au centre de la salle, Diana est en pleure, les joues pleines de larmes. La première réaction que Diana a en étant sur pied, c'est de se mettre dos à nous et de se frotter les fesses a deux mains. On peut tous voire la belle couleur que ses fesses, on prise avec la fessée reçue, mais on n’a pas pu distinguer sa fente et ses petits seins, encore, elle ne sait jamais retourner directement face à nous encore. Gabrielle aussi, ses fesses ont une belle couleur et elle est toujours restée dos à nous. Claude exige que les deux filles croise leur bras dans leur dos et se retourne vers nous tous. Claude leur dit les gens ici ont assez vu vos fesses il est temps de leur montrer votre intimité. Mais ça semble difficile aux filles de montrer leur intimité, aucune des filles ne bouge et reste dos à nous.
 
 Claude demande à Laurie de prendre la palette de bois et de donner cinq coups a chacune. Aussitôt que Gabrielle entend dire cinq coups, elle se retourne face à nous et croise ses bras dans son dos. J'ai l’impression que ses fesses lui font encore mal et elle ne veut sûrement plus recevoir d’autre claque. C'est là qu’on aperçoit son intimité, ses beaux seins, sa fente et la repousse de son duvet, son petit triangle qu'elle devait avoir ne parait presque plus, ça fait quelque temps qu’elle ne s’est pas rasée. En prison, ce n'est pas trop faisable. Diana, elle n’a pas bougé, mais en regardant Laurie qui s’apprête à lui claquer les fesses avec la palette, elle aussi, se retourne et mets ses bras dans son dos, tout le monde ici les regardent, ses deux belles filles nues et exposer au centre, enfin, on peut tous voire Diana de face, elle aussi son poil à recommencer à pousser. Elle devait se garder une petite ligne en haut de sa fente ont là distingue encore au travers de la repousse.

Pendant que les profs retournent à leur salle de cours et que la salle ici se vide. Claude demande à Laurie de changer sa palette pour la strap, et de se mettre au côté de Diana. Donne-lui sa deuxième punition, lui demande-t-elle. Diana se met à genoux devant Claude. Elle lui demande de ne pas la punir encore, elle a compris sa leçon et elle sera obéissante à l’avenir ses fesses lui font trop mal encore. Mais Claude la relève en la prenant par une oreille et lui fait reprendre sa position. Cinq coups au lieu de 20 juste pour les photos que la juge exige et on arrête ensuite. 
 
Étant donné que tu es une gentille fille maintenant pour une première expérience de la fessée, je n’ai pas ménagé tes fesses et tu n'as pas aimé ça, tes petites fesses te font encore très mal. Je peux, voire qu’elles sont très rouges. Et en le touchant, je m’aperçois qu’elles sont encore très chaudes, dit Claude pour rire un peu de Diana. Avec les cinq prochains coups de palette, tu auras encore plus mal à tes fesses et pour quelques jours. Regarde les fesses à ton amie Gabrielle. les tiennes seront aussi rouges. Laurie recommande à Diana de ne pas bouger, de garder ses bras croisés sinon c’est deux coups supplémentaires qui se rajoute si ses mains descendent sur ses fesses. Elle lui claque les fesses, premier coup Diana lâche un cri, un deuxième sabbat Diane fait une grimace. Claude, elle photographie tout, Laurie lui applique le troisième Diane cri et résiste ne bouge pas, mais demande d’arrêter, elle a mal, Gabrielle est Juste à côté et regarde son amie se faire claquer les fesses et ferme les yeux à chaque fois que la palette claque les fesses de Diana. Laurie, elle continue le quatrième et le dernier suit. 
 
À la seconde suivante, Diana hurle et se frotte les fesses à deux mains et supplie Laurie d’arrêter. C'est fini, lui dit Claude maintenant, tu sais, c'est quoi recevoir une fessée à 20 ans, c'est humiliant. Gabrielle, elle, s’est retourné et ramasse son soutien pour le remettre. Claude lui enlève et ramasse tous les vêtements et les envoie dans une boite le long du mur. Gabrielle ici quand tu es en punition, tu attends les ordres pour bouger, lui dit-elle. Gabrielle lui dit qu’elle a hâte de se rhabiller, Claude sort deux sarraus de l’armoire et les donne aux filles pour qu'elles les mettent et seulement leur chaussure. Leurs vêtements vont au lavage et leur effet personnel arriverons en fin d’après-midi par transport. Diane lui demande si elles feront la visite que Claude leur avait dit avec uniquement un sarrau sur le dos. Claude lui répond que oui, ses vêtements ont l’air trop sale. Maintenant, on va tous manger et après, c'est la visite, Diane lui dit qu’elle ne sait pas si elle pourra s’asseoir pour manger, elle a trop mal aux fesses.

Moi, je laisse mes adjointes avec leurs nouvelles arrivées et je rejoins mon collègue Gilles, le directeur général de l’institut. On a un repas conférence dans un restaurant avec le ministère de la Justice et les autres directeurs des instituts comme le nôtre pour les nouvelles directives.

          


  


             

                 

                   

           

mercredi 29 septembre 2021

Elles aiment voir leurs camarades nus, maintenant, elles le paient cher


 

Claude la chef de la sécurité à l’institut St-Thomas

Je viens de convoquer une étudiante de deuxième à mon bureau, ma camarade Laurie est partie la chercher et je les attends d’une minute à l’autre. J'étudie son dossier qui est sans tache depuis son arrivée à l’institut l’an dernier. La mère de cette étudiante a découvert une carte mémoire dans ses affaires ce matin. En visionnant le contenu de la carte cela ne lui a pas plus, elle m’a fait parvenir quelques séquences vidéo du contenu de la carte par internet et moi aussi cela ne me plaît pas. Je dois éclaircir la provenance de ces vidéos d’ados filme dans les vestiaires du gym avec Béatrice en attendant que sa mère me fasse parvenir la carte mémoire et que je puisse analyser le reste de son contenu. Parce qu'à moi aussi ça ne me plaît pas ce que je viens de, voire.

Enfin arriver

Béatrice arrive avec Laurie. Bonjour, lui dis-je. Je m'appelle Claude. Et mon assistante s'appelle Laurie. Tu dois déjà la connaitre en l’accompagnant jusqu’à mon bureau. Laurie n’a sûrement plus besoin de présentation. Et toi, je crois que c'est Béatrice (une très belle jeune fille de 17 ans, pas très grande, 1,70 m et 45 kg environs avec une longue chevelure châtaine et un très beau visage). On ne se connaît pas, c'est la première fois que je te parle et qu’on te convoque à la direction, je crois. Je vais droit au but, finis les présentations. J’ai reçu des images et deux vidéos ce matin très troublant à regarder et s’ils sont mises en circulation sur internet ça va entacher la réputation de notre institut. C’est pour ça que tu es ici. J'ai déjà interrogé quelques-uns de tes camarades ce matin. 

Et tout comme eux, je t’ai fait venir parce que toi aussi, tu as eu accès au vestiaire la semaine dernière comme bien d’autre étudiants. Je veux savoir si tu as eu connaissance ou tu as vu ou entendu quelqu’un qui aurait pris des images ou vidéo du côté garçon ou fille dans les vestiaires. Je veux que tu sois honnête avec nous. C'est grave ses gestes là et il faut trouver le ou les coupables. Je me rends compte que plus, je lui parle et la questionne, Béatrice devient de plus en plus nerveuse et fixe un peu partout. Elle joue beaucoup dans sa longue chevelure et commence à être mal à l’aise. Mais pour l’instant, je n’ose pas lui dire comment j’ai obtenu les vidéos. Je retourne mon portable pour lui montrées les images prises dans le vestiaire des gars, ou on aperçoit plusieurs gars qui se déshabille et évidement il y en a quelque' un que l'on aperçoit nu.

Béatrice-
 

    En regardant cette vidéo, je vois bien que ce sont mes images et je me demande bien comment elle les a obtenues. Je lui demande, Mme Claude, je n’ai aucune idée de ce que vous me montrez là et je ne sais pas pourquoi vous me montrer ces images de mes camarades, au même moment deux employés rentre. 

C'est M.Lepetit le directeur de la discipline et M.Ponge le chef de l'entretien. Je vois bien qu’il a des caméras dans les mains et je les reconnais sans le dire à haute voix. Ce sont les caméras que Sébastien, Marie et moi avion installé, jeudi passé, en forçant une grille de ventilation dans un mur et passant dans le gros conduit d’aération à partir du couloir principal au sous-sol. Et ce petit passage donne accès à l’arrière des vestiaires du gymnase. Dans ce conduit de ventilation, il y a des petites grilles de ventilation pour les vestiaires des gars et des filles. En fixent les caméras dans les grilles, on avait une très belle vision des salles ou se déshabillait nos camarades. On pouvait contrôler les caméras par nos mobiles. Il s'agissait d'y retourner lendemain pour recharger les batteries et changer les cartes mémoires. On s’amusait à regarder le comportement des gars ou les filles, ceux ou celle qui aime se promener nu ou ceux qui sont gênés de se montrer nu. Samedi, j’ai téléchargé les enregistrements obtenus des caméras sur une autre carte mémoire avec mon amie Marie pour redonner de l’espace aux cartes mémoire des caméras. Mais pourquoi ces images-là sont-elles ici ? Qui a pu les faire parvenir ici ? Il y a juste Marie et moi qui détienne pour l'instant ces Photos et vidéos-là.


M Ponge le chef de l’entretien
Claude voici deux caméras qui étaient cachées dans les grilles qui sert de ventilation dans les deux vestiaires gars et fille. Elles étaient installées dans un entre mur assez large pour qu'on circule bien, et qui sert à faire passer toute la tuyauterie du bâtiment. L'accès est restreint, mais ça circule en marchant sur les gros tuyaux pour les eaux usés qui sont au sol.

 Et on a aussi remarqué qu’il y a sûrement deux personnes ou plus qui ont circulé la très récemment pour installer ces caméras. Parce qu’il y a deux sortes d’empreintes sur la saleté accumulée sur les tuyaux. Celle d’un soulier assez large, plus masculin et l’autre d’un soulier plus étroit comme celui d’un pied féminin. Les caméras étaient très bien installer. Il n’y avait aucune possibilité de les apercevoir de l’intérieur des vestiaires. Les caméras ont certainement donné de belles images des étudiants se promenant nu à leur insu. Car ce sont de très bonne petites caméras à haute définition. Moi et Martine, mon employée, on a bouché l’accès à cet endroit. Maintenant, personne n’y retournera. À présent, dois retrouver le directeur de l’institut M Lepetit et moi pour une réunion d’urgence à propos de ce cas-là. Le directeur et d'autre nous m’attendent dans le bureau de directeur.

 Claude-

Je vois que c’était bien organisé et je vous remercie M. Moi de mon côté, je m’occupe de trouver le ou les coupables et je vous rappelle. Un jeune homme se présente à ma porte ou même moment que M Ponge quitte. Il se présente, c'est le frère de Béatrice, David, 23 ans et me donne ce que la mère de Béatrice m’avait promise au téléphone, les fameuses cartes mémoire. Béatrice en voyant entrer son frère blêmie. Voyons Béatrice est tu malade, je peux faire venir l'infirmière si tu te sens pas bien. C'est correct Mme ça va passer et Béatrice regarde ses pied.

 Je retourne mon portable vers Béatrice et lui montre les images que j’étais en train de regarder sur mon portable. Le vestiaire des gars et on distingue deux gars à poil se changeant après leur cours. Je redemande encore une fois à Béatrice si elle connaît la provenance de ces images et de ces cartes mémoire que son frère vient de me donner. Qui sont sûrement elles aussi pleines d’images semblables.

 Béatrice commence par me dire qu’elle n’a rien à voir dans ces vidéos-là, et cette histoire de caméra cachée. David, son frère toujours présent avec nous me dit que lui et sa mère, ont regardé quelques séquences d’une carte mémoire. Dans une des vidéos, ils ont entendu et identifié la voie de Béatrice et une autre fille qui semblait être avec elle. David soupçonne que se serait Marie. Les filles qu'on entend paraissaient faire la mise au point des caméras. J’installe l'une des cartes dans mon lecteur et une des vidéos commence à jouer sur mon portable. Des images d’étudiants apparaissent. On distingue des gars en train de se déshabiller défilent sur l’écran devant nous. J’arrête la vidéo et demande à Béatrice avec qui elle a installé les caméras. Elle me nie encore tout sur l’installation et les cartes mémoires. Je commence à perdre patience et son frère aussi. Laurie qui était repartie pour fouiller le casier de Béatrice pour trouver le mobile de Béatrice revient. Elle me dit que son mobile n’était pas dans le casier. Son frère nous dit à Laurie et moi qu’il a entendu sa sœur dire dans une conversation avec une amie qu’elle traînait pratiquement toujours son mobile sur elle dans ses cours.

Je demande à Béatrice si elle connaît les règlements de l’école pour les mobiles et de me donner sa veste. Béatrice, je veux fouiller tes poches. Elle refuse en fouillant dans un de mes tiroirs. je sors une sangle de cuir de 3 cm de large et la pose sur le bureau devant elle. Pour l’instant ma belle, tu es en punition et tu dois m’obéir et me donner ta veste. Je te confisque aussi ton uniforme de l’institut au complet, le chemisier et ta jupe aussi, tu me les donnes sur le champ. Avec les graves accusations qui pèsent contre toi, tu es en punition. Je vais m’occuper de te faire parler, donne-moi ton chemisier et ta jupe aussi, et après, tu vas me dire qui sont tes complices, dépêche-toi de te dévêtir.

  Béatrice me donne sa veste et refuse de se déshabiller surtout devant son frère qui est dans mon bureau. Pendant que je cherche son mobile dans ses poches de veste, son frère nous dit à moi et Laurie ma collègue. Ma sœur est sûrement sans sous-vêtements parce que je l’ai entendu parler avec son amie Marie au téléphone ce matin dans sa chambre et elles ont parlé de prendre une gageure sur leur tenue vestimentaire. Elle parlait avec son amie de venir sans sous-vêtements pour défier les règles. Et je l'ai entendu dire qu'elle mettait Marie au défie de le faire elle aussi.

   Je trouve le mobile dans sa veste et je la réprimande pour cette infraction qui mérite une punition, car c’est interdit dans les cours. Laurie oblige Béatrice à me donner le reste de ses vêtements qu’elle ne veut pas enlever. Effectivement, elle confirme qu’elle ne porte rien sous son chemisier et sa jupe. Laurie lui dit donc ton frère à raison pour ta tenue. Pas le choix Béatrice, tu te mets à poil ici devant nous, tes vêtements sont confisqués pareille. Ton frère reste ici avec nous, il va peut-être aimer voir sa sœur nue. Ensuite, je vais te montrer quelles sont les conséquences de défier les règlements. Tu as sûrement vu des camarades se faire punir pour avoir porté des sous-vêtements non réglementaires, c'est très fréquent ici. Béatrice se retourne dos à nous pendant que j’examine le contenu de son mobile. Elle retire son chemisier et me le donne en se cachant tan bien que mal les seins avec une main et réussi à déboutonner sa jupe de l’autre main et laisse tomber sa jupe à ses chevilles. Elle est complètement nue. Dos à nous, son frère lui a les yeux grands ouverts et regarde sa sœur fesse à l’air devant lui. Il lui reste que ses bas blancs et chaussures comme vêtement. Béatrice commence à pleurnicher en nous disant que c’est très humiliant d’être nue et elle veut que son frère sorte d’ici.

   Mais sans m’occuper de ce que dit Béatrice. Je place une chaise dans le centre de la pièce et demande à Béatrice de me rejoindre et de se placer au dos de la chaise qui est face à son frère. Avec l'ordre de prendre appuis avec ses mains sur le siège de la chaise pour que son frère puisse admirer sa sœur fesses à l’air. Béatrice obéie et prend la position demandé sous les yeux de son frère qui a l’air malgré tout d'apprécier voir sa sœur nue. David, le frère de Béatrice nous dit à moi et Laurie qu’il n’a jamais vue sa sœur se faire punir de cette manière-là à la maison. Elle le mérite bien cette voyeuse à l’âge qu’elle a, c'est tout ce qu’elle mérite. Laurie ramasse la sangle de cuir que j’ai mise sur le bureau et demande à Béatrice si elle veut bien nous dire c’est qui la Marie à qui elle a parlé ce matin pour lui dire qu’elle venait à ses cours sans sous-vêtements. Marie si elle a relevée ton défi elle aussi sûrement qu'elle doit être sans sous-vêtements présentement dans sa classe. Parce que Laurie me dit que de mémoire, elle en connaît environs 7 à 8 Marie juste au deuxième niveau. Alors, tu nous dis, c'est laquelle que tu as mise au défi. Si tu refuses de nous le dire, je te rougis les fesses jusqu’à ce que tu parles ma belle rajoute Laurie choisie. Aussi on peut te faire coucher sur les genoux de David pour qu’il commence à te chauffer les fesses lui-même avec ses mains. Il adorerait assurément te rougir tes belles fesses blanches. On s’aperçoit qu’il aimerait ça te donné une fessée ton frère ainé.

Béatrice-

            Je n’ai rien a voir avec ça ces caméras-là et la Marie que tu parles  elle n’a pas accepté le défie je t’en supplie.

Claude-

Au même moment que Béatrice répond à Laurie, Laurie lui flanque un coup de sangle sur les fesses, ce qui fait pousser un cri de douleur à Béatrice. Tu nous mens lui dit Laurie et elle lui en donne quatre autres aussi fort. Béatrice pousse un autre cri encore plus fort cette fois ci et se retourne pour éviter le prochain et se frotte les fesses avec ses mains et nous dit que c’est Marie Richard qui j'ai installer les caméras. C’est bien lui dis-je tu vois bien que se faire rougir les fesses peut faire du bien pour dire la vérité. Maintenant, tu te repositionnes et Laurie va continuer ta punition pour ton manquement au règlement. Tu t'en souviendras pour les prochaines fois qu’il faut toujours porter des sous-vêtements ici à l’institut. Laurie donne lui encore 15 coups sur ses jolies fesses et cinq autres pour son mobile qu'elle traine avec elle toutes ses journées entière. Après, c'est 25 coups, je crois bien que ca suffira pour l'instant. Moi, je vais chercher Marie dans sa classe.

En sortant du bureau. Je laisse la porte ouverte et il y a un couple qui est ici pour inscrire leur fille et à cause des cris que Béatrice lâche en recevant d'autre coup de sangle le couple s’intéresse à ce qui se passe à l’intérieur du bureau. Le couple voit Béatrice pleurnicher et nu, et Laurie qui lui frappe les fesses et Dave qui regarde. Mais le couple ne sait pas que c'est son frère. Je leur explique en gros sans trop de détail pourquoi elle est punie. Les deux sont satisfaits de la discipline que nous lui administrons et c’est ce qu’ils veulent pour leur fille de 15 ans qui est supposément très indiscipliné et rebelle. Je quitte le couple et dans l’escalier. J’entends chaque coup de sangle que donne Laurie sur les fesses de Béatrice résonner dans le grand hall et ses cris.

 

  Quelque instant plus tard, j'entre à l’intérieur de la salle de cours ou est Marie R et interrompt la professeure. Discrètement, je demande à Mlle Garcia, la prof de faire une inspection vestimentaire pour les filles en lui expliquant vite le pourquoi. Mlle Garcia la prof demande a toutes les filles de se lever. Il y a que quatre garçons dans ce cours. Mlle Garcia et moi, on fait le tour des filles et demandons à chacune d’entre elles de nous montrer leur petite culotte pour une inspection. Moi je prends la range qui mène à Marie. Je me dirige vers elle en inspectant les autres filles jusqu’à Marie les fille sont en règle. Marie ne veut pas monter sa jupe.

 C’est moi qui suis obligée de mettre ma main sous sa jupe. Je m'aperçois vite qu'elle n'a pas de culotte. Ma main lui touche les fesses directement sur sa raie. Marie se retourne pour m'enlever la main de sur ses fesses. C'est David qui avait raison pour le défi entre fille. Elle aussi ne porte pas de culotte comme prévu. Je lui donne l’ordre d’enlever sa jupe et je tire son chemisier par le devant pour voir à l'intérieur. Elle ne porte pas de soutien-gorge non plus. Je lui ordonne donc de retirer sa jupe et son chemisier ici a son bureau au travers des autres. Elle argumente et ne veut pas obéir. Je lui donne quelques bonnes claques sur les fesses pour qu'elle obéisse, et ensuite défait moi-même les boutons qui tiennent sa jupe. Je tire sa jupe que Marie retenait pour qu'elle tombe à ses chevilles. Ensuite, c'est son chemisier que je commence à déboutonner, même si elle résiste, je lui enlève. Elle se retrouve nue au beau milieu de la classe, aucune pitié, c'est ce qu'elle mérite. Tu te rends compte ma belle que si tu porterais des sous-vêtements réglementaires, tu ne serais pas dans cette position humiliante maintenant avance sur l’estrade en lui claquant les fesses pour qu’elle avance. Je fouille dans sa veste et trouve son mobile, elle aussi, le traînait dans les cours comme Béatrice.

    De son côté Mlle Garcia a deux filles qui ne porte pas la culotte réglementaire donc Mlle Garcia leur fait enlever à elles aussi leur jupe et leur string . Ce n’est pas accepter le string ici et elles doivent les poser sur leur bureau. Ensuite, elles les envoient en avant sur l’estrade fesses à l’air devant leur camarade, ces deux là, on les fesses a l'air. C'est un petit peu moi humiliant que nue. Sur l’estrade, Marie est la seule nue et cache ses parties intimes du mieux qu’elle peut avec ses bras et ses mains. Les deux autre peuvent garder leur chemisier, leur soutien qu'elles portent sont légales. Moi, je fais placer Marie dos à la salle, mains sur la tête pour que tous ses camarades admirent ses belles fesses blanches. Je demande à Mlle Garcia de sortir sa grande règle de bois de son tiroir. La règle en main, j’explique au spectateur que Marie va recevoir devant eux 15 coups de règles, je commence à lui administrer les premiers coups sur ses fesses qui prennent vite une belle couleur rouge.         

. Marie commence à lâcher des cris au 10è coups et essaie de résister pour ne pas faire voire que se lui fait mal devant ses camarades au dernier coup Marie verse des larmes et essaie de se frotter les fesses. Je lui interdis et elle doit repositionner ses mains sur sa tête, je lui fait faire un demi-tour pour que tout le monde regarde ses charmes le sexe bien raser et ses beau seins une dernière fois avant qu’on parte à mon bureau. Mlle Garcia va  s’occupe de ses deux autres étudiantes. J’envoie Marie chercher ses vêtements pour qu’elle circule au travers de ses camarades, nu et pour l’humilier un peu plus. Marie me demande si elle peut s’habiller mais je lui interdis car elle est en punition et elle doit me suive nu, c'est moi qui va descendre ses vêtements. Au bureau on rentre et elle aperçoit Béatrice qui est nu elle aussi et face au mur fesses bien marquer par la sangle, mais c’est David qui la dérange et elle essaie de  cacher sa nudité le plus possible. J’ordonne à Marie de prendre position au centre de la pièce mains sur la tête alors que je la traîne par un bras jusqu’au centre de la salle bien à la vue de David pour qu’il puisse en profiter, au même moment M le directeur et M Lepetit arrive de leur réunion en mirant eux aussi Marie nu et les fesses encore un peu rouge de sa punition dans la salle de cours et je leur explique sa tenue vestimentaire de ce matin.  

 

    M le directeur-  Béatrice viens rejoindre  Marie au centre et dans la même position et écouter ce qu’on a décidé pour vous deux. Les deux filles en position humiliante de punies regardent tous les deux a terre humilier devant nous tous d’être nu.

M le directeur-  Les gestes qui vous avez commissent ici toutes les deux avec ces caméras sont inadmissible et mérite l’expulsion de notre institut en plus d’être signaler au criminel, mais étant donné que je connais bien tes parents Marie, Claude et Pierre Richard qui sont venue ici il y a quelques années je passe par-dessus la plainte à la police, mais pour la gravité de votre geste et le non-respect de la tenue vestimentaire obligatoire et que pour vous est  le je m’en fou des règlements d’ici comme on pourrait dire le comité de discipline a décidé de vous mettre en punition de catégorie 3 qui est la pire punition ce qui signifie la punition corporelle en public et nu.

 

    A partir de ce matin et pour les deux prochaine semaine vous serez interdit de sortir d’ici sauf pour le week-end prochain que vous pourrez rentrer à la maison. Lundi matin à 7h30 vous devez être ici dans ce bureau et remettre tous vos vêtements au responsable.

    Ce midi dans 35 minutes toi Marie dans la salle à manger des 2è et 1è année sur l’estrade devant tous tes camarades et le personnel présent tu vas expliquer pourquoi tu es puni et nu devant eux,  la pause de tes caméras pour espionner les gens nu dans les vestiaires  et la jouissance que ça te procurait de les voir nu je t’ai préparer un petit texte que je te donne que tu devras lire dans la salle et ensuite tu on va te mettre en position attacher aux mains et aux pieds a la poutre central, tu recevras 30 coups de la strap de cuir donner par Claude. A la fin de la pause du repas a 1h15 toujours nu, tu iras chercher tes livres pour suivre tes cour d’après-midi. A la fin tu reviens a la cafétéria  pour travailler avec le personnel de soir a nettoyer la salle et après on va te descendre dans ta petite chambre au sous-sol ou tu passeras la nuit avec Béatrice et pour toi aussi c’est la même chose Béatrice sauf que ce midi c’est dans la salle des 3è et finissant que tu devras expliquer ton geste et toi aussi tu seras punis avec 30 coups de strap sur les fesses. Demain matin a 7 h vous prendrai le petit déjeuner en attendant que les gens arrivent et a 7h30 vous recevrez chacune une autre fessée au centre de la salle qui vous seras attitrer parce que vous changerez de salle chaque jour étant donner que vous avez admirer toute les camarades peu importe leur âge donc eux aussi ont tous le droit de vous admirer à leur tour,  ensuite vous circulerez   au travers des tables toujours nu pour faire le ménage des tables qui se seront libérées jusqu’au début de vos cours. Pour vos cours c’est nu aussi toute le temps de votre punition Et si quelqu’un dans la salle vous parle ou vous donne une tape sur les fesses ce qui probablement va arriver vous rester très poli sinon l’employer sera attitrer pour vous suivre va vous chauffer les fesses à nouveau. Ensuite a tous les matins et midi  ca seras une fessée devant la salle, vos prof son tous avertis de ne rien tolérer durant la journée vous devrez avoir un comportement exemplaire sinon c’est la fessée qui vous attend.

     Ça va être votre tour de vous faire voire nu comme vous avez aimé regarder vous camarades  maintenant vous devez payer pour votre geste. Maintenant Béatrice, Laurie vous me suivez on se déplace a la cafétéria tous ensemble,  Marie tu sui Claude et M Lepetit.    

 

jeudi 3 décembre 2020

Claude et ses filles le lendemain du party


 

Claude –

      

   Jessica m'a demandé de lui faire goûter a la fessée et c,est ce que je viens de lui faire ressentir et  elle a mal aux fesses, mais a ma surprise c'est a Véronique et Muriel deux autres des amies a mes filles qui ont coucher ici hier après leur petit party qui maintenant aimerait en faire l'expérience. je questionne donc Véronique. Toi aussi tu n’as jamais reçu la fessée tes parents ne t’on jamais punie ? elle me dit que jamais elle restait seul avec sa mère depuis très longtemps et que sa mère ne l’a fessé qu'une seul fois sur son pantalon de pyjama et les seules autres punitions qu’elle a reçu c’était qu’elle était privée de sortie et de souper elle l’a renfermé dans sa chambre à genoux quelque fois dans un coin.

  Avant de lui réponde je demande combien d’entre vous n’ont jamais reçu de punition plutôt une fessé  et veulent en faire l'expérience ? Muriel me dit qu’elle aussi n’a jamais connue ça, je lui dis  Muriel toi aussi je suppose que tu aimerais ça en recevoir une. Muriel me répond qu’elle n’est pas si sûr que ça et se tient les fesses, je me rassoie sur le sofa qui est derrière moi et demande a Muriel de venir me voir et elle s’approche et se colle les jambes contre les miennes et je la regarde de la tête à sa fente car elles sont encore nues toutes les onze de leur soirée d’hier, elle a des cheveux long et magnifique jusqu’aux milieux du dos  brun petits seins une peau pâle manque de bronzage belles hanches petite toison raser en triangle je lui demande de se retournée pour voire ses fesses, est bien sûre je lui redemande si elle est sûre de sa demande et je la fait coucher sur mes genoux lui pause une main sur ses fesses et lui dit c’est la même chose que pour Jessica une quarantaine de claques de la même force et tu me fait signe si tu veux que j’arrête avant.

   Je lève ma main et la rabat avec force sur une fesse et sur l’autre et alterne toujours au même rythme et force  sur chacune de ses fesses, c’est ce qu’elle veut avoir mal au fesses et découvrir c’est quoi une vrai fessé elle aussi à mesure que je frappe les jambes se promène Jessica lui prend les poignets pour peut-être l’encourager la soutenir moi je continue et ses fesses sont passer du blanc au rose et au rouge. Je m’arrête en voyant qu’elle bougeait beaucoup le but ce n’était pas de lui faire très mal mais de lui donner un aperçu de la fessée, et je lui frictionne les fesses elle aussi essaie de se frotter le derrière avec une main, après un petit moment à lui frictionner les fesses je la fait débarquer de sur mes genoux et elle se remet debout les deux mains sur les fesses avec une larme qui coule sur une joue. Je me lève moi aussi et la colle sur moi sa tête sur mon épaule et lui passe une main dans ses cheveux et l’autre dans son dos et lui dit que je m’excuse que j’aurais dû arrêter avant d’autre filles nous colle aussi. Elle me dit Claude je ne m’imaginais jamais ce faire taper les fesses comme ça faisait autant mal c’est malade juste une vingtaine de claque et ça chauffe a la strap ou le fouet ça doit être horrible.

 Maryse –

       Il y a deux de nos amies qui vont en ville pour leur emploie moi et Maude allons avec elles chercher leur affaire, on va leur passée des vêtements de rechange pour la sortie et nous revenons

 

 

Claude –

       Bonne journée les filles Maude me dit qu’elles reviennent à la fin de l’après-midi.

Comment passé vous la journée ici vous ne sortez pas ensemble Judith me dit qu’elles aiment mieux profitez de la piscine et du soleil. Pierre se met à parler a Jessica et  Véronique et leurs demande si elle tient encore à essayer la fessée Claude vous attend si vous désirez tenter l'expérience. ensuite Pierre demandent aux deux autres  si elles on aimer l’expérience de la fessée  et si elle serait prêtent à essayer une autre manière de recevoir une punition.

Jessica –

   J’ai aimé ça Pierre me faire claquer les fesses c’était la première fois que quelqu’un me donnais la fessé et surtout me touchait les fesses comme Claude me là fait pendant que je parle à Pierre de mes fesses Judith passe en arrière de lui et attrape sont short et le baisse jusqu’aux chevilles Pierre sur le moment cherche à se cacher le zizi mais enlève sa main et me laisse le regarder il me dit ça fait longtemps que je te  voie toute nue c’est pas pire moi aussi et me demande si vue que toi et Véronique et Muriel vous fantasmer sur la fessée je vais vous faire découvrir les autre manière de punir des jeunes filles venez avec moi au hangar là-bas en haut du chemin pour essayer la strap et la cane j’hésite me frotte les fesses et regarde Véro et lui dit d’accord je te suis j’accepte si les autre me suive   toutes les filles dise oui et ont suit toutes Pierre au hangar.

 Pierre –

        Rendu au hangar Claude rouvre les grande porte et je monte a Jessica et Véronique les cordes à la poutre et le chevalet les instruments au mur et je décroche une des plus petite strap qu’il y a au mur et lui donne dans ses mains. Elle la regarde ensuite arrive au côté de Véro lui donne un coup sur ses fesses et va voire Muriel et lui frappe les fesses à elle aussi, Nadine lui dit donne la a Pierre et met tes mains sur ta tête demande ensuite à Pierre qui te donne dix coups sur tes belles fesses pour essayer. Jessica me la redonne et je lui dit tu essaie a dix coups mains sur la tête elle me répond oui et se positionne en plein centre de la grange je demande a Véro et Muriel si elle suivent et Véro me dit qu’elle est prête à relever le défi et se positionne au côté de Jessica Muriel elle me dit qu’elle est prête elle aussi mais avec la cane qu'elle a déjà vue des image d'une fille recevant des coups de canne et elle veut en tenter l'expérience. Je lui dit qu’avec la cane ça sera quinze et sur le chevalet qui est au fond de la pièce là-bas et beaucoup plus humiliant, elle réfléchit à ma proposition et me dit que oui c’est correct pour le chevalet et quinze coups. je demande a Jade et elle ne veut pas et se protège les fesses avec ses mains donc je n’insiste pas et la respecte, Bianca elle s’est pas plus que cinq coups de strap sa seras suffisant. Bianca va te placer au côté des deux autre s’il te plaît et j’entends Judith dire moi sur les fesses a Bianca ça serais le fouet que j’essaierais et attacher à la poutre pour ne pas qu’elle se sauve. Les quatre autre arrivent habillé et cheveux bien arrangé et elles voient leurs trois amies aux centre les mains sur la tête et elles décide de rester un petit moment de plus pour voire leurs amies se faire rougir les fesses avec la strap.

        Toutes les autres qui assiste à leurs teste se positionne en arrière d’elles et on peut admirer ses belles fesses toutes enligner côte a côte,  je commence par Jessica et lui donne ses dix coups mais en la ménageant je n’ai pas été trop dure avec ses fesses et Claude là remarquer. Elle a résister sans trop bouger aux dernier les mains on descendus frotter ses fesses ensuite Véro ses dix coups elle aussi et Bianca cinq les filles n’en revienne pas comment ça brûle à chaque coup Bianca aussi a un mal fou au tour de Muriel c’est face au chevalet dos a ses amies que je la fait positionné jambes écartées pieds vis à vis chaque patte du chevalet. Je la fait se penché par en avant ventre appuyer sur le dessus du chevalet et ses main sur chaque patte je lui dit que je vais laisser faire pour attacher tes pieds et tes mains c’est juste un essaie mais souvent les punis sont attacher pour ne pas qu’ils bougent. Muriel positionner de cette façon elle se doute bien que ses amies voie ses parties les plus intime, moi aussi j’admire cette belle fente toute rosée   elle ne bouge pas et attend que je la punisse même dans cette position humiliante elle patiente, elle a accepté ce défi et le remplie peu importe l’humiliation qui vient avec et attend ses coups.

 Claude –

       Pierre demande a Muriel si elle est prête moi je me positionne entre les filles qui regarde Muriel recevoir ses premier coups et qui plie les genoux à chaque coup son intimité est bien à la vue de nous tous  jambes écarté les filles me le font remarqué que c’est humiliant on est à l’air dans cette position. Je demande aux deux filles Nancy et Gabrielle si elles reviennent ici après-midi et met ma main sur les fesses de Nancy, sous la robe courte qu’elle a emprunté a Maude et qui  lui va à ravir c’est pour voir si elle a un sous-vêtement en dessous et au même moment elle me dit ne t’inquiète pas maman Claude je n’ai pas l’habitude de me promener en public fesses a l’air.

     C’est un réflexe chez moi quand je voie les filles sortir en public avec de si courte robe maintenant c’est plus fort que moi faut que je vérifie et leur dire si elles ont les fesses a l’air dessous, Marie réplique en disant toi tu nous vérifie mais toi tu es la première à sortir avec une robe très courte et rien en dessous et souvent tes robes cache à peine tes fesses et ta chatte tellement elles sont courte Nancy rajoute Claude tu est une vraie mère poule tu ne veux pas que tes filles soient provocante mais pour toi ça ne compte pas au même moment que Gabrielle monte le bas de sa robe pour m’agacer elle aussi me montre la culotte bleu qu’elle a emprunté a Maude on entend Pierre dire j’arrête tout et on voie Muriel qui a lâché  prise et ses redressé mains sur les fesses elle remet ses main sur le dessus du chevalet reste debout et dit à Pierre le défi c’est quinze coups donne-moi les sept qui reste Pierre lui dit si t’est prête je continue, on entend le coup claquer et Muriel grimace ses fesses on des marques rouge laissé de chaque coup qui a frapper sa peau Gabrielle  elle regarde les fesses a Muriel et grimace elle aussi  par la douleur que ça doit être dure a tolérer elle n’aimerais pas être a ça place elle la trouve courageuse d'en faire laissai.

     Aux dernier coups Muriel se relève péniblement, moi je m’étais mise en face d’elle de l’autre côté du chevalet et je la colle contre moi lui essuie une larme qui coule la félicite d’avoir réussie ça fait très mal la cane et je lui frotte les fesses les autres lui demande si elle est correcte a l’état qu’elles voient ses fesses. Il y en a une qui fait le tour du chevalet pour venir dans mon dos c’est Bianca et me tape les fesses et me dit toit Claude tu ne veux pas le faire le défi a la cane ou même le fouet.

  Je lui réponds que ce que vous avez essayé ici c’est rien dix aux quinze petits coups qui font juste te réchauffer les fesses moi quand mon père me punissait c’était quarante à cinquante coups de fouet ou avec d’autre instrument et souvent attacher à la poutre qui est ici  par les poignets bras tendus en l’air et les chevilles attacher pour ne pas que j’essaie d’éviter les coups  et je leur fait une petite démonstration en me positionnant sous les cordes. Les filles ne me crois pas elles disent que j’exagère cinquante coups Muriel m’y crois pas. Pierre lui rajoute que lui aussi a goûter souvent a la strap et le fouet attacher a la même place que Claude et à plusieurs reprise on était attacher ensemble c’est ce qui explique la présence de plusieurs cordes.

    Fini les explication sur nos punitions du passé au retour sur la terrasse et toutes installez confortable je commence à leur compter ma courte vie de mon enfance a la  perte de mes parents et mon adoption par les parents de Pierre et leur mort il y a un peu plus de deux ans et le reste des chicanes de famille et comment on a décidé Pierre et moi d’adopter les cinq filles Marie Nadine et Maude Patricia et Sacha et je leur demande de me compter leur enfance elles aussi si elles le veulent bien entendus Muriel elle a du mal à s’asseoir et reste debout et s’enroule une serviette autour de la taille je lui demande pourquoi elle se cache elle me répond qu’elle est gêner de ses marques sur ses fesses je lui dit ma belle tu en as pour quelques jour avant qu’on ne  les voie plus, après environs une heures et un peut plus à les écouter  une après l’autre elles ont tous embarquer et on raconter leur histoire d’enfance et ça ma surprise d’entendre c’est jeunes filles à l’âge qu’elles ont et dans la misère qu’elle se retrouve j’ai peur pour elles qu’elles rentre dans le milieux de la drogue et la prostitutions ça m’inquiète surtout Muriel, Bianca, Véronique , jade  et les deux autres amies à mes filles  qui sont sorties elles sont probablement dans la même situation. Je change de sujet et annonce que notre  grande amie a Pierre et moi Julie arrive ici à la fin de la journée Marie me dit s’est super de revoir Julie moi je rajoute qu’ elle viendras avec ça pilote et ça copilote et Angela que vous connaissez toutes sauf vos amies mais ça ce n’est pas un problème j’en  suis sûr. La seule chose que je vous demande à tous c’est de s’habiller avec quelque chose de présentable juste  une robe ou pantalon et t-shirt pas plus mais pas comme ce matin une chemise qui ne vous cache pas le cul ou des serviette qui arrêt à la mi fesses on va essayer de les accueillir convenablement après on verras, parce que Julie n’est pas gêner vous allez vous en rendre compte très vite. Il y a assez de vêtement dans vos chambre pour toute vous autres ça ne devrais pas causer problème quand  moi je vais chez elle en Italie jamais elle m’a reçu nue même si ça fait des années qu’on se fréquente et que l’on sait comment ça va finir.

Judith –

    Mais pourquoi Julie elle-même quand elle arrivera ici avec ses filles ou employer si tu aimes mieux à la chaleur qu’il fait et le soleil elles vont vouloir embarquer dans la piscine et on les connaît le maillot a elles aussi ne leurs fait pas très bien sur le dos comme à toit. Elle me dit s’il te plaît Judith asseyez pour environs une petite demi-heure a peut-prêt  de ne pas me décevoir c’est juste ce que je vous demande elle va me donner un coup de téléphone quand elles seront dans le taxi en route pour ici vers 17h il vous reste encore plusieurs heures devant vous avant d’être obligé de vous vêtir je le savais que vous préférez être a poil et maintenant vous ne voulez plus vous rhabillez mais pour l'arrivée de Julie faite un effort. 

 

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...