mercredi 1 décembre 2021

Katie se fait punir nue par sa mère et devant son amie Maryse


 

Maryse

    

         Après petit déjeuner Katie et moi nous remontons à nos cours, moi en science et Katie en histoire. Mon amie me dit qu’elle a un examen de contrôle  et est nerveuse elle rentre dans sa salle et moi je me rends plus loin à la mienne ma salle, on s’est donné rendez-vous dans le couloir après notre 2e cours, le dernier de l’après-midi, on est ensemble en français et on ira chercher nos livres ensemble à nos casiers. À la fin de mon deuxième cours je revois Katie comme prévu et une autre fille Annie qui est avec nous en français nous suit.

       Annie commence à me dire que  Katia a été punie dans la deuxième partie du cours par la prof Mlle Jasmine et qu’elle a reçu une dizaine de coups de règle. Je demande à Katie pourquoi c’est la première fois depuis deux ans con se connaît que tu es punie. Annie répond pour Katie qui est gênée, Maryse, Katie à traiter Mlle Jasmine d’incompétente et idiote parce qu’elle ne lui a pas donné la note de passage. Mlle Jasmine l’a réprimandé et l’a obligé à monter sur l’estrade. Ensuite Mlle Jasmine a fait placer Katie dos à nous et mains sur sa tête et elle a relevé sa jupe jusqu’à son attache de soutien pour que sa jupe reste en place et à baisser sa culotte sous ses fesses et même à ses chevilles  ensuite la prof a sorti sa règle et lui a donné 10 coups sur les fesses, après Katie nous a fait admirer ses fesses tout le reste du cours.

       Comme ça Katie tu as su, c'était quoi se montrer les fesses en public toi qui me parlais souvent de ça que ça devais être humiliant de recevoir une fessée devant tout le monde et être nue. La prof n’a pas été trop dur avec toi la règle. Je suis sûre que tes fesses sont redevenues blanche. Ça fait mal, mais si elle aurait utilisé sa strap ou la canne tes fesses seraient encore bien colorées.

  Katie---

       Les filles, on ne parle plus de ça elle m’a laissé le reste du cours fesses à l’air et à genoux  main sur la tête et dos à la salle les pieds pendant au bout de l’estrade, elle m’a donné la permission de me relever et remette ma culotte 5 minutes avant la fin du cours.

 

Maryse

          Durant notre trajet d’autres filles qu’on croise agace Katie il lui demande si elle a encore mal aux fesses ou de leur laisser, voire si ses fesses sont encore colorées et chaude. Notre dernier cours a mieux été pour Katie et elle m’a demandé si je voulais aller passer la soirée chez elle et coucher aussi. J’ai fait un téléphone à Claude ou je demeure pour la prévenir et nous sommes partie chez Karine.

            À la maison de Katie je rencontre sa sœur Sandie. Katie ensuite me fait visiter sa maison sa chambre et me propose d’aller au jardin à la piscine, je ne peux pas embarquer dans la piscine je n’ai pas mon maillot, mais on sort, il fait si beau dehors

K----    Ne te fatigue  pas avec ça Maryse si tu veux te rafraîchir avec moi je vais te prêter un de           mes maillots, on a presque la même taille choisie entre ces trois-là.

M---    Non Katie je peux rester en sous-vêtement sans problème, on est juste entre nous deux et ta sœur, personne d’autre va la savoir que je ne porte pas un vrai maillot, c’est presque la même chose qu’un maillot deux pièces la seule différence est que c'est le tissu qui change et le temps de séchage aussi. Je sors de la chambre de Karine pour qu’elle enfile son maillot en toute intimité. Le changement fait Karine vient me rejoindre dehors sur la terrasse, et j’enlève ma jupe ma veste et mon chemisier chaussures et bas et je suis Karine dans la piscine en sous-vêtement les deux sœurs me regarde bizarrement, elles ne sont pas habituées de, voire une fille en sous-vêtement dehors. On vient juste d’embarquer que la mère de Katie arrive et vient nous voir et demande à Karine de sortir elle a affaire à lui parler et a l’air très fâché.

        La sœur de Katie nous avait apporté chacune serviette de plage pour nous couvrir et la mère de Katie me regarde en demandant à sa fille pourquoi elle ne m’avait pas prêté un maillot, ça me gêne un peu que sa mère dise cela a Katie je ne suis pas nue dehors malgré tout, ça me met mal à l'aise et je me couvre avec la serviette. Katie me présente à sa mère. Francine qu’elle s’appelle et elle ne veut pas trop discuter elle est fâché après Katie.

K---  Mama c’est Maryse qui a voulu rester en sous-vêtement. Je lui ai offert un de mes maillots, mais elle a choisi de rester comme ça. Et j’ai invité Maryse a passé la soirée et la nuit ici avec moi demain, ça sera à mon tour d’aller chez elle.

La mère Francine

          Pour l’instant Katie tu rentres avec moi e l’intérieur j’ai affaire à toi. Elle pousse Katie pour qu’elle rentre avec elle et nous demande de les suivre Sandie et moi. Dans la salle a mangé Francine déplace une chaise l’éloigne de la table et s’assoie dessus approche Katie d’elle en la tenant par un poignet et commence à parler de la punition qu’a reçu Katie en s’adressant à son autre fille Sandie  qui est juste à mes côtés et moi en même temps. Cet après-midi son prof m’a écrit, dans son mot elle précise qu’elle a punie Katie et lui a fait enlever sa culotte, remonter sa jupe dans le dos pour lui mettre les fesses a l’air devant tous les autres étudiants dans la salle, et elle t’a administré une punition corporelle des coups de règle devant la classe sur l’estrade pour les insultes que tu lui avais dites. Je t’ai inscrite à cet institut qui coute très chère par semestre a la place de l’école publique ou tu étais l’an passé pour que tu changes que tu deviennes plus sérieuse prenne de la maturité, mais je m'aperçois que ce n'est pas du tout le cas.

           J’espérais que la peur te gagne à voir des étudiants se faire punir pour des sottises comme tu as fait à ta prof et que tu deviennes plus sérieuse, parce que tu étais devenue très impolie avec les gens en vieillissant, et c’est ma faute. J'aurais dû être beaucoup plus sévère avec vous deux dans le passé et au lieu de vous envoyer dans vos chambres réfléchir quand vous faisiez des bêtises, j'aurais dû utiliser d’autre moyen plus sévère, comme la fessée et l'humiliation, cela aurait été beaucoup plus efficace.  Avec ce que ta prof m’a écrite je m’aperçois que ça ne t’effraie pas de voire des camarades se faire punir. J’ai décidé ce soir de te punir comme une gamine le mérite ce que j’aurais dû faire depuis très longtemps. Maintenant enlève ta serviette autour de toi et Katie tu t’allonges sur mes genoux

Katie---

            Maman ce n’est pas sérieux ce que tu veux faire me donner une fessée et coucher sur tes genoux à mon âge et devant ma sœur et Maryse. Lâche moi je m’en vais dans ma chambre et vient me parler en privé pas ici devant eux. J’essaie  en même temps que je lui parle de me libérer la main que ma mère me tient. je ne suis pas capable elle ne lâche pas prise avec son autre main tire sur ma serviette qui tombe au planché et me fait basculer sur ses genoux.

La mère

          Katie je t’ai demandée de t’allonger sur mes genoux et tu n’y échapperas pas. Je vais te punir comme j’aurais dû toujours le faire quand tu le méritais, je fais le tour de sa taille avec un bras pour l’immobiliser et avec l’autre main, je tire la culotte de son maillot vers le bas et l’envoie à ses chevilles, elle est maintenant fesses à l'air et ne l'apprécie pas du tout. Katie quand même que tu protestes tu te débats tu vas recevoir une fessée comme ton prof ta donnée cet après-midi et devant une vingtaine de personne ou plus peut être, ici il y en a que trois qui te regarde les fesses, c'est pas mal moi gênant.  Cela fait très longtemps qu’on ne t’avait pas vue les fesses à l’air depuis que tu étais une toute petite gamine. Sandie va me chercher ma brosse à cheveux sur mon bureau s’il te plait ses fesses vont y gouter.

  Maryse---

         Pendant que Sandie va chercher la brosse la mère de Katie commence à lui claquer les fesses avec sa main très fort et rapidement le bruit de chaque claque résonne dans la pièce, Katie crie débat ses jambes essaie de quitter les genoux de sa mère, mais n’en n'est pas capable elle est trop bien retenue. Sandie de retour avec la brosse elle la pose sur la table et regarde sa sœur qui se débat et surtout les fesses de sa sœur qui commence à prendre un peu de couleur et a l’air de trouver ça horrible ce que sa sœur subit devant elle.

        Katie a de très belles fesses et un superbe corps.  Moi, ça me fait toujours drôle de voir quelqu’un qui se fait mettre nu devant d’autre, chez moi on est tous habituer à se promener nue, entre nous et on le remarque presque pas tout le monde est dans la même tenue. Mais dans une pièce où il y a qu’une seule personne nue et tous les autres sont habillées comme à l’institut quand une étudiante est en punition et est la seule à être nue dans une pièce on est tous porter à regarder cette personne-là comme Katie présentement.

       Francine arrête de claquer les fesses de Katie  ses fesses n’ont pas trop pris de couleur malgré les claques reçue, elle lui frotte les fesses pendant que Katie essaie de ce libéré. Elle réussit pareille à poser une main sur ses fesses pour essayer de se cacher les fesses ou son intimité, et elle dit à sa mère de la lâcher. Sa mère la laisse se relevée en la tenant toujours par un poignet pour la garder près d’elle Katie place son autre main entre ses deux jambes pour se cacher et se débat elle essaie de se sauver dans sa chambre et demande à sa mère de la laisser.

 

     Non ma fille je n’ai pas fini avec toi tu te calmes et reste debout ici devant nous et tu enlèves ta main d’entre tes jambes, et tu places tes mains sur ta tête, lui dit-elle, et en lui ordonnant de prendre position  elle lui claque les fesses encore pour qu’elle obéisse. Katie fini par prendre la position demandée et pleurniche face à moi et Sandie. Je peux apercevoir sa petite ligne de duvet juste au-dessus de sa fente, elle est mignonne exposée ainsi. Il lui reste seulement le haut de son maillot quelle porte encore  qui cache ses petits seins et nous empêche de la voir nue de la tête au pied. Je regarde Sandie qui est à côté de moi et elle me semble surprise figer de voir sa sœur quasi nue devant elle.  Katie m’avait déjà dit qu’elle se rasait le pubis dans nos moments qu’on parle de chose de fille plus intime ensemble, mais je ne l’avais j’aimais vue nue auparavant.

----    Maman, j'ai 18 ans, je ne suis plus en âge de me faire punir de cette façon-là et c’est humiliant se faire punir ainsi devant mon amie et ma sœur presque nue, s'il te plait laisse-moi aller dans ma chambre, tu n’as pas le droit.

----    Oh si j’ai le droit de te punir Katie, comme à l’institut on tous les droits de te punir, eux aussi. Je suis responsable de ton éducation et dans le passé j’ai manqué à ma tâche en n'étant pas assez sévère avec vous deux.  Maintenant je passe à la deuxième étape de ta punition, je n'en ai pas fini avec tes fesses.

        Francine ramasse la brosse que Sandie avait posé sur la table et commence a frappé le derrière de sa fille. Les coups se suivent très rapidement et chaque coup est donné avec force d’une fesse à l’autre en alternance. Katie descend ses mains sur ses fesses lâches un cri se tourne face à sa mère pour quel arrêt. Je vois ses fesses qui ont changé de couleur cette fois ci, elle est dos à moi, avec la brosse ça rougis beaucoup plus et la douleur n'est pas du tout pareille. Subitement sa mère  me parle, Maryse si tu aurais été punie cet après-midi  à l’institut, en arrivant chez toi ta mère t’aurais-tu grondée punie ou il ne se serait rien passé ?  Toute surprise je ne sais pas trop quoi répondre, mais  je veux rester polie et je lui réponds. Je ne vis pas chez ma mère madame, je loge chez une famille j'ai ma chambre privée et c’est eux aussi qui paie pour mes études à St-Thomas, mais si ma prof aurait écrit à Claude celle qui me loge pour lui dire que j’ai été impolie comme Katie en rentrant à la maison j’aurais reçu une bonne punition moi aussi. Claude ou je demeure et que je considère ma mère est très sévère avec nous si on est indiscipliné elle ne se gêne pas pour nous chauffer les fesses elle aussi. 

----    Katie tu entends ton amie ce qu’elle nous raconte, alors tourne-toi reprend ta position et ne bouge plus sinon ce sont tes cuisses que je frappe.

 Maryse ---

         Francine claque l’arrière d’une  cuisse a Katie avec la brosse Katie crie se lève la jambe pour fuir les coups et se retourne face a nous remet ses mains sur sa tête et supplie sa mère. Francine bien décider à lui donner une bonne leçon recommence à frapper sur ses fesses de quelques autres coups une dizaine environs. Katie encore une fois se retourne et protège ses fesses, Katie encore une fois se retourne et protège ses fesses, sa mère dit à Katie ce n’est pas une dizaine de coups sur tes fesses qui te font crier comme ça, voyons Katie, tu es pire qu’une gamine, c'est à peine s'ils ont changé de couleur tes fesses, 

 F----    Katie vas te mettre à genoux dans le coin près de la porte et ne me fait pas perdre patience sinon tes fesses vont encore gouter à la brosse. Et toi Maryse vas ramasser tes vêtements dehors et rejoint moi dans la chambre de Katie. Je vais te prêter une robe, tu n’es plus à l’école ici pour remettre ton uniforme, et tu ne peux pas rester avec des sous-vêtements humides sur toi toute la soirée, je vais les étendre pour qu’ils sèchent.     

M----

           J’écoute Francine vas ramasser mes vêtements mes chaussures en rentrant dans la maison, je regarde Katie presque nue et à genoux dans le coin juste à côté de la porte, et sa sœur qui est assise à la table qui regarde sa sœur fesses à l’air et joue sur son iPad. Rendu  dans la chambre de Katie je pose mes vêtements sur son lit mes chaussures dans un coin et Francine me montre les trois robes qu’elle m’a sorties pour que j’en choisisse une. Elle me dit, choisie une de ces robes-là  qui son opaque personne ne pourra voir au travers et donne-moi tes sous-vêtements ils sont tous humides encore tu  seras plus confortable si ça te gêne d’être nue sous ta robe, je te prêterais des sous-vêtements, Katie et toi avez la même taille et la même grosseur de poitrine ce n'est pas un gros problème pour le soutient. J’enlève ma serviette que j’avais enroulé autour de moi et Francine touche mon soutien et s'aperçois qu’il est très humide, regarde ce que je te disais ton soutient est encore tout humide. De la chambre où on est, on entend les deux sœurs se disputer Katie demande à Sandie de s’en aller de la salle à manger c'est gênant pour elle de se sentir  regarder de la sorte lui dit-elle, et Sandie elle ne veut pas quitter elle doit aimer ça voir sa sœur les fesses a l'air, je m'en doutais me dit Francine, un soutien n’est pas fait pour se baigner c’est trop épais pour sécher vite et ça devient inconfortable apporte-le-moi dehors au jardin avec ta culotte quand tu les auras enlevé je vais les étendre.

      Je te quitte Maryse, je dois aller régler ça deux gamins qui se chicanent ça devient fatiguant. Quelques secondes plus tard j'entends Francine dire à Sandie de le suivre et laisser sa sœur tranquille sinon elle aussi ira accompagner sa sœur à genoux et nue, c'est drôle que Sandie capote sur la nudité de sa sœur, Sandie a 20 ans. J'enlève mes sous-vêtements et la porte de la chambre est grande ouverte Francine repasse pour aller à sa chambre et me regarde je suis nue je me dépêche d’enfiler une des robes, je me sens gêné d'être nue devant Francine et pourtant j'ai l'habitude chez moi avec ma gagne et Katie qui, elle aussi est presque nue je ne sais pas trop pourquoi.  Je retourne ensuite vers la sortie avec mes sous-vêtements dans mes mains et pied nu. Sa me met mal à laisse de passer à côté de Katie. Je n’ai pas le choix, elle est encore en punition à genoux mains sur la tête et juste au côté de la porte de sortie presque nue. Je dois passer à quelques centimètres d’elle pour sortir. Je la regarde, mais Katie fixe le mur gêné elle ne veut pas me regarder. Je donne mes affaires à Francine qui les suspends et revient me voir, Sandie est là, elle aussi et a enfin laissé sa sœur tranquille. Francine me questionne  encore sur ou je vis sur Claude que j’ai dit plus tôt qu’elle pouvait me punir et où est ma vraie mère elle veut savoir.

            Mme ma mère vit à l’autre bout du pays dans le nord et l’an dernier, elle m’a inscrit à l’institut St-Thomas elle jugeait que je manquais de discipline en m’envoyant ici elle espérait que je devienne plus sérieuse. Elle me payait aussi une petite chambre avec une cuisine commune pour me faire à manger. Moi, pour être capable d’arrivée un peu mieux je me suis mise à travailler à l’atelier de couture de la famille Richard et ça a fonctionner jusqu’à cet été ou plutôt jusqu'a mes dix-huite ans que j'ai eu en en Aout. À la fin de septembre ma mère à arrêter de payer l’institut elle ne voulait plus débourser pour moi et elle m’a dit que maintenant que je suis majeur c’est à moi de me débrouiller seul elle n’avait plus à payer pour moi.

        En étant une très bonne amie de Maude une des  filles que Claude a adopté et une de ses employés aussi, elle m’a prise en pitié quand elle a su que je devais abandonner mes études. Claude ne voulait pas que je me retrouve dans la misère et surtout d’arrêter mes études aussi, c'est là qu’elle  m’a offerte de venir rester chez elle et gratis. La seule condition que je devais respecter ce sont les règles de la maison comme ses filles et elle est très sévère, les résultats scolaires, la politesse, les bêtises,  l’obéissance, ça ressemble beaucoup aux règlements de l’institut. Nos notes de passage aux contrôles, C'est d’être au-dessus de la note de passage sinon on est puni. Et bien d’autres choses aussi, si à l’institut on est puni durant la journée peu importe la raison, en rentrant à la maison, c'est sûr qu’on est puni et c’est presque toujours nu qu’elle nous punit.

F--- Donc tu habites chez les Richard le gros domaine avec l’immense  terrain et des maisons que l’on voie quand on va au vignoble et ne m’appelle pas madame, c'est Francine. Il y a quelques semaines Sandie et moi on a été à ce vignoble pour acheter du vin. Ils produisent d’excellent vin en passant et que j’adore, les portes et fenêtre de la boutique étaient grande ouverte  et a l’intérieur de la boutique on entendait très bien  des cris et dès son de claquement comme si quelqu’un frappait sur la peau d’un autre,  provenant de l’arrière-cour. Comme je suis très curieuse, c'est un peu mon métier, je suis avocate je me suis rapproché de la porte arrière.

       Sandie m’a suivie en voyant que je me dirigeais dans la porte arrière qui était ouverte. Sur la terrasse on voyait qu’il y avait une fille dos à nous mains sur la tête et entièrement nue, les fesses toutes zébré marqué par une sangle et bien rouge. Une autre fille se tenait à côté d’elle et avait une sangle ou ceinture dans une main et d’autres personnes étaient autour de la fille à  regarder ce qui se passait et les fesses rougis de la fille.  J’ai demandé à l’employée de la boutique qui s’appelle Francine elle aussi si c’était fréquent ici de punir des personnes,  et surtout de cette manière-là. L’employée nous a expliqué que la fille qui est nue dehors et qui vient de se faire punir avait été très impolie avec des clients et qu’ici ça arrive que les patrons punissent les employées fautif et bien souvent c’est nue leur manière d’administrer les punitions. C’est là que mes venues l’idée de devenir plus sévère avec mes filles  

Maryse---

       La fille que vous avez vue dans l’arrière-cour, c’était probablement moi. Il y a 2 semaines, j'ai été punie à cet endroit devant des clients, c'est toujours humiliant de se faire punir et surtout devant d’autre personne à mon âge et nue, j’ai resté avec une bonne douleur  aux fesses et des marques aussi pendant 48 heures. Claude et Pierre son frère on eut des parents  très sévère parait-il et eux aussi le son et sa perdure dans tous les commerces qu’ils possèdent.

 Si on respecte les règlements de la maison il n’y a pas de problèmes  ils sont extrêmement gentils près a tous nous donner, mais quand l’une de nous fait une bêtise c’est là que nos problème commence. Les deux dans le passé Claude et Pierre ont fréquenté St-Thomas et Claude a ce qu’on dit d’elle sur trois ans d’étude a l’institut elle a été un an et demi en punition elle était très rebelle à l’époque d’après les dires.

 ­Francine ---

           Je connais très bien l’institut qui est devenu que pour  filles seulement depuis cette année, c’est la seule au pays depuis cette année qui est uniquement féminine et à utiliser la punition corporelle et géré par le ministère de la justice. Je suis avocate pour la couronne et quand une jeune fille entre 15 et 19 ans qui est encore d’ âge à aller au lycée est condamné pour presque n’importe quel crime sauf pour meurtre ou agression physique très grave, les juges prennent toujours la décision de l’envoyé à St-Thomas pour qu’elles finissent ses études.  C’est une sorte de chance pour la réhabilitation. Quand les trois ans sont passés aucun casier judiciaire n’apparait si leur comportement a été bon.  La cour de la province ici en envoi, environs une cinquantaine de ces filles-là par an. À la grandeur du pays c’est environs trois cent filles qui y sont envoyées par ans.

        Les plus viellent-elles entre 20 et 25 ans c'est une sorte de travaux forcée avec les mêmes règlements pour les punitions corporelles, elles, elles  sont condamnées entre deux et trois ans à travailler à l’institut et à rester en pension là aussi petit appart fourni,  c'est beaucoup mieux que la prison. C’est une place très stricte que la justice autorise et oblige l’institut à utiliser la punition corporelle, les jeunes sont soumises à des règles rigoureuses.

       C’est pour ça que Katie la fréquente et Sandie aurait dû elle aussi la fréquenté. Katie me compte souvent qu’il y a des étudiants qui son nu dans les cours ou en public et reçoivent des coups de strap. Mais je ne m’imaginais pas que de nos jours dans une industrie comme votre vignoble ou dans une famille ça se donnait encore des punitions corporelles et surtout en public. Sandie va dire à ta sœur  que sa punition est terminée et qu’elle peut aller se rhabiller et venir rejoindre son amie Maryse. Sandie aussi amène nous chacune une coupe de vin  avec une bouteille du vin aussi s’il te plaît moi je commande de la pizza.

 Maryse---

      Katie est revenue dans le jardin avec une robe sur le dos et toute honteuse, le reste de la soirée c’est bien dérouler a jaser surtout de moi et notre manière de vivre et Francine a parlé de punition toute la soirée, ça l’intriguait les histoires de fessé que j’avais commencé à parler, elle voulait toujours en savoir plus. En fin de soirée Katie et moi on rentre dans sa chambre sa mère nous suit en demandant a Katie de me prêter une chemise de nuit et une culotte la mienne étant encore un peu humide dehors. Je vous laisse les filles bonne nuit nous-dit-elle.  Katie me regarde enlevé la robe que sa mère m’avait prêté, je suis nue devant elle et elle se retourne pour ne pas me regarder, Katie regarde moi je n’ai rien à cacher de plus que toi, je suis faite exactement comme toi, et  a tous les jours chez moi je me couche nue. Si ça te gêne tant que ça je vais mettre la chemise de nuit que tu veux me prêter  mais moi je suis plus à l’aise nue pour dormir.

             J’embarque sous la couverture Katie va à la salle de bain pour enfiler sa jaquette elle n’ose pas se changer devant moi. Elle revient et avant d’embarquer au côté de moi dans son lit, Katie me demande si  je suis encore nue sous la couverture.

       Oui Katie je suis nue, ça te gêne de coucher au côté d’une fille nue je descends la couverture sous mes seins jusqu’à mes cuisse même pour lui montrer que je suis nue, regarde Katie ce n’est pas plus dure que ça j’ai le même corps que toi et ça ne me dérange pas que tu me regarde nue. je peux me relever tu me verras encore mieux. Je sors du lit et me montre face à elle les bras de chaque côté de mon corps et tourne pour qu’elle me voie de toute les côté. Katie du devrais faire comme moi regarde je suis complètement nue devant toi et il n’y a pas de problème à ce que tu me regarde.

        Il n’y a rien de grave dans la nudité c’est juste une habitude d’être nu devant d’autre personne qu’ils le sont elles aussi, c’est juste plus relaxent de dormir nue essaie, et demain si tu viens chez moi je te préviens tout de suite que tu verras mes sœurs et moi nues on ne porte aucun maillot pour la baignade.

      Claude et Pierre s’il est là lui aussi n’en porte pas plus donc si tu viens chez moi ne te surprend pas de me voire nue et les autre aussi. Je me recouche sous la couverture, Katie  elle aussi se couche au côté de moi et enlève sa chemise de nuit sous la couverture. Je fais par exprès et regarde sous la couverture son corps elle a sa culotte mais ses seins son a l’air, je  touche un de ses seins pour la provoqué, et elle ne cherche pas à les cacher elle me laisse faire.

      Je me descends dans le lit à la hauteur de ses hanche et saisi l’élastique de  sa culotte et fait descendre sa culotte très tranquillement, elle soulève ses fesses pour la laisser glisser  je lui enlève complètement,  laisse aller sa culotte au sol près du lit. Katie est  nue devant moi sans couverture qui la cache. Tu vois que ce n’est pas si dure que ça on est toutes les deux nue et le pire est fait. Je me recouche au côté d’elle et remonte la couverture sur nous Katie commence à me prendre un sein et joue avec mon téton ça le fait durcir et elle s’en rend compte.

        Ca ne te gêne pas que je te touche me dit-elle et elle s’assoie dans le lit en descendant la couverte à mes genoux. Elle  regarde mon corps et commence à toucher mon ventre mon nombril et descend à mon pubis joue avec mon petit duvet. Sandie apparait dans la porte qu’on avait oubliée de la fermé elle est vêtu que d’une chemise de nuit elle regarde sa sœur assise dans son lit et nue et moi allongée au côté d’elle. Sandie entre et ferme le porte derrière elle et se place au pied du lit face à nous deux. Au même moment et par pudeur  Katie tire la couverture pour se couvrir et s’allonge dans le lit. Katie demande à sa sœur de lui foutre la paix et sortir de sa chambre.

 Sandie---

        Vous deux vous êtes-vous en train de vous caresser une et l’autre. Je le savais j’en étais sûre que ça finirait comme ça, Katie si maman savait quelle cochonnerie tu es en train de faire avec ton amie, je pense  bien que tu te ferais encore chauffé les fesses, trois fois dans la même journée tu commences à y prendre gout à la fessée. Et baisse le ton maman va nous entendre et venir ici et je pense que ça va mal finir pour toi. Katie si tu ne veux pas que j’aille chercher maman tu m’obéie toi et Maryse vous deux vous sortez du lit et rester debout face à moi les mains dans le dos sinon c’est maman qui va venir vous sortir du lit. Moi aussi j’ai envie de m’amuser de me faire plaisir comme on dit je ne suis pas faite en bois j’ai des fantasme moi aussi.

Maryse---

       Je me lève debout et fait comprendre à Katie qu’elle n’a pas d’autre option que de sortir du lit elle aussi. Je me place comme Sandie nous a demandé main dans mon dos,  Katie de l’autre côté du lit fait de même en disant a sa sœur  qu’elle était chienne de l’obligé à faire ça, et  garde ses mains sur ses partis. Sandie vient me voire elle est légèrement plus grande que moi, elle ne lâche pas mon corps des yeux elle passe sa main sur mon duvet et me prend un sein, je vois bien qu’ils ne sont pas plus gros que ceux de ma sœur rajout-elle.

       Sandie fait le tour de moi en gardant une de ses main sur ma hanche et tasse mes mains que j’ai dans le dos sur mes fesses et me claque les fesses deux petite claques une sur chacune de mes fesses, pas trop bruyante juste pour satisfaire son plaisir de me toucher les fesses et pour ne pas que sa mère entende de sa chambre. Elle me dit tu es superbe nue Maryse ne bouge surtout pas je reviens. Elle retourne au pied du lit et fait signe a sa sœur de venir la rejoindre. Je suis toute surprise d’entendre ça elle demande a Katie de la déshabillé, enlève ma chemise de nuit lui demande-elle. Katie toute surprise de la demande de sa sœur et la gêne d’être nue et de dénudée sa sœur en plus elle reste figée ne bouge pas elle garde ses mains collées sur elle pour rester caché devant sa sœur. J’entends dire Voyons, Sandie tu es ma sœur je ne peux pas faire ça, déjà que je suis nue devant toi ce n’est pas normal et humiliant.

Sandie---

        Bouge Katie tu m’obéie ou je vais chercher maman. Je te demande d’enlèvé ma chemise et t’obéie moi aussi je veux découvrir l’effet que ça fait de caresser un autre corps et de se faire toucher par une autre que soit même et ça fait longtemps que j’en rêve de ce jour-là. Je veux que ce soit toi qui me déshabille si tu ne veux pas je pars cherché maman.

Maryse—

         Katie se décide à bouger elle prend le cordon au coup de Sandie qui tient un peu fermé sa chemise de nuit et défait la boucle entre ses seins le vêtement s’élargi et Katie le fait glissé de sur les épaules de Sandie. Le vêtement étant très ample plus rien ne le retient, il descend vite  au pied de Sandie. Katie regarde sa sœur qui porte juste un string devant elle et se sent mal à l’aise. Je regarde ses seins qui sont plus gros que les miens et ceux de Katie et se tienne très bien elle est belle très mignonne avec son string. 

       Sandie fait signe à Katie de continuer il lui reste son string, Katie se met à genoux en avant de Sandie et prend l’élastique de son string et le descend tranquillement jusqu’à ses cheville et le débarrasse de ses jambes avec sa chemise. Sandie est raser pas un poil elle a les petite lève qui sorte de sa vulve une petite tache de naissance sur l’aine droite. Sans que l’on s’y attend la porte de la chambre s’ouvre, c’est la mère de Katie et Sandie elle nous regarde tous les trois nu, elle ne dit  pas un mot, ce secoue la tête reste immobile plusieurs seconde nous trois on se trouve quelque chose pour se caché Sandie c’est sa chemise qu’elle colle sur elle, moi c’est avec un  bout de couverture que je réussi a me caché. Katie elle aussi a ramassé son vêtement.

La mère---

         J’aurais jamais pensé que vous pourriez vous rendre a des basses comme ça entre sœur Maryse et Katie j’en avais un petit doute que ça pourait arrivé mais jamais mes filles ensemble. Vous sortez d’ici toutes les trois allez dans le living room j’ai a vous parlé, et laisse vos vêtements ici vous aimez ça vous voire nu alors sortez de la chambre nu toutes les trois.

Maryse---

       Pendant que l’on sort Francine a été dans la salle de bain et ressortie avec une brosse à cheveux et elle me suit je suis la dernière a avoir sortie. Francine est tout juste derrière moi et me claque les fesses avec sa brosse juste des petits coups sans que ça ne fasse mal comme pour ne dire avance mais gentiment. Dans la pièce Francine s’assoie sur le canapé et ne veut surtout pas que l’on s’assoie elle veut que l’on reste aligné une à côté de l’autre main dans le dos face a elle, et elle allume une lampe, par chance les rideaux sont tous fermé. Francine nous regarde toutes en se tapant dans une main avec la brosse et la pose ensuite sur la table du centre. Sandie lui demande si  elle a l’intention de nous punir avec sa brosse.

Francine---

        J’y pense vraiment Sandie depuis que vous nette plus au couche que vous ne vous promenez plus nues dans la maison et maintenant rendu à l’âge de la maturité vous, vous promenez à poil et avec une étrangère une amie de Katie, toi Maryse va remettre une chemise de nuit et une culotte, ensuite si ça te tente tu peux revenir. Je ne te retiens plus ici et nu. Je ne peux pas tous vous interdire sinon vous aller me détester, et aller ailleurs pour faire vos expériences et je veux que vous restiez avec moi ici le plus longtemps possible.

      C’est normal que des jeunes comme vous cherche à développer le goût pour le sexe et expérimenter leur côté sexuelle, moi a 17 ans j’ai gouter pour la première fois au plaisir sexuelle, c’était quoi toucher une autre fille ou une autre personne que moi, de lui caresser son corps j’avais pas connue autre chose que de me toucher moi-même me masturbé seul et j’ai fait cela avec ma meilleure amie dans le fond d’un champ pour ne pas que ma mère et la mère de mon amie le sache, si ma mère m’aurais prise a faire ça j’aurais reçu une cuisante fessée probablement devant ma sœur.  Ce soir ce que vous avez faite c’est normal pour des ados y compris toi Sandie t’as encore la mentalité d’un ados de 17 ans. Mais pas entre sœur je peux comprendre entre Katie et Maryse vous cherché à vous découvrir sexuellement c’est pas mal mieux la toute première fois de s’essayez et découvrir c’est quoi le sexe entre fille que de le faire avec un gars plus vieux sans protection et devenir enceinte après.

        Avec un gars ce n’est pas long il bande te pénètre éjacule en toi et c’est fait 3 minutes après il se rhabille et il débarrasse la place il passe à une autre ainsi de suite. Maryse je ne t’interdit pas d’aller coucher dans le lit de Katie et nue si ça te tente mais les filles surtout Katie et Sandie pas entre vous des sœurs. Maryse chez elle il se considère comme des sœurs mais ce ne sont pas des sœurs de sang comme vous deux il y a une grosse différence. je ne vous punie pas et si c’est plus fort que vous gardez ça secret n’en parlez a personne c’est de l’inceste que ça s’appelle et personne d’autre que vous deux doit le savoir y compris Maryse toi aussi tu gardes le secret tu m’as parue une très gentille fille ce soir quand on a jaser ensemble c’est pour ça que je te laisse coucher dans la chambre de Katie si vous faite rien ici ça sera probablement demain chez toi alors vous êtes libre. Moi je vais me coucher il est tard et allé vous mettre quelque chose sur le dos c’est indécent de se promené nu.

Maryse

             Francine retourne vers sa chambre et on la suit toutes, Sandie prend sa mère par la taille pour la collé, elle très belle femme à quarante ans je lui en aurais donné pas beaucoup plus que trente ans, Sandie lui met la main sous la chemise probablement pour sondé le dessous de sa chemise de nuit, son bras et sa main on fait que la chemise c’est relevé un peu, on distingue les fesses de Francine elle ne porte pas de sous-vêtement dessous et Katie l’a vue. Katie donne une claque sur les fesses a sa mère, maman dit-elle toi aussi tu te promènes les fesses a l’air. Francine demande a Sandie d’enlevé sa main de sous sa chemise il n’est pas question que je me laisse faire par mes filles, c’est pas touche les filles.  Katie et moi on rentre dans la chambre pour se couché  et supposé dormir mais… 

          

  

 

 

lundi 18 octobre 2021

Être impolie coute chère Les fesses de Maryse s'en ressentent



 

Lucia est une des assistantes de Julio le chef du vignoble du Domaine richard

Mais depuis une semaine, Lucia a l’aide de Maude et Maryse, deux des filles des propriétaires qui sont en congé scolaire. Le surplus d’ouvrage qu’occasionnent les vendanges et notre manque de personnel ne nous donne pas le choix, tout l’aide disponible, on l’utilise. Avec Maude tout va bien, elle fait tout ce qu’on lui demande, elle doit encore avoir en tête la punition qu’elle a subie ici, il y a un quelques mois devant les employés.

Mais pour Maryse, c'est tout autre chose, elle n’écoute pas du tout les consigne de Lucia qui l’envoie travailler dans les entrepôts avec d’autres employés pour apprendre comment se passe le temps des vendanges. Mais elle revient toujours au magasin qu’on a pour la vente des produits du vignoble et/ou les gens se présente pour les visites guidées qui sont disponibles. Moi, Julio, le grand patron de ce vignoble, je n’ai pas le temps de gérer tous ces employés-là. À cette époque de l’année je suis occupé a la récolte du raisin et de tout le déroulement qui entoure cela. Dès le lever du soleil jusqu’au coucher et même plus tard parfois. Ce matin, je reçois un appel de Claude, ma nièce qui est la propriétaire de ce vignoble et la mère adoptive des deux filles Maryse et Maude.
Bonjour Claude, qu’est qui vaut ton appelle, as-tu un problème. C'est très rare qu’on se parle en pleine semaine et surtout toi qui m'appelle occuper comme tu es ça doit être très sérieux. 

Oui, me dit-elle, c’est ta nièce Lucia, elle vient tout juste de me parler. Et selon elle Maryse lui occasionne des problèmes. Paraîtrait que Maryse est arrogante avec elle et le personnel et en fait qu’à sa tête, est-ce vrai. Bien oui Claude, j’ai parlé personnellement avec Maryse hier et je l’ai prévenue que si elle ne changeait pas, je lui réservais une bonne punition. Mais je vois que ça n’a pas changé puisque tu m’appelles et que Lucia t'a dérangé elle aussi. Claude me dit qu’elle a donné l’autorisation à Lucia de la punir à sa manière et même si Maryse a dix-huit ans et qu’elle fait partie des propriétaires du domaine. Lucia a tous les droits de lui donner une punition, une fessée et qu’elle ne se gêne pas devant tous tes employés si elle le désire. J'aimerais que tu rappelles Lucia me demande-t-elle pour lui dire toi aussi qu’elle ne se gêne pas pour la punir ou toi Julio si Lucia n’ose pas le faire. Claude me dit qu'elle en pour encore jusqu’à demain à être à paris. C'est pour ça qu'elle ne peut pas m’occuper elle-même de Maryse, car les fesses lui chaufferaient si elle était à la maison présentement. C’est très bien Claude, lui dis-je, m’en occupe immédiatement, j’appelle Lucia, bonne journée.

Lucia- 

 Apprêt avoir reçu l’appelle de Julio. Je sors de mon bureau, il y a une bouteille de vin qui traîne sur mon meuble et je l'amène avec moi pour la replacer dans les tablettes en même temps que je vais vérifier ce qui se passe. Je traverse la boutique, voire Maryse qui est encore revenue dans la boutique de vente et a l'air agressive envers mon employée. Justement, Maryse est en train d'envoyer mon employée travailler dans les entrepôts. C'est elle Maryse qui va s’occuper de la boutique lui dit elle. J'ai déjà pourtant défendu à Maryse cette semaine de déplacer les employés sans mon accord. Elle n’a aucune expérience et connaissance dans les vins, ce n’est pas à elle de décider ou doit aller travailler les employés. Et en plus la fille que Maryse envoie est très compétente où elle est. Je demande à Francine l’employer que Maryse avait dit de partir, de rester en poste. Le mobile de Maryse somme et c’est sa mère Claude qui l’appelle, quelques secondes plus tard Maryse raccroche et est très contrariée de ce que vient de lui dire Claude. Elle me dit que Claude vient de l’avertir que moi, j'avais pleinement le droit de la punir. Je lui dis que j'étais déjà au courant, Claude venait tout juste de me donné la permission de la punir si elle continuait à être si arrogante et impolie.

Maryse me met en garde devant deux couples des clients qui étaient devant nous pour des achats de ne surtout pas s'essayer de la punir. Que je n’ai aucun droit sur elle en rajoutant quelques insultes. La femme de l’un des deux couples nous regarde tous les deux, Maryse et moi et demande à sa fille d’environs 13 ans. Patricia, qu’est-ce qui t’arrive si tu oses être impolie envers nous comme la jeune fille qui est devant nous (en parlant de Maryse) l'a été avec sa patronne. Patricia hésite, sa face rougie par la gêne. Pour faire réagir sa fille, sa mère lui donne une petite claque sur les fesses pour qu'elle réponde à ma question, qui d'après-moi n'est pas si indiscrète que ça. Ne sois pas gêné de parler de tes punitions que tu reçois Patricia, quand tu es impolie, ou c’est moi qui leur dit. Patricia se décide à répondre. 
 
Quand je suis impolie ou je fais des gaffes, c'est une fessée que je reçois toute timide, en tenant sa tête baissée et regardant le plancher, nous répond elle. Sa mère rajoute, ça la gêne qui la retient de parler, qu'elle reçoit la fessée à son âge. Parce que en temps normal Patricia parle beaucoup. Et je ne me gêne pas pour lui mettre les fesses à l’air. Habituellement, c'est dans le salon et très souvent nue que je la puni. Et devant tout le monde qui si trouve que je punis Patricia et sa sœur aussi, ma plus vielle, et elle a presque 16. Étrangers ou visite, cela n'a pas de différence. Si je dois les punir, c'est dans le salon et pas ailleurs que ça se passe. Sa mère rajoute, je n’en reviens pas comment cette jeune fille est insolente envers sa patronne, en s’adressant à Maryse, elle continue à s'adresser à Maryse. Ma Belle, une chance que tu n’es pas ma fille, lui dit-elle, les fesses te chaufferait.
 
Tu recevrais une fessée ici même dans cette boutique, le robe relevée, fesses a l’air devant tout le monde même à ton âge. Son conjoint l’approuve en riant. L’autre couple, eux, me disent qu’il y a peine quelques minutes, ils avaient demandé à Maryse si une sorte de vin qui n’était plus dans la tablette, la bouteille que je tiens dans mes mains justement, étais toujours disponible. Il y en a-t-il encore en arrière-boutique, lui avais-je demandé. Mais votre effrontée d'employée, m'a répondu d’en choisir un autre, sorte qu’elle n’avait pas le temps d’aller voir. Francine me confirme qu’il y en avait beaucoup de bouteilles à l’arrière. Ça m’a mise hors de moi et j’ai demandé à Francine, l’employée, d’aller en chercher plusieurs bouteilles, de les ramener en avant pour remplir le vide de la tablette et de rester à son poste. Moi, je vais m’occupée de Maryse pour qu'elle ne l'achale plus.
 
Je demande aux deux couples s’il avait un peu de temps de libre. Les personnes me répondent oui. Alors, attendez-moi ici, je vous, je vais revenir vous cherche. Je vous invite. Nous irons tous déguster un verre de vin dehors à l’arrière sur notre terrasse. En même temps que je les invite, je prends Maryse par un bras et lui ordonne de me suivre et on traverse à l’arrière-boutique pour lui parler. Un autre employé, Fabien, si trouve dans l'arrière-boutique. Je lui demande de s’occuper de Maryse et de faire sortir Maryse sur la terrasse. Occupe-toi d'elle dix minutes et qu'elle reste polie et surtout qu'elle ne bouge pas de la terrasse, attendez-moi tous les deux. Je le rejoindrai avec mes invités dans pas long. Fabien reprend Maryse par un bras en ayant un grand sourire. J'ai l'impression qu'il sait ce que je vais faire à Maryse. Maryse proteste et demande à Fabien de la lâcher, elle est capable de marcher seul, mais Fabien ne lui lâche pas le bras et la fait sortir, sans s'occuper de ses plaintes.

Je fais sortir mes clients et invités avec moi et les amène à notre terrasse privée où on mange le midi, et je leur serre chacun verre de notre meilleur vin. Sauf Patricia bien entendu pour elle c'est un breuvage non alcoolisé. Maryse et Fabien attendent. Je demande à Fabien de changer sa prise. Fabien croise les bras de Maryse dans son dos s'il te plaît, lui demandai-je, et maintien là solidement sans la lâcher, je veux que Patricia s'approche de la table. Fabien m'obéi, l'emprisonne et approche Maryse à l’extrémité de la table à pique-nique. Maryse s'approche de la table malgré elle, poussé par Fabien, et ses cuisses touchent le bord de la table. Je demande à Maryse de se penchée sur la table et écrasé son ventre et sa poitrine sur le dessus de la table. Elle résiste, ne veux pas se pencher, elle se doute trop bien à quoi je veux en arriver, mais avec un peu d’aide de Fabien, elle est vite étendue, la face collée sur la table et les fesses bien exposées. Je me penche et regarde le postérieur de Maryse et sa robe qui recouvre encore ses fesses, juste à la limite de pouvoir voir sa culotte. Fabien lui maintient fermement les bras croisés dans son dos. Elle est immobile sans pouvoir bouger et me supplie de la laisser.


Maryse installée à mon goût. Maintenant, je m’adresse à Patricia la jeune. Patricia dit nous quand tes parents te punissent qu’est-ce qui t’arrive ? que t'oblige-t-il à faire ? Quelle tenue il t’exige à prendre ? quand ils te punissent ta mère m'a dit qu'elle t'obligeait à montrer tes fesses si j'ai bien comprise. Patricia toute surprise répond que ses parents quand ils veulent me punir l’oblige a, soit enlever sa robe si elle en porte une où quitter son pantalon si c'est le cas. Car lorsque qu'elle porte une robe, sa mère déteste cela. Ça retombe toujours sur les fesses si je bouge selon elle. Ensuite, quand sa robe ou son pantalon est enlevé, c’est sa culotte qu'elle est obligée d’enlever. Souvent, sa mère l'oblige à enlever le reste de ses vêtements, t-shirt, camisole, même mes bas, me dit-elle. Habituellement, c'est nu de la tête aux pieds que ses parents la punissent, d'après Patricia.
Patricia, maintenant que tu nous as décrit comment tes parents te punissent à ton âge, crois-tu que Maryse a 18 ans mériterait ou devrait recevoir une fessée cul nu, elle aussi. Patricia ne me répond pas, mais sa mère, elle me dit oui Mme. Il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne correction et c'est fesses à l'air que ça se donne une vraie fessée. Ma plus vielle, la sœur de Patricia, à 16 ans ou presque et elle aussi, je la punis très fréquemment nue dans la salle de séjour, rajouta-t-elle.

Bien alors, j'approuve leur demande et je prends le bas de la robe de Maryse sous ses fesses. Je relève la robe dans son dos sur ses bras que Maryse a de croisés et retenue par Fabien. Ça nous laisse voire son petit string rouge qui pénètre, entre ses fesses blanches et pleine de plaques rouges, l'essentielle, son intimité est toujours protégée.
 

Maryse est furieuse, proteste et essaie de se dégager, mais ne peut rien faire, Fabien l’immobilise. Elle peut juste se plaindre, et personne autour d'elle s'occupe de ses plaintes. Arrête de parler, lui dis-je, et je lui claque les fesses avec ma main pour qu’elle se ferme. Quand as-tu été puni la dernière fois, c'est très récent à ce que l'ont peu voir. Ça doit faire à peine quelques heures. Tes fesses ont encore des marques rouges. Maryse, encore aussi furieuse, me répond de me mêler de mes affaires, que ce n’est pas le résultat d'une fessée ces marques et ce n’est pas de mes affaires les plaques rouges. C'est supposer, rester intime cette endroit-là.

Tu vois Patricia la différence avec toi et Maryse. C'est que Maryse est chanceuse elle. Je ne la ferais pas déshabiller nu devant toi. Mais pour la fessée, même si elle proteste de toutes ses forces. J'ai décidé qu'elle va la recevoir, fesse a l’air dehors ici devant tout le monde comme une petite fille impolie le mérite. Mais même si son petit sous-vêtement nous laisse voire ses fesses et qu’elle n’est pas d’accord avec ce que je vais lui faire, je ne gênerai surtout pas pour lui baisser à ses chevilles. Ça va être plus humiliant pour elle et plus intéressant pour nous de pouvoir voir ses parties plus intimes, et penché comme est Maryse présentement et ses fesses aussi bien exposées, son intimité est dure à rester caché. Je pose ma main droite sur le commencement de sa raie. Je prend le cordon de son string qui sort de sa raie et descend le tout a ses chevilles.


J’arrête de parler et je commence à lui claquer les fesses sans ménager la force que j’emploie. Je lui claque chaque fesse à un rythme très rapide. Maryse essaie de retenir ses cris de douleur, mais ses plus fort qu’elle et supplie d’arrêter. Ses fesses rougissent très rapidement, elles ont pris une belle couleur. Maryse n’est plus capable de garder ses jambes collées, ses jambes bougent et s’écartent assez pour qu’on voie son petit piercing vaginal à l'endroit qu’on appelle fourchette, ou se rejoigne ses petites lèvres. Il y a un petit anneau et je la fais remarquer à tous en la touchant et reprend ou j'ai arrêté.


Après lui avoir claqué les fesses une minute et demie ou un peu plus, j’arrête. Je demande à la jeune Patricia et les autres si les fesses de Maryse sont assez rouges, ç'a l'air satisfaisant. Je me retourne ensuite vers Fabien et lui demande s’il veut bien ne prêter sa ceinture qu’il porte à sa taille. J'ai décidé de faire un petit ajout, un extra à sa punition. Fabien la retire et me la donne. Maryse, elle pleurniche et me supplie de la lâcher. Mais ce n’est pas encore fini, lui dis-je, en pliant la ceinture en deux. Maintenant ma belle Maryse pour ton arrogance et tes sauts d’humeur, je te rajoute un extra sur ta punition 10 coups de ceinture. Ne lâche surtout pas ta prise, dis-je à Fabien. Maryse n'a pas fini d'avoir mal à ses fesses avec la ceinture. J’applique le premier et Maryse lâche un cri, elle hurle.
Je continue à frapper ses fesses sans m’occuper de ses cris et ses pleurnichardes de bébé. Je me rends jusqu’au dixième. Les coups de ceinture sont visibles sur ses fesses ou peut compter presque chaque coup de ceinture que Maryse a reçu en travers de ses fesses. Je fais remarquer encore une fois à Patricia et les autres son piercing intime et demande à Fabien de la redresser debout sans lâcher sa prise sur les bras de Maryse. Maryse espérait que sa robe descende de par elle-même par la gravité. Mais elle reste en place dans son dos, ses bras sont retenus croisés dans son dos par Fabien, et sa robe aussi reste coincée avec ses bras, ses fesses restent bien exposées.

 Debout Maryse pleure comme une petite fille et demande a Fabien de la lâcher. Elle veut redescendre sa robe, mais Fabien la retient toujours et la robe aussi avec ses doigts pour qu’on admire le résultat de la fessée, la belle couleur de ses fesses. Patricia dit à sa mère à comparer à mes punitions et celle de ma sœur Maryse s’en tire bien. Elle a montré juste ses fesses. Moi, c'est toujours nu que je dois rester et les mains sur la tête après m'être fait rougir les fesses.

Hier ma sœur après sa fessée à passer l’après-midi nu debout main sur la tête au centre du salon devant tous nos cousins et cousines. Et ta sœur, quel âge a-t-elle, lui demandè-je ? Je crois avoir entendu qu’elle a 16 ans. Oui Madame, me répond Patricia. Je réfléchis à ce que Patricia vient de nous dire. Je regarde ma grande impolie qui est âgée d'à peine deux ans de plus que sa sœur, mais pas plus mature qu'une gamine de dix ans qui est devant nous. Je demande à Fabien de relâcher les bras de Maryse qui a toujours des larmes qui coulent sur ses joues. Maryse ayant les mains libres se frotte les fesses instinctivement par-dessus sa robe qui a repris sa place quand Fabien lui a relâché les bras. Malheureusement ç'a eu pour effet de mettre ses jolies fesses rouges à l’abri des regards. Son string lui est toujours au sol près de la table. Je le ramasse et le donne à Fabien pour qui le garde avec lui Ça là fait sourire et il s'empresse de dissimuler dans l'une de ses poches.

Je reprends la ceinture que j’avais mise sur la table, la replie en deux et frappe avec mon autre main en disant à Maryse. J'ai changé d’idée maintenant et tout le monde va être d'accord avec moi ici. Tu enlèves ta robe et ton soutien, c'est nu que tu passeras les 30 prochaines minute devant nous. Tu te mets à poil et reste au piquet 30 minutes ici au centre de la terrasse. Tu m'as bien comprise Maryse sinon je te claque les fesses jusqu’à temps que tu te déshabilles. Il faut que tu nous montres ton joli corps et tes fesses. On veut tous vérifier le résultat de ta fessée et terminer ta punition aussi, pendant que moi et nos invités ferons la dégustation de quelques produits de notre vignoble. Fabien va aider Francine s’il te plaît à préparer d'autre produit pour notre dégustation et quelques bons fromages que ma cousine produit juste ici en face de l'autre côté du chemin. Je vois que Maryse ne veut pas enlever sa robe, elle la tient par le bas avec ses mains et refuse de l’enlever. Très bien Maryse, je vais obliger à obéir si tu refuses. Je m’approche d’elle et lui donne un bon coup de ceinture sur ses fesses. Maryse, je retourne face à moi pour éviter que je lui frappe encore ses fesses. Ok Lucia arrête se t’en prie plus de ça mes fesses me font assez mal. Je t’en prie, plus de coups sur mes fesses, je l’enlève. En se retournant dos à nous, elle défait les boutons un par un de haut en bas à l’avant de sa robe jusqu’au dernier et la robe rouvre en deux. Tu vois Patricia comment Maryse est rendue obéissante. Maintenant, elle va être punie comme tu me l’as suggéré, peu importe l’âge et le lieu, quand une grande isolante mérite d’être punie, on la punie comme elle le mérite.

Maryse est maintenant nue. Je lui demande de se positionner au centre et lui dit ma belle, c'est très humiliant d’être nu en public et je le s'ai moi aussi, je l'ai déjà été punie ici même sur cette terrasse. Maryse, ça fait seulement quelques mois ou un an, peu-être que Claude t'a adoptée. Connaissant très bien ta mère Claude, je sais que ce n’est pas la première fessée que tu reçois depuis que tu restes au domaine. Je la connais bien Claude et je peux te confirmer qu’au même endroit que nous sommes, Claude ta mère et moi-même, il y a cinq ans, on reçut chacune fessée ici même nue. Tu t’imagines Claude qui à l'époque avait vingt-cinq ans et moi, j'en avais vingt-deux, devant tous les employés de vignoble pendant le repas du midi et à l'âge que j'avais, recevoir une fessée et nu devant d'autres collègues. Toutes les deux attachés au centre ici, c’est mon oncle Julio qui nous a fouetté les fesses. On a eu droit à 20 coups chacune. Après toutes les deux on à passé le reste de la journée nu à travailler dans les entrepôts devant les autres employés et les visiteurs qui venaient. Toi, à dix-huit ans, encore une gamine, ce n'est pas si pire que ça, être punie, une fessée, ça fait juste faire réfléchir une grande effrontée comme toi. 

  En s’exhibant ainsi nu et en face de nous, Maryse nous laisse, voire son joli corps et sa petite ligne de duvet qui arrête au début de sa fente. Patricia me fait remarquer que Maryse a un deuxième piercing, cette fois-ci c’est une petite boule juste à la fin de ses grandes lèvres, au haut de son clito, à la fin de sa fente. Je lui demande, Claude à surement déjà vue tes piercings . Vous êtes toujours nus à la piscine le maillot ne se porte pas chez toi. J'en ai déjà fait moi-même l’expérience plusieurs fois pour avoir été me baigner chez toi et ça me plait beaucoup à chaque fois que je rends visite à Claude. En plus de la baignade nue, si tu as un petit copain, lui, il doit aimer ça, aller jouer sur ta boule en haut de ta fente.

Maryse très mal à l’aise se croise les jambes et me dit qu’elle n’a pas de petit copain. Cela fait seulement quelques jours que Claude s'en est aperçue. Et pour, elle aussi, c'est nouveau. Elle nous dit que ça fait moins d'un mois qu'elle s'est fait installer ces piercings. Quand Claude, c'est rendu compte qu’elle avait des piercings à ces endroits -là. Claude l'aurait sévèrement punie sur les genoux à la main et ensuite Claude a pris une brosse à cheveux et lui aurait claqué les fesses jusqu’elle la supplie d’arrêter.

Maryse   

    C’est pour ça que tu as vu des marques encore visibles après deux jours. A la fin de la semaine dernière, vendredi matin, le lendemain de ma punition à l’institut ST-Thomas. Une de mes profs a décidé de faire une vérification surprise à l’entrée de la salle de cours pour notre tenue vestimentaire, ce qu’ils font assez régulièrement chez les filles. On doit remonter notre jupe pour montrer si on porte la culotte de coton réglementaire qui nous recouvrent les fesses. C’était seulement quelques heures après ma punition. J'avais le haut de mes cuisses rouges et en relevant ma jupe la prof et mes camarades ont tous vue le haut de mes cuisses et ont vite fait le lien avec mes fesses qui devait être aussi rouges sous ma culotte. Mes camarades ont tous ris de voir mon derrière mal en point. J’étais gênée. J'ai même eu du mal à poser mes fesses sur ma chaise. Même que ma prof pour m'humilier plus m'a demandé si je voulais rester debout pour son cours et si je voulais enlever ma jupe et ma culotte. Car selon elle, j'avais l’air à avoir du mal à supporter ma culotte et ma jupe qui frottait sur mes fesses, selon elle mes fesses avait l’air à me faire mal.

    Plus tard après notre petite dégustation avec les clients Maryse étant toujours debout nu mains sur la tête. Je demande à Maryse de demander pardon à nos invités pour son manque de politesse et de les remercier pour avoir assister à sa punition. elle s’exécute poliment, je lui donne la permission  de se rhabillé et d’aller travailler dans les entrepôts avec les autre. Fabien lui redonne son string Maryse c’est empresser de de l’enfiler, pendant que Maryse se rhabille devant nous je dis aux invités et clients qui sont avec moi sur la terrasse, des fois ça prend une bonne fessée pour faire réfléchir une fille lui montré qui est le patron. La mère de Patricia me questionne sur ce que j’avais dit au sujet de mes punitions ici et si c’était vrai. Oui je vous le dit sans aucune honte ici même sous cette arbre j’ai reçu plusieurs punition Jai déjà été très rebelle Monica et mon oncle m’ont apprise que ce n’était pas ça la manière de vivre se foutre de tout l’monde.

           Mes fesses on beaucoup souffertes et mon intimité aussi demander à Fabien lui ça fait 12 ans qu’il travaille ici il m’a déjà vu ici sur cette terrasse ou dans l’atelier nu me faire claquer les fesses. J’ai toujours survécu à mes fessée mais mon orgueil elle j’ose pas trop en parler quand a l’occasion les employées se mettre à parler des punitions qui se sont donner ici et surtout les miennes mes punitions en mangeant tous ensemble ça me gêne sa m’humilie d’entendre dire qu’ils adorait ça me voire nu quand mon oncle me ramassait par un bras rouge de colère.

 Les collègues me disent, on avait tous hâte que Julio te fasse déshabiller. Ça me gêne a chaque fois qu'ils en parlent. Même si je sais que ce soit moi ou Maryse qui serait nu cette après-midi, on est toutes faites pareille. Mais c’est notre pudeur qui en prend un coup. Patricia la punition que Maryse a reçue tout à l’heure, ce n'est rien à comparer à moi ce que j'ai reçu la dernière fois. Il y a 6 ans, j'avais 21 ans à l’époque, une de mes dernières punitions et la pire. J'ai été punie toute une semaine cinq jours d’affilée. Julio et Monica qui dirigent le vignoble ou voulu me dompter, me donner une vraie leçon cette fois-là, ils m'ont punie très durement et ça m’a fait réfléchir. 

À tous les matins, Monica m’attendait dans l’atelier et me donnait 20 coups de strap pour que mes fesses deviennent colorées et le restent toute la matinée.Le midi, je recevais une autre fessée, encore 20 coups de strap sur mes fesses, toujours nu ici sur cette terrasse, demande à Fabien. Il peut certifier mes dires. Il en a été témoin avec les autres employés. Et en plus j'ai été privé de vêtement durant ces cinq jours qu’a duré ma punition. J'ai dû travailler nu privé de mes vêtements dans un des entrepôts le plus achalandé, le no 3 au fond là-bas, devant les gens qui circulaient. Visiteur, employé, livreur tous me voyaient nu. je te dis Patricia quand tu es nu devant 20, 30 personnes et plus et que tu es la seule en plus à être nu, tous les autre sont vêtus, c'est humiliant. Ce n’est pas pareil qu'entre amies et on est toutes nues sur le bord d’une piscine. Si j’essayais de me cacher, me mettre à labris des regards, Monica avait donné l’ordre à un des employés qui me surveillait au travail de me punir sur place.

  Monica me donnait des endroits pour travailler ou la circulation était la plus dance. Et même ma mère, elle aussi, elle m’obligeait à sortir nu le matin, traverser le petit sentier en arrière, à l'époque, on habitait dans la maison à côté. Ma mère voulait que j'arrive ici nu durant mes cinq jours pour commencer ma journée, je sortais de la maison que j’habitais jus à côté, on la voie là-bas dans les arbres et je traversais ici nu pour travailler. 

 Fabien- Oui, c'est bien vrai ce qu’elle vos dit Lucia, et un an plus tard avec Claude la mère de Maryse et elle Lucia qui ans trois ans de plus jeune que Claude. les deux ont été punies ensemble ici dehors. Elles étaient à l’époque très complice, de très bonne amie et les deux. Ce jours-là, elles ont refait une autre bêtise et cette fois-ci les deux ont été punies ensemble. Vous voyez le poteau ici sur le côté gauche de la terrasse et l’autre poteau a la droite qui sert de support pour les lumières. Claude et Maryse ont été attacher à chacun de ces poteaux, l'une par un poteau, par un poignet et l'autre par un poignet à l'autre poteau et au centre, elle étaient attachées l'une à l'autre par leurs poignets. Les deux filles étaient au centre de la terrasse nue les bras écartés attaché l’une a un poteau et l’autre à l’autre poteau et les poignets relier ensemble. C’était la première fois que deux filles ou des employées recevait une punition ensemble et attacher ainsi au beau milieu de la terrasse. Je m’en souviens très bien, trente coups de ceinture a chacune, Lucia en a eu pour deux jours à s’assoir.

Lucia- 
 
Oui, c'est la pire punition en frais de douleur et humiliation. Car juste avant qu’il nous attache toutes les deux, on avait reçu chacune une magistrale fessée à la main sur les genoux, moi de Julio et Claude, c'était Monica qui s'était occupée de ses fesses. Les fesses me brulaient pendant qu’il nous attachait ensemble. J'en pleurais et même si j’étais exposée devant tous les employés, je ne pouvais pas me retenir de pleurer. Je ne m’en rendais pas compte tellement j’avais mal à mes fesses, que je pleurais comme une gamine devant mes collèges. Plus tard, quand la strappe qui s'est abattu sur mes fesses déjà brulantes, ce fut horrible ces trente coups. C’est juste après être détachée et qu’on m’a aidé à m’allonger sur une table à plat ventre, car je n’étais plus capable de m’assoir et de me tenir debout, que j'ai réalisé comment j'avais été exposer et attacher nue au centre bras tout grand écarté et étendue de chaque côté.
 
Je remercie mes clients et la belle Patricia et je dois retourner a mes papiers en ayant en tête, mais mauvaises punitions du passer et en me frottant les fesses de ces mauvais souvenir d’ado qui me revienne.

          

        

 

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...