À 7:00 du matin, j’arrive à mon bureau, je m’installe, rouvre mes dossiers du jour et Laurie, une employée âgée de 23 ans et qui a environ un an de service en sécurité ici avec nous et à qui j’ai demandé de venir nous aider, arrive frappe à ma porte. Elle ne dit bonjour M Lepetit. Je lui dis bonjour Laurie comment ça va ce matin ton mauvaise expérience d’hier ne t'a pas, empêchez de dormir cette nuit j’espère. Elle me dit que non mais a encore un peu mal aux fesses et pour le reste tout va bien. Elle est vêtue d’un beau petit chemisier rose pâle semi-transparent et avec le décoté assez bien prononcé. On s’aperçoit très bien qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Et en plus, elle porte une jupe plissée rose pas mal courte, elle aussi qui fait bien son âge. Je la complimente sur sa tenue vestimentaire et commence à lui montrée les images des caméras de la soirée du vol. Je lui explique ce qui arrivera avec Natacha et elle sera ici pour 7:30. Pour les deux autres suspects c'est à 8h00 qu'on devrait les recevoir quand les gardiens les intercepteront dans les couloirs.
Je lui dis les mains, tu les gardes sur la tête et je continue en disant, mais hier quand le commerçant t'a reconnu. Pourquoi tu n’as pas dit que s’était toit et que je n’avais rien à voir dans cette affaire-là au lieu de me faire humilier et me faire claquer les fesses pour rien. Elle me répond, je ne voulais pas être la seule à subir la punition qu’elle redoutait recevoir. J’aurais aimé que tu sois seul à te faire mettre nue et recevoir la punition, j'ai toujours été jalouse de toi, rajoute-t-elle. Je me retiens la main pour ne pas lui rougir les fesses, ça me démange, mais j’ai promis à M lepetit de me retenir Mlle laprise viens nous cherchez et dis les filles dans l’autre salle, vous êtes attendus.
Rendus dans l’autre salle, Doris et Philippe sont nus et les coude appuyiez sur la table. M le directeur dit à Natacha, pend place au côté de Doris dans la même position que les deux autres, toi Laurie, tu t’occupes de qui dans les trois ? me demande M le directeur, ma réponse a été claire et rapide. Natacha ce qui a fait rire M Lepetit M le directeur dit alors moi, c'est Doris, je veux qu’elle me dise ou sont les trois autres objets qu’elle a volés pendant que M Pogne fouille son casier et Mlle Letarte il vous reste Philippe. M Lepetit prend la parole, on commence tous ensemble à les punir et quand je jugerai que cela seras suffisant, on arrête ensemble. On décolle les trois ensemble, moi, je m’en donne à cœur joie en frappant d’une fesse à l’autre très rapidement pour qu’elle en reçoive le plus possible et que ses fesses prennent une belle couleur, M Lepetit nous arrête au bout d’un certain temps et on regarde les postérieurs des trois punis et le résultat est très satisfaisant pour l’instant d’après M Lepetit. Mais moi, j'aurais continué à y rougir encore son beau petit cul. Mademoiselle Letarte moi, je l’appelle mademoiselle parce que moi et elle n’avons qu’une année de différence, elle 24 ans et moi 23 donc ça m’insulte de me faire dire madame.
En réfléchissant à ce que je vais dire aux jeunes pour ne pas trop
tomber dans la porno ou être trop vulgaire. Je commence ma réponse en
lui disant chez une fille, il y a deux places très sensibles pour
l’exister. Rapidement, la première, c'est la caresse de ses seins. Et la
majorité d'entre nous, on adore cela, se faire caresser tendrement les
seins. Et la deuxième est les caresses sur le sexe, la pénétration, et
les fesses, c'est aussi excitant, mais moins que les deux premières.
Mais la poitrine, c'est très gagnant pour l'excitation. Je prends le
sein droit de Natacha en le tâtant, le pincent gentiment. Je change
ensuite pour le gauche, joue avec ses deux mamelons. Je m'amuse à
tourner ses petits bouts entre mes doigts et Natacha aime cela, ses
petits bouts durcissent. Je ne pensais jamais que Natacha pourrait
devenir excitée en public malgré la gêne et l'humiliation, elle réussit a
mouillé et ses seins pointent très dur vers les jeunes devant elle.
Je montre le résultat aux gars. Vous voyez, c'est ça une fille qui
commence à être excité et vouloir jouir. J'entre deux doigts dans sa
fente' je monte et descend dans sa fente et les ressorts. Regardez mes
doigts, ils sont tous mouillés. Ce liquide-là qui sort du vagin d'une
fille et que j'ai sur mes doigts, ont appel cela la cyprine. Un des gars
dit ça veut dire que sa vulve devient trempé si le bout de ses seins
sont pointé. C'est un peu plus compliqué à expliquer, mais plus ou moins
vrai, cela dépend du contexte, lui répondais-je. Mais avec mes caresses
que je viens de lui faire, elle a commencé à avoir des réactions, c'est
pour ça que son sexe est trempé commença. J'entre encore une fois mes
doigts dans sa fente, entre sur le bord de son vagin et les remontent
jusqu’à son clito, je les expose encore une fois aux gars. Ils
constatent que mes doigts sont encore bien trempé. Natacha, elle, est
morte de honte et est impuissante, elle est obligée de me laisser faire
et endurée. Attachée nue au milieu
d’une gagne de gars qui la regardent sans arrêt.
Le premier gars qui m’avait posé une question me dit ma sœur a de plus grosse boule qu’elle. Et toit, je lui demande, ta sœur la voies-tu souvent nue, tu as l'air de la connaître par-cœur de la tête au pied pour la décrire comme ça. Il répond à part mon père dans la journée d'hier, ma mère hier soir encore après le repas, elle là obliger à se dévêtir devant ma cousine et ma tante. Et elle lui a redonné une autre solide fessée dans le salon, entièrement nue. Je ne voulais pas rater cela. J’ai assisté à sa punition avec ma cousine et ma tante.
Ma mère était en furie contre elle et c’est ma mère qui nous a reconduit ici ce matin. Elle voulait être sûre qu'on s'occupe de punir encore ma sœur pour ses agissements. Elle doit être en punition présentement, elle aussi, je crois que c’est à la cafétéria qu'elle recevra sa punition ce midi. Mais aussi à l’occasion quand elle sort de la douche, elle traverse le couloir pour aller dans sa chambre. Elle est souvent nue. Je lui demande quel âge a ta sœur ? il dit presque dix-neuf ans. Elle commence son troisième cycle et moi quatorze ans et huit mois. Moi, j'avais un frère aussi jeune que toi Jamais je ne me promènerais nue devant lui. d,après ce que tu nous raconte ici des fessées toi et ta sœur, vous en recevez fréquemment.
Le jeune devient la face aussi rouge que les fesses de Natacha gêné que tous ses amis s,apperçoivent qu'il reçois le fessée chez lui a son âge. il me répond, moi ça fait longtemps quelques jours même quelques semaine que je n'en ai pas reçu. Mais ma sœur elle assez souvent, surtout depuis une semaine. Le professeur me dit que l’an dernier ici a l’institut a la salle de retenu sa soeur au jeune a reçu environs quatre et peut-être cinq punitions. Un autre gars me dit toi, tu n’as pas de soutien-gorge et ça se voie dans ton chemisier. et rajoute sous ta jupe aussi, tu ne dois pas avoir de culotte montre nous penche toi. Je lui demande comment il peut dire ça mon chemisier et si transparent que cela. Ce n'est pas rien que la transparence qui me fait dire cela. Mais quand tu frappais ses fesses, tu te penchais asser pour que l'on voie tes seins. aussi juste à la manière qu’ils branlaient dans ton chemisier, on voyait qu’ils étaient à l’aire. La gêne me gagne et le professeur pour changer la conversation nous dit. Je vous remercie mademoiselle pour votre cours d’anatomie, mais nous les gars, on commence notre cours. Je m’assois sur un banc qui est à côté des vestiaires et face à Natacha. Même si je lui en veux beaucoup, je la trouve très belle, entièrement nue, debout devant moi, exposée et impuissante à se cacher. Natacha, c'est retourné face au mur et moi pour essayer d'être moins exposée, aux jeunes qui jouent dans la salle. Les gars la voient que de dos. Moi, être dans sa tenue et attachée à sa place, j'en ferais autant, c'est la seule manière d'en caché le plus. Je m’aperçois que plusieurs gars ne suive pas le cours. Il cherche à aller voir Natacha se rapprocher d'elle. Surtout la regarder de face. Ce n'est pas juste que ses fesses qu'ils veulent contempler, mais le reste aussi. Le professeur les rappelle à l’ordre et vient en ma direction. je le trouve très beau, je ne sais plus où regarder, un peu gêner qu'il s'intéresse a moi. Il me demande si je peux sortir Natacha de la salle et la ramener avant le début de l’autre cour a la même place. D'accord M. je détache le poignet droit de Natacha et traverse la menotte de l'anneau. je referme ensuite la menotte sur son poignet. Suis moi Natacha on traverse toutes les deux de l’autre côté du mur qui sépare la grande salle en deux. De l'autre côté je voie que Claude avait déjà détaché Philippe de son anneau. Claude suggère d'aller passer la période dans un lieu secret pas loin d'ici avec nos deux punis. Pas grand monde le connaît encore cette place dans le sous-sol de l’institut. Mais probablement va servir souvent cette année. Je lui dis que ça m’intéresse et je la suis avec Natacha. Tous sortis du gymnase, on aperçoit au bout du couloir qu'il y a une porte en bois fermée. Claude a la clef et la débarre, nous rentrons tous. C'est un bureau, Natacha et Philippe nous disent que c'est froid, marché pied nu sur le ciment n'est pas du tout confortable. Claude commence à m’explique l’histoire de ce lieu. Il y a une porte qui est ouverte au fond du petit bureau, on y aperçoit plusieurs portes de chaque côté d'un étroit couloir. Claude nous fait traverser toutes les quatre. On se dirige au bout de ce couloir qui débouche sur une grande salle avec peu d'éclairage, c'est un peut sombre. c,est plein d'objets étranges accrochés au mur, des fouets, des photos et autre. Il y a aussi dans un coin des meubles qui ressemble étrangement à des choses de torture. Claude fait installer Natacha et Philippe sur un long banc de bois, les pieds montés sur ce banc pour réchauffer leurs pieds. Elle me fait visiter les cellules qui sont de chaque côté du couloir qu'on vient tout juste de traverser. C'est ici que toi Natacha et Philippe passerez les trois prochaines nuit, voici vos lits. Ils sont tous neuf, ces matelats-là. M. Pogne vient de les installer hier. On continue la visite. Il y a les douches et au bout de ce couloir que je n'avais pas vu encore dans l'obscurité. En allument les lumières, on les aperçoit ces douches. On distingue très bien aussi les instruments de torture au mur et dans le fond de la pièce. elle me raconte vite l'histoire de ce lieu. Que c'était autrefois un couvent, le deux punis eux se sont toujours assis sur un banc en face des douches et nous regarde et les murs. L’inventaire est impressionnant. Des fouets, il y en a de plusieurs longueurs, on a le choix. De très court à plus long, il y en a plusieurs. Des paddles aussi, il y en a de plusieurs largeur et épaisseur, des cannes et on trouve deux raquettes style tennis sur table très poussiéreuses elles aussi. Claude me regarde étrangement. Elle me dit à l’époque tous ces instruments devait servir ici dans cette salle, regarde les photos accrochées aux murs. Moi, je lui dis Claude, ça doit faire très mal, recevoir des coups de ces palette-là sur les fesses. Le seul moyen de le savoir c'est d'en faire l'essai. Claude en prend une et me demande de me retournée. tu pourras me le dire c'est toi va en faire l'essaie. je t’en donne quatre ou cinq pour essayer. Je me retourne et me penche. Claude essaie d'enlevé le maximum de poussière de la palette, mais il en reste. Elle me donne quatre coups sur la jupe assez fort. Ca m’a fait mal liu dis-je. c’est terrible, une fille qui en reçois une vingtaine et plus cul nu ça doit être horrible. Claude me donne la palette, c,est à mon tour maintenant, venge toi claque moi les fesses. Je veux essayer pour voire elle se revire et se penche. Claude tu portes une robe trés pâle. il va rester des marques sur ta robe. Elle n’est pas trop propre cette palette. Claude relève sa robe. Frappe-moi sur mon slip personne verra si sa marque et elle se repenche. Je lui en donne quatre sur le slip. Elle se frotte les fesses en disant la même chose elle aussi, que cul nu ça doit faire un mal atroce. Claude me demande, tu as vu la chambre dans le bureau. Je dis, plus ou mois, on est passés vite dans ce bureau. Elle me demande à nouveau. Il y a deux lits, un par-dessus l’autre superposé si tu aimes mieux dans cette chambre. Ce soir je couche ici pour surveiller. Il va avoir cinq étudiants qui vont couchez ici dans les petites chambres. Demain matin, deux d'entre eux doivent être en haut pour 8 h 00 et les trois autres pour 7 h 30. Donc j’aimerais que tu restes avec moi pour la nuit et pour les trois prochaines nuits avec moi, s'il te plaît. cela m'aiderait beaucoup pour les surveiller et ça sera beaucoup moin ennuyant pour moi que d'être seul toute la soirée. Demain matin tu te chargeras des trois pour 7h30 si tu veux. C'est bien et j'accepte de rester avec mais vendredi soir je ne peux pas j’ais quelque chose. Elle me dit que ça va et ne t'inquiette surtout pas pour les vêtements de vêtements elle a une valise pleine de robe et de jupe. j'en ai amané pour presque un mois. on est presque de la même taille en plus me dit Claude. mes vêtements devrait te faire. Même les sous vêtement. En poitrine s’est presque identique. Pour la douche j'ai pensé d'allé au vestiaire des filles au gym a l’heure qu’on se lèvera c’est désert. Il est l'heure, on doit retournez ou gym mais avant de repartir Claude vas donner des sandales de plage à nos punis pieds nus. C’est pas drôle ils vont avoir le dessous des pieds noir. Dans le couloir Claude me dit c’est tu que plus je regarde les deux en avant et plus je repense à ce que tu m’a dit un peu plus tôt sur les postérieurs qu’on a devant nous et moi aussi je commence a adorer ça en voir nu. je commence a y prendre goût d’admirez des belle fesses colorées.
Je lui réponds que ce n'est pas un jeu. C'est que Natacha est en punition et c’est moi qui suis mandaté pour ça. On entend mademoiselle, c'est un étudiant qui me demande pourquoi on entend des commentaires par des gars plus vieux qui voie passer une fille sur la rue ou ailleurs et dise, elle, elle doit avoir le clito sensible. Existe-t-il une différence entre vous les filles sur la sensibilité de vos clitos. Je lui dis, ta question m’embête beaucoup. Je n’ose pas et ne sais pas trop quoi réponde et le prof me remet à l'ordre. Il me rappelle que c’est moi qui ai commencé ce petit jeu de question alors c'est à moi de me sortir seul de ce merdier, il me demande de lui répond. Je dis ok et commence en lui parlant que chez les filles le clitoris est une des parties la plus sensible de notre corps pour en arriver à la jouissance, comme pour vous les gars votre pénis et vos testicules. Je leur demande, savez-vous exactement qu'est-ce qu'un clitoris, et surtout où il se situe dans le sexe d'une fille. Plusieurs d’entre eux me disent qu’ils ont une petite idée mais ils ont l’air a ne pas trop le savoir. Bon commençons par le début. Je viens pour mettre ma main sur la vulve de Natacha, mais elle se croise, les jambes très serrées. Je demande alors aux deux gars qui sont de chaque côté de Natacha de lui prendre chacune une jambe et de lui distancées un peut les jambes. Mais vos mains pas plus haut que les genoux c'est un ordre,et sans que ses pieds débarque de la chaise et maintenez-les fermement. Les gars tout content de se rapprocher et touchée Natacha prennent chacun une jambe. Sans trop monter haut sur ses cuisses ils écartent ses jambes et on peu manitenant voire son sexe qu'elle tient bien rasé. Placé juste à la bonne hauteur tout le monde à l'alentour peuvent distinguer les moindres détails du spectacle qu'offre Natacha. Moi je rentre un doigt de chaque côté de sa fente et écarte ses lèvres pour que l'on voi l'intérieur de son sexe. Je dit aux gars ce que j’écarte présentement se nomme les petites lèvres. Je leur montre ça ressemble à quoi un clitoris pour ceux qui ne le savait pas. je leur explique en mes mots non scientifiques que c'est un genre de minipénis et extrêmement sensible au moindre touché pour une bonne majorité de fille mais pas tous et il se situe au haut de la vulve juste ici. Je leur montre le petit clito à Natacha, les gars veulent tous le voir et à tour de rôle il examine la vulve de Natacha. Je rajoute les gars ne lâchez pas ses jambes je n’ai pas fini de ma réponse. Je vais vous faire une petite démonstration que vous adorerez. Je me mouille un doigt et je commence doucement a lui caressé le clitoris en faisant des petites rotations sur son clito. La réaction de Natacha fut presque instantanée. Le visage lui a changé et les gars ont eu du mal à lui retenir les jambes écartées. Je dis aux spectateurs autour, vous venez de constater que Natacha a un clito sensible, elle aussi, et comme beaucoup d’autres filles. Mais le gars qui a questionner sur le clito en rajoute. Toit ton clito es-tu aussi sensible que celui-là. Le prof me regarde et rie de moi et de ma mauvaise posture. je n’ose pas parler, gêner de me faire demander une chose aussi gênante. Mais à mon tour je réplique et lui demande ton pénis présentement est-il au repos où tu es très sensible toit aussi et bandé. À regarder le sexe d’une fille de si près et en détaille, tu dois sûrement être bandé bien dur. Ses camarades se sont tous mis à rire. Il y en a même un qui lui a dit, je suis sûr que même bander ça reste tout petit son zizi et pas beaucoup plus gros que le clito à Natacha. Le prof rajoute bon assez pour le petit cours, on commence nos réchauffements. Il les fait bouger pour commencer son cours. Moi, je détache Natacha et traverse dans l’autre partie pour rejoindre Claude et Philippe qui nous attendent dans la porte de sortie. On retourne dans le bureau de gardiennage et nos deux punis ont été s’assoir du côté des cellules, moi, je compte à Claude ce que j’ai fait pour la punition de Natacha.
Je me dirige vers le bureau de Mme Beauchamp après avoir installé Philippe dans la salle. Je frappe à la porte du bureau et rentre . Elle me demande. Claude est occupé, ce n’est pas n'est plus elle qui accompagne Philippe. Elle regarde par sa fenêtre et voie Claude qui traverse avec une fille de l’autre côté. Oui Claude et moi on c'est échangé les punis. Mme Beauchamp est une superbe fille. Elle possède un body d’athlète, une poitrine imposante qui ressort de sa camisole sport très moulante, que bien des gars doivent fantasmer à la voir. Je finis par lui parlée au lieu de l'admirée, et lui propose un ajout sur la punition de Philippe. Elle me répond qui ce n’est pas si bête. Cela peut devenir intéressant pour les jeunes étudiantes, et peut-être les faire réfléchir avant de faire des bêtises sans se protéger. Fait comme tu le veux, me répond-elle. Mais elle ne veut pas s'en mêlé, et elle ne touche à aucune partie de son corps. Elle me propose la chaise de bois derrière elle si je le veux. J'amène la chaise avec moi, Mme Beauchamp me suis. Rendu en dessous des anneaux, Mme Beauchamp redescend les anneaux pour donnée du mou aux bras de Philippe. J'aide Philippe à monter sur la chaise, il n'est pas trop d'accord, mais il n'a pas le choix, il prend place sur cette chaise, et Mme Beauchamp ajuste la hauteur des anneaux. Je dis à Mme Beauchamp, on est prêt, elle se dirige vers le vestiaire et fait entre les étudiantes, qui sans surprise se dirigent tous vers nous pour voire. Le gars nu qui est attaché debout sur une chaise les intéresse tous.
Mme Beauchamp commence à expliquer comme a chaque début de cours les pourquoi de cette punition et quand elle finit. Je demande aux filles de compter les coups comme j’avais fait dans les cours précédents pour les tenir occupées. Je commence à lui claquer les fesses avec une bonne vitesse et avec une bonne force. Pas jus à Philippe que ça chauffe à moi aussi les mains me chauffent et rougissent. Ses petites fesses sont plus fermes, et beaucoup plus dur que celles de Natacha. À la dernière calque, j'arrête en lui flattant les fesses. J’ai la main presque aussi rouge que son derrière. Les filles regardent les fesses de Philippe et quelque unes disent qu’il doit avoir mal aux fesses à la couleur qu’elles sont rendues même qu’il y en a une qui demande à Philippe si ça lui fait mal. Moi, je demande à cette fille, si tu me poses cette question-là sur sa douleur aux fesses, c’est que tu ne dois jamais recevoir de fessée. Elle me répond très rarement et la dernière, elle remonte à très loin, ce n’était pas cul nu. une qui est plus de biais avec Philippe me fait une remarque . Regarde son pénis il a grossi. Moi aussi cela me surprend que Philippe ai une réaction devant toutes ces jeunes filles, il doit sûrement être gêné d'être nu devant elles. Mais la fessée que je viens de lui donné l'a certainement excité. Je retourne Philippe face à ces jeunes filles pour l'exposé de face, et tout ramolli. Je questionne la jeune fille et les autres, savez-vous comment on peut faire facilement avoir une érection un gars sans trop d’effort et très rapidement, mais pas juste en lui claquant les fesses comme il avait réagi. Philippe aime ça, recevoir la fessée, ça le fait bander, même devant des filles. Il y en a une qui me répond oui, on lui taponne le pénis et ça fonctionne sans trop d’effort. D'autre répondent, on lui caresse les fesses comme tu viens tous justes de lui faire. Je leur réponds, c'est une réponse pas si pire, mais un gars a moins de partie sensible que nous les filles, la poitrine a beaucoup moins de sensibilité que la nôtre.
Là, je voie Mme Beauchamp les bars croisés qui se demandent jusqu'où je vais me rendre dans mon petit cours pour humilier Philippe. Je continue en prenant les testicules de Philippe en disant les filles, la partie la plus sensible d'un gars est ici. Pas juste pour les coups quand vous voulez vous séparez de lui quand il est trop achalant ou entreprenant. Mais aussi pour lui faire avoir une érection très rapide, vous n'avez rien qu’à vous amuser avec les petites boules ici ou ses testicules que ça s'appelle dans votre main sans trop les serrer pour ne pas lui faire mal. Regardez, le résultat est presque instantané, ça lève comme présentement. Même il Philippe est très gêné de se retrouver nu devant de si jolies filles et que la gêne devrait lui tenir le pénis moue et sans vie, regardez le résultat. Son pénis est devenu extrêmement raide et a allongé aussi, prêt à éjaculer. Une étudiante me pose la question que j’attendais. Elle me demande le liquide appelé sperme qui sort de son machin est-il toujours dangereux pour nous mettre enceinte où il y a des périodes. Je lui dis que oui, qu’il est toujours actif et que a n’importe quelle éjaculation le sperme est faite pour féconder l’œuf. C'est pour ça qu’on n’arrête pas de répéter de vous protéger et d’exiger qu'il mette le condom pour éviter les grossesses non, désirez et les risque de maladies sexuelle .