M Lepetit responsable de la sécurité
Installer dans mon
bureau pour remplir des dossiers. J'entends frapper à ma porte, vous
pouvez entrer, c’est la prof d’informatique qui rentre, belle jeune
femme de vingt-huit ans qui commence ça deuxième année en enseignement
ici. Elle porte toujours des chemisiers ou robes avec des décotés qui
mettent sa craque de sein en valeur. Sans compter ce cul superbe dans
ses robes qui sont toujours très courtes, prête à lever au moindre coup
de vent pour nous laisser paraitre ses fesses. Les cuisses sont d’une
beauté à couper le souffle. Avez-vous un problème Mlle Proux, lui
demandais-je. À cette heure de la journée, venir dans mon bureau, il y a
sûrement un problème.
Oui, me répond-elle, il y a un gros problème.
Elle commence par m’explique qu’elle vient de s’apercevoir en rentrant
ce matin que dans le local d’informatique et photo et en ouvrant
l’armoire qui était encore sous clef qu'il manquait deux portables et
deux appareils photo. Le local était très bien barré ce matin, et
l’armoire qui contient ces objets, elle aussi, était bien barré.
Vendredi, en finissant le dernier cours en après-midi, elle est sûre
d'avoir bien fermé les portes du local et de l’armoire et les a
verrouillées. Et revérifier pour être sûr comme elle fait à toutes les
fois qu’elle quitte la dernière me dit-elle.
D’après vous Mlle. il y aurait eu vol dans ce local en fin de
semaine et sans aucune infraction. Ce que vous me dites, c'est qu’une
personne aurait pu sortir des appareils en possédant probablement une
clef du local et de l’armoire. Et cette personne aurait pris le temps de
bien les refermées à clef avant d’en sortir avec la marchandise.
Elle me répond que oui et elle me dit qu’elle doit remonter au
deuxième, ses étudiants sont seuls. Je vous remercie Mlle remonté à vos
occupations, je m’en occupe. Je vais faire mon enquête et je vous en
redonne des nouvelles plus tard. La première chose que je regarde sur
les caméras, c'est celle dans le couloir de l’étage. La plus près du
local d’informatique. Je m’aperçois que dans le début de la nuit de
dimanche à lundi les lumières de sécurité qui normalement sont alunées
ont été fermés. Sur la caméra extérieur ouest qui film en permanence
l'entrée, on distingue une silhouette qui ouvre la porte et rentre.
Cette même personne peu-être en ressort les mains vides quelque secondes
plus tard. J'avance la vidéo plus loin dans l'enregistrement de la
nuit, du système de caméras et découvre, avec d’autres caméras, d’autres
lumières fermées dans les escaliers et le couloir du premier en bas.
Et on distingue d’autres mouvements à la porte d’entrée, du côté ouest,
mais de l'intérieur cette fois-ci. Je fais une sauvegarde des images des
trois cameras que j’ai visionné et je garde cela en suspens pour
l’instant pour pousser mon dossier plus loin.
Le
lendemain après-midi vers les 14 h 30, un commerçant vient me voir avec
une des deux appareils photo disparue et bien identifier au nom de
l’institut. Le commerçant me compte que deux filles se sont présentées
hier dans l’après-midi coiffées chacune d’une casquette et elles
portaient des verres fumés pour vendre ces appareils-la. Il aurait
décidé d'en acheté une des deux parce qu'il avait repéré
l’identification de L’institut mal effacée, et qu'il voulait me la
rapporter. Même si ses jeune-là l'avait grafigné, la marque de
l'institut reste visible. En passant l’appareil à la lumière
infrarouge, on distingue bien l’inscription, le commerçant me le
rapportait pour signaler le vol.
Le commerçant me donne une clef USB en me demandant de la lire avec mon
portable. Il y a plusieurs images de ces deux filles-là, et beaucoup de
ses images, on les distingue de dos. Mais sur sa caméra qui est
positionnée à l'arrière de son comptoir, il a des images des deux filles
de face. Mais on ne peut identifier ni l’une ni l’autre de ses filles.
Elles portent toutes les deux des casquettes et garde la tête basse. Je
lui demande, avez-vous un peu de temps à me consacré. J’ai l'une de mes
collègues qui devrait être ici dans quelques minutes, avec une des deux
employées qui travaillait en fin de semaine durant la nuit du vol. J'en
soupçonne que peut-être l'une ou les deux en seraient l'auteur.
Il me dit qu’il est prêt à nous aider sans problème, c'est pour cela
qu'il est venu nous rapporter l'appareille. Je me lève et lui demande
s’il veut bien aller se cacher dans le bureau du directeur quelques
instants. Le Bureau est juste à côté du mien ici. J'irai vous chercher
quand les deux employées seront avec moi dans mon bureau. Ma stagiaire
Mlle Letarte arrive avec Mlle Faucher, une des deux employées. Mlle
Letarte frappe à ma porte et elles entrent toutes deux dans mon bureau.
Furieuse de s’être fait réveiller parce qu’elle dormait vue son travail
est nuit le jour, elle dort. Mlle Faucher me demande, l'urgence qui
nécessite un si rapide déplacement. Calmer vous Mlle, j’ai quelque chose
à vous montrer et à éclaircir avec vous. Je sors l’appareille photo de
mon tiroir de bureau et lui demande si elle reconnait cet appareil-là.
Sa réponse fut un non instantané. Il en existe des milliers dans le
monde des appareils semblable, pourquoi moi je connaîtrais celle-ci me
répond-elle. Je m’excuse et lui demande pardon de m’attend sans bouger
un petit moment. Je dois aller dans le bureau juste à côté et que ça ne
sera pas bien long.
Le commerçant sort une petite carte mémoire qu'il avait gardé dans
sa poche et me demande si on peut la regarder, elle aussi, sur mon
portable. M. le directeur, je crois que ces images-là seront davantage
précisées. Je l’installe et des images apparaissent encore une fois des
deux filles. Même si les filles gardaient la tête basse, il y a une
autre caméra près de la sortie qui à capter le visage d'une des deux
filles. Ce visage sur cette photo même un peu flou ressemble à celui de
Natacha quand la fille ressortait de la boutique. Et sur la photo, sa
couleur de cheveux correspond aux cheveux de Natacha. Et la tresse de
cheveux qui ressort à l’arrière de la casquette et descende au milieu
du dos, correspond à la même longueur de cheveux que ceux de Natacha.
Sur l’image suivante, on distingue très mal une tache qui ressemble à un
petit tatouage qui ressort sur l’épaule droite au-dessus du t-shirt de
la fille de l’image.
Je demande à Natacha de se retourner et de
nous montrer son épaule droite sous la petite robe qu'elle porte, pour
vérifier. Elle refuse, je m’approche et descends le tissu qui recouvre
l’épaule et on aperçoit bien un tatouage. Mais il semble légèrement plus
gros que sur l'image. C’est toi qui as participé au vol ou ta collègue.
Ou vous deux, dits nous la vérité. Natacha commence à me dire. Laurie,
ma collègue, en possède un, elle aussi, un tatouage. C'est un petit
soleil. M. moi, je n’ai rien à faire dans cette histoire. Mais lui
demandais-je, dans les images de nos caméras, les deux à intérieure et
l'autre dehors de l’institut et qui est dirigée vers la porte ouest, on
voit très bien la porte ouvrir. Les cheveux de la personne qui a ouvert
cette porte apparaisse sur le côté de la porte. La personne a fait
entrer deux autres personnes à l’intérieur.
Si je me rappelle bien. Je crois que votre collègue Mlle Laprise a les
cheveux aux épaules. Vous nous faites perdre notre temps avec cette
histoire Natacha. Vous n'étiez que vous deux a travaillé cette nuit-là.
Donc les deux sont responsables et vous connaissez très bien les
règlements de cet institut. Alors, on va prendre les moyens pour le
savoir. Le papier qui est au centre de mon bureau, est une copie de la
plainte que je me prépare à signer et à faire parvenir à la police. Mais
ma chère Natacha, pour l’instant, vous enlevez votre robe ici dans mon
bureau. Je vais m’organiser pour vous délier la langue.
Natacha me demande de ne pas la congédiée, c'est Laurie la responsable,
pas elle. C'est une grosse erreur de la punir en plus devant un étranger
et des collègues de travail, c'est injuste. Je donne une forte claque
sur le coin de mon bureau ce qui l’a fait sursauter en lui disant enlève
cette robe. C’est moi qui me charge de décider qui sera puni au pas
ici, au même moment Mlle Letarte ma stagiaire qui est derrière elle
arrivent. Je décide moi-même de prendre sa fermeture éclair à l’arrière
de sa robe et la descend jusqu’au bas de son dos. Natacha se croise les
bras pour retenir sa petite robe toute mince. Elle me demande de ne pas
lui faire enlever. Je ne veux pas enlever ma robe M. c’est le seul
vêtement que je porte, quand je me suis fait réveiller par Claude,
Claude m’a dit que ça pressait, on avait une réunion d’urgence cette
après-midi. J'ai enfilé seulement que cette robe et laver mes dent et
placer mes cheveux le mieux que j’ai pu pour venir ici plus vite
possible.
Mademoiselle Laprise, vous êtes convoquée ici pour une affaire de
vol qui concerne vous deux. Le méfait, c'est produit sur votre période
de travail et dans cette bâtisse cette nuit-là, vous n'étiez que vous
deux a travaillée sur ces étages-là. Étant donné qu’on ne peut savoir
avec certitude laquelle de vous deux est la coupable qui a fait entrer
les deux autres complices pour commettre ce vol. Vous êtes toutes les
deux accusées, jusqu'à preuve du contraire. Je vous demande d’enlever
vos vêtements et de rejoindre votre collègue face au mur. Laurie
proteste et dit qu’elle sait même pas, c'est quoi ce vol. Vous ne pouvez
pas décider de me punir sans preuve, rajouta-t-elle. Elle ne veut
surtout pas se dévêtir devant nous, ses collègues de travail et cet
étranger, c'est une grave erreur de votre part, rajoute-t-elle.
Je monte alors le ton en lui disant qu’elles sont toutes les deux
suspendus de l’horaire de travail pour le reste de la semaine. Et je
lui conseille d’obéir sinon c’est la police qui viendra les chercher.
Natacha nous à compter le même romance, il y a quelque instant. Il n’y
avait que vous deux cette nuit-là et qui étiez responsable et pas
d’autre. Ça me prend la coupable. Laquelle de vous deux qui fait
rentrer les deux autres que l'on voit sur la vidéo.
Laurie
argumente et dit qu’elle est innocente et qu’elle est toujours du côté
este du bâtiment. C’est mon secteur depuis presque un an. Ce soir-là,
comme à tous les autres soirs, c'est Natacha qui surveillait le côté
ouest. Je lui redemande très poliment d’enlever ses vêtements et de la
fermer, ici, c'est nous qui pausons les questions. Laurie enfin enlève
son t-shirt, son short et garde sons soutien-gorge et sa culotte et va
rejoindre Natacha toujours en rouspétant. Le commerçant contemple pour
une dernière fois les deux superbes filles. Il est obligé de quitter
qu’il a du travail à sa boutique. Si on a d’autre question, il
reviendra. Je lui donne la main et le remercie. C'es à votre tour les
filles, Mlles on se transfère tous dans la salle des profs, avancez on
vous suit, redus dans la salle a la grande table. Je les fais placer
toutes les deux face à cette table. Je leur demande de prendre appuis
sur leurs coudes et mettre leurs mains à plat sur la table et de ne
plus, bougez. Les deux sons maintenant en positions fesses bien,
exposez. Je repose encore la question, qui d'entre vous deux a fait
entrer ce soir-là les voleurs. Et je veux les noms, je vais chercher un
paddle dans l’armoire et le dépose sur la table au côté de Laurie.
Elle se relève et me dit non pas ça je ne mérite pas cette
punition-là. Je lui donne quatre claques avec ma main en travers des
fesses, ta position et ça presse ensuite, je pose la main sur le
postérieur de Natacha et lui demande si elle est prête. Je commence à
lui claquer les fesses avec ma main sans enlever son string, ça ne
changerait pas grand-chose, string aux chevilles ou pas, elle a les
fesses à l'air pareil. Le directeur de l'institut rentre au même moment
avec d’autres professeurs. Ils regardent le spectacle, moi je ne
m'arrête pas même s'ils entrent. Je continue sans arrêter de lui claquer
les fesses jusqu’à temps que Natacha commence à crier et à se mettre
les mains sur les fesses pour éviter les coups. J’arrête pour qu’elle
reprenne son souffle et déplace, voire Laurie. Je commence à frapper de
la même force et la même cadence les fesses de Laurie. Sans la
déculottée, mais en la maintenant par la taille avec mon autre main
cette fois-ci pour la tenir stable sans qu'elle bouge.
Après presque une minute soutenue à lui claquer les fesses et
plusieurs cris et débattements j’arrête. Laurie se redresse et se frotte
les fesses. Je la fais reprendre sa position, appuyez sur ses coudes,
mains à plat sur la table. Mais je baisse sa culotte, cette fois-ci
Laurie proteste, mais son vêtement est à ses chevilles pareilles. Je lui
enlève pour mettre sa culotte avec le reste de ses vêtements que mon
assistante Claude avait transférés ici. Je fais la même chose avec le
string de Natacha qui elle se ramasse nue.
Je saisis le
paddle et demande à l’assistante de M Ponge Ginette qui est venu nous
voir dans la salle de tenir fermement les poignets de Natacha. Je
commence à lui frapper ses jolies fesses sans m’occuper de ses cris, au
dixième coup j’arrête, elle commence à avoir les fesses très rouges et
Natacha est en pleure. Des larmes coulent sur ses joues et sur la table,
son nez coule, elle renifle. Laurie, c'est à ton tour de recevoir dix
coups toi aussi. Si je n’ai pas mes réponses après les dix coups, je
recommence la série de dix coups chacune à tour de rôle. Je vais
continuer à vous rougir les fesses tan et aussi longtemps que je
n’aurais pas ma réponse. Le nom la responsable du vol et les noms de
ceux que vous avez fait rentrer ce soir-là.
Mme Desbiens l’assistante de M Ponge tien maintenant les poignets de
Laurie. Je commence, lui frappe les fesses à son tour très rapidement
jusqu’aux dixièmes coups. Les poignets libres, Laurie se redresse et se
tient les fesses à deux mains, elle pleure, me regarde en disant qu’elle
est innocente. C'est une grosse erreur, nous répète-t-elle encore une
fois, c’est injuste de se faire, traitez de cette façon, qu’elle ne
mérite pas cette punition-là. Je lui répète une autre fois en position
ou je te frappe sur les mains directes, et je lui donne deux petits
coups directs sur ses mains qui frotte ses fesses. Elle reprend vite sa
position. Mme Desbiens se déplace vers Natacha et immobilise les
poignets de Natacha. Je commence une autre série de dix coups, mais au
troisième coup Natacha crie. Ça suffit arrêter. C’est moi qui ai fait
rentrer les deux personnes et débarré le local, mais ça fait trop mal,
arrêtez. Laurie se redresse et me dit. Je vous l’avais dit que je
n’avais rien à voir dans cette affaire, la fessée et l'humiliation du
déshabillage que je viens de subir c’est complètement gratuit. C’est à
cause d'elle cette bitche-là. Laurie en furie et avec son soutien comme
seul vêtement enguirlande Natacha et nous aussi. Je lui demande de
remettre sa culotte et ses vêtements. Mais trop en colère au lieu de
s'occupé de se rhabiller, elle commence à claquer les fesses de Natacha
avec force sans reprendre son souffle en lui disant par ta faute ma
bitche je me suis fait claquer les fesses tu vas le regretter et elle
n’arrête pas elle frappe avec rage. C’est moi qui lui arrête le bras et
lui demande de se calmer. Natacha, elle est en pleure, les fesses lui
chauffent.
Le Directeur
Mademoiselle Laprise, remettez votre slip, on
s’excuse. Ce n'est pas nous qui sommes en faute, il faillait qu’on
éclaircisse ce mystère-là et on a pris les moyens qui s’imposaient pour
se faire obéir. Toujours les fesses a l’air et encore bien rouge
devant nous tous. Laurie est trop enragé et ne se rappelle plus trop
qu'elle est pratiquement nue devant nous. Le sexe exposé et enragée de
s’être fait rougir les fesse nous dit cette bitche-là qui m'a fait
punir. J’espère qu’elle va être fouettée et humiliée en public devant
tout l’institut. j'essaie de la calmer et lui répète de se rhabiller.
C’est la troisième fois qu’on te le demande de te rhabiller. On n'a pas
fini avec elle. C'est là que Laurie prend conscience de ce qu'elle nous
montre.
Laurie remet son slip et va finir de s’habiller
pendant ce temps, j'ordonne à Natacha de reprendre sa position. Laurie
enfin rhabillé, elle revient et s’installe face à Natacha de l’autre
côté de la table en tassant M Desbiens et a décide elle-même de
maintenir les poignets de Natacha sans que personne ne lui ai demandé et
lui dit ta pas assez soufferte à mon gout. j'espère que tu vas être
humiliée nue en public. Si le directeur veut me faire plaisir, qu’il me
donne le paddle, je te jure que tu ressors d’ici, les fesses en sang.
Natacha, elle lâche un cri tellement que Laurie lui serre les poignets
avec force.
Commencez M. dit Laurie et me la ménager
surtout pas même si elle vous supplie d’arrêter, n’arrêtez pas. Je
commence à lui frapper les fesses à une bonne vitesse au sixième coup
sur ses fesses, Natacha crie, me supplie d’arrêter, elle fléchit les
genoux et en pleure. Elle décide enfin de nous donner les noms de ceux
qu’elle a fait rentrer cette nuit –là.
C’est Doris Marquis et un gars
qui se fait appeler Phil que j’ai fait rentrer ce soir-là, nous
dit-elle. Laurie lui dit, tu vois ce n’était pas dur si tu l’aurais dit
dès le début. Je n’aurais pas été humilié cul nu à recevoir des claques
sur les fesses qui me font encore très mal et toi aussi, tu n’aurais pas
mal à ton petit cul. Laurie nous demande à nous deux moi le directeur et M. Lepetit d’allé dans mon bureau. Elle voulait, nous parlez en privé
sans que Natacha ou d’autre entendre. Je demande aux autres sur place de
surveiller et j'avertis Natacha qu’il lui est défendu de se rhabiller.
Avant de partir dans mon bureau, je la fais placer Natacha près de
l’entrée, debout et bras croisé dans le dos.
M. Lepetit
Installer les trois dans le bureau. Laurie commence à
nous dire que si c’est la Doris qu'elle pense, c’est la même qui fait
un trafic de stupéfiant dans la cour de l’institut. Elle est en
deuxième année et elle l’a aperçu à quelques reprises donnant des
rendez-vous le soir autour de la résidence des filles. Laurie ma même
conseiller d’aller reculer les caméras de surveillance de quelques jours
vendredi soir vers 23:30 dans la cour aux alentours de la résidence. Je
remercie Laurie et on s’excuse encore pour l’avoir dénudée et l’avoir
punie ainsi . Pour cette nuit Mlle je vous ai fait remplacer, mais
demain matin. Je veux qu’elle soit ici pour 7:00 et qu'elle va assister M
Lepetit et Mme Letarte moi. Je vais libérer Natacha et lui redonnant
ses vêtements pour ce soir et je lui donne rendez-vous à 7:00 demain
matin pour la suite de sa punition.