Moi et ma cousine ce lançon dans l’adoption
Pour aider trois ados
Je m’appelle Pierre, j’ai 32 ans et dirige une importante entreprise familiale d’importation d’antiquités, et de très importants ateliers de couture, à plusieurs places dans le monde avec ma sœur Claude. Nos entreprises se situent dans une petite ville du sud de l'Europe, en Italie et en Asie. Nous deux, on vient d’hériter de celles-ci qui ont une valeur de plusieurs millions d'euros. Et tout le reste des propriétés que nos parents possédaient un très grand terrain avec trois immenses maisons, une piscine et un court de tennis. Cela comprend aussi un très grand vignoble situé à l'arrière du domaine. Le domaine et le vignoble sont évalués, eux aussi, a plusieurs millions d'euros. Il y a deux ans, mes parents sont décédés dans un accident d’avion au Japon. Ma sœur Claude qui en réalité est ma cousine étant donné que mes parents ont légalement adopter leur nièce il y a plus de 27 ans après la mort tragique de ses parents, le frère ainé de mon père.
Claude, ma sœur est âgée aussi de 31 ans. On a le même sang, on fait partie de la même famille et cela me désole. Je la trouve superbe et malheureusement, on doit se limiter à ce que l'on fait entre nous deux. C'est une belle brune qui se tient très en forme. Ella a un corps presque d'athlète, splendide et que je vois nu à tous les jours. Ici quand on utilise la piscine, on ne porte pas le maillot, que ce soit ma sœur ou moi et tous les invités aussi. Elle a une superbe poitrine et des fesses d’enfer. Mes parents nous ont sévèrement élevé tous les deux. La punition corporelle était très souvent utilisée quand ils décidaient de nous punir. Mes parents étaient extrêmement stricts. Moi et ma sœur avions des règlements à suivre dans la maison que mes parents avait déjà fixé et nous obligeait à les respecter.
Si nous ne respections pas les règlements, ça finissant par une sévère punition. Très fréquemment par des fessées à la main et dans la salle de séjour et généralement nus. Ils ne se gênaient pas que c'était moi ou ma sœur, c'était nu dans la salle de séjour et devant tous ceux qui si trouvait. Et souvent, ils utilisaient la fameuse strap ou le martinet nu. Devant notre bonne ou autre invité ou la famille immédiate, oncle, tante, cousin, etc.… Pour mon père, il n'y avait pas de différence, on recevait notre punition pareille. Et souvent des mises au coin nu pendant un long moment,
Dans
leur testament, mes parents nous ont fait hériter ma cousine ou plutôt
sœur et moi de tous les biens, y compris les commerces et l’immense
vignoble. C'est une immense fortune pour deux célibataires.
Mes parents étaient toujours en voyage partout dans le monde pour
visiter les clients. Acheter, vendre de la marchandise pour les
entreprises, ils brassaient de très grosses affaires. Des millions
d'euros. Maintenant, c'est moi qui dois voyager si je veux que les
entreprises continues. Il y a un mois, pour m'aider à être capable de
fournir à toutes mes occupations que je n'arrivais plus à suffire, trop
d'ouvrage. J’ai engagé une jeune fille pour m’aider dans la boutique
d'antiquités Nadine 18 ans, très belle que je rêve comme bien des hommes
de la voire nue avec ce corps à couper le souffre. Elle étudie au lycée
privé, St-Thomas que je connais très bien. Elle est en plus très
débrouillarde. mais elle va probablement être obligée d'abandonner ces
études. Elle m'a dit qu'elle manquait d’argent, elle vivait pauvrement,
étant orpheline depuis un très long elle aussi. C'était l'une de ses
tantes qui lui payait son appartement et ses études. Sa tante à décider
la semaine passée de ne plus y donner d'argent. Donc, je l'ai engagée,
je me sentais mal à l'aise de la laisser dans la pauvreté quand moi, je
peux réellement bien l'aidé sans me privé. Je lui donne un salaire un
peu plus élevé aussi que le minimum dans ce genre d’emploi pour l’aider.
Ma sœur doit s'absenter souvent, elle aussi, pour aller voir les
fournisseurs à l’extérieur du pays. Je n’avais pas le choix de me
trouver une aide pour la boutique surtout et pour elle Nadine ça lui
procure un salaire pas si pire pour qu'elle soit capable de vivre un peu
mieux.
Cette semaine, j'agrandis l’entreprise en achetant tout le bâtiment
arrière de mon voisin qui est immense. En triplant les dimensions de
l’entrepôt et de la boutique, je dois engager encore deux nouvelles
employées. Deux autres jeunes filles qui se sont présentées ici et
recommander par une bonne connaissance et surtout, elles ont toutes deux
l'air très sérieuses. Les deux sont des imigrantes tout comme Nadine de
l’extérieur du pays. Deux jeunes filles de 17 ans Marie et Maude qui
sont de très bonnes amies de Nadine en plus et elles sont à la fin de
leur visa de séjours ici dans notre pays. Elles devront retourner dans
leur pays dans quelques semaines si elles ne réussissent pas à le
renouveler ce fameux visa d'étude. Je leur demande pourquoi à l’âge
qu’elles ont elles ne fréquentent plus l’école et pourquoi elles ont
quitté leur pays. Elles me répondent très vaguement sur leur condition
chez elles, dans leur pays. Ce que j’ai pu en déduire, c’est que leurs
familles les ont rejetées toutes les deux, faute d’argent pour les
nourris. Il y a des coutumes dans des familles que je trouve un peu
bizarre abandonner ses enfants. Moi, avec mes très bonnes relations que
j’ai avec des enquêteurs des services douaniers, et de très bons avocats
en immigration et exportation, j’ai su pourquoi elles sont ici. Le
lendemain, elles se présentent et commencent leur travail et tout se
déroule bien. Au diner, l’une d’entre elles, Marie, demande à Nadine et
moi si on connaît dans la ville un logement à louer pas trop chère
parce qu’elles ont des problèmes dans leur chambre où elles habitent
toutes les deux.
Moi, je réponds que non. Mais, si elles sont dans le besoin. Je
leur offre de venir rester chez moi gratis toutes les trois. Je les
prends en pitiés, ça me brise le cœur de voir de si jeunes filles dans
le besoin. Je et désire leur donner une chance de se ramasser des
économies. Moi et ma sœur, on possède chacune une très grande maison
avec dix chambres libres dans chacune de nos maisons. Ce n'est pas
l'espace qui nous manque. On est deux célibataires et un peu de présence
nous ferait beaucoup de bien. Je sais très bien que Nadine aussi à un
petit logement à peine vivable et très cher pour la grandeur. C'est pour
cela que je veux l'offrir aux trois filles. Je leur donne des détails
sur notre domaine qui possède un immense terrain autour de ces
maisons-là. En leur offrant de venir visiter le domaine , je leur offre
aussi de venir manger ce soir à mes frais bien sûr. On va se commander
du resto, tout ce que vous aimez, je leur suggère, et c'est moi qui
paye. Au lieu de louer un appartement et tirer leur argent dans le vide.
je leur propose d'habiter avec nous deux Claude et moi. Vous seriez
beaucoup plus confortable avec moi et ma sœur que dans vos petits
appartements délabrés et presque insalubre, et en plus gratis.
Les trois se sont mises d'accord et me disent que si ça
ne me dérange pas, elles vont venir voire ma maison. La fin de journée
arrivée, je ferme la boutique à la même que d'habitude. Je demande aux
filles si elles viennent toujours avec moi. Oui, me répond Marie et
ouvre la portière de ma voiture, Maude aussi embarque à l'arrière. Je
vois que Nadine, elle, veut partir de son côté. Que se passe-t-il lui
demandais-je ? Nadine pourquoi elle ne vient pas avec nous. Nadine
nous dit alors qu’elle doit aller voire deux amies qui doivent venir
chez elle pour la nuit. Ce sont des filles mineures qui n'ont aucun
endroit pour aller dormir ce soir. Nadine les héberge 2 à 3 soirs
semaine pour qu’elles puisent se laver et dormir, comme un bon
samaritain. Maude et Marie les connaissent aussi. Je la questionne sur
ces filles-là qui elles sont et d'où viennent-elles pour trainer dans la
rue. Nadine commence à m'expliquer que c’est deux musulmanes enfuit de
leur pays et elles vivent ici illégalement sans visa depuis un an et
demi environs. Si elles étaient restées dans leur pays, elles auraient
été obligées de se marier à des hommes 20 ans plus vieux qu’elles. C'est
une coutume dans leur pays. Quand une fille à ses règles, sa famille
souvent la promet à un homme riche pour la vendre bien souvent. Leurs
familles les avaient promises ou vendus à leurs pubertés. Mes deux amies
ce sont sauver enfuit de leur pays. Même à cet âge, 14 ans, c'est très
jeune pour se ramasser seul et essayer de survivre dans ce monde de fou.
Elles sont ici depuis presque un an incognito.
Je n’en reviens pas d’entendre des histoires pareilles. Je lui
demande quels âges elles ont et où elles vivent sans emploie, et elles
ne doivent pas aller à l'école. Nadine me fait paniquer sur ce que
j'entends à propos de ses jeunes filles. Je lui propose de mettre mes
avocats sur leurs dossiers demain matin pour les sortir de cette
mauvaise position.
Nadine –
Mes amies Sacha et
Patricia, qu’elles se nomment, vont environs trois ou quatre jours à
l’auberge de jeunesse qui est située trois rues plus hautes. La femme
qui opère l’auberge est très gentille avec elles. Mme Girard lave même
leurs vêtements pour les aider du mieux qu'elle le peut. Elle les prend
en pitié et essaie de les aider du mieux qu’elle peut sans les faire
repérer par la police. Mais sans visa et mineur en plus, elles ne
peuvent pas travailler. Sans un sou, c'est impossible de se nourrir et
de se loger. Donc moi aussi, je les héberge quelques jours par semaine
pour faire ma part moi aussi, le peu d'argent que j'ai je le partage
avec elles. Elles se sauvent des autorités. Si elles se font découvrir
ici, elles seront retournées dans leur pays. Elles seront très mal
accueillies dans leurs familles. C'est un déshonneur pour une famille
qu'une fille s'enfuit au lieu de se plier au ordre de son père. Ça
arrive souvent selon elles. C'est pour cela que j'aimerais mieux aller
les voir ce soir. Pierre, je ne peux pas les abandonner à leur sort,
c'est beaucoup trop cruel.
Pierre –
Après cette
incroyable histoire que je viens d'entendre, je passe un appel à Claude,
ma sœur qui est en route pour son bureau. Je prends le temps de tout
lui expliquer, et ce que j’avais l’intention de faire avec les filles.
Et toute l'histoire que Nadine vient de me conter. Elle change ses plans
et vient ici. Je l’attends avec les autres, quelques minutes plus
tard, Claude arriver à la boutique. Claude repart avec Nadine de son
côté pour aider Nadine à régler cette affaire avec ses deux amies.
Marie, Maude et moi nous partons pour la maison.
Rendus à la maison et resto ramassé, ont s’installent les
trois sur une table dehors autour de la piscine pour manger. Je présente
ma femme d'entretien à mes invitées Mme Faucher et lui donne congé pour
le repas ce soir du repas et du reste, elle le mérite bien. Pendant que
l’on mange, les filles regardent la cour arrière qu'elles trouvent
superbe. Elles commentent, sûr, tout ce qu'elles voient. C'’est vrai
qu’il y a beaucoup d’espace ici, c'est immense pour seulement deux
seules personnes, me dit Marie. Maude me questionne sur l’autre maison
au côté à quelque 150 mètres de la mienne. À qui sont-ce ces maisons-là,
celle à côté et l'autre maison plus bas quand on franchit le portail,
elle est aussi grande. Je leur réponds que la maison à côté, c'est ma
sœur Claude qui est en fait ma cousine. C'est sa maison, c'est là
qu'elle l'habite et en est la propriétaire avec moi et de tout le reste
aussi. L'autre aussi plus bas en fait partie du domaine. C'était mon
grand-père qui l'avait fait construire pour ses frères l'époque.
Maintenant plus personne ne l'habite celle près de l'entrée et cela fait
plusieurs années. Le repas terminé, je leur fais faire la visite de
ma maison. En partant du premier étage, salon, cuisine, salle à manger
et le reste du premier. Je les fais monter au deuxième, elles sont
impressionnées par la grandeur des chambres. Autour de l’extérieur,
terrain piscine et le reste les impressionne aussi. Je leur demande si
ça leur plaît et si elles veulent venir s'installer ici. Elles me
répondent que oui ça serait fantastique de rester dans une maison comme
ça. Mais Pierre on pas les moyen de rester ici me disent-elles. Poi
moi Pierre ici, le loyer que tu vas nous charger c,est en dehors de mes
moyens. Et pour voyager en ville pour travailler sans véhicule, c'est
impossible me dit Marie. Je vais te déranger en plus dans ta
tranquillité. Je ne veuxsurtout pas t'incommoder par ma présence. Des
célibataires comme vous deux avec des jeunes comme nous, ça va déranger
votre tranquillité, c'est sûr.
Pour moi les filles,
il n’y a pas de problème. je vous l'offre, c'est parce que j'y tient a
votre bien-être. Je vous l'ai dit cette après midi, je ne vous chargerai
rien en loyer. S'il vous manque quelque choses ou que la chambre que
vous choisirait n'est pas à votre gout. Je vais acheter ce que vous
voudriez pour que ce soi bien décorer pour des jeunes de votre âge. Ne
vous cassez pas la tête pour notre tranquillité, ça va mettre de la vie
ici, c'est rendu quasiment plate tellement c’est tranquille. Ça va juste
mettre un peu de vie ici dans le domaine. C'est votre maison, vos
affaires comme si vous seriez mes enfants, la même chose.
Mais par compte, en vivant ici avec nous deux, il y a des règlements à
respecter et si vous vivez ici on y tien a que ce soit respecter. Nous
sommes très sévères ici ma sœur et moi comme l'ont été mes parents
envers nous. Elles prennent quelques minutes de réflexion en regardant
les lieux. Marie a l'intention d'accepter, mais Marie et Maude veulent
savoir les fameuses règles si sévères. Je leur explique pas mal en
détail. Marie me dit si ce n'est que cela, moi, j'accepte. J'ai
l'habitude de me tiens très tranquille, ne jamais déranger personne, je
ne crains pas d'être punie. Claude et Nadine arrivent et vient nous
voir, et elles nous expliquent que pour ce soir les amies de Nadine sont
chez Maryse et Judith, deux autres de leurs amies. Claude est toute
contente de savoir qu’elles acceptent de s’installer ici et propose de
visiter sa maison. S'ils y en a parmi elles qui veulent choisir de vivre
d’un côté au l’autre, il n'y a pas de problème. Il y a autant de
chambre dans l’autre maison que celle-ci, mais pour les repas, on est
toujours ici. Mme faucher fait seulement la cuisine ici dans la maison à
Pierre pour nous deux. Ma maison me sert à être plus intime, mais pour
les repas ça se passe ici.
Claude -
En étant dehors et près de la piscine. Les filles décident
d'aller toucher l’eau de la piscine. Maude me dit que si j'aurais su,
j'aurais amené mon maillot pour en profiter. Embarque Maude, ne te gêne
surtout pas et vous deux aussi ne vous privez surtout pas de la
piscine, moi et Pierre on va embarquer derrière vous. La piscine est
pour vous aussi, embarquez en sous-vêtements, les voisins sont très
loin d’ici, personne ne va voir avec la longueur de terrain qu’il y a
ici, il n’y a pas de voyeur. Pierre, rajoute-moi et Claude jamais, on
ne porte de maillot, c'est nu qu’on se baigne, il va falloir vous y
habituer à nous voir nu autour de la piscine et sur la terrasse. Maude
nous dit vous deux nus frère et sœur et a l’âge que vous avez, c'est un
peu bizarre, frère et sœur nu un devant l’autre. On est habitué de se
voir dans cette tenue-là. Depuis qu’on est tout petit, qu’on se voit nu,
même pour les punitions corporelles qu’on a reçu, c'était nu devant
l’autre que nos parents nous les donnait.
Pierre –
Nadine, elle, porte une robe. Je vois qu’elle l’enlève très doucement,
elle s’essaie pour voir la réaction de ces deux amies. Elle se retrouve
en sous-vêtements. Un string bleu qui laisse ressortir ses belles fesses
et un soutien-gorge blanc qui met ses jolis petits seins en valeur que
je souhaitais voir à l’air. Je dois dire qu’elle est encore plus jolie
que je me l’imaginai presque nue.
Marie, elle n’ose pas
trop, elle hésite et finit par retirer sa jupe qui me laisse voire sa
culotte blanche qui cache juste la moitié de ses fesses qui a une allure
de vêtement très usée. Je m’aperçois que c'était vrai quand elle disait
qu’elle est pauvre. Il y a des trous dans le tissu de sa culotte.
Elle garde son t-shirt, ne veut pas trop en montrer, et rentre dans
l’eau. Quand son t-shirt devient mouillé, le tissu se colle à sa peau et
ses tétons se dressent instantanément et paraissent au travers du tissu
réaction chaud froid. On aperçoit ses beaux seins fermes sans
soutien-gorge. Elle devient toute rouge de honte quand elle se rend
compte de ce qu’elle me laisse voire et se croise les bras sur sa
poitrine. Maude à son tour, elle aussi, enlève sa robe et elle aussi
porte une culotte noire. Presque aussi usée que celle de Marie qui lui
couvre entièrement les fesses et un soutien-gorge de la même couleur et
aussi usé que sa culotte.
Je ne peux que contempler ses deux magnifiques corps que j’ai
devant moi. Nadine et Maude qui sont sur le rebord à l'extérieur de la
piscine. Les deux sont à un mètre à peine de moi et marchent côte à
côte en regardant Claude enlever sa robe et son string devant les filles
qui la regardent faire. Elles semblent toutes gêner de retrouver Claude
nue devant elles. Regardez les filles ici, c'est comme ça qu’on
embarque dans la piscine nue, gars ou fille, aucune pudeur n’existe
ici. Je vais chercher des serviettes de plage et reviens les retrouver.
Moi aussi, je me mets nu. Cela attirent les regards des filles qui sont
toutes gêner, elles n'ose pas me regarder, et sont surprises de ne voir
nu. J’embarque dans l’eau avec elles et fait quelques longueurs.
Ressortis de l’eau je m’assois sans me vêtir toujours nu. Une vingtaine
de minutes plus tard, elles décident de sortir toutes les quatre de la
piscine. Elles s’approchent de moi pour prendre chacune une serviette ce
qui me donne tout un spectacle, trois superbes filles à moitié nues et
Claude que je ne lasse jamais de regarder entièrement nue et qui défile
devant moi.
Nadine –
Ça ne vous gêne pas d’être nu devant nous trois. C'est plus moi qui
suis gênée de vous regarder. Et en plus, moi qui suis gênée d’être en
sous-vêtement devant vous, ça me met mal à l’aise. Je n’ai pas
l’habitude de voir du monde dans cette tenue devant moi et ça me fait
tellement bizarre, surtout un gars.
Claude –
Ma
belle, il va falloir que tu t’habitues si tu acceptes de venir vivre
ici. Ça fait partie de nos habitudes de vivre ainsi ici, avec les autres
règlements qui existent aussi. Même nos amis qui viennent à l’occasion
se baigne nu comme nous. Ce n'est pas à cause de la visite que je change
de manière de vive. Ça ne nous empêche pas de circuler devant eux nus,
ça fait des années que c’est comme ça ici. Depuis qu’on est tout petit
qu’on se promène comme ça et même nos parents se promenaient dans cette
tenue et ce n’est pas à notre âge qu’on va commencer à se cacher.
Pierre –
Après s’être essuyées et enrouler dans leur serviette et moi dans mon short, Claude, elle comme toujours, reste nue. Claudes les invitent chez elle pour leur offre d'enlever leurs sous-vêtements humide, ce sera plus confortable, leur dit-elle. Elles reviennent vêtues que d'un paréo que Claude leur a fourni. Moi, Je les attendais sur la terrasse et elles m'apparaissent tous vêtus très légèrement. La noirceur commence et les lumières qui éclaires le contour de la terrasse sont allumées. À chaque fois que l'une d'entre elles croise une lumière, je vois au travers de son vêtement. J'aime ce que je vois apparaître devant moi trois filles légèrement vêtues et Claude comme toujours splendide en tenue d'Ève. Je les réinvite tous pour à l'intérieur de ma maison pour faire un autre visite plus approfondie de ma maison. Cette fois-ci, je leur remontre le premier étage, la cuisine, salon, la grande salle à manger, mon bureau qu’elles avaient déjà vu sauf Nadine. Les filles regardent Claude d’une manière étrange et une d’entre elles Marie lui demande. Tu n’es pas gêné du tout de rester à poil devant nous et ton frère, on se connait à peine Claude. Se baigner à poil, ce n'est pas si pire. Mais se promener nu dans la maison, moi, je serais morte de honte.
Il va falloir vous habituer les filles, Claude leur répond. Quand Julie notre grande amie seras ici avec ses employées ou plutôt ses amies, elles aussi, elles adorent être à poil et ne vous surprenez pas du tout de les voir nues.
Maude ouvre un petit local qui est juste à l’entrée du bureau dans le couloir. Une porte qui l'intriguait. Pierre, est-ce la descente du sou-sol ici ? me demande-t-elle. Marie ouvre la porte, regarde à l'intérieur et reste surprise de ce qui est accroché sur un mur. Mon Dieu ! regardez les filles, il y a des cannes, des palettes et même deux lanières de cuir. Elle décroche une des lanières la moins large en me demandant à quoi servent les fouets accrochés plus loin. Toutes ces cannes et ces straps de cuir dans ce placard, c'est pourquoi. Celle que je tiens est inscrite pour les mauvais enfants. Je commence à leur expliquer que si elles acceptent de rester ici, il y a des conditions qui doivent être respectée. Regardez ici au dos de la porte. Prenez le temps de les lire. Si ces règles et les conséquences vous conviennent, vous êtes chez vous, c'est votre maison. Si ces règles ne sont pas respectées, les personnes qui ne les respectent pas doivent subir des punitions corporelles. Nadine me demande avec ces instruments-là que se donnent les punitions, c'est quoi là fessée.
Oui Nadine, lui répondais-je. Tout dépendant de la gravité, c'est fesse à l’air que ça se donne les punitions. Même à votre âge et si ça vous convient les filles, ses conditions-là, vous êtes chez vous sinon. Et là voici la liste des règlements.
Pierre-
Elles lisent vite la liste. C’est toi Pierre ou Claude qui décide
ou qui les donnes les punitions et à quel jour me demande Maude. Car
c’est marqué une fois semaine dans le petit livre ici. Non, ce sera
celui ou celle qui sera ici et ce livre-là ne compte plus. C'est un
vieux livre à l'époque où vivaient ici mes oncles et tantes dans les
deux autres maisons. Mais nous c'est peu importe la journée, c'est nous
qui déciderons comme quand moi et Claude étions plus jeunes et que mon
père nous punissaient moi ou Claude. Marie me dit, vous étiez punis
ensemble et jusqu’à quel âge. Claude lui répond oui ensemble assez
souvent quand c’était nécessaire et nu un après l’autre dans le salon à
l’occasion. Et les filles, la dernière fois que j'ai été punie, j’ai
reçu 25 coups de cette strap là-bas au hangar que vous avez par encore
vu juste plus haut dans le domaine. En plus devant mes cousins et amis
entièrement nue. J'avais 25 ans il y a six ans, j'avais manqué de
respect envers ma mère, ce qui ne fallait surtout pas faire. Je m’en
souviens conne si c’était hier comment ç'a fait mal. J'ai eu de la
misère à m’asseoir pendant deux jours. Des marques sont restées sur mes
fesses tout le reste de la semaine. Ma mère frappait très fort avec
cette strap et Pierre aussi la reçue pour la dernière fois à environs
19 ans, il était plus sage que moi.
Pierre-
Je m’aperçois que Claude pose ses mains sur la table à manger, se
penche au-dessus de la table, toujours nue. Les fesses bien à la vue
des autres, Claude me demande de lui donner quelques coups, cinq pour
être précis, pour donner une petite démonstration, ce que moi, j'adore
faire sur ses jolies fesses.
Après cinq coups, j'arrête
et passe ma main sur ses fesses. Les filles me regardent frotter le
derrière de Claude ou on aperçoit les marques rouges de la strap. Marie
lui demande si c’est douloureux en me regardant toutes scandaliser de
me, voire que je lui frotte les fesses de cette manière-là. Je m'amuse
devant elles à lui descendre mes doigts entre ses cuisses pour me
satisfaire un peu, et Marie demande à Claude si ça ne la dérange pas que
je lui frotte ses fesses.
Si vous le voulez, je peux vous
faire essayer la strap à votre tour, ça va vous donner un avant-goût si
vous n’avez jamais reçu la fessée auparavant. Marie me dit qu’elle va
tenter l’expérience de recevoir des coups sur les fesses. Mais pas trop
fort les coups s'il vous plaît et je garde le paréo sur mes fesses qui
couvre mon derrière. Et surtout, tu ne me frottes pas les fesses OK. Je
lui dis si tu le veux, on y va pour trois coups par-dessus ton paréo,
ce n'est pas un tissu épais, c'est comme si tu aurais les fesses à
l'air. Et promis, je ne te frotte pas ton joli derrière après. Je lui
montre le bord de la table à manger où Claude avait pris place avant
elle et lui demande de mettre ses mains à plat sur le rebord et de
s’étendre. Écrase tes seins sur la table comme Claude l’avait fait
auparavant pour mettre tes jolies fesses en position. Marie bien
installer les fesses bien exposées et moi la strap a la main.
Je lui donne un premier coup au centre des fesses assez fort, mais
avec une certaine retenue. Je ne veux surtout pas qu'elle panique, mais
Marie ne bouge pas et absorbe très bien le coup. J'en profite au
deuxième pour frapper plus fort, et elle se met les mains instantanément
sur les fesses en laissant échapper un petit cri. Ça fait mal, c'est
terrible. Je lui fais signe de reprendre sa position, la position , le
troisième la fait se redresser. Marie se frotte encore les fesses, je
lui demande, veux-tu que je continue, reprend ta position sur la table.
Marie se repositionne pour une autre, un quatrième. Cela me surprend et
les autres aussi et le dernier s’abat sur ses belles fesses toujours
recouvertes par paréo. Elle relâche un autre cri et dit aux autres
filles, c'est horrible la douleur. Je lui dis, tu t’imagines fesses
nues et vingt coups, ce que tu ressentirais. Les marques, tu as vu la
couleur des fesses de Claude avec seulement cinq petits coups reçu, ce
n'est rien à comparer a une trentaine et donné beaucoup plus fort.
Marie me répond qu’elle ne sera jamais capable de le supporter.
Autour a Maude
Pour ce soir les filles si vous voulez Claude peu vous prêter des
vêtements pour la nuit. Même si Claude, elle, n’en porte jamais pour
dormir, vous n'êtes pas obligées de faire pareille. Pour demain, je
suis sûr qu’elle peut aussi vous dépanner avec ses robes et jupes. Vous
me paraissez être pas mal tous dans les mêmes tailles comme je peux le
remarquer. C'est si bien sûr si vous voulez coucher ici. Ou Claude
vous laisse chez vous et on se reverra demain à l’entreprise. Si vous
choisissez de rester ici demain matin, la bonne va nous préparer le
petit déjeuner ou Claude vous reconduit a vous logement ce soir. Maude
et Marie disent oui, on aimerait coucher ici et demande à Nadine de
rester avec elles pour la nuit. Nadine accepte aussi de rester, on
traverse tous a la maison de Claude pour la visite officiel. En passant
devant le garage de la maison a Claude, j'ouvre une porte et leur
montre l'intérieur. Le garage qui contient des voitures. Je leur
explique que celle de fond qui est à mon père et est spécial et celle de
ma mère qui se trouve dans la porte prête à sortir, mais ça fait deux
ans qu'elle n'est pas ressortie d'ici. Les filles, demain je vous prête
la voiture de ma mère. Nadine a son permis de conduire. Vous pourrez
aller à la boutique avec la voiture ensemble. Cette voiture est une
Peugeot neuve que ma mère avait acheté un mois avant de mourir et qui
n’a jamais roulé depuis qu'elle est morte. Ça va vous dépanner pour
voyager d’ici à la ville. Les filles demandent à Claude si elles peuvent
visiter sa maison.
Claude –
Bien sûr, et moi aussi, j'ai plusieurs chambres
vides au second étage. On n'est pas monté tout à l'heure quand nous
sommes venues nous changer. Si vous voulez vous pouvez coucher chez moi
si ça vous gêne de coucher chez Pierre. La visite de ma maison terminée,
les filles ont bien aimé. Nadine me dit qu’elle aimerait rester ici
avec moi et demande si elle peut prendre la chambre rose qui est la plus
grande. Elle me dit qu’elle est même prête à payer au lieu de rester
seule dans son logement si je veux bien d’elle. Car son logement est
insalubre et elle paye le gros prix pour ce taudis. Je lui réponds que
si elle veut rester ici, elle est la bienvenue et c’est comme les deux
autres gratis et que les règle sont les mêmes pour tous et les punitions
aussi si nécessaire. Demain, on passera prendre le reste de tes
affaires pour vider ton appartement si c’est ton choix. Elle me dit
oui, elle adorerait vivre ici, elle a lu les règlements avec Maude et
Marie et qu’elle accepte. Je vais peut-être mi-habitué un jour à genre
de vie ici. Surtout sans maillot et les règles, moi et la discipline, on
ne fait pas bon manage. Les deux autre me disent qu’elles vont de
l’autre côté avec Pierre, elles ont repéré chacune une chambre avec
grand lit qui leur plaisait. Tu vas voir Nadine, tu adoreras ça, ce
n'est qu'une coutume, vivre nu, te baigner nue, c'est juste de
s’habituer à la nudité et après, on adore.
Les filles partent
s’installer dans les chambres qu’elles ont choisies et reviennent tous
nous voir dehors. Elles nous demandent à Pierre et moi si elles peuvent
prendre une bière dans le bar qu'elles ont vu à l'intérieur avant de
s’asseoir avec nous. Je leur réponds qu’elles sont chez elles. Il ne
faut surtout pas se gêner, servez-vous, il n’y a aucune permission à
demander ici, vous faites ce que vous voulez et sans aucune gêne.
à suivre