dimanche 7 juin 2020

Marie et Ludovic son humilier nus petite vengeance pour Sandra le tag 5





                    

Le Directeur M Delavarenne

 

Vous savez tous que ce midi sur l'estrade dans la cour mademoiselle Lawson qui est encore en punition devant vous et nue ici présente a été condamner à une punition de niveaux trois la pire punition qui se donne ici et a reçu trente coups de fouet ce midi. C’est une première pour une fille et exceptionnel de recevoir autant de coup de fouet. Mais ça fait partie du type de punition et ça se répètera sûrement dans l’avenir. Punie nue, ce n’est pas rare ici, mais aujourd’hui, elle ne sera pas le seul et à être puni dans cette tenue et vous exposer tous ses charmes devant vous. 

 Gérald, un étudiant et spectateur 

Plusieurs gars que je regarde autour de moi ont les mains qui commence à descendre en dessous de leur bureau et jouer dans leurs pantalons. En apercevant Marie sur l’estrade et surtout Sandra qui elle a ses mains sur la tête comme la majorité de ceux qui sont punis sont obligées de se tenir. Sandra nous expose ses plus belles parties. Mais pas juste les gars ici qui sont excités, il y a des filles aussi. Ma voisine de droite a les mains sous son bureau. Elle aussi joue sous sa jupe ce qui fait remonter sa jupe à la limite de son entre jambes et je peux distinguer sa culotte blanche qui entre, entre ses jambes et cache sa chatte. Ce qui m’excite le plus et ma voisine aussi, c'est Sandra au fond de l'estrade qui elle est toute nue. Je ne peux pas m’arrêter de la fixer, mon regard ne lâche pas ce beau corps nu. Et juste a pensé de probablement, voire une autre fille parmi les plus belles de l’institut se déshabiller devant nous m'excite, si le dirlo est ici, c'est pour quelque chose de spécial. Ma voisine aussi commence à mouiller sa culotte. Elle me laisse entrevoir son entrejambe pour m'exciter. Il y a un petit rond humide que j’aperçois. Beaucoup d'autre dans la salle aussi ont les mains sous leur bureau d'après ce que j'entrevoie.

  Le directeur s’arrêta de parler et fit un long regard dans la salle. Je m'empresse de remonté mes mains comme mes voisines de chaque côté. Quelques autres filles que je peux voir aussi ont remontée leurs mains sur leur bureau. Ludovic a peut-être aussi quelque chose à y voir. Il y a plusieurs filles qui le trouvent beau. Après quelque secondes de pause, le directeur recommence à parler. En ajoutant que si la tenue des punis en excitent plusieurs au point de se tripoter, il va les invités à venir sur l’estrade et se mettent nus, eux aussi, pour se soulager les hormones. Sûrement, que nu en publique, ça en calma plusieurs d’entre nous. Il rajouta, les deux qui sont ici devant vous après la fessée qu’ils recevront ici cette après-midi. Leur punition va continuer tout comme celle de mademoiselle, Lawson pour les trois pour le reste de la semaine.

C’est pour ça que vos deux camarades Marie et Ludovic ne sont pas à leur place, mais ont été convoqués devant vous tous. Mademoiselle Lawson n’était pas seul ce samedi soir au mur pour faire son graffiti, voici ces complices, mademoiselle Marie Esteban et M. Ludovic Rachid, qui n'ont pas besoin de présentation, vous les connaissez tous.

 Et il se retourne vers eux et s’adresse à Sandra et lui dit pour aujourd’hui Mlle Lawson, je pense que vos fesses ont pas mal souffert. Laisser votre position au fond de l’estrade et venez ici juste à côté de votre amie Marie. Vous pouvez baisser vos bras et garder les de chaque côté de votre corps. Ce sera plus confortable pour vous. J'ai un petit travail pour vous. Mlle Lawson, vous allez aider votre amie à se préparer pour sa punition. En regardant ma voisine de gauche et celle de droite qui a la jupe rendue presque à son nombril, sa culotte baissé à ses cuisses, la chatte pratiquement à l’air tellement que ça l’excite.

 Je lui demande ce que le dirlo veut faire, a-t-il l'intention de faire déshabiller Marie. Elle hausse les épaules, et me fait de drôle de regard, interrogatoire. J’ai l’impression que ma voisine se demande, elle aussi, a quoi veut en venir le dirlo, mais c'est sûr qu'elle est excitée de regarder Sandra nue. Aider Marie pour sa punition, mais sûrement que M Delavarenne a une idée en tête. Il s’adresse en suite à Marie et lui dit Mlle Esteban, vous ne pouvez pas garder cette uniforme qui porte les emblèmes de l’institut. Une étudiante qui écope de la plus sévère punition ici, soit le grade trois comme vous Mlle Esteban aujourd'hui et votre amie Mlle Lawson plus tôt. Ces étudiantes-là perdent instantanément le droit de porter l'uniforme de l'institut qu'elles viennent de déshonorer.  L'uniforme vous est confisqué immédiatement. Tout comme Sandra a perdu le droit de le porter ce matin, vous aussi, il vous est interdit de le porter et jusqu’à la fin de votre punition. Car Marie, vous êtes en punition pour le reste de la semaine, tout comme votre amie. Mes voisines de chaque côté de moi me donnent un coup discret et me font un gros sourire.

  Marie ce plain, supplie le directeur. Elle lui demande de ne pas l’obliger à faire ça dans la classe. J'ai trop honte, lui dit-elle, c’est trop pour moi de me déshabillée devant tout le monde si vous le voulez dans votre bureau comme ce matin, mais pas ici, lui demande-t-elle. Le directeur l’interrompt, vous avez traité cet établissement de bagne. Alors dans un bagne il y a un chef qui est moi et des mutins et les forte tête sont sévèrement punis. Donc que Mlle la mutine quand vous avez suivi Sandra ce soir-là pour le tag. Votre amie ne vous a sûrement pas imposée à devenir sa complice, par contre assumer votre punition. Vous méritez d’être punie aussi sévèrement qui votre amie là été ce midi et sans protester. Si vous insistez, la sentence va s’aggraver, un mutin ça mérite le fouet ou la strap, Mlle. Les règlements sont très clairs pour de tel geste ou c’est le renvoie où vous subissez le châtiment corporel prévu. Comme l’on décide le comité de discipline du bagne, mais vos parents à vous deux Marie et Ludovic ont été prévenus et leurs réponses furent très claire, la punition corporelle très sévère et évitez le renvoi.

Les spectateurs dans la classe ont tous hâte pour la suite, surtout les quelques rares garçons qu'on est dans cette classe. On s’agite tous a l’idée que deux des plus belles filles de l’institut soit nue en même temps. En plus les deux ensemble dans notre salle de cours exposé sur l'estrade. C'est notre journée de chance qui ne se répétera pas de sitôt pour nous, autant en profiter au max. Et moi je suis placé dans la deuxième ranger à l’avant. Je suis privilégié, dans les salles de cours, on a déjà vu des camarades féminin ou masculin recevoir des punitions. La jupe et petite culotte, ou pantalon et slip aux genoux et a quelque rare fois entièrement nu recevant une fessée et mis au coin. Mais jamais deux belles files mises à nu comme aujourd’hui.

   M. le directeur s’approche de l’estrade et des deux filles et demande à Sandra de se virer dos à nous pour nous montrer ses fesses, comment vous sentez vous nue devant vos camarades et les fesses marquées par le fouet ? Lui demande le directeur. Sandra, la face presque aussi rouge que ses fesses par la honte sûrement d’être nue et l’humiliation de la fessée reçue a 17 ans, ne répond pas. C’est sûr que c’est humiliant d’être punie de la sorte. Elle se retourne comme demander nous montre son joli postérieur sans prononcer un seul mot.

M Delavarenne se rend compte tout comme nous que Sandra ne veut pas partager avec nous son état d’âme sur sa tenue, il demande alors à Sandra de se placer face à Marie. Sandra reste encore dos à nous. Maintenant Sandra, c'est votre amie Marie qui vous a mise dans cette situation, dit le dirlo et c’est à vous de la préparer à être punie à son tour.

 

Je vous donne l’opportunité de prendre une petite vengeance sur elle. J'ai entendu ce midi que vous deux, vous n’étiez pas portée à vous montrer nue l'une envers l'autre, même si vous êtes de très grande amie de longue date. Vous êtes très pudique selon mes sources. Est-il vrai que vous êtes toutes les deux très pudique ? Sandra, mettez-vous à genoux devant Marie et enlevez ses chaussures et ses bas. Sandra s’agenouille et pose péniblement ses fesses sur ses talons devant Marie. Sandra exécute les ordres de M Delavarenne. Marie ayant les pieds nus maintenant M Delavarenne demande à Sandra. C'est vous qui allez continuer à enlever son uniforme de sûr son dos. je vous ordonne de déshabillé votre amie Marie. Sandra ton amie aussi n’a plus la permission de le porter, maintenant, c'est la jupe que vous enlevez.

Sandra toujours à genoux devant Marie. Elle étire ses bras et défait les deux boutons à la hanche qui sont juste à la hauteur de ses yeux, et qui tienne fermé la jupe. Elle laisse tomber sa jupe au sol, dégage le vêtement des pieds de Marie et la pose sur le bureau du prof. Autour du chemisier lui dit le dirlo. Sandra enlève ses fesses des sur ses talons. On peut revoir ses belles fesses toute zébrée et rouge. Elle est si mignonne à regarder à genoux face à Marie. Elle commence par défaire les boutons avant du chemisier. Ensuite ceux qui sont aux poignets se lève ensuite sur ses jambes et lui baisse le chemisier de sur ses épaules. Elle lui retire et le pose sur la jupe. Sandra maintenant le soutien et la culotte, tu ne seras plus seul nue, ta traître d’amie va t’accompagner maintenant. Marie essaie de protester et baisse ses bras sur sa poitrine pour retenir son soutien sur sa poitrine, et met une main sur son entrejambe, cachant sa demi nudité qu’on ne voit pas d’ici, Sandra nous cache encore étant debout face à Maire. M Delavarenne demande à Sandra, dit nous, qu’est-ce qui t’est arrivé quand tu ne m’as pas obéi dans le bureau ce matin ?

Toujours face à Marie, Sandra répond. J'ai reçu une claque sur les fesses Monsieur. Une claque, moi, je peux dire à tes camarades ici que c’est une claque, oui, mais avec la palette de bois, en disant ça le dirlo ouvre un tiroir du bureau et sort une strap. La palette n’est pas disponible ici, voici avec quoi tu vas faire obéir Marie pour qu’elle remette ses mains en place. Il donne la strap à Sandra et demande à Sandra de claquer les fesses de son amie de la même force qu’elle a reçu sa claque ce matin. Il l’avertit que si elle n’applique pas les coups assez fort, ce sont ses fesses à elle qui vont lui chauffer encore si ce n'est pas à son goût.

Sandra passe à l’arrière de Marie et pose la strap sur le bureau pour se dégager les mains et dégrafe son soutien de dans son dos. Sandra descend ensuite les bretelles sur ses coudes. Elle prend ensuite les bras de Marie juste en haut des coudes et demande qu’elle repositionne ses mains où elles étaient. De ma position, je lui entends dire, Marie, ne m’oblige pas à te chauffer les fesses. Ça me ferait trop plaisir obéi s'il te plaît en lui donnant quelque bonne claque sur ses fesses avec sa main droite qui sont protégées encore par sa culotte. On aperçoit des larmes coulées sur les joues de Marie. Marie en bougant ses bras Sandra en profite pour y sortir les bretelles de ses bras. Marie remonte ses mains sur sa tête. Sandra lui retire les bretelles de son soutien-gorge de ses bras. Marie a maintenant la poitrine a l'air devant nous. On voit ses beaux petits seins bien fermes pointés et ses deux petites tétines dans les mêmes grosseurs que ceux à Sandra. Il ne reste que sa culotte qui l’habille encore ou cache-le peu ce qui reste de son intimité.

M Delavarenne arrête Sandra, et lui dit. Avant que tu mettes Marie entièrement nue, va voir M. Rachid, il a l’air à avoir hâte que tu t’occupes de lui. Sandra se déplace en passant par l’arrière de l’estrade, elle est moins à la vue et se place à la droite de Ludovic. Ludovic, toujours les mains sur sa tête, attend. Il avait l’air d’apprécier de voir Marie se faire mettre à poil à côté de lui, et surtout Sandra qui rôdait autour de lui nue. Sandra se place en face de Ludovic, ici dans a ma place où je suis assis, on distingue bien la grosse bosse dans son pantalon. Ludovic est comme moi, il bande lui aussi, et mes voisines l'on, elles aussi, remarquer.

   Sandra commence par le haut de M.Rachid. Tu commences par lui retiré son veston, ensuite la cravate et la chemise. Sandra étant donné que tu n'as pas l'habitude de déshabillé un gars. Je vais être obligé de te coacher, je crois bien. Je pense que Sandra a peur de se faire humilier encore plus devant nous, ses camarades, elle enlève très rapidement les vêtements. Ludovic est torse nu. Lui aussi son uniforme lui est confisquer nous le directeur. Et M. Rachid si vous bougez, c'est la strap que vous recevrez. C'est bien dit le dirlo à Sandra je te félicite tu as très obéi. Sandra n'a pas d’autre choix si elle ne veut pas que ses fesses goûte encore à la strap. Ma voisine de droite met sa main sur ma bosse et commence à sonder mon sexe et à le caresser sous mon bureau. Sans que je m'y attende, et elle prend ma main droite et la dirige directement sur sa culotte sous sa jupe. Je sens qu’elle est très excitée, sa culotte est humide, probablement que voir Ludovic se faire déshabiller devant nous ça l’excite autant que moi avec les filles nue.

Mlle Lawson je vous fais une grande faveur aujourd'hui. C'est la première fois ici à l’institut qu’un étudiant dénude un autre étudiant. Et toi Sandra, c'est deux que tu as le privilège de dénuder. C’est une grande faveur aussi que je vous fais, à vous tous ici dans la salle cette après-midi, de pouvoir assister à ce déshabillage-là, sur l’estrade. Ce midi dehors dans la cour, Mlle Esteban et M. Rachid auraient dû t'accompagner Sandra et être à tes côtés nus, eux aussi, et être punis avec toi.

Maintenant Mlle Lawson, agenouillez-vous devant Ludovic et vous lui enlevez, chaussures et chaussettes. Sandra n’est pas trop sûre et regarde derrière elle notre réaction. Et nous autre, on a le regard fixé sur elle et ses fesses zébrées, ou sur Marie seins a l'air et sa petite culotte comme vêtement.

    On la voit timidement s’agenouiller devant Ludovic. Sandra plies les genoux sans poser ses fesses sur ses talons cette fois-ci. Elle fait juste se pencher pour atteidre les pieds de Ludovic. Elle lui enlève les chaussures et les chaussettes. M Delavarenne la félicite d'obéir si rapidement. Maintenant, lui dit-il, tu continues, détache son pantalon et enlève-lui aussi, tu lui retires.

Mais vous n’êtes pas sérieux M. c’est un gars, ce n’est pas à moi à le faire. Si vous voulez qu’il ne le porte plus, c’est à lui de le retirer.

Oups ! J’ai l’impression que le dirlo n’a pas aimé les paroles qu’il vient d’entendre. Il s’approche de Sandra qui est à genoux devant Ludovic, la tête à la hauteur de sa poitrine. Le directeur claque les fesses de Sandra avec sa main. Sandra cris et lui demande d’arrêter, on la voit se retournée de côté pour éviter les coups. M Delavarenne se redresse, Sandra se frotte les fesses, ensuite essuie quelques larmes. Sûrement que ses fesses sont très douloureuses avec le fouet de ce midi et les claques qu'elle vient de recevoir à l’instant ont dû raviver la douleur. Le directeur lui conseille de ne pas parler et d'obéir, car la prochaine fois, c'est la strap qu'il va utiliser.

Toujours à genoux devant Ludovic, Sandra se replace et ses mains trembles, elle parait très nerveuse. Elle réussit à détacher le pantalon de Ludovic, et le baisse à ses chevilles, le libère de ses pieds et le donne à Mme Petigrew qui est près de Ludovic. Ludovic a maintenant que son caleçon, on voie tous qu’il a une érection, son caleçon à une bosse énorme qu’il cache en descendant ses mains dessus. Mme Petigrew notre profe lui claque les fesses sur son caleçon avec la strap pour qu’il remette ses mains sur sa tête.

  Ma voisine de droite gigote sur sa chaise. Ça l’excite, elle mouille de plus en plus et on entend le dirlo dire à Sandra de baisser le slip, lui retirer complètement. Sandra refuse, M Delavarenne lui dit, c'est ton choix, tu es libre de mettre ton camarade nu au pas. Mais si tu refuses, tu te relèves debout et Mme Petigrew te donne quinze coups de strap pour ton refus. Choisie le slip ou tes fesses. Sandra dit au directeur qu’elle va lui enlever, elle ne veut pas recevoir le strap ses fesses lui font trop mal.

M Delavarenne demande à Sandra. As-tu peur de te faire mordre par un pénis. Ce n’est pas la première fois que tu voies le pénis d'un gars d'aussi près, j'espère. Il va aussi falloir s’occuper de ton éducation sexuelle en plus de tes fesses. À l’âge que tu es rendu, tu dois connaître ça, un pénis, pose tes fesses sur tes talons et exécute-toi. Le temps passe et j’ai autre chose de prévu pour vous trois. J'entends rire dans la salle, la plus par d'entre nous ont trouvé ça drôle d'entendre le directeur dire ça si Sandra avait peur de se faire mordre. J’entends rire mes camarades derrière moi et ma voisine, elle ne lâche pas ma bosse. Elle est encore très excitée et moi aussi de me faire caresser la queue et ma main en plus placer directement sur sa chatte dans sa culotte toute humide, je trouve ça très plaisant.

Sandra réussi a posé ses fesses sur ses talons comme le directeur lui a demandé. Son visage arrive juste à la hauteur du pénis à Ludovic. Elle attrape l’élastique de son slip et le baisse à ses chevilles, sa queue sort raide comme une bar, il est bandé et sa queue apparaît au visage de Sandra. Il y a beaucoup de réaction dans la salle, Sandra ne sait plus où regarder, elle fixe le sol, gêner d’avoir la queue de Ludovic si près de son nez. Sandra reste penchée pour dégager le slip des pieds de Ludovic et pour éviter d'avoir le pénis dans sa face.

  M Delavarenne tutoie toujours Sandra maintenant. Et il change de ton avec elle, il lui dit prend le temps de regarder, d'admirer ce que tu as devant ton nez. Relève la tête et regarde M. Rachid est bandé à cause de toi Sandra. On l'entend provoquer Sandra et Ludovic. Il dit à Sandra pour l'humilier encore plus. Te, voire nue devant lui le fait bander c’est sûr, un beau corps comme le tien. Même dans la salle, les quelques gars qui y sont sûrement sont bandés eux aussi. En te regardant nue. Et en plus, Marie à côté, quasi nu, elle aussi. Ce jeune homme ne peut pas se retenir longtemps. 

Sans que personne s'y attendre, il rajoute. Et il n’y a assurément pas juste les gars ici qui ont des réactions de l'excitation, en regardant dans la salle et dans ma direction plus particulièrement. j'arrête de sonder la chatte de ma voisine et j'enlève ma main de dans ls culotte, j'ai peur que le directeur nous ai vu. Mais il continue a parler a Sandra, tu dois être fier qu’un gras te montre sa queue bien raide a quelques centimètre de ton nez rajoute-t-il. Sandra, c'est reculez la face toute gêner d'entendre ce que vient de dire le directeur. Mais M. Delavarenne lui met la main derrière sa tête, sur sa nuque et lui colle le nez sur la queue de Ludovic. Il tient Sandra quelques secondes, la face collée sur la queue de Ludovic, ce qui pour Sandra doit paraître très long. On a presque l’impression qu’elle est en train de le sucer tellement sa bouche est proche. Toujours en tenant Sandra derrière la tête, il la relève sur ses pieds et l’envoie devant Marie qui lui reste seulement sa culotte qui protège son intimité et oblige Sandra à s’agenouiller devant Marie.        

Avant que tu regardes la chatte de Marie, j’ai une question à vous poser à toutes les deux, dit M Delavarenne.

Dites-nous les filles depuis quand vous connaissez vous ? D’après nos dossiers, vous ne restez pas loin d’ici et dans la même rue si j’ai bien vu. Sûrement que M Delavarenne veut nous garder sur notre appétit et humilier encore plus les deux filles en leur posant cette question-là.

Sandra répond toujours agenouillé devant Marie. Depuis 11 ans, répond Sandra. J'avais six ans Monsieur quand mes parents ont acheté la maison juste à côte de celle des parents de Marie. On a la même âge et on c'est toujours bien entendus toutes les deux jusqu'à aujourd'hui. C’est bien jeune fille que le dirlo lui répond. Et depuis tout ce temps que vous, vous connaissez, jamais vous, vous êtes amusé à vous mettre nue une en face de l’autre comme de bonnes amies le font à la préadolescence ou à 14, 15 ans. Souvent dans des moments intimes les ados font souvent ça pour se découvrir, s’amuser, depuis 30 ans que je travaille ici, j’en ai vue souvent de très bonnes amies, des ados qui se montrait nue. Elles s'amusaient à comparer leur corps, beaucoup l'ont fait ici dans les vestiaires. Moi, je trouve ça un peu bizarre, c'est question-là, mes voisins aussi trouvent le directeur hors contexte.

En parlant toujours très fort pour que toute la salle entendre, le directeur continu ces bizarres de question. Ce que j’ai su, c'est que Marie ce matin vous à regarder très étrangement de la tête aux pieds quand elle vous a croisé dans le couloir, c’était une première pour elle de vous voir nue d'après sa réaction.

Sandra qui hésite continue de répondre et on la voit qu’elle cache ses parties intimes au même moment qu’elle répond toujours à genoux et assit sur ses talons devant Marie. La question du directeur l'a mise mal à l'aise, elle est gênée. M. oui, ça n'a jamais été dans nos habitudes de se montrer à moitié nue, même si on était toujours ensemble. C'est la première fois que je vois Marie presque nue et Marie aussi, pour elle c’était la première fois ce matin quand je suis sorti de l’atelier et qu’elle m’a croisé. J'étais nue devant elle, mains sur la tête, et très gênée d'être devant elle. C’est pour ça qu’elle m’a regardé ainsi, ça m’a terriblement humilié.

OK rajoute le dirlo Sandra, c'est le temps de t’occuper de la culotte de Marie. Maintenant que tu es à genoux devant Marie assis toi, pose tes fesses sont sur tes talons. Sandra s'installe. Le directeur lui ordonne d'enlever la culotte que porte encore Marie. Tu auras ainsi une belle vue sur sa chatte. Sandra, lui dites-vous, voulez que je lui enlève sa culotte, je dois lui enlever sa culotte, la face presque coller sur son sexe.

On entend le directeur lui dire. Oui Sandra et souvenez-vous que vos fesses peuvent encore vous chauffer si vous refusez. Ça va vous faire connaître Marie plus intimement et de plus près

On regarde Sandra qui est agenouillée devant Marie et ses fesses sur ses talons. Ça la rend encore plus sexy, sa raie de fesses sort de ses talons, moi, j'aime ça. Elle passe ses doigts sous l’élastique de la culotte blanche de Marie. On ne voit pas grand-chose d'ici, étant face à Marie et très près, Sandra nous cache à partir de son ventre. La tête de Sandra me coupe la vue, probablement que les autres assis dans les bouts des rangées ont un meilleur angle que moi. Mais je sais que la culotte est aux pieds de Marie, je vois que Marie lève son pied gauche, ensuite le droit. Ma voisine a toujours sa main sur mon érection et me fait signe de regarder Ludovic. Sa queue a ramolli et est redevenue toute petite, ça doit être humiliant se faire mettre le zizi à l’air par une fille devant un plus de 25 personnes et ne pas être capable de se retenir de bander devant tout le monde. 

       C’est fait, Marie est nue, je vois Sandra se relever et elle pose la culotte sur le bureau. Je peux enfin voir Marie nue devant moi. Bien rasé, aucun poil pubien, on voit sa belle fente. Elle est mignonne exposée devant nous nue avec ses beaux petits seins. Sandra, elle se met debout au côté de Marie en cachant ses parties intimes avec ses bras et ses mains. Sandra garde un petit duvet châtain une ligne au-dessus de sa fente, . Pas plus de poitrine que Marie, mais aussi belle à regarder. Marie est superbe comme je l'avais imaginé dans mes fantasmes nue devant nous. Mon autre voisine, celle de gauche, se rend compte à son tour que j’ai une érection et que mon autre voisine de droite, son amie en plus, s’amuse à toucher ma bosse. Et elle regarde où est ma main. Elle s'aperçoit que ma main est placée entre les cuisses de ma voisine ce qui l’excite. C'est à son tour, elle aussi, de prendre mon autre main et l’amenée entre ses cuisses pour me faire toucher sa culotte, vis-à-vis sa vulve. Son sexe est aussi humide et mouillé que celui de ma voisine de droite, elle aussi, ça l’excite de voir les filles et Ludovic nus juste devant nous. Je surveille le directeur, M Lepetit, et ma prof, je ne veux pas qu’on se retrouve ma voisine et moi à l’avant et nus avec eux, mais ils sont tous concentrés sur leur étudiant en punition pour l’instant. 

 

M Delavarenne demande à Sandra de reprendre la strap qu'elle avait déposé plus tôt sur le bureau et de se mettre en position à côte de Marie. Sandra ne comprend pas à quoi le directeur veut en venir, elle le questionne sur le pourquoi de prendre la strap. Mlle Lawson faite ce que je vous demande, lui dit le directeur. Sandra prend la strap et va à côté de Marie et attend. Sandra, ton amie Marie t'a trahi ce matin. Je te donne l'occasion de prendre ta revanche. Ce n’est pas moi qui vais punir Marie, mais toi Sandra. Ce midi Sandra, tu as reçu 30 coups de fouet sur les fesses attaché et exposer jambe écarte humilié par sa faute. Maintenant avant de d'utiliser cette strap, Sandra, tu vas lui administrer une première fessée à la main. La chaise qui est derrière toi place là-devant toi et assoie toi dessus. Après t'être installée, Marie va s'allonger sur tes genoux.

Sandra place ladite chaise à l’endroit demandé par le dirlo et réussi à poser ses fesses dessus. Mais le dirlo me regarde, moi et mes deux voisines, les mains sous nos bureaux. Il demande qu’on se lève tous les trois debout. On se lève tous les trois, mes voisines prennent bien soin avant de se lever d’abaisser leur jupe sur leurs cuisses pour dissimuler ce qu’elle fessait avec leurs mains.

Je l’entends dire Sandra, relevez-vous et allez voir M Duhamel qui est debout juste ici avec ses deux charmantes voisines. C'est moi ça la pression monte dans mes veines. Mes copines aussi deviennent nerveuses, il nous a très bien avertis que si un étudiant n’était pas capable de se retenir, s’il prenait plaisir à jouir sur ses camarades punis, il finirait nu lui aussi sur l’estrade.

  Sandra vient nous voire. Étant juste à côté de ma voisine et nue, ça m’excite encore plus. Le directeur dit à Sandra de venir en face de moi entre mon bureau et moi, et de mettre sa main sur ma fermeture éclair et de dire à tout le monde ce qu’elle ressent. Sandra met sa main sur ma bosse et dit fort pour que toute la salle l'entendre. M. Je crois qu'il est bandé comme Ludovic l’était plutôt, c'est aussi gros et dur. Je suis gêné dans la salle, on entend rire. Silence, demande le dirlo. Il demande à nouveau à Sandra de lever la jupe de Mlle Molette, c'est ma voisine et de vérifier sa culotte. Sandra lève la jupe de Rebecca et regarde, elle dit au dirlo, sa culotte est trempée, Rebecca est excitée M. Elle a voulu rester polie pour ne pas dire, elle jouit. Le directeur nous dit M. Duhamel, Mlle Molette et Mlle Grand, placez-vous dos au mur, à votre droite, bras croisés dans votre dos, c'est un ordre. Je vous interdis de bouger sinon c’est nus sur l’estrade pour les trois. Vous devez sûrement savoir ce que j’ai dit à propos de ceux que la punition de leur camarade les font jouir.

Oui M. je réponds, mes deux copines aussi bien timidement disent oui aussi. Je vais vous montrez, c'est quoi l'effet que ça fait que d'être exposé devant vos camarades, et de fantasmer sur leur punition. Sandra, mets-toi à genoux devant Mlle Molette et enlevé lui sa jupe. Sandra n’a pas le choix, elle obéit ou ce sont ses fesses qui encaissent, elle le sait très bien. Sandra se met à genoux devant Rebecca et lui enlève sa jupe, maintenant Sandra sa culotte pleine de cyprine enlève-la aussi. Ma copine se trouve à côté de moi, fesse a l’air, mais son chemisier est long et descend jusqu'à son sexe. Elle est encore cachée, mais je suis sûre que l’on peut voir sa fente pareille.

 

Sandra Rebecca doit nous montrer son sexe pour être humiliée détache son chemisier
Sandra détache les boutons de son chemisier comme il lui a demandé et le rouvre pour que l'on voie son soutien-gorge. C'est chien, le chemisier tout grand ouvert et son sexe a l'air et bien rasé est visible. Rebecca est humiliée d'être exposée devant nous tous. Mais je sens que moi aussi, je vais être mise à nu, c'est à mon tour.
 
 Mlle, je vous félicite, vos sous-vêtements sont réglementaires, c'est beaucoup mieux ainsi, commente le directeur. Sandra, tu fais la même chose pour les deux autres. M Duhamel, lui, c'est son pantalon et le caleçon aux chevilles, et le chemisier aussi, tu le détache. Sandra s’agenouille devant moi et baisse mon pantalon. Je suis encore bandé et elle le remarque très vite. Une fille nue devant moi, je ne peux me retenir, c’est plus fort qui moi. Mon pantalon est maintenant baissé, c’est mon slip qui suit. Je suis mort de honte, la queue raide qui arrive presque dans la bouche de Sandra et devant tous les autres camarades de la salle. C'est humiliant ensuite, c'est Nancy qui se retrouve, elle aussi, la jupe et sa culotte aux chevilles. Sandra fait la même chose qu'avec Rebecca, elle lui détache tous ses boutons de son chemisier comme le dirlo lui a demandé, et l'ouvre. Son chemisier reste ouvert du haut au bas et on entrevoit, elle aussi, sa poitrine couverte de son soutien-gorge blanc réglementaire, par chance pour elle, son petit ventre et sa fente. Elle aussi est rasée aucun poil, on voit sa fente bien lisse comme Rebecca et Marie.

 

 

           

 

 

 

 

 



jeudi 4 juin 2020

Les complices de Sandra Marie et Ludovic seront punis le tag 4


 

Marie après la punition de Sandra



 

-- Durand la pause du repas à la cafétéria, tous les étudiants garçons et filles parlaient de Sandra. Les garçons plus de la manière que leur sexe a réagi. Et que tous les mâles de l’institut rêvaient de voir Sandra nue un jour. Quand ils la voyaient à la piscine en maillot très moulant et distinguant ses parties les plus intimes. Ils n'avait que sur son superbe corps disaient-ils entre eux. Ils le voyaient nue au travers le tissu très moulant et encore plus provocant étant mouillé. Je ne pouvais pas m'imaginer que des gars pouvait aller si loin en pensée. Beaucoup fantasmaient sur ce qu'ils voyaient quand elle portait son maillot à la piscine. Ça doit être probablement la même chose pour chaque fille qu'ils voient à la piscine. Plusieurs fabulaient sur ses supposés magnifiques seins que disaient les uns et les pitons qui perçaient quasiment le tissu de son maillot, commentait d’autre. En plus les cochons, ils parlaient de ses superbes fesses bien rondes. L'entre jambe de Sandra qui s'imaginaient supposément voir une belle bosse qui moulait la forme de la vulve que commentaient d’autres gars aux tables plus au fond. Pratiquement tous les gars fantasmaient sur ce superbe corps qu'ils ont tous l'air à dire qu'elle a. Moi qui suis son amie, j'ai toujours trouvé qu'elle avait un beau corps. Mais d'un point vue féminin et pour l'avoir vue pour la première fois nue devant moi ce matin en onze ans d'amitié ensemble. Moi, je le dis aux filles autour de moi, elle ne ma pas laisser indifférente. Ils ont raisons les gars, Sandra est superbe nue. Les autres filles qui sont avec moi et ont entendu comme moi les gars derrière nous ne sont pas surprises, elles n'ont plus de ce que les gars s'imagine quand ils nous regardent en nous déshabillant des yeux.

--- Mais Ils ont tous vue leurs rêves et fantasme se réaliser quand Sandra leur est apparue nue ce midi. D'après ce qu'on a entendu autour de nous et les sifflements que plusieurs ont faits. Ils la trouvaient encore plus mignonne qu’il se l’imaginait avec ses superbes petits seins bien ronds et ferme dressés devant eux. Mais surtout de son entre jambe très bien exposer sur le chevalet quand M Lepetit lui a attaché les chevilles de chaque côté des pattes du chevalet, j'avais honte de regarder Sandra se faire humilier ainsi. Ç'aurait pu être moi exposé nue sur ce chevalet à la place de Sandra, c'est mieux ainsi. Tous étaient sous le choc de, voire les marques provoquées par le fouet. La douleur que devait provoquer ces coups frappant les fesses, et ses cuisses, et quelquefois le bord de sa vulve. Pauvre Sandra, ça devait être terrible, je l'entendais crier quand le fouet frappait ses fesses, et moi qui avais des remords de l’avoir trahie, mais contente de ne pas avoir subi moi aussi cette honte

--- Certains d’entre eux ont même dû aller faire un tour à la salle de bain après la fessée terminé pour remettre leur engin au repos. Les filles étaient pour la majorité de la même avis sur l’apparition humiliante de Sandra. D’être entièrement nue sur l’estrade extérieure devant des centaines d'étudiants et employées réunis, peu importe l’âge des étudiants, tous étaient invités à assister à la punition de Sandra. Mais ici a ST-Thomas, c’est régulier de voir des étudiants être punis nus en public. Surtout a la salle à manger le midi, être ainsi traité et de devoir mettre ses parties les plus intimes à la vue de tous. On espère tous ne pas à avoir à subir la même humiliation d’être mise nue et fessée en publique et sans aucun respect pour sa pudeur, mais la majorité aime ça assister aux punitions des autres.

--- Après ces discutions entre filles et mon repas terminé. Je m’approche de la porte pour sortir et me rendre à mon casier pour changer mes livres pour le prochain cours. Le directeur m’arrête et me dit de le suivre dans son bureau, mais il n'est pas encore 1 h 15, lui dis-je, M. je ne suis pas en retard. Mes camarades mon toutes regardées en souriants un brin avec la trahison que Sandra avait subie de ma part. Plusieurs d'entre elles se doutaient un peu que c'était moi la coupable de cette dénonciation-là. Les rumeurs circulant beaucoup dans les couloirs de ce fameux tag et que j'étais sûrement la complice de Sandra, puisqu'on est toujours ensemble. Je demande au directeur pourquoi dois-je le suivre avant l'heure fixé. Il ne me répond pas et me tire par le bras en serrant assez fort. Lâchez-moi, lui dis-je, ce n'est pas nécessaire de me serré si fort, vous me faites mal, je vais vous suivre pareille mais lâchez-moi. Mes amies qui étaient autour de moi me regardent partir avec le dirlo qui est vraiment de mauvaise humeur. Le directeur reprend en disant que ce n’est rien cette petite douleur, car dans quelques instants, ça sera bien pire et d’arrêter de te plaindre et suit sans discuter.


--- Arriver à son bureau, il me fait rentrer, à L’intérieur. J'aperçois Sandra pleurant encore une demi-heure à près avoir reçu sa punition. Elle se tient debout, les deux mains sur la tête, face au mur, toujours nue, les fesses et le haut des cuisses rayé et bien rouge par les coups de fouet reçu dans la cour un peu plus tôt. Elle se retourne et me regarde avec une envie de me tuer tellement elle m’en veut de l’avoir trahie. Mais M Delvarenne me regarde et regarde Sandra et dit, mademoiselle Lawson n’est pas la seule dans cette histoire parce que, mademoiselle Esteban, vous étiez aussi présente sur les lieux avec mademoiselle Lawson.

Donc mademoiselle Esteban, vous êtes aussi responsable de ce tag que mademoiselle Lawson. Je proteste et lui dis que je n’ai rien fait que regarder et surveiller les lieux. Il m’interrompt et me dit de me taire, et reprend en disant que d’être la complice, c’est aussi coupable que celui qui fait le tag. Je suis obligé de sévir, me punir aussi sévèrement que j,ai punis Sandra me dit-il. Dans un bagne comme vous nous avez traité, le chef ou directeur a tous les droits sur les mutins. C’est ce que le comité de discipline a décidé à l’unanimité aussi, et je suis cent pour cent d’Accord avec cette décision. Je proteste autant que je peux. Pas nue, j'espère et devant tout le monde comme Sandra ce midi. Je suis trop gêné pour subir une telle humiliation M. en le supliant de ne pas me punir. 

Mais le directeur ne bronche pas et rajoute, Marie, tu as été chanceuse ce midi. Quand la décision a été prise par le comité que tu subisses la même punition que Sandra, il était trop tard, l'amie que tu venais te trahir était déjà nue sur l'estrade et sa punition commençait. Même si Sandra à essayer de me convaincre qu’elle était la seule à commettre ce graffiti pour t’épargner une telle humiliation tu n'y échapera pas Marie. Les complices sont aussi coupable que l’exécutant dans ces cas-là. Marie tu peux être fier du courage de ton amie que tu as trahie. Ton amie Sandra a tout essayé de te sauver les fesses du fouet, contrairenent à toi Marie qui a tout fait pour te protégée de la punition.

C’est alors qu’il me dit qu’il avait appris par un témoin très crédible ce midi, qu’il y avait trois personnes ce samedi soir. Il commence à me raconter qu'il a su que c'était samedi soir qu'ont nous auraient été vus vêtues en noir près du mur en train de faire le fameux tag, pourtant j'étais sûr qu'on était seul, me dis-je. Je n'en ais aucune idée de qui aurait pu nous apercevoir cette nuit-là. Alors mademoiselle Esteban, c'était sûrement vous, qui étier-là avec Sandra à faire ce tag. Et dis-moi Marie qui était la troisième personne ? Je sais très bien que vous étiez trois.
Je m’en veux de ne pas vous avoir fait accompagner avec votre amie dehors ce midi, pour recevoir le fouet. Ce matin, au lieu de vous faire rhabiller et vous retournez à votre cours, il aurait été mieux que je vous garde dans mon bureau. Il était trop tard ce midi pour aller vous chercher. Sandra a été la seule à recevoir le fouet et être injustement humiliée sur l'estrade. Mais je vais me reprendre cette après-midi.

Le directeur me promet de me chauffer les fesses à ton tour. La peur me prend et des nœuds commence à se former dans mon ventre. Sandra se tourne la tête en entendant ces paroles et me regarde en souriant. Moi, je regarde ses jolies fesses. C'est vrai ce que les gars disaient ce midi. Plus je la regarde, plus je la trouve jolie nue. Je n'avais jamais eu l'habitude ou la chance de la voir complètement nue avant aujourd'hui. À quelques occasions, je l'ai vue partiellement nue dans le vestiaire de la piscine en se changeant rapidement. En quelques heures, j'ai croisé plusieurs fois Sandra nue. Ça me fait bizarre que ma meilleure amie soie nue, elle est très jolie.


Le directeur me demande de lui dévoiler le nom du troisième complice. Je lui réponds que ce n’était pas exact, on n'était que nous deux. Probablement par vengeance, je suppose, Sandra dit au directeur que c’était Ludovic l'autre. Un gars qui commençait à m’intéresser par sa beauté athlétique, un corps quasi parfait selon mes goûts à moi et des fesses bien moulées. On c’était échanger quelques baisers, accolade et quelque caresse pas plus. Mais beaucoup de filles l’avaient dans leur mir aussi ce nouveau venu dans l’institut.


Le directeur


--- Je te remercie Sandra pour ta franchise et ta douce revanche. Mlle Esteban, vous subirez la même punition corporelle que Mlle Lawson, et Marie dit un gros merci à ton amie Sandra. Car si tu avais continué à me mentir de cette façon-là. Mon intention était de te rajouter des journées supplémentaires en punition la semaine prochaine. Tu vois Marie en quelques heures, Sandra te sauve les fesses encore une fois même avec ta trahison. M. Rachid aussi subira la même punition que vous deux car il vous accompagnait. Je fis appeler mon responsable de la discipline, M. Lepetit à mon bureau, par ma secrétaire. Marie se mit à genoux devant moi pour me supplier de ne pas le punir lui aussi. En pleurnichant, elle me dit, la seule chose qu’elle et Ludovic ont fait c'étais de surveiller les alentours pour guetter s'il venait quelqu'un pendant que Sandra s’exécutait. Mais je la repris en disant que c’est la même chose, vous êtes complices tous les trois et la décision est prise et sans appel, la punition s’applique aux trois. Vos parents ont été avisés aussitôt que la décision a été prise ce midi. Et ils ont tous répondus et approuvés de la décision prise. Mais ont demandé de ne pas appliquer la suspension qui était prévue après la punition corporelle pour avoir déshonoré l’institut.

  Les parents de vous trois nous ont demandés d’être beaucoup plus sévère à la place. Et ils vous attendent tous ce soir. Je crois que ça va se continuer à vos maisons respectives cette punition en ayant entendu parler que vos parents étais sévère avec leurs enfants même à votre âge. Je prends Marie par un bras et lui montre la porte de mon bureau et lui dit de m’attendre dans le bureau de la secrétaire. M Lepetit arrive et je lui demande de nous suivre à la classe de Mme Petigrew leur prof de Maths ou les filles sont supposée être présentement. Sandra me demande ces vêtements pour se vêtir dans les couloirs. Elle espère que je lui donne au moins sa jupe et son chemisier et ses chaussures pour aller dans la classe. Non Sandra, je lui réponds, tu es en punition de niveau trois. C'est ta tenue pour le reste de la journée et jusqu’à ce que ta punition se termine. Je fait, un signe, à Marie de nous suivre et en traversant le bureau de la secrétaire je tire Sandra en dehors du secrétariat dans le couloir, Sandra ne voulait pas sortir nue de mon bureau, et je ne la blâme pas ça doit être humiliant de circuler nu en public.


Marie

Je laisse Sandra sortir en premier du secrétariat. Le directeur l'oblige à tenir ces mains sur la tête, comme moi aussi. En sortant, elle surveille chaque extrémité du couloir de peur qu’il y aille du monde. Quelque prof circule et regarde en notre direction en nous sourient,
Je regarde Sandra avancer devant moi nue. Quelle honte d'être nue dans le couloir et en plus pieds nus, le plancher doit être froid. Même si je n'arrête de fixer les fesses de Sandra devant moi, marquées des coups de fouet, j’essayai de ne pas penser à cela, car j’étais épargnée pour le moment. Je sauvais cette humiliation-là en espérant toujours de garder mes vêtements sur moi.
Sandra quand elle est passée devant de nous. J'en ai profité pour jeter un œil sur ses beaux petits seins bien rond et j'ai regardé le reste de son corps que je trouvais magnifique. Je commence à comprendre les gars qui parlaient ainsi ce midi d’elle. Je suis une fille et moi-même, je la trouve très belle nue. Et tout comme les gars, ses formes dans son maillot quand on était à la piscine m'excitait. Je repense aux commentaires des gars qui fantasmaient sur ses fesses bien rondes et sa raie qu'ils distinguaient dans son maillot. Moi aussi ça attirait souvent mon regard. Quoique dans le vestiaire à la piscine, j'avais l’occasion de voir ses fesses en partie. Sandra ne s'expose quasiment jamais, elle se change devant les autres le plus discrètement possible sans qu'on puisse trop, voire son corps. Moi, je suis pareille, très pudique. Mais exposer comme Sandra l’est présentement, c'est humiliant. On voit sa fente avec cette toison rousse juste bien rasée, elle garde une petite ligne en haut de sa fente, j'adore, elle ne m'avait jamais parlé de cela qu'elle se gardait un peu de poil, je vien de le découvrir ce matin. Moi aussi, je ne lui ai jamais dévoilé que je me rasais complètement. Mais ce qui m'impressionne surtout, ce sont ses fesses et le haut de ses cuisses. Pleines de marques laissées par les 30 coups de fouet. Je ne peux m'imaginer la douleur que ç'a due procurer de se faire fouetter les fesses. Depuis que Sandra est en punition ce midi, je ne peux m'arrêter de penser à ce que mes fesses aurait enduré si je ne l’avais pas dénoncé.

Arriver à notre salle de cours, le directeur cogne et rouvre la porte, dit à Mme Petigrew d’interrompre son cours et la remercie pour sa bonne compréhension. Il fit rentrer Sandra la première entièrement nue, et les mains sur la tête. Il lui ordonne de monter sur l'estrade et dans le coin face aux élèves dans la salle sans bouger les mains parce que gare a tes fesses, lui dit-il. Sandra obéi même si ça lui procurait une horrible honte d'être exposée nue, Sandra n'a pas le choix. Elle obéit au ordre du directeur pour ne pas aggraver son mal aux fesses. Sandra avait encore des points rouges sur ses fesses quasi au sang tellement le fouet avait fait des marques qui étaient encore bien rouges. Tout le monde les voyaient ses marques. Il me fit monter aussi et mains sur la tête en plein centre. Il me fait placer en avant du bureau et bord de l’estrade la petite espace que les profs se garde pour punir les élèves en avant. Je suis à la vue de tous mais habiller, c'est beaucoup mieux que Sandra.
M le directeur se mit à expliquer aux étudiants dans la salle ma participation et les conséquences. Au même moment que les explications se déroule, M lepetit appelle Ludovic le fait lever et lui ordonne de venir sur l'estrade avec moi en avant du bureau. Le directeur dit à Ludovic. M. Rachid monté sur l’estrade au côté de la demoiselle qui est encore habillée. Le directeur se retourne et me pointe avec son doigt. Il continue ses explications sur le comportement, la gravité d’être complice et les conséquences, c’est alors que Ludovic interrompt le directeur.

Ludovic resta au côté de la porte sans bouger et dit au directeur qu’il ne veut pas monter et il n’est pas question qu’il soit avec elles pour être punis. Ça ne le concerne pas du tout. M Lepetit accroche alors Ludovic par l’oreille gauche et le tire par l'oreille vers l’estrade, provoquant sans doute une douleur intense. Car Ludovic se lamenta assez fort que les étudiants au fond de la salle l'ont entendu. M. Lepetit le fait placer ou le directeur lui avait demandé à côte de Marie et mains sur la tête. Ce n’est pas un gamin de 17 ans qui décide ici. C'est nous et tu obéis, c'est clair. Le directeur remercia M Lepetit et regarda Ludovic en lui disant. M. Rachid, vous ne passerez pas à côte de votre punition et vous aggravez votre cas en n’obéissant pas, mais pour l’instant, c’est par Marie que je commence. En se retournant, il reprend les explications, et finit par ce que qui se passera ici cette après-midi et pour le reste de la semaine pour nous trois.


 


dimanche 31 mai 2020

Sandra reçoi une sévère fessée à L'institut le tag 3


Saint-Thomas - Le tag (3)



Marie

 Depuis ce matin, je n’ai pas les idées claires. Je repense à ma visite dans le bureau du directeur. À la honte d’avoir été obligé de me mettre nue devant un homme, le dirlo. À la peur qu’il m’a fait quand il m’a presque sorti de son bureau nu et de m’avoir menacé de m’attacher nue et me fouetter dans la cour ce midi. Mais je repense surtout à Sandra ce matin, ma meilleure amie que j’ai trahie. On avait notre période libre, on pouvait faire ce qu'on voulait. Notre prof étant absente. Mes amies et moi étions dans le couloir du sous-sol qui conduit au gymnase. C'est-la que nous avons tous vu Sandra entièrement nue, main sur la tête, marchant le couloir suivi du dirlo. Elle a passé devant nous, les fesses bien rouges. Et pendant quelques minutes, je l’ai regardée soigneusement en détail, de la tête au pied, nue, même pas de chaussure dans ses pieds. J'ai trouvé que Sandra fessait pitié. Elle est comme je me l’imaginais nue, beaux petits seins, pubis bien taillé que je venais de découvrir, c'est la première fois que je la voie nue de la tête au pied. Et ça fait onze ans qu'on est de grande amie. Elle se garde une petite ligne de duvet qui surplombe sa fente. Elle a de très belles fesses bien rondes que je voyais dans son maillot et cela me rendait un peu jalouses. Mais surtout, je voyais sa tristesse dans ses yeux, sa honte d’être nue devant nous, ses amies, et M Lepetit qui lui a claqué les fesses comme une petite fille pour qu'elle avance.

        C’était la première fois depuis plus de 10 ans qu’on se connaît, que je la voyais nue, on est très intime entre nous deux, on se comptait toutes nos joies, nos peines, nos plus grands secrets. Mais jamais à s’être misent nue une devant l’autre. Jamais on en était arrivé là. Sandra et moi, on est trop prude pour se mettre nue, même si on est les meilleures amies du monde. J’espère seulement l’être encore son amie, qu'elle me pardonne. J’ai honte, mais j’essaye de me rassurer en me disant que je n’avais pas le choix. De toute façon, le directeur m’aurait fait le même traitement qu’il a fait à Sandra. Moi aussi, il m'aurait fait circuler nue dans les couloirs et j'aurais fini par parler pareille en me fouettant. J'aurais juste eu un mal de fesses de plus, j'ai bien fait de parler. Je sais que je suis douillette. Les quelques coups de strappe que j’ai reçu sur les fesses, ce n’est rien à comparer à la punition que Sandra est supposée, recevoir et son intimité aussi va en prend un dur coup. Je me dis aussi qu’elle l’a bien cherché en écrivant ce mot sur le mur. Je l’avais bien prévenue de ne pas faire cette sottise-là.

 

La sonnerie de midi me tire de mes pensées. Les profs qu’on suivait dans le couloir pour aller à la café nous annonce que nous devons tous nous rassembler dans la cour arrière avant le repas, car le directeur veut nous parler. Je repense immédiatement à Sandra, la pauvre tout de même. Je ne voudrais pas être à sa place. Et à ce que le dirlo m’a dit quand je suis sorti de son bureau, qu’il me reparlerait après le repas, ça m’inquiète pas mal. Je n'ai pas osé en parler à mes amies pour ma visite ce matin chez le dirlo, c’est trop humiliant de leur conter ça d'avoir été obligé de me mettre à poil devant le dirlo.

 Dans la cour, tout le monde est là, garçons et filles, dans un léger brouhaha qui cesse dès que le directeur monte sur l’estrade. Comme tout le monde, j’ai remarqué que le chevalet de punition qui normalement est installé sur l’estrade de la salle à manger, a été sorti. Le directeur prend la parole, d’une voix ferme.

 — J’ai comme vous tout découvert ce matin le graffiti qui a été fait ce week-end sur le mur qui déshonorait notre établissement. Je vous ai dit que nous trouverions le coupable et qu’il aurait une punition exceptionnelle. Adaptée à son cas, pire que les autres punitions qui se donnent ici. Je vous ai réuni ce midi pour vous dire que la coupable a été identifiée. Cela ne me réjouit pas de devoir punir une jeune fille de 17 ans de cette manière-là. C’est sûrement humiliant de dévoiler son intimité pour la première fois devant ses camarades. Mais en public ça doit être horrible. Mais ce n’est pas la première fille de 17 ans qui est puni nue ici.

 Sur un signe du directeur, le surveillant M Lepetit est entré dans la cour par la porte de service, Sandra le suit, nue, les mains sur la tête. Aux traces sur son visage, on voit qu’elle a dû déjà pleurer. Un très léger murmure parcourt l’assemblée. C’est la première fois que cette fille-là est exhibé nue pour une punition publique et ça plaît beaucoup aux gars, ils la trouvent superbe à ce que je peux entendre.

Le gars à côté de moi dit à son ami, elle a des seins superbes et des fesses d’enfer, c’est la première fois qu’elle parade à poil. J’aurais aimé être dans la première ranger pour la voir de plus près, rajouta-t-il. Ils montent tous les deux les quatre marches qui donne accès sur l’estrade pour rejoindre le dirlo qui les attend. Lepetit se tient en retrait, à côté du chevalet. Je vois Sandra qui s’avance à petits pas et se tourne sur l'ordre du dirlo, elle nous fait face maintenant bien exposée au public devant elle. Tout le monde, les garçons surtout, parcourt son corps des yeux, ses deux petits seins bien ronds, bien ferme, son sexe, sa fente. Tout son corps est bien visible. Sa petite touffe de poils, ses hanches et ses cuisses qui sont aussi belles, je n'aime pas voir mon amie humiliée de la sorte. Elle frissonne, une larme coule sur sa joue. Je vois que mon voisin rajuste son pantalon, ce salaud, ça le fait bander de voir Sandra comme ça. Et j'avoue que moi aussi, elle m'excite, mon amie et celle de Sandra aussi qui est juste à côté de moi, elle aussi, ne la lâche pas des yeux. 

 — Mademoiselle Sandra Lawson, vous avez sans doute trouvé drôle de comparer l’institut Saint Thomas à un bagne. L’heure est à présent venue de payer pour cette provocation. La direction s’est réunie pour étudier votre cas. Nous avons décidé de faire un peu de pédagogie. Nous allons montrer à tout le monde ce qu’est la vie d’un bagnard ou d'une bagnarde qui se fait remarquer. Je suis sûr qu’après cela tout le monde comprendra que le régime de notre établissement ne plaisante pas avec ces gestes stupide là. Même si la punition corporelle se donne régulièrement ici, ce n’est pas une vie de prison ici. C'est un institut privé, un lycée très respecté dans le pays avec des règlements très sévères.

Le directeur se tait un instant pour laisser à chacun le temps de comprendre puis reprend.

 — Mademoiselle Lawson, en plus des trente coups de fouet que vous allez recevoir tout de suite. Vous êtes condamnée pour le reste de la semaine à rester nue, cela veut dire sans aucuns vêtements pour circuler dans l'institut pendant la durée de votre punition. Vous allez vous présenter à l’atelier de monsieur Pogne chaque matin à 7 h. Vous remettrez tous ce que vous porterez comme vêtements incluant chaussures et bas pour vous être rendus ici à l’assistante de M Ponge Ginette qui est à ma droite. M Ponge vous donnera dix coups de lanière sur les fesses puis vous donnera du travail jusqu’au début de vos cours à 8:30. Vous irez assister à vos cours nu bien entendu. Le midi, vous serez attendu à la salle à manger public pour recevoir une autre punition corporel devant tous vos camarades et vous retournez à vos cours d'après midi. À la fin de chaque journée, vous pourrez récupérer vos vêtements à l'atelier de M. Pogne pour pouvoir sortir et rentrez à la maison, Le lendemain, c'est pareil 7 h à l'atelier pour une autre journée de punition et soyez à l'heure. Vos heures de cours vous serviront de pause pour vos fesses, vos fesses dérougirons un peu si vous êtes capable de vous asseoir sinon vos professeurs vous installerons debout à côté de leur bureau. Je suis sûr que vous serez plus respectueuse ensuite. Un dernier mot : la moindre réticence à faire ce que l’on vous demande, c’est la fessée immédiate. Peu importe le lieu, salle de cours, couloir, gymnase. Tous nos prof ou employée on le droit de punir un étudiant ici, vous avez bien compris Mlle Sandra et votre sanction sera prolongée de cinq autres jours.


 --- Des larmes coulent sur les joues de Sandra. Je n’arrive pas à croire qu’elle écope d’une punition aussi humiliante. Elle n’a toujours pas triché ou voler. Elle a juste fait un petit graffiti. Je vois Lepetit se diriger vers elle et l’amener face au tréteau dos à nous. Superbes fesses, j'entends dire par des gars tout près de moi. Il la fait se pencher, le ventre, sur la barre rembourrée de cuir. Ensuite, il lui écarte les jambes et fixe chaque cheville à un des pieds du chevalet avec des cordes. Puis il fait le tour du chevalet et fait de même avec les poignets. Les fesses de Sandra font face à l’assemblée. Entre les pattes du chevalet, on aperçoit les seins de Sandra et son visage. Elle garde les yeux fermés, humiliés sûrement qu'elle ne veut pas nous regarder. On aperçoit aussi, bien sûr, tout ce qu’une fille doit cacher, les fesses aussi bien écartées nous laissent voir son petit trou et plus bas, son sexe entrouvert.

 Monsieur Lepetit se saisit du fouet. Il regarde le directeur et sur un signe de celui-ci, il l’abat en travers des deux fesses. Une trace rose apparaît instantanément et Sandra cherche à se cambrer, mais n'en est pas capable, trop bien attachée. Il attend un peu et frappe une seconde fois, un peu plus bas. Le troisième coup arrache un premier cri à Sandra. À partir du dixième, chaque coup est accompagné d’un hurlement. Les fesses sont maintenant rouges avec des traces plus sombres là où les coups se sont chevauchés. Sandra s’agite vainement, les cordes sont bien serrées et la maintiennent en position. Sandra ne peut rien faire pour essayer d'éviter les coups. Je ne peux m’empêcher de penser que si je n’avais rien dit, je serais à sa place. J’imagine sans peine la honte de sentir tous les regards sur mon sexe puis la douleur affreuse. J’ai déjà reçu quinze coups ce matin et mes fesses sont encore très sensibles.

Lepetit se met soudain à fouetter le haut de ses cuisses juste a la fin de ses fesses, une autre partie très sensible. On entend Sandra qui hurle à chaque fois que le fouet touche sa peau. Sandra demande pitié, mais n’en a aucune de la part du directeur qui regarde impassible. Je vois bien que le bout du fouet termine sa course en claquant sur l’intérieur si sensible des cuisses et même peut-être les lèvres de son sexe.

 Les derniers coups sont de nouveau pour ses fesses, les hurlements ont été remplacés par des sanglots que l’on entend bien dans le silence de mort qui s’est abattu dans la cour. Je sens une larme qui coule sur ma joue, je l’essuie d’un revers de main.

 Le directeur nous envoie manger, mais il dit devant toute l'assemblée, Mademoiselle Esteban, vous êtes convoquée dans mon bureau à 13 h 15 et soyer a l’heure sinon vous le regretterez. Beaucoup de plats retourne à la poubelle à moitié manger, tout le monde est sous le choc, une étudiante fouettée ici, c'est une première. Il y a beaucoup d'étudiant qui reçoive des punitions corporelles ici. Des coups de strappe, canne, paddle, mais le fouet et surtout 30 personnes ici dans les étudiants et personnels ne se souviennent de cela. Tout le monde est resté marqué de la sévérité de la punition de ce midi. Plusieurs de mes amies fantasment à l’idée d’être fesses nue devant une assistance libre à elles. Mais pas moi, je panique plus sur ce que vient de dire le dirlo devant tout le mode dans la cour ma convocation. 

 À suive...

vendredi 29 mai 2020

Sandra a peur a ses fesses à l'institut devant le directeur le tag 2




Saint-Thomas - Le tag (2)



Monsieur Delavarenne (directeur)

 

J’ai fait placer Marie face au mur, le nez coller sur ce mur avec l'interdiction de décoller son nez, montrant ses fesses rondes et bien rouges. Ma secrétaire vient me porter les dossiers de Marie et Sandra et en profite pour regarder les belles fesses rouges de Marie en passant. J’attends tranquillement l’arrivée de Sandra qu’un surveillant est allé chercher. Je répète à Marie qu’elle est une traître d’avoir balancé son amie pour sauver ses fesses, et je m’occuperai d'elle plus tard, pour l’instant, c'est Sandra à qui je veux parler. Celle-là, je ne vais lui faire payer cher son insolence.
                                                                
Un coup sur la porte je dis entrer, le surveillant entre avec Sandra.
— C’est bon, vous, pouvez-nous laisser, mais j’aurai besoin de vous plus tard, M Lepetit.
Le surveillant se retourne et sort, avec un grand sourire quand il a regardé les fesses de Marie.
 Moi, je regarde Sandra qui se tient devant mon bureau, visiblement inquiète d’être convoquée ici et de voir Marie, son amie face au mur nue et les fesses rouges. Physiquement, cette fille n’est pas mal. Un joli visage à la peau pâle et parsemée de quelques petites taches de rousseurs, encadré par des cheveux très roux, mi-longs et tombe sur ses seins. Une poitrine qui pointe un peu sous le chemisier, une taille fine qui met en valeur le galbe des hanches puis des cuisses superbes. Mais bon, ce n’est pas le sujet.

— Alors Sandra, vous n’avez rien à me dire ?, C'est pour cela que je vous ai fait venir pour me parler de ce que vous savez Mlle.
Comme le silence se prolonge, je reprends.
— Pas trop inquiète d’être convoquée dans le bureau du chef du bagne ?
Là, je remarque qu’elle a tressailli.
— Vous savez que dans les bagnes, les directeurs ont tous les pouvoirs ? Vous devez savoir aussi que le chef n’aiment pas les fortes têtes ?
 Sandra est de plus en plus pâle, mais ne sait que répondre.
— Vous savez comment les directeurs trouvent les responsables des désordres ? Je vais vous le dire moi… Dans un bagne, il y a toujours des faibles pour vendre les autres, en plus clair pour sauver ses fesses.
 Sandra a compris qu’elle a été dénoncée. Elle aurait dû rester discrète, mais quelque, fois, c'est si bon de se vanter de ses bêtises à ses amies. Je me doute que sa peur monte, elle connait ma réputation et j’ai promis devant tout le monde hier midi que je ne raterai pas le coupable.
 — Retournez-vous, Mlle. et dites-moi ce que vous voyez dans le coin.
Sandra se retourne et reconnait Marie même si celle-ci a le nez collé au mur et lui fait dos.
— C’est Marie, monsieur.
— Non, ce n’est pas Marie, c’est la froussarde qui vous a dénoncée pour sauver ses fesses. Regarde comme elles sont bien rouges ses jolies petites fesses. Elle a voulu me niaiser et elle a écopé d’une fessée, 15 coups de strappe ça délie des langues.

 Je crois que ton amie Marie n'a pas aimée se faire rougir les fesses et elle a tout avouer. Si elle ne veut pas coopérer la prochaine fois, je lui ai promis qu'elle va montrer ses jolies fesses en public et pour plusieurs jours. Ici la pudeur dans un Bagne ça n’existe pas. Vous pouvez vous rhabiller mademoiselle Esteban. On se revoit plus tard après le repas. Je n'en ai pas fini avec vous, mais compter vous chanceuse de sortir d’ici avec vos vêtements, ça m’a passé par l’idée de vous renvoyer nue à vos cours pour le reste de la journée.

Marie se retourne, le regard pointé vers le sol et vient chercher ses vêtements qui sont posés juste en face de Sandra. Elle n’ose pas regarder Sandra. Sous mon regard et celui de sa copine – mais est-ce encore une copine ?  Elle s’habille le plus vite possible avant que je ne change d’idée et elle sort rapidement.
— C’est bon, et merci encore pour votre aide, lui dis-je, juste avant qu’elle ferme là porte, et on se revoie plus tard, Marie.
Je fixe mon regard sur Sandra.
— Alors, vous reconnaissez être l’auteure du tag ?
— Oui monsieur, répond Sandra en baissant les yeux.

 — Comme vous semblez croire que cet institut est un bagne, nous allons vous donner raison. Dans un bagne, pour les fortes têtes, c'est la punition, le fouet, l’humiliation en public, mitard et travaux forcés. Le programme vous convient ?
Sandra me regarde avec de grands yeux… Je pense qu’elle ne comprend pas trop où je veux en venir et c’est bien mon but. La peur fait partie de la punition.


— Sandra, déshabillez-vous, donnez-moi votre uniforme de l'institut. Vous ne méritez pas de le porter. Des vêtements et surtout l’uniforme de l’institut pendant vos jours de mitard son interdit. Une forte tête dans u bagne se mérite la plus sévère punition qui existe, le niveau trois. Sandra ne s'oppose pas et enlève sa veste et son chemisier très rapidement. Le chemisier posé sur une chaise est rapidement rejoint par la jupe plissée. Sandra n’est plus couverte que par sa culotte et son soutien-gorge.

 Tu es une bonne fille Sandra. J'aime ça les filles qui obéissent sans rouspéter. Je prends plaisir à regarder sa poitrine pendant qu’elle la dévoile en retirant son soutien quels beaux petits seins. Deux jolis seins bien ronds avec de petites aréoles rose clair mettant en valeur une peau très blanche parsemée de quelques petites taches de rousseur. 

Elle essaie de se cacher la poitrine, mais avec ses mains sur ses seins enlever sa culotte est impossible. Donc elle est bien obligée malgré elle de me laisser voir ses petits seins tout mignons. Je suis ensuite du regard la culotte qui descend le long de ses fines jambes. Le sexe est rasé à l’exception d’une toute petite touffe de poils roux, formant comme une goutte au-dessus de la fente. 

Je lui demande de se tourner pour regarder ses belles fesses bien rondes. Elle s’empresse de cacher son sexe quand elle se rend compte que je la regarde de la tête au pied, et se tourne pour que j'admire ses fesses. Je t’ai dit de tout enlever ma belle il reste les bas et tes chaussures il faut tout enlevé. Je te veux complètement nue de la tête aux pieds. 

Sandra se penche pour enlever ses chaussures et ses bas. Ça me permet d’admirer ses petits seins pendant que ma secrétaire revient faire un tour surement pour admirer Sandra. Sandra s'aperçoit que ma secrétaire est derrière elle et en apercevant la secrétaire, Sandra qui est encore accroupie pour enlever ses bas se croise les bras autour d'elle pour se cacher, gêné d'être nue. Elle fait partie de ces filles dont la fente est bien fermée, les grandes lèvres cachant tous les trésors plus secrets. 

Relève-toi Sandra, c'est un ordre et laisse tes bras de chaque côté de ton corps. Ma secrétaire veut te regarder alors montre y ce qu'elle veut voire. On regarde Sandra se relever et elle étend ses bras de chaque côté de son corps. Ma secrétaire adore ça quand j'ai des étudiants nus ici. Elle prend le temps de regarder Sandra en virant autour d'elle.

 — Suivez-moi Mlle.

Je m’aperçois que le temps passe vite. Ma secrétaire retourne et moi je fait avancer Sandra derrière pour qu'on sorte nous aussi. je suis obliger de pousser Sandra et de lui claquer les fesses pour la faire avancer et traverser le secrétariat. La secrétaire en profite encore une fois pour regarder passer Sandra nue devant elle. J'ouvre la porte donnant sur le grand hall. Sandra me regarde, mais semble figée, cachant toujours son intimité le plus possible. 
 
Elle n’arrive pas à faire les quelques pas qui la feront sortir du bureau nue dans l’immense hall d'entrée. Je suis encore obligé de lui claquer les fesses quatre bonnes claque cette fois-ci deux sur chacune de ses fesses pour qu'elle sorte. Malheureusement le hall est vide, même pas une employée d'entretien, personne.
 
Elle a compris que j’ai l’intention de l’humilier en la faisant parader nue dans les couloirs. Elle s’en veut surement d’avoir écrit ce mot sur le mur. C’est beaucoup moins drôle maintenant qu’elle comprend qu’elle va payer très cher son action. Finalement, elle avance lentement, Sandra, si tu n'avances pas assez vite, je vais chercher la palette de bois dans le bureau et je te chauffe les fesses avec, tu vas bouger, non M. j'avance promis. 
 
---Mais le plancher est froid M. ce n'est pas agréable d'être pieds nus. 
 
----Deux autres claques atterrisse sur ses fesses. Ne t'occupe pas de ça et avance, tu restes dans cette tenue pour la journée en ne questionne plus pour tes vêtements, je te les ai confisqués. Ce n'est pas pour que tu sois confortable que je te puni c'est pour t'humilier, alors avance. Elle garde son regard droit devant elle, gêner d’être nue dans le hall. Et elle espère surtout de ne pas croiser personne.

 

Sandra

 

Le couloir est vide. Ça m'enlève un gros stresse pour l'instant, du moins, il n'y a personne. À tout moment quelqu’un peut passer et me voir. Je ne croyais jamais que d’être nue dans un lieu public et sachant que tout le monde peut me voir, c’est aussi gênant et humiliant. Ça me paralyse les jambes. Les dalles me paraissent froides sous mes pieds nus et le directeur me claque les fesses pour que j’avance plus vite. Il me fait descendre au sous-sol. Ça me parait une éternité d’être dans l'escalier et entrer dans ce couloir nue. En face de nous, ce sont les gymnases pleins d'étudiants qui jouent, j'espère que le directeur ne m'amène pas là. Je n’ose pas poser de question sur notre destination, je suis assez nerveuse comme ça j'aime mieux le suivre. Je suis beaucoup trop stressé à l’idée que je peux être vu nue, j'en tremble. je sais maintenant ce que ressentent les étudiants qui sont en punition et privé de leurs vêtements et qu’on aimait voir défilés nus autour de nous, Marie et moi. Marie fantasmait à l’idée de se faire punir nue devant des gens, à présent, je ne trouve pas ça pas agréable et confortable d'être nu dans un établissement public. j'ai ma réponse sur notre destination. Le directeur s'arrête et frappe à la porte du bureau de l'atelier de M. Ponge une autre humiliation, entrer nu dans cet atelier sans savoir qui si trouve.

Monsieur Ponge et M. Lepetit si trouvent avec Ginette, l'assistante de M.Ponge. Ils se lèvent tous les trois à l’entrée du directeur etils sont tous surpris en me regardant nue devant eux. Je fige de honte devant eux, nue. M. Lepetit me connait bien, car je suis déjà passée dans le bureau pour une petite réprimande qui m'a (valu) quelques coups de lanière sur mes fesses. Jupe et ma culotte enlevées et il m’a dit que j’avais été chanceuse de ne pas les avoir reçus dans ma classe et nue. Le directeur a pris la parole. M Lepetit lève les yeux vers lui, quittant enfin du regard mon corps. Le directeur demande M Ponge, j'ai amené Sandra ici pour que vous lui fassiez nettoyer sa cochonnerie qu'elle a faite dehors sur le mur. M Ponge lui demande. Dois-je la faire sortir nue M. ? ou c'est peut-être mieux de lui donner un sarrau et des chaussures pour nettoyer le mur, À mon gout à moi, je préfèrerai la garder nue. Mais c'est dans la rue apprêt tout. Non, pas de vêtements, M. Ponge réplique le dirlo. Vous la faites sortir nue dans la rue pour son nettoyage. Pour sa pudeur, je m'en fous totalement et les gens dans la rue vont aimer la regarder frotter sa cochonnerie qu'elle a faite, si elle ne veut pas obéir ne vous gênez surtout pas chauffer lui les fesses. Et le travail qui soit fini ou non, Sandra doit être de retour à 11 h 15 à mon bureau, elle retournera le finir plus tard si nécessaire. Son assistante Ginette qui est en face de moi et me regarde depuis que je suis entré commence à me dire. Belle fille, j'espère pour toi que la rue sera vide sinon tu seras populaire.


 Sandra

----- Ce n’est pas sérieux ce que vous, dite M. sortir sur le trottoir nu. Il y a du monde qui circule, jamais personne ne circule nu sur une voie public, je refuse d’aller dehors sur la rue, c'est déjà assez humiliant d’être nu ici, je ne vais pas dehors.
 

---- Très bien Sandra, si tu refuses, M Ponge va sortir la palette de bois et il va te chauffer les fesses jusqu'à temps que tu le supplies d'arrêter. Tu iras pareille nettoyer le mur, mais avec un sacré mal de fesses et bien rouges.


Sandra

 Je regarde M. Ponge qui par chercher la palette a fessé et s'approche de moi. Je me retourne et me colle les fesses sur le mur en arrière de moi, je lui demande de ne pas faire ça.
---C’est toi qui décides Sandra.
J'entends M.Ponge demander à M Lepetit, placez-moi Sandra au centre ici et tenez-la fermement, elle va regretter d'avoir refuser.

 Sandra

--- M Lepetit me serre les bras très fort, ça me fait mal et me déplace au centre sans que je puise rien faire d’autre que de suivre. Il est beaucoup plus fort que moi. M.Ponge me donne un coup avec cette palette qui me fait hurler la douleur, c’est terrible comment cette palette fait mal aux fesses. Je demande qu’il arrête dès le premier coup et j’accepte d’aller nettoyer mon graffiti même si je dois sortir nue dans la rue. M le directeur me dit, tu vois comment on oblige une fille à obéir.


 Sandra

--- Lepetit et le directeur sortent de l’atelier, me laissant face à face et nue avec M Ponge et son adjointe. Voyant le regard que ceux-ci posent sur mon corps, je commence à être humilié. Je cherche à me cacher le plus possible, posant une main sur mon sexe et l’autre bras en travers de ma poitrine. Un réflexe pour moi important protègent ma pudeur, mais idiot aux yeux de M.Ponge qui le fait sourire.

 M.Ponge

— Les mains sur la tête, Sandra. Tu fais moins la maline maintenant… Je te conseille de m’obéir sans la moindre hésitation si tu ne veux pas que ta situation s’aggrave encore plus, et que je me serve de la palette. Je m’aperçois que tu as déjà goutté à quelques claques, tes fesses ont une petite rougeur.

 

---Il me regarde rougir en posant mes mains sur ma tête, je les laisse voir ce qu’ils voulaient voir son assistante et lui. Je sais que je rougis facilement et qu’avec ma peau de rousse cela se voit bien, je n'aime pas cela, rougir si facilement, mais je n’y peux rien.

 M.Ponge

— Je vois que tu ne fais pas ta maline aujourd’hui, tu te tiens tranquille nue devant nous. Bonne fille, tu crains pour tes fesses. Je te promets que je vais y mettre tout mon cœur quand sera venu le moment de te punir si tu t’entêtes à ne pas obéir. Je suis sûr que tes fesses ne vont pas rester blanches toute la journée.
Je sais bien que c’est le surveillant général qui se charge des punitions, mais ici dans mon atelier, c'est moi.

 — Bon, c'est bien beau parler de tes fesses, mais le devoir nous appelle. Suis-moi et garde tes mains où elles sont. Je suis sûr que tu vas me trouver gentil. Je te donne notre meilleur produit et une très bonne brosse. Sinon avec un produit plus modeste, tu passeras un temps énorme à effacer ça et en plus, tu passeras plus de temps nue dehors, et plus il y aura de monde pour te regarder et te poser nue. Il va dans un coin de son antre et prend un seau, du produit et une grosse brosse. tu es chanceuse Sandra mes employées sont tous partie a leur poste à l'heure qu'il est l'atelier est vide. Juste Ginette et moi.

 Sandra

--- Je me dis que mon calvaire est sans fin. Ponge, le chef de l’entretien, a toujours des regards lubriques, il va se régaler…

 M.Ponge
— Suis-moi on sort sur le trottoir ensemble.
Il sort dans la cour et remplit le seau à un robinet et met du produit, il me tend les outils. Il ouvre la petite porte et sort dans la rue. Je sais que je dois le suivre, dehors, nue. Je tremble, je rougis encore, mais j’avance lentement.

Heureusement ce matin la rue est calme. Je frotte le plus fort et le plus vite possible. Ponge me regarde en ricanant. Il a tenu parole, son produit est efficace et le tag se diluent. Une voiture passe, ralentit et klaxonne. Je sursaute, mais je ne me retourne pas. Pogne ne peut s’empêcher de faire un commentaire.
— Tu es dure avec eux, tu aurais pu leur montrer tes petits seins, ils auraient apprécié de les regarder tout comme moi. Je suis sûr que cela t’aurait plu de te retourner face a lui et de lui montrer ta chatte.
 Sandra
C’est enfin fini. Il me laisse passer devant lui pour rentrer et me colle la main aux fesses pour me féliciter de mon travail bien fait et surtout vite fait.
Revenu à l’intérieur, M Lepetit revenait me voir si j'avais fini pour me ramener en haut au bureau. Il me félicite lui aussi pour mon nettoyage rapide sans me mettre la main aux fesses lui. On est juste dans les temps pour notre rendez-vous, il me demande de le suive, et de me remettre les mains sur la tête. Traversant la porte de l'atelier pour aller prendre les escaliers qui remontent à l’administration, j'aperçois des personnes dans le couloir, je n'ai pas de chance cette fois-ci.

  Il y a des personnes dans le couloir, quatre filles que je connais très bien, ce sont mes amies et Marie est parmi elles. Je fige et par pudeur, je descends mes mains et les places pour cacher mon intimité. M Lepetit n’aime pas du tout et ça me vaut cinq bonnes claques sur les fesses devant mes amies. Je replace mes mains rapidement sur ma tête pour éviter d’autres claques sur mes fesses devant elles. Marie est là-devant moi et me regarde de la tête au pied en tournant autour de moi pour regarder mes fesses aussi. Elle fait remarquer aux autres que mes fesses sont rouges. Elle a reçu une fessée, regardez les filles la couleur de ses fesses, les autre aussi virent autour de moi pour me regarder les fesses. J'ai honte nue devant Marie et mes autres amies. Et Marie qui s'amuse à me ridiculiser. C'est la première fois que je me montre nue devant Marie et mes autres amies.


Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...