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mardi 29 mars 2022

Francine rend visite à la famille de Maryse et elle adore se dénuder


Maryse--

Arriver chez moi avec Katie, Sandie et Francine leur mère. Claude, ma logeuse qui est plutôt ma deuxième mère comme je l’appelle, sort et vient à notre rencontre pour nous accueillir. Sans Claude, je serai dans la rue, sans logis ni de quoi pour vivre à 17 ans, je ne sais pas ce que je ferais sans elle. La dernière fois que ma mère biologique m’a contacté, c'était pour me dire de m’organiser seul. Elle n’avait plus les moyens de me payer l’école et ma petite chambre où je vivais. Il y a de cela huit mois, ma mère partait vivre à l’autre bout de la planète et se foutait complètement de moi, sa fille, et ne m’a jamais laissé d’adresse ou de lien pour la rejoindre. C’est Claude qui m’a hébergée, mais elle, elle dit qu’elle m’a adoptée. C’est pour cela que je considère Claude comme ma véritable mère et pour elle, je suis sa propre fille comme les huit autres qu’elle héberge ici, c’est un miracle pour moi.

 Descendu de la voiture, il est encore très tôt 11 h 30, Claude vient nous accueillir. Claude me dit qu’elle s’occupe de faire visiter notre domaine à Francine. Moi, elle me charge de m’occuper de mes invitées. Je présente à Sandie, Katie et Francine, à mes quatre autres pratiquement "demi-sœurs" qui sont à la maison présentement, Sacha, Patricia, Marie et Jessica que Katie connaît déjà. On se parle à tous les jours à l’institut, elles sont presque mes sœurs et surtout mes grandes amies. Moi, je vais leur faire visiter à ma manière notre domaine à Sandie et Katie en commencent par ma maison. Il y a trois immenses maisons sur le domaine qui appartiennent toutes les trois à Claude et à Pierre. Deux de ses manoirs sont à 60 mètres l’un de l’autre et relié de l’extérieur par une grande terrasse et une piscine central. Le manoir le plus gros appartient à Pierre, le frère de Claude que je considère aussi comme mon père. Il vit avec quatre de mes sœurs adoptives. Et à 60 mètres plus à l’este, disons où se trouve l’autre manoir, celui de Claude et ma maison dans laquelle je vis plutôt, je couche avec cinq autres de mes sœurs adoptives. Nous vivons dans les deux maisons, le jour, c'est presque toujours chez chez Pierre. Les repas se prennent quasiment toujours chez Pierre aussi. Le soir, pour avoir une certaine tranquillité, faire mes travaux scolaire, je vais chez moi ou comme on s'amuse à dire entre nous, dans la maison d'accoté, ou ma chambre s'y trouve, la maison de Claude.

Après avoir fait le tour extérieur du jardin et des autres petits détails, terrain de tennis, la vue tout autour etc…
C’est l’intérieur de ma maison que je fais visiter à Katie et Sandie en passant par l'entrée arrière. Le premier avec ses immenses pièces. La cuisine qui ne sert pas souvent, on mange quasiment à tous les jours chez Pierre, la salle à manger, le solarium qui contient une salle d'entraînement, le bureau de Claude, le grand hall et salon. La salle de séjour où je me détends habituellement en écoutant de la musique sur la chaîne stéréo. Katie et Sandie sont émerveillées par cette immense demeure et pas juste elles, moi aussi, je trouve cette demeure immense pour seulement six personnes. J'avais vu cela à la télé dans des feuilletons des maisons de ce genre, mais dans en réalité. Jamais je me m'étais imaginée en habiter une un jour où plutôt deux car je suis aussi autant chez Pierre qu’ici. Le grand garage aussi impressionne Katie et Sandie, trois voitures y sont à l'intérieur présentement et il y a encore de l’espace. Autour du deuxième étage où sont les dix chambres à coucher avec chacune leur propre salle de bain privé.

Après avoir monté le grand escalier et visiter les chambres, celle de Claude étant la plus impressionnante et on regarde en parties les autres donc cinq ne sont pas occupées. Je les amène dans la mienne qui impressionne aussi Katie et Sandie par sa dimension. Sacha, Patricia et Marie nous rejoignent et nous demandent si on va se baigner. Il fait très chaud, nous disent-elles et elles ont décidé d’aller se rafraîchir. Katie me regarde et me demande si c’est vrai pour la baignade, elle a apporté son maillot, il est dans la voiture, mais doit-elle aller le chercher ? Nous demande-t'elle. Sacha et Marie partent à rire. Non Katie, ici, on ne se tracasse pas pour le maillot, tu t’habitueras à ça la nudité, tout le monde qui embarque dans cette piscine ici sont privés de maillot, rien sur le dos, c’est à poil et c’est plaisant. Mais il y a Pierre, c'est un gars et Claude sa sœur aussi se met nu devant lui ? Demande Sandie. Oui les filles tout le monde y compris Pierre, je lui réponds, lui aussi est nu, le zizi a l’air devant nous quand je te le dis tout le monde, ce sont tous les invités aussi.

 Notre femme d’entretien et cuisinière Diane passe avec sa fille Élodie pour placer des choses dans ma salle de bain et je les présente. Élodie et Sandie se regarde et ce salut aimablement. Diane les saluts et dit à Katie et Sandie, c’est la vérité ce qu’elle vous dit. Ici, à tous les jours ou presque, je les vois nus à la piscine. C’est normal ici que tout le monde profitent de la piscine nue, ne paniquez pas avec cela. Depuis des générations que c’est ainsi. Diane rajoute, pour les punitions, aussi, j’ai l’habitude d’en, voire régulièrement, des filles indisciplinées qui se font chauffer les fesses, ce n'est pas rare ici, et Diane me regarde en souriant. Il y a deux jours, j’ai reçu une bonne fessée nue dans le salon et devant Diane, c’est pour ça Katie que Diane vous a dit cela et a souri pour me gêner un peu, elle aime ça me taquiner. La punition fait partie des conditions pour rester ici. Claude est très sévère, mais on ne peut pas tout avoir gratis. Il faut bien avoir des règlements, un peu comme Francine veut vous imposer à toi et à ta sœur.

Très bien Sacha, nous aussi, on se prépare puis on va vous rejoindre en bas à la piscine. Sacha retourne dans sa chambre, Patricia et marie aussi retourne se préparer. Moi, j’enlève ma robe que Katie m’avait prêtée et le reste ma culotte et mon soutien-gorge que Francine m’avait donné. Sandie me regarde entièrement nue devant elle et Élodie qui est au côté d’elle. Sa sœur Katie qui, elle aussi, c’est déshabillé et vient me rejoindre. Sandie regarde sa sœur sans trop savoir comment réagir. Sandie détourne son regard sur Élodie qui est encore habillée à côté d'elle. J’ai bien l’impression que ses deux là, Sandie et Élodie se plaisent ensemble, elles n’arrêtent pas de se parler et de se regarder. Je m'aperçois que Katie se cache les fesses, elle est gênée et elle ne veut pas que l’on voie les petites marques restantes sur ses fesses de la cane qu’elle a reçu plus tôt par sa mère.

 Sandie--

Maryse, tu n’es pas plus gêné que ça être nu devant nous ici, c’est vrai qu’hier soir tu t’es promené nue chez moi aussi et ça n’avait pas l’air de te déranger plus que ça. Au même moment, Sacha et Patricia arrivent nues toutes les deux aussi. Mais les filles en devenant mal à laise pour elles. je ne suis pas capable de faire comme vous, c’est plus fort que moi, me dévêtir partout, comme ça. C’est moi qui suis gêné, juste de vous regarder nues, ça me rend mal à l’aise de vous, voire nues. Je ne sais plus où regarder. Au lieu de fixer ses superbes corps nus, je détourne mon regard vers ma sœur Katie qui, elle aussi, est nue comme les autres. Marie revient de la chambre nue elle aussi. Je me ressaisis et décide d’enlever mon short et mon t-shirt. J'ai encore mes sous-vêtements et je ne suis gêner, je ne sui pas si sûre que ça d'aller plus loin et d'être cabable de me mettre nue. Mais j’ai quatre filles devant moi à poil, donc ma sœur en plus. J'entends Élodie à ma gauche qui m’encourage et les autres, allez Sandie, il reste le plus dur à faire, tu es bien partie, continu, ferme les yeux et vas-y sans réfléchir.

Élodie, qui a enlevé ses sandales et est sur le point de quitter son jean qui est déjà rendu à ses chevilles. Élodie me dit qu’elle aussi nous suit et continue de se déshabiller pendant que sa mère Diane sort de la salle de bain et nous regarde tous. Sa fille aussi est nue, ça me donne l’impression que ça ne dérange pas du tout Élodie d'être nue devant sa mère. Profitez-en les filles nous dit Diane, il fait si chaud dehors, ça va vous faire un grand bien de vous rafraîchir. Moi aussi, j’ai suivi en prenant mon courage à deux mains et laissent ma pudeur de côté. Je suis rendu nue à mon tour, j’ai réussi à surmonter ma nervosité, mais très mal à l'aise, quelle folie ai-je faite. Même si je ne suis pas la seule dans cette tenue, je suis extrêmement gêné, je cherche juste à cacher mon intimité et elles le remarquent toutes. Les filles, je vais vous préparer des serviettes de l’autre côté nous dit Diane et les sortirai sur la terrasse, vous n’aurez pas besoin d’en traîner et lassez là chez Pierre après vous en être servie. Je regarde Élodie nue juste au côté de moi, une belle fille un peu plus vielle que moi d’environ 2 ans. Mais très jolie et de ma grandeur 1,69 m et qui a une magnifique chevelure châtaine qui lui descend sur ses jolis seins. J’adore la regarder nue devant moi. Je la trouve mignonne avec un petit duvet châtain bien tailler en triangle qui pointe sur sa fente et elle le sait que j’aime la regarder, elle le fait exprès pour se virer face à moi sans se cacher.

Sandie --

C’est ça qu’elle veut que je la regarde, j’en suis sûre, et elle, elle ne me lâche pas des yeux, son regard est fixé sur mon corps, ça me gêne et je cherche juste à cacher mon intimité. Elle le remarque et me murmure à l’oreille, ne soit pas si gêner, laisse-moi voire ta chatte, tu es magnifique. C’est à croire que c’est normal ici de se mettre à poil et de circuler partout nu, sortir de cette pièce nue et dehors. Sans trop réfléchir et en laissant ma pudeur de côté (je ne suis pas pire que les autres me dije) j'ai décidé de les suivent. Je suis à poil comme elles, mais vraiment gêner de l’être. Je ne suis pas trop à l’aise avec ça la nudité, mais j’adore regarder les autres filles nues devant moi. Cela m'excite, elles ont tous de magnifique corps. 

Depuis le temps que j’en fantasmais sur ça, être exposé nue en public, je le suis nue maintenant et je m’apprête à circuler partout dans une maison que je ne connais même pas et devant des étrangers, morte de honte. Mais je suis bien décidée à tenter l'expérience. Contrairement aux autres à qui ça leur semble très normal, c'est comme si elles étaient habillées, aucune réaction pour se cacher un peu, même ma sœur a l’air d’aimer cela, être à poil.

Maryse --
Allez les filles, on descend et j’avance vers l’escalier, j’entends Sandie dire, je ne suis pas capable, c’est plus fort que moi. Juste sortir de la chambre me paralyse, je suis trop gênée. Je me rhabille, allez y, moi, je ne vous suis pas et je n’embarque pas nu dans cette piscine, c'est contre mes principes. Élodie la prend par la main et lui parle, quelques secondes plus tard, elle lui donne quelques petites claques d’encouragement sur ses fesses pour la faire avancer et elles descendent dans l’escalier ensemble. Étant tous rendu au pied de l’escalier, je regarde les fesses de Katie. Ses fesses ont de petites marques rouges. Je fais exprès pour compter à voix haut, pointé et touché ses fesses avec mon doigt les lignes encore un peu rouge qui reste sur les fesses de Katie pour que les autres les remarquent elles aussi. Élodie l’avait déjà remarquée, mais ne voulait pas stresser encore plus Katie. As-tu reçu une fessée ce matin Katie ? Réplique Marie. Ça gêne Katie et elle se cache les fesses avec ses mains. On se retrouve tous devant le bureau de Claude et la porte est grande ouverte, Francine et Claude sont installées à jaser. Nous sommes tous dans la porte d'entrée du bureau, Francine nous regarde et remarque qu’on est toutes nue, même ses filles. J'entre à l'intérieur pour leur dire qu’on va à la piscine.

Francine nous dit oui, je l’ai remarquer que vous alliez toutes-là a la tenue que vous porter vous ne devez sûrement pas allez au restaurant. Mes filles sont nues elles aussi ça me fait une drôle d’impression de les regarder nus ce n’est pas du tout dans leurs habitudes de se montrer nu, depuis qu’elle on laisser les couche qu’elle ne se sont pas balader nus devant moi, il faut être dans une maison étrangère pour qu’elle me fasse honte, voyons Francine il n’y a rien de honteux a montrer son jolie corps dit Claude . Alors bonne baignade les filles nous dit-elles Francine et Claude. Katie, qui se cache encore les fesses, est impressionné par les quatre palettes en bois et la strap de cuir qui sont accrocher sur le mur du bureau en entrant. Ça doit faire un mal de chien de se faire claquer les fesses avec ça ? Lâche-t’elle en les regardant. Claude lui répond en sourrillant, tu est justement dans la bonne tenue pour cela, demande a Maryse de prendre la plus petite des palettes accrocher et de t’en donner quelques bon coups cela devrai suffire pour te rougir assez les fesses pour un essaie. Katie se sauve dans le hall d’entrée en se tenant les fesses et en me demandant de ne pas écouter ce que Claude dit ses fesses lui font encore mal elle ne veut plus recevoir d’autre claques.

Francine --
Claude est tu aussi sévère que ça avec tes filles ? À l’institut, je sais qu’ils sont très sévères avec les étudiants, ils n’ont pas trop de passe-droits avec les règlements, mais ici à la maison est tu si sévère comme Maryse nous là dit hier. Il y a deux semaines moi et Sandie avons été au vignoble plus haut qui est à vous deux ton frère et toi, et dans la boutique, on entendait des coups des claquements quelqu’un qui recevait des coups et j’ai regardé par la fenêtre arrière de la boutique. Par cette fenêtre, j’ai aperçu une fille qui était dos à nous et nue a la terrasse arrière et les fesses marquer par une ceinture qu’une autre fille tenait dans ses mains et il y avait quatre autres personnes autour d’elle. Hier, Maryse m’a dit que c’était elle qu’on avait probablement vu et elle venait de se faire punir, je ne pensais pas que vous punissiez vos filles devant des employés de cette manière-là et publiquement. À ce que je peux voir ici, tu dois leur chauffer les fesses souvent à tes filles, il y a plusieurs instruments tout ou tour dans ton bureau et un chevalet dans la bibliothèque chez Pierre en plus.
Claude –
Oui, je suis pas mal sévère et dur à l’occasion avec elles. Maryse t’a compté sa punition qu’elle a reçue, c’est Lucia la gérante de la boutique et la nièce de Julio le grand patron du Vignoble qui l’a punie avec mon accord. Regarde cette feuille de règlement que j’ai ici, c’est tout ce que doivent respecter les filles dans cette demeure. Il y en a deux d’afficher ici et deux autres chez Pierre et je suis exigeante, elles doivent les respecter sinon elles savent très bien ce qui les attend les fesses vont leur chauffer. Mes parents étaient très sévères eux aussi. Moi aussi, j’ai eu droit à plusieurs bonnes punitions. J’étais comme on peut dire une entêtée une tête dure une rebelle comme on m’a déjà dit durant mon adolescence et ça m’a valu plusieurs bonnes fessées, ici et a ST-Thomas. Francine est très impressionnée par ma liste et les conséquences que mes filles doivent subir au manquement a ses règles même les notes scolaires sont passibles de punition me dit-elle. Une note de passage a 12 sur 20 est fixé par l’institut, mais toi ses 14 tu n’en demande pas trop a tes filles? Me demande Francine. Non Francine ça les obligent à être plus sérieuses dans leurs études elle doivent redoubler d’efforts si elles ne veulent pas se faire chauffer les fesses, et si une d’entre elles arrive avec un 13 à son contrôle elle sait très bien qu’à son arrivée ici elle va se faire chauffer les fesses donc elles s’organise pour maintenir ses notes plus hautes.

Je me lève et suggère à Francine d’aller rejoindre les filles à la piscine. Sais-tu Claude moi, je n’embarquerais pas dans la piscine, je vais vous regarder en m'asseyant à la terrasse ? Je ne me sens pas du tout à l’aise de me montrer nue devant toutes tes filles, surtout les miennes me relance-t-elle, jamais mes filles m’ont vue nue. J’enlève ma robe devant Francine et la dépose sur le dossier de ma chaise et mes chaussures suivent aussi, je les laisse sous mon bureau. Je suis complètement nu dos à Francine, en me retournant, je m’aperçois que Francine ne me regarde pas elle fixe le plancher « Claude rhabille-toi pourquoi tu te mets nue devant moi tu ne porte rien en plus sous ta robe, c’est de là que vient l’habitude de Maryse de ne rien porter sous ses vêtements » me dit Francine toute gêner de me voir nue. Fait comme moi Francine, enlève cette robe longue, tu dois suer à porter ce genre de robe par cette chaleur allé suit moi, tu es une très jolie femme. Je m’approche d’elle et la fait mettre debout. Je porte ma main droite sur un de ses genoux sous sa robe rose qui est boutonné par en-avant ou débute la robe sur son genoux droit je commence à remonte doucement sa cuisse jusqu’à sa hanche et continue sur sa fesse droite. Elle porte un string se sens sa fesse sans protection et elle a une peau très douce. Francine si tu viens travailler avec moi et mon associé Julie ou Pierre, il va falloir que tu t’habitues à nous voir nue Julie et moi en venant ici.

Relaxe-toi détend toi, tu es raide comme une barre, fait-moi confiance, je la sens extrêmement stresser nerveuse, je sais très bien qu’elle n’oserait pas se dévêtir d’elle-même, mais elle ne m’enlève pas ma main qui est encore sur sa fesse c’est bon signe. Je prends la main droite de Francine et la dirige sur le haut de ma fente qui est rasé, pas un poil. Elle essaie de l’enlever, mais je la maintiens en position espérant qu’elle essaie de toucher mon Clio. Elle n’ose pas bouger ses doigts, c’est moi qui lui fais descendre sa main entre mes cuisses pour qu'elle sente bien mon sexe. Je déplace ensuite sa main sur mes fesses, et je prends son autre main et la pose sur ma poitrine. Elle a la face rouge comme une tomate gênée de toucher mes parties et de me voir nue, relaxe Francine laisse, toi faire fait moi confiance lui répétai-je et tu aimeras ça.

Ensuite, je m’agenouille devant elle et je commence à défaire les boutons de sa robe l’un après l’autre en partant du bas. Je remonte tout au long de ses jambes en prenant soit de bien écarter sa robe à chaque bouton que je détache pour qu’elle commence à sentir que je veux qu’elle se dénude et elle ne réagit pas elle me laisse la dévêtir tranquillement à chaque bouton que je défais elle m’en laisse voir toujours un peu plus, son petit string rose son joli ventre. Rendu au bouton sur son ventre sous sa poitrine, je me relève, il ne reste plus que deux boutons qui tiennent sa robe fermée sur sa poitrine et je les défais un après l’autre et écarte sa robe la fait descendre de ses épaules et la laisse tomber au sol, je prends quelques secondes pour regarder son magnifique corps et ça la gêne d’être devant moi en sous-vêtement. Tu vois Francine que ce n’est pas si compliquer que ça, et laisse-moi continuer, je te promets que tu aimeras ça.

Je mets mes mains sur ses épaules et descends les bretelles de son soutien-gorge jusqu’à ce qu’ils pendent sur ses avant-bras elle ne bouge pas plus et me laisse faire, ses bras pendent de chaque côté de son corps, et elle est un peu tremblotante par la gêne et la nervosité. Ensuite, je passe mes bras au tour de son corps ce qui fait que je colle mes petits seins sur les siens plus volumineux qui sont encore cachés. Je détache l’agrafe de son soutien et lui retire sans qu’elle si oppose et elle me laissent dénudé sa belle poitrine. J’étais sûr qu’elle résisterait, mais non elle ne bouge pas et me regarde de la tête aux pieds sans bouger me laissant la dénuder ça me surprend qu’elle se laisse faire ainsi elle qui m’a dit qu’elle était très pudique. Il ne lui reste plus qu’un petit string qui cache encore son sexe et elle va être nue comme moi. Je passe ensuite mes doigts sous l’élastique de son petit string rose et lui baisse, il est rendu à ses chevilles tout comme sa robe, je m’agenouille à nouveau pour enlever ses sandales et ramasser ses vêtements rendus au sol et j’en profite pour caresser sa fente et jouer dans son duvet roux. Je me relève et pose ses vêtements sur une des chaises devant mon bureau et lui flatte les fesses et son dos sa jolie poitrine que j’envie. Elle a de superbes seins plus volumineux que mes petits seins et qui se tiennent très bien. Je commence à les caresser tranquillement et à prendre ses tétons dans mes doigts. Tu vois Francine, le pire est fait maintenant, tu vas aimer. Viens avec moi, on sort retrouver les autres.

Francine –
Non Claude, je ne peux pas, je suis figé par la honte, c’est au-dessus de mes forces, je vais me rhabiller, je ne sais pas comment tu fais pour rester à poil, mais moi, je ne suis pas capable. Je suis ici dans ton bureau nu devant toi et c’est une folie que je t’ai laissé faire de me déshabiller. Je vois Diane la bonne qui arrive pour nous donner des serviettes de plage et instinctivement, je prends ma robe et la mets devant moi pour me cacher. Allez, Francine me dit elle ne soit pas gêner, tu n’es pas la seule à être nue, j’en ai l’habitude regarde Claude, elle ne fait même pas attention à ça que je la regarde nu.
 

Claude –
Bon Francine laisse ta pudeur de côté et suis-moi. Si ça te gêne de circuler nu, prend la serviette et entour toi dedans jusqu’à la piscine, ça va te donner une chance pour surmonter la gêne. Rendus à la piscine et Francine envelopper dans sa serviette qui là cache de ses tétons au haut de ses cuisses pour ne pas que personne ne la regarde. Elle à quand même réussi à se rendre dehors sur la terrasse. Je fais signe aux filles qui sont dans l’eau de ne pas regarder Francine ça lui enlèvera du stress et je lui demande si elle embarque et tire sur sa serviette. Elle s’aperçoit que personne ne la regarde et me la donne. Je la félicite, Francine, regarde autour de toi, personne n’en fait attention à nous, on est tous dans la même tenue donc embarquons dans l’eau et elle me suis. Sandie regarde sa mère qui embarque dans l’eau et lui dit maman, tu es superbe, j’adore te voir nue, Katie aussi regarde sa mère et l’observe. Francine se dépêche en embarquer et se caler jusqu’aux épaules. Je t’avais dit Claude que c’était une folie de venir à poil ici, je le regrette tellement.

Après un certain temps passé dans l’eau, je décide de sortir Francine me suis et s’empresse de reprendre sa serviette. Moi, je me sèche et remets ma serviette sur une table et m’assois. Francine décide de faire la même chose et reste nue elle aussi les filles sortent à leur tour et se promène nue sur la terrasse. Soudainement, Pierre sort de la maison et vient nous voir, il est à poil lui aussi pour profiter de la piscine. Je m’empresse de présenter Katie et sa sœur et Francine. Pierre et Francine ont presque le même âge, je suis sûre que Francine plaira à Pierre.

Francine, toute gênée d’être nue devant Pierre, sa cache du mieux qu'elle peut pour la présentation. C’est la première fois de ma vie que je fais la connaissance d’un homme entièrement nue, c’est gênent. Pierre-lui dit, ne t’en fais pas, Claude m’a appelée pour me dire qu’elle venait de t’engager ce matin pour gérer nos nouvelle boutique.

Si tu viens ici souvent, tu t’habituas, c’est normal ici de voire du monde à poil. Claude m’a dit que tu travailles pour nous maintenant et tu devras venir ici fréquemment donc bienvenue au domaine. J’espère que ma sœur t’a fait visiter la place. Katie et Sandie, je les vois qui ne lâche Pierre des yeux, elles n’ont sûrement pas vu un gars à poil devant elles très souvent.

Apprêt un certains temps, je m’aperçois que Francine a l’air de se dégainer elle ne fait même plus de cas de sa nudité et parle avec Pierre comme si de rien n’était. Sais-tu Pierre, lui dit-elle avec la grosseur et l’épaisseur de mains que tu as, quand tu claques les fesses d’une de tes filles, ça doit faire mal, elle doit avoir mal aux fesses pendant plusieurs heures ? Pierre se met à rire et lui dit, c’est à elles à se tenir tranquilles pour ne pas se faire chauffer les fesses, moi, j’applique la punition à la force qu’il faut pour qu’elles s’en souviennent longtemps. Oui, réponds Marie, quand tu as passé sur ses genoux, tu te le rappelles longtemps, le derrière te chauffe.

Pierre se lève et invite Francine à aller visiter le jardin et l’extrémité du terrain jusqu’au vignoble. Moi, je les suis avec Maryse et Katie, Sandie et Élodie, elles décident de rester allongé au soleil. Nu demande Francine, c’est une folie déjà que j’ai faite ça ma demander un grand effort aujourd’hui de rester ainsi autour de la maison, mais aller me promener nue là, c’est en demander un peu trop. Viens suit nous, il n’y a personne, les jardiniers sont partis et les premier voisin son à 2 kilomètres d’ici et c’est Julio et Diane qui reste dans la demeure que tu entrevoies au bout du vignoble et en face, c’est la maison d’Élodie donc personne d’autre que nous peut voire tes jolies fesses, et ça fait un moment que tu nous les as déjà montrées tes jolies fesses.

On est à la limite de notre jardin et du vignoble à 500 mètres de la maison et juste en face du fameux hangar qui intrigue Francine et Katie. C’est ici Maryse que tu m’as dite que Claude se fesait punir ? Demande Francine. Je ne sais pas quoi dire devant elles, ça m’a gêné d’entendre ça, c'est, supposé rester privé dans la famille ces histoires-là, mais je m’aperçois qu’il y en a qui bavasse en regardant Maryse.

Claude –
Maryse compte, tu tout ce qui se passe ici, c’est notre vie privée, c’est Maryse qui t’a dit ça. Elle a raison pour ça les punitions et je ne m’en cache pas, j’ai été punie assez souvent ici. Entre Francine, je vais tout te montrer maintenant que tu commence à en savoir pas mal sur notre vie familiale. À l’intérieur, c’est vide, le gros équipement est à l’atelier du vignoble, mais Francine remarque les cordes au fond attacher après des poutres et enrouler à des crochets pour ne pas nuire, et plusieurs fouets et palettes de bois accrocher sur le mur, Maryse leur a sûrement décrit l’intérieur du hangar en détail puisqu’elles l’ont remarqué tout de suite en entrant. Katie décroche un fouet le plus court et s'amuse, le fait siffler dans les airs et fait semblent de frapper les fesses de sa mère. Maman lui dit Katie, ça m’amuserais de te fouetter les fesses comme tu m’as fait ce matin, ça serais une petite vengeance pour moi. Francine décroche une des cordes et enroule la corde autour de ses poignets pour faire semblant d’être attaché par les poignets et lève ses bras pour imiter la position de quelqu'un qui est attaché. C’est de cette minière-là que vous étiez attaché ? C’est humiliant si tu est attacher dans une place qui est pleine de monde qui te regarde. Pendant que Francine s’amuse à faire semblant d’être à la place d’une punie, Katie qui tient toujours le fouet décide de donner un coup de fouet, mais un vrai et assez fort sur les fesses de Francine et un deuxième.

Francine se défait instantanément de la corde et enlève le fouet des mains de Katie.Veux tu que je te les fouettent pour vraie les fesses cette fois-ci tu vas avoir de la misère à t'asseoir pour quelques jours penche toi, sur le chevalet ici tu vas le regretter je te le promet. Katie se réfugie en arrière de Maryse en se tenant les fesses pour se les protéger. Elle lui demande pardon, je m'excuse, lui dit-elle, ça a été plus fort que moi la tentation de te frapper les fesses. Pierre à trouver ça très amusant de voir Francine recevoir quelques coups de fouet, il s'approche de Francine et lui frotte les fesses en lui demandant si elle a besoin d’une pommade pour soulager la douleur. Ça l’a fait rigoler puis nous sommes tous retourner à la piscine.

Pendant notre petite promenade, Élodie et Sandie, elles, se sont rhabilles et Sandie demande à sa mère si elle peut aller chez Élodie pour visiter sa demeure et passer la soirée avec elle. J’en étais sûrs dès qu’elles se sont vues, c'est deux là elle ne se sont jamais laissées de la journée ensuite. Élodie m’a demandée d’aller les reconduire chez elle a 2 kilomètres à peine d’ici sa mère Diane étant repartit elle n’a plus de transport. Mais je lui prête une des voitures qu’ils y a ici. Élodie reste seule dans une grande maison depuis quatre mois maintenant. Son copain l’a laissé pour une autre seulement un mois après qu’ils ait décidé d’aller rester ensemble dans cette grande maison et le verger qu’Élodie venait acheter pour son nouveau projet. Elle s’ennuie seul et cherche toujours de la compagnie Sandie elle n’a pas beaucoup d'amie, d’après ce que Francine m’a raconté sur Sandie, elle est solitaire, ça va juste lui faire du bien d’être avec Élodie.

À la fin de la journée, au couché du soleil après avoir passé la journée nu, je décide d'aller me revêtir et les autres aussi décide de faire comme moi, la baignade étant fini. Mes vêtements plutôt ma robe étant rester dans mon bureau et celle de Francine aussi on c’est diriger Francine et moi dans le bureau pour se rhabiller. Francine m’a parue déçu de remettre sa robe, elle n’a attaché que deux boutons un qui tien sa robe fermé a la hauteur de sa chatte et l'autre entre ses seins et sans ses sous-vêtements elle les as laissé dans mon bureau. ça grade tout juste son intimité cachée et laisse de grande surface de son corps a l'air, Katie le lui fait remarquer.

À ma grande surprise et même les autres aussi, Francine nous a dit qu’elle a aimé ça journée passée ici, son expérience de nudiste comme elle s’amuse à dire lui a plue. Elle nous a tous surprise d’avoir pris goût à la nudité et est prête à recommencer à n’importe quelle occasion. Je ne savais pas non plus que Pierre avait invité Francine à passer la nuit ici. Francine décide de dire oui à l’invitation de Pierre de rester à coucher ici, c'est là que je me suis rendue compte que, eux aussi, c’était parti pour le grand amour. Ils ont l’air de bien s’entendre ces deux là, ils ont parlé toute la journée de boulot, Francine a questionné beaucoup Pierre sur les punitions qu’il donnait à ses filles, la manière des donnés. Il manquai juste la démonstration que pierre n'a pas donné avec une de nous-autres, ça l'intrigue, elle est bien décidée à commencer à punir ses filles et elle se renseigne. Francine couchera dans la maison de Pierre en plus, mon frère est en amour cela ne lui est jamais arrivé a l'âge qu'il est rendu je le croyais un célibataire endurci.



lundi 18 octobre 2021

Être impolie coute chère Les fesses de Maryse s'en ressentent



 

Lucia est une des assistantes de Julio le chef du vignoble du Domaine richard

Mais depuis une semaine, Lucia a l’aide de Maude et Maryse, deux des filles des propriétaires qui sont en congé scolaire. Le surplus d’ouvrage qu’occasionnent les vendanges et notre manque de personnel ne nous donne pas le choix, tout l’aide disponible, on l’utilise. Avec Maude tout va bien, elle fait tout ce qu’on lui demande, elle doit encore avoir en tête la punition qu’elle a subie ici, il y a un quelques mois devant les employés.

Mais pour Maryse, c'est tout autre chose, elle n’écoute pas du tout les consigne de Lucia qui l’envoie travailler dans les entrepôts avec d’autres employés pour apprendre comment se passe le temps des vendanges. Mais elle revient toujours au magasin qu’on a pour la vente des produits du vignoble et/ou les gens se présente pour les visites guidées qui sont disponibles. Moi, Julio, le grand patron de ce vignoble, je n’ai pas le temps de gérer tous ces employés-là. À cette époque de l’année je suis occupé a la récolte du raisin et de tout le déroulement qui entoure cela. Dès le lever du soleil jusqu’au coucher et même plus tard parfois. Ce matin, je reçois un appel de Claude, ma nièce qui est la propriétaire de ce vignoble et la mère adoptive des deux filles Maryse et Maude.
Bonjour Claude, qu’est qui vaut ton appelle, as-tu un problème. C'est très rare qu’on se parle en pleine semaine et surtout toi qui m'appelle occuper comme tu es ça doit être très sérieux. 

Oui, me dit-elle, c’est ta nièce Lucia, elle vient tout juste de me parler. Et selon elle Maryse lui occasionne des problèmes. Paraîtrait que Maryse est arrogante avec elle et le personnel et en fait qu’à sa tête, est-ce vrai. Bien oui Claude, j’ai parlé personnellement avec Maryse hier et je l’ai prévenue que si elle ne changeait pas, je lui réservais une bonne punition. Mais je vois que ça n’a pas changé puisque tu m’appelles et que Lucia t'a dérangé elle aussi. Claude me dit qu’elle a donné l’autorisation à Lucia de la punir à sa manière et même si Maryse a dix-huit ans et qu’elle fait partie des propriétaires du domaine. Lucia a tous les droits de lui donner une punition, une fessée et qu’elle ne se gêne pas devant tous tes employés si elle le désire. J'aimerais que tu rappelles Lucia me demande-t-elle pour lui dire toi aussi qu’elle ne se gêne pas pour la punir ou toi Julio si Lucia n’ose pas le faire. Claude me dit qu'elle en pour encore jusqu’à demain à être à paris. C'est pour ça qu'elle ne peut pas m’occuper elle-même de Maryse, car les fesses lui chaufferaient si elle était à la maison présentement. C’est très bien Claude, lui dis-je, m’en occupe immédiatement, j’appelle Lucia, bonne journée.

Lucia- 

 Apprêt avoir reçu l’appelle de Julio. Je sors de mon bureau, il y a une bouteille de vin qui traîne sur mon meuble et je l'amène avec moi pour la replacer dans les tablettes en même temps que je vais vérifier ce qui se passe. Je traverse la boutique, voire Maryse qui est encore revenue dans la boutique de vente et a l'air agressive envers mon employée. Justement, Maryse est en train d'envoyer mon employée travailler dans les entrepôts. C'est elle Maryse qui va s’occuper de la boutique lui dit elle. J'ai déjà pourtant défendu à Maryse cette semaine de déplacer les employés sans mon accord. Elle n’a aucune expérience et connaissance dans les vins, ce n’est pas à elle de décider ou doit aller travailler les employés. Et en plus la fille que Maryse envoie est très compétente où elle est. Je demande à Francine l’employer que Maryse avait dit de partir, de rester en poste. Le mobile de Maryse somme et c’est sa mère Claude qui l’appelle, quelques secondes plus tard Maryse raccroche et est très contrariée de ce que vient de lui dire Claude. Elle me dit que Claude vient de l’avertir que moi, j'avais pleinement le droit de la punir. Je lui dis que j'étais déjà au courant, Claude venait tout juste de me donné la permission de la punir si elle continuait à être si arrogante et impolie.

Maryse me met en garde devant deux couples des clients qui étaient devant nous pour des achats de ne surtout pas s'essayer de la punir. Que je n’ai aucun droit sur elle en rajoutant quelques insultes. La femme de l’un des deux couples nous regarde tous les deux, Maryse et moi et demande à sa fille d’environs 13 ans. Patricia, qu’est-ce qui t’arrive si tu oses être impolie envers nous comme la jeune fille qui est devant nous (en parlant de Maryse) l'a été avec sa patronne. Patricia hésite, sa face rougie par la gêne. Pour faire réagir sa fille, sa mère lui donne une petite claque sur les fesses pour qu'elle réponde à ma question, qui d'après-moi n'est pas si indiscrète que ça. Ne sois pas gêné de parler de tes punitions que tu reçois Patricia, quand tu es impolie, ou c’est moi qui leur dit. Patricia se décide à répondre. 
 
Quand je suis impolie ou je fais des gaffes, c'est une fessée que je reçois toute timide, en tenant sa tête baissée et regardant le plancher, nous répond elle. Sa mère rajoute, ça la gêne qui la retient de parler, qu'elle reçoit la fessée à son âge. Parce que en temps normal Patricia parle beaucoup. Et je ne me gêne pas pour lui mettre les fesses à l’air. Habituellement, c'est dans le salon et très souvent nue que je la puni. Et devant tout le monde qui si trouve que je punis Patricia et sa sœur aussi, ma plus vielle, et elle a presque 16. Étrangers ou visite, cela n'a pas de différence. Si je dois les punir, c'est dans le salon et pas ailleurs que ça se passe. Sa mère rajoute, je n’en reviens pas comment cette jeune fille est insolente envers sa patronne, en s’adressant à Maryse, elle continue à s'adresser à Maryse. Ma Belle, une chance que tu n’es pas ma fille, lui dit-elle, les fesses te chaufferait.
 
Tu recevrais une fessée ici même dans cette boutique, le robe relevée, fesses a l’air devant tout le monde même à ton âge. Son conjoint l’approuve en riant. L’autre couple, eux, me disent qu’il y a peine quelques minutes, ils avaient demandé à Maryse si une sorte de vin qui n’était plus dans la tablette, la bouteille que je tiens dans mes mains justement, étais toujours disponible. Il y en a-t-il encore en arrière-boutique, lui avais-je demandé. Mais votre effrontée d'employée, m'a répondu d’en choisir un autre, sorte qu’elle n’avait pas le temps d’aller voir. Francine me confirme qu’il y en avait beaucoup de bouteilles à l’arrière. Ça m’a mise hors de moi et j’ai demandé à Francine, l’employée, d’aller en chercher plusieurs bouteilles, de les ramener en avant pour remplir le vide de la tablette et de rester à son poste. Moi, je vais m’occupée de Maryse pour qu'elle ne l'achale plus.
 
Je demande aux deux couples s’il avait un peu de temps de libre. Les personnes me répondent oui. Alors, attendez-moi ici, je vous, je vais revenir vous cherche. Je vous invite. Nous irons tous déguster un verre de vin dehors à l’arrière sur notre terrasse. En même temps que je les invite, je prends Maryse par un bras et lui ordonne de me suivre et on traverse à l’arrière-boutique pour lui parler. Un autre employé, Fabien, si trouve dans l'arrière-boutique. Je lui demande de s’occuper de Maryse et de faire sortir Maryse sur la terrasse. Occupe-toi d'elle dix minutes et qu'elle reste polie et surtout qu'elle ne bouge pas de la terrasse, attendez-moi tous les deux. Je le rejoindrai avec mes invités dans pas long. Fabien reprend Maryse par un bras en ayant un grand sourire. J'ai l'impression qu'il sait ce que je vais faire à Maryse. Maryse proteste et demande à Fabien de la lâcher, elle est capable de marcher seul, mais Fabien ne lui lâche pas le bras et la fait sortir, sans s'occuper de ses plaintes.

Je fais sortir mes clients et invités avec moi et les amène à notre terrasse privée où on mange le midi, et je leur serre chacun verre de notre meilleur vin. Sauf Patricia bien entendu pour elle c'est un breuvage non alcoolisé. Maryse et Fabien attendent. Je demande à Fabien de changer sa prise. Fabien croise les bras de Maryse dans son dos s'il te plaît, lui demandai-je, et maintien là solidement sans la lâcher, je veux que Patricia s'approche de la table. Fabien m'obéi, l'emprisonne et approche Maryse à l’extrémité de la table à pique-nique. Maryse s'approche de la table malgré elle, poussé par Fabien, et ses cuisses touchent le bord de la table. Je demande à Maryse de se penchée sur la table et écrasé son ventre et sa poitrine sur le dessus de la table. Elle résiste, ne veux pas se pencher, elle se doute trop bien à quoi je veux en arriver, mais avec un peu d’aide de Fabien, elle est vite étendue, la face collée sur la table et les fesses bien exposées. Je me penche et regarde le postérieur de Maryse et sa robe qui recouvre encore ses fesses, juste à la limite de pouvoir voir sa culotte. Fabien lui maintient fermement les bras croisés dans son dos. Elle est immobile sans pouvoir bouger et me supplie de la laisser.


Maryse installée à mon goût. Maintenant, je m’adresse à Patricia la jeune. Patricia dit nous quand tes parents te punissent qu’est-ce qui t’arrive ? que t'oblige-t-il à faire ? Quelle tenue il t’exige à prendre ? quand ils te punissent ta mère m'a dit qu'elle t'obligeait à montrer tes fesses si j'ai bien comprise. Patricia toute surprise répond que ses parents quand ils veulent me punir l’oblige a, soit enlever sa robe si elle en porte une où quitter son pantalon si c'est le cas. Car lorsque qu'elle porte une robe, sa mère déteste cela. Ça retombe toujours sur les fesses si je bouge selon elle. Ensuite, quand sa robe ou son pantalon est enlevé, c’est sa culotte qu'elle est obligée d’enlever. Souvent, sa mère l'oblige à enlever le reste de ses vêtements, t-shirt, camisole, même mes bas, me dit-elle. Habituellement, c'est nu de la tête aux pieds que ses parents la punissent, d'après Patricia.
Patricia, maintenant que tu nous as décrit comment tes parents te punissent à ton âge, crois-tu que Maryse a 18 ans mériterait ou devrait recevoir une fessée cul nu, elle aussi. Patricia ne me répond pas, mais sa mère, elle me dit oui Mme. Il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne correction et c'est fesses à l'air que ça se donne une vraie fessée. Ma plus vielle, la sœur de Patricia, à 16 ans ou presque et elle aussi, je la punis très fréquemment nue dans la salle de séjour, rajouta-t-elle.

Bien alors, j'approuve leur demande et je prends le bas de la robe de Maryse sous ses fesses. Je relève la robe dans son dos sur ses bras que Maryse a de croisés et retenue par Fabien. Ça nous laisse voire son petit string rouge qui pénètre, entre ses fesses blanches et pleine de plaques rouges, l'essentielle, son intimité est toujours protégée.
 

Maryse est furieuse, proteste et essaie de se dégager, mais ne peut rien faire, Fabien l’immobilise. Elle peut juste se plaindre, et personne autour d'elle s'occupe de ses plaintes. Arrête de parler, lui dis-je, et je lui claque les fesses avec ma main pour qu’elle se ferme. Quand as-tu été puni la dernière fois, c'est très récent à ce que l'ont peu voir. Ça doit faire à peine quelques heures. Tes fesses ont encore des marques rouges. Maryse, encore aussi furieuse, me répond de me mêler de mes affaires, que ce n’est pas le résultat d'une fessée ces marques et ce n’est pas de mes affaires les plaques rouges. C'est supposer, rester intime cette endroit-là.

Tu vois Patricia la différence avec toi et Maryse. C'est que Maryse est chanceuse elle. Je ne la ferais pas déshabiller nu devant toi. Mais pour la fessée, même si elle proteste de toutes ses forces. J'ai décidé qu'elle va la recevoir, fesse a l’air dehors ici devant tout le monde comme une petite fille impolie le mérite. Mais même si son petit sous-vêtement nous laisse voire ses fesses et qu’elle n’est pas d’accord avec ce que je vais lui faire, je ne gênerai surtout pas pour lui baisser à ses chevilles. Ça va être plus humiliant pour elle et plus intéressant pour nous de pouvoir voir ses parties plus intimes, et penché comme est Maryse présentement et ses fesses aussi bien exposées, son intimité est dure à rester caché. Je pose ma main droite sur le commencement de sa raie. Je prend le cordon de son string qui sort de sa raie et descend le tout a ses chevilles.


J’arrête de parler et je commence à lui claquer les fesses sans ménager la force que j’emploie. Je lui claque chaque fesse à un rythme très rapide. Maryse essaie de retenir ses cris de douleur, mais ses plus fort qu’elle et supplie d’arrêter. Ses fesses rougissent très rapidement, elles ont pris une belle couleur. Maryse n’est plus capable de garder ses jambes collées, ses jambes bougent et s’écartent assez pour qu’on voie son petit piercing vaginal à l'endroit qu’on appelle fourchette, ou se rejoigne ses petites lèvres. Il y a un petit anneau et je la fais remarquer à tous en la touchant et reprend ou j'ai arrêté.


Après lui avoir claqué les fesses une minute et demie ou un peu plus, j’arrête. Je demande à la jeune Patricia et les autres si les fesses de Maryse sont assez rouges, ç'a l'air satisfaisant. Je me retourne ensuite vers Fabien et lui demande s’il veut bien ne prêter sa ceinture qu’il porte à sa taille. J'ai décidé de faire un petit ajout, un extra à sa punition. Fabien la retire et me la donne. Maryse, elle pleurniche et me supplie de la lâcher. Mais ce n’est pas encore fini, lui dis-je, en pliant la ceinture en deux. Maintenant ma belle Maryse pour ton arrogance et tes sauts d’humeur, je te rajoute un extra sur ta punition 10 coups de ceinture. Ne lâche surtout pas ta prise, dis-je à Fabien. Maryse n'a pas fini d'avoir mal à ses fesses avec la ceinture. J’applique le premier et Maryse lâche un cri, elle hurle.
Je continue à frapper ses fesses sans m’occuper de ses cris et ses pleurnichardes de bébé. Je me rends jusqu’au dixième. Les coups de ceinture sont visibles sur ses fesses ou peut compter presque chaque coup de ceinture que Maryse a reçu en travers de ses fesses. Je fais remarquer encore une fois à Patricia et les autres son piercing intime et demande à Fabien de la redresser debout sans lâcher sa prise sur les bras de Maryse. Maryse espérait que sa robe descende de par elle-même par la gravité. Mais elle reste en place dans son dos, ses bras sont retenus croisés dans son dos par Fabien, et sa robe aussi reste coincée avec ses bras, ses fesses restent bien exposées.

 Debout Maryse pleure comme une petite fille et demande a Fabien de la lâcher. Elle veut redescendre sa robe, mais Fabien la retient toujours et la robe aussi avec ses doigts pour qu’on admire le résultat de la fessée, la belle couleur de ses fesses. Patricia dit à sa mère à comparer à mes punitions et celle de ma sœur Maryse s’en tire bien. Elle a montré juste ses fesses. Moi, c'est toujours nu que je dois rester et les mains sur la tête après m'être fait rougir les fesses.

Hier ma sœur après sa fessée à passer l’après-midi nu debout main sur la tête au centre du salon devant tous nos cousins et cousines. Et ta sœur, quel âge a-t-elle, lui demandè-je ? Je crois avoir entendu qu’elle a 16 ans. Oui Madame, me répond Patricia. Je réfléchis à ce que Patricia vient de nous dire. Je regarde ma grande impolie qui est âgée d'à peine deux ans de plus que sa sœur, mais pas plus mature qu'une gamine de dix ans qui est devant nous. Je demande à Fabien de relâcher les bras de Maryse qui a toujours des larmes qui coulent sur ses joues. Maryse ayant les mains libres se frotte les fesses instinctivement par-dessus sa robe qui a repris sa place quand Fabien lui a relâché les bras. Malheureusement ç'a eu pour effet de mettre ses jolies fesses rouges à l’abri des regards. Son string lui est toujours au sol près de la table. Je le ramasse et le donne à Fabien pour qui le garde avec lui Ça là fait sourire et il s'empresse de dissimuler dans l'une de ses poches.

Je reprends la ceinture que j’avais mise sur la table, la replie en deux et frappe avec mon autre main en disant à Maryse. J'ai changé d’idée maintenant et tout le monde va être d'accord avec moi ici. Tu enlèves ta robe et ton soutien, c'est nu que tu passeras les 30 prochaines minute devant nous. Tu te mets à poil et reste au piquet 30 minutes ici au centre de la terrasse. Tu m'as bien comprise Maryse sinon je te claque les fesses jusqu’à temps que tu te déshabilles. Il faut que tu nous montres ton joli corps et tes fesses. On veut tous vérifier le résultat de ta fessée et terminer ta punition aussi, pendant que moi et nos invités ferons la dégustation de quelques produits de notre vignoble. Fabien va aider Francine s’il te plaît à préparer d'autre produit pour notre dégustation et quelques bons fromages que ma cousine produit juste ici en face de l'autre côté du chemin. Je vois que Maryse ne veut pas enlever sa robe, elle la tient par le bas avec ses mains et refuse de l’enlever. Très bien Maryse, je vais obliger à obéir si tu refuses. Je m’approche d’elle et lui donne un bon coup de ceinture sur ses fesses. Maryse, je retourne face à moi pour éviter que je lui frappe encore ses fesses. Ok Lucia arrête se t’en prie plus de ça mes fesses me font assez mal. Je t’en prie, plus de coups sur mes fesses, je l’enlève. En se retournant dos à nous, elle défait les boutons un par un de haut en bas à l’avant de sa robe jusqu’au dernier et la robe rouvre en deux. Tu vois Patricia comment Maryse est rendue obéissante. Maintenant, elle va être punie comme tu me l’as suggéré, peu importe l’âge et le lieu, quand une grande isolante mérite d’être punie, on la punie comme elle le mérite.

Maryse est maintenant nue. Je lui demande de se positionner au centre et lui dit ma belle, c'est très humiliant d’être nu en public et je le s'ai moi aussi, je l'ai déjà été punie ici même sur cette terrasse. Maryse, ça fait seulement quelques mois ou un an, peu-être que Claude t'a adoptée. Connaissant très bien ta mère Claude, je sais que ce n’est pas la première fessée que tu reçois depuis que tu restes au domaine. Je la connais bien Claude et je peux te confirmer qu’au même endroit que nous sommes, Claude ta mère et moi-même, il y a cinq ans, on reçut chacune fessée ici même nue. Tu t’imagines Claude qui à l'époque avait vingt-cinq ans et moi, j'en avais vingt-deux, devant tous les employés de vignoble pendant le repas du midi et à l'âge que j'avais, recevoir une fessée et nu devant d'autres collègues. Toutes les deux attachés au centre ici, c’est mon oncle Julio qui nous a fouetté les fesses. On a eu droit à 20 coups chacune. Après toutes les deux on à passé le reste de la journée nu à travailler dans les entrepôts devant les autres employés et les visiteurs qui venaient. Toi, à dix-huit ans, encore une gamine, ce n'est pas si pire que ça, être punie, une fessée, ça fait juste faire réfléchir une grande effrontée comme toi. 

  En s’exhibant ainsi nu et en face de nous, Maryse nous laisse, voire son joli corps et sa petite ligne de duvet qui arrête au début de sa fente. Patricia me fait remarquer que Maryse a un deuxième piercing, cette fois-ci c’est une petite boule juste à la fin de ses grandes lèvres, au haut de son clito, à la fin de sa fente. Je lui demande, Claude à surement déjà vue tes piercings . Vous êtes toujours nus à la piscine le maillot ne se porte pas chez toi. J'en ai déjà fait moi-même l’expérience plusieurs fois pour avoir été me baigner chez toi et ça me plait beaucoup à chaque fois que je rends visite à Claude. En plus de la baignade nue, si tu as un petit copain, lui, il doit aimer ça, aller jouer sur ta boule en haut de ta fente.

Maryse très mal à l’aise se croise les jambes et me dit qu’elle n’a pas de petit copain. Cela fait seulement quelques jours que Claude s'en est aperçue. Et pour, elle aussi, c'est nouveau. Elle nous dit que ça fait moins d'un mois qu'elle s'est fait installer ces piercings. Quand Claude, c'est rendu compte qu’elle avait des piercings à ces endroits -là. Claude l'aurait sévèrement punie sur les genoux à la main et ensuite Claude a pris une brosse à cheveux et lui aurait claqué les fesses jusqu’elle la supplie d’arrêter.

Maryse   

    C’est pour ça que tu as vu des marques encore visibles après deux jours. A la fin de la semaine dernière, vendredi matin, le lendemain de ma punition à l’institut ST-Thomas. Une de mes profs a décidé de faire une vérification surprise à l’entrée de la salle de cours pour notre tenue vestimentaire, ce qu’ils font assez régulièrement chez les filles. On doit remonter notre jupe pour montrer si on porte la culotte de coton réglementaire qui nous recouvrent les fesses. C’était seulement quelques heures après ma punition. J'avais le haut de mes cuisses rouges et en relevant ma jupe la prof et mes camarades ont tous vue le haut de mes cuisses et ont vite fait le lien avec mes fesses qui devait être aussi rouges sous ma culotte. Mes camarades ont tous ris de voir mon derrière mal en point. J’étais gênée. J'ai même eu du mal à poser mes fesses sur ma chaise. Même que ma prof pour m'humilier plus m'a demandé si je voulais rester debout pour son cours et si je voulais enlever ma jupe et ma culotte. Car selon elle, j'avais l’air à avoir du mal à supporter ma culotte et ma jupe qui frottait sur mes fesses, selon elle mes fesses avait l’air à me faire mal.

    Plus tard après notre petite dégustation avec les clients Maryse étant toujours debout nu mains sur la tête. Je demande à Maryse de demander pardon à nos invités pour son manque de politesse et de les remercier pour avoir assister à sa punition. elle s’exécute poliment, je lui donne la permission  de se rhabillé et d’aller travailler dans les entrepôts avec les autre. Fabien lui redonne son string Maryse c’est empresser de de l’enfiler, pendant que Maryse se rhabille devant nous je dis aux invités et clients qui sont avec moi sur la terrasse, des fois ça prend une bonne fessée pour faire réfléchir une fille lui montré qui est le patron. La mère de Patricia me questionne sur ce que j’avais dit au sujet de mes punitions ici et si c’était vrai. Oui je vous le dit sans aucune honte ici même sous cette arbre j’ai reçu plusieurs punition Jai déjà été très rebelle Monica et mon oncle m’ont apprise que ce n’était pas ça la manière de vivre se foutre de tout l’monde.

           Mes fesses on beaucoup souffertes et mon intimité aussi demander à Fabien lui ça fait 12 ans qu’il travaille ici il m’a déjà vu ici sur cette terrasse ou dans l’atelier nu me faire claquer les fesses. J’ai toujours survécu à mes fessée mais mon orgueil elle j’ose pas trop en parler quand a l’occasion les employées se mettre à parler des punitions qui se sont donner ici et surtout les miennes mes punitions en mangeant tous ensemble ça me gêne sa m’humilie d’entendre dire qu’ils adorait ça me voire nu quand mon oncle me ramassait par un bras rouge de colère.

 Les collègues me disent, on avait tous hâte que Julio te fasse déshabiller. Ça me gêne a chaque fois qu'ils en parlent. Même si je sais que ce soit moi ou Maryse qui serait nu cette après-midi, on est toutes faites pareille. Mais c’est notre pudeur qui en prend un coup. Patricia la punition que Maryse a reçue tout à l’heure, ce n'est rien à comparer à moi ce que j'ai reçu la dernière fois. Il y a 6 ans, j'avais 21 ans à l’époque, une de mes dernières punitions et la pire. J'ai été punie toute une semaine cinq jours d’affilée. Julio et Monica qui dirigent le vignoble ou voulu me dompter, me donner une vraie leçon cette fois-là, ils m'ont punie très durement et ça m’a fait réfléchir. 

À tous les matins, Monica m’attendait dans l’atelier et me donnait 20 coups de strap pour que mes fesses deviennent colorées et le restent toute la matinée.Le midi, je recevais une autre fessée, encore 20 coups de strap sur mes fesses, toujours nu ici sur cette terrasse, demande à Fabien. Il peut certifier mes dires. Il en a été témoin avec les autres employés. Et en plus j'ai été privé de vêtement durant ces cinq jours qu’a duré ma punition. J'ai dû travailler nu privé de mes vêtements dans un des entrepôts le plus achalandé, le no 3 au fond là-bas, devant les gens qui circulaient. Visiteur, employé, livreur tous me voyaient nu. je te dis Patricia quand tu es nu devant 20, 30 personnes et plus et que tu es la seule en plus à être nu, tous les autre sont vêtus, c'est humiliant. Ce n’est pas pareil qu'entre amies et on est toutes nues sur le bord d’une piscine. Si j’essayais de me cacher, me mettre à labris des regards, Monica avait donné l’ordre à un des employés qui me surveillait au travail de me punir sur place.

  Monica me donnait des endroits pour travailler ou la circulation était la plus dance. Et même ma mère, elle aussi, elle m’obligeait à sortir nu le matin, traverser le petit sentier en arrière, à l'époque, on habitait dans la maison à côté. Ma mère voulait que j'arrive ici nu durant mes cinq jours pour commencer ma journée, je sortais de la maison que j’habitais jus à côté, on la voie là-bas dans les arbres et je traversais ici nu pour travailler. 

 Fabien- Oui, c'est bien vrai ce qu’elle vos dit Lucia, et un an plus tard avec Claude la mère de Maryse et elle Lucia qui ans trois ans de plus jeune que Claude. les deux ont été punies ensemble ici dehors. Elles étaient à l’époque très complice, de très bonne amie et les deux. Ce jours-là, elles ont refait une autre bêtise et cette fois-ci les deux ont été punies ensemble. Vous voyez le poteau ici sur le côté gauche de la terrasse et l’autre poteau a la droite qui sert de support pour les lumières. Claude et Maryse ont été attacher à chacun de ces poteaux, l'une par un poteau, par un poignet et l'autre par un poignet à l'autre poteau et au centre, elle étaient attachées l'une à l'autre par leurs poignets. Les deux filles étaient au centre de la terrasse nue les bras écartés attaché l’une a un poteau et l’autre à l’autre poteau et les poignets relier ensemble. C’était la première fois que deux filles ou des employées recevait une punition ensemble et attacher ainsi au beau milieu de la terrasse. Je m’en souviens très bien, trente coups de ceinture a chacune, Lucia en a eu pour deux jours à s’assoir.

Lucia- 
 
Oui, c'est la pire punition en frais de douleur et humiliation. Car juste avant qu’il nous attache toutes les deux, on avait reçu chacune une magistrale fessée à la main sur les genoux, moi de Julio et Claude, c'était Monica qui s'était occupée de ses fesses. Les fesses me brulaient pendant qu’il nous attachait ensemble. J'en pleurais et même si j’étais exposée devant tous les employés, je ne pouvais pas me retenir de pleurer. Je ne m’en rendais pas compte tellement j’avais mal à mes fesses, que je pleurais comme une gamine devant mes collèges. Plus tard, quand la strappe qui s'est abattu sur mes fesses déjà brulantes, ce fut horrible ces trente coups. C’est juste après être détachée et qu’on m’a aidé à m’allonger sur une table à plat ventre, car je n’étais plus capable de m’assoir et de me tenir debout, que j'ai réalisé comment j'avais été exposer et attacher nue au centre bras tout grand écarté et étendue de chaque côté.
 
Je remercie mes clients et la belle Patricia et je dois retourner a mes papiers en ayant en tête, mais mauvaises punitions du passer et en me frottant les fesses de ces mauvais souvenir d’ado qui me revienne.

          

        

 

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...