mercredi 17 janvier 2024

Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

 

 

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Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé une sévère punition avec sa ceinture qui lui a laissé des marques sur ses fesses pour le reste de la soirée.

Mais que se passe-t-il, papa a cette heure-là.

Lève-toi Bianca et va te doucher en la levant par un bras pour qu’elle bouge ses fesses. On a un rendez-vous chez le directeur de la fac 7 h 30 et je ne souhaite pas que tu sois en retard.

 Mais il n’est que six heures du matin j’ai amplement le temps laisse-moi dormir encore j’ai eu du mal a m’endormir hier soir.

 Oui et si tu ne veux pas bouger comme je te le demande je te colle une nouvelle punition. Si celle d’hier ne ta pas suffi gare a tes fesses à nouveau qui doivent être encore très douloureuses, je ne me gênerais pas pour te les rougir à nouveau.

Sa mère Mariana entre elle aussi dans la chambre. Bianca lui dit-elle obéi a ton père vient avec moi à la salle de bain je vais t’aider.

Laisse-moi seul maman, je suis assez grande pour me laver seule, et sortez de ma chambre, j’irais moi-même me doucher. Bianca sort de son lit et tire sur sa musette pour garder ses fesses cachées.

 Je t’attends dans la salle à manger dans 30 minutes, et si je n’entends pas l’eau de la douche couler d’ici 2 minutes c’est moi qui irai te laver. Alors, bouge sinon tu vas le regretter.

 Bianca entre dans la salle de bain et fait couler l’eau. Pendant ce temps sa mère lui prépare ses vêtements, une robe des sous-vêtements neufs que Bianca n’a jamais voulut porter.

En sortant de la salle de bain et recouverte que d’une serviette, Bianca regarde sa mère et remarque ce qu’elle a mis sur son lit.

Non-maman jamais je ne porte de robe à l’école, et surtout cette ridicule petite culotte et ce soutien quasi transparent.

 Depuis que je me suis fait punir et humilier nue par votre faute devant tout le monde le mois passé je ne porte plus de jupe ou de robe, seulement que des pantalons. Les gars de la fac sont trop stupides, il n’arrête pas de nous remonter le bas de nos robes pour essayer de regarder si on porte des sous-vêtements dessous, ils vont jusqu’à nous claquer le derrière en nous croisant dans les corridors. Demande a Gabrielle et Marie-Line ce qu’elles en pensent des robes elles aussi, tu comprendras très vite.

 Ma fille ce n’est pas toi qui décides aujourd’hui c’est ton père et moi et habille-toi ça presse. Met ce que je t’ai préparé et suis-moi ton père t’attend, il ne te reste pas grand temps, tu te souviens de ce qu’il t’a dit, si tu ne tiens pas a recevoir une autre fessée dépêche-toi.

D’accord maman, mais sors, je ne veux pas que tu me regardes lui lance-elle en restant toujours couverte de sa serviette.

Mais Bianca, ça ne change rien hier, tu as passé la soirée nue en punition en présence de nos invités et nous t’a famille donc arrête tes caprices et habille-toi. Bianca n’a pas d’autre choix et enfile sa petite culotte qu’elle trouve ridicule et enlève sa serviette devant sa mère pour enfiler le reste de ses vêtements qui sont sur son lit.

Oh ! ma chérie tes fesses sont encore marquées, il y a plusieurs marques de la ceinture qui paraisse encore sur la partie de tes fesses qui n'est pas couvert par ta culotte.

Son père et son frère entrent au même moment que Bianca n'est vêtu que de ses sous-vêtements.

Elle s’empresse de se cacher avec sa serviette qui était encore restée à proximité d’elle. Mais papa ma porte est fermée, tu ne respectes rien, je suis en train de m’habiller. Tu dois t’annoncer frapper avant d’entrer et toi aussi stupide en s’adressant de son frère.

Elle reçoit une gifle sur une joue de sa mère. Sois polie Bianca, on ne traite pas son frère d’imbécile, et finie de t’habiller même devant ton frère cela ne change rien.

Bianca se retourne pour faire dos à son frère et finie d'enfilé, sa robe et ses bas.

David dit a Bianca, je viens tout juste de parler au père de ton amie Gabrielle. Les parents de Gabrielle sont en route vers l’aéroport et vont s’absenter pour les 10 prochains jours pour une rencontre d’affaire avec son patron et ne pourront pas assister à la réunion avec le directeur ce matin. Gabrielle et sa sœur vont rester ici avec nous pour la durée de leur voyage. Jean-Luc son père m’a dit de traiter Gabrielle comme toi aucun passe-droit, si je décide de te corriger pour tes bêtises que tu as commises a la fac avec elle, Gabrielle aussi recevra la même punition, et il a averti sa fille de ce qui peut lui arriver même si je ne suis pas son père.

Descends avec nous pour le petit déjeuner et ensuite nous allons chercher ton amie. En descendant, Bianca essaie d’amadouer son père.

Mais papa, tu n’as pas l’intention de me corriger encore c’est déjà fait, j’ai retenu la leçon hier c’est suffisant, et Gabrielle tu n’oseras pas lui toucher j’espère.

Ne t’occupe pas de cela c’est moi qui décide c’est quoi qui est bon pour te faire réfléchir toi et Gabrielle et son père m’a donné son consentement pour la punir elle aussi, et mange le temps passe.

 Le père de Bianca arrête à la maison de Gabrielle et fait monter dans sa voiture Gabrielle et sa sœur. Dans la voiture durant le parcours, Bianca parle de ce que le père de Gabrielle a permis. Oui, réplique Gabrielle, mon père me l’a très bien spécifié que ton père a tous les droits, j’espère qu’il n’a pas l’intention de te punir également ce soir. Moi j’ai reçu une très dure punition hier soir, dit Gabrielle j’ai toujours mal aux fesses ce matin. Comme moi lui répond Bianca j’ai encore des marques sur ma peau.

Rendu à l’école et a l’entrée de la salle de conférence ou est prévu la rencontre Bianca entre suivie de Gabrielle et de ses parents. Ils aperçoivent trois mecs qu’elles connaissent très bien qui sont debout mains sur leur tête et adossés au mur à la gauche de la porte. Marie-Line et Justine, leurs amies sont justes à leur côté dans la même position de puni elles aussi.

Dans la salle, treize personnes sont assissent a la grande table. La mère de Marie Line et Justine et trois autres femmes, sûrement les mères des trois gars attendent toutes assises d’un côté de la large table. Juste face à eux de l’autre côté, huit profs pratiquement tous des femmes et membres du comité de discipline leur font face et deux assistantes au directeur.

Le directeur les accueille et fait placer les deux nouvelles arrivantes à la suite de Justine dos au mur comme les autres, et David le père va rejoindre la mère de Marie Line et Justine. Mariana la mère de Bianca entre et s’assoit avec eux.

Le directeur prend la parole, regardez en s’adressant aux parents de Marie Line, Bianca et Justin. Voyez  ce que vos filles on fait à ce jeune homme. Il a les cheveux coupés par plaque. Vos filles lui ont versé de la colle dans les cheveux, en plus d’insulter sur tous les réseaux sociaux les trois jeunes hommes ici.

Il y a peine quelques semaines il me semble que vous trois Bianca, Gabrielle et Marie Line vous avez subi une très humiliante punition publique pendant 3 jours. Cela ne vous a pas trop servi de leçon, et c’est la deuxième fois en quelques semaines. On n'a pas autre choix que de vous punir par la pire punition qu'il existe. Vous avez droit encore une fois à la sentence le plus sévère. Une punition corporelle et nue comme la dernière fois. Ce qui est de votre intimité et votre pudeur dans les circonstances on ne s’en occupe pas c’est à vous d’y réfléchir avant d’agir maintenant vous allez en payer le prix. Pour aujourd’hui et demain vous allez vous montrer encore une fois dans votre plus belle habillement, c’est à dire en costume d’Ève.

Mais M. dit Bianca c’est eux qui nous ont provoqués les premiers en nous traitant de salopes et bien autres choses que je ne veux pas répéter ici devant vous tous. Nous ce qu’on a fait c’est seulement se défendre et essayer de les faire fermer c’est tout.

Je vous donne raison pour une chose, il n’avait pas le droit de vous traiter de salope et vous humilier de la sorte. Tous les membres de mon comité ici ont décidé de les punir. Ils recevront chacun 20 coups de strap ce matin. M. t c’est vous le premier à recevoir votre punition. On voit trois femmes se lever et traverser dans l’autre local, ce sont des membres du personnel enseignant et du conseil. Et la secrétaire qui attend dans la porte les ordres du directeur. Suivez ma secrétaire M. T. dans l’autre local c’est là que vous recevrez votre punition. Et vous Justine c’est votre première bêtise, mais en étant complice de vos trois copines vous écopez de la même punition que vos trois amies. Justine en écoutant ce que le directeur vient de lui dire commence à paniquer et verse quelques larmes.

 Pendant que le directeur continu à s’adresser aux quatre filles, on entend dire dans l’autre salle. M. enlever votre pantalon et votre slip, mais devant vous réplique le garçon. Oui vous n’avez pas d’autre choix jeune homme lui répond l’une d’entre elles.

Mlles vous quatre le comité aujourd’hui a décidé que pour vous ce matin ce sera 15 coups de cette strap ici et c’est moi-même qui vais vous administrer votre punition dans cette pièce. De très fort bruit de claquement sur la peau se font entendre qui proviennent de l’autre salle et de petits cris de douleur sont perceptibles, le jeune reçoit sa fessée.

 Mais pour vous trois Mlles Smith, Michel et Mlle Jonças une punition additionnelle vous a été imposée. Une fessée a la main pour vous chauffer les fesses avant de recevoir la strap. C’est votre deuxième punition en quelques semaines et on a tous décidé de vous rajouter une punition supplémentaire, et pour ce midi également une punition exemplaire vous attend pour vous trois. Donc Mlle Smith enlever votre robe et venez me rejoindre a la table ici, et vous trois enlever vos pantalons, pull et veste. Il y a un panier dans le coin, posez vos fringues dans le panier, vous en aurez plus besoin pour le reste de la journée. Et vos bas aussi, pendant que le directeur demande aux filles de se dévêtir, la secrétaire vient chercher le deuxième gars pour sa punition. Il est très déçu de rater le spectacle qui se présentait tout près de lui.

Pourquoi M. devrai-je enlever ma robe en présence de tout le monde ici ? Questionne Bianca. J’ai juste à la relever un peu pas plus. Et pourquoi c’est trois mecs-là eux  sont-il-punis en privé pourquoi pas moi également ?. Et je ne veux pas me montrer presque nue devant tout le monde, j’ai déjà été humilié et je ne veux plus l’être encore. Punissez-moi en privé si je n’ai pas d’autre choix que d’être puni, mais pas ici et presque à poil.

 Le père de Bianca David se lève et demande à sa fille d’obéir. Exécute-toi, lui dit-il en s’approchant d’elle, sinon c’est moi qui te l’enlève et je te colle une bonne fessée avant même que ton directeur ne t’en flanque une. Et tu l’auras méritée, faire perdre du temps a tout le monde ici ça se paye très cher.

 Bianca se met à verser quelques larmes et détache l’arrière de sa robe, la laisse descendre très lentement du long de son corps jusqu’à ses chevilles. Justine elle retient son chandail contre sa poitrine, son pantalon sont déjà dans le panier, je ne suis pas capable dit-elle je suis gêné c’est plus fort que moi de me montrer à moitié nue déclare-t-elle, et elle tient très solidement son pull contre elle en suppliant de le garder et demande à sa mère d’intervenir pour elle.

Je ne suis pas trop d’accord à ce qu’elle se montre si peu habillée, mais Justine c’est ce qui a été décidé pour ta niaiserie et obéit, c’est beaucoup mieux que le renvoi de la fac. Gabrielle, Marie-Line et Justine portent des lingeries plus conformes moins sexy, mais c’est Bianca qui attire toute l’attention.

Bianca s’approche du directeur et tire sa robe dans le panier. Le directeur la regarde de la tête au pied. Les dessous quasi transparents que porte Bianca ne passent pas inaperçus. Vous aimez ça M. regarder des filles à poil les humilier, et d’abuser de votre autorité à ce que je peux voire. Je peux tout enlever et me mettre complètement nue devant vous tous, cela vous excitera encore plus comme la dernière fois.

Une bonne claque atterrit sur les fesses de Bianca. Calme-toi ma jolie pour ce matin c’est en sous-vêtement qu’ils soient très sexy ou pas qu’il a été décidé de vous corriger toutes les quatre compte toi chanceuse de les garder pour quelques heures encore. Mais ce midi tu seras satisfaite de te montrer nue, ou peut-être avant si tu n’arrêtes pas de provoquer. Je peux te les confisquer ici même.

 L’une des mères des trois gars rajoute, avec ce que tu as fait à mon garçon lui verser de la colle sur la tête, c’est nue que j’aurais aimé que tu sois pour ta punition. J’aurais aimé que cela soit encore plus humiliant. Marie Line, qui était silencieuse jusqu’à présent, regarde la femme. Mme c’est moi qui ais versé de la colle dans les cheveux de Philippe. Bianca n’a rien à voir avec cela. Bien M. alors si cette stupide fille-là a eu des complices déshabiller là elles aussi, toutes les quatre méritent d’être humiliées ensemble.

Mme vous ne préoccupez pas, dans quelques heures votre souhait sera exaucé, ce midi elles seront toutes punies dans la cantine devant plusieurs dizaines de personnes et nue.

C’est juste ce qu’elle mérite c’est petites impolies, réplique une autre des mères.

Penche toi sur la table au lieu de discuter et ne bouge plus, Bianca s’exécute de peur que le directeur lui fasse enlever le peu de vêtements qui lui reste sur le dos, et s’appuie sur ses avant-bras face aux profs du comité de discipline qui la regarde. Cela met son derrière à la disposition du directeur.

  Je m’aperçois que ton père ou ta mère ce son déjà occuper de tes fesses, il y a encore des traces qui paraissent de ta dernière punition probablement d’hier soir. Ta culotte qui cache à peine la moitié de tes fesses nous laisse voir des marques de la ceinture que tu as reçue hier. Oui M. le directeur hier son derrière a goûté à ma ceinture réplique le père de Bianca. Je ne laisse plus passer ses gestes irréfléchis sans la punir maintenant. Je l’ai punie devant mes invités hier et entièrement nue pour l’humilier encore plus.

Mais M. la prochaine fois employez une strap plus large ou une palette en bois, en disant cela au père de Bianca, il ouvre l’armoire dans la salle. Depuis qu’on a puni ces filles là l’autre mois, on a décidé d’utiliser la punition corporelle pour nos élèves trop agités. Ça fait environ une dizaine d’étudiants en privé ici dans la salle des profs que l’on punit. Il y a quelques semaines il a été décidé de se procurer des strap épaisses large et bien rigide et quelques palettes en bois destinées à la fessée. Je vous conseille d’utiliser une strap dans ses largeur là. La ceinture laisse des marques comme celle-ci sur la peau des fesses elle n’est pas bien large et marque la peau comme une cane de rotin, mais font très mal aussi si donner avec force, tandis que la strap est plus large comme ma palette ici et rougi les fesses beaucoup plus que de créer des rayures rougeâtre foncé, et laisse une forte douleur autant que la ceinture, mais quelque heures plus tard la peau et redevenue a sa couleur normale. Vous en trouverez tout près d’ici sur la rue principale, il y a une boutique qui en possède plusieurs formats et longueur. J’ai aussi deux sortes de fouet et de canne qu’on utilise peu.

Le troisième gars maintenant sorti, le directeur prend la strap et la pose sur la table. Avec son bras gauche, il entoure les hanches de Bianca et la serre très fort contre lui de manière à ce qu’elle ne puisse plus bouger. Et avec son autre main il commence a frappé sur une fesse et alterne sur l’autre avec force cela commence à laisser des traces de ses doigts sur la surface de ses fesses qui ne sont pas couvertes par sa courte culotte semi-transparente. Le directeur lui claque les fesses avec force et rapidité. Bianca essaie de se protéger en remontant ses mains, mais n’en ait pas capable elle crie grimace et demande à ce qu’il arrête tellement que ses fesses lui chauffe et lui font mal. La peau de ses fesses que sa petite culotte ne couvre pas est passée très vite du blanc au rose et au rouge en quelques secondes seulement. Le directeur cesse la fessée et regarde la couleur de ses fesses en entrant les deux côtés de la culotte dans sa raie pour exposer encore plus ses fesses. Bon pour l’instant c’est assez pour tes petites fesses, je laisse reposer un peu tes fesses pour la deuxième punition à venir. Relève-toi, lui demande-t-il et appuie-toi au mur ici à ta droite sans te frotter les fesses. Croise tes bras dans ton dos pour que tout le monde puisse te regarder à moitié nue, tu es vraiment très charmante avec ces sous-vêtements semi-transparents. Et  aussi tu vas regarder tes copines se faire rougir les fesses à leur tour. Gabrielle, Marie Line et Justin, venez prendre place l’une à côté de l’autre et dos a ceux qui regarde vous mains sur votre tête sans bouger, demande le directeur. Vous trois vous êtes moins provocante que votre amie déclare le directeur en regardant les filles de la tête au pied. Les trois mères des garçons se lèvent et quittent. Mes dames, vous n’assistez pas à la suite. Non M. répond l’une d’entre elles je dois allez travailler, et pour les deux autres c’est la même chose.

Je change ma méthode vous deux c’est debout que je vous punirais, et pour Justine je t’ai dit que tu éviterais la première fessée donc regardes tes deux amies souffrir. Ton tour viendra pour la deuxième partie je ne t’oublierais pas n’aie pas peur ma belle. Il encercle la taille de Gabrielle et la serre très fort contre lui pour l’immobiliser et commence à lui claquer les fesses. Les fesses de Gabrielle commencent à lui piquer, elle ressent une forte douleur malgré la présence de sa culotte qui recouvre tout son derrière la main du directeur qui frappe fait très mal. Instinctivement Gabrielle descend ses mains et les porte à ses fesses. Je t’interdis d’ôter les mains de sur ta tête Gabrielle la prochaine fois que tus les enlève de sur ta tête je te fais enlever le peu de vêtements qui te reste c’est bien compris et en même temps qu’il avertit Gabrielle il tient l’élastique de sa culotte en fessant semblant de lui baisser. Non, nooon ! cria Gabrielle M. je vous promets de ne plus les baisser, mais ne toucher pas à ma culotte s’il vous plaît.

Le directeur repris la correction ou il l’avait arrêté. Gabrielle elle aussi se mise à crier par la douleur provoquée par les claques qu’elle reçoit sur ses fesses. Quand le directeur cessa de lui claquer le derrière il libera Gabrielle. Elle porta ses mains sur ses fesses pour essayer de soulager la douleur en pleurnichant. Mari Line  aussi a eu droit à une solide fesses et sautille d’une jambe a l’autre et se tenant les fesses. Justine regarde le directeur qui prend la strap sur la table, toute apeurer. S’il vous plait M. je ne veux pas recevoir des coups de strap donner moi une autre sorte de punition des travaux supplémentaires ou autre chose mais pas ça.

 Arrête de te lamenter comme une petite fille, tu sais très bien que tu n’y échapperas pas à ta punition. Reste immobile sinon je t’enlève moi-même ta culotte. C’est cul nu que tu la recevras ta punition, si tu n’arrêtes pas de bouger et argumenter. Mais M. le directeur lui coupe la parole, il n’y a pas de Mais tu recule d’un pas pour me donner de l’espace et garde tes mains sur ta tête, tu n’en mourras pas de recevoir une fessée, ce sont seulement que tes fesses qui vont te chauffer pas mal et changer de couleur, et pour ton égaux aussi cela va être dur mais pas plus, ça reviendra assez vite crois-moi. Les parole du directeur en ont fait rire quelque un dans la pièce de l’entendre parler ainsi a Justine.  Le directeur la fait reculer pour qu’elle prenne la position désirer. Il lève son bras et frappe ses fesses avec force.  Aïe, ça fait mal ! crie Justine en se levant sur le bout de ses pieds nus. Elle repose ses talons au sol et se met les mains sur ses fesses et se retourne face au directeur pour se protéger les fesses des prochains coups. C’est horrible ça suffit je vous interdis de me retoucher.

Vous n’avez pas le droit de me toucher, et à personne d’autre ici. Elle se retourne et implore sa mère, maman dit au directeur qu’il n’a aucun droit de me punir ainsi. Oui ma fille, il a parfaitement le droit de te punir et comme il le désire, et j’approuve leur décision. Ta conduite est inacceptable et endure ta punition sans résister. Je dois aller travailler maintenant reste sage Justine sinon tu le regretteras. Merci Mme réplique le dirlo. Le directeur, calmement, la prend pas un bras et la ramène à sa place et la remet en position. Justine, la prochaine fois que tu bouges je t’enlève moi-même le reste de tes vêtements, tu seras la seule nue ici ce matin à te donner en spectacle. Il saisit l’attache de son soutien dans son dos et le détache. Je t’ai prévenue Justine, si tu bouges encore, je t’enlève ton soutien et ta culotte aussi. J’ai compris M. je vais me retenir, répond Justine presque sur le bord des larmes. La punition reprend et à chaque coup que reçoit Justine sur ses fesses, elle se retient pour garder le mieux possible sa position, mais c’est très difficile, ses fesses lui font très mal à mesure que les coups s’abattent sur ses fesses. C’est la première fois de sa courte existence qu’elle se fait rougir les fesses, et elle trouve que ça fait mal.  Un fort bruit est perceptible dans le hall, la porte étant grande ouverte cela attire l’attention des passants qui commencent à être plus nombreux à circuler à mesure que le temps passe, et cela gêne énormément les filles d’être si peu vêtues devant la porte grande ouverte. Tous ceux qui passent entendent et regardent ce qui se passe dans la salle et se rendent compte qu’il y a des filles à moitié nues. Le quinzième coup reçu le directeur aperçoit que Justine pleurniche de douleur et ne se rend pas compte qu’elle a ses petits seins quasiment a l’air tellement elle a bougé et son soutien, n’étant pas attaché, est devenu tout croche ne cachant plus grand-chose. Tes petits seins sont presque a l’air, lui fait-il remarquer. Tu as déjà hâte de te donner en spectacle et montrer tes charmes, mais il est trop tôt, garde ça pour ce midi à la cantine, tu deviendras très populaire. Il prend le temps de le replacer lui-même son petit soutien et de le rattacher en place dans son dos. Il la fait ensuite avancer égale aux trois autres. Tu vois Justine, tu n’en est pas morte, ce n’est pas quelques coups de strap sur tes fesses qui t'ont tuée, c’est juste humiliant d’être puni en public et surtout à ton âge, mais pas plus. Il baisse l’arrière de sa culotte sous ses fesses juste pour vérifier la couleur et la remet en place sans que Justine réagisse et essaie de l’empêcher. Dans environs une heure, tes fesses redeviendront blanches comme elles l'étaient tout à l’heure, et tu pourras te rasseoir sans trop de difficulté, quinze coup ne laisse pas tant de douleur que ça. Au tour de Marie-Line de reculer. C’est à ton tour, et c’est la même chose pour toi aussi, si tu bouges je te mets nue donc reste immobile. La punition de Marie-Line s'est mieux déroulée, elle a enduré ses coups même si ses fesses lui chauffaient horriblement. Gabrielle a résisté, elle aussi, sans trop bouger et chercher à se frotter les fesses. Les deux ont eu peur de perdre ce qui leur restait de vêtements et ont obéi. Quand Bianca commence à recevoir ses premiers coups, une femme se présente dans la porte de la salle. Bonjour tout le monde ! C’est ici qu’elles sont mes filles que je dois avoir comme aide ce matin. J’ai bien vu que dans l’autre pièce, il y a trois étudiants les fesses a l’air, j'adore ça, ils ne sont pas si laids à regarder même s'ils sont encore un peu jeunes. Nous accompagnent-ils eux aussi ? M. Non Murielle, les trois gars retournent en classe. Ils reviendront ici ce midi, mon assistante s’occupera de leur donner leur seconde punition. La responsable de la bibliothèque reconnaît Justine. Que fais-tu ici Justine lui demande-t-elle. Toi aussi, tu as écopé de cette terrible punition à ce que je peux voir. Tu connais Justine Murielle, demande le dirlo. Oui, c'est ma nièce et c’est surprenant de la regarder quasi nue, elle qui est si prude, si gênée normalement. On s’en était tous rendu compte, elle n’aime pas montrer ses jolies petites fesses, mais ce midi, elle n’aura pas le choix de les montrer à tout le monde.

Ma sœur n'est pas ici, questionne-t-elle, sa mère est ma sœur cadette. Non, Murielle, elle vient tout juste de quitter, répond une des personnes assises autour de la table.

Pendant que le dirlo parle, il continue à chauffer les fesses de Bianca qui en grimace et cri à chaque coup que prend ses fesses. Bon pour ce matin, c'est terminé. Suivez Mme. B et soyez très sage, obéissez-y. Je lui donne le droit de vous punir si elle n’est pas satisfaite de votre comportement. Il tend une palette de bois à Murielle, ne te gêne pas pour l’utiliser si elles ne veulent pas t'obéir, déculotte-la, confisque-leur le peu de vêtements qu'il leur reste devant tous les gens présents dans la bibliothèque si cela te tente. À 11 h 00, je les veux ici, une adjointe au comité de surveillance, Mme. Fling va les attendre. 

Et vous quatre en arrivant ici à 11 h 00, si vous n'êtes pas déjà nue, vous déposerez vos sous-vêtements dans le panier avec le reste de vos vêtements sans que personne soit obligé d'intervenir. Vous serez nues toutes les quatre pour vous rendre à la cantine, je ne fous s'il y a des gens au pas dans les corridors, vous ferez le parcours seules toutes les quatre et nues, et ne flânez pas pour vous rendre à la cantine, il va y avoir quelqu'un qui vous attendra à l'entrée.

  Les filles disent qu'elles obéiront, et elles se rapprochent de Mme B.

C’est bien je vais tout de même la traîner cette palette dit Murielle, mais je ne crois pas que cela sera nécessaire de me servir de la palette, qu'en pensez-vous les filles. Je pense qu'elles ont eu leur leçon pour ce matin. Suivez-moi maintenant, en amenant avec elle la palette à fesser, il est presque l’heure les filles.

Et ça tombe bien ce matin, il y a un groupe de finissants qui seront là à la bibliothèque pour un projet de recherche de deux périodes. Je pense que vous plairez à plusieurs d’entre eux. Ce n’est pas vraie tante, la bibliothèque sera pleine ce matin. Fais-nous travailler à une place où il n’y a personne, à l’arrière par exemple. Je ne peux pas Justine, le gros de votre travail ce matin sera de classer des livres. Sur le parcours entre la salle et la bibliothèque, ne passe pas inaperçu pour les filles, et elles essaient de se cacher du mieux qu'elles le peuvent. Le corridor est très achalandé. Et ce n'est pas trop long que les regards se dirigent tous vers elles. Des commentaires humiliants et dégradants, des sifflements font entendre, et elles trouvent le parcours très long.

En entrant dans la bibliothèque, la presque totalité des étudiants qui sont là sont concentrés à se chercher des livres dansles rayons, à part quelques-uns qui sont assis aux tables de travail et n’ont pas trop connaissance de l’entrée des quatre filles à moitié nues. Murielle les invite à entrer dans son bureau et dépose la palette sur celui-ci. Pour l’instant personne ne s’est trop aperçu de votre présence, c’est une bonne chose, commente-t-elle. Mais ça ne tardera pas à dégénérer et le calme ne sera plus respecté. 

Ce que j’attends de vous quatre ce matin, c'est le respect envers tous les occupants ici, peu importe la sorte de commentaire. Je m’attends à ce qu’il y ait plusieurs fortes réactions envers votre tenue quand les étudiants s’apercevront de votre tenue sexy et si l’une d’entre vous quatre manque de politesse, je vais la punir au centre devant tout le monde et fesses à l’air, je me suis fait bien comprendre. Maintenant, venez avec moi, je vais vous présenter mes deux assistantes, c’est avec elles que vous travaillerez. 

 Murielle se déplace dans la petite salle des employés qui communique avec son bureau, et pousse un peu les punis pour qu’elles se présentent à ses assistantes.

Les deux assistantes étaient déjà averties de la venue d’étudiants en punition et obligées de faire des travaux avec elles, ce matin. Par contre, elles ne s’attendaient surtout pas à voir des filles à moitié habillées. En regardant les étudiantes en punition entrer dans la salle, elles sont très surprises de voir que trois de ces étudiantes sont encore dans une position aussi humiliante.

  Ça fait que quelques semaines à peine, vous étiez à poil devant nous tous, vous aimez ça, vous montrer nue, vous en prenez une habitude. Je suppose que ce midi, vous allez nous redonner un autre beau spectacle. Murielle les présente en expliquant le pourquoi de leur tenue.

— C’est surprenant, dit Kimberly, l’une des deux assistantes, on n’a pas l’habitude d’être en présence d’étudiantes en tenue sexy, ici Murielle. Mais pour trois d’entre elles, c’est rendu une habitude dans cette école. Par compte ce matin dans la salle, je me demande comment vont réagir les étudiants, surtout les garçons. Et elle en parlant de Bianca, regarde là avec ses sous-vêtements sexy, c’est presque transparent. On lui voit toute sa chatte dans sa culotte, son rasage, son petit duvet, une ligne noir. C’est toujours mieux que ne pas avoir de culotte, lui répond Murielle. Kimberly continue, mais ces filles-là se croient peut-être dans un bordel au lieu d’une école. Et si elle se tourne, ses fesses aussi doivent être clairement visibles. Ses tétons aussi sont très visibles. Quel âge ont-elles ces filles pour s’attriquer de cette façon-là ?

Oui Kimberly, je sais qu'elle surprend davantage, en parlant de Bianca, et tu ne te trompes pas, ce sont les trois mêmes, la quatrième, c'est ma nièce Justine en plus. Je la garde souvent et jamais, je ne l'ai vue nue ou en sous-vêtements devant moi. C'est une fille avec beaucoup de pudeur pour ce qui est de se montrer à moitié habillée d’habitude. Moi aussi, je pense comme toi Kimberly, je m’attends au pire quand elles traverseront dans la salle. Mais on n'a pas le choix, répond Murielle.

Regarde ta nièce, commente Kimberly, elle porte un soutien et n’a même pas de seins, c'est vide dans ses bonnets.

Ne ris pas d’elle Kimberly, ma sœur et moi aussi quand on avait son âge, c'était pareil. Mes seins ont pris plus de temps à se développer que beaucoup de mes amies à l'époque. À quatorze ans, ce n’est pas tous les ados à qui les seins poussent, se développer avec la même rapidité, pour que j’en aille moi des seins, ça a été aux alentours de de la moitié de mes quinze ans. J’étais découragé de voir mes amies qui avaient commencé à avoir une poitrine, des formes dans leur chandail, mais pas moi. Je trichais et me bourrais l’intérieur de mon soutien avec des morceaux de chiffon que je découpais pour me gonfler la poitrine.

— Bianca, elle réplique. Ce n’est pas moi qui ai choisi de mettre c’est sous-vêtement-là, c’est ma mère ce matin qui m’a obligée à les mettre, en expliquant à voix basse et regardant ses pieds gêner d’être décrite comme une espèce de traîner, Bianca instinctivement se cache son entre jambe avec une main et de l’autre bras, elle se cache sa poitrine.

Non ne te cache pas ainsi, lui dit Kimberly, c'est juste mignon de regarder tes tout petits nichons.

— Justine, Tante Murielle, s’il te plaît, essaie de convaincre le dirlo de nous épargner, nous punir autrement par des travaux ou en privé comme les trois stupides gars que tu as vus tout à l’heure.

— Je n’y peux rien, répond Murielle, je ne fais pas partie du comité de discipline et je n’ai aucune influence sur leur décision, alors réfléchis avant d’agir la prochaine fois.

Allez on sort il y a beaucoup d’ouvrages, en se présentant dans l’autre salle plusieurs remarques cette fois-ci l’habillement des jeunes filles. Des réactions commencent à se faire entendre. Certains sifflent, d’autres crient ou commentent à voix haute.

Silence ! lance Murielle d’une voix assez haute. Il y a des règlements ici dans la bibliothèque qui doivent être respectés. Gardez vos commentaires pour vous. Vous devez garder le silence et le respect d’autrui. La ou les personnes qui manqueront de s’avoir vivre ici iront directement à la direction avec un très mauvais rapport. Les conséquences peuvent être graves, ne l’oubliez pas, regardez les filles ici et vous pourriez les accompagner, pensez-y avant de redire d’autres insultes envers elles. Le calme est revenu très vite suite à l’intervention de Murielle.

Maintenant que tous reprennent ses occupations sans commentaire disgracieux.

Kimberly explique tout ce qu’il y a à faire, mais Justine demande de sortir aux toilettes, le couloir est vide et elle veut sortir.

va y Justine, mais ici dans la bibliothèque, il y en a au fond à l’arrière du bureau.

Justine regarde et s’aperçoit qu’il y a une sortie tout près, elle n’avait pas envie du tout, son intention est de fuir.

 Et c’est ce que Justine fait, elle sort par la porte de service et se rend à son casier, enfile ses vêtements de sport, t-shirt, short, basket et une veste de laine et se rend à une sortie de secours tout près. En ouvrant cette porte, l’alarme se déclenche dans un bureau de surveillance et le surveillant voit qu’une fille qui sort par les caméras poster dans la porte. Elle s’enfuit chez elle et s’enferme.

Murielle quelque temps plus tard s’inquiète de l’absence prolongée de Justine et s’aperçoit que Justine n’est plus avec eux.

Votre amie Justine vient de faire un très mauvais choix, dit-elle aux trois autres filles. Elle va le regretter, je suis sûr que sa punition sera plus longue et encore plus humiliante pour elle. Vous faites bien de rester ici et de subir votre punition comme prévu. Je n’aimerais pas être à votre place ce midi, je ne serais pas capable de circuler nue comme vous allez le faire, mais ne vous sauvez pas comme votre amie vient de le faire. Cela sera pire pour vous aussi que d’endurer votre calvaire.

Justine n’a pas fini de se balader nue, elle aura plusieurs jours de rajouter encore à sa punition, j'en suis sûr.

 

 

 

 

 

 

 

mardi 11 juillet 2023

Karine qui veut faire l'essai de la punition public avec ses amies

Marie

Après notre journée de travail a la boutique de ma famille, une amie à moi, Karine et collègue de travail, m’invite à passer la soirée et le week-end chez elle. Ses parents sont en voyage et elle veut que l’on passe un week-end entre filles. C’est la première fois que j’ai l’occasion d’aller chez elle et pouvoir visiter sa maison aussi. Même si j’ai dix-huit ans, je demande pareille à ma mère adoptive, Claude, pour la tenir informer où je suis aussi. Je l’appelle ma mère, elle me donne la permission de passer le week-end. Moi et Karine sommes en congé tout le week-end à la boutique, et Claude ne s’oppose pas à ce que je passe quelques jours avec Karine. Cela me surprend un peu, mais elle a accepté et c’est bien tant mieux pour moi et Karine.


Arriver à sa maison, Karine me présente sa sœur cadette de quinze ans, Claire, et son frère aîné Paul, âgé de vingt-et-un ans. Paul me parait très content que sa sœur m’ait invité, il me regarde de la tête aux pieds comme si j’étais nue, et cela me met mal à l’aise de me sentir regarder ou déshabiller des yeux ainsi. Deux autres filles se joignent à nous, des amies de Karine que je connais déjà un peu depuis quelques années, Abigail et Audrey —

Karine me fait faire un tour très vite de sa maison. Il n’y a rien ici pour t’impressionner Marie, me dit-elle, ma maison équivaut à peu près au garage chez-toi. Tu exagères, je lui réponds, ta maison est très jolie.

Karine —

Mais, Marie, toi, tu fréquentes l’école st-Thomas, c'est un lycée qui utilise la punition corporelle. Selon les rumeurs ou les échos de mes amies, il y a beaucoup d’étudiants qui se font punir à poil devant tout le monde et presque à tous les jours.

— Oui, c'est vrai, je lui réponds. C’est très sévère et si l'on ne se comporte pas correctement, on peut le regretter de manière très humiliante. La pudeur ou l’intimité, eux, ils ne connaissent pas ça.

Karine —

Audrey, tu te souviens des trois filles de notre classe qui se sont faites punir pendant trois jours à poil il y a quelques mois. Gabrielle qui reste ici dans la rue, Marie-Line et Bianca. C’était impressionnant de les regarder circuler nues et des voire assistées au cours nues à côté de nous. Et, le directeur qui a tous les repas du midi s’amusait à les exposer nues et leur donnait une fessée comme des petites gamine devant nous tous.

J’avoue que je n’aurais pas aimé être à leur place, si ç'aurait été moi qui aurais été punie nue en avant-scène, je pense bien que j’en n’aurais pas survécu. L’humiliation et la honte doivent être terribles. Mais, j'aimais ça les regarder circuler nue devant moi, regarder leurs jolies fesses colorées par la fessée, reçue m’amusais.

Quand leur punition a pris fin, j'ai parlé à plusieurs reprises avec Gabrielle et elle m’a dit qu’elle n’avait pas du tout aimé son expérience. Bien sûr que personne n'aimerait être traitée de la sorte en public.

Oui, je m’en rappelle dit Audrey. Personne ne peut oublier ça, voir trois filles circuler nue dans l’école. C’est presque impossible à oublier. Moi aussi, j'aimais ça les regarder, c’est toujours impressionnant de voir quelqu’un nu dans une foule, on ne peut pas s’empêcher de le regarder. Et, de regarder une fille se faire rougir les fesses, ça m’a plus aussi. On ne voit plus cela de nos jours, quelqu’un qui reçoit une fessée et en direct en plus devant nos yeux. Moi, chez moi, jamais mes parents m'ont donné de fessée, je suis sûr qu’avec le temps, j'aurais peur-être mérité de bonnes punitions de la sorte, mais mon père me punissait autrement. J’ai été souvent au coin à genoux ou dans ma chambre, mais jamais, je n’ai reçu de fessée.

Mais, toi Marie, ta mère vous punit fréquemment d’après ce que j’en sais. À la boutique, les deux voleuses que Claude a punies devant nous la semaine dernière, c'était impressionnant à regarder aussi. Elles ont passé la journée nu à l’atelier. Elles aussi se sont fait chauffer les fesses assez violemment. C’est deux filles du quartier qui ont la réputation d’être voleuse et harceleuses.

Marie—

Claude, ma mère, tu la connais Karine, c'est ta patronne. Je n’aime pas ça, parler de chez moi intimement, mais je ne peux rien vous cacher. Oui Claude est très dure envers nous tous mes sœurs d’adoption et moi. À dix-huit ans, je me fais encore punir par la fessée, et c'est très douloureux, elle ne se gêne pas, on a mal aux fesses pour quelques heures. À l’institut St-Thomas aussi, c'est la punition corporelle qui nous attend quand ils décident de nous punir. Mais, c'est le prix à payer pour ne pas être à la rue. Quand Claude m’a proposée de rester chez elle avec son frère, j’ai dû approuver la liste de règlements. J’ai accepté de rester avec eux dans ces conditions-là, sinon c’était la rue et la misère. Toutes les neuf qui restons chez Claude sommes soumises aux même règlements. À seize-ans et seule, je n'avais que ce choix-là et ses inconvénients. Pour la fessée, Claude n’est pas délicate, la palette de bois qu’elle utilise est large et quand elle te fesse les fesses ça fait très mal, ça brûle. La ceinture ou la canne, c'est pire pour les marques et la douleur persiste quelques jours. Tu as mal aux fesses et les marques paraissent presque deux jours.

Karine —

Je t’entends parler de ça, les punitions par la ceinture ou la palette de bois, c’est si terrible que ça. Moi aussi, je suis comme Audrey, je n’ai jamais reçu de tape sur les fesses. Sur une cuisse, c'est une partie très sensible, il n’y a pas de graisse, mais sur les fesses, c'est une place beaucoup moins sensible. Ça doit être moins douloureux que sur l’intérieur d’une cuisse qui est ultrasensible. C’est une autre chose aussi qu’un enfant se fasse taper les fesses sur son pantalon, c'est une punition de leur âge, mais, cul nu et a notre âge en public en plus, c’est humiliant, je présume.

Se faire toucher les fesses par une autre, cela doit être plaisant et en privé. Cependant, je n’ai jamais été aussi loin et osé en faire la demande à une copine de me flatter les fesses.

Marie —

D’après tes dires, tu aimerais que l'on essaie de jouer à un jeu ensemble, que l'on essaye quelque chose du genre à se dévêtir. Tu aimerais tenter l’expérience de jouer à des jeux ou le défi du ou des perdants est de se mettre à poil. C’est à ce que tu veux en venir. À toujours parler de fessée et nudité, tu dois avoir une idée en tête. Depuis plus d’une heure que tu parles de filles à poil. Aimerais-tu que l'on joue à quelque chose de genre, tous les six, ta sœur et ton frère inclus. On peut demander si tout le monde veulent bien jouer ou se risquer à jouer. Si tout le monde est d’accord, on peut s’organiser pour trouver un jeu. Mais, Karine, je ne suis pas si sûr que tu seras capable de te montrer les fesses devant nous.

Moi non plus, rajoute son frère, ma sœur à poil, c'est impossible. Elle est bien trop pudique pour faire une folie comme celle-là.

Moi, Karine, j’ai déjà vécu ça, être punie nu devant d’autre et c’est terriblement humiliant. Mais, pour vous tous ici et toi, Karine, je ne suis pas certaine que l’idée est si bonne, d’essayer ça. Je suis persuadée que rendu aux sous-vêtements, vous allez tous lâcher l’une après l’autre.

Karine —

Non, non Marie, je ne veux pas que l’on se mette à jouer à des jeux semblable, la seule chose que j’aimerais, c'est d’être seul quelques instants avec toi. Sui moi dans ma chambre au deuxième et tu verras. Seulement, toutes les deux, les autres rester ici, Marie et moi reviendrons dans quelques instants.

Je regarde Audrey qui pousse Karine vers moi en lui disant, Marie va s’asseoir sur le canapé derrière elle et tu t’allonges sur ses genoux. Si tu veux recevoir la fessée, c'est ici devant nous Karine. Nous aussi, on a droit d’y assister.

Karine rendu a quelques centimètres de moi avec l'aide d'Audrey, je l’attrape par un bras avant qu'elle ne recule et la fait basculer sur mes genoux en m’assoyant sur le canapé derrière moi. Elle n’a pas le choix, elle s’allonge et je m’empresse de la maintenir bien couché et lui retient un bras croisé dans son dos. Les jambes presque dans le vide, Karine n'ose pas trop se débattre pour rester en équilibre sur mes genoux.

Karine —

Non Marie ! lâche-moi, je ne veux pas, je ne veux pas que tu me fesses pas ici. S’il te plaît

Il est trop tard Karine, tu es maintenant en position. Je vais te faire connaître ce que tu veux connaître, C’est quoi l’effet d’une bonne fessée.

Et, je commence à lui claquer les fesses sur sa courte jupe en jeans. Je ne ménage pas la force avec laquelle j’applique mes coups, après tout c’est ça qu’elle veut connaître l’effet d’une fessée, et avec l’épaisseur de tissu qui protège ses fesses ça ne lui fera pas si mal.

Audrey et le frère de Karine regardent tous les deux Karine se faire claquer les fesses et essayer de se déprendre de sa fâcheuse position et ont tous les deux l’air à apprécier ce qu’il voit. Claire aussi s’amuse à regarder sa sœur se balancer les jambes à chaque coup que ses fesses reçoivent pour essayer de se libérer.

Après environs une quarantaine de secondes à lui claquer les fesses, j'arrête, mais ne lâche pas ma prise pour qu’elle reste encore bien immobile.

Karine en furie et essouffler reprend ses esprits et me traite de folle.

Je t’ai dit que je ne voulais pas que tu ne me touches pas ici.

C’est ce que tu voulais Karine, recevoir une première fessée, c’est ce que je t’ai donnée. Maintenant, on passe à plus sérieux. Avec mon autre main, je fouille sous le ventre de Karine pour trouver l’agrafe qui tient sa jupe fermée et réussie à la défaire.

Lâche-moi, je ne veux plus aller plus loin Marie, arrête, j'en ai assez reçu, me supplie Karine.

Paul, le frère de Karine me dit de continuer. C’est ce que ma sœur veut et te l’a presque demandée à genoux, alors continue Marie. Les autres aussi m’approuve dans ce que je suis en train de faire, Abigail m’encourage en prenant les côtés de sa jupe et là descend le long de ses jambes pour le faire tomber au sol.

Une petite culotte bleue à pois blanc nous apparaît, couvrant encore ses petites fesses.

Vous n’êtes que des sauvages, ce plein Karine. Laisse-moi remettre ma jupe, je ne veux plus continuer, tu entends Marie.

Je relève les côtés de sa culotte et constate que ses fesses n’ont même pas changer de couleur, elles sont encore bien blanches.

Karine, la fessée que je viens de te donner n’a aucun effet sur tes fesses, elles sont toutes blanches encore. Je vais maintenant te faire goûter à plus. Là, tes fesses vont commencer à te brûler avec moins de protection, c’était juste un petit réchauffement, Maintenant, je passe à plus sévère en punition et c’est cela que tu voulais de toute façon. Les autres sont bien d'accord à ce que je continue, surtout Paul qui reste à l’arrière et s’agenouille pour retenir les jambes de sa sœur.

Paul, lâche-moi, tu es fou ! Ôte-toi de là et lâche-moi les jambes.

— Je sais très bien pourquoi Paul a décidé de maintenir les jambes de sa sœur.

Je commence à lui claquer à nouveau les fesses. À la grosse différence cette fois-ci, c’est que dès les premières claques, Karine lâche des cris de douleur. Il y a moins de protection et ses petites fesses

rougisses aussi vite que je les claque. Je rentre le tissu entre ses fesses pour les mettre à l’air et continue la fessée.

Aïe, ça fait mal, arrête ce plaint-elle, ça suffit, ça fait mal.

Arrête de te plaindre comme une gamine. Ce n’est que de toutes petites claques, tes fesses sont capables d’en prendre beaucoup plus, j'en suis sûre. C’est toi qui l'a demandé et c’est ce que tu reçois, réplique Paul, toujours en lui tenant les jambes fermement.

J’arrête en ne lâchant pas ma prise. En lui passant ma main sur ses fesses qui commence à prendre de belles couleurs cette fois-ci. Ensuite, en prenant une petite pause, je glisse mes doigts sous l'élastique de sa culotte.

Nonnn!!! pas ça Marie, je t’en supplie pas ça, lâche ma culotte.

Je ne fis de rien et la descends plus bas que ses fesses rosées et chaudes.

Paul tout content lui fait suivre sa culotte qui prend le même chemin que sa jupe. Enfin, il regarde ce qu’il avait hâte de voir. Sa sœur les fesses a l’air. Mais, pour l'entre-jambe, ce n’est pas encore visible, Karine garde les jambes très serrées ensemble et pas de chance pour Paul, pour l’instant.

C’est ça une vraie punition que je te donne Karine, c'est nu, il reste ta camisole. En disant cela, je lui remonte au milieu du dos et Audrey s’occupe de lui faire passer les épaules et la tête.

Pas de soutien, Karine est complètement nue, ses petits seins sont pendants et elle se met à chigner comme une enfant.

Tu as honte d’être à poil devant nous Karine, c’est ce que tu demandais, être à poil devant nous. Tu nous suppliais de te mettre à poil, c'est ce que l’on a fait, lui dit Audrey en lui tenant un de ses petits seins et lui passant son autre main sur ses fesses. J’adore toucher à ta poitrine Karine, c'est très ferme comme j’aime. Et tu est superbe nu devant nous. Tu as de jolies fesses.

Pauvre petite Karine a poil devant nous et se fessant punir comme une petite gamine, j'aime ça rajoute Abigail en lui donnant quelques tapes sur les fesses. Belles fesses fermes, rajoute-t-elle, c'est plaisant à toucher.

Moi, je recommence la fessée, à la différence cette fois-ci c’est que je lui applique directement sur les fesses, plus rien ne protège ses petites fesses toute douces rougisses aussi vite que je les claque.  Karine se met à crier et se débat encore plus.

Ça fait mal, arrête, j'ai mal, c'est assez, j’ai compris, c'est quoi recevoir une fessée, stop.

Quand ses fesses, on atteint la couleur que je voulais qu’elles atteignent, j’arrête la fessée.

En lui frottant les fesses pour la soulager un peu de la douleur. Mon but n’était pas de lui faire très mal. En revanche, juste de lui chauffer les fesses uniquement pour qu’elle se le rappelle que ça peut faire très mal bien appliquer. Je lui lâche son bras que je tenais toujours fermement pour qu’elle se remette debout. Debout maintenant Karine, on passe à la seconde partie de ta punition que tu m’as tant demandée. Karine se remet sur ses pieds en se frottant les fesses et les cachant aussi avec ses mains et essayant de nous tourner dos le plus possible.

Ne touche pas à tes vêtements Karine et tourne-toi face à nous tous, lui ordonnais-je. Montre-nous ton intimité pour que tu saches, c'est quoi être nu devant tes amies. Mais, elle n’a pas l’intention d’obéir et ramasse sa culotte et essaie de se sauver à la salle de bain pour se mettre à l’abri des regards.

Non ma belle, tu restes ici avec nous. Une fille en punition doit obéir. En la retenant par un bras, je lui rajoute six claques sur ses fesses déjà endolories. Redonne-moi ta culotte, ce n’est pas tout de suite que tu peux te rhabiller, il reste encore une étape à faire pour ta punition.

S’il te plaît Marie, laisse-moi me rhabiller. Maintenant, je sais, c'est quoi être puni en public. Je te promets que je ne te poserai plus de question sur la fessée, c'est une promesse.

Audrey —

Tu ne t’en tireras pas aussi facilement. Si tout le monde est d’accord, tu vas te mettre au bout du salon ici et faire le piquet pendant vingt minutes main sur ta tête. C’est souvent ça la fin d’une punition, ça garde la punie dans une posture humiliante, c’est ce que tu cherchais à savoir, on va te le faire connaître Karine.

Marie —

C’était mon intention de la faire prendre une pose humiliante, mais Audrey m’a devancée et c’est mieux ainsi. Ce n’est pas juste moi qui aime ça voir une fille se faire punir de cette manière-là. Même si moi, je déteste ça quand c’est moi qui suis la punie, j’aime regarder les autres.

Paul —

Moi, je suis pour la proposition d'Audrey et même, j'en rajouterais. Après ses vingt minutes de piquet, j'irai chercher une des brosses en bois et je lui rougirai encore les fesses, elles vont être presque redevenues blanches après une vingtaine de minutes. Elle n’a goûté que la fessée à la main, la moins pire des punitions d’après moi. Il y a d’autre manière de recevoir une fessée. C’est ce que ma sœur veut savoir les effets d’une bonne fessée. Ainsi, je suggère de lui faire plaisir et de lui faire connaître d’autre manière de se faire rougir le cul.

Abigail —

Pendant que Marie oblige Karine à se placer comme tous les autres l’ont suggéré, moi, je m’approche de son frère en lui mettant la main aux fesses, ce qui l'a figé de se sentir le cul taponner. Il ne s’attendait pas du tout à ça qu’une des amies a sa sœur lui poigne les fesses.

Paul, tu as aimé ça, regarder ta sœur se faire chauffer les fesses, ta suggestion n’est pas si bête que cela. Mais, je ne suis pas certaine que les autres vont être en accord pour une deuxième fessée à Karine. C’est plutôt toi à qui l'on devrait donner la prochaine fessée. Tu as l’air à aimer ça toi aussi parler de fessée.

Audrey —

Oui Abigail, tu as une très bonne idée. On fait mettre Paul a poil et a chacun notre tour, on lui donne une fessée. C’est super comme idée. Même sa sœur Claire pourra y participer.

Abigail ---

 Paul n’aime pas ma merveilleuse idée et s’éloigne de moi et devient la face rouge.

Marie —

Quoi Paul, ça te gênerait de te mettre à poil devant nous et nous montrer ton petit zizi. Ta face est devenue rouge. Toi qui disais il n’y a pas si longtemps que Karine ne serait pas capable d’enlever ses sous-vêtements si l'on aurait joué à des jeux. Maintenant, c'est toi qui es gêné. Mais, tu ne te gênes pas pour regarder ta sœur nue. Il faut que je l'avoue Karine est très belle nue, très bien rasé, sa fente est bien visible, de très beaux petits seins et des fesses superbes. Paul, tu ne t'en plains pas trop. Tu aime ça voir ta sœur à poil. Paul --- Mais, même si c'est ma sœur, j'ai bien le droit de la regarder, à ce que je sache, elle est faite comme toutes les autres filles donc que ce soit ma sœur ou une autre, c'est toujours beau à regarder une fille nue. Mais pour me mettre a poil devant vous je passe mon tour.

Pendant que l'on se concentre sur Paul, Karine se met à verser des larmes. Je la regarde. Tu as maintenant l’effet de ce que l’on ressent quand on est exposée en public nu Karine. Toi qui te demandais, c'était quoi le feeling d’être nue, tu es maintenant servie, profites-en, car je suis sûr et les autres aussi que tu ne redemanderas pas d'en faire l'essaie à nouveau de la fessée, ce n’est pas du tout plaisant d’être exposée ainsi. Et, pour la suite, on va tous réfléchir à la proposition d'Abigail et Paul. Je pense que tu n’as pas fini de nous montrer tes jolies petites fesses aujourd’hui.



Une autre dure journée pour trois filles harceleuses

    .     Le père de Bianca David entre sans prévenir dans la chambre de sa fille, et la réveille brutalement. Hier il lui a collé...